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SAP met en lumière les retours d’expérience d’acteurs de terrain dans cette nouvelle série de podcasts, toujours animée par Thomas Dorynek, HXM Value Advisor. Ils évoquent notamment les évolutions récentes de leur fonction et les enjeux auxquels ils doivent désormais répondre.

 

Comment les professionnels RH peuvent-ils prendre place à la table des décisions ? Cette question transparaît, en filigrane, dans les témoignages de la plupart des DRH qui s’expriment dans « HR Pulse » saison 2. Pour illustrer la manière dont ce rôle stratégique peut se manifester, Nawal Mrani Alaoui, DRH Mars Petcare & Food France, explique par exemple le fonctionnement du trio décisionnaire, qu’elle compose avec le directeur général et le directeur financier.

L’évolution du métier de RH tient aussi au contexte et au secteur d’activité. Ainsi Maïté Bouchez, DRH adjointe chez AP-HP, explique la situation de l’hôpital public et son indispensable transformation, appelant à travailler sur l’attractivité des métiers et l’expérience collaborateur. Par exemple, avec des conditions de prise de poste sereines, « pour impulser une dynamique positive d’un point de vue managérial et de sentiment d’appartenance ».

Transformation digitale : une opportunité et un challenge

Les DRH partagent également leur vision des grands défis qui les attendent, avec là encore de nombreux sujets en commun, comme l’engagement, la fidélisation, le sens au travail et la QVT.  Bruno Frankiel, DRH de Giphar, cite de son côté l’hybridation de l’organisation du travail, à laquelle tous les métiers ne sont pas éligibles : « Comment gère-t-on l’équité et préserve-t-on l’unité de l’organisation ? ».

Pour sa part, Pierre-Michel Bataillard, DRH de SGD Pharma, évoque les défis posés par le digital, « à la fois une opportunité et un challenge ». Il s’agit notamment de travailler avec la DSI pour établir les priorités d’investissement et mettre en place les conditions d’un déploiement réussi. Cette saison 2 de « HR Pulse » met aussi en évidence l’importance du dialogue social, dans un contexte de culture politique et syndicale moins marquée chez les jeunes générations, et appelant de la réinvention – par exemple, avec des moyens d’interaction plus directs avec les collaborateurs.

Une palette de compétences au service de multiples enjeux

Pour accompagner l’évolution de leur fonction et relever les défis qui les attendent, quelles qualités sont aujourd’hui attendues chez les DRH ? A cette question, les professionnels répondent en mettant en avant l’humilité ou encore l’agilité. La capacité à naviguer entre différentes dimensions – temps court et temps, opérationnel et stratégique, problématiques individuelles et collectives, etc. – et à établir des compromis ressort aussi comme essentielle.

Quant à Jean-Luc Minard, DRH du groupe Framatome, il met en avant « la capacité de conviction, pour faire passer les messages en CODIR ou vis-à-vis des représentants du personnel, l’exemplarité, la curiosité, pour s’ouvrir à des idées différentes, et la modestie, pour remettre sans cesse le métier sur l’ouvrage ». Autant de compétences essentielles à la réalisation des missions stratégiques des DRH, dont les podcasts d’« HR Pulse » se font aujourd’hui le relais.

 

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Source de l’article sur sap.com

Étapes pour les développeurs vers l'IT durable.

Les développeurs sont à la pointe de l’innovation technologique. Mais comment peuvent-ils adopter une approche durable pour leurs projets IT ? Découvrez les étapes à suivre !

Les conséquences réelles de quelque chose d’aussi abstrait que le logiciel

Même quelque chose d’aussi abstrait que le logiciel a des conséquences concrètes. Les centres de données consomment environ 1 % de l’énergie mondiale et ces serveurs à haute consommation représentent une fraction minime de l’utilisation totale de l’énergie informatique. Il est temps pour les développeurs informatiques de prendre au sérieux la réduction de leur empreinte carbone.

Aller vert peut prendre plusieurs formes, y compris l’écriture de meilleurs codes, des modifications matérielles et des changements dans la culture du lieu de travail. Les professionnels de l’informatique peuvent utiliser les techniques suivantes pour minimiser l’impact environnemental.

