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NEW YORK et WALLDORF – Accenture (NYSE : ACN) et SAP SE (NYSE : SAP) étendent leur partenariat de plusieurs décennies pour aider les entreprises à intégrer le développement durable à l’ensemble de leurs activités, de la stratégie à l’exécution, afin de dégager une nouvelle valeur au sein de leurs entreprises et de leurs chaînes de valeur et d’approvisionnement.

En associant la technologie SAP aux services de développement durable d’Accenture et à leur vaste connaissance du secteur, les partenaires élargissent leur alliance afin de créer conjointement de nouvelles solutions qui permettront aux entreprises d’accélérer la dé-carbonisation complète de leurs chaînes d’approvisionnement et d’obtenir leur part des 4 500 milliards de dollars de croissance économique que l’économie circulaire pourrait générer*.

Grâce à ce partenariat étendu, Accenture et SAP prévoient de co-innover et de co-développer la nouvelle solution de SAP pour la production et la conception responsables, qui comprend des fonctionnalités aidant les entreprises à intégrer des mesures de durabilité dans leurs chaînes de valeur et d’approvisionnement, en mettant l’accent sur la conception et la fabrication des produits. Grâce à des données intégrées provenant de l’ensemble des opérations, les entreprises peuvent mieux concevoir et fabriquer des produits produisant moins de déchets, plus recyclables et contenant davantage de matières recyclées. Cela contribuera également à réduire le coût croissant de la conformité induit par les nouvelles réglementations en matière d’emballage et de responsabilité élargie des producteurs (REP).

« Notre collaboration permettra aux clients de SAP, qui comprennent 92% des Forbes Global 2000, d’utiliser leurs systèmes centraux pour les aider à mener leur programme de développement durable, à optimiser leurs performances ESG et à atteindre leurs objectifs », a déclaré Julie Sweet, chief executive officer d’Accenture. « Cette collaboration élargie s’appuie sur notre longue histoire avec SAP – notamment notre partenariat conjoint avec le Pacte mondial des Nations unies et 3M – et sur notre engagement commun à favoriser la réalisation des objectifs de développement durable. »

Accenture soutient également l’initiative Climate 21 de SAP, qui permet aux entreprises de tout secteur d’activité d’utiliser des outils d’analyse pour mesurer et minimiser les émissions de dioxyde de carbone (CO2) et réduire l’empreinte carbone tout au long du cycle de vie des produits. Par exemple, les recherches montrent que les émissions des fournisseurs en amont sont en moyenne plus de cinq fois supérieures à celles des opérations directes**. Grâce à l’ajout de mesures de durabilité dans l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement de bout en bout, les entreprises disposent d’une vision intégrée des économies environnementales et de l’impact des coûts et peuvent plus facilement optimiser leurs opérations.

« Pour réussir à lutter contre la plus grande menace qui pèse sur notre monde aujourd’hui, nous devons collaborer à tous les niveaux de l’entreprise et de la société « , a déclaré Christian Klein, chief executive officer de SAP. « En s’appuyant sur notre partenariat de longue date et de confiance, SAP et Accenture unissent leurs forces pour aider nos clients à réaliser une croissance à long terme de manière durable. Nous apportons une visibilité sur l’impact environnemental de l’ensemble de la chaîne de valeur, en fournissant aux entreprises les informations dont elles ont besoin pour prendre les bonnes mesures et accélérer leur transition vers l’économie circulaire. »

Le mois dernier, SAP et Accenture ont donné le coup d’envoi d’un programme d’accélération mondial axé sur le développement durable au sein de SAP.iO Foundries. Le programme Sustainable Future, la plus grande cohorte de SAP.iO à ce jour, vise à aider les startups B2B en phase de démarrage à favoriser la transformation numérique et l’innovation dans quatre domaines cibles : le suivi et le commerce du carbone, l’efficacité des ressources, le suivi et l’atténuation des risques climatiques et l’économie circulaire. Treize startups ont été sélectionnées pour travailler avec SAP.iO Foundries Berlin et Munich, en tandem avec des experts d’Accenture et des entreprises leaders dans divers secteurs.

« La mise en œuvre de la gestion durable de la chaîne d’approvisionnement et des principes de l’économie circulaire est une tâche incroyablement difficile pour les entreprises, compte tenu de la diversité des questions ESG et des multiples parties prenantes concernées », a déclaré Bjoern Stengel,  senior research analyst, Worldwide Business Consulting and ESG Business Services chez IDC. « Selon les recherches d’IDC, les questions relatives au processus de création de valeur des entreprises (conception et gestion du cycle de vie des produits, approvisionnement en matières premières, etc.) sont les sujets d’ESG qui généreront le plus de demande à court terme. Cette nouvelle offre d’Accenture et de SAP permet aux clients de générer des informations critiques, fondées sur des données, de bout en bout, qui prennent en compte les paramètres non financiers nécessaires pour construire des chaînes d’approvisionnement durables et aider les entreprises à créer une valeur partagée. »

Cette collaboration est la dernière d’une série d’initiatives d’Accenture et de SAP qui aident les entreprises à tirer de la valeur du développement durable. Le Pacte mondial des Nations unies, avec le soutien d’Accenture et de SAP SE, en faveur des objectifs de développement durable (ODD), a lancé SDG Ambition en janvier 2020 et a publié les guides SDG Ambition et Integration en septembre 2020. Ensemble, grâce au SDG Ambition Accelerator qui a débuté en février 2021, plus de 600 entreprises dans 65 pays sont en train de monter en compétences pour appliquer ces outils à leurs activités.

À propos d’Accenture

Accenture est un des leaders mondiaux des services aux entreprises et administrations, avec une expertise de pointe dans les domaines du numérique, du cloud et de la sécurité. Combinant une expérience unique et une expertise spécialisée dans plus de 40 secteurs d’activité, Accenture s’appuie sur le plus grand réseau international de centres de technologie avancée et d’opérations intelligentes pour offrir à ses clients des services Strategy & Consulting, Interactive, Technology et Operations. Avec 537 000 employés, Accenture s’engage chaque jour auprès de ses clients dans plus de 120 pays, à réaliser la promesse de la technologie alliée à l’ingéniosité humaine. Accenture s’appuie sur le changement pour générer de la valeur et créer une réussite partagée avec ses clients, ses collaborateurs, ses actionnaires, ses partenaires et ses communautés.
Site Internet : www.accenture.com/fr

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

Contacts presse SAP
Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Pauline Barriere : 06.13.73.93.11 – presse-sap@publicisconsultants.com
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Source de l’article sur sap.com

This week, in a move like something from a particularly eventful episode of The Office, popular project management app company Basecamp banned political and societal discussion in the company’s internal communications.

