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SAP, société du logiciel la plus durable et partenaire des organisations pour atteindre leurs objectifs climatiques, dévoile les résultats du Baromètre* du développement durable SAP/Odoxa. Un nouvel indicateur visant à mesurer l’intérêt des Français pour l’environnement et l’avenir de la planète. Cinq ans après l’adoption des accords de Paris pour le climat, les résultats révèlent que l’action environnementale est au cœur des préoccupations des Français, qu’elle agit sur leurs comportements de consommation mais aussi sur leurs perceptions des entreprises. Le Baromètre SAP/Odoxa décode l’état d’esprit des Français vis-à-vis des progrès réalisés en matière d’environnement par les gouvernements, les entreprises ou encore par eux-mêmes dans leurs quotidiens.

L’action environnementale est au centre des préoccupations des Français depuis la COP21.

Cinq ans après la COP21, l’action environnementale apparaît plus centrale pour les Français. En effet, 60% des Français ont le sentiment que l’action environnementale n’est pas incompatible avec la croissance et l’emploi. Ils ont cependant le sentiment, depuis 2015, que l’action menée contre le réchauffement climatique par la communauté internationale est un échec (78%) et attendent beaucoup de l’engagement de Joe Biden sur ce sujet. En effet, 77% d’entre eux pensent que le retour des Etats-Unis dans l’accord de Paris permettra à la communauté internationale de lutter plus efficacement contre le réchauffement climatique.

Les Français sont de plus en plus vigilants sur leur mode de consommation pour limiter leur impact environnemental au quotidien.

Les Français sont préoccupés par l’avenir de la planète puisque 9 répondants sur 10 (87%) se disent concernés par l’avenir de la planète. Cependant, 66% d’entre eux sont pessimistes sur le sujet et l’inquiétude domine. Dans la pratique, les Français sont assez vigilants au quotidien pour limiter l’impact de leur mode de vie puisqu’ils sont 86% à limiter leur impact environnemental ou sociétal de leur mode de vie au quotidien mais seuls 21% le font systématiquement.

Bien ancré dans les mentalités, 8 Français sur 10 (82%) pratiquent le tri sélectif systématique. Ils confirment leur intérêt pour la question des déchets, puisque 51% des répondants disent acheter des produits sans emballage ou avec moins d’emballages, et 35% disent vouloir adopter ce comportement. Le deuxième éco-comportement familier des Français est la consommation de produits de saison, adopté par 77% des répondants. Par ailleurs, 51% des répondants disent déjà privilégier les petits distributeurs et les circuits courts, et 35% disent avoir l’intention de le faire. Les investissements énergétiques restent quant à eux en retrait puisque 65% des Français ne semblent pas prêts à installer des panneaux solaires ou une éolienne chez eux, et 61% ne souhaitent pas remplacer leur voiture à essence par une voiture électrique.

Le baromètre révèle également que les Français sont très critiques à l’égard de leurs concitoyens : seuls 47% estiment que les habitants de leur région ont cette préoccupation, les habitants de PACA se montrant les plus critiques sur ce point (35%). Pour agir en faveur de la protection de la planète, si les Français ont fortement confiance dans les associations (77%), leurs communes (67%) et leurs régions (67%), ils sont plus réservés envers les citoyens (56%)et les entreprises (53%) et ont très peu confiance dans l’Etat (40%) et le Gouvernement (37%).

Les Français plébiscitent davantage les entreprises engagées en faveur du développement durable et cela se reflète sur leurs achats.

Les Français sont de plus en plus sensibles à l’engagement des entreprises pour le développement durable. Ainsi, 6 salariés sur 10 considèrent que leur entreprise investit pour protéger la planète et 8 Français sur 10 peuvent être séduits par les entreprises engagées en faveur du développement durable, cet engagement leur donnant envie d’acheter leurs produits (83%) ou d’y travailler (80%).

Les Français sont également de plus en plus attentifs aux actions des entreprises sur l’environnement lors de leurs achats. 72% des répondants privilégient les entreprises engagées en matière de réduction des emballages et 58% celles qui veillent à limiter les déplacements pour les livraisons d’achats en ligne. 62% des salariés estiment que leur entreprise veille à limiter l’impact environnemental ou sociétal de son activité, un sentiment encore plus présent dans les secteurs les plus exposés que sont les transports (70%) et l’industrie (62%). L’énergie (45%), l’agroalimentaire (37%) et les transports (23%) sont les secteurs d’activité considérés comme les plus engagés en faveur du développement durable. Quelle que soit leur taille et leur statut, les Français souhaitent voir l’ensemble des organisations (collectivités, administrations publiques) et des entreprises (PME, grands groupes, startups…) se mobiliser en faveur du développement durable.

SAP est un acteur exemplaire de la transition écologique et moteur de la transformation des organisations pour lutter contre le changement climatique.

SAP entend montrer l’exemple en se fixant pour objectif d’atteindre la neutralité climatique d’ici 2025 et s’engage à atteindre des objectifs de réduction des émissions de 1,5 °C fondés sur des données scientifiques en adéquation avec l’objectif à long terme de neutralité carbone. 100% d’énergies renouvelables alimentent le cloud de SAP et 94 % des employés de l’entreprise sont engagés en faveur du développement durable. L’entreprise est également signataire du Pacte mondial de l’ONU et membre d’associations partageant des valeurs communes, dont le CDP, la Value Balancing Alliance et la Fondation Ellen MacArthur. Par ailleurs, SAP est le premier éditeur de logiciels figurant en tête des indices Durabilité Dow Jones (DJSI).

SAP accompagne les organisations à atteindre leurs objectifs climatiques notamment via le programme Climate 21 et l’application SAP Product Carbon Footprint Analytics qui permet à aux entreprises utilisatrices d’analyser leurs émissions de gaz à effet de serre afin de réduire leur empreinte carbone et de contribuer au 13ème objectif des Nations Unies pour le développement durable : la lutte contre le changement climatique.

Retrouvez l’intégralité de l’étude :

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*Baromètre réalisé par Odoxa sur un échantillon de 3 003 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus entre le 13 et le 19 novembre 2020.

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Source de l’article sur sap.com

L’intelligence artificielle (IA) s’impose comme le nouvel intermédiaire entre les entreprises et les clients dans la décision d’achat.

L’IA s’impose dans l’expérience client

La complexité de la vie moderne soumet notre cerveau à une vraie surcharge cognitive. Pour y remédier, les clients se tournent vers les IA et se fient à leurs recommandations, délaissant les interactions traditionnelles avec les marques.

