Articles

Moins les humains sont impliqués dans la base de données et la cyberdéfense, plus les données seront sécurisées explique le CTO d’Oracle, Larry Ellison.

Source : http://www.zdnet.fr/actualites/oracle-lance-18c-sa-base-de-donnees-autonome-et-son-systeme-automatise-de-cybersecurite-39858068.htm#xtor=RSS-1

Avec AndromedaOS, Microsoft poursuit son projet à long terme de développement d’un système d’exploitation commun à différents formats de terminaux Windows.

Source : http://www.zdnet.fr/actualites/qu-est-ce-que-microsoft-andromedaos-39858034.htm#xtor=RSS-1

Le réseau social a confirmé plancher sur cette méthode d’authentification biométrique notamment pour mieux lutter contre les usurpations de comptes.

Source : http://www.zdnet.fr/actualites/facebook-proposera-l-identification-faciale-pour-recuperer-un-compte-39858058.htm#xtor=RSS-1

Surfant sur le succès des versions mini des anciennes consoles Nintendo, Koch Media ressort une version du mythique ordinateur incluant 64 jeux. Source : http://www.zdnet.fr/actualites/nostalgeek-le-commodore-64-debarque-evidemment-une-version-mini-39858026.htm#xtor=RSS-1

Le Secrétariat généralde la défense et de la sécurité nationale donnait aujourd’hui le coup d’envoi au mois de la cybersécurité en France, une initiative européenne poussée par l’Enisa. Une occasion de mieux sensibiliser la population à ces enjeux.

Source : http://www.zdnet.fr/actualites/coup-d-envoi-du-mois-de-la-cybersecurite-39858062.htm#xtor=RSS-1

Big Blue emploie désormais 130 000 personnes en Inde, soit un tiers de ses effectifs globaux. Selon des chiffres officieux, le nombre de salariés basés aux Etats-Unis serait bien deçà des 100 000.

Source : http://www.zdnet.fr/actualites/ibm-compte-plus-de-salaries-en-inde-qu-aux-etats-unis-39858022.htm#xtor=RSS-1

Amazon a dévoilé une nouvelle série de terminaux, parmi lesquels de nouveaux Amazon Echo (99,99 $) et Echo Plus (149,99 $), l’Echo Spot (129,99 $) et un nouveau stick Fire TV (69,99 $). Il développe ainsi sa vision de la maison connectée.

Amazon vend ses appareils à des prix très abordables. Gagner de l’argent grâce à ses terminaux n’est pas (du moins pour l’instant) sa priorité. C’est la conquête; il s’agit pour l’entreprise de toucher suffisamment de foyers assez rapidement pour devenir la norme de fait.

Et Amazon a déjà réussi à prendre une avance conséquente, principalement grâce au succès surprise de l’Echo original. Qui imaginait qu’un haut-parleur Bluetooth doté d’un assistant numérique intégré (et pas un thermostat ou une alarme incendie) deviendrait le catalyseur de l’intérêt des consommateurs pour la maison connectée ?

Depuis lors, Amazon a rapidement enrichi son portefeuille matériel. Et ce qui est clair, c’est la volonté de l’entreprise de s’assurer que ses terminaux et services s’installent à tous les points de contact fondamentaux de la maison; le nouveau Echo Spot veut se substituer au réveil, par exemple.

Ces produits ne seront peut-être pas tous des succès, mais Amazon peut itérer à un rythme beaucoup plus rapide que ses concurrents pour maintenir son avance : Apple HomePod n’est même pas encore sur le marché.

Le cœur de la maison est la clé

De nombreuses entreprises s’intéressent au domaine de la maison intelligente, rendent les serrures intelligentes, les caméras, les capteurs de mouvement, etc. Mais ce qui importe vraiment, c’est de devenir l’acteur qui fournira le lien permettant de connecter tous ces différents éléments ensemble.

C’est pourquoi le nouveau Echo Plus est intéressant : Amazon fait un geste explicite pour être le hub principal, car il peut découvrir et configurer automatiquement les lumières, les verrous, les prises et les interrupteurs sans avoir besoin de plateformes ou d’applications supplémentaires.

Et la fonctionnalité « routines » d’Alexa sera capable de tout lier en vous permettant d’automatiser une série d’actions avec une seule commande vocale : en disant « Alexa, bonne nuit » afin d’éteindre les lumières, verrouiller la porte, et éteindre le téléviseur, par exemple.