In a post that has been revised for “clarification,” the company’s co-founder Jason Fried listed six rules for employees: No societal or political discussions at work; No more ‘paternalistic’ benefits; No more committees; No more lingering on past decisions; No more 360 reviews; No forgetting what we do here.

A follow-up post from Heinemeier Hansson notes that Basecamp will still permit discussion of issues deemed central to its business like anti-trust and privacy; certain civil liberties are to be championed, while others, like racism and climate change, are not.

On the surface, it seems reasonable, Fried and co-founder David Heinemeier Hansson would like you to believe that it is. After all, people are paid to work, not soapbox, right?

So why, if they’re the ones being protected, are Basecamp’s employees angry about the move?

It turns out, multiple sources from inside Basecamp are reporting that the ‘political’ and ‘societal’ issues referred to in Fried’s public memo were, in fact, frank and open conversations about Basecamp itself.

As reported by The Verge, way back in 2009, a list of ‘funny’ customer names began circulating at the company — hardly respectful, potentially racist, and certainly inappropriate. The misalignment between co-founders and staff occurred when staff members attempted to hold discrete conversations about this and numerous other diversity and inclusivity failings at the company. Fried’s move appears to be a direct attempt to halt criticism of the status quo at Basecamp.

Basecamp itself is a highly political organization: The co-founders have written several books advocating certain societal change; they even provided a campaign headquarters and substantial donation for a candidate for Chicago mayor. Both co-founders are highly active on social media, using their business positions to elevate their personal views.

The truth is that the solo entrepreneur is an almost mythical beast. Successful startups require contributions from a range of skills and experience beyond any one individual. Jason Fried may be the frontman, strutting up and down the stage in spandex pants, with David Heinemeier Hansson playing lead guitar with his teeth, but behind them, there’s a drummer keeping time, and behind them all, there’s a crew of roadies without whom none of the equipment will arrive, let alone sound good.

Basecamp’s founders argue that the company has a mission, and that mission is to create apps that streamline the workplace. But how can you develop a product that is inclusive if staff cannot discuss what inclusive means? The answer is, you can’t.

Discussing racial bias in advertising or the impact of company wastage, climate change, or gender pay gaps in HR meetings are all political and societal and lead to a healthier, more united company.

As designers, we often say that you cannot not communicate; every decision is a design decision; there is no such thing as “adesign.” Likewise, choosing to be apolitical is itself a political choice. The only way it is feasible to run a company like this is to treat employees like robots (in the word’s original sense).

If employees feel the need to discuss exclusionary policies in the workplace, do the company founders, who benefit from those policies (or they would not be in place), have a moral or legal right to restrict those discussions?

Although it is the first point in Fried’s list that has drawn most ire, it is the fourth item on the list that is most telling: “No more lingering or dwelling on past decisions.” Like a parent answering, “Because I said so,” Fried’s attitude to his staff is laid bare in one statement.

It turns out two wealthy white men would rather their employees not try to change the world or even their workplace.

When Coinbase announced a similar move last year, it lost 5% of its staff. If Basecamp suffered the same loss, it would amount to three people. Hardly a disaster. The question for the founders — who, judging by the number of follow-ups and clarifications they’ve published, are aware the ice they’re on is perilously thin — is whether this kind of controversy creates irreparable reputational damage.

 

Featured image via Pexels.

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

Critical system-of-record data must be compartmentalized and accessed by the right people and applications, at the right time.

Since the turn of the millennium, the art of cryptography has continuously evolved to meet the data security and privacy needs of doing business at Internet speed, by taking advantage of the ready processing horsepower of mainframe platforms for data encryption and decryption workloads.

Source de l’article sur DZONE

Gartner predicts that by 2023, over 50% of medium to large enterprises will have adopted a Low-code/No-code application as part of their platform development.
The proliferation of Low-code/No-code tooling can be partially attributed to the COVID-19 pandemic, which has put pressure on businesses around the world to rapidly implement digital solutions. However, adoption of these tools — while indeed accelerated by the pandemic — would have occurred either way.
Even before the pandemic, the largest, richest companies had already formed an oligopsony around the best tech talent and most advanced development tools. Low-Code/No-code, therefore, is an attractive solution for small and mid-sized organizations to level the playing field, and it does so by giving these smaller players the power to do more with their existing resources.
While these benefits are often realized in the short term, the long-term effect of these tools is often shockingly different. The promise of faster and cheaper delivery is the catch — or lure — inside this organizational mousetrap, whereas backlogs, vendor contracts, technical debts, and constant updates are the hammer.
So, what exactly is the No-Code trap, and how can we avoid it?

What is a No-Code Tool?

First, let’s make sure we clear up any confusion regarding naming. So far I have referred Low-Code and No-Code as if they were one term. It’s certainly easy to confuse them — even large analyst firms seem to have a hard time differentiating between the two — and in the broader context of this article, both can lead to the same set of development pitfalls.
Under the magnifying glass, however, there are lots of small details and capabilities that differentiate Low-code and No-code solutions. Most of them aren’t apparent at the UI level, leading to much of the confusion between where the two come from.
In this section, I will spend a little bit of time exploring the important differences between those two, but only to show that when it comes to the central premise of this article they are virtually equivalent.

Low-Code vs. No-Code Tools

The goal behind Low-Code is to minimize the amount of coding necessary for complex tasks through a visual interface (such as Drag ‘N’ Drop) that integrates existing blocks of code into a workflow.
Skilled professionals have the potential to work smarter and faster with Low-Code tools because repetitive coding or duplicating work is streamlined. Through this, they can spend less time on the 80% of work that builds the foundation and focuses more on optimizing the 20% that makes it different. It, therefore, takes on the role of an entry-level employee doing the grunt work for more senior developers/engineers.
No-Code has a very similar look and feel to Low-Code, but is different in one very important dimension. Where Low-Code is meant to optimize the productivity of developers or engineers that already know how to code (even if just a little), No-Code is built for business and product managers that may not know any actual programming languages. It is meant to equip non-technical workers with the tools they need to create applications without formal development training.
No-Code applications need to be self-contained and everything the No-Code vendor thinks the user may need is already built into the tool.
As a result, No-Code applications create a lot of restrictions for the long-term in exchange for quick results in the short-term. This is a great example of a ‘deliberate-prudent’ scenario in the context of the Technical Debt Quadrant, but more on this later.