Ainsi acceptons-nous volontiers les recommandations de Netflix pour les séries, de Spotify pour la musique ou les résultats affichés par Google. Nous faisons tellement confiance à ces suggestions que 35% des achats sur Amazon et 75% des visionnages sur Netflix sont issus des recommandations du Machine Learning, selon McKinsey (1).

Pourquoi ? Parce que, dans l’expérience, les clients distinguent de plus en plus les aspects routiniers des aspects riches de sens (voir « Donner du sens à l’expérience »). Et à mesure que la précision et l’utilité des IA augmentent, les clients délèguent les décisions qu’ils jugent « sans importance ». Certaines entreprises se voient alors coupées de leurs clients et forcées de composer avec des IA agissant comme des gardiens.

Les IA relèguent les entreprises en arrière-plan de plusieurs façons :

Les IA effectuent de plus en plus de tâches

Les IA étant capables de regrouper, d’indexer et d’analyser des montagnes de données, les clients ont de plus en plus confiance dans leur capacité à interpréter leurs préférences personnelles et à faire des choix à leur place. Aux recherches en arrière-plan réalisées par les IA s’ajouteront bientôt les achats en arrière-plan.

Les IA, nouvelles audiences à conquérir

Le marketing émotionnel peut susciter la fidélité chez les humains mais pas chez les IA. À mesure que les clients confieront les décisions d’achat de routine aux IA, les entreprises auront besoin de nouvelles stratégies pour conquérir ces nouvelles audiences automatisées.

Les frontières entre les tâches vont disparaître

On regroupe souvent les tâches ménagères et administratives en catégories, comme le nettoyage de la maison ou le paiement des factures. Mais avec des IA qui prennent en charge différentes tâches à la fois, ces frontières disparaîtront. Les entreprises incapables de s’adapter à ce changement dans la façon d’appréhender les tâches perdront des clients.

Comment votre entreprise peut-elle s’adapter ?

Devenez l’intermédiaire IA de votre secteur

Créez une intelligence artificielle spécialisée qui apporte des connaissances uniques à vos clients. Appropriez-vous les fonctionnalités des IA pour mettre ces connaissances et compétences spécialisées à disposition des clients, directement et par le biais d’IA généralistes.

Proposez des produits optimisés par l’IA

Au fur et à mesure que les points de contact avec les clients seront relégués au second plan, les produits joueront un rôle plus central en tant qu’ambassadeurs de la marque. Le Big Data, l’IoT et le Machine Learning permettent d’améliorer l’expérience client en augmentant la satisfaction, en réduisant la charge cognitive et en éliminant les actions inutiles. Trouvez des moyens de créer un lien avec vos clients par le biais des produits.

Optimisez votre visibilité auprès des IA

Les systèmes basés sur l’IA constitueront le prochain « espace linéaire » numérique où optimiser le placement des produits. Cette discipline d’optimisation est encore balbutiante mais vous pouvez déjà vous appuyer sur votre équipe de référenceurs SEO afin de prendre le leadership dès le début. Des descriptions factuelles de vos produits et services contribueront à votre succès auprès des IA.

Améliorez les interactions avec vos clients

Utilisez des outils basés sur l’IA pour animer les interactions avec vos clients en fournissant aux collaborateurs de 1ère ligne des informations client et des suggestions de messages. Par exemple, les outils d’analyse et le Machine Learning peuvent servir à offrir aux collaborateurs une visibilité approfondie sur chaque client, améliorant ainsi la personnalisation des interactions.

Publié en anglais sur insights.sap.com


Références

(1) Ian MacKenzie, Chris Meyer et Steve Noble, « How Retailers Can Keep Up with Consumers » (Comment les détaillants peuvent répondre aux besoins des clients), McKinsey & Co., octobre 2013, https://www.mckinsey.com/industries/retail/our-insights
/how-retailers-can-keep-up-with-consumers.

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Source de l’article sur sap.com

Les solutions de données basées sur le cloud présentent clairement des avantages, notamment une meilleure flexibilité, une collaboration plus efficace, des coûts réduits et la possibilité de changer d’échelle. Mais ce n’est pas parce que vous voulez passer au cloud afin d’en tirer tous les avantages que vous devez faire une croix sur vos investissements sur site existants.

Une stratégie hybride permet de combiner « le meilleur des deux mondes ». Avec cette approche, vous pouvez évoluer vers le cloud tout en protégeant vos investissements sur site existants. C’est là qu’interviennent SAP Data Warehouse Cloud et SAP HANA Cloud. Ces deux solutions ouvertes se connecteront en toute transparence à votre environnement sur site actuel pour l’étendre au cloud.

Voyons les avantages que présente une stratégie hybride avec SAP Data Warehouse Cloud et SAP HANA Cloud.

Pourquoi choisir SAP HANA Cloud  ?

Gérez des volumes croissants de données tout en réduisant vos coûts de stockage

Le lac de données intégré de SAP HANA Cloud réduit les coûts de stockage et d’analyse des données. Aussi, faites des économies en y conservant vos données. Vous pourrez par la suite y accéder à distance quand vous le souhaitez. Peu importe le volume de vos données, le lac de données est conçu pour le prendre en charge.

Connectez-vous facilement à toutes les sources de données

SAP HANA Cloud est une solution de gestion multi-cloud qui simplifie l’accès aux données quelles qu’elles soient et quelle qu’en soit la source au moyen d’une passerelle unique. SAP HANA Cloud est directement utilisable avec ses agents de mise à disposition des données qui permettent de se connecter à plusieurs sources cloud et magasins d’objets. Quant à la fonctionnalité Smart Data Access (SDA), elle vous offre un accès aux données en temps réel pour tous vos systèmes sur site et cloud à l’aide de tables virtuelles, tout en vous permettant de maîtriser vos coûts.

Stockage In-Memory économique

Le lac de données de SAP HANA Cloud est une simple méthode pour réduire les coûts de stockage. Pour optimiser votre stockage In-Memory actuel sur site, vous pouvez transférer des charges de travail vers SAP HANA Cloud aux fins de traitement et virtualiser l’accès à vos données, tout en gardant vos données sur site.

Faites évoluer votre puissance de calcul ou votre stockage

Lorsque votre entreprise connaît une croissance rapide, vous devez faire changer l’échelle de votre stockage de données et de votre puissance de calcul en conséquence. Étendez rapidement votre productivité sur site sans avoir à investir dans du matériel supplémentaire. Avec SAP HANA Cloud, boostez vos capacités de stockage et améliorez votre puissance de calcul dès que vous en avez besoin. C’est aussi simple que ça !

