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Optimiser les performances Cloud : Guide approfondi de tests et avantages

Découvrez comment optimiser les performances Cloud grâce à notre guide approfondi de tests et d’avantages ! Apprenez à tirer le meilleur parti de votre Cloud.

Êtes-vous confronté à des problèmes lors de la mesure de la scalabilité d’une organisation et d’autres facteurs de performance? Les utilisateurs peuvent accéder à leurs ressources à partir de n’importe quel appareil doté d’une connexion Internet, ce qui est l’un des principaux avantages des tests de performance en nuage. Cela implique que les investissements en matériel et en logiciel ne sont plus une préoccupation majeure lors de l’évaluation des exigences de scalabilité et de performance optimales d’une organisation. Les débits et les temps de latence de votre système sont mesurés par des tests de performance en nuage lorsque le nombre d’utilisateurs simultanés utilisant votre application change. Plusieurs caractéristiques de performances et différents modèles de charge sont également mesurés.

Les données sont devenues un élément essentiel pour les entreprises modernes. Les entreprises doivent mesurer la scalabilité et les autres facteurs de performance de leur organisation afin d’assurer leur croissance. Cependant, cette tâche peut s’avérer difficile et coûteuse. Heureusement, le test de performance en nuage offre une solution rentable et efficace pour mesurer la scalabilité et les performances d’une organisation.

Le test de performance en nuage est une méthode qui permet aux utilisateurs d’accéder à leurs ressources depuis n’importe quel appareil doté d’une connexion Internet. Cela signifie que l’investissement en matériel et en logiciels n’est plus une préoccupation majeure lors de l’évaluation de la scalabilité et des exigences optimales de performance d’une organisation. Le débit et la latence du système sont mesurés à mesure que le nombre d’utilisateurs simultanés utilisant l’application change. De plus, plusieurs caractéristiques de performance et différents modèles de charge sont également mesurés.

Le test de performance en nuage est une méthode très pratique pour les entreprises qui cherchent à mesurer leurs performances et leur scalabilité. Il permet aux entreprises de tester leurs applications à grande échelle sans avoir à investir dans des serveurs et des logiciels coûteux. De plus, il offre une précision et une fiabilité inégalées pour mesurer les performances et la scalabilité des applications. Enfin, le test de performance en nuage est une méthode rapide et rentable pour mesurer la scalabilité et les performances d’une organisation.

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Chasse au trésor Agile-DevOps : réaliser la transition DevOps

avec succès

La chasse au trésor Agile-DevOps est une méthodologie innovante qui permet aux organisations de réaliser la transition DevOps avec succès. Découvrez comment!

Les flux de valeur ont été un principe central de la pensée Lean depuis des décennies, à commencer par Toyota et le mouvement Lean Manufacturing, et sont désormais largement adoptés dans tous les secteurs. Malgré cela, de nombreuses entreprises doivent encore exploiter pleinement le potentiel des flux de valeur pour provoquer un changement organisationnel et atteindre une plus grande efficacité et efficience. Au lieu de cela, elles peuvent se concentrer uniquement sur des métriques telles que la vitesse d’équipe ou la vitesse du pipeline de production, en manquant le tableau plus large du système de bout en bout.

Dans le développement de produits modernes, la compréhension des flux de valeur est cruciale pour optimiser nos modes de travail et fournir de la valeur aux clients. En cartographiant le chemin vers la valeur, nous pouvons obtenir une visibilité sur nos processus et identifier les domaines d’amélioration, tels que les goulots d’étranglement du déploiement du code ou les incompatibilités entre les personnels et les rôles.

L’architecture des flux de valeur a été un principe central de la pensée Lean depuis des décennies, à partir de Toyota et du mouvement Lean Manufacturing, et est maintenant largement adoptée dans tous les secteurs. Malgré cela, de nombreuses entreprises doivent encore exploiter pleinement le potentiel des flux de valeur pour stimuler le changement organisationnel et atteindre une plus grande efficacité et efficience. Au lieu de cela, ils peuvent se concentrer uniquement sur des métriques telles que la vitesse d’équipe ou la vitesse du pipeline de production, en manquant le tableau d’ensemble du système de bout en bout.

Dans le développement de produits modernes, comprendre les flux de valeur est essentiel pour optimiser nos modes de travail et livrer de la valeur aux clients. En cartographiant le chemin vers la valeur, nous pouvons obtenir une visibilité sur nos processus et identifier les domaines d’amélioration, tels que les goulots d’étranglement du déploiement du code ou les incompatibilités entre le personnel et les rôles.

