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Ceux qui pensent pouvoir se faire facilement de l’argent en escroquant les sociétés de vente en ligne y repenseront à deux fois après avoir lu l’histoire de ce couple américain qui a voulu se faire de l’argent sur le dos d’Amazon. Erin Joseph Finan et Leah Jeanette Finan ont avoué avoir fait perdre près d’un million d’euros au géant du e-commerce en octobre 2017.








Le couple s‘y est pris en abusant de la politique de retour de produits d’Amazon qui n’exige pas le renvoi de l’article pour un remplacement.

Pour faire plus simple, le couple commandait des produits électroniques comme des GoPro, des Xbox ou encore des PlayStation puis signalait à Amazon qu’ils étaient endommagés.

En respectant sa politique, la société renvoyait donc un nouveau produit gratuitement. Par la suite, le couple Finan revendait les appareils à un individu appelait Danijel Glumac.

Un manège qui n’aura pas duré longtemps

Danijel Glumac achetait les produits à un prix plus bas et les revendait à une société new-yorkaise au prix avoisinant celui du marché pour faire plus de bénéfices. Le fait que le couple effectuait à chaque fois des réclamations auprès d’Amazon a fini par mettre la puce à l’oreille de la société.

La firme a par la suite porté plainte contre le couple. Ainsi, le 4 juin 2018, Erin et Leah ont été condamnés respectivement à 71 et 68 mois de prison. Daniel Glumac quant à lui a écopé de 24 mois de prison. A leur sortie, ils devront rembourser 1 218 504 dollars à Amazon.

Amazon limite sa politique de retour

Dans un communiqué, Josh Minkler, l’avocat de la société, a déclaré que « La fraude à la consommation enrichit injustement l’auteur, elle nous oblige tous à payer des prix plus élevés. Pour ceux qui cherchent à exploiter la facilité des achats en ligne par la fraude, rappelez-vous de ça. Vous serez pris. »

Suite à cette affaire, Amazon a choisi de sanctionner les clients qui retournent trop de produits. Depuis mars 2018, la société a banni plusieurs centaines de clients qui abusaient de sa politique de retour.

Cette décision est plus que justifiée sachant que la fraude coûterait près de 17 milliards de dollars aux détaillants américains.














By Fredzone Source : https://ift.tt/2l0ejp2

Confidentialité : un bug affecte 14 millions d’utilisateurs de Facebook

Du 18 au 22 mai, un bug a réglé la publicité des publications sur Publique par défaut, provoquant l’affichage public non désiré des posts de 14 millions de personnes. Facebook explique avoir corrigé le 27 mai ce dysfonctionnement dû à la façon dont les éléments publics (photos de profil par exemple) sont mis en avant.

Facebook avait bien besoin de ça ! Empêtré dans les suites du scandale Cambridge Analytica, le réseau social a connu un dysfonctionnement, un bug affectant le niveau de fonctionnalités des publications d’un certain nombre de ses inscrits. Du 18 au 22 mai, ce problème a modifié par défaut l’option « Publique » pour les publications, et ceux qui n’ont pas pensé à vérifier le menu déroulant ont vu leurs posts être affichés publiquement sur le réseau social.

Lorsqu’un utilisateur ou une utilisatrice du réseau social publie un contenu sur son fil d’actu, un menu déroulant lui permet de choisir le niveau de publicité de la publication. Par défaut, Facebook laisse le dernier choix sélectionné. Le bug s’est produit alors que Facebook étudie « une nouvelle façon de partager des éléments en vedette sur votre profil, comme une photo de profil ».

La confidentialité sacrifiée sur l’autel de l’ergonomie

« Étant donné que ces éléments sont publics, l’audience proposée pour tous les nouveaux messages – et pas seulement pour ces éléments – a été définie par défaut sur publique ». Ainsi, à moins d’accorder une attention au menu déroulant et au choix par défaut, toutes les nouvelles publications étaient donc rendues publiques. Le bug a duré quatre jours, du 18 au 22 mai, et a touché 14 millions d’utilisateurs.