Pourquoi Geberit a lancé une nouvelle stratégie hybride avec SAP HANA Cloud

À l’instar de nombreuses multinationales performantes, les données sont essentielles pour Geberit. Pour exploiter plus facilement ses données, le leader européen des produits sanitaires a placé SAP HANA Cloud au cœur de sa nouvelle stratégie hybride en matière de données. Grâce à cette solution, l’entreprise a pu rationaliser son environnement informatique et supprimer le besoin en middleware. Aujourd’hui, elle peut accéder à ses données en temps réel de manière centralisée pour prendre des décisions éclairées en temps voulu.

«SAP HANA Cloud sera le point central pour le reporting au sein notre environnement de données. C’est la version unique de vérité qui réunit toutes nos sources de données et qui nous fournit la visibilité dont nous avons besoin.»
– Marius Reck, directeur des applications de support informatique

Pourquoi choisir SAP Data Warehouse Cloud pour étendre votre environnement

Responsabilisez vos utilisateurs et donnez plus d’impact à votre travail

Responsabilisez vos utilisateurs afin qu’ils puissent connecter, modéliser et visualiser les données par eux-mêmes avec SAP Data Warehouse Cloud. Dotée d’une interface utilisateur intuitive et d’une couche métier, cette solution facilite la modélisation des données avec SQL ou un outil graphique par glisser-déposer. Les espaces, quant à eux, fournissent un environnement isolé dans lequel les utilisateurs peuvent modéliser et combiner des ensembles de données mondiaux avec des données locales, par exemple des fichiers CSV.

Grâce à la centralisation et à la virtualisation de SAP Data Warehouse Cloud, les utilisateurs peuvent accéder aux données dont ils ont besoin sans que l’équipe informatique ait à les répliquer et à les exporter. Vous avez besoin d’améliorer un modèle en vue de sa réutilisation dans l’entreprise ? Rien de plus simple. Votre équipe informatique peut y accéder à tout moment pour le mettre à jour, sans avoir à le reconstruire dans un environnement différent.

Répondez plus rapidement aux utilisateurs

Trouvez le bon équilibre entre gouvernance centrale sécurisée, demandes de changement à la volée et responsabilisation des utilisateurs grâce aux espaces de SAP Data Warehouse Cloud. Les espaces sont des environnements isolés dans lesquels les utilisateurs peuvent explorer les données. Dans la fonction de gestion des espaces, l’équipe informatique peut configurer et ajuster très facilement les connexions aux données, l’accès utilisateur et les quotas de calcul/stockage de chaque espace. Étant donné que chaque espace est isolé, les données restent gérées de manière centralisée et connectées en temps réel aux données sous-jacentes de l’entreprise. Dans leur espace, les utilisateurs ont la possibilité d’établir des connexions à de nouvelles sources de données, charger des fichiers locaux et modéliser des données avant de partager en temps réel les informations mises au jour avec d’autres utilisateurs sans affecter l’intégrité des données sous-jacentes.

Un point d’accès unique à toutes vos données

Sans entrepôt de données, il est difficile de garantir la qualité des données. Qui plus est, face à l’augmentation du volume et du nombre de sources de données, votre environnement se complexifie, ce qui peut nuire aux performances et aux analyses. Avec SAP Data Warehouse Cloud, l’équipe informatique peut consolider les données et tirer profit de services ETL/ELT, comme la mise en place de pipelines ou la transformation des données, pour créer une couche de données robuste et très performante.

L’équipe informatique ou les utilisateurs peuvent ensuite définir l’accès aux données en créant et en gérant des modèles de données complexes. En parallèle, la couche métier de SAP Data Warehouse Cloud mappe les concepts métier aux données sous-jacentes, afin qu’un plus grand nombre d’utilisateurs puissent comprendre et modéliser les données par eux-mêmes.

Atténuez la menace du Shadow IT

SAP Data Warehouse Cloud est une solution de bout en bout qui répond à tous les besoins de vos collaborateurs, depuis l’intégration jusqu’à la modélisation en passant par l’analyse, ce, afin de limiter le recours à des solutions ad hoc. Elle est également ouverte, ce qui permet d’y connecter les outils tiers dont vos collaborateurs se servent et de les gérer de manière centralisée. Peu importe la fonction ou le service de vos collaborateurs, SAP Data Warehouse Cloud vous permet de définir des autorisations claires et d’attribuer des rôles aux utilisateurs. Grâce aux espaces, l’équipe informatique dispose d’une visibilité à l’échelle de l’entreprise et peut gérer les différentes sources de données et connexions de manière centralisée.

Porsche étend SAP BW/4HANA vers le cloud avec SAP Data Warehouse Cloud

Porsche souhaitait entamer la transformation numérique d’un plus grand nombre de ses collaborateurs. Le groupe automobile avait déjà plusieurs systèmes en place, notamment des systèmes SAP (tels que SAP BW/4HANA et SAP ERP) et des systèmes tiers. Il ne souhaitait donc pas rajouter d’énièmes systèmes à cette organisation. Ce dont Porsche avait besoin, c’était d’une couche virtuelle unique pour connecter l’ensemble de ces systèmes et optimiser le flux des données. Le tout, dans un environnement géré pour éviter les éventuelles erreurs.

C’est ce qu’a permis l’extension de SAP BW/4HANA vers le cloud avec SAP Data Warehouse Cloud, entre autres choses.

«Nous avions besoin d’une solution qui réunirait l’ensemble de nos systèmes existants et qui ferait en sorte que chaque utilisateur final ait accès aux données dont il a besoin, et uniquement à ces données. SAP Data Warehouse Cloud était la solution idéale pour transformer notre architecture de données sans avoir à dépenser un montant colossal.»
– Markus Hartmann, directeur de la gestion des projets informatiques chez Porsche

Commencez petit et voyez grand

Chaque entreprise a une transition vers le cloud différente. Que l’objectif soit de responsabiliser les utilisateurs ou de créer une version unique de la réalité, SAP HANA Cloud et SAP Data Warehouse Cloud offrent la flexibilité dont vous avez besoin.

SAP HANA Cloud et SAP Data Warehouse Cloud ne nécessitent aucun investissement préalable, et c’est SAP qui s’occupe de la gestion et de la maintenance. Vous souhaitez évaluer vos besoins ? Pas de problème. Lancez plusieurs projets pilotes et voyez ce qu’il vous faut. C’est là l’atout de ces deux solutions : grâce à leur approche flexible, vous pouvez commencer petit et évoluer au fil du temps. Par la suite, vous pouvez mettre en place une solution hybride à long terme pour tirer tous les avantages du cloud et des systèmes sur site, ou passer intégralement au cloud. À vous de voir !

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Source de l’article sur sap.com

La transparence numérique transforme les décisions des clients (autrefois considérées comme des choix personnels ou esthétiques) en choix moraux.

L’essor des décisions d’achat morales

Avant, les clients prenaient des décisions en fonction de critères comme la qualité et l’utilité. Aujourd’hui, ils se basent de plus en plus sur les valeurs et actions de l’entreprise.

