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Recruter des freelances

Trouver les bons freelances pour votre projet peut être un défi. Découvrez comment recruter les meilleurs freelances pour votre entreprise.

## Bénéfices du recrutement de profils freelances

Les avantages du recrutement de profils freelances

Le recrutement de profils freelances peut offrir de nombreux avantages aux entreprises. Tout d’abord, faire appel à des sociétés spécialisées dans le sourcing de profils freelances permet aux entreprises de gagner du temps et de l’argent en externalisant la recherche de talents qualifiés. Ces sociétés ont souvent accès à un large réseau de freelances et peuvent donc trouver rapidement des candidats correspondant aux besoins spécifiques de l’entreprise. En outre, elles peuvent aider les entreprises à évaluer les compétences des candidats et à s’assurer qu’ils sont bien adaptés à la mission et culture de l’entreprise.

De plus, le recrutement de profils freelances peut être bénéfique pour les entreprises en termes de coûts. En effet, faire appel à des freelances peut permettre aux entreprises de réduire les coûts, car elles ne recrutent pas de collaborateurs permanents mais font appel à des prestataires de services sur demande pour une durée déterminée, avec des compétences attendues référencées dans le contexte d’un objectif à atteindre. Une fois les travaux attendus réalisés par le freelance, le contrat prend fin par une simple notification du client.

Enfin, les sociétés spécialisées peuvent également apporter un avantage supplémentaire en termes d’agrégation des fournisseurs. En assurant la facturation des prestations sous-traitées par chaque freelance délégué, elles apportent une solution de consolidation de contrats pour les clients et une simplification des fonctions Supplier Relationship Management [SRM].

En somme, le recrutement de profils freelances peut offrir aux entreprises des avantages considérables en termes de temps et d’argent, tout en leur permettant d’accéder à des talents qualifiés et d’améliorer leurs processus de gestion des fournisseurs. Les entreprises qui souhaitent tirer parti des avantages du recrutement de profils freelances peuvent faire appel à des sociétés spécialisées pour leur fournir un accès à un large réseau de freelances et leur permettre d’accéder aux meilleures compétences disponibles sur le marché. De plus, ces sociétés peuvent aider les entreprises à évaluer les compétences des candidats et à s’assurer qu’ils sont bien adaptés à la mission et culture de l’entreprise, tout en leur offrant une solution de consolidation des contrats et une simplification des processus SRM.

Source de l’article

Après plusieurs décennies de croissance rapide, le Groupe Leonhart est confronté à une problématique d’homogénéité de son système informatique (SI) : les sites utilisent des outils différents et la consolidation des données est complexe. Leonhart décide en 2020 d’uniformiser et de moderniser son SI, pour renforcer la qualité de ses données, mais aussi tirer parti de la Business Intelligence et profiter des nouvelles technologies. Une aventure accompagnée par les équipes Nagarro, qui ont déployé une solution bâtie autour de SAP S/4HANA Cloud Public.

Leonhart, du sable à l’aménagement extérieur

Le Groupe Leonhart est un acteur majeur de l’extraction et de la valorisation de sable et de granulats. Il propose :

  • des granulats naturels ou recyclés ;
  • des pierres naturelles ;
  • du béton prêt à l’emploi ;
  • des produits en béton pour la préfabrication lourde et légère.

Le groupe couvre l’ensemble de la chaine de valeur, de l’extraction à la livraison, en passant par produit mais propose également des services de transport et de livraison.

 

L’indispensable homogénéisation du système informatique

Si le Groupe Leonhart peut s’enorgueillir d’une croissance rapide ces dernières décennies, son développement en partie lié à des opérations de croissance externe a abouti à un SI hétérogène. De nombreux outils spécifiques à chaque activité cohabitent, sans réelle interconnexion.

En 2020, Leonhart décide de déployer un nouveau SI, standardisé et structurant. Son objectif est de s’appuyer sur une plateforme unique :

  • pour couvrir l’ensemble de ses processus métiers du Groupe,
  • pour améliorer la qualité des données,
  • permettant un accès rapide aux données,
  • avec une sécurité optimale,
  • à un coup maîtrisé.

 

Le choix du cloud et d’une solution SaaS

Un appel d’offres est lancé fin 2020. Le Groupe Leonhart, qui a élaboré un cahier des charges précis et détaillé, souhaite mener une étude exhaustive des solutions disponibles sur le marché et des modes de déploiement proposés par les intégrateurs.

Rapidement, le cloud et une solution SaaS s’impose pour :

  • la maîtrise des coûts, et le ROI rapide,
  • la facilité à monter en version, pour accompagner les projets et ambitions du Groupe et donc l’évolution de ses besoins et garantir la pérennité de la solution.

Le Groupe Leonhart choisit de se faire accompagner par Nagarro, pour :

  • l’expertise de ses consultants,
  • le compromis idéal entre solidité et taille humaine,
  • sa santé financière,
  • sa capacité à proposer une solution globale, intégrant un nécessaire développement spécifique.

Le projet est lancé en février 2021.

 

3 modules pour une plateforme unique

Nagarro a déployé une plateforme unique, bâtie sur des éléments complémentaires : L’ERP SAP S/4HANA Cloud Public pour couvrir les besoins métiers, avec un périmètre fonctionnel très étendu: extraction, négoce, finance, contrôle de gestion, production, logistique ou encore relation client sont entièrement couverts par les standards SAP et sa méthodologie d’implémentation Fit-toStandard.

Leonhart va également passer à la Business Intelligence, grâce à l’analytique, à la fois puissante et simple d’utilisation, intégrée à SAP S/4HANA Cloud.

Avec l’analyse Fit-to-Standard, une série d’ateliers a été organisé pour valider les processus métier prédéfinis (et reposant sur les best practices) de SAP et identifier les exigences spécifiques.

L’interconnexion avec le reste du SI de l’entreprise via la SAP Business Transformation Platform (SAP BTP). Cette plateforme regroupe dans un même environnement unifié les données et l’analytique, l’Intelligence Artificielle, le développement d’applications, l’automatisation et l’intégration.

Un développement spécifique, reposant sur SAP BTP, pour couvrir un besoin très spécifique : la pesée des camions entrant et sortant des sablières. Pour développer cette fonctionnalité non couverte par la solution standard, Nagarro a misé sur l’innovation : la reconnaissance visuelle et l’Internet des Objets permettent d’automatiser les peser et de connecter le pont bascule à SAP.

 

Le mot du client : Vers de nouveaux projets avec SAP

Une première étape franchie avec le déploiement d’un ERP standard, fiable et évolutif, le Groupe Leonhart veut aller plus loin et entrer dans « l’industrie 4.0 ».

« L’ERP étant également un socle robuste pour l’innovation, nous avons un nouveau projet avec SAP et Nagarro, le développement d’une gravière connectée. C’est l’un des prochains défis que nous allons relever »

 

Nicolas Battesti, DAF du groupe Leonhart.

 

Le partenaire, Nagarro : Expertise, pragmatisme et transparence

Nagarro France fait partie de la Business Unit SAP du groupe international Nagarro. Entreprise de services du numérique spécialisée dans l’intégration de solutions logicielles dédiées aux PME et ETI, nous accompagnons nos clients dans leur transformation numérique. Notre ambition : aider nos clients à saisir les opportunités et innovations du numérique pour améliorer leur performance et leur agilité, à travers une relation de confiance bâtie sur le long terme. Nagarro France bénéfice de toute la force et de l’expertise du Groupe, présent dans 33 pays et regroupant plus de 18 000 collaborateurs.

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Source de l’article sur sap.com

Faciliter la construction des budgets et améliorer l’alignement entre les métiers, voilà les deux principaux objectifs que Solinest visait avec sa nouvelle solution de planification. SAP Analytics Cloud a été retenu pour répondre à ces besoins.