Advantages of No-Code Solutions

The appeal of both Low-Code and No-Code is pretty obvious. By removing code organizations can remove those that write it — developers — because they are expensive, in short supply, and fundamentally don’t produce things quickly.
The benefits of these two forms of applications in their best forms can be pretty substantial:
  • Resources: Human Capital is becoming increasingly scarce — and therefore expensive. This can stop a lot of ambitious projects dead in their tracks. Low-Code and No-Code tools minimize the amount of specialized technical skills needed to get an application of the ground, which means things can get done more quickly and at a lower cost.
  • Low Risk/High ROISecurity processes, data integrations, and cross-platform support are all built into Low-Code and No-Code tools, meaning less risk and more time to focus on your business goals.
  • Moving to Production: Similarly, for both types of tools a single click is all it takes to send or deploy a model or application you built to production.
Looking at these advantages, it is no wonder that both Low-Code and No-Code have been taking industries by storm recently. While being distinctly different in terms of users, they serve the same goal — that is to say, faster, safer and cheaper deployment. Given these similarities, both terms will be grouped together under the ‘No-Code’ term for the rest of this article unless otherwise specified.

List of No-Code Data Tools

So far, we have covered the applications of No-Code in a very general way, but for the rest of this article, I would like to focus on data modeling. No-Code tools are prevalent in software development, but have also, in particular, started to take hold in this space, and some applications even claim to be an alternative to SQL and other querying languages (crazy, right?!). My reasons for focusing on this are two-fold: 
Firstly, there is a lot of existing analysis around this problem for software development and very little for data modeling. Secondly, this is also the area in which I have the most expertise.
Now let’s take a look at some of the vendors that provide No-Code solutions in this space. These in no way constitute a complete list and are, for the most part, not exclusively built for data modeling. 

1. No-Code Data Modeling in Power BI

Power BI was created by Microsoft and aims to provide interactive visualizations and business intelligence capabilities to all types of business users. Their simple interface is meant to allow end-users to create their own reports and dashboards through a number of features, including data mapping, transformation, and visualization through dashboards. Power BI does support some R coding capabilities for visualization, but when it comes to data modeling, it is a true No-Code tool.

2. Alteryx as a Low-Code Alternative

Alteryx is meant to make advanced analytics accessible to any data worker. To achieve this, it offers several data analytics solutions. Alteryx specializes in self-service analytics with an intuitive UI. Their offerings can be used as Extract, Transform, Load (ETL) Tools within their own framework. Alteryx allows data workers to organize their data pipelines through their custom features and SQL code blocks. As such, they are easily identified as a Low-Code solution.

3. Is Tableau a No-Code Data Modeling Solution?

Tableau is a visual analytics platform and a direct competitor to Power BI. They were recently acquired by Salesforce which is now hoping to ‘transform the way we use data to solve problems—empowering people and organizations to make the most of their data.’ It is also a pretty obvious No-Code platform that is supposed to appeal to all types of end-users. As of now, it offers fewer tools for data modeling than Power BI, but that is likely to change in the future.

4. Looker is a No-Code Alternative to SQL

Looker is a business intelligence software and big data analytics platform that promises to help you explore, analyze, and share real-time business analytics easily. Very much in line with Tableau and Power BI, it aims to make non-technical end-users proficient in a variety of data tasks such as transformation, modeling, and visualization.

You might be wondering why I am including so many BI/Visualization platforms when talking about potential alternatives to SQL. After all, these tools are only set up to address an organization’s reporting needs, which constitute only one of the use cases for data queries and SQL. This is certainly a valid point, so allow me to clarify my reasoning a bit more.

While it is true that reporting is only one of many potential uses for SQL, it is nevertheless an extremely important one. There is a good reason why there are so many No-Code BI tools in the market—to address heightening demand from enterprises around the world — and therefore, it is worth taking a closer look at their almost inevitable shortcomings.

Source de l’article sur DZONE

Un data warehouse (entrepôt de données) est un système de stockage numérique qui connecte et harmonise de grandes quantités de données provenant de nombreuses sources différentes. Il a pour but d’alimenter la Business Intelligence (BI), le reporting et l’analyse, ainsi que soutenir la conformité aux exigences réglementaires afin que les entreprises puissent exploiter leurs données et prendre des décisions intelligentes fondées sur les données. Les data warehouse stockent les données actuelles et historiques dans un seul et même endroit et constituent ainsi une source unique de vérité pour une organisation.

Les données sont envoyées vers un data warehouse à partir de systèmes opérationnels (tels qu’un système ERP ou CRM), de bases de données et de sources externes comme les systèmes partenaires, les appareils IoT, les applications météo ou les réseaux sociaux, généralement de manière régulière. L’émergence du cloud computing a changé la donne. Ces dernières années, le stockage des données a été déplacé de l’infrastructure sur site traditionnelle vers de multiples emplacements, y compris sur site, dans le Cloud privé et dans le Cloud public.

Les data warehouse modernes sont conçus pour gérer à la fois les données structurées et les données non structurées, comme les vidéos, les fichiers image et les données de capteurs. Certains utilisent les outils analytiques intégrés et la technologie de base de données in-memory (qui conserve l’ensemble de données dans la mémoire de l’ordinateur plutôt que dans l’espace disque) pour fournir un accès en temps réel à des données fiables et favoriser une prise de décision en toute confiance. Sans entreposage de données, il est très difficile de combiner des données provenant de sources hétérogènes, de s’assurer qu’elles sont au bon format pour les analyses et d’obtenir une vue des données sur le court terme et sur le long terme.