La première étape consiste à optimiser les bases de données. Les bases de données sont un élément essentiel des systèmes informatiques et peuvent consommer une quantité significative d’énergie. Les développeurs peuvent réduire la consommation d’énergie en optimisant leur base de données. Cela peut être fait en réduisant le nombre de requêtes, en réduisant le nombre de tables et en supprimant les données non utilisées. Les développeurs peuvent également améliorer l’efficacité des bases de données en utilisant des outils tels que l’indexation et la compression des données.

Deuxièmement, les développeurs peuvent réduire leur empreinte carbone en réduisant le nombre de serveurs nécessaires. Les serveurs sont l’un des principaux consommateurs d’énergie dans les centres de données et peuvent facilement être réduits en consolidant plusieurs serveurs sur un seul serveur. Les développeurs peuvent également réduire le nombre de serveurs en utilisant des technologies telles que le cloud computing et le virtualisation. Ces technologies permettent aux développeurs d’utiliser plusieurs serveurs virtuels sur un seul serveur physique, ce qui permet une meilleure utilisation des ressources et une réduction des coûts.

Enfin, les développeurs peuvent également réduire leur empreinte carbone en modifiant leur culture de travail. Les développeurs peuvent encourager l’utilisation de technologies plus écologiques telles que les écrans à LED et les imprimantes à faible consommation d’énergie. Ils peuvent également encourager l’utilisation des transports publics ou du covoiturage pour se rendre au travail et encourager le télétravail pour les employés qui le peuvent. Enfin, ils peuvent encourager les employés à recycler et à adopter des pratiques plus respectueuses de l’environnement.

Même si le logiciel est abstrait, il a des conséquences concrètes sur l’environnement. Les professionnels de l’informatique peuvent réduire leur empreinte carbone en optimisant leurs bases de données, en réduisant le nombre de serveurs nécessaires et en modifiant leur culture de travail. En adoptant ces techniques, les développeurs informatiques peuvent contribuer à la protection de l’environnement et à la préservation des ressources naturelles pour les générations futures.

Source de l’article sur DZONE

Paris, le 27 mars 2023 – Face à la recrudescence des risques géopolitiques, aux pénuries de matières premières et aux difficultés d’approvisionnement, SAP, à travers son étude Supply Chain 2023, revient sur les grands défis auxquels sont confrontées les entreprises internationales. Dans ce cadre, 350 responsables de chaîne logistique ont été interrogés et témoignent de la nécessité de transformer leur modèle : si à première vue les nouvelles semblent décourageantes, les entreprises y voient une réelle opportunité de s’améliorer et de devenir plus résilientes.

 

Seule 1 entreprise française sur 10 s’attend à la fin des problèmes qui touchent la chaîne d’approvisionnement d’ici l’été 2023

Les conclusions du rapport Tomorrow’s Supply Chain : Disruption Around Every Corner[1] soulignent l’état critique de la chaîne d’approvisionnement depuis le début de la pandémie. Les entreprises françaises, belges et néerlandaises ont été freinées par des retards dans la production de biens ou la livraison de services (50%) et un manque de matières premières (34%). Ceci a entraîné une baisse significative du chiffre d’affaires (33 %), une incapacité de payer le personnel (31 %) ou les loyers (41 %), mais aussi une perte de clientèle (35 %) ou une atteinte à la réputation (27 %).

Près de la moitié des entreprises françaises (46%) s’attendent à ce que les problèmes qui touchent actuellement la chaîne d’approvisionnement persistent jusqu’à la fin 2023. Seule 1 entreprise sur 10 prévoit qu’ils seront résolus d’ici la fin de l’été. Pour près de 4 entreprises sur 10, la durée de ces problèmes dépend de la résolution d’événements clés : la situation en Ukraine (24 %) ou la crise énergétique (17 %).

Les entreprises françaises en attente de mesures incitatives des pouvoirs publics pour attirer de nouvelles compétences, notamment venant de l’international

Si deux tiers des entreprises françaises sont en phase avec la stratégie du président Emmanuel Macron qui souhaite que la France « soit une nation plus indépendante », en faisant valoir que la démondialisation des chaînes d’approvisionnement favoriserait la croissance économique, elles indiquent clairement souhaiter davantage de soutien de la part du gouvernement pour résoudre ces problèmes, et demandent des mesures incitatives pour attirer et améliorer les compétences de la main-d’œuvre (49 %), y compris celles provenant de l’étranger (40 %). Ces entreprises demandent également une collaboration accrue avec l’industrie (40%). Le rapport montre par ailleurs qu’une majorité des entreprises françaises (66 %) pense que la démondialisation des chaînes d’approvisionnement pourrait favoriser la croissance économique. Aux Pays-Bas, elles sont plus mitigées : 34 % y seraient favorables et 66 % défavorables.