Considérons cela comme l’essor des décisions d’achat morales.

Les réseaux sociaux et plateformes numériques permettent aux entreprises de savoir de manière rapide et transparente ce qui importe le plus aux clients. Les nouvelles tendances mode, par exemple, se propagent à travers le monde en seulement quelques heures, et non plusieurs jours ou semaines. Les réseaux sociaux aident aussi les clients à interagir facilement les uns avec les autres, où qu’ils soient dans le monde, du moment qu’ils partagent les mêmes croyances et idéologies.

Les plateformes technologiques ont donné naissance à une prise de conscience mondiale sur des problématiques internationales comme le changement climatique, la violence et les droits de l’Homme. Parallèlement, les réseaux sociaux et technologies numériques offrent une transparence toujours plus grande sur les opérations des entreprises, permettant ainsi aux clients de se renseigner plus facilement sur leurs valeurs. Les clients se tournent ensuite vers les marques et produits qui incarnent leurs valeurs.

Accroître la transparence numérique aide les clients à évaluer les valeurs des entreprises à travers trois grandes catégories :

Les valeurs esthétiques

Elles influencent le plaisir et le mécontentement que nous procurent différentes choses comme la musique, la mode et le design. Les plateformes sociales diffusent les choix esthétiques des gens plus loin et plus vite, ce qui accélère comme jamais les tendances en matière d’esthétique.

Les valeurs personnelles

Elles déterminent les sentiments relatifs à la santé, au mode de vie et aux relations. Les clients s’attendent à ce que les entreprises adaptent leurs produits à leurs valeurs personnelles, d’autant que la personnalisation est de plus en plus facile.

Les valeurs morales

Comme l’honnêteté, l’équité et la compassion. Elles définissent ce que les individus pensent être bon ou mauvais. L’alignement des marques sur les valeurs morales joue un rôle de plus en plus important dans les décisions des clients.

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Les plateformes sociales sensibilisent davantage aux défis humains à travers le monde, tels que l’accès à la nourriture et à l’eau, le changement climatique et la violence. Cette prise de conscience donne plus de poids aux valeurs morales dans les décisions des clients. Par exemple, si l’on choisissait avant nos chaussures pour des raisons esthétiques, aujourd’hui, nous entendons davantage mettre fin au travail forcé et marquer une différence.

La transparence incite les entreprises à prendre position. Les clients réalisent que, grâce à leur pouvoir d’achat, ils peuvent inciter les entreprises (voir « Des marchés aux communautés ») à soutenir clairement les valeurs qui leur tiennent à cœur. Les deux tiers des consommateurs affirment qu’ils soutiendront les entreprises qui, selon eux, font une différence positive dans la société (1). Et un nombre croissant de consommateurs condamnent les entreprises dont ils ne partagent pas les valeurs –(2). Il ne fait aucun doute que, pour les entreprises, les enjeux sont énormes et ne cessent de croître.

Pour aligner votre entreprise sur les décisions d’achat morales :

Comprenez les valeurs morales du marché

Les entreprises doivent intégrer en profondeur les valeurs morales de leur marché cible dans la conception de leurs produits et fournir aux clients des moyens de partager ces valeurs en faisant des déclarations. Mettez en avant et exprimez vos valeurs à chaque étape de l’expérience, de l’emballage ou des matériaux indiquant l’origine du produit, jusqu’aux scorecards numériques reflétant l’engagement de l’entreprise à l’égard de causes majeures.

Appliquez les valeurs morales à toute l’entreprise

Les clients savent si les entreprises sont sincères. Tirez parti des technologies émergentes pour assurer la transparence sur les sources d’approvisionnement, les conditions de travail, l’impact environnemental et la gérance adaptée des communautés locales. Par exemple, la blockchain peut aider à garantir la conformité au sein des réseaux de fournisseurs.

Prenez position ensemble

Revendiquez des positions claires et publiques sur des questions qui préoccupent collaborateurs et clients. Élaborez des programmes qui encouragent les partenariats sur une mission commune, et utilisez des plateformes numériques pour accroître l’impact. Par exemple, les compteurs intelligents des services publics entendent aider les clients à économiser l’énergie. Les programmes de type « Buy one, give one » intègrent le partenariat directement dans la transaction.

Faites de vos clients de vrais héros

Communiquez le succès en mettant l’accent sur l’impact produit par les clients et sur le rôle de soutien de votre entreprise. Développez des plateformes qui permettent aux clients de voir directement leur impact. Par exemple, les capteurs IoT sont capables de surveiller l’utilisation d’un produit de sorte que les clients puissent partager leurs accomplissements sur les réseaux sociaux.

Publié en anglais sur insights.sap.com


Références :

(1) Raphael Bemporad, « Brand Purpose in Divided Times » (La mission d’une marque en ces temps incertains), BBMG, 5 octobre 2017, http://bbmg.com/brand-purpose-in-divided-times/.

(2) Britta Wyss Bisang, « Five Key Sustainability Trends for 2018 » (Cinq grandes tendances en matière de développement durable pour 2018), Ethical Corporation, 12 mars 2018, http://www.ethicalcorp.com /five-key-sustainability-trends-2018.

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Source de l’article sur sap.com

L’éthique est au cœur de la démarche IT de la MAIF. Robotiser les processus, oui, à condition que cela soit bénéfique aux sociétaires, aux collaborateurs, ainsi qu’aux performances et aux engagements sociaux de l’entreprise. À ce jour, une quinzaine de robots ont été déployés avec succès.

La MAIF est un assureur à part. Capitalisant sur ses valeurs mutualistes et sociales, la MAIF est financièrement solide, a décroché 16 fois le Podium de la relation client pour le secteur de l’assurance, tout en restant le seul assureur à faire partie des 50 entreprises les plus admirées des Français (IFOP – JDD – Nov 2019). Un impressionnant palmarès, mais qui ne doit pas faire oublier les questions d’efficacité opérationnelle. Un élément clé de satisfaction des sociétaires.

C’est en 2017 que la MAIF s’est penchée sur les technologies de RPA (Robotic Process Automation). Après une première expérimentation, l’assureur a compris tout l’intérêt qu’il pouvait tirer de cette technologie. Suite à appel d’offre, la solution de SAP a été choisie et déployée en 2018.

« Nous répondons aux sollicitations des métiers, qui expriment leurs besoins et décrivent une solution d’automatisation. Après étude du projet, le RPA est souvent préconisé pour répondre à ces demandes, car il est souple, facile à mettre en œuvre, avec un budget restreint » explique Jocelyn Paris, Chargé d’étude des systèmes d’information à la MAIF.