Schéma qui montre ce qu'est un data warehouse


Avantages de l’entreposage de données

Un data warehouse bien conçu constitue la base de tout programme de BI ou d’analyse réussi. Son principal objectif est d’alimenter les rapports, les tableaux de bord et les outils analytiques devenus indispensables aux entreprises d’aujourd’hui. Un entrepôt de données fournit les informations dont vous avez besoin pour prendre des décisions basées sur les données et vous aide à faire les bons choix, que ce soit pour le développement de nouveaux produits ou la gestion des niveaux de stock. Un data warehouse présente de nombreux avantages. En voici quelques-uns :

  • Un meilleur reporting analytique : grâce à l’entreposage de données, les décideurs ont accès à des données provenant de plusieurs sources et n’ont plus besoin de prendre des décisions basées sur des informations incomplètes.
  • Des requêtes plus rapides : les data warehouse sont spécialement conçus pour permettre l’extraction et l’analyse rapides des données. Avec un entrepôt de données, vous pouvez très rapidement demander de grandes quantités de données consolidées avec peu ou pas d’aide du service informatique.
  • Une amélioration de la qualité des données : avant de charger les données dans l’entrepôt de données le système met en place des nettoyages de données afin de garantir que les données sont converties dans un seul et même format dans le but de faciliter les analyses (et les décisions), qui reposent alors sur des données précises et de haute qualité.
  • Une visibilité sur les données historiques : en stockant de nombreuses données historiques, un data warehouse permet aux décideurs d’analyser les tendances et les défis passés, de faire des prévisions et d’améliorer l’organisation au quotidien.

Capture d'écran de la solution SAP Data Warehouse Cloud


Que peut stocker un data warehouse ?

Lorsque les data warehouse sont devenus populaires à la fin des années 1980, ils étaient conçus pour stocker des informations sur les personnes, les produits et les transactions. Ces données, appelées données structurées, étaient bien organisées et mises en forme pour en favoriser l’accès. Cependant, les entreprises ont rapidement voulu stocker, récupérer et analyser des données non structurées, comme des documents, des images, des vidéos, des e-mails, des publications sur les réseaux sociaux et des données brutes issues de capteurs.

Un entrepôt de données moderne peut contenir des données structurées et des données non structurées. En fusionnant ces types de données et en éliminant les silos qui les séparent, les entreprises peuvent obtenir une vue complète et globale sur les informations les plus précieuses.


Termes clés

Il est essentiel de bien comprendre un certain nombre de termes en lien avec les data warehouse. Les plus importants ont été définis ci-dessous. Découvrez d’autres termes et notre FAQ dans notre glossaire.

Data warehouse et base de données

Les bases de données et les data warehouse sont tous deux des systèmes de stockage de données, mais diffèrent de par leurs objectifs. Une base de données stocke généralement des données relatives à un domaine d’activité particulier. Un entrepôt de données stocke les données actuelles et historiques de l’ensemble de l’entreprise et alimente la BI et les outils analytiques. Les data warehouse utilisent un serveur de base de données pour extraire les données présentes dans les bases de données d’une organisation et disposent de fonctionnalités supplémentaires pour la modélisation des données, la gestion du cycle de vie des données, l’intégration des sources de données, etc.

Data warehouse et lac de données

Les data warehouse et les lacs de données sont utilisés pour stocker le Big Data, mais sont des systèmes de stockage très différents. Un data warehouse stocke des données qui ont été formatées dans un but spécifique, tandis qu’un lac de données stocke les données dans leur état brut, non traité, dont l’objectif n’a pas encore été défini. Les entrepôts de données et les lacs de données se complètent souvent. Par exemple, lorsque des données brutes stockées dans un lac s’avèrent utiles pour répondre à une question, elles peuvent être extraites, nettoyées, transformées et utilisées dans un data warehouse à des fins d’analyse. Le volume de données, les performances de la base de données et les coûts du stockage jouent un rôle important dans le choix de la solution de stockage adaptée.

Diagramme qui montre la différence entre un data warehouse et un lac de données

Data warehouse et datamart

Un datamart est une sous-section d’un data warehouse, partitionné spécifiquement pour un service ou un secteur d’activité, comme les ventes, le marketing ou la finance. Certains datamarts sont également créés à des fins opérationnelles autonomes. Alors qu’un data warehouse sert de magasin de données central pour l’ensemble de l’entreprise, un datamart utilise des données pertinentes à un groupe d’utilisateurs désigné. Ces utilisateurs peuvent alors accéder plus facilement aux données, accélérer leurs analyses et contrôler leurs propres données. Plusieurs datamarts sont souvent déployés dans un data warehouse.

Diagramme d'un data mart et de son fonctionnement


Quels sont les composants clés d’un data warehouse ?

Un data warehouse classique comporte quatre composants principaux : une base de données centrale, des outils ETL (extraction, transformation, chargement), des métadonnées et des outils d’accès. Tous ces composants sont conçus pour être rapides afin de vous assurer d’obtenir rapidement des résultats et vous permettre d’analyser les données à la volée.

Diagramme montrant les composants d'un data warehouse

  1. Base de données centrale : une base de données sert de fondement à votre data warehouse. Depuis le départ, on utilisait essentiellement des bases de données relationnelles standard exécutées sur site ou dans le Cloud. Mais en raison du Big Data, du besoin d’une véritable performance en temps réel et d’une réduction drastique des coûts de la RAM, les bases de données in-memory sont en train de monter en puissance.
  2. Intégration des données : les données sont extraites des systèmes source et modifiées pour aligner les informations afin qu’elles puissent être rapidement utilisées à des fins analytiques à l’aide de différentes approches d’intégration des données telles que l’ETL (extraction, transformation, chargement) et les services de réplication de données en temps réel, de traitement en masse, de transformation des données et de qualité et d’enrichissement des données.
  3. Métadonnées : les métadonnées sont des données relatives à vos données. Elles indiquent la source, l’utilisation, les valeurs et d’autres fonctionnalités des ensembles de données présents dans votre data warehouse. Il existe des métadonnées de gestion, qui ajoutent du contexte à vos données, et des métadonnées techniques, qui décrivent comment accéder aux données, définissent leur emplacement ainsi que leur structure.
  4. Outils d’accès du data warehouse : les outils d’accès permettent aux utilisateurs d’interagir avec les données de votre data warehouse. Exemples d’outils d’accès : outils de requête et de reporting, outils de développement d’applications, outils d’exploration de données et outils OLAP.

Architecture de data warehouse 

Auparavant, les data warehouse fonctionnaient par couches, lesquelles correspondaient au flux des données de gestion.

Diagramme de l'architecture d'un data warehouse

Couche de données

Les données sont extraites de vos sources, puis transformées et chargées dans le niveau inférieur à l’aide des outils ETL. Le niveau inférieur comprend votre serveur de base de données, les datamarts et les lacs de données. Les métadonnées sont créées à ce niveau et les outils d’intégration des données, tels que la virtualisation des données, sont utilisés pour combiner et agréger les données en toute transparence.