Solinest est un spécialiste du négoce de produits de grande consommation : confiseries, snacks, boissons et produits frais. Des articles qui peuvent être trouvés en devant de caisse et dans les rayons de 50.000 points de vente français : hypermarchés, supermarchés et commerces de proximité. La société alsacienne est également présente en Belgique et au Luxembourg.

Solinest distribue les produits de ses 40 marques partenaires, mais participe aussi au développement de marques de distributeurs et propose ses propres offres, comme la marque [N.A!]. Entreprise familiale et indépendante, Solinest compte 500 collaborateurs, pour 300 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel.

Comme toutes les sociétés œuvrant dans le secteur de la distribution, Solinest réalise de gros volumes de transactions avec de faibles marges, nécessitant un apport constant de nouveaux marchés. La réactivité est un des autres enjeux auquel est confrontée la société. Réactivité se traduisant par un besoin d’alignement permanent entre marketing, commerce, logistique, finance et direction.

« Le système d’information de Solinest est compact, avec un ensemble de solutions SAP et des interfaces simples : un ERP SAP ECC, un data warehouse SAP BW, SAP BPO et SAP Analysis », explique Franck Prevost, DSI du groupe. Ce SI met l’accent sur des technologies matures, avec un reporting effectué sur Excel et manquant donc de flexibilité. « Nous avions besoin d’un outil transversal facilitant les échanges entre directions et permettant d’adresser le budget et les prévisions. »

SAP Analytics Cloud et Censio Karamba

« Nous souhaitions trouver une solution adaptée dans le catalogue SAP, poursuit Franck Prevost. Nous hésitions entre SAP Business Planning and Consolidation (SAP BPC) et SAP Analytics Cloud (SAC). Nous avons alors cherché une société capable de mettre en place des POC afin de vérifier laquelle de ces deux solutions répondrait le mieux à nos besoins. Censio Karamba a été choisi pour créer ces démonstrateurs. Après analyse, nous avons opté pour SAC, car c’est une solution cloud accessible et agile, capable de faire tout ce que l’on attendait (construction de budget, simulations, indicateurs et tableaux de bord), tout en étant au cœur de la roadmap de SAP. »

Ce projet structurant est stratégique pour Solinest. Une attention particulière a donc été portée sur la définition du modèle et des nouveaux processus, et une réflexion a été menée sur les besoins en matière de simulation. Trois lots ont été définis :

  • Budget : un lot devant être mis en place en septembre 2020, pour permettre la saisie des budgets 2021 dans SAC. Une phase critique du projet.
  • Répartition du réel : ce lot nécessitant de disposer d’une année de référence, il a été décidé de le mettre en place après le budget.
  • Contribution consolidée : l’objectif est ici de définir ce que les marques Solinest (comme [N.A!]) apportent en tant que marque et au distributeur. Rolling forecast et processus IBP font également partie de ce lot.

De mars à septembre 2020, les équipes de Solinest et de Censio Karamba ont mis en place la connexion entre SAP BW et SAC, modélisé l’intégralité du P&L, pris en compte les inducteurs de prix et coûts (environ 200) et créé les états de restitution par couples pays-canaux. En parallèle, il a fallu accompagner et former les utilisateurs en vue de la campagne de saisie de données relative au budget 2021. « Cette étape était très importante, car nous voulions être en mesure de faire interagir quatre métiers : marketing, commerciaux, supply chain et contrôleurs de gestion », explique Franck Prevost. Soit 400 personnes à former. Cette tâche fut d’autant plus complexe que le télétravail était la règle pendant une grande partie de cette période.

Premier succès, avec le rendu du lot 1 dans les temps, permettant une saisie du budget 2021 dans SAC. Crise sanitaire oblige, le lot 2 a été reculé de novembre 2020 à janvier 2021. Enfin, le lot 3 a été livré en juin 2021. Au total, le projet aura duré près de 18 mois.

Des métiers qui gagnent en autonomie

Le premier bénéfice, c’est l’autonomie apportée aux métiers. Ils deviennent indépendants du contrôleur de gestion sur la saisie et la restitution des données, et de l’IT sur les aspects techniques. Dans le même temps, le rôle du contrôle de gestion évolue : « d’opérateur de saisie, il devient celui qui orchestre les processus budgétaires », note Franck Prevost.

Autre avantage apporté par SAP Analytics Cloud : il permet à tous les collaborateurs d’accéder au même niveau d’information, de partout. « Il n’est plus nécessaire d’attendre que le contrôleur de gestion ait produit ses restitutions pour accéder aux informations. Dorénavant, tout le monde a accès à la donnée, au même moment. »

Prochainement, Solinest envisage de basculer de SAP BW vers SAP BW/4HANA. Mais aussi de mettre en place de nouveaux outils de simulation dédiés aux commerciaux et des tableaux de bord destinés au comité de direction de l’entreprise. L’aventure SAP Analytics Cloud ne fait donc que commencer pour Solinest.

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Source de l’article sur sap.com

Paris, France & Walldorf, Allemagne, le 16 févr. 2022SAP SE (NYSE : SAP) et le cabinet de conseil en management et technologie BearingPoint ont annoncé unir leurs forces dans le domaine des solutions liées à l’empreinte carbone et environnementale. Les entreprises collaboreront afin de faire progresser la conception et le développement d’une solution de pointe aidant les clients à atteindre l’objectif de neutralité carbone.

Mesurer, contrôler et piloter l’empreinte carbone est un élément clé pour atteindre l’objectif de neutralité carbone et fait partie du programme d’action climatique promu par SAP. Les entreprises sont soumises à une pression croissante pour déterminer leur empreinte carbone, non seulement au niveau de l’entreprise, mais également au niveau des produits. Cependant, l’acquisition, la consolidation et la cartographie des données sont des défis auxquels de nombreuses entreprises sont confrontées. Avec le récent lancement de SAP® Cloud for Sustainable Enterprises les solutions SAP pour le développement durable et la longue expérience de BearingPoint en matière de calcul des émissions sur le marché, les entreprises sont bien équipées pour développer des solutions innovantes permettant de répondre aux préoccupations de leurs clients en matière d’empreinte environnementale sur l’ensemble de leur chaîne de valeur.

« Le partenariat de codéveloppement entre SAP et BearingPoint permettra de réunir deux propositions de valeur fortes. BearingPoint a une longue expérience dans l’identification des potentiels de réduction des émissions de gaz à effet de serre et l’atteinte des objectifs de développement durable des clients. SAP apporte des capacités d’innovation, un large éventail de systèmes et un accès aux clients. Ensemble, en tant que partenaires, nous repousserons les limites pour faire avancer l’économie sur la voie de la neutralité carbone », a déclaré Gunther Rothermel, SVP, responsable du développement durable de SAP S/4HANA, SAP.

 

Bilan carbone pour l’ensemble de la chaîne de valeur : scope 1, 2 et 3

Si de nombreuses entreprises ont déjà évalué leurs émissions de scope 1 et 2, il est essentiel d’évaluer l’ensemble de la chaîne de valeur en introduisant les émissions de scope 3. Pour ce faire, les réseaux environnementaux doivent permettre l’échange de données avec des partenaires tels que les fournisseurs, les clients, les auditeurs et les pouvoirs publics, même s’ils utilisent des systèmes informatiques différents. S’appuyant sur le savoir-faire approfondi de BearingPoint en matière de calculs et d’algorithmes relatifs à l’empreinte des produits et des entreprises, la solution SAP Product Footprint Management prend en charge la collecte et le calcul des données permettant la réalisation d’un bilan carbone et environnemental de bout en bout. La solution SAP est entièrement intégrée à SAP® S/4HANA et à l’architecture d’entreprise intelligente, mais se connecte également à d’autres sources de données. Cela lui permet d’effectuer des évaluations automatisées des empreintes à travers la chaîne de valeur, y compris dans des paysages de systèmes hétérogènes.