En outre, en comprenant les flux de valeur, nous pouvons mieux aligner les équipes et les processus sur l’objectif de livrer de la valeur à nos clients. Nous pouvons également identifier les points d’accélération et les points de friction dans le système et prendre des mesures pour améliorer la qualité et la rapidité des livraisons. Enfin, en surveillant les flux de valeur, nous pouvons mieux comprendre comment les changements apportés à l’architecture affectent la capacité de l’organisation à livrer de la valeur à ses clients.

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Qu'est-ce qui succèdera à l'Agilité ?

Les pratiques Agiles ont permis aux entreprises de s’adapter rapidement aux changements. Mais qu’est-ce qui succédera à l’Agilité ? Découvrons ensemble les nouvelles méthodes qui pourraient révolutionner le monde des affaires.

« Qu’est-ce qui Vient Après l’Agilité? »

Je pense que la plupart des équipes de développement se décrivent comme étant «agiles» et la plupart des équipes de développement ont des standups et des réunions appelées rétrospectives. Il y a également beaucoup de discussion sur «l’agilité», beaucoup écrit sur «l’agilité» et il y a de nombreuses présentations sur «l’agilité». Une question qui est souvent posée est: qu’est-ce qui vient après «l’agilité»? Beaucoup de testeurs travaillent dans des équipes «agiles», donc cette question nous concerne.

Avant de pouvoir considérer ce qui suit l’agilité, nous devons considérer ce qu’est l’agilité – une méthodologie de développement itérative et incrémentale. Les équipes agiles développent des logiciels par itérations et chaque itération fait un pas vers l’objectif de l’équipe. Une équipe agile peut décider, après une ou deux itérations, que l’objectif qu’elle poursuit doit être modifié et commencer à travailler sur un nouvel objectif. Travailler itérativement rend l’équipe agile car elle peut changer de direction rapidement et facilement. Il existe plusieurs méthodologies agiles et l’une des méthodologies les plus utilisées est le scrum.

Une base de données est un outil essentiel pour les équipes agiles car elle leur permet de stocker et d’accéder facilement aux informations dont elles ont besoin pour prendre des décisions rapides et efficaces. Les bases de données peuvent être utilisées pour stocker des informations sur les projets, les tâches, les membres de l’équipe et les progrès réalisés. Les bases de données peuvent également être utilisées pour suivre les performances des membres de l’équipe et leur rendement. Les bases de données peuvent également être utilisées pour stocker des informations sur les tests et leurs résultats afin que l’équipe puisse prendre des décisions basées sur des données objectives.

Les bases de données sont un outil puissant pour les équipes agiles car elles leur permettent d’accéder rapidement aux informations dont elles ont besoin pour prendre des décisions rapides et efficaces. Les bases de données peuvent être utilisées pour suivre le progrès des projets, les performances des membres de l’équipe et leurs résultats, ainsi que les résultats des tests. Les bases de données peuvent également être utilisées pour stocker des informations sur les tests et leurs résultats afin que l’équipe puisse prendre des décisions basées sur des données objectives.

Ainsi, les bases de données sont un outil essentiel pour les équipes agiles car elles leur permettent d’accéder rapidement aux informations dont elles ont besoin pour prendre des décisions rapides et efficaces. Les bases de données peuvent être utilisées pour suivre le progrès des projets, les performances des membres de l’équipe et leurs résultats, ainsi que les résultats des tests. Les bases de données peuvent également être utilisées pour stocker des informations sur les tests et leurs résultats afin que l’équipe puisse prend

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Aujourd’hui, le monde de l’entreprise reconnaît volontiers que ses ressources les plus précieuses sont sa propriété intellectuelle et les individus qui la composent.

Imaginez si vous pouviez collecter les connaissances des employés pour que ces derniers puissent les partager avec leurs collègues via l’apprentissage par les pairs ? C’est là tout l’attrait de la plateforme d’apprentissage collaboratif de 360Learning, désormais disponible sur SAP Store. La plateforme facilite une montée en compétences rapide, plus particulièrement dans les environnements professionnels qui évoluent vite et au sein desquels les besoins de formation sont constants. Tout le monde a la possibilité de créer, de proposer du contenu et de collaborer sur des cours. Ainsi, les formations sont mises à disposition plus rapidement, les employés, les clients et les partenaires se forment plus vite, et le gain de temps est considérable. Chez 360Learning, on dit qu’on “accélère le partage de compétences”. Compte tenu de la pénurie actuelle de talents, c’est une possibilité qui arrive à point nommé.