Avec le RPA, il n’est pas nécessaire de développer de nouvelles applications dans l’environnement MAIF : le robot va tout simplement reproduire des actions utilisateur. Ce qui est à la fois rapide et peu coûteux. Une quinzaine de robots sont aujourd’hui en production.

Une aide précieuse pour le service contrats

Les assureurs ont une responsabilité d’évaluation du niveau de risque de chaque assuré. Plusieurs fois par an, la MAIF fait ainsi ressortir les situations en alerte. Toutefois, un tiers de ces alertes peuvent être écartées selon des règles spécifiques et sans qu’il soit nécessaire de se mettre en relation avec l’assuré. Ce travail fastidieux peut être confié à un robot, libérant ainsi du temps pour les collaborateurs. Mis en place en un peu plus d’un mois, ce robot est un succès et se charge de sortir les fiches pouvant l’être de façon automatique.

Lors du batch d’avril 2020, les collaborateurs n’ont pas pu avoir un accès direct aux fiches papier. Le robot a donc été modifié pour reporter l’ensemble des fiches au prochain batch de septembre. Les services en charge d’imprimer et de traiter ces fiches ont été soulagés d’une tâche difficile à mettre en œuvre en télétravail. Les processus de RPA ont ainsi montré leur capacité à s’adapter rapidement à une nouvelle situation.

« Nous avons démarré avec un premier robot chargé de faciliter la régularisation des situations comptables de certains de nos assurés. Sur 15.000 cas recensés par an, 8000 à 9000 sont maintenant traités par ce robot, soit 1500 heures gagnées, témoigne Magalie Vincent, Responsable d’équipe au service contrats. Un nouveau robot, déployé en janvier 2020, aide à traiter les fiches d’observation de la sinistralité. Sur 8000 fiches, le robot a pu en écarter 2600. Cela simplifie notre travail en nous soulageant d’une tâche chronophage, qui mobilisait jusqu’à 15 collaborateurs. Nous pouvons ainsi nous pencher sur les cas les plus intéressants et nous recentrer sur notre rôle d’analyse du risque. »

Notez qu’une phase d’ajustement des critères d’action de ce nouveau robot devrait lui permettre de prendre en charge un plus grand nombre de dossiers.

Une accélération des rapprochements bancaires

Il est parfois difficile d’effectuer des rapprochements entre les paiements reçus et les contrats des assurés. Chaque jour, des centaines de règlements ne sont pas rattachés automatiquement au compte d’un sociétaire. La MAIF dispose d’un outil pour faire ressortir les virements non identifiés et d’un autre pour rechercher des coordonnées bancaires dans les bases de la société. L’affectation au bon sociétaire des fonds reçus sans référence reste toutefois un travail fastidieux.

Le rapprochement entre ces différentes bases de données est une tâche qui peut être en grande partie automatisée. Le robot se charge de prendre la référence d’un paiement dans le premier outil et de rechercher à qui il pourrait correspondre dans le second. Le service de la gestion économique dispose ainsi de plus de temps pour se pencher sur des dossiers complexes.

« Le robot nous aide dans ce travail fastidieux, long et très répétitif, confirme Sylvie Carasco, Chargée de gestion comptable, service comptabilité assurance et réassurance. Il est capable de rechercher simultanément dans plusieurs bases de données suivant des critères comme le nom ou l’IBAN, et de trouver un ou plusieurs sociétaires pouvant correspondre. Le travail de recherche est ainsi défriché, ce qui permet d’accélérer la clôture de chaque dossier. Ce robot est d’une aide précieuse, en particulier lors des périodes d’échéances annuelles, où 500 à 600 recherches doivent être effectuées chaque jour, occupant de 7 à 8 personnes à temps plein. »

Là encore, ce robot s’est montré particulièrement utile pendant la crise du Covid-19. Avec un taux de réussite de 80 %, il remplit ses objectifs. L’amélioration continue des critères d’action du robot devrait encore augmenter son efficacité.

Et des dizaines d’autres projets en préparation…

Le service qui gère les conventions automobiles en est déjà à trois robots déployés et un quatrième en cours de développement. Très intéressé par le RPA, le service conventions réfléchit à d’autres processus que cette technologie pourrait contribuer à automatiser.

« C’est un travail que nous avons mené sur plusieurs années, explique Céline Beunet, Responsable du service conventions. Les robots du service convention adressent des tâches précises : prise en charge d’un évènement non déclaré via l’ouverture d’un dossier et l’envoi d’un courrier au sociétaire ; automatisation du changement d’assureur lorsque le recours a été initialement présenté à la mauvaise partie ; suivi du remboursement du forfait, lorsqu’un recours présenté par une compagnie adverse a été contesté et refusé. Dans ce dernier cas de figure, le robot vérifie dans les échanges informatisés que nous avons bien été remboursés, puis classe le dossier. Ce que j’aime, c’est la possibilité de fixer les conditions d’action du robot et non de lui confier 100 % des processus. Ainsi, dès qu’un cas est litigieux, le gestionnaire reprend automatiquement la main. »

Le premier ROI du RPA est le temps qu’il fait gagner aux équipes. Économique et facile à mettre en œuvre, c’est un outil sans concurrence pour automatiser les processus. « Par rapport au coût d’automatisation d’une chaine logicielle, le RPA revient quasiment 10 fois moins cher, confirme Jocelyn Paris. Mais attention, le ROI est évalué selon quatre axes : la satisfaction des sociétaires ; la satisfaction des collaborateurs ; la performance de l’entreprise ; et l’aspect RSE. On ne veut surtout pas d’un robot qui remplace l’humain, mais d’une technologie qui aide l’humain. »

Maintenant que la plate-forme est en place et accessible largement, les demandes affluent et devraient sans nul doute s’intensifier. « La société française va vers plus de réglementation et d’administratif. Le RPA peut contribuer à atténuer ce phénomène. Si un robot peut s’occuper d’un traitement administratif, c’est aussi bien, car nous préférons que nos collaborateurs se focalisent sur leur cœur de métier : la relation humaine. » L’assureur militant s’engage ainsi au service de la performance comme du bien-être de ses collaborateurs.

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Source de l’article sur sap.com

SAP et Accenture dévoilent, dans un contexte de crise sanitaire, les résultats d’une étude comportementale pour décoder l’état d’esprit des consommateurs, identifier les évolutions concrètes en termes de circuit de distribution, de parcours d’achat et de critère de choix des produits et comprendre les attentes des Français vis-à-vis de leurs enseignes de distribution.