« Avec SAP, nous allons codévelopper – en utilisant notre logiciel propriétaire – et fournir une solution unique sur le marché permettant de mesurer et d’optimiser l’impact climatique des produits tout au long de leur cycle de vie. SAP Product Footprint Management dispose de fonctionnalités sophistiquées permettant de déterminer l’empreinte carbone d’un seul produit. Notre expérience industrielle éprouvée depuis plus de 10 ans dans le calcul et l’optimisation de l’empreinte « CO2 » des produits et des entreprises permettra à nos clients communs d’atteindre leurs objectifs de dé-carbonisation. Chez BearingPoint, nous sommes convaincus qu’avec les solutions innovantes de SAP, son organisation commerciale et son expertise du marché, nous pouvons avoir un impact positif sur le climat », a déclaré Donald Wachs, Responsable des Business Services et membre du comité de Direction BearingPoint.

« Le partenariat avec BearingPoint accélère la feuille de route de la solution SAP Product Footprint Management et contribuera à faire de nous un leader du marché des solutions de calcul des empreintes produit aidant nos clients à optimiser la durabilité de leurs produits et services », a déclaré Peter Maier, président de la division Industries et conseil à la clientèle de SAP.

 

À propos de SAP

La stratégie de SAP est d’aider chaque entreprise à fonctionner comme une entreprise intelligente. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à fonctionner au mieux : les clients de SAP génèrent 87% du commerce mondial. Nos technologies de machine learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée contribuent à transformer les activités des clients en entreprises intelligentes. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de l’activité et favorise la collaboration, cela les aidant à garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie pour les entreprises afin qu’elles puissent consommer nos logiciels comme elles l’entendent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux entreprises et aux administrations publiques de 25 secteurs d’activité dans le monde entier de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et améliore la vie des gens.

Pour plus d’informations, visitez www.sap.com.

 

À propos de BearingPoint

BearingPoint est un cabinet de conseil en management et technologie indépendant aux racines européennes et à la couverture mondiale.

Le cabinet est structuré autour de trois entités.  La première couvre les activités de conseil en mettant clairement l’accent sur les domaines d’expertises clés du cabinet à développer dans le monde entier. La deuxième fournit des solutions technologiques avancées combinant conseil et logiciel, et offre des services gérés à forte valeur ajoutée aux clients. La troisième se concentre sur des investissements innovants ; par exemple dans des solutions logicielles très spécifiques permettant de répondre aux exigences réglementaires ou d’accompagner la transformation numérique. Elle a également pour vocation d’explorer des business models innovants avec les clients et les partenaires, en favorisant la création d’écosystèmes, le financement et le développement de start-ups.

BearingPoint compte parmi ses clients les plus grandes organisations mondiales publiques et privées ; fort d’un réseau international de plus de 10 000 collaborateurs, BearingPoint accompagne ses clients dans plus de 75 pays et les aide à obtenir des résultats mesurables et durables.

 

Informations complémentaires:

Site Internet: www.bearingpoint.com

LinkedIn: www.linkedin.com/company/bearingpoint

Twitter: @BearingPoint_de

 

Contact presse Bearing Point

Alexander Bock

Global Manager Communications

Téléphone: +49 89 540338029

E-mail: alexander.bock@bearingpoint.com

 

Publicis Consultants pour SAP

Chloé Jalaguier : chloe.jalaguier@publicisconsultants.com

Robin Legros : robin.legros@publicisconsultants.com

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Source de l’article sur sap.com

Paris, 26 janvier 2022 – Alors que SAP France, 5ème filiale de SAP, le plus grand éditeur de logiciels d’entreprise au monde, entre dans une nouvelle phase d’accélération dans le Cloud, des changements ont été apportés à la direction de l’entité commerciale pour soutenir son succès en 2022 et au-delà.

 

Gérald Karsenti reste Président du conseil d’administration et assure la direction générale de l’entreprise.

Pour renforcer l’entité commerciale de SAP France,

Orlando Appell est nommé Directeur des Opérations. Il remplace Stéphanie Perchet qui quitte le groupe.

Membre du Comité de direction, Orlando aura pour mission de développer la stratégie opérationnelle et d’optimiser les processus de SAP France afin de répondre aux enjeux de développement business vers le Cloud, d’adoption de son offre RISE with SAP et d’accompagnement des entreprises sur leurs priorités économiques et environnementales.

Orlando a rejoint SAP en 2011 en tant que Directeur des services France, puis a occupé différents postes de direction dans le domaine des ventes et du delivery, tant au niveau des Market Units que des régions. Il avait précédemment eu des fonctions exécutives Services chez Bull, Sun et T-Systems où il a acquis une riche expérience du monde de l’IT en France et à l’étranger.

Depuis le début de l’année 2021, Orlando était COO des Services pour EMEA North.
Sa parfaite connaissance de l’industrie et du groupe, son approche centrée sur les clients et ses talents de leader seront de solides atouts pour SAP France.

 

 

Ryan Poggi, est nommé Managing Director par interim de l’entité commerciale dans l’attente du recrutement d’un nouveau directeur général. Il conserve son rôle de Chief Business Officer pour la région EMEA North.

Ryan fait partie de l’équipe de direction régionale et, en tant que Chief Business Officer, il est responsable de la consolidation des principales fonctions en contact avec les clients, y compris les engagements des clients stratégiques, les partenariats et l’offre RISE with SAP, qui sont des domaines-clés pour SAP France.

Ryan a rejoint SAP en 2007 et a depuis occupé différents postes de leadership en EMEA et en APJ avant de revenir en Europe en 2019.

Il apporte une expérience significative à la fois dans le développement de la vente complexe mais aussi dans le déploiement de grands clients.

 

 

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.

Contacts presse SAP

Chloé Jalaguier : chloe.jalaguier@publicisconsultants.com

Robin Legros : robin.legros@publicisconsultants.com

SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

Veuillez tenir compte de notre politique de confidentialité. Si vous avez reçu cette alerte de presse dans votre courriel et que vous souhaitez vous désabonner de notre liste d’envoi, veuillez communiquer avec presse-sap@publicisconsultants.com et écrire Désabonnement dans la ligne Objet.

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Source de l’article sur sap.com

A server consolidation project is a significant undertaking, and IT teams will need to answer several weighty questions while planning for one. Can servers be consolidated more efficiently? If so, what is the cost and timeline for doing so? How can we adjust parameters like CPU, memory and storage if our estimates turn out to be incorrect? How will we handle R&D and testing for the new systems? And, most importantly, if we answer any of these questions incorrectly, how much will that impact the timeline and budget for the project?

It’s possible to answer these questions by using the Cloud as a sandbox environment to test design assumptions and validate ways of re-organizing and consolidating servers. Ultimately the servers will remain hosted on-premise, the cloud is just used as a placeholder in the planning and design phase of the project. Here’s how I recommend approaching the project. 

Source de l’article sur DZONE

Lindt & Sprüngli France a été l’un des premiers industriels hexagonaux à basculer vers SAP IBP pour moderniser sa supply chain. Un pari pour le chocolatier, qui a été accompagné dans sa démarche par TeamWork. Lindt France compte sur ce socle modernisé pour refondre ses processus de prévision et accélérer sur le terrain de l’analytique.

Célèbre chocolatier suisse fondé en 1845, Lindt est classé dans le top 10 mondial des fabricants de confiseries. L’industriel a enregistré un chiffre d’affaires 2020 de 4 milliards de francs suisses. Il compte environ 14 500 collaborateurs dans le monde. Par ailleurs, le chocolatier est très présent en France. En effet, Lindt dispose d’une usine à Oloron-Sainte-Marie et d’un réseau composé d’entrepôts et de 26 magasins.

