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De la conception à l’utilisation, le numérique permet de suivre l’ensemble du cycle de vie d’un produit. Mais aussi de transformer la relation entre le fournisseur et ses clients, en proposant des innovations comme le Product as a Service.

Le jumeau numérique est une réplique numérique d’un objet, processus ou système. Alimenté en temps réel par des données venant de son jumeau physique, le jumeau numérique permet de disposer d’informations clés sur le dispositif ou service simulé. L’apport de techniques de Machine Learning ouvre même les portes du prédictif.

De la simulation classique au jumeau numérique

L’utilisation de la simulation numérique et de modèles 3D n’est pas nouvelle, mais cet usage était auparavant limité aux bureaux d’études.

« Le jumeau numérique existe dans l’ingénierie depuis une bonne vingtaine d’années », confirme Denis Goudstikker, en charge du Business Development du PLM et du SLM chez Siemens Digital Industries Software. « Dans l’industrie automobile, la simulation numérique a permis de raccourcir le temps de mise sur le marché d’un nouveau véhicule. Il y a trente ans, on jetait 100 véhicules contre un mur pour pouvoir assurer un certain niveau de sécurité. Il y a vingt ans, on n’en jetait plus que 5, après en avoir jeté 5000 dans un autre mur… virtuel. » Une avancée qui s’est traduite par un meilleur niveau de sécurité et une accélération du processus de conception des voitures.

Avec le jumeau numérique, les barrières sont éliminées entre l’ingénierie, la production et la maintenance. Et même au-delà, puisque cette continuité numérique peut se prolonger hors des murs de l’entreprise.

« Le constructeur nous fournit des définitions numériques de son produit », témoigne Eric Miralles, CIO de SNOP, équipementier automobile de premier plan. « À partir de cette définition, nous fabriquons les outils qui vont nous permettre d’emboutir les tôles suivant ce cahier des charges. Il faut pour cela que la chaîne allant de la conception à la production soit numérisée. La modélisation numérique de l’ensemble de la chaîne permet d’avoir une maîtrise globale des processus. »

Le jumeau numérique offre également des opportunités après la phase de fabrication.

« Si le jumeau numérique est né dans le milieu industriel, la capacité de connecter de façon massive des objets distribués aux clients, au travers de l’IoT, permet de développer de nouveaux services, mais aussi de redéfinir la relation entre client et fournisseur », analyse Luca Ammassari, Group Deputy Chief Information Officer in charge of Applications chez Engie.

Quels usages clés pour les jumeaux numériques ?

De la conception d’un produit à son utilisation, en passant par la production, le jumeau numérique permet de suivre l’ensemble du cycle de vie d’un produit. Mais également de réduire le time to market de nouvelles offres, la simulation numérique permettant d’accélérer la conception, le test et l’industrialisation des produits.

« Le jumeau numérique permet de répondre à des enjeux économiques et de recherche d’efficacité dans la production, analyse Eric Miralles. Sa mise en place nécessite toutefois une transformation numérique, mais aussi une transformation des organisations et des hommes. Il faut savoir saisir cette nouvelle opportunité par étapes et accompagner les équipes dans ce changement. »

« Le jumeau numérique est également important pour identifier et comprendre le comportement du matériel, poursuit Denis Goudstikker. Et ainsi optimiser son design et sa maintenance. Analyser le comportement acoustique d’une turbine permet par exemple de détecter tout changement dans son fonctionnement. Des modèles prédictifs vont alors déterminer si et quand elle tombera en panne. »

Les usages dans le secteur de la maintenance commencent à devenir communs, « mais il y a une chose à laquelle on s’attendait moins : le packaging d’objets et de services, explique Luca Ammassari. Le constructeur d’une turbine va proposer avec son équipement des services prédictifs basés sur l’utilisation d’un jumeau numérique. Il va s’appuyer sur les informations issues de turbines installées dans le monde entier qui seront comparées en temps réel au comportement de votre turbine, pour vous donner des probabilités de défaillance ou de perte de performance. »

Oser le passage au jumeau numérique

Construire le jumeau numérique de l’ensemble d’une ligne de production n’est pas toujours possible. Certains équipements anciens, amortis sur des dizaines d’années, ne sont en effet pas équipés de capteurs et ne peuvent parfois pas l’être.