Une plateforme à laquelle d’autres applications et terminaux peuvent se connecter ? Cela commence à ressembler beaucoup à un système d’exploitation selon moi

Ce n’est pas non plus seulement la maison; Amazon a annoncé un accord pour rendre Alexa disponible dans les véhicules BMW et Mini à partir du milieu de l’année prochaine. Les conducteurs peuvent ainsi utiliser l’assistant numérique pour obtenir des itinéraires, jouer de la musique ou contrôler des appareils connectés du domicile tout en voyageant et sans avoir à utiliser une application distincte. Les voyageurs auront également accès à des compétences Alexa provenant de développeurs tiers comme Starbucks, leur permettant de commander leur café tout en conduisant. Ils n’auront ainsi pas à faire la queue pour récupérer leur commande.

Alexa embarque en voiture

En janvier, Amazon et Ford ont déclaré qu’ils travaillaient ensemble pour permettre aux commandes vocales d’allumer le moteur, de verrouiller ou de déverrouiller les portes, de jouer de la musique et d’utiliser d’autres compétences.

Amazon Alexa semble avoir réalisé une percée. Contrairement aux assistants vocaux comme Siri ou Google Assistant, il ne tente pas de cannibaliser d’autres moyens de communiquer avec les périphériques, mais propose de nouveaux usages. Sur un téléphone, Siri se morfond car il est plus facile d’utiliser le clavier à l’écran. Mais dans la maison – et sur la route – la voix a plus de sens.

Il est encore tôt, mais je pense que Alexa a les moyens de devenir l’une des interfaces standards, certainement pour les consommateurs – un système d’exploitation pour la maison, sinon plus, si les ponts dans l’automobile se consolident. Tout cela fera de Amazon une force sérieuse avec laquelle compter.

Windows a le poste de travail, et Android et iOS peuvent se disputer le smartphone, mais à présent Alexa a une emprise sur la maison intelligente.

Article traduit et adapté par Christophe Auffray, ZDNet.fr

Source : http://www.zdnet.fr/actualites/amazon-alexa-un-os-a-l-assaut-d-ios-android-et-windows-39857956.htm#xtor=RSS-1

Lancé en 2014, l’initiative Degooglisons Internet est pilotée par l’association Framasoft et propose de réunir sous une même étiquette plus de 30 services libres et décentralisés afin de proposer aux internautes des alternatives aux services phares détenus par les Gafa. Si vous ne supportez plus d’utiliser Doodle ou que Dropbox vous inspire tout le dégoût du monde, vous avez tout intérêt à vous tourner vers cette initiative qui regroupe sur un site dédié une trentaine de services alternatifs. La campagne baptisée Degooglisons Internet a rencontré un franc succès au cours de ses trois années d’existence comme le rappelaient ses organisateurs.

Mais il est maintenant temps pour le projet de passer dans sa seconde phase et de faire le point. Dans un post de blog, les membres de l’association Framasoft reviennent ainsi sur cette nécessaire évolution du projet après trois années passées à un rythme acharné pour passer sur un peaufinage du projet « Il y a dans ces trois ans un aspect publish or perish, « sors un service ou finis aux oubliettes », qui ne convient pas à l’attention et au soin que l’on veut apporter à nos propositions » expliquent les organisateurs.

Faire le point, mais ne pas s’arrêter en si bon chemin

Il ne sera donc pas question d’ajouter ad vitam aeternam de nouveaux services à la déjà longue liste de ceux proposés au sein de l’initiative, mais bien de répondre en proposant une philosophie alternative et de peaufiner la qualité des services déjà proposés. Parmi les pistes évoquées, l’association envisage ainsi d’améliorer la qualité de ses tutoriaux afin de permettre aux utilisateurs de s’émanciper peu à peu de la tutelle Framasoft, mais envisage aussi un travail sur les données.

« La problématique des silos de données centralisés par quelques monopoles mérite une réponse bien plus complexe et complète que simplement proposer « 32 services alternatifs » » expliquent ainsi les auteurs du post, ce qui laisse penser que Framasoft s’interroge sur la portabilité des données entre les différents services qu’ils proposent.

Cette mise au point est aussi l’occasion de faire taire les faux espoirs concernant l’apparition d’un hypothétique Framamail : « Nous allons vous décevoir tout de suite : nous n’allons pas proposer de Framamail, tout du moins pas sous la forme que vous imaginez. L’e-mail est une technologie à la fois simple (dans sa conception) et extrêmement complexe (dans sa maintenance). » L’initiative propose déjà plusieurs outils permettant d’héberger soi-même son propre serveur de mail, mais proposer un service de webmail comparable à ce que propose Gmail, le pillage des données personnelles en moins, n’est pas pour tout de suite.

L’idée n’est pas complètement écartée, mais Framasoft explique que sa mise en œuvre demanderait de nouveaux recrutements à temps plein au sein de l’équipe afin d’être en mesure de fournir un service décent. Framasoft préfère donc conserver son budget pour les autres services afin d’être en mesure d’assurer un service correct au plus grand nombre.