Lindt France utilisait la solution SAP Advanced Planning and Optimization (SAP APO) pour assurer la planification de la demande. Cet outil arrivant en fin de vie, Lindt lui a cherché un successeur au travers d’un appel d’offres, avec un regard particulier porté sur SAP Integrated Business Planning for Supply Chain (SAP IBP).

« Dans le même temps, nous avons mené une réflexion autour du métier de prévisionniste et sur la mise en place d’un processus S&OP, chargé de faire le lien entre les équipes commerciales et celles travaillant sur notre site de production, explique Jean-Pascal Auge, Chef de projet fonctionnel IT chez Lindt & Sprüngli France. L’enjeu informatique était donc aussi doublé d’un enjeu métier. »

Le choix s’est rapidement porté sur SAP IBP et TeamWork, un spécialiste de la supply chain. Ce dernier est venu présenter la solution SAP IBP au travers de son préconfiguré, Step In for SAP IBP by TeamWork. Lindt a apprécié d’entrée de jeu l’intégration avec Microsoft Excel. Un outil bien connu des planificateurs : « L’interface Excel est un atout pour gagner en efficacité lors du déploiement de la solution », confirme Jean-Pascal Auge.

Un accompagnement permanent assuré par les équipes TeamWork

Lindt a été un des premiers acteurs à implémenter SAP IBP en France pour moderniser sa supply chain. Un risque d’autant plus grand que l’industriel disposait déjà d’une solution fonctionnelle, quoique manquant d’agilité. L’expertise de TeamWork a été cruciale afin de déterminer quelles parties d’IBP utiliser, complétées par son préconfiguré. TeamWork a su également enrichir SAP Cloud Platform Integration (CPI), afin de créer des interfaces stables, robustes et adaptées aux besoins de Lindt.

Le projet a démarré en octobre 2019 et s’est déroulé sur 8 mois. La mise en route fut réalisée avant l’été 2020. Le tout dans un contexte difficile lié à la crise sanitaire. TeamWork s’est appuyé sur les conclusions de l’audit fonctionnel pour bâtir une solution SAP IBP, en se concentrant sur le Demand Planning. Un travail facilité par la proximité des processus gérés par les deux solutions.

Durant la première année d’exploitation, Lindt et les équipes de TeamWork se sont concentrés sur l’optimisation de la solution déployée. « La montée en régime s’est très bien passée et les métiers se sont approprié SAP IBP très rapidement, explique Jean-Pascal Auge. Dès la première utilisation, les résultats étaient déjà supérieurs à ceux de SAP APO en termes de temps de traitement du cycle mensuel et de fiabilité de la prévision. Les équipes de TeamWork ont su nous accompagner tout au long du projet et nous aider à franchir chaque étape. »

Améliorer le travail des prévisionnistes

La solution SAP IBP mise en place se veut plus flexible. Elle apporte plus d’agilité aux équipes métiers que SAP APO, tout en offrant de nouvelles fonctionnalités. Elle est également capable d’interagir avec les autres solutions de planification de Lindt & Sprüngli France. « Le résultat est concluant, résume Jean-Pascal Auge. TeamWork continue à nous accompagner sur le support de deuxième niveau, le premier étant assuré en interne. Il prend ainsi le relai de notre DSI sur les questions nécessitant une expertise avancée. »

La phase de stabilisation de la solution a permis aux équipes supply chain de souffler après ce long travail de 8 mois. Mais d’autres projets sont déjà sur la table. Des évolutions régulières de la solution sont ainsi programmées, afin d’accompagner la transformation de l’activité des prévisionnistes. Les nouvelles fonctionnalités apportées par SAP IBP permettent de faciliter le reporting opérationnel. Mais, Lindt France souhaite aller plus loin en termes de consolidation de données et de reporting.

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Source de l’article sur sap.com

Après avoir mis SAP HANA au cœur du SI financier de SCOR, SAP annonce que son client a finalisé avec succès sa roadmap finance. Annoncée en 2015, cette dernière permet aux différents métiers de la finance de SCOR de répondre sereinement aux objectifs des années à venir. La raison d’être du projet : être au service des métiers pour soutenir l’excellence opérationnelle du domaine finance.

Quatrième réassureur mondial, SCOR offre à ses clients une gamme innovante et diversifiée de solutions et de services pour le contrôle et la gestion des risques via une assise financière solide. Fidèle à sa devise « l’Art et la Science du Risque », le Groupe met son expertise reconnue au sein du secteur et ses solutions financières de pointe au service du bien-être et de la résilience des populations.

Répondre à de nombreux enjeux business et numérique pour évoluer technologiquement

SCOR concrétise sa roadmap 2015-2020 avec la conversion vers S/4HANA opérée en Juillet 2020, point d’orgue d’une ambition métier supportée par SAP HANA visant à mettre en place une plateforme financière unique et intégrée pour l’ensemble des besoins de la Finance.

Ce plan sur 5 ans a permis la mise en place des axes suivants :

  • Le passage des portfolio Analytics (SAP BW) et EPM (SAP BFC) sur une instance SAP HANA unique
  • La migration du General Ledger (ECC) sur S/4HANA;
  • La création et le développement de la Reporting Factory, s’appuyant sur un catalogue analytique en temps réel et réconcilié « by design » par une consolidation très précise grâce à 3 outils SAP intégrés :
    • Analysis For Office (AO) pour l’analyse et la manipulation des données
    • SAP Analysis Cloud (SAC) pour le dashborading
    • Disclosure Management (DM) pour le reporting statique
  • La digitalisation et la robotisation des processus Finance au sein du Groupe

Un déploiement prenant en considération tous les paramètres, coûts, délais et qualité grâce à l’expertise consolidée métier, projets et systèmes du SAP Competency Center de SCOR dirigé par François Bossard, qui s’est vu être complétée par le déploiement sur une instance unique de la gestion de la trésorerie (SAP TRM), de la communication bancaire (SAP BCM), de la gestion budgétaire (SAP eBPC) et de la sécurisation du cycle de développement (Solution Manager).

SCOR est désormais doté d’un avantage concurrentiel indéniable pour les 3 prochaines années dans le domaine de la Finance en termes d’innovations technologiques. Sa plateforme est complètement intégrée et dotée d’interfaces répondant en temps réel voire en streaming, un niveau d’intégration que de nombreux acteurs commencent tout juste à entrevoir. Ces avancées sont dues à un concept fonctionnel clé : la réconciliation « by design » de l’ensemble des domaines de la finance au sein d’une plateforme unifiée.

« SCOR posait il y a 10 ans les bases d’une vision rationnalisée de son système d’information financier en migrant l’ensemble de ses comptabilités dans SAP. Ces cinq dernières années, il nous paraissait naturel de faire fructifier cet acquis via une roadmap de développement ambitieuse, associant enrichissements fonctionnels et innovations technologiques pour en tirer tous les bénéfices, optimisant nos processus financiers et nos capacités analytiques. Grâce à ces acquis et à une migration fluide vers S/4HANA réalisée en quelques mois, nous pouvons compter sur une plateforme financière performante qui est en mesure d’encaisser les impacts des prochaines échéances d’évolution règlementaire IFRS9 et IFSR17 », précise Marc Philippe, Directeur des Systèmes d’Information du Groupe SCOR.