La bonne pratique consiste à avancer par étapes, sur des projets ciblés, au fort ROI. « Il faut mener ses projets selon une approche agile, par petits pas et construire ainsi progressivement de la compétence en interne, explique Luca Ammassari. Certains projets auront des résultats décevants, mais cela ne doit pas remettre en cause la démarche. »

Difficile de savoir de quoi demain sera fait en matière d’innovation, constate Luca Ammassari, « c’est pourquoi notre objectif est d’accompagner les entreprises en leur fournissant des fondations capables d’intégrer ces innovations. Notre but n’est pas de proposer des offres clé en mains, mais une plate-forme permettant de sortir de la supply chain classique pour créer un nouvel écosystème. »

Une logique de partenaires qui est essentielle pour Eric Miralles. « C’est cet assemblage de partenaires qui nous permettra de digitaliser l’ensemble de notre supply chain », confirme-t-il. Et de conclure : « La crise que nous traversons aujourd’hui est un accélérateur et il y a beaucoup d’opportunités, très positives, qui nous permettent d’accéder à ces innovations. »

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Source de l’article sur sap.com

LEVALLOIS-PERRET, France – 10 décembre 2020 – SAP France, 5ème filiale du Groupe SAP, leader du marché des logiciels d’applications d’entreprise, annonce le renforcement de sa stratégie « Green Line » avec la création d’une direction dédiée. Dirigée par Pascal Le Nahédic, celle-ci vise à aider les organisations à répondre à une de leurs priorités incontournables : améliorer leur impact environnemental et sociétal. SAP entend ainsi accélérer sur les sujets clés du développement durable.

En effet, les entreprises européennes sont face à une problématique complexe : alors qu’elle ont consacré 124 milliards d’euros l’an dernier à de nouvelles actions de réduction de leurs émissions de Co2, elles vont encore devoir doubler les investissements bas carbone pour avoir une chance d’atteindre l’objectif de zéro émission nette en 2050 fixé par Bruxelles.

Pascal Le Nahédic nommé Directeur des solutions à impact écologique et sociétal, SAP France

Pascal Le Nahédic prend les commandes des solutions à impact écologique et sociétal de SAP et sera en charge d’accompagner les clients de SAP dans le développement de nouvelles pratiques pour réduire leur empreinte sur l’environnement grâce aux technologies.

Après avoir passé 10 ans au sein du Groupe Exxon en Europe et en Asie, Pascal rejoint SAP France en 1999 en tant que Directeur de projet. En 2007, il occupe la fonction de Presales Industries. Depuis 2015, il assure le rôle de Presales Business Architect pour l’industrie ENR. Passionné par le sujet d’économie circulaire, il multiplie les initiatives d’intrapreneuriat en interne dont un projet innovant visant à aider les entreprises à réduire leurs déchets en termes de PLV (Publicité sur Lieu de Vente).

Sylvie Turcotte – Directrice Avant-Vente, SAP France

Sylvie Turcotte est à la tête de l’ensemble de l’organisation Avant-Vente pour SAP France.  Elle a pour mission de renforcer la croissance cloud de la filiale française par la mise en place de nouvelles approches avant-vente. Passionnée du milieu des technologies depuis 30 ans dont 20 ans au sein du groupe SAP. Sylvie a débuté sa carrière chez SAP Canada en 2000 comme consultante Finance, Funds management et Real Estate, avant de rejoindre l’équipe avant-vente Secteur Public pendant plusieurs années pour ensuite devenir directrice des ventes de Premium Engagement. Par la suite, elle a été nommée Customer Solution Director (CSD) puis Directrice de l’équipe Digital Core (Finance et Supply Chain) au niveau de SAP Canada, rôle qu’elle occupait depuis 3 ans.

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Source de l’article sur sap.com

By the end of the year, the number of global smartphone users is expected to reach 3.5 billion. That’s a significant 9.3% increase over the last 12 months.

In a world where everyone is constantly connected to their mobile devices, it makes sense that web developers and designers would need to consider new rules for how they create engaging experiences. After all, most of us find browsing from our smartphones to be much more convenient than sitting down at a laptop each day.

With a little luck, you’re already taking steps to mobile optimize your website but standards are changing all the time. To make sure your website is up to scratch, here’s your guide to prioritizing your site for mobile, ready for the new year.

Understanding Mobile-First Design

The first step in updating your web design and development principles, is understanding the concept of mobile first design, and how it’s changed.

With a responsive website, you create something that adjusts to the screen size of any device; with a mobile-first site, you’re focusing first-and-foremost on the user experience that people get when they’re on mobile, taking that as your starting point, and building from there. Instead of building your website for the desktop and using mobile as an afterthought, you start with a consideration of mobile.

Even Google is highlighting the demand for this process lately, with the mobile-first indexing algorithm. If you can’t design for mobile-first, then you could risk your clients being unable to rise up the search engine ranks.

So, how do you get started?

1. Start With the Right Tools

Web developers and designers are nothing without a great toolkit.

The good news is that there are solutions out there that can help you to master the right skills for a mobile-focused user experience. For instance, Skeleton is excellent for small-scale projects that require fluid grids and minimal compiling.

Alternatively, Bootstrap can offer a one-size-fits-all solution for the front-end development for mobile devices. There’s a default grid system available, plenty of components, and JavaScript plugins to work with.

With the right tools, you can minimize and prioritize the content that’s most valuable for your website projects. This is crucial for maximizing website speed and creating clarity when it comes to content and imagery.

For instance, check out the ESPN website; it’s split into very easy-to-follow categories of content that are perfect for scrolling on a smartphone. The grid of videos makes it feel like you’re using a tool like YouTube.