Le problème n’a été corrigé que le 27 mai, quoique Facebook soit parvenu à le gérer à compter du 22. Le réseau social a depuis réinitialisé les paramètres d’audience des publications à leur réglage par défaut avant le 18 mai. Date à laquelle les paramètres de confidentialité des utilisateurs ont commencé à être ré-initialisées à ce qu’ils étaient avant d’être modifiés par ce bug. Jeudi, « nous avons commencé à informer 14 millions de personnes touchées – et à leur demander de vérifier tous les messages qu’ils ont publié pendant cette période » indique Facebook. .










By www.linformaticien.com Source : https://ift.tt/2kZnkPw

Le RGPD, le Règlement général sur la protection des données (en anglais GDPR pour General Data Protection Regulation), entré en vigueur le 24 mai 2016, sera effectif à partir du 25 mai 2018. Cette réglementation qui concerne les pays de l’UE et vise à uniformiser le niveau de protection, inquiète d’ores et déjà de nombreuses entreprises. Base de CV, process de recrutement, données gérées par les Ressources Humaines sont bien sur concernées.

Les entreprises et les RH vont devoir repenser leurs process liés à la protection des données à caractère personnel. Elles devront en effet répondre à un ensemble de nouvelles règles (consentement pour chaque traitement de données personnelles, droit à l’oubli, champ d’application territorial étendu, etc.) sous peine de s’exposer à de très lourdes sanctions. Quels sont donc les défis et pièges redoutés pour cette implémentation ? Éléments de réponses et conseils pour réussir au mieux sa mise en conformité.

Une évolution, pas une révolution

D’ici quatre mois, toute entreprise ou organisation touchant de près ou de loin aux données personnelles des résidents de l’Union européenne devra mettre en œuvre les mesures techniques et organisationnelles appropriées afin de garantir « la confidentialité, l’intégrité, la disponibilité et la résilience constantes des systèmes et des services de traitement ».

Complexe à première vue, cette réglementation vient pourtant clarifier une situation jusqu’ici insuffisamment claire au niveau européen. Chaque entreprise est ici tenue de mettre en place une politique interne afin de respecter les droits des utilisateurs d’un côté et les impératifs liés à son activité, de l’autre. La réglementation vient ici prolonger le travail amorcé avec la CNIL (1995) et la transformation digitale.

Une fronde autour du projet et sa mise en place

De nombreuses entreprises et particulièrement celles du numérique dénoncent l’acharnement d’un nouveau règlement qui semblerait complexifier la vie des entreprises. Jean-David Chamboredon, coprésident de France Digitale : « Il faut jouer collectif et lever le pied sur le RGPD, qui, sous couvert de protection des consommateurs, fait le jeu des GAFA ». Le point de vue de l’UE, est de créer une forme de protectionnisme pour laisser les entreprises développer des services entre autres liés à l’Intelligence Artificielle. On peut toujours discuter de ces points de vue, mais pour l’heure l’essentiel à retenir est que la directive doit être appliquée dans vos entreprises.

Une différenciation de données et un droit à la portabilité

Quels sont donc ces données tant évoquées ? Il en existe principalement deux :  structurée/ non-structurée

–      La structurée est contenue dans les applicatifs métiers, les entreprises vont devoir mettre en place des outils et des bonnes pratiques pour identifier la donnée personnelle et garantir, en cas de demande d’un utilisateur, son extraction, son annulation, sa suppression et son anonymisation. Les logiciels de gestion des RH, les ATS, ou Linkedin sont des exemples de données structurées.

–      La donnée non-structurée est plus complexe à traiter. Totalement dispersée dans les entreprises, elle est gérée par les métiers (RH, commerciaux, marketing, services généraux, etc.), par les utilisateurs internes et externes et est sur des serveurs de fichiers, dans des Dropbox, sur des disques durs externes, et autres. Il est donc plus complexe de connaître son lieu de stockage et d’identifier les personnes autorisées à la consulter. Les CV contenus dans des emails, stockés dans des dossiers partagés, des Excel recap des candidats vus…sont autant d’exemple de données non structurées et souvent mal maitrisées par les RH.

Un impact sur les RH et leurs fonctionnements

Les nouvelles règles RGPD et la différenciation des données visent à rééquilibrer les relations entre les citoyens européens et les entreprises. Parmi ces nouvelles règles se trouve le droit à la portabilité évoqué ci-dessus. Ce dernier impose aux entreprises de mettre à disposition de leurs utilisateurs leurs données personnelles dans un format exploitable (données nominatives, de consommation, etc.). Chaque individu peut ainsi réutiliser ses propres données comme il le souhaite, dans les services de son choix.