Optimisation de l’efficacité et du transfert des connaissances par le biais de la collaboration

L’idée d’une plateforme de formation menée par les pairs a germé il y a dix ans dans l’esprit de Nick Hernandez, le PDG de l’entreprise. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, elle n’a pas été insufflée par la pénurie de talents. Comme il l’explique, ce sont deux principes qui ont marqué sa vie qui ont été sa plus grande source d’inspiration. Tout d’abord, son amour pour l’enseignement qui lui vient de ses parents, tous deux enseignants. Ils ont émigré d’Amérique du Sud pour bénéficier d’une bourse d’études en France.

Ensuite, le travail du philosophe Michel Foucault qu’il a découvert alors qu’il était étudiant en informatique et philosophie. Nick résume ainsi la pensée de Foucault au sujet du lien entre le savoir et le pouvoir : «La science repose sur l’intuition. Lorsqu’un individu a une idée, celle-ci est souvent controversée : il n’y a aucun moyen de prouver qu’elle va fonctionner. Les progrès scientifiques sont toujours validés par un processus de revue par les pairs. C’est comme cela que j’en ai déduit qu’il fallait développer un outil pour aider les collaborateurs à apprendre les uns des autres. En bref : il est temps d’exploiter le savoir collectif de l’entreprise et accélérer ce processus. Plutôt que de faire intervenir un consultant externe, il vaut mieux capitaliser sur les connaissances essentielles, qui sont détenues par les collaborateurs eux-mêmes. L’apprentissage par les pairs est bien plus efficace et rentable que solliciter des prestataires externes ».

Permettre l’utilisation de la plateforme à des milliers de créateurs de contenu et d’apprenants.

Nick et ses co-fondateurs, Guillaume Alary, CRO, et Sebastien Mignot, CTO, tous trois récemment diplômés, ont passé deux ans à développer la solution en se fondant sur leur propre intuition, tout en cherchant un revenu potentiel. Après avoir trouvé l’adéquation parfaite entre le produit et son marché, et après avoir mené des expérimentations et tenu compte du feedback reçu, l’équipe a intégré un moyen pour valider et contrôler le contenu car, selon leurs propres mots : « une entreprise n’est pas une démocratie ».

 

“L’éducation a bouleversé la vie de mes parents et, par conséquent, la mienne”, déclare Nick. “J’ai canalisé ma passion pour l’apprentissage en créant 360Learning. Alors que d’innombrables innovations viennent constamment alimenter le marché de la tech, ce que nous proposons chez 360Learning est bien plus personnel qu’un énième outil SaaS B2B. Je crois sincèrement que l’apprentissage change la vie et que tout un chacun doit en bénéficier.

 

Le lancement initial de 360Learning s’est opéré via une stratégie d’inbound marketing et il n’a pas fallu longtemps avant que l’entreprise décroche un important contrat. Les choses ont ensuite suivi leur cours naturellement. Le défi suivant a été la mise à l’échelle pour les grandes entreprises. Aujourd’hui, un client de 360Learning représente plus de 100 000 utilisateurs et 1 200 auteurs. Il est donc essentiel de disposer d’une infrastructure robuste capable de prendre en charge ce volume, ainsi que des fonctionnalités puissantes comme celles liées à l’Intelligence Artificielle pour automatiser les processus. Les formations sont améliorées en continu par les collaborateurs eux-mêmes, qui identifient les contenus obsolètes ou suggèrent des éléments à ajouter. Le feedback et les données obtenues au fil des interactions sont remontés aux coachs qui facilitent l’apprentissage en s’assurant que les cours sont accessibles, intuitifs, exploitables facilement, et surtout intéressants.

La plateforme est désormais disponible dans 14 langues et compte certaines des marques les plus réputées parmi ses utilisateurs. Plus de 400 employés travaillent pour 360Learning, dont les bureaux sont implantés à New York, Londres, Paris et Karlsruhe, en Allemagne.