2. Prioritize Mobile-First Elements

Once you have the right tools to assist you, it’s time to begin building your mobile-first website from the ground up. Rather than jumping straight into considerations of the latest design trends, it’s important to start with the foundations.

For instance, navigation within a mobile page is usually hidden under a hamburger button. However, you can take this concept to the next level too. For example, the Shojin mobile website only demonstrates the most important website options within the navigation bar to avoid overwhelming users.

The key here is to keep things as simple as possible, without restricting what your audience can do when they visit your website. Although you want to keep the number of interactive elements on your site small, you also need to ensure that those elements are easy to find and use.

All buttons and CTAs should be clear and tappable. Fonts need to be large enough to read from any screen, and your navigation system needs to be 100% simple, without slowing anything down.

On average, we recommend making all clickable elements at least 48 pixels in height.

3. Use Responsive Imagery and SVGs

Images are a crucial part of any website. They add context and appeal to your design. However, they can also seriously slow down your website if you’re not careful.

Remember, different devices have different demands when it comes to imagery. A desktop page may need a 1200px wide image, while a mobile-only needs the image to be 400px wide at most. The old way of making your images work was to load a large resolution image and use the same file on every platform. Unfortunately, this slows downloading time significantly.

Instead, it’s better to have at least two different versions of the same image for your mobile and desktop solutions. You can also consider SVG.

SVGs are incredibly scalable – more so than bitmaps. With SVG, you can ensure any icon or graphic continues to look sharp and clickable across all devices. Because these files are often smaller, your site loads quicker too! Hubspot is great at using SVGs.

Intricate illustrations are a massive component of HubSpot’s brand. If those images were saved as PNGs or other alternative files, then they would take forever to load. Because they’re all SVGs, you can enjoy the same consistent experience across desktop and mobile.

4. Get the Typography Right

It’s not just the big graphics and images that make a huge difference to your website when it comes to mobile-first design. You also need to think about the legibility and clarity of your website across all devices and platforms. If people can’t read the value proposition of the company that you’re designing for, you’re going to have a major problem.

Focus on making your content as easy to read as possible. Look into the typefaces that seem most appealing on a range of devices.

Remember to balance the body and heading font sizes for the device size too. You’ll need to ensure that the experience feels consistent and smooth as your users scroll through each page. Just take a look at the mobile version of the IMPACT website, for instance.

The headings aren’t as huge as they are on the desktop version of the website, and they’re displayed below, rather than above the featured image. However, this helps to give a more immediately eye-catching and structured experience to mobile users.

There’s even a handy “Search Engine Optimization” tag included, that users can click on if they want to find more related articles.

When it comes to typography, remember that it’s not just size and clarity that matter, but how things are structured throughout your website too. Your type should naturally guide your visitors along the page.

5. Master Available Device Features

Finally, on smartphones, you can accomplish a range of amazing things that you might not be able to do when using a desktop device. Your users can make calls, open apps, send messages, and more, all from within their mobile browser. They can also move their smartphone around a room, taking advantage of concepts like AR and VR.

Taking advantage of the unique capabilities that smartphone design can offer gives you a chance to get unique with your user experience.

Making the most of the mobile experience can be much simpler than you’d think. For instance, on a desktop site, you could list your phone number on a contact page. On a mobile site, the number can begin a call when clicked. You can also take the same approach with email addresses, and social media icons too.

Depending on how experimental you feel, there’s also plenty of opportunities to go above and beyond with your mobile features. You may decide to create a mobile app version of a website that your customers can download onto their phones.

Alternatively, you can look into things like AR technology. This could allow your users to practice placing items of furniture that they may be thinking of buying from an online retailer into their house, so they can see how well they work with their other interior design choices.

Making the Most of Mobile-First Design

Ultimately, having a responsive website that works on both mobile and desktop devices is mandatory in the modern world. However, going above and beyond with mobile-first design is a great way to get ahead of the game.

If you can focus on building a website that puts the experiences of mobile users first, then you can create something that’s much more likely to grab audience attention and deliver amazing experiences.

If nothing else, showing your clients that you have what it takes to design for mobile is an excellent way to ensure that you can gain as many new project opportunities as possible.

Source


Source de l’article sur Webdesignerdepot

Vos utilisateurs et clients sont déjà habitués à utiliser leurs applications mobiles, comme Facebook ou Google Docs, pour interagir et travailler en toute flexibilité. Mais derrière le cloud computing, il y a bien plus qu’une simple interface web moderne. Le temps de réponse, le stockage des données, l’accès aux informations, la fiabilité et la sécurité sont autant d’éléments vitaux pour toute entreprise qui envisage une « migration dans le cloud ». Vos pairs vous auront sans doute parlé des avantages du cloud computing : accès aux technologies les plus récentes, flexibilité accrue et coûts IT réduits.

Qu’est-ce que la technologie cloud ?

Le cloud computing propose des services tels que le stockage des données, la sécurité, la mise en réseau, des applications logicielles et de la business intelligence, via internet et sur la base d’un abonnement.