Les Français privilégient les dépenses essentielles

Depuis le début de la crise sanitaire, une réduction budgétaire s’est imposée. En effet, 78% des répondants reconnaissent être inquiets à propos des divers impacts de l’épidémie sur leur quotidien : une inquiétude d’abord sanitaire mais également économique. Cela explique que près de la moitié des répondants (48%) a réduit ses achats depuis le début de la crise.

L’étude révèle également que 57% des consommateurs expriment leur intention de reconsommer « autant qu’avant », parmi lesquels, près de la moitié déclarent toutefois vouloir « consommer mieux ». Un quart des Français ont au contraire exprimé l’intention de réduire leurs achats sur le long-terme, portés par une majorité de répondants ayant subi des répercussions professionnelles. Les intentions des Français concernant les catégories de dépenses varient : les dépenses « essentielles » comme l’alimentaire seront maintenues alors que les dépenses « non essentielles » comme les voyages seront réduites.

Les circuits de distribution alternatifs et les canaux digitaux sont de plus en plus plébiscités par les Français

L’étude souligne une transition partielle vers des achats en circuits courts, en commerces de proximité ou de seconde main. En effet, un quart des répondants ont modifié leurs comportements d’achats depuis le début de la crise sanitaire en modifiant leurs circuits de consommation privilégiés. Pour les achats alimentaires, ce sont les commerces de proximité et les circuits courts qui gagnent l’adhésion des consommateurs ayant changé de circuit préféré : +20% pour les commerces de proximité et +100% pour les circuits courts.

En termes de canaux d’achat, l’étude observe un transfert partiel vers des parcours d’achat en ligne, motivés dans un premier temps par des contraintes sanitaires et réglementaires, cependant l’achat en point de vente physique était et reste le canal d’achat le plus utilisé par les français : respectivement 70% et 52% des répondants le déclarent comme leur canal d’achat privilégié, pour l’alimentaire et le prêt-à-porter, après la période de confinement. Le choix des Français vers la livraison à domicile a quant à elle augmenté de 46% et celui du drive de 100%. Ces nouveaux utilisateurs déclarent changer de canal par crainte des contacts en point de vente, et par volonté de gagner du temps et de la flexibilité dans leurs achats alimentaires.

Malgré une motivation de changement principalement contrainte, 40% des consommateurs ayant transféré vers des canaux en ligne déclarent avoir découvert un canal plus adapté à leurs besoins, ou leur permettant d’accéder à une offre de produits non disponible via leur canal habituel, entraînant un besoin de modifier durablement les parcours d’achat pour les retailers.

Au-delà des bonnes intentions, le prix reste le maître mot des Français

La crise du COVID-19 confirme l’importance du prix pour les consommateurs, qui font des avantages clients leur attente prioritaire envers les enseignes. Depuis le début de la crise du COVID-19, 29% des consommateurs ont changé ou pensé changer d’enseigne. Sur l’alimentaire, la 1ère cause de changement citée est l’incapacité de l’enseigne à garantir une stabilité des prix (21%), devant l’absence de solutions / parcours d’achats alternatifs (17%).

L’étude révèle que 40% des consommateurs font des avantages fidélité et des promotions une attente prioritaire vis-à-vis des enseignes. Les 3 premiers critères de choix sont les avantages clients (fidélité, promotions…) (40%), le choix de produits (40%), et l’effort consacré au soutien de l’économie nationale (33%). Malgré une prédiction d’émergence du « mieux consommer » à la suite de la crise sanitaire, il ressort de l’étude qu’en cette période de crise sanitaire l’engagement des enseignes pour les sujets environnementaux et sociétaux est moins prioritaire pour les consommateurs français.

Enfin, le prix ressort comme facteur principal de décision d’achat dans la sélection des produits – pour l’alimentaire et le prêt-à-porter. Pour les achats alimentaires, en plus du prix, les habitudes familiales ressortent comme critère principal de choix, pour les différentes catégories de produits (frais, secs, liquides, et hygiéniques). Pour les achats de prêt-à-porter, c’est la qualité qui ressort comme 2ème critère de sélection, pour 70% des répondants.

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Source de l’article sur sap.com

Les entreprises créent des plateformes ouvertes qui permettent aux clients de participer à tous les aspects de l’expérience, à la fois de manière active et de manière passive.

Le succès des plateformes ouvertes

Les clients ne se contentent plus d’être de simples consommateurs de biens et services, ils font partie intégrante du business model. Lorsqu’ils contribuent à la conception, production, commercialisation et utilisation de produits et services, la participation des clients est active. Quand ils acceptent de laisser les entreprises utiliser leurs données pour formuler et fournir des produits et services qui leur sont destinés, elle est passive.

Quoi qu’il en soit, les entreprises ne peuvent survivre sans créer des plateformes de données qui encouragent à la fois la participation active et passive des clients au développement de produits, de services et à l’expérience globale. Contrairement aux référentiels de données classiques qui ne servent qu’aux entreprises, ces plateformes ouvertes offrent de la valeur aussi bien aux clients qu’à l’entreprise.

Par exemple, plutôt que de devoir atteindre attendre la prochaine version d’une application de suivi alimentaire ou de cuisine, les clients ont accès à des plateformes ouvertes où les utilisateurs peuvent ajouter de nouveaux aliments, de nouveaux produits et de nouvelles recettes que d’autres personnes peuvent rechercher et utiliser. Les entreprises agroalimentaires et culinaires boostent la fidélité des clients et parviennent à développer leur plateforme de manière exponentielle, ce qui nécessite que très peu d’investissements supplémentaires.

Toutes ces données offrent aux entreprises agroalimentaires des informations inestimables sur la façon et l’endroit les plus adaptés pour développer leur activité. La plateforme devient le socle de l’entreprise et fournit une visibilité incroyablement riche sur le client, ce qui permet de définir une orientation
stratégique pour l’avenir.

D’autres entreprises, comme les fournisseurs de matériels agricoles ou fabricants de réacteurs d’avions, créent également des plateformes qui surveillent leur utilisation et encouragent la participation. Au fur et à mesure que ces plateformes deviennent plus intelligentes et que de nouvelles fonctionnalités sont ajoutées, la participation devient plus facile, créant ainsi un cercle vertueux. En échange de leur créativité et de leur expertise, les clients s’attendent à recevoir de meilleurs produits et services, bien sûr, mais apprécient aussi le statut, la reconnaissance, le sentiment d’appartenance et le sens issus de leur contribution à quelque chose qui leur tient à cœur.

Les clients s’attendent de plus en plus à contribuer à leur expérience des quatre façons suivantes :

En tant qu’utilisateurs

Les entreprises les plus performantes intègrent désormais les données client à l’expérience client, ce qui permet aux clients d’en tirer directement parti. Avant, par exemple, les montres connectées constituaient à elles seules l’expérience. Aujourd’hui, ce sont des dispositifs d’entrée qui alimentent les plateformes de données afin que les clients puissent profiter d’expériences beaucoup plus riches qu’ils ne pourraient le faire avec le dispositif seul (par exemple, records personnels, concours collectifs, rencontres et partage d’itinéraires).