L’intégration à SAP SuccessFactors Learning for Data Intelligence

Bruce Mazza et Hugues Lajouanie en charge des partenariats internationaux, font remarquer que l’inbound marketing est toujours une stratégie cruciale. « Depuis que nous avons mis l’accent sur les actions marketing avec nos partenaires et l’intégration aux systèmes RH des clients, nous sommes désormais en mesure d’étendre les fonctionnalités de montée en compétence collaborative de 360Learning à de nombreuses grandes entreprises », explique Bruce. « Il y a des entreprises pour lesquelles notre plateforme vient compléter l’offre de SAP, en mettant l’accent sur l’expérience des experts qui créent les cours et des apprenants qui en bénéficient. SAP dispose d’une suite de solutions particulièrement qualitative”. Il ajoute : « L’intégration à SAP SuccessFactors HXM et SAP SuccessFactors Learning nous permet d’étendre la montée en compétences grâce à l’expertise interne à des clients qui ont des besoins de formation à la conformité ou encore liés à la Data Intelligence. Par exemple, faire le lien entre les écarts de compétences et l’engagement expert et la création de cours ».

La plateforme d’apprentissage collaboratif de 360Learning est qualifiée de « solution durable » sur SAP Store car elle illustre un réel engagement social via le développement des compétences. Découvrez comment la plateforme accompagne les employés dans le développement de leurs compétences en visionnant la vidéo sur SAP Store.

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Source de l’article sur sap.com

Restez à la Pointe des Tendances et Technologies en Science des Données.

Restez à la pointe des tendances et technologies en science des données en suivant les dernières innovations et en développant vos compétences.

Restez à jour avec les tendances et technologies de la science des données

La science des données est une discipline en plein essor qui a le pouvoir de changer complètement la manière dont une entreprise mène ses affaires et aborde les problèmes. En tant qu’informaticien enthousiaste, il est crucial d’utiliser les techniques et outils les plus efficaces disponibles pour rester à la pointe des tendances et technologies les plus récentes.

Dans cet article, vous découvrirez des moyens de rester à jour des tendances et technologies les plus récentes en matière de science des données. Vous apprendrez les dernières tendances du secteur et vous assurerez de suivre le rythme des avancées dans le domaine. À la fin de cet article, vous aurez les connaissances et les ressources nécessaires pour rester à jour dans le monde de la science des données.

Afin de rester à jour des dernières technologies et tendances en matière de science des données, il est important de participer à des conférences, de lire des articles et de suivre des tutoriels. Les conférences sont une excellente façon de se tenir au courant des dernières informations et de rencontrer des experts du secteur. Il existe également de nombreux articles et tutoriels sur Internet qui peuvent vous aider à rester à jour. Enfin, il est important d’utiliser les outils et technologies les plus récents pour rester compétitif.

En conclusion, pour être un informaticien enthousiaste et compétent en matière de science des données, il est important de rester à jour des dernières tendances et technologies. Pour ce faire, vous devrez participer à des conférences, lire des articles et suivre des tutoriels, ainsi que vous familiariser avec les outils et technologies les plus récents.

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Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

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« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

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Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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Source de l’article sur sap.com

As we move into 2023, there are an increasing number of ways companies can engage with their customers. And as the number of apps, browser extensions, social media feeds, newsletters, vlogs, and podcasts grows, you can be forgiven for thinking that websites are a little less essential than they were in say, 2021.

However, the truth is that websites remain an irreplaceable part of the digital landscape and they will continue to be into 2023 and beyond.

Websites, as the keystone of a centralized, privately run digital experience couldn’t be more relevant. Unlike competing technologies, websites allow almost total control of their source code, and that provides an opportunity for skilled designers and developers to compete against the biggest names in their clients’ industries in a way that simply isn’t possible in tightly governed systems like social media.

Not only does quality web design help businesses increase their traffic, but it can increase the quality of that traffic; an attractive and user-friendly web page will encourage web users to stay on the page longer, and explore more of the content it links to.

Websites vs. Social Media

For many brands, the option they turn to for connecting with customers is social media. Particularly platforms like Facebook and Instagram. While billions of us are happy to while away our free time on social media, it’s not a great platform for informed decision-making or task fulfillment. For any form of productivity, websites are superior:

  • Flexibility: Websites can be customized to suit a company’s vision and values, whereas social media tends to magnify accounts that reflect its own values.
  • Ownership: When you publish on your website you own your content, when you post to social media the platform tends to own your content.
  • Investment: As we’ve seen recently with a certain bird-themed social network, you can spend years investing time in your social media channel only to have it canceled by an individual with his own agenda.
  • Findability: Websites are discoverable on search engines, and although algorithms govern these search engines, competition across different search engines keeps search algorithms honest. Social media networks each use a single algorithm making them free to skew browsing any way they choose.
  • Scaleability: Websites can take advantage of the latest technologies to improve user experience, on social media user experience is governed by the network’s decisions.