En découvrant peu à peu le monde du cloud computing, vous voudrez sans doute vous familiariser avec certains des mots, définitions et choix qui s’offrent à vous. Vous trouverez ici un assortiment d’informations pertinentes, y compris des explications des termes SaaS, PaaS, IaaS, cloud public, cloud privé, cloud hybride et leurs différences. Le cloud offre de nombreux avantages que nous allons d’abord brièvement passer en revue.

Les avantages du cloud computing

  • Fiable : sûr, sécurisé et disponible. Bénéficiez d’un accès 24h/24 et 7j/7 au système de cloud computing de n’importe où et avec un excellent temps de réponse. Exécutez sur des serveurs sécurisés avec une équipe d’experts sécurité à temps plein. Vos données sont copiées et sauvegardées à distance.
  • Flexible: obtenez la puissance de calcul dont vous avez besoin, quand vous en avez besoin. Ajoutez ou enlevez des serveurs, du réseau, du stockage. Intégrez de nouveaux utilisateurs instantanément. Étendez vos activités à de nouvelles zones géographiques. Tout est fait rapidement et facilement.
  • Economique : Ne payez que pour ce dont vous avez besoin. Pas de frais initiaux pour le matériel ou les infrastructures. Réduisez le temps consacré par le personnel informatique à la maintenance et à la mise à jour des systèmes. Investissez plutôt vos ressources dans des projets qui génèrent des revenus.
  • Actualisé : ayez toujours la dernière version de la plateforme, base de données, des applications logicielles. De plus, profitez des technologies émergentes telles que le Machine Learning (ML), l’intelligence artificielle (AI), l’Internet des objets (IoT), et plus encore. Restez toujours au fait des dernières innovations.

Les différents types de services de cloud computing

Le cloud computing est divisé en trois grandes catégories de services : SaaS, PaaS et IaaS. Certains fournisseurs combinent ces services et d’autres les proposent séparément.

Qu’est-ce que le SaaS ?

Avec le SaaS (software-as-a-service), les logiciels sont hébergés sur un serveur distant et les clients peuvent y accéder partout et à tout moment, à partir d’un navigateur web ou d’une intégration web standard. Le fournisseur de SaaS se charge des sauvegardes, de la maintenance et des mises à jour. Les solutions SaaS comprennent l’enterprise resource planning (ERP), la gestion de la relation client (CRM), la gestion de projets, etc.

Qu’est-ce que le PaaS ?

La plateforme en tant que service (PaaS) est un environnement de développement d’applications basé sur le cloud qui fournit aux développeurs tout ce dont ils ont besoin pour créer et déployer des applications. Avec le PaaS, les développeurs peuvent choisir les fonctionnalités et services cloud qu’ils souhaitent sur la base d’un abonnement ou d’un paiement à l’utilisation.

Qu’est-ce que l’IaaS ?

L’IaaS (Infrastructure-as-a-service) permet aux entreprises de « louer » des ressources informatiques, telles que des serveurs, réseaux, du stockage et des systèmes d’exploitation, sur la base d’un paiement à l’utilisation. L’infrastructure est modulable et les clients n’ont pas à investir dans le matériel.

IaaS vs. PaaS vs. SaaS

Comparez le SaaS, le PaaS et l’IaaS et découvrez ce que vous pouvez attendre de chaque modèle « as-a-service ». La plupart des entreprises utilisent aujourd’hui un mélange des trois, et les limites entre les trois peuvent parfois s’estomper.

SaaS PaaS IaaS
Qui l’utilise Utilisateurs Business Développeurs Administrateurs système
Ce que vous obtenez Applications logicielles Plateforme de développement Ressources informatiques
Objectif Mener à bien des tâches business Construire et déployer des applications Accéder en ligne au stockage, aux réseaux, aux serveurs et à d’autres infrastructures
Contrôles du fournisseur cloud Applications, données, runtime, middleware, O/S, virtualisation, serveurs, stockage, mise en réseau Runtime, middleware, O/S, virtualisation, serveurs, stockage, mise en réseau Virtualisation, serveurs, stockage, mise en réseau
Contrôles du client N / A – tout est géré par le fournisseur Applications, données Applications, données, runtime, middleware, O/S

Types de déploiement cloud

Il existe trois types différents de déploiement cloud : public, privé et hybride. De nombreuses entreprises combinent plusieurs approches et mettent en place un environnement multi-cloud.

  1. Cloud Public : les services sont fournis aux clients sur un réseau disponible pour les clients du fournisseur. Le cloud public est efficace, abordable et est souvent multilocataires, ce qui signifie que le fournisseur gère votre service dans un environnement partagé.
  2. Cloud Privé : les services sont maintenus sur un réseau privé protégé par un pare-feu. Vous pouvez créer un cloud privé dans votre propre data center ou vous abonner à un cloud privé hébergé chez un fournisseur. Le cloud privé offre plus de sécurité et de contrôle.
  3. Cloud Hybride : combinaison d’un cloud public, cloud privé et d’une infrastructure sur site. Le cloud hybride vous permet de conserver des informations sensibles dans un data center traditionnel ou un cloud privé, tout en profitant des ressources du cloud public.