Couche sémantique

Au niveau intermédiaire, les serveurs OLAP (Online Analytical Processing) et OLTP (Online Transaction Processing) restructurent les données pour favoriser des requêtes et des analyses rapides et complexes.

Couche analytique

Le niveau supérieur est la couche du client frontend. Il contient les outils d’accès du data warehouse qui permettent aux utilisateurs d’interagir avec les données, de créer des tableaux de bord et des rapports, de suivre les KPI, d’explorer et d’analyser les données, de créer des applications, etc. Ce niveau inclut souvent un workbench  ou une zone de test pour l’exploration des données et le développement de nouveaux modèles de données.

Un data warehouse standard comprend les trois couches définies ci-dessus. Aujourd’hui, les entrepôts de données modernes combinent OLTP et OLAP dans un seul système.

Les data warehouse, conçus pour faciliter la prise de décision, ont été essentiellement créés et gérés par les équipes informatiques. Néanmoins, ces dernières années, ils ont évolué pour renforcer l’autonomie des utilisateurs fonctionnels, réduisant ainsi leur dépendance aux équipes informatiques pour accéder aux données et obtenir des informations exploitables. Parmi les fonctionnalités clés d’entreposage de données qui ont permis de renforcer l’autonomie des utilisateurs fonctionnels, on retrouve les suivantes :

  1. La couche sémantique ou de gestion fournit des expressions en langage naturel et permet à tout le monde de comprendre instantanément les données, de définir des relations entre les éléments dans le modèle de données et d’enrichir les zones de données avec de nouvelles informations.
  2. Les espaces de travail virtuels permettent aux équipes de regrouper les connexions et modèles de données dans un lieu sécurisé et géré, afin de mieux collaborer au sein d’un espace commun, avec un ensemble de données commun.
  3. Le Cloud a encore amélioré la prise de décision en permettant aux employés de disposer d’un large éventail d’outils et de fonctionnalités pour effectuer facilement des tâches d’analyse des données. Ils peuvent connecter de nouvelles applications et de nouvelles sources de données sans avoir besoin de faire appel aux équipes informatiques.

 

The Future of Analytics Has Arrived

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The Future of Analytics Has Arrived

Kate Wright, responsable de la Business Intelligence augmentée chez SAP, évoque la valeur d’un data warehouse Cloud moderne.


Les 7 principaux avantages d’un data warehouse Cloud  

Les data warehouse Cloud gagnent en popularité, à juste titre. Ces entrepôts modernes offrent plusieurs avantages par rapport aux versions sur site traditionnelles. Voici les sept principaux avantages d’un data warehouse Cloud :

  1. Déploiement rapide : grâce à l’entreposage de données Cloud, vous pouvez acquérir une puissance de calcul et un stockage de données presque illimités en quelques clics seulement, et créer votre propre data warehouse, datamarts et systèmes de test en quelques minutes.
  2. Faible coût total de possession (TCO) : les modèles de tarification du data warehouse en tant que service (DWaaS) sont établis de sorte que vous payez uniquement les ressources dont vous avez besoin, lorsque vous en avez besoin. Vous n’avez pas besoin de prévoir vos besoins à long terme ou de payer pour d’autres traitements tout au long de l’année. Vous pouvez également éviter les coûts initiaux tels que le matériel coûteux, les salles de serveurs et le personnel de maintenance. Séparer les coûts du stockage des coûts informatiques vous permet également de réduire les dépenses.
  3. Élasticité : un data warehouse Cloud vous permet d’ajuster vos capacités à la hausse ou à la baisse selon vos besoins. Le Cloud offre un environnement virtualisé et hautement distribué capable de gérer d’immenses volumes de données qui peuvent diminuer ou augmenter.
  4. Sécurité et restauration après sinistre : dans de nombreux cas, les data warehouse Cloud apportent une sécurité des données et un chiffrage plus forts que les entrepôts sur site. Les données sont également automatiquement dupliquées et sauvegardées, ce qui vous permet de minimiser le risque de perte de données.
  5. Technologies en temps réel : les data warehouse Cloud basés sur la technologie de base de données in-memory présentent des vitesses de traitement des données extrêmement rapides, offrant ainsi des données en temps réel et une connaissance instantanée de la situation.
  6. Nouvelles technologies : les data warehouse Cloud vous permettent d’intégrer facilement de nouvelles technologies telles que l’apprentissage automatique, qui peuvent fournir une expérience guidée aux utilisateurs fonctionnels et une aide décisionnelle sous la forme de suggestions de questions à poser, par exemple.
  7. Plus grande autonomie des utilisateurs fonctionnels : les data warehouse Cloud offrent aux employés, de manière globale et uniforme, une vue unique sur les données issues de nombreuses sources et un vaste ensemble d’outils et de fonctionnalités pour effectuer facilement des tâches d’analyse des données. Ils peuvent connecter de nouvelles applications et de nouvelles sources de données sans avoir besoin de faire appel aux équipes informatiques.
Capture d'écran de la solution SAP Data Warehouse Cloud
L’entreposage de données prend en charge l’analyse complète des dépenses de l’entreprise par service, fournisseur, région et statut, pour n’en citer que quelques-unes.

Meilleures pratiques concernant l’entreposage des données

Pour atteindre vos objectifs et économiser du temps et de l’argent, il est recommandé de suivre certaines étapes éprouvées lors de la création d’un data warehouse ou l’ajout de nouvelles applications à un entrepôt existant. Certaines sont axées sur votre activité tandis que d’autres s’inscrivent dans le cadre de votre programme informatique global. Vous pouvez commencer avec la liste de meilleures pratiques ci-dessous, mais vous en découvrirez d’autres au fil de vos collaborations avec vos partenaires technologiques et de services.

Meilleures pratiques métier

Meilleures pratiques informatiques

Définir les informations dont vous avez besoin. Une fois que vous aurez cerné vos besoins initiaux, vous serez en mesure de trouver les sources de données qui vous aideront à les combler. La plupart du temps, les groupes commerciaux, les clients et les fournisseurs auront des recommandations à vous faire. 

Surveiller la performance et la sécurité. Les informations de votre data warehouse sont certes précieuses, mais elles doivent quand même être facilement accessibles pour apporter de la valeur à l’entreprise. Surveillez attentivement l’utilisation du système pour vous assurer que les niveaux de performance sont élevés. 