Websites vs. Apps

When it comes to owning a piece of the internet, a connected app feels like ownership. However, websites have a number of benefits over an app, from a superior user experience to lower development costs. And ultimately, apps are also controlled by 3rd parties.

  • Accessibility: Websites are universally accessible, while apps are usually limited to certain operating systems or platforms. If you want to distribute to devices, you’ll need to be approved by the store owner who can (and will) change the terms and conditions of store distribution without consulting you.
  • Flexibility: Websites provide a greater level of flexibility and scalability than apps.
  • Cost-effective: A simple website can be created and launched in a weekend, they are considerably more cost-effective to develop and maintain than apps.
  • Findability: Search engines have evolved around website technologies, and it is far easier to create a discoverable website than an app that ranks high in an app store.
  • Universality: Websites have lower entry costs for users, and there aren’t any downloads or purchases required.
  • 3rd-party features: Websites can integrate 3rd-party content like chatbots, payment gateways, and forms, that generally require licensing to include in an app.

Websites vs. Podcasts and Vlogs

There’s no question that podcasts and vlogs are engaging types of content. However, they are very limited when it comes to different kinds of experience. These tend to be passive, linear experiences. Even if your podcast opens itself up to listener interaction, your customers are still passive consumers.

  • Cost-effective: Websites can be set up very cheaply, podcasts and vlogs on the other hand require high-production values to compete.
  • Longevity: Well-written website content can remain relevant for years, the lifespan of a vlog or podcast is often just a few months.
  • Flexibility: Websites can embed podcasts and vlogs, as well as virtually any other content; podcasts and vlogs can only ever be podcasts and vlogs. Websites will continue to evolve long after podcasts are obsolete.
  • Simple: There is now a range of no-code options for creating a reliable website, meaning it can be done with little to no skills or experience. Podcasts and vlogs require a great deal of technical knowledge to produce.
  • Findability: As with other technologies, podcasts and vlogs can’t compete with websites when it comes to search engine optimization.
  • Faster: A well-designed website is much smaller than a podcast or vlog, making it cheaper and easier to access, especially on a cellular network.

Websites in 2023 and Beyond

In 2023 websites will still be a critical part of a successful business strategy and web designers will continue to be essential members of any team.

Websites continue to offer numerous benefits over other technologies including increased flexibility, cost-effectiveness, and superior search engine opportunities.

Unlike social media platforms that allow you to customize a few assets like avatars and colors, websites can be completely customized to fit the tone and style of a brand. Additionally, websites have a far lower barrier to entry than podcasts, vlogs, or apps. While apps may offer a richer set of features than a website, that is offset by the restrictions on platform and device capabilities that apps impose.

Websites will continue to evolve as the tech landscape changes. New ideas for consuming digital media will appear over time, offering unique new experiences — for example, mass adoption of AR (Augmented Reality) is just around the corner. However, the website is perfectly evolved for the types of simple customer interaction that businesses rely on, and will continue to matter in 2023 and beyond.

 

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The database management system is chosen depending on the tasks of the business. For example, startups need a quick start with minimal investment. On the other hand, banks need to store data correctly; otherwise, customers may lose their money. Today, I want to talk about how to choose a DBMS for the project, taking into account the company’s needs.

Databases for a Newly Created Company

Problem: The business model of many newly launched businesses may change after entering the market. For example, Facebook was initially created as a social networking site for college students. Still, it has since expanded to become a platform for people of all ages to connect with friends, family, and businesses.

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Since its conception in the late 1980s, HyperText Markup Language (HTML) has persisted as a critical element in displaying web pages online.  This ubiquitous programming language continues to offer a detailed framework for structuring the content we see and interact with on the web, allowing us to format text and multimedia components in plain-text code, which is simple enough to change when the need arises.

The Transformation of HTML

As is the case with nearly all programming languages, HTML has transformed to incorporate dozens of new features over the decades since its introduction, accommodating typical contemporary pressures such as community feedback/critique and the rapid growth of adjacent web development technologies. The results of this transformation are easily visible to us in the output of modern HTML code; for example, the most recent HTML iteration–HTML5, introduced in 2014–offers new, simple elements for embedding video and audio files, as well as much-needed improvements in mobile display and overall mobile functionality.

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