Cloud public vs privé vs hybride

Comparez les trois différents types de déploiements cloud pour découvrir celui qui conviendrait le mieux à votre entreprise.

Cloud public Cloud privé Cloud hybride
Environnement Ressources informatiques publiques partagées Ressources informatiques privées Mix de ressources publiques et privées
Mise à l’échelle automatique Élevé Peut être limité Élevé
Sécurité Bonne – mais dépend de la sécurité du fournisseur Plus sûr – toutes les données sont stockées dans un data center privé Très sûr – les données sensibles sont stockées dans un data center privé
Fiabilité Moyenne – dépend de la connectivité Internet et de la disponibilité du fournisseur de services Élevée – tout l’équipement est installé dans les locaux ou hébergé chez un fournisseur de services en cloud privé dédié Moyenne à élevée – une certaine dépendance à l’égard du fournisseur de services
Coût Faible – modèle « payez pour ce dont vous avez besoin » et pas besoin de stockage et de ressources sur site Modéré à élevé – peut nécessiter des ressources sur site telles qu’un data center, de l’électricité et du personnel informatique Modéré – mélange de modèle « payez pour ce dont vous avez besoin » et de ressources sur site
Pour qui ? Les entreprises qui souhaitent tirer parti des dernières applications SaaS et de l’IaaS flexible. tout en maintenant des coûts bas Organismes gouvernementaux, prestataires de soins de santé, banques et toute entreprise qui gère un grand nombre de données sensibles Les entreprises qui souhaitent préserver la confidentialité des applications et des données critiques – tout en utilisant les services de cloud public

La sécurité du cloud

Le cloud est-il vraiment sécurisé ? La sécurité du cloud dépend de la manière dont il a été déployé et des capacités du fournisseur. Mais il a été démontré que, dans la plupart des cas, le cloud offre plus de sécurité que les installations sur site. Il y a plusieurs raisons à cela :

  • Emplacement des données : avec un déploiement sur site, vos données se trouvent dans votre installation. Or la 1ère étape pour quelqu’un qui cherche à voler vos données est de savoir où elles se trouvent. Les grands fournisseurs de cloud computing ont de nombreux serveurs à différents endroits, il est donc difficile de savoir où se trouvent les données.
  • Sécurité : avec une installation sur site, votre personnel gère toutes les procédures de sécurité et mises à jour logicielles. Récemment, une grande compagnie d’assurance a été victime d’une faille de sécurité, et il s’est avéré que le service informatique n’avait pas installé de mises à jour de sécurité depuis de nombreux mois. Grâce à un fournisseur de cloud computing réputé, les entreprises disposent d’experts en sécurité à plein temps pour protéger leurs données.
  • Sauvegarde : dans le cadre d’une installation sur site, vous êtes responsable de la sauvegarde régulière de vos précieuses informations. Si votre entreprise adopte ce type de déploiement, il est nécessaire d’avoir des copies à jour stockées hors site.

Proposez de nouvelles technologies via le cloud

Les départements informatiques subissent une pression croissante pour passer du statut de centre de coûts à celui de créateur de valeur – et doivent maintenant mener la charge en matière d’innovation. Le cloud computing et le Platform-as-a-Service (PaaS) peuvent être un catalyseur pour les DSI qui souhaitent maintenir avec succès un environnement informatique bi-modal qui encourage l’innovation rapide tout en soutenant en toute sécurité le noyau stable et critique de l’entreprise.

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Source de l’article sur sap.com

WALLDORF – SAP SE (NYSE: SAP) annonce aujourd’hui que Benedikt Lehnert rejoindra SAP en tant que Chief Design Officer à compter du 1er janvier 2021. Benedikt Lehnert rejoint SAP après Microsoft où il était Directeur du Design Produit pour Microsoft Fluent, Office, Fluid et M365 Experiences.

Avec Alexander Lingg, Head of SAP User Experience, Benedikt Lehnert est chargé de définir un Design System unique, d’intégrer les besoins des clients et des utilisateurs finaux, et de travailler avec les équipes d’ingénierie de SAP pour implémenter un développement basé sur le design.

« Avec son expérience, Benedikt est parfaitement qualifié pour ce rôle », a déclaré Jan Gilg, président de SAP S/4HANA. « Il a joué un rôle crucial dans l’évolution du Design System de Microsoft et dans la mise à disposition de services de productivité multiplateformes sur la large gamme de produits de l’entreprise. »

SAP a franchi une étape majeure vers une nouvelle expérience utilisateur en introduisant le Design System SAP Fiori en 2014. Avec les cinq principes de conception de SAP Fiori qui rendent l’accès de l’utilisateur basé sur les rôles, adaptatif, simple, cohérent et agréable, l’entreprise a construit un leadership dans le domaine de la conception de logiciels d’entreprise. SAP réintroduit le rôle de Chief Design Officer pour soutenir une expérience utilisateur uniforme dans l’ensemble du portefeuille de solutions. Benedikt Lehnert renforcera la démarche de SAP centrée sur les besoins de ses clients pour la conception de l’ensemble de ses applications.