Une implémentation réussie pour aller plus loin dans l’excellence opérationnelle

Déployée en juillet 2020, SAP S/4HANA, montre déjà de nombreux bénéfices : des économies sur de nombreux projets, des gains de temps pour mieux redéployer les ressources, la mise en place de process plus intégrés, plus automatisés, plus simples et plus informés pour permettre aux équipes de se concentrer sur leur valeur ajoutée et ainsi libérer du temps aux collaborateurs pour se concentrer sur l’opérationnel. Cette nouvelle étape répond à une logique stratégique sur le moyen long-terme. En effet, elle permet de se rapprocher tactiquement de la roadmap SAP, d’avoir toujours un œil sur l’innovation, d’aller encore plus loin dans l’excellence opérationnelle ou encore de se rapprocher davantage de la réalité comptable tout en abordant de manière plus sereine les challenges normatifs de l’industrie pour les 3 prochaines années.

A l’initiative et à la direction de cette roadmap, y compris la conversion vers S/4HANA venant la conclure, Marc Henry, Head of Finance Projects, Systems, Processes and Controls du Groupe SCOR, précise que « S/4HANA nous permet de construire et développer IFRS9 et IFRS17 sur la nouvelle plateforme sans avoir à faire de migration par la suite. La solution nous permet aussi de développer de nouvelles fonctionnalités clés comme l’ajout de devises, de ledger, de GAAPs et d’aller encore plus loin dans l’intégration du domaine de la finance ».

La solution SAP Analytics Cloud permet de déployer un ensemble de best practices, de capitaliser sur l’ensemble des efforts consentis sur HANA et de s’inscrire comme early-adopter de la roadmap de SAP pour assurer une co-innovation et un partage constant avec toutes les parties prenantes. La solution fournit également au top management des données en temps réel leur permettant d’avoir un avis fiable et factuel sur plusieurs process comme la santé financière de leur division dans le cadre d’un projet ou encore sur le pilotage de KPIs plus globaux. Enfin, SAC permet de rendre les utilisateurs de la solution plus indépendants afin d’être davantage sur l’accompagnement et la certification de la donnée plutôt que sur sa production par les équipes métier.

SAP Business Planning and Consolidation (eBPC) a offert à SCOR la possibilité d’adapter ses plans de planification, de budgétisation, de prévision pour améliorer l’ensemble du processus budgétaire du Groupe. La solution a également permis d’entrevoir des gains additionnels au regard de la roadmap SAP et de son intégration avec d’autres outils déjà existants comme SAP Analytics Cloud Planning. L’objectif : accélérer les cycles budgétaires et de clôture financière, et renforcer l’expérience utilisateur.

« Après le succès de la première implémentation avec SAP, nous souhaitions poursuivre la collaboration. Nous avons pu mettre en place une plate-forme mondiale intégrée, dotée d’une base de données unique disponible en temps réel. SCOR a pu capitaliser sur tout le travail effectué précédemment, avoir un seul point d’accès pour la donnée Finance et rendre certains modules plus flexibles. Nous sommes très fiers d’être une vitrine pour SAP qui nous offre de réels bénéfices opérationnels à court terme », ajoute Marc Henry.

A propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.

 

Contacts presse :

Daniel MARGATO, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Pauline BARRIERE : 06.13.73.93.11 – presse-sap@publicisconsultants.com
SAP Press Room; press@sap.com

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Source de l’article sur sap.com

SAP Manufacturing Execution s’invite sur les lignes d’assemblage du géant Airbus. Une solution qui permet de faciliter le travail des opérateurs, tout en améliorant les performances des lignes de production.

Airbus est un acteur bien connu dans le monde de l’aviation civile, avec plus de 12.600 avions livrés à ses clients. C’est aussi un acteur majeur dans le monde des hélicoptères (plus de 12.000 appareils assemblés), de la défense et de l’espace.

Avant la crise sanitaire, les livraisons étaient en forte croissance (+37 % sur 5 ans) et le carnet de commandes promettait du travail aux usines d’Airbus pour les 8,5 années à venir. L’arrivée du Coronavirus et son impact massif sur les déplacements par avion ont provoqué une chute massive des activités de la société. Si l’entreprise travaille déjà sur les avions de demain, avec par exemple des modèles à l’impact carbone réduit de 25 %, elle doit aussi optimiser sa production.

« Dans ce contexte d’adaptation rapide au changement, l’introduction d’un système de pilotage de la production (MES, pour Manufacturing Execution System) va être un élément clé de notre transformation », explique Alexandre Sizaret, Head of Production System Efficiency & Manufacturing Digitalisation, Airbus. Le projet a été lancé fin 2016, mais l’arrivée de la crise lui a donné un nouvel élan.

SAP et Sopra Steria à la manœuvre

SAP Manufacturing Execution (SAP ME) est aligné avec les principes du système d’information d’Airbus, AOS (Airbus Operating System) : standardisation des processus, management visuel, suivi et amélioration continus. Il vient naturellement compléter l’ERP et le PLM au sein des usines. Enfin, son interface utilisateur simple est adaptée aux opérateurs travaillant sur des chaînes de production.

Airbus veut répondre à plusieurs challenges au travers de SAP ME : l’organisation de la production (organisation des effectifs, allocation des ressources…) ; le pilotage de l’activité (lignes de production, séquences à exécuter et avancement des séquences) ; l’interfaçage avec l’opérateur (au travers de tablettes, voire de smartphones) ; le support (détection des problèmes et alerte du manager, de la maintenance ou d’autres fonctions support).

Un core model pour toutes les usines Airbus

Pour son projet, Airbus a opté pour une approche core model associant une équipe pluridisciplinaire et multifonctionnelle. « Nous avons mis tout le monde autour de la table – opérateurs, management, intervenants métiers et techniques – afin de mettre au point une unique solution adaptée à toutes les usines, dans tous les pays », explique Alexandre Sizaret.

Après les phases de cadrage et de maquettage, la construction de la solution a été réalisée, avec une mise en place des différentes fonctionnalités de manière incrémentale. Une première version a été déployée sur des usines pilotes volontaires. L’organisation a souhaité ensuite prendre un peu de recul pour identifier les sources d’irritation. Dans le même temps, une analyse a été menée sur l’utilisation du MES et l’adhésion aux processus proposés. « Nous avons voulu vérifier que l’outil répondait bien aux besoins exprimés et qu’il était correctement utilisé. » Une importante phase de consolidation avant le déploiement à grande échelle de SAP ME.

La solution est aujourd’hui présente sur l’ensemble des sites européens du groupe : 10 usines et 2 lignes d’assemblage final. Soit un total de 279 stations de production. 7700 personnes ont été formées, dont 5500 sont des utilisateurs réguliers de SAP Manufacturing Execution. Plus de 2,4 millions d’opérations ont été effectuées sur SAP ME au cours de l’année 2020. Pour tenir cette charge, le système est réparti sur quatre sites, selon un même core model.

Au sein des sites de production, des écrans géants ont été déployés, secondés par des tablettes, smartphones et équipements IoT (scanners, lecteurs de badges…). SAP ME interagit directement avec l’ERP SAP, que ce soit pour la qualité, la conformité, la gestion des aléas, la maintenance ou encore la logistique. Il interagit aussi avec le PLM. Il est ainsi possible de visualiser pièces et maquettes en 3D et de disposer d’instructions de montage détaillées.