Olivier Kessler-Gay, Directeur Général pour l’Europe de l’Ouest chez Pandora, commente : « Notre défi aujourd’hui est de répondre aux nouvelles attentes d’une expérience d’achat transparente, personnalisée et omnicanale. En intégrant totalement notre chaîne de valeur, de la conception de nos bijoux et leur fabrication dans nos ateliers, à l’approvisionnement de nos boutiques, nous avons éliminé certaines problématiques que rencontrent d’autres acteurs du marché. Nous pouvons ainsi mieux anticiper l’impact d’évolutions macroéconomiques et gérer les risques. Si de nombreuses incertitudes restent complexes à appréhender, la connaissance de nos clients, la data et les outils à notre disposition nous permettent d’améliorer la croissance grâce à une approche beaucoup plus sophistiquée et à une compréhension plus fine de la demande. »

 

Une opportunité pour transformer la Supply Chain ?

La transformation de la chaîne logistique est prioritaire pour les entreprises : dans près de deux tiers des organisations, il s’agit d’une initiative parrainée au plus haut niveau. Environ six organisations sur dix prévoient une transformation majeure de la chaîne d’approvisionnement au cours des deux prochaines années et une proportion similaire considère les attentes des clients en matière de développement durable comme un facteur critique pour leurs activités. D’ailleurs, nombre d’entre elles agissent déjà en adoptant de nouveaux processus, de nouvelles méthodes et des solutions intelligentes pour pallier les risques actuels et futurs de leur chaîne d’approvisionnement.

Rémy Vernet, Directeur de la Digital Supply Chain chez SAP France commente : « Alors qu’autrefois la gestion de la supply chain consistait surtout à réduire les coûts, les entreprises sont confrontées au défi de rester en avance sur la demande des consommateurs, tout en améliorant la résilience, en réduisant les émissions de carbone, en diminuant le taux de rotation du personnel et en maintenant les coûts à un niveau bas. Le marché du travail post-pandémique, la guerre en Ukraine, la hausse des coûts de l’énergie ont exacerbé les défis des modèles actuels de supply chain en France. Quels que soient les facteurs externes qui perturberont la circulation des biens et des services, notre culture de consommation à la demande ne fera que s’accroître. L’expédition du jour au lendemain est considérée comme tardive, avec des mises à jour de suivi toutes les heures. Une approche novatrice est nécessaire pour répondre à cette demande. »

 

Comment STMicroelectronics a réussi à transformer sa supply chain.

L’industrie des semi-conducteurs est une activité complexe.  Elle compte plus de 40 000 produits, plus de 200 000 clients et des process de fabrication sophistiqués. Les étapes de fabrication comprennent des centaines d’étapes qui peuvent se dérouler sur six mois autour d’un grand réseau mondial d’installation et de production. Tous ces paramètres doivent être compris dans une forte demande sur quatre marchés finaux : automobile, industrie, électronique et infrastructures de communication. STMicroelectronics fait fonc face à un très haut niveau de difficulté à gérer au quotidien.

STMicroelectronics et SAP ont uni leurs forces pour développer une supply chain fondée sur l’analyse et l’optimisation de la big data, des modèles de jumeaux numériques pour fusionner le physique et le numérique, et des outils collaboratifs pour l’ensemble des opérations. Cette union a permis un changement radical dans la façon dont cette multinationale utilise le cloud.