Documenter l’emplacement, la structure et la qualité de vos données actuelles. Vous pouvez ensuite identifier les lacunes en matière de données et les règles de gestion pour transformer les données afin de répondre aux exigences de votre entrepôt.

Gérer les normes de qualité des données, les métadonnées, la structure et la gouvernance. De nouvelles sources de données précieuses sont régulièrement disponibles, mais nécessitent une gestion cohérente au sein d’un data warehouse. Suivez les procédures de nettoyage des données, de définition des métadonnées et de respect des normes de gouvernance.

Former une équipe. Cette équipe doit comprendre les dirigeants, les responsables et le personnel qui utiliseront et fourniront les informations. Par exemple, identifiez le reporting standard et les KPI dont ils ont besoin pour effectuer leurs tâches.

Fournir une architecture agile. Plus vos unités d’affaires et d’entreprise utiliseront les données, plus vos besoins en matière de datamarts et d’entrepôts augmenteront. Une plate-forme flexible s’avérera bien plus utile qu’un produit limité et restrictif. 

Hiérarchiser vos applications de data warehouse. Sélectionnez un ou deux projets pilotes présentant des exigences raisonnables et une bonne valeur commerciale.

Automatiser les processus tels que la maintenance. Outre la valeur ajoutée apportée à la Business Intelligence, l’apprentissage automatique peut automatiser les fonctions de gestion technique du data warehouse pour maintenir la vitesse et réduire les coûts d’exploitation.

Choisir un partenaire technologique compétent pour l’entrepôt de données. Ce dernier doit offrir les services d’implémentation et l’expérience dont vous avez besoin pour la réalisation de vos projets. Assurez-vous qu’il puisse répondre à vos besoins en déploiement, y compris les services Cloud et les options sur site. 

Utiliser le Cloud de manière stratégique. Les unités d’affaires et les services ont des besoins en déploiement différents. Utilisez des systèmes sur site si nécessaire et misez sur des data warehouse Cloud pour bénéficier d’une évolutivité, d’une réduction des coûts et d’un accès sur téléphone et tablette.  

Développer un bon plan de projet. Travaillez avec votre équipe sur un plan et un calendrier réalistes qui rendent possible les communications et le reporting de statut.


En résumé 

Les data warehouse modernes, et, de plus en plus, les data warehouse Cloud, constitueront un élément clé de toute initiative de transformation numérique pour les entreprises mères et leurs unités d’affaires. Les data warehouse exploitent les systèmes de gestion actuels, en particulier lorsque vous combinez des données issues de plusieurs systèmes internes avec de nouvelles informations importantes provenant d’organisations externes.

Les tableaux de bord, les indicateurs de performance clés, les alertes et le reporting répondent aux exigences des cadres dirigeants, de la direction et du personnel, ainsi qu’aux besoins des clients et des fournisseurs importants. Les data warehouse fournissent également des outils d’exploration et d’analyse de données rapides et complexes, et n’ont pas d’impact sur les performances des autres systèmes de gestion.


Pictogramme qui représente un entrepôt de données

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Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com


Introduction

In today’s world of fast-developing technology, people want access to data instantly. Waiting for a web page to load or an image to upload is no more an option. An application not designed aptly and flexible to handle increased workload and users—everything will be simply left in the dust.

Scalability is all about handling growth. A scalable web business should be able to efficiently and seamlessly adapt to the growth, handle an increase in load and users, without disturbing the end-users. A web application and website that is designed for scale will grow with the growing needs of the company. That’s why it is important to design a web business by keeping scalability in mind.

Source de l’article sur DZONE

At the dawn of the web-era, there was much focus on how environmentally friendly websites were: we’d chop down fewer trees, ship fewer products, and travel less for business.

And because the web was small, any negative impact it had was relatively small. But the Internet’s no longer small, and neither is the impact it has on the environment. The average website uses 211,000g of CO2 per year, watching a video online outputs an estimated 0.2g of CO2 per second, and a single email can cost 50g of CO2.

In the next four years, the tech industry as a whole may use up to 20% of the world’s electricity and be responsible for 5.5% of global CO2 emissions.

The good news is that because websites are viewed many times, even small improvements can multiply into real change.

1. Reduce Energy Consumption

Through electricity use, the Internet generates around the same CO2 as most major countries. That carbon comes from two sources: the devices we use to access the Internet and the servers that host our data.

Computers heat up, and when they heat up, they slow down. Servers are especially vulnerable and use extraordinary amounts of energy to keep cool and functional, which is why Microsoft keeps throwing servers into the sea.

Make It Faster

The faster your site, the less data is used to serve it, and the less carbon it’s outputting; it’s that simple.

Reduce the Number of Resources Used

Everything you load on your site has an impact. You might think that a tiny PNG is too small to really impact your carbon footprint, but over thousands of page loads, its impact is multiplied. Anything you can do to reduce the number of actual files requested will reduce your carbon output. You can use sites like Ecograder to estimate your own site’s CO2 output.

Optimize Images

If there’s one thing you can do to reduce the size of your site, the amount of data that needs to be sent over the Internet to serve your site, and the resulting speed, it’s optimizing your images.

Nothing reduces a site’s footprint like optimizing images. It’s easy and free to reduce the size of JPGs and PNGs with a service like TinyPNG. Offer WebP to any browser that will accept them; it will boost your Lighthouse score and improve your CO2 usage.

Lazy Load Images

Lazy loading images means images are loaded as they are required; images at the top of a page always load, images further down only load when the user scrolls to them; if the user doesn’t scroll to the bottom of the page, they don’t load, saving you CO2.

Reduce The Amount Of JavaScript You Use

Yes, JavaScript is awesome. Yes, it can be hugely beneficial to UX. And yes, it munches on energy like it’s candy.

When a web page loads, it’s done, the total cost is in. If JavaScript keeps running in the background, redrawing the screen based on user interaction — as is the case with a parallax site — the web page keeps using up energy on the device.

Choose a Sustainable Hosting Company

You can reduce the power needs of a site, but you can’t eliminate them. One simple step is to opt for a hosting company that gets its electricity from sustainable sources such as wind power or solar.