Plus d’efficacité au quotidien

SAP Manufacturing Execution est vu par Airbus comme un facilitateur du travail des opérateurs. Mais aussi comme un élément clé pour mesurer, soutenir et améliorer les performances des lignes de production. « Parmi les bénéfices les plus visibles, nous constatons une réduction des temps de production, des déplacements des opérateurs, de la documentation de production et plus généralement du recours aux documents papier, constate Alexandre Sizaret. Un autre bénéfice, moins facilement mesurable, est l’amélioration des performances des lignes de production, au travers d’un meilleur pilotage et d’une meilleure réactivité face aux aléas. »

Le MES est un élément clé pour épauler la production au quotidien, mais aussi un socle qui va aider  à la démocratisation de nouvelles technologies, comme les jumeaux numériques ou la maintenance prédictive. « Nous souhaitons aller vers l’opérateur 4.0 en le connectant à la bonne information, au bon moment, au travers de technologies comme la réalité virtuelle, la réalité augmentée ou l’interaction vocale avec les solutions numériques. Nous voulons également nous servir de la puissance de la data pour améliorer les processus, détecter les bonnes pratiques et prévenir les aléas. C’est un changement de paradigme qui nous permettra de basculer de la réaction à l’anticipation. »

 

 

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Le Big Data est le flot d’informations dans lequel nous nous trouvons tous les jours (des zettaoctets de données provenant de nos ordinateurs, des terminaux mobiles et des capteurs). Ces données sont utilisées par les entreprises pour orienter la prise de décisions, améliorer les processus et les stratégies, et créer des produits, des services et des expériences centrés sur le client.

Le Big Data désigne non seulement de gros volumes de données, mais aussi des données de nature variée et complexe. Il dépasse généralement la capacité des bases de données traditionnelles à capturer, gérer et traiter ce type de données. De plus, le Big Data peut provenir de n’importe où et de tout ce que nous sommes en mesure de surveiller numériquement. Les satellites, les appareils IoT (Internet des Objets), les radars et les tendances des réseaux sociaux ne sont que quelques exemples parmi la multitude de sources de données explorées et analysées pour rendre les entreprises plus résilientes et compétitives.


L’importance de l’analyse du Big Data

La véritable valeur du Big Data se mesure d’après votre capacité à l’analyser et à le comprendre. L’intelligence artificielle (IA), le machine learning et les technologies de base de données modernes permettent de visualiser et d’analyser le Big Data pour fournir des informations exploitables en temps réel. L’analyse du Big Data aide les entreprises à exploiter leurs données en vue de saisir de nouvelles opportunités et de créer de nouveaux modèles de gestion. Comme l’a si bien dit Geoffrey Moore, auteur et analyste de gestion, « sans analyse du Big Data, les entreprises sont aveugles et sourdes, errant sur le Web comme des cerfs sur une autoroute ».

How does Big Data and Analytics work? Simply Explained

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How does Big Data and Analytics work? Simply Explained


L’évolution du Big Data

Aussi inconcevable que cela puisse paraître aujourd’hui, l’Apollo Guidance Computer a emmené l’homme sur la lune avec moins de 80 kilo-octets de mémoire. Depuis, la technologie informatique s’est développée à un rythme exponentiel, de même que la génération de données. La capacité technologique mondiale à stocker des données a doublé tous les trois ans depuis les années 1980. Il y a un peu plus de 50 ans, lors du lancement d’Apollo 11, la quantité de données numériques générées dans le monde aurait pu tenir dans un ordinateur portable. Aujourd’hui, l’IDC estime ce chiffre à 44 zettaoctets (soit 44 000 milliards de gigaoctets) et prévoit qu’il atteindra 163 zettaoctets en 2025.

44 zettaoctets de données numériques aujourd’hui, IDC

163 zettaoctets de données numériques en 2025, IDC

Plus les logiciels et la technologie se développent, moins les systèmes non numériques sont viables. Le traitement des données générées et collectées numériquement requiert des systèmes de data management plus avancés. En outre, la croissance exponentielle des plates-formes de réseaux sociaux, des technologies pour smartphones et des appareils IoT connectés numériquement ont contribué à l’émergence du Big Data.


Types de Big Data : que sont les données structurées et non structurées ?

Les ensembles de données sont généralement catégorisés en trois types, selon leur structure et la complexité de leur indexation.

Illustration des différents types de big data : données structurées, données non-structurées, données semi-structurées.

  1. Données structurées : ce type de données est le plus simple à organiser et à rechercher. Il peut inclure des données financières, des machine logs et des détails démographiques. Une feuille de calcul Microsoft Excel, avec sa mise en forme de colonnes et de lignes prédéfinies, offre un moyen efficace de visualiser les données structurées. Ses composants peuvent facilement être catégorisés, ce qui permet aux concepteurs et administrateurs de bases de données de définir des algorithmes simples pour la recherche et l’analyse. Même lorsque les données structurées sont très volumineuses, elles ne sont pas nécessairement qualifiées de Big Data, car elles sont relativement simples à gérer et ne répondent donc pas aux critères qui définissent le Big Data. Traditionnellement, les bases de données utilisent un langage de programmation appelé SQL (Structured Query Language) pour gérer les données structurées. SQL a été développé par IBM dans les années 1970 pour permettre aux développeurs de créer et gérer des bases de données relationnelles (de type feuille de calcul) qui commençaient à émerger à l’époque.
  2. Données non structurées : cette catégorie de données peut inclure des publications sur les réseaux sociaux, des fichiers audio, des images et des commentaires client ouverts. Ces données ne peuvent pas être facilement capturées dans les bases de données relationnelles standard en lignes et colonnes. Auparavant, les entreprises qui voulaient rechercher, gérer ou analyser de grandes quantités de données non structurées devaient utiliser des processus manuels laborieux. La valeur potentielle liée à l’analyse et à la compréhension de ces données ne faisait aucun doute, mais le coût associé était souvent trop exorbitant pour en valoir la peine. Compte tenu du temps nécessaire, les résultats étaient souvent obsolètes avant même d’être générés. Contrairement aux feuilles de calcul ou aux bases de données relationnelles, les données non structurées sont généralement stockées dans des lacs de données, des entrepôts de données et des bases de données NoSQL.
  3. Données semi-structurées : comme leur nom l’indique, les données semi-structurées intègrent à la fois des données structurées et non structurées. Les e-mails en sont un bon exemple, car ils incluent des données non structurées dans le corps du message, ainsi que d’autres propriétés organisationnelles telles que l’expéditeur, le destinataire, l’objet et la date. Les dispositifs qui utilisent le marquage géographique, les horodatages ou les balises sémantiques peuvent également fournir des données structurées avec un contenu non structuré. Une image de smartphone non identifiée, par exemple, peut indiquer qu’il s’agit d’un selfie et préciser l’heure et l’endroit où il a été pris. Une base de données moderne exécutant une technologie d’IA peut non seulement identifier instantanément différents types de données, mais aussi générer des algorithmes en temps réel pour gérer et analyser efficacement les ensembles de données disparates.

Les sources du Big Data

Les objets générateurs de données se développent à un rythme spectaculaire, depuis les drones jusqu’aux grille-pains. Toutefois, à des fins de catégorisation, les sources de données sont généralement divisées en trois types :

Illustration des différentes sources du big data : données sociales, données machine, données altérables.

Données sociales

Comme leur nom l’indique, les données sociales sont générées par les réseaux sociaux : commentaires, publications, images et, de plus en plus, vidéos. En outre, compte tenu de l’ubiquité croissante des réseaux 4G et 5G, on estime que le nombre de personnes dans le monde qui regardent régulièrement des contenus vidéo sur leur smartphone atteindra 2,72 milliards en 2023. Bien que les tendances concernant les réseaux sociaux et leur utilisation évoluent rapidement et de manière imprévisible, leur progression en tant que générateurs de données numériques est incontestable.

Données machine

Les machines et appareils IoT sont équipés de capteurs et ont la capacité d’envoyer et de recevoir des données numériques. Les capteurs IoT aident les entreprises à collecter et traiter les données machine provenant des appareils, des véhicules et des équipements. Globalement, le nombre d’objets générateurs de données augmente rapidement, des capteurs météorologiques et de trafic jusqu’à la surveillance de la sécurité. Selon l’IDC, il y aura plus de 40 milliards d’appareils IoT en 2025, générant près de la moitié des données numériques mondiales.