Dans le cas d’un recruteur d’entreprise ou d’un cabinet de recrutement comme Altaïde, l’enrichissement d’un profil candidat à partir d’entretiens, d’une analyse du marché sera protégée et nous aurons la possibilité de transférer ces données d’une plateforme à une autre (Linkedin, Talensoft, et autres offrent cette possibilité). Une fois vos données transférées, attention à garder la possibilité aux personnes de modifier et ou demander la suppression de ses données personnelles.

Pour le recrutement la difficulté va être de bien poser les limites.

Exemple : vous chassez sur Linkedin ou autre base de profils / CV), vous rattachez des notes au profil, vous exportez les données dans votre outil de gestion du recrutement (ATS) ou de gestion des talents. Êtes-vous conforme au RGPD ?

=> Non en l’état actuel de l’exemple.

=> Oui si vous validez ces points pour être conforme :

– Le consentement au traitement des données : vous devez demander leur consentement aux candidats que vous souhaitez ajouter à vos viviers.

– Le droit à l’information : Les candidats doivent pouvoir consulter les informations stockées les concernant (nom et prénom, email, CV, etc.) via une page web unique, et modifier ou supprimer ces données.

– Le droit à l’oubli : Les candidats pourront demander la suppression intégrale de leurs données.

– La fuite de données : En cas de fuite de données, vous devez pouvoir rapidement et facilement en notifier tous les candidats dans le délai de 48H fixé par la loi.

Sécurité, confidentialité et sauvegarde des données : il est recommandé de stocker ses données sur des serveurs dans l’Union Européenne.

Une bonne approche donc, pour être tranquille, sera d’utiliser un service conforme au RGPD. C’est le cas par exemple de Linkedin qui se met en conformité (choix d’Altaïde qui gère tout le process de ses recrutements dans Recruiter), ou des éditeurs de logiciels recrutement / ATS comme Talensoft.

Les recruteurs ou les cabinets qui continuent à « bricoler » en rapatriant des profils ou des CV de candidats sans leur consentement dans leur base de données (structurée ou non) seront donc hors la loi.

Un rôle important pour les RH

Système clé de cette nouvelle réglementation, les RH vont ainsi voir leur travail repensé et modifié avec cette mise en conformité. Des démarches clés vont lui incomber : désignation d’un DPO externe, audit de conformité, formaliser un référentiel sécurité, former le personnel, réaliser une étude d’impact…

Dès lors, et au vu des éléments évoqués tout au long de l’article, on comprend aisément que la bonne réussite de l’intégration RGPD résidera dans la capacité RH d’une entreprise à prendre la mesure de cette transformation, et la mener à bien, en interne, ou externe pour les plus petites entreprises qui délègueront.

Conclusion

Pour la majorité des experts interrogés, malgré les controverses, le RGPD constitue en tous cas une véritable opportunité pour les entreprises de mieux analyser leur exposition aux risques et faire de la conformité au texte un avantage concurrentiel en augmentant le niveau de confiance de ses salariés, clients et partenaires. Pour les RH et recruteurs, c’est un gros coup d’arrêt aux pratiques artisanales non maitrisées des process de recrutement et de conservation des données.

Et de votre coté, dans vos entreprises vous en êtes où de la conformité RGPD ?

L’expert :

Jacques Froissant, Fondateur d’Altaïde en 2000, conseil en Recrutement et Gestion des RH qui s’est imposée rapidement comme un acteur majeur de l’accompagnement des sociétés innovantes de l’univers digital / numérique.

Blogueur reconnu sur tous ces sujets RH et sur les usages internet (réseaux sociaux, Linkedin, Facebook, Twitter), il est régulièrement sollicité comme expert (chroniques L’Express, 01Net, BFM, presse, conférences…).

 

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17
Mar

Faites vous réellement du Scrum ? Are you really doing Scrum? 

Voici une check-list fort utile et déjà très utilisée qui est traduite en de nombreuses langues dont le français !

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Les attaques du malware Olympic Destroyer faites de manière à piéger les chercheurs en cybersécurité. Les preuves techniques d’un « false flag » très élaboré placé à l’intérieur du ver par son créateur afin de masquer la véritable origine de la menace. Le ver Olympic Destroyer a fait que…

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