Low←Tech Magazine is powered by a server that runs on solar energy and carries a warning that it may go offline. But it’s possible to host both reliably and sustainably. Many web hosts outsource their actual server management, so they have no control over how those servers are powered, but there are plenty of exceptions that guarantee green web hosting. Google Cloud aims to be the cleanest in the cloud industry. For green web hosting, I always recommend the all-round superb Kualo.

2. Be Inclusive

One of the biggest issues with the EV (Electric Vehicle) movement is that we’re replacing cars earlier than we normally would in a rush to move to “clean” driving.

A new EV certainly outputs less than a gas-powered vehicle when driven the same distance. Combine increased use — because owners think they are driving cleanly — with the fact that a new EV has to be manufactured, the minerals for batteries have to be mined (in horrific conditions), and it then needs to be shipped to you, and EVs are not as friendly as they appear — so go ahead, buy that vintage Porsche it’s probably better for the environment than a Tesla.

Support Legacy Devices

The same issue that applies to cars applies to devices. Every time we rush ahead to support the latest iPhone, we leave older generations behind. A device can and should last longer than two years.

This is not to say that you shouldn’t embrace modern web standards. Technologies like CSS Grid are excellent at reducing markup size and speeding up sites. CSS Grid has been well supported for over four years, and even “legacy” devices can handle it. If you can keep a phone for an extra six months, the environmental cost of that phone is reduced by 20%.

3. Help Users Make Good Choices

More and more people are trying to make good choices. We’re eating a healthier, balanced diet. We’re recycling clothes. We’re traveling by bike, and on foot, instead of by car. People want to do the right thing, and they seek out companies that aid them.

Improve Navigation

Anything that you can do to make your content more findable will mean fewer page loads and therefore consume fewer resources.

By improving your information architecture, improving your search accuracy, and improving on-page signposts like bread crumbs and link text, you help users find content faster.

Feelgood Feedback

When the environmental impact of a user’s actions are quantifiable, let them know. Users who care will appreciate it, and users who don’t will ignore it.

Raileurope.com adds a note to any quotation letting you know how much carbon you’ve saved by traveling by train instead of flying.

Don’t Remove the Shipping Rate

Many ecommerce sites offer free shipping, especially above a certain order value; it’s a good way to encourage higher sales. But absorbing the shipping cost implies that there is no shipping. By highlighting the shipping costs, even if they’re not passed on to the customer, you remind them that there is an environmental cost and a financial cost.

You can absorb the shipping rate without implying there is no cost by adding the shipping and then explicitly deducting it as a discount.

Sustainable Web Design Is Good For Business

The fundamentals of good web design are the fundamentals of sustainable web design.

Make it fast and usable, and you’ll also be making it energy efficient. Make it inclusive, and you’ll help the industry slow the ever-growing tendency to consume. Make it transparent, and you’ll help your users make good choices of their own. All of these things are not only good for the environment, but they also result in improved UX and SEO.

 

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

Le changement climatique, l’utilisation des matériaux, la pollution de l’air, les déchets solides et la disponibilité des ressources sont les principaux freins au développement durable que les dirigeants d’entreprise ont identifiés comme nécessitant des investissements, selon une nouvelle étude mondiale parrainée par SAP SE (NYSE : SAP). En effet, la mise en œuvre et l’élargissement des plans d’action sur ces sujets restent des obstacles rencontrés par beaucoup d’entre eux.

« Préserver l’environnement à l’échelle planétaire : Une enquête sur les moteurs et les actions des entreprises » explore les mesures prises par les entreprises pour protéger l’environnement et les défis auxquels elles sont confrontées. L’étude sera commentée lors du SAP Sustainability Summit, les 28 et 29 avril prochain. Le sommet se concentrera sur la manière dont les entreprises réduisent leur empreinte environnementale et gèrent de manière productive des ressources limitées, tout en pilotant et en rendant compte de leurs activités de manière holistique.

L’enquête, qui s’appuie sur les commentaires de plus de 7 400 dirigeants d’entreprise, répartis dans 19 pays et 16 secteurs d’activité, a également révélé les points suivants :

  • Selon la plus grande tranche de répondants (29%), les réglementations sectorielles constituent une raison sous-jacente à l’investissement dans les enjeux environnementaux. Cependant, 27% ont cité le renforcement attendu par les publics quant aux efforts des entreprises pour le développement durable comme une forte raison sous-jacente, tandis que 26% ont cité les risques pour la réputation de l’entreprise.
  • L’engagement du PDG et du conseil d’administration, ainsi que les réglementations gouvernementales, arrivent en tête des motivations. La croissance du chiffre d’affaires et des bénéfices arrive juste derrière, ce qui démontre que les actions environnementales sont influencées par des pressions internes et externes.
  • L’incertitude quant à la manière d’intégrer la durabilité dans les processus commerciaux et les systèmes informatiques est considérée comme le principal obstacle à la mise en œuvre des plans d’action (35 %). L’alignement des actions proposées dans la stratégie globale de l’entreprise (34%) arrive en deuxième position, suivi de la difficulté à prouver le retour sur investissement de ces investissements (33%).
  • Seuls 21% des personnes interrogées se disent entièrement satisfaites de la qualité des données relatives aux problèmes environnementaux, la raison principale étant le manque de confiance dans le fait que les données sont complètes et couvrent le champ d’application requis.

« Les résultats de cette étude montrent que 83 % des entreprises ne pensent pas que les impacts environnementaux sont importants pour leur activité à l’heure actuelle », a déclaré Daniel Schmid, Chief Sustainability Officer, SAP. « Les entreprises doivent reconnaître que les questions environnementales sont désormais importantes. Avec un pourcentage croissant de consommateurs qui portent attention aux valeurs et à l’éthique des entreprises auprès desquelles ils achètent, nous avons la lourde responsabilité d’aider les organisations à mieux comprendre les impacts commerciaux de la crise climatique, à surmonter les obstacles identifiés dans ce rapport et à accélérer leur progression vers l’action en faveur du climat. »

Inscrivez-vous à l’événement virtuel en direct ici. Pour être informé de la publication des résultats finaux de l’enquête, veuillez consulter et vous abonner à SAP Insights.

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

Contacts presse SAP
Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Pauline Barriere : 06.13.73.93.11 – presse-sap@publicisconsultants.com

 

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Source de l’article sur sap.com

Ten years ago, people began talking about the “Independent Web.” Although we don’t commonly use the term anymore, that doesn’t mean that it’s not still as vital a topic of discussion today as it was a decade ago.