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Source de l’article sur sap.com

In my role as a consultant for CleanSlate Technology Group, I am required to enter my time on a periodic basis. Our company currently utilizes the FinancialForce solution within Salesforce for professional services billing. For years, I have found that it is easier to enter my time on a daily basis. This allows me to provide detailed comments on what was accomplished with each time entry. At the start of the month, I work with the service delivery manager and my clients to establish a personal goal. This goal is normally set in total hours for a given month.

I like to make my goal and create a personal burndown chart, so I can quickly see how my billable hours compare to the hours expected. I quickly realized that Salesforce did not provide a default reporting solution that met my needs. Using Microsoft Excel, I was able to create a sheet which included a burndown chart:

Source de l’article sur DZONE

L’intelligence artificielle (IA) s’impose comme le nouvel intermédiaire entre les entreprises et les clients dans la décision d’achat.

L’IA s’impose dans l’expérience client

La complexité de la vie moderne soumet notre cerveau à une vraie surcharge cognitive. Pour y remédier, les clients se tournent vers les IA et se fient à leurs recommandations, délaissant les interactions traditionnelles avec les marques.

Ainsi acceptons-nous volontiers les recommandations de Netflix pour les séries, de Spotify pour la musique ou les résultats affichés par Google. Nous faisons tellement confiance à ces suggestions que 35% des achats sur Amazon et 75% des visionnages sur Netflix sont issus des recommandations du Machine Learning, selon McKinsey (1).

Pourquoi ? Parce que, dans l’expérience, les clients distinguent de plus en plus les aspects routiniers des aspects riches de sens (voir « Donner du sens à l’expérience »). Et à mesure que la précision et l’utilité des IA augmentent, les clients délèguent les décisions qu’ils jugent « sans importance ». Certaines entreprises se voient alors coupées de leurs clients et forcées de composer avec des IA agissant comme des gardiens.

Les IA relèguent les entreprises en arrière-plan de plusieurs façons :

Les IA effectuent de plus en plus de tâches

Les IA étant capables de regrouper, d’indexer et d’analyser des montagnes de données, les clients ont de plus en plus confiance dans leur capacité à interpréter leurs préférences personnelles et à faire des choix à leur place. Aux recherches en arrière-plan réalisées par les IA s’ajouteront bientôt les achats en arrière-plan.

Les IA, nouvelles audiences à conquérir

Le marketing émotionnel peut susciter la fidélité chez les humains mais pas chez les IA. À mesure que les clients confieront les décisions d’achat de routine aux IA, les entreprises auront besoin de nouvelles stratégies pour conquérir ces nouvelles audiences automatisées.

Les frontières entre les tâches vont disparaître

On regroupe souvent les tâches ménagères et administratives en catégories, comme le nettoyage de la maison ou le paiement des factures. Mais avec des IA qui prennent en charge différentes tâches à la fois, ces frontières disparaîtront. Les entreprises incapables de s’adapter à ce changement dans la façon d’appréhender les tâches perdront des clients.

Comment votre entreprise peut-elle s’adapter ?

Devenez l’intermédiaire IA de votre secteur

Créez une intelligence artificielle spécialisée qui apporte des connaissances uniques à vos clients. Appropriez-vous les fonctionnalités des IA pour mettre ces connaissances et compétences spécialisées à disposition des clients, directement et par le biais d’IA généralistes.

Proposez des produits optimisés par l’IA

Au fur et à mesure que les points de contact avec les clients seront relégués au second plan, les produits joueront un rôle plus central en tant qu’ambassadeurs de la marque. Le Big Data, l’IoT et le Machine Learning permettent d’améliorer l’expérience client en augmentant la satisfaction, en réduisant la charge cognitive et en éliminant les actions inutiles. Trouvez des moyens de créer un lien avec vos clients par le biais des produits.

Optimisez votre visibilité auprès des IA

Les systèmes basés sur l’IA constitueront le prochain « espace linéaire » numérique où optimiser le placement des produits. Cette discipline d’optimisation est encore balbutiante mais vous pouvez déjà vous appuyer sur votre équipe de référenceurs SEO afin de prendre le leadership dès le début. Des descriptions factuelles de vos produits et services contribueront à votre succès auprès des IA.

Améliorez les interactions avec vos clients

Utilisez des outils basés sur l’IA pour animer les interactions avec vos clients en fournissant aux collaborateurs de 1ère ligne des informations client et des suggestions de messages. Par exemple, les outils d’analyse et le Machine Learning peuvent servir à offrir aux collaborateurs une visibilité approfondie sur chaque client, améliorant ainsi la personnalisation des interactions.

Publié en anglais sur insights.sap.com


Références

(1) Ian MacKenzie, Chris Meyer et Steve Noble, « How Retailers Can Keep Up with Consumers » (Comment les détaillants peuvent répondre aux besoins des clients), McKinsey & Co., octobre 2013, https://www.mckinsey.com/industries/retail/our-insights
/how-retailers-can-keep-up-with-consumers.