En tant que créateurs

Les entreprises mettent des plateformes numériques à disposition du client pour libérer son imagination. Plutôt que de laisser les clients attendre la prochaine version de leur jeu vidéo, par exemple, les éditeurs créent des plateformes ouvertes sur lesquelles les joueurs peuvent créer de nouveaux niveaux et modules à destination de toute la communauté. D’autres permettent aux clients de suggérer de nouveaux concepts de produits.

En tant que producteurs

Les clients contribuent activement à la fabrication de produits. Par exemple, si les systèmes d’énergie renouvelable permettent aux clients qui produisent de l’électricité excédentaire de la vendre au réseau, les fournisseurs de repas en ligne livrent quant à eux aux clients des ingrédients et instructions pour qu’ils préparent eux-mêmes leurs repas à la maison (quoi de plus important qu’un repas fait maison et pris en famille ?).

En tant que soutiens

Les clients privilégient de plus en plus les entreprises qui leur permettent d’être actifs, de participer visiblement aux trois 3 R (réduction, réutilisation et recyclage) et à des programmes de recommerce (ou commerce inversé) (9). Les produits pouvant être facilement reconvertis, revendus, démontés et recyclés donnent satisfaction aux personnes préoccupées par le changement climatique, d’autant plus que les trois R sont en train de devenir un enjeu moral pour un nombre croissant de clients (voir « Les valeurs définissent la valeur »).

Quelles sont les étapes suivantes pour votre entreprise ?

Créez de la valeur à partir de la participation passive

Généralement, les clients acceptent de fournir leurs données en échange de valeur, surtout s’ils n’ont rien à faire. Par exemple, après avoir obtenu l’autorisation des clients d’accéder à leurs données bancaires et de carte de crédit, les sociétés financières utilisent des algorithmes de Machine Learning, des outils d’analyse et d’immenses référentiels de données pour créer des rapports d’investissement pertinents, sans que les clients n’aient à bouger le petit doigt.

De la livraison de produits finis à la mise à disposition de plateformes ouvertes

Appréhendez les clients comme de véritables partenaires, capables de participer à n’importe quelle étape de la chaîne de valeur. Donnez-leur les moyens d’agir avec une partie du produit, comme des jeux vidéo en ligne ouverts ou des services de repas qui permettent aux clients de préparer eux-mêmes leur repas. Engagez-vous dans un concept de copropriété à long terme en collaborant avec vos clients et d’autres entreprises, et en prenant soin de vos clients.

Expliquez la contrepartie

Expliquez clairement au client la valeur qu’il reçoit en échange de ses contributions à la chaîne valeur. L’expression créative, les liens communautaires, la reconnaissance et les expériences personnalisées, en plus de la valeur du produit lui-même, sont des exemples de ce que les clients pourraient obtenir.

Publié en anglais sur insights.sap.com


Références

(9) Alissa Marchat, “Consumers Prefer Reverse Vending Machines for Bottle Recycling, Survey Finds,” The Shelby Report, April 27, 2018, http://www.theshelbyreport.com/2018/04/27/consumer-recycling- preference-survey/. Brandon Gaille, “27 Recommerce Industry Statistics and Trends,” Brandon Gaille, January 22, 2018, https://brandongaille.com/27-recommerce-industry-statistics-and-trends/.

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SAP Analytics Cloud concrétise la Business Intelligence de nouvelle génération, avec une ouverture totale, un plus large ensemble de fonctionnalités et l’intégration de technologies intelligentes, allant jusqu’au prédictif.

« Être une entreprise Intelligente, c’est rechercher au sein de l’ERP les voies d’automatisation, d’intégration et de fluidification des processus, explique Florian Hamon, Business Development Director, SAP Center of Excellence, SAP. SAP Analytics Cloud ou SAC participe à ce mouvement, avec son analytique temps réel et ses fonctionnalités avancées. »

SAP Analytics Cloud combine dans une unique offre cloud une solution de Business Intelligence avancée, des outils de planification et des capacités d’analyse augmentée. Des atouts clés pour accélérer le processus de décision.

Une solution conçue pour les défis d’aujourd’hui…

SAP Analytics Cloud est né d’un triple constat : un changement de paradigme en matière de BI, une très forte accélération des solutions cloud et la volonté d’accéder aux solutions métiers depuis tout type de support.

Concernant la Business Intelligence, SAP Analytics Cloud est capable de se connecter à toutes les sources de données grâce à des connecteurs SQL, BusinessObjects et SAP. La création de stories s’effectue à la souris, avec la possibilité de personnaliser les dashboards et d’insérer des éléments visuels évolués (par exemple de la cartographie). Des fonctions avancées de collaboration et de partage sont proposées. Enfin, une intégration native avec Excel est assuré, au travers d’Analysis for Office.

Sur le terrain du planning, SAP Analytics Cloud permet une planification dans l’instant, c’est-à-dire en live. Vous allez pouvoir ainsi analyser et restituer depuis le même outil. Mais aussi simuler, au travers de scénarios de type what-if, qui permettront d’explorer différentes options de décision. Là encore, le collaboratif (partage de plannings, délégation de tâches) est au cœur du module planning de SAC.

… et de demain

Le pilier Smart de SAP Analytics Cloud est primordial. Ses fonctionnalités intelligentes s’appuient massivement sur les algorithmes et le Machine Learning.

  • Découverte intelligente : SAC va proposer automatiquement et intelligemment des dashboards clés en main construits automatiquement à partir d’un jeu de données, sans préparation préalable. Des KPI variés sont proposés et les indicateurs clés influençant les données sont mis en valeur.
  • Interrogation des données : il est possible d’automatiser la génération de contenu en effectuant des recherches exprimées en langage naturel. Vous n’aurez plus besoin de passer par le service informatique pour disposer d’une restitution personnalisée.
  • Analyse intelligente : cette fonctionnalité permet de comprendre ce qui se cache derrière une donnée de base. Elle pourra également détecter des patterns dans les données ou donner la raison d’un point de données particulier.
  • Terminons par l’une des fonctionnalités les plus innovantes de SAP Analytics Cloud, les scénarios prédictifs : l’entrainement de modèles de Machine Learning avec des données existantes permettra par la suite de les utiliser sur de nouveaux jeux de données. Une technologie qui ouvre la voie à l’analyse prédictive !