Today, I want to look at where the term came from, what it refers to today, and why it’s something that all of us in business, marketing, and web design should be thinking about.

What Is The Independent Web?

The Independent Web is a term that was coined back in 2010 by John Battelle.

In “Identity and The Independent Web,” Battelle broaches the subject of internet users losing control of their data, privacy, and decision-making to the likes of social media and search engines.

“When we’re ‘on’ Facebook, Google, or Twitter, we’re plugged into an infrastructure that locks onto us, serving us content and commerce in an automated but increasingly sophisticated fashion. Sure, we navigate around, in control of our experience, but the fact is, the choices provided to us as we navigate are increasingly driven by algorithms modeled on the service’s understanding of our identity.”

That’s the Dependent Web.

This is how Battelle explains the Independent Web:

“There is another part of the web, one where I can stroll a bit more at my own pace, and discover new territory, rather than have territory matched to a presumed identity. And that is the land of the Independent Web.”

In 2010, this referred to websites, search engines, and apps where users and their activity were not tracked. But a lot has changed since then, and many websites that were once safe to peruse without interference or manipulation are no longer.

What Happens When the Dependent Web Takes Over?

Nothing good.

I take that back. It’s not fair to make a blanket statement about Dependent Web platforms and sites. Users can certainly benefit from sharing some of their data with them.

Take Facebook, for instance. Since its creation, it’s enabled people to connect with long-lost friends, stay in touch with distant relatives, enable freelance professionals like ourselves to find like-minded communities, etc.

The same goes for websites and apps that track and use visitor data. Consumers are more than willing to share relevant data with companies so long as they benefit from the resulting personalized experiences.

But the Dependent Web also has a darker side. There are many ways that the Dependent Web costs consumers and businesses control over important things like:

Behavior

If you’ve seen The Social Dilemma, then you know that platforms like Facebook and Google profit from selling their users to advertisers.

That’s right. They’re not just selling user data. They’re selling users themselves. If the algorithms can change the way users behave, these platforms and their advertisers get to cash in big time.

Many websites and apps are also guilty of using manipulation to force users to behave how they want them to.

Personal Data

This one is well-known thanks to the GDPR in the EU and the CCPA in California. Despite these initiatives to protect user data and privacy, the exploitation of personal data on the web remains a huge public concern in recent years.

Content and Branding

This isn’t relevant to websites so much as it is to social media platforms and Google.

Dependent Web platforms ultimately dictate who sees your content and when. And while they’re more than happy to benefit from the traffic and engagement this content brings to their platforms, they’re just as happy to censor or pull down content as they please, just as Skillshare did in 2019 when it deleted half of its courses without telling its course creators.

What’s more, while social media and search engines have become the place to market our businesses, some of our branding gets lost when entering such oversaturated environments.

Income

When algorithms get updated, many businesses often feel the negative effects almost immediately.

For example, Facebook updated its algorithm in 2018 to prioritize “meaningful content.” This pushed out organic business content and pulled regular user content to the top of the heap.

This, in turn, forced businesses to have to pay-to-play if they wanted to use Facebook as a viable marketing platform.

Access

The Dependent Web doesn’t just impact individuals’ experiences. It can have far-reaching effects when one company provides a critical service to a large portion of the population.

We saw this happen in November when AWS went down.

It wasn’t just Amazon’s servers that went down, though. It took out apps and sites like:

  • 1Password
  • Adobe Spark
  • Capital Gazette
  • Coinbase
  • Glassdoor
  • Roku
  • The Washington Post

And there’s absolutely nothing that these businesses or their users could do but sit around and wait… because Amazon hosts a substantial portion of the web.

Innovation

When consumers and businesses become dependent on platforms that predominantly control the way we live and work, it’s difficult for us to stand up for the little guys trying to carve out innovative pathways.

And that’s exactly what we see happen time and time again with Big Tech’s buy-and-kill tactics.

As a result, we really lose the option to choose what we use to improve our lives and our businesses. And innovative thinkers lose the ability to bring much-needed changes to the world because Big Tech wants to own the vast majority of data and users.

How Can We Take Back Control From The Dependent Web?

Many things are happening right now that are trying to push consumers and businesses towards a more Independent Web:

Consumer Privacy Protection: GDPR and CCPA empower consumers to control where their data goes and what it’s used for.

Big Tech Regulations: The Senate held tech regulation hearings with Facebook’s and Twitters’s CEOs.

Public Awareness Initiatives: Films like The Social Dilemma bring greater awareness to what’s happening on social media.

Ad Blocker Adoption: Adblocker usage is at an all-time high.

Private Search Engine Usage: Although Google dominates search engine market share, people are starting to use private search engines like Duck Duck Go.

Private Browsing Growth: Over 60% of the global population is aware of what private browsing is (i.e., incognito mode), and roughly 35% use it when surfing the web.

Self-hosted and Open Source CMS Popularity: The IndieWeb community encourages people to move away from Dependent platforms and build their own websites and communities. This is something that Matt Mullenweg, the founder of WordPress, talked about back in 2012.

“The Internet needs a strong, independent platform for those of us who don’t want to be at the mercy of someone else’s domain. I like to think that if we didn’t create WordPress something else that looks a lot like it would exist. I think Open Source is kind of like our Bill of Rights. It’s our Constitution. If we’re not true to that, nothing else matters.”

As web designers, this is something that should really speak to you, especially if you’ve ever met a lead or client who didn’t understand why they needed a website when they could just advertise on Facebook or Instagram.

A Decentralized Web: Perhaps the most promising of all these initiatives are Solid and Inrupt, which were launched in 2018 by the creator of the Web, Tim Berners-Lee.

As Berners-Lee explained on the Inrupt blog in 2020:

”The Web was always meant to be a platform for creativity, collaboration, and free invention — but that’s not what we are seeing today. Today, business transformation is hampered by different parts of one’s life being managed by different silos, each of which looks after one vertical slice of life, but where the users and teams can’t get the insight from connecting that data. Meanwhile, that data is exploited by the silo in question, leading to increasing, very reasonable, public skepticism about how personal data is being misused. That in turn has led to increasingly complex data regulations.”

This is something we should all keep a close eye on. Consumers and businesses alike are becoming wary of the Dependent Web.

Who better than the creator of the web to lead us towards the Independent Web where we can protect our data and better control our experience?

 

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