 

Dario Fozibo, directeur de la supply chain chez STMicroelectronics, explique : “La dynamique commerciale du marché des semi-conducteurs était très instable pendant la pandémie. Depuis, la complexité de la chaîne d’approvisionnement s’est encore accru avec une plus grande volatilité de la demande, des pénuries d’approvisionnement et de matériaux. Tout ceci combiné à une perturbation de l’économie mondiale via l’inflation, une hausse des taux d’intérêts, une augmentation des coûts de l’énergie, des réglementations commerciales plus complexes, et bien plus encore.  Tous ces facteurs ont indéniablement un impact négatif sur de nombreuses chaînes d’approvisionnement, mais cette situation n’est pas irréversible. Grâce à nos investissements, nous avons pu mieux gérer, contrôler et automatiser nos processus en termes de visibilité et de résilience. C’est ce qui fait la différence aujourd’hui.”

 

Des entreprises françaises soucieuses de renforcer leur chaîne d’approvisionnement

La grande majorité des entreprises françaises est consciente du besoin d’améliorer sa chaîne logistique (87 %). 36 % d’entre elles comprennent également l’ampleur des changements à mettre en place. Les résultats de l’étude montrent que les entreprises françaises explorent d’autres voies pour améliorer leurs chaînes d’approvisionnement :

  • 74% prévoient de prendre de nouvelles mesures d’urgence pour leur chaîne d’approvisionnement
  • 70 % prévoient de trouver de nouvelles solutions respectueuses de l’environnement
  • 66 % prévoient d’adopter de nouvelles technologies pour les aider à surmonter les difficultés au cours des 1 ou 2 prochaines années.

 

Rémy Vernet chez SAP France conclut : « Il est passionnant de voir qu’autant d’organisations réalisent l’importance d’investir dans les technologies de pointe pour innover et qu’elles prévoient d’adopter de nouvelles solutions de supply chain respectueuses de l’environnement. Les supply chains résilientes doivent être durables, non seulement en termes d’environnement, mais aussi par rapport aux évolutions des technologies et des infrastructures en France tout comme à l’étranger. Pendant des décennies, la gestion de la supply chain s’est concentrée sur les coûts, la priorité étant de la maintenir légère et rapide. Ce n’est pas la même chose que d’être agile et résilient. Avec la fin des modèles “just in time”, les entreprises doivent commencer à placer les mêmes attentes sur leur chaîne d’approvisionnement que sur leurs activités plus larges, en se structurant pour être “just in case”, afin de pouvoir s’adapter en cas de catastrophe. Celles qui n’opèrent pas ce changement s’exposeront à des 18 mois très difficiles. »

 

[1]  La Supply Chain de demain : des perturbations à tout moment

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À propos de SAP

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com. 

Contact presse : sylvie.lechevin@sap.com

sap@the-arcane.com – 06 41 99 36 72

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Source de l’article sur sap.com

Il ne fait aucun doute que le concept de durabilité est en passe de transformer l’économie mondiale. L’épuisement des ressources de la planète, les bouleversements climatiques, la fracture sociale et économique, l’évolution des préférences de consommation, l’activisme salarial, la multiplication des réglementations et la crise de confiance dans les institutions sont autant de facteurs qui poussent les entreprises à se montrer toujours plus prudentes dans leurs objectifs et dans leurs bénéfices. Et tout cela est bon pour les affaires.

En assumant sa responsabilité sociétale, une entreprise renforce la réputation de sa marque. En effet, les demandeurs d’emploi et les consommateurs d’aujourd’hui cherchent à soutenir les organisations qui défendent des valeurs importantes et qui ont une incidence positive sur la société dans son ensemble. Quant aux investisseurs, ils s’intéressent de plus en plus aux objectifs de développement durable, et en particulier à leur impact social. Enfin, les réglementations concernant les droits humains et l’environnement se développent rapidement. De quoi pousser les PDG et les dirigeants d’entreprises à adopter une approche plus durable.

 

Les personnes, la planète et la prospérité

Quand vous entendez le mot « durabilité », vous avez peut-être le réflexe de penser au recyclage ou à l’environnement. Mais le concept ne se résume pas à éliminer les bouteilles d’eau à usage unique ou à réduire la consommation des combustibles fossiles. Le développement durable, c’est bien plus que cela. C’est une approche globale qui intègre des aspects sociaux, environnementaux et économiques – en somme, qui implique les personnes, la planète et la prospérité.