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La crise sanitaire a appris aux entreprises combien il est essentiel de savoir s’adapter rapidement. Que ce soit en termes de production, de sourcing ou encore de distribution. En adoptant un modèle plus durable, il est possible de garantir la continuité de l’activité, même en cas de changement inattendu et massif de la demande.

L’économie d’expérience s’est imposée comme la thématique clé de l’année 2019. Ce concept a toutefois été éclipsé en 2020 par un invité inattendu, la résilience. Les PRA et autres plans de préparation aux risques ont en effet été confrontés à une réalité de terrain : une crise sanitaire et économique, doublée de schémas de consommation et de distribution profondément perturbés.

Défi 1 : éviter la rupture d’activité

Les moins chanceuses des entreprises sont celles pour lesquelles le confinement a enlevé toute possibilité d’activité. Au plus dur de la crise sanitaire, certaines ont dû ainsi purement et simplement fermer leurs portes. Mais d’autres ont su également rebondir, au travers de la distribution multicanale, de l’innovation métier, ou de la saisie de nouvelles opportunités de marché.

Les industriels qui ont su rediriger rapidement leur production vers de nouveaux produits (masques, respirateurs, gel hydroalcoolique, repas à emporter…) ont pu tirer leur épingle du jeu. Avec les crises économiques, sanitaires et climatiques qui s’annoncent, il faut s’attendre à une multiplication de ces défis de flexibilité, et s’y préparer.

Défi 2 : le télétravail

Dans l’absolu, beaucoup d’entreprises pourraient poursuivre leur activité avec une majorité de leurs salariés en télétravail. Mais peu étaient prête à travailler de la sorte, du fait d’un back-office inaccessible hors des murs de l’organisation et manquant de flexibilité opérationnelle. Des solutions cloud, comme Teams ou Zoom, ont pu compenser en partie ce manque. Mais ce n’est pas suffisant.

Il faut maintenant mettre en place des systèmes plus agiles et intelligents, capable de mieux analyser et prévoir, mais aussi de mieux s’adapter à une forte volatilité de la demande. Ceci doit d’accompagner d’infrastructures ouvertes vers l’extérieur et sécurisées, mettant en œuvre des technologies comme des équipements informatiques mobiles, des solutions informatiques en mode cloud, des systèmes de communication unifiée, de la blockchain, etc.

Défi 3 : se rapprocher du consommateur

Qui dit télétravailleur dit consommation à distance. Les entreprises se doivent donc d’aller vers le consommateur, en privilégiant le B2C, par exemple au travers de l’e-commerce. Mais aussi en transformant le B2B en B2B2C ou encore le Direct Selling en Social Selling.

Cela induit des changements profonds dans la structure logistique, avec une nécessité d’optimiser à la fois la production et la chaîne de distribution, afin de desservir un maximum de clients en un minimum de fret. Nous retrouvons ici une problématique que nous avions déjà rencontrée avec la montée de l’économie d’expérience. Celle-ci se traduit en effet par une hyper-personnalisation des produits, qui doivent être directement livrés au client, sans délai.

La solution est donc peut-être de combiner ces deux problématiques, afin de les transformer en opportunité : savoir combiner l’impératif de résilience imposé par la situation économique et sanitaire à la volonté d’expérience portée par les consommateurs et partenaires.

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Avec la licence Enterprise Edition, vous accéderez sans restrictions à la base de données SAP HANA. Découvrez en quoi le passage à une licence full use peut être avantageux pour vos données et applications métiers.

Il y a 10 ans, SAP présentait un outil de gestion de bases de données de nouvelle génération, SAP HANA. Une offre présentant plusieurs caractéristiques clés :

  • In memory : les données sont lues et écrites en mémoire, pour des performances extrêmes
  • Orienté lignes : ce mode permet d’optimiser l’écriture (un enregistrement par ligne)
  • Orienté colonnes : ce mode facilite les requêtes (un type de données par colonne)

Cette double casquette ligne/colonne permet à SAP HANA d’adresser à la fois les traitements transactionnels et analytiques. Des technologies avancées gravitent autour de ce cœur : serveur d’applications, scripting, prédictif, Machine Learning, vues OLAP, graphes, gestion des données spatiales…

L’ensemble propose à la fois une connexion aux applications SAP (BICS) ou non (SQL et MDX). Il est également possible d’accéder à des sources de données tierces via Smart Data Streaming et Smart Data Access et aussi d’intégrer quasiment n’importe quel type de données, structurées ou non, jusqu’aux sources Hadoop, au travers de Smart Data Integration. Tout ceci est combiné avec des fonctions de partionning, de haute disponibilité, de répartition de charge, de parallélisation des requêtes, d’aide à la reprise d’activité, etc.

SAP HANA est aujourd’hui au cœur de nombreuses applications SAP. Il est également possible de l’utiliser en mode autonome. « Dans les deux cas, l’ensemble des fonctionnalités est disponible, car il n’existe qu’une seule version de SAP HANA », explique Olivier Demeusy, Director at Center of Excellence, EMEA North for SAP Business Technology Platform.

Runtime VS Enterprise

La principale différence entre SAP HANA Runtime Edition et SAP HANA Enterprise Edition réside dans le mode d’accès à la base de données et les restrictions s’y appliquant :

  • L’édition Runtime est conçue pour les applications SAP et ne peut être adressée qu’à travers ces applications
  • L’édition Enterprise est accessible sans restrictions depuis n’importe quel système ou application, SAP ou non.

La Runtime Edition n’autorise donc l’interaction avec la base de données qu’au travers des applications SAP, qui vont se charger de lancer les requêtes. L’Enterprise Edition est pour sa part accessible depuis les applications SAP, des applications tierces ou vos propres applicatifs métiers.

L’accès pourra se faire en direct au travers de requêtes SQL. Les fonctions d’intégration et de qualité de données pourront être librement exploitées, tout comme les moteurs avancés de SAP HANA. Enfin, de multiples ponts seront accessibles afin de lier du code métier à SAP HANA. Et ce jusqu’à l’hébergement de vos applications dans SAP HANA. SAP HANA XS Advanced permet en effet le développement d’applications natives SAP HANA, capables de fonctionner au plus près de la donnée.

Un changement de licence facilité

Passer de la Runtime Edition à l’Enterprise Edition est aisé, SAP HANA restant identique dans les deux cas. « Le passage d’une licence à l’autre ne se traduit par aucun changement technique », confirme Olivier Demeusy.

Le tarif comprend un coût d’acquisition et une maintenance annuelle. « Le tarif appliqué dépend directement du volume de données qui sera pris en charge par SAP HANA, avec un calcul effectué par blocs de 64 Go. » Que vous utilisiez une base de données de 500 Go ou de 20 To, vous aurez donc toujours la garantie de bénéficier d’une offre parfaitement ajustée.

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