Données altérables

Il s’agit des données parmi les plus évolutives au monde. Par exemple, un détaillant international traite plus d’un million de transactions client par heure. Si l’on ajoute à cela les transactions d’achat et bancaires au niveau mondial, on comprend mieux le volume phénoménal de données générées. En outre, les données altérables contiennent de plus en plus de données semi-structurées, y compris des images et des commentaires, ce qui les rend d’autant plus complexes à gérer et à traiter.


Les cinq V du Big Data

Ce n’est pas parce qu’un ensemble de données est volumineux qu’il s’agit nécessairement de Big Data. Pour être qualifiées en tant que telles, les données doivent posséder au minimum les cinq caractéristiques suivantes :

Illustration des 5 V du Big Data : Volume, Vitesse, Variété, Véracité, Valeur.

  1. Volume : même si le volume n’est pas le seul composant qui constitue le Big Data, il s’agit d’une de ses caractéristiques principales. Pour gérer et exploiter pleinement le Big Data, des algorithmes avancés et des analyses pilotées par l’IA sont nécessaires. Mais avant tout cela, il doit exister un moyen fiable et sécurisé de stocker, d’organiser et d’extraire les téraoctets de données détenus par les grandes entreprises.
  2. Vitesse : auparavant, les données générées devaient ensuite être saisies dans un système de base de données traditionnel (souvent manuellement) avant de pouvoir être analysées ou extraites. Aujourd’hui, grâce à la technologie du Big Data, les bases de données sont capables de traiter, d’analyser et de configurer les données lorsqu’elles sont générées, parfois en l’espace de quelques millisecondes. Pour les entreprises, cela signifie que les données en temps réel peuvent être exploitées pour saisir des opportunités financières, répondre aux besoins des clients, prévenir la fraude et exécuter toute autre activité pour laquelle la rapidité est un facteur clé.
  3. Variété : les ensembles de données contenant uniquement des données structurées ne relèvent pas nécessairement du Big Data, quel que soit leur volume. Le Big Data comprend généralement des combinaisons de données structurées, non structurées et semi-structurées. Les solutions de gestion des données et les bases de données traditionnelles n’offrent pas la flexibilité et le périmètre nécessaires pour gérer les ensembles de données complexes et disparates qui constituent le Big Data.
  4. Véracité : bien que les bases de données modernes permettent aux entreprises d’accumuler et d’identifier des volumes considérables de Big Data de différents types, elles ne sont utiles que si elles sont précises, pertinentes et opportunes. S’agissant des bases de données traditionnelles alimentées uniquement avec des données structurées, le manque de précision des données était souvent dû à des erreurs syntaxiques et des fautes de frappe. Les données non structurées présentent toute une série de nouvelles difficultés en matière de véracité. Les préjugés humains, le « bruit social » et les problèmes liés à la provenance des données peuvent avoir un impact sur la qualité des données.
  5. Valeur : les résultats de l’analyse du Big Data sont souvent fascinants et inattendus. Mais pour les entreprises, l’analyse du Big Data doit fournir une visibilité qui les aident à gagner en compétitivité et en résilience, et à mieux servir leurs clients. Les technologies modernes du Big Data offrent la possibilité de collecter et d’extraire des données susceptibles de procurer un avantage mesurable à la fois en termes de résultats et de résilience opérationnelle.

Avantages du Big Data

Les solutions modernes de gestion du Big Data permettent aux entreprises de transformer leurs données brutes en informations pertinentes avec une rapidité et une précision sans précédent.

  • Développement de produits et de services :l’analyse du Big Data permet aux développeurs de produits d’analyser les données non structurées, telles que les témoignages clients et les tendances culturelles, et de réagir rapidement.
  • Maintenance prédictive : dans le cadre d’uneenquête internationale, McKinsey a constaté que l’analyse du Big Data émanant des machines IoT pouvait réduire les coûts de maintenance des équipements jusqu’à 40 %.
  • Expérience client :dans le cadre d’une enquête réalisée en 2020 auprès de responsables d’entreprises du monde entier, Gartner a déterminé que « les entreprises en croissance collectent plus activement des données sur l’expérience client que les entreprises à croissance nulle ». L’analyse du Big Data permet aux entreprises d’améliorer et de personnaliser l’expérience de leurs clients avec leur marque.
  • Gestion de la résilience et des risques :la pandémie de COVID-19 a été une véritable prise de conscience pour de nombreux dirigeants d’entreprise qui se sont rendu compte à quel point leur activité était vulnérable. La visibilité offerte par le Big Data peut aider les entreprises à anticiper les risques et à se préparer aux imprévus.
  • Économies et efficacité accrue : lorsque les entreprises effectuent une analyse avancée du Big Data pour tous les processus de l’organisation, elles peuvent non seulement détecter les inefficacités, mais aussi déployer des solutions rapides et efficaces.
  • Amélioration de la compétitivité : les informations obtenues grâce au Big Data peuvent aider les entreprises à réaliser des économies, à satisfaire leurs clients, à concevoir de meilleurs produits et à innover dans les opérations de gestion.

IA et Big Data

La gestion du Big Data repose sur des systèmes capables de traiter et d’analyser efficacement de gros volumes d’informations disparates et complexes. À cet égard, le Big Data et l’IA ont une relation de réciprocité. Sans l’IA pour l’organiser et l’analyser, le Big Data n’aurait pas grande utilité. Et pour que l’IA puisse générer des analyses suffisamment fiables pour être exploitables, le Big Data doit contenir des ensembles de données suffisamment étendus. Comme l’indique Brandon Purcell, analyste chez Forrester Research, « les données sont au cœur de l’intelligence artificielle. Un système d’IA doit apprendre des données pour remplir sa fonction ».

« Les données sont au cœur de l’intelligence artificielle. Un système d’IA doit apprendre des données pour remplir sa fonction ».

Brandon Purcell, analyste, Forrester Research


Machine learning et Big Data

Les algorithmes de machine learning définissent les données entrantes et identifient des modèles associés. Ces informations permettent de prendre des décisions avisées et d’automatiser les processus. Le machine learning se nourrit du Big Data, car plus les ensembles de données analysés sont fiables, plus le système est susceptible d’apprendre, de faire évoluer et d’adapter ses processus en continu.


Technologies du Big Data

Architecture du Big Data

À l’instar de l’architecture du bâtiment, l’architecture du Big Data fournit un modèle pour la structure de base déterminant la manière dont les entreprises gèrent et analysent leurs données. L’architecture du Big Data mappe les processus requis pour gérer le Big Data à travers quatre « couches » de base, des sources de données au stockage des données, puis à l’analyse du Big Data, et enfin via la couche de consommation dans laquelle les résultats analysés sont présentés en tant que Business Intelligence.

‍Analyse du Big Data

Ce processus permet de visualiser les données de manière pertinente grâce à l’utilisation de la modélisation des données et d’algorithmes spécifiques aux caractéristiques du Big Data. Dans le cadre d’une étude approfondie et d’une enquête de la MIT Sloan School of Management, plus de 2 000 dirigeants d’entreprise ont été interrogés sur leur expérience en matière d’analyse du Big Data. Comme on pouvait s’y attendre, ceux qui s’étaient impliqués dans le développement de stratégies de gestion du Big Data ont obtenu les résultats les plus significatifs.

Big Data et Apache Hadoop

Imaginez une grande boîte contenant 10 pièces de 10 centimes et 100 pièces de 5 centimes. Puis imaginez 10 boîtes plus petites, côte à côte, contenant chacune 10 pièces de 5 centimes et une seule pièce de 10 centimes. Dans quel scénario sera-t-il plus facile de repérer les pièces de 10 centimes ? Hadoop fonctionne sur ce principe. Il s’agit d’une structure en open source permettant de gérer le traitement du Big Data distribué sur un réseau constitué de nombreux ordinateurs connectés. Ainsi, au lieu d’utiliser un gros ordinateur pour stocker et traiter toutes les données, Hadoop regroupe plusieurs ordinateurs sur un réseau pouvant évoluer presque à l’infini et analyse les données en parallèle. Ce processus utilise généralement un modèle de programmation appelé MapReduce, qui coordonne le traitement du Big Data en regroupant les ordinateurs distribués.