À l’occasion de ce point d’étape Framasoft profite de l’occasion pour présenter un redesign de son site Degooglisons Internet, qui correspond de leur propre aveu à une « v1 » de celui-ci. L’association diffuse également une infographie réalisée par Geoffrey Dorne faisant le point sur les différentes initiatives de Framasoft et les développements futurs. La nouvelle campagne sera officiellement lancée le 9 octobre pour une durée, là aussi, de trois ans.

Source : http://www.zdnet.fr/actualites/degooglisons-internet-un-point-d-etape-avant-une-nouvelle-campagne-39857954.htm#xtor=RSS-1

Le chef du Parti travailliste Jeremy Corbyn a prévenu qu’il fallait faire plus pour faire face aux défis posés par les robots et l’automatisation.

Lors de son discours pendant la conférence du parti politique, il a jugé urgent de réagir au défi de l’automatisation et de la robotique qui pourraient rendre obsolètes tant de métiers d’aujourd’hui.

« C’est une menace au service de la cupidité, mais c’est une grande opportunité si elle est gérée dans l’intérêt de la société dans son ensemble. Nous ne recueillerons pas pleinement ces formidables avancées technologiques si elles » sont monopolisées par quelques-uns pour accumuler des profits.

Automatisation et IA : une opportunité, si…

Pour Corbyn, le partage des bénéfices tirés d’une « gestion publique » des avantages de l’automatisation pourrait être la « passerelle vers un nouvel équilibre entre le travail et les loisirs. Un tremplin pour plus de créativité et de culture. »

Si le progrès technologique a toujours entraîné des destructions d’emplois, il aurait cependant eu pour effet d’en créer davantage. Mais pour experts et universitaires, la montée en puissance de l’intelligence artificielle pourrait produire des résultats différents. D’abord en automatisant potentiellement des emplois de la classe moyenne considérés sûrs, tout en contribuant peu à la création de nombreux nouveaux emplois.

Cependant, un obstacle au projet de Corbyn se pose : il serait extrêmement difficile d’isoler les bénéfices résultant uniquement de l’automatisation et de la robotique afin de les taxer, même si cela permettait une redistribution plus équitable. Mais l’élu travailliste a également déclaré que la reconversion et la formation devaient être une priorité pour le gouvernement.

« La marée de l’automatisation et des changements technologiques signifie que la formation et la gestion de la main-d’œuvre doivent être au premier plan durant les prochaines années. »

Ses déclarations font écho aux résultats d’un rapport du Congrès des syndicats (TUC) du Royaume-Uni publié au début de ce mois-ci. Selon le document, les gains de productivité découlant de la technologie tendent à profiter aux propriétaires d’entreprise sous forme de profits et ne sont pas partagés avec les travailleurs au travers de meilleurs salaires et conditions de travail.

Le Congrès souhaite que la vague imminente de gains de productivité permise par l’IA soit traitée différemment des profonds changements industriels des années 70 et 80, qui ont abouti à des traumatismes pour des communautés et offert peu de perspectives.

La formation plus que jamais essentielle

Le TUC juge nécessaire que plus de mesures soient prises pour limiter les perturbations dans la vie des travailleurs par les gains probables de productivité générés par l’AI et la robotique au cours des prochaines décennies. Les syndicats appellent à maximiser les possibilités pour les travailleurs de bénéficier des avantages de ces évolutions.

Les gains de revenus permis par un accroissement de la productivité pourraient justifier la fin des reports programmés de départ à la retraite, suggère-t-il ainsi, tout en appelant à un droit  à un « bilan à mi-carrière » et à de nouveaux investissements dans la formation sur le lieu de travail.

« Les révolutions technologiques antérieures n’ont pas réduit le nombre d’emplois. Mais elles se sont accompagnées d’une réduction du nombre total d’heures travaillées. Un avantage potentiel du changement technologique qui devrait être adopté est sa capacité à améliorer la qualité de vie professionnelle » considère le rapport.

Les effets de l’IA et de la robotique sur les emplois sont complexes à évaluer : certaines estimations suggèrent que jusqu’à un tiers des emplois pourraient être automatisés; mais il est probable que de nouveaux emplois seront également créés.

Si certains travailleurs pourraient voir leur productivité et leurs salaires s’améliorer grâce à l’IA et à l’automatisation, d’autres dont les niveaux de compétences sont « inférieurs » verraient en revanche leur emploi changer ou disparaître. Une concurrence accrue pour les emplois restants pourrait en outre encore réduire les salaires.

Article traduit et adapté par Christophe Auffray, ZDNet.fr


ZDNet vous accompagne

6 grands mythes autour de l’Intelligence Artificielle

Source : http://www.zdnet.fr/actualites/l-idee-de-taxation-des-robots-fait-son-chemin-39857938.htm#xtor=RSS-1