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Source de l’article sur sap.com

Aujourd’hui les entreprises s’efforcent de plus en plus à offrir une expérience employé exceptionnelle. Et elles ont de bonnes raisons de le faire.

Les recherches révèlent que l’expérience employé a une incidence sur la façon dont les salariés perçoivent leur travail et les efforts qu’ils fournissent. Cette expérience a ensuite un impact sur la satisfaction client, la fidélisation, le rendement des actifs et les ventes (1).

Bien que de nombreux facteurs entrent en jeu, environ 30% de l’expérience employé est liée à l’utilisation de la technologie par leur organisation. Grâce à elle, les salariés peuvent gagner en productivité, flexibilité, améliorer leurs relations professionnelles, mieux gérer le travail à distance. A l’inverse, elle peut aussi les distraire, créer un sentiment d’isolement et limiter leur capacité à se « déconnecter ».

Pour en savoir plus, SAP SuccessFactors a mené des entretiens avec des employés dans le monde entier. Nous avons étudié l’influence de la technologie sur le bien-être, l’engagement, le sentiment d’appréciation et de valeur, la productivité, ainsi que l’expérience globale des processus RH

Bien que cette recherche soit toujours en cours, les résultats préliminaires révèlent trois insights sur la façon dont la technologie peut contribuer à une expérience employé exceptionnelle.

Les employés ont besoin d’outils pour effectuer le travail qu’ils trouvent important et se décharger de ce qu’ils jugent inutile. Nous les avons interrogés sur les tâches, activités, ce qu’ils apprécient le plus et les motive à se lever chaque matin. Selon eux, le « travail utile » est un travail qui implique :

  • La mise en œuvre de quelque chose, par exemple un projet
  • La collaboration avec des collègues dans le but d’atteindre un objectif commun
  • La contribution à une solution et voir les résultats de ces efforts

Sans surprise, lorsqu’on leur demande des exemples illustrant comment la technologie les a aidé, les employés mentionnent des outils conçus pour les soutenir dans ces activités (pour la productivité, Microsoft 365, pour la collaboration, Microsoft Teams et Skype). Avec des résultats plus prononcés chez les employés régulièrement en déplacement ou télétravail.

Mais ils mentionnent aussi des outils qui leur permettent de gagner du temps sur les tâches opérationnelles et administratives. En voici quelques exemples :

  • Une application qui indique les places de parking disponibles lorsqu’on se rend au travail
  • Une application pour commander le déjeuner à l’avance et éviter de faire la queue
  • Les solutions SAP Concur : un employé interrogé a indiqué qu’il a réduit d’au moins 1/3 son temps passé à envoyer ses frais de voyage
  • Des outils qui définissent des modèles fondés sur des comportements antérieurs et qui présentent des propositions de manière proactive. Un employé mentionne une application de navigation GPS qui propose automatiquement un itinéraire en fonction des comportements précédents. Un autre affirme : « J’aime avoir accès au système pour effectuer une tâche, et que le système reconnaisse à l’avance la façon dont j’agis habituellement et prenne en charge certaines étapes à ma place afin que je puisse m’occuper de mon travail […]. Plus vite le système gère les informations, mieux c’est, car ce sont généralement des choses que je […] ne veux pas faire ».

Moins de systèmes séparés et disparates

Les employés soulignent que devoir passer par plusieurs systèmes pour accomplir une tâche ou trouver des informations est extrêmement frustrant et chronophage. Certaines recherches ont démontré que les employés passent jusqu’à 30 % de leur journée de travail à chercher des informations qui peuvent être stockées dans des systèmes et des bases de données disparates.

« J’aimerais faire certaines choses en exactement 20 secondes », confie un employé. « Je ne veux pas avoir à me demander si je dois accéder au portail RH, au portail informatique ou au facility portal. Peu importe qui résout mon problème, je veux juste qu’il soit résolu ».

De meilleures solutions en libre-service avec une assistance humaine

Pendant trop longtemps les solutions technologiques RH des entreprises (surtout celles en libre-service) ont été conçues en tenant compte des RH plutôt que des utilisateurs finaux : les employés. Par conséquent, les employés sont souvent obligés d’utiliser quotidiennement des solutions libre-service obsolètes, non intuitives et mal conçues.

Comme le décrit un employé : « J’essayais de réserver un vol et je recevais sans cesse un message d’erreur, mais le message ne précisait pas ce qui n’allait pas. Ce qui aurait dû me prendre cinq minutes a fini par me prendre plus de trois heures Et quand j’ai finalement réussi à joindre quelqu’un au téléphone, mon interlocuteur n’a pas pu m’en dire plus […]. C’était vraiment frustrant ».