Lacs de données, entrepôts de données et NoSQL

Les bases de données traditionnelles de type feuille de calcul SQL servent à stocker les données structurées. Le Big Data non structuré et semi-structuré nécessite des modèles de stockage et de traitement uniques, car il ne peut pas être indexé et catégorisé. Les lacs de données, les entrepôts de données et les bases de données NoSQL sont des référentiels de données capables de gérer les ensembles de données non traditionnels. Un lac de données est un vaste pool de données brutes qui n’ont pas encore été traitées. Un entrepôt de données est un référentiel de données qui ont déjà été traitées à des fins spécifiques. Les bases de données NoSQL fournissent un schéma flexible qui peut être modifié en fonction de la nature des données à traiter. Ces systèmes présentent chacun des avantages et des inconvénients, c’est pourquoi de nombreuses entreprises utilisent plutôt une combinaison de ces référentiels de données pour répondre au mieux à leurs besoins.

Bases de données in-memory

Les bases de données traditionnelles sur disque ont été conçues pour SQL et les bases de données relationnelles. Bien qu’elles soient capables de traiter de gros volumes de données structurées, elles ne sont pas adaptées au stockage et au traitement des données non structurées. Dans le cas des bases de données in-memory, le traitement et l’analyse se font entièrement dans la RAM, pour ne pas avoir à extraire les données d’un système sur disque. Les bases de données in-memory reposent également sur des architectures distribuées. Cela signifie qu’elles peuvent atteindre des vitesses beaucoup plus élevées en utilisant le traitement parallèle, par rapport aux modèles de base de données sur disque à un seul nœud.


Fonctionnement du Big Data

Le Big Data remplit ses fonctions lorsque son analyse fournit des informations pertinentes et exploitables qui améliorent l’activité de manière significative. Pour se préparer à la transition vers le Big Data, les entreprises doivent s’assurer que leurs systèmes et processus sont en mesure de collecter, de stocker et d’analyser le Big Data.

Illustration du fonctionnement du Big Data : collecter le Big Data, stocker le Big Data, Analyser le Big Data

  1. Collecter le Big Data.Une grande partie du Big Data est constituée d’énormes ensembles de données non structurées qui émanent de sources disparates et incohérentes. Les bases de données traditionnelles sur disque et les mécanismes d’intégration des données ne sont pas suffisamment performants pour les gérer. La gestion du Big Data requiert des solutions de base de données in-memory et des solutions logicielles spécifiques de l’acquisition de ce type de données.
  2. Stocker le Big Data.Comme son nom l’indique, le Big Data est volumineux. De nombreuses entreprises utilisent des solutions de stockage sur site pour leurs données existantes et espèrent réaliser des économies en réutilisant ces référentiels pour traiter le Big Data. Toutefois, le Big Data est plus performant lorsqu’il n’est pas soumis à des contraintes de taille et de mémoire. Les entreprises qui n’intègrent pas dès le départ des solutions de stockage Cloud dans leurs modèles de Big Data le regrettent souvent quelques mois plus tard.
  3. Analyser le Big Data. Il est impossible d’exploiter pleinement le potentiel du Big Data sans utiliser les technologies d’IA et de machine learning pour l’analyser. L’un des cinq V du Big Data est la « vitesse ». Pour être utiles et exploitables, les informations du Big Data doivent être générées rapidement. Les processus d’analyse doivent s’auto-optimiser et tirer régulièrement profit de l’expérience, un objectif qui ne peut être atteint qu’avec l’IA et les technologies modernes de bases de données.

Applications du Big Data

La visibilité offerte par le Big Data est bénéfique à la plupart des entreprises ou secteurs d’activité. Cependant, ce sont les grandes entreprises aux missions opérationnelles complexes qui en tirent souvent le meilleur parti.

Finance

Dans le Journal of Big Data, une étude de 2020 souligne que le Big Data « joue un rôle important dans l’évolution du secteur des services financiers, en particulier dans le commerce et les investissements, la réforme fiscale, la détection et les enquêtes en matière de fraude, l’analyse des risques et l’automatisation ». Le Big Data a également contribué à transformer le secteur financier en analysant les données et les commentaires des clients pour obtenir les informations nécessaires à l’amélioration de la satisfaction et de l’expérience client. Les ensembles de données altérables figurent parmi les plus importants et les plus évolutifs au monde. L’adoption croissante de solutions avancées de gestion du Big Data permettra aux banques et aux établissements financiers de protéger ces données et de les utiliser d’une manière qui bénéficie à la fois au client et à l’entreprise.

Hygiène et santé
publique

L’analyse du Big Data permet aux professionnels de santé d’établir des diagnostics plus précis, fondés sur des données avérées. De plus, le Big Data aide les administrateurs d’hôpitaux à identifier les tendances, à gérer les risques et à limiter les dépenses inutiles, afin de consacrer le maximum de fonds aux soins des patients et à la recherche. En cette période de pandémie, les chercheurs du monde entier s’efforcent de traiter et de gérer au mieux la COVID-19, et le Big Data joue un rôle fondamental dans ce processus. Un article de juillet 2020 paru dans The Scientist explique comment des équipes médicales ont pu collaborer et analyser le Big Data afin de lutter contre le coronavirus : « Nous pourrions transformer la science clinique en exploitant les outils et les ressources du Big Data et de la science des données d’une manière que nous pensions impossible ».

Transport et logistique

L’« effet Amazon » est un terme qui définit la manière dont Amazon a fait de la livraison en un jour la nouvelle norme, les clients exigeant désormais la même vitesse d’expédition pour tout ce qu’ils commandent en ligne. Le magazine Entrepreneur souligne qu’en raison de l’effet Amazon, « la course logistique au dernier kilomètre ne fera que s’intensifier ». Les entreprises du secteur s’appuient de plus en plus sur l’analyse du Big Data pour optimiser la planification des itinéraires, la consolidation des charges et les mesures d’efficacité énergétique.

Éducation

Depuis l’apparition de la pandémie, les établissements d’enseignement du monde entier ont dû réinventer leurs programmes d’études et leurs méthodes d’enseignement afin de faciliter l’apprentissage à distance. L’un des principaux défis a été de trouver des moyens fiables d’analyser et d’évaluer la performance des étudiants et l’efficacité globale des méthodes d’enseignement en ligne. Un article paru en 2020 au sujet de l’impact du Big Data sur la formation et l’apprentissage en ligne indique, au sujet des enseignants, que « le Big Data les aide à gagner en confiance pour personnaliser l’enseignement, développer l’apprentissage mixte, transformer les systèmes d’évaluation et promouvoir l’apprentissage continu ».

Énergie et services publics

Selon le U.S. Bureau of Labor Statistics, le service public consacre plus de 1,4 milliard de dollars aux relevés de compteurs et s’appuie généralement sur des compteurs analogiques et des lectures manuelles peu fréquentes. Les relevés de compteurs intelligents fournissent des données numériques plusieurs fois par jour et, grâce à l’analyse du Big Data, ces informations permettent d’accroître l’efficacité de la consommation énergétique, ainsi que la précision des prix et des prévisions. En outre, lorsque les agents n’ont plus à se charger des relevés de compteurs, la saisie et l’analyse des données peuvent permettre de les réaffecter plus rapidement là où les réparations et les mises à niveau sont les plus urgentes.

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com