Les conséquences d’une expérience frustrante liée à la technologie vont bien au-delà de la perte de temps. Elles peuvent avoir des effets négatifs sur le bien-être psychologique et physique des employés. Des recherches ont démontré que les expériences frustrantes liées à la technologie peuvent entraîner une perte d’efficacité et un sentiment de colère, impacter l’humeur et les interactions avec les autres, diminuer à la fois le niveau de satisfaction professionnelle et la qualité du travail, compromettre la productivité et même augmenter la pression sanguine ainsi que la tension musculaire (2).

Des recherches antérieures ont démontré que l’élément indispensable des solutions libre-service est la possibilité, si besoin, de parler à quelqu’un. Et cela sans effort important et sans avoir à répéter sans fin une tâche (3).

L’effet de la technologie sur les moments importants : pas toujours positif

Qu’il s’agisse de rejoindre une entreprise, fêter une promotion, s’occuper d’un proche malade ou d’accueillir un nouvel enfant dans sa famille, les moments qui définissent la carrière ainsi que la vie personnelle sont des occasions essentielles de montrer aux employés qu’ils sont reconnus et appréciés. Pourtant, l’expérience technologique associée à ces moments véhicule souvent le message inverse.

Par exemple, un employé interrogé confie : « J’étais très excité quand j’ai trouvé ce travail. Mais le fait d’avoir dû entrer manuellement les informations relatives à mon CV dans le système à plusieurs reprises ne m’a pas laissé une première impression positive de l’entreprise ».

Une récente enquête auprès des candidats et employés de la génération Z est éclairante. 54% d’entre eux déclarent qu’ils ne soumettraient pas une candidature si les méthodes de recrutement de l’entreprise sont dépassées. 26% s’accordent à dire qu’un manque de technologie tout au long du processus d’embauche les dissuaderait d’accepter un emploi.

Alors que les entreprises continuent d’investir dans l’expérience employé, elles doivent être attentives aux solutions technologiques fournies aux collaborateurs. Des solutions dépassées, difficiles à utiliser, qui n’ont pas été conçues en pensant aux employés, désavantageront grandement les organisations lorsqu’il s’agira d’attirer et de fidéliser les talents dans l’économie de l’expérience d’aujourd’hui.

En fin de compte c’est l’un de nos clients interrogés qui le souligne le mieux : « Lorsque nous lançons de nouveaux services de ressources humaines, nous ne voulons pas seulement avoir des utilisateurs. Nous voulons avoir des fans ».

Publié en anglais sur news.sap.com


Lauren Bidwell est chercheuse en gestion du capital humain pour SAP SuccessFactors chez SAP.

(1) The Financial Impact of a Positive Employee Experience ; A Beginner’s Guide to Employee Experience

(2) Ceaparu et al. (2004) ; Lazar et al. (2006) ; Norman (2004) ; Scheirer et al. (2002) ; Murrell & Sprinkle (1993)

(3) Howard & Worboys (2003)

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Source de l’article sur sap.com

In the « Using Heroku to Quickly Build a Multi-Tenant SaaS Product » article, I documented the foundation for a new SaaS solution that I am building (initially for my sister-in-law) — utilizing the Heroku ecosystem. Using Heroku allowed me to deploy the app quickly, without having to worry about infrastructure, DevOps, scalability when the app gets popular, etc. The « Integrating Twilio Into My SaaS Solution In Heroku » publication provided an example of how easy it is to create a Twilio instance and integrate the solution into my Fitness-based SaaS solution. This current journey has resulted in a feature set that both trainers and their clients have been able to enjoy.

This article is going to focus on invoicing clients for services that have been performed and will utilize messaging solutions within the Heroku ecosystem. The goals of the invoice process are as follows:

Source de l’article sur DZONE


Un événement de 48 heures non-stop du 8 au 10 décembre 2020 avec des sessions en direct et à la demande en présence de 2 membres du board SAP, Juergen Mueller (CTO) et Thomas Saueressig, des clients et des partenaires.

Une occasion unique pour en apprendre davantage sur la stratégie du Groupe, les technologies/tendances à venir et les nouveautés pour les développeurs.

Rendez-vous le mardi 8 décembre, à 17h, pour la Keynote d’ouverture SAP TechEd 2020, avec Juergen Mueller, CTO et membre du board de SAP.

Juergen Mueller et Thomas Saueressig répondront ensuite de 19h à 19h30 à vos questions et celles des analystes lors d’une session de questions-réponses.

Au programme : les principaux axes de développement des produits SAP, les détails sur les capacités de la plate-forme technologique d’entreprise de SAP à transformer les données en informations et les idées en actions, et bien plus encore.

Comment participer ?

Vous pouvez assister à la conférence sur le site web de SAP TechEd 2020. Pour suivre la session de questions-réponses avec les médias et les analystes et poser des questions, connectez-vous sur cette page.

Aucune inscription n’est nécessaire pour assister à la conférence SAP et à la séance de questions-réponses avec les médias et les analystes. Pour profiter pleinement de l’expérience SAP TechEd, rendez-vous sur notre site web SAP TechEd où vous pourrez consulter le programme complet de l’événement, visionner les sessions et vous inscrire aux ateliers.

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Source de l’article sur sap.com