Les entreprises sont de plus en plus conscientes de la nécessité de se préoccuper autant de la durabilité sociale, ou durabilité en ressources humaines, que de ses volets économique et environnemental – car ce sont ces trois facteurs indissociables qui soutiennent et stimulent la durabilité de leurs activités. Les personnes sont les éléments constitutifs de la société ; elles exercent un impact sur l’environnement et alimentent l’économie. Elles sont naturellement au cœur de toute stratégie visant à atteindre des objectifs de développement durable. Dans le monde du travail actuel, les RH ont à la fois l’opportunité et la responsabilité de s’assurer que l’humain est au centre des différentes tâches, en créant un environnement propice aussi bien à l’épanouissement des collaborateurs qu’à la prospérité de l’entreprise dans son ensemble.

People Sustainability Is Emerging as a New Strategic Business Imperative

Définir la durabilité sociale

La durabilité sociale repose sur un traitement éthique et équitable des personnes au sein d’une entreprise, de sa Supply Chain et des populations parmi lesquelles elle opère.

La durabilité environnementale et économique implique de préserver et d’utiliser avec prudence les ressources naturelles et financières ; de la même manière, la durabilité sociale nécessite de considérer les personnes et le potentiel humain comme des ressources précieuses, qui doivent être entretenues et valorisées afin de favoriser la résilience, l’agilité et la réalisation d’objectifs pérennes.

Les entreprises qui font de la durabilité sociale une priorité en générant un impact social et en créant une culture plus diversifiée et inclusive sont mieux à même de stimuler l’implication et la productivité de leurs collaborateurs. Elles sont également mieux placées pour attirer et retenir les talents. Penny Stoker, responsable des talents internationaux chez EY, nous explique en quoi la durabilité sociale est centrale dans la construction d’un monde du travail meilleur.

Identifier les six piliers de la durabilité sociale

L’équipe de recherche en RH SAP SuccessFactors a identifié six domaines qui forment les piliers de la durabilité sociale. Bien que ces piliers soient distincts les uns des autres, on peut bien entendu identifier des recoupements. Et au centre de tout, il y a évidemment la notion de culture, qui détermine tant de comportements à l’intérieur d’une entreprise aussi bien qu’en dehors. Intéressons-nous à ces piliers, sous l’angle des RH et des processus de gestion du personnel.

 

 

Santé et sécurité
A minima, vous devez garantir la sécurité physique de votre personnel, le protéger contre les risques et subvenir à ses besoins de base. Votre processus d’intégration offre-t-il aux nouvelles recrues une formation et un équipement de sécurité appropriés dès le premier jour ? Avez-vous une bonne visibilité sur l’ensemble de vos collaborateurs, et notamment sur l’endroit où ils se trouvent ? Savoir qui sont vos salariés et où ils sont, à tout moment, vous permet de réagir rapidement en cas de crise et de proposer une assistance si nécessaire.

Diversité, équité et inclusion
En la matière, il s’agit de garantir à chaque individu un traitement juste et équitable, quels que soient son identité sociale et son système de croyances, de telle sorte qu’il en retire un sentiment authentique d’appartenance. Êtes-vous en mesure d’attirer et de recruter des demandeurs d’emploi issus de milieux divers ? Disposez-vous d’un processus de sélection et d’entretien standardisé ? Votre système de rémunération est-il transparent ? Avez-vous mis en place des métriques et un suivi des objectifs en matière de diversité, d’équité et d’inclusion ?

Bien-être et équilibre
Au-delà des impératifs de santé et de sécurité de base, il s’agit de prioriser le bien-être global (psychologique, social, financier et professionnel) de vos collaborateurs en mettant à leur disposition les outils et les ressources pertinents. Proposez-vous un ensemble complet d’avantages avec des options attrayantes ? Vos collaborateurs sont-ils suffisamment en confiance pour être pleinement eux-mêmes au travail ? Encouragez-vous une culture du dialogue permanent entre les responsables et leurs équipes ?

Confiance et transparence
Dans ce domaine, il importe que les collaborateurs puissent s’exprimer, comprendre comment sont prises les principales décisions qui les concernent, et être certains que leur entreprise agit de manière éthique. Écoutez-vous régulièrement vos collaborateurs et tenez-vous compte de leurs retours ? Avez-vous mis en place des règles et des processus garantissant l’utilisation éthique des technologies intelligentes ainsi que la confidentialité et la protection des données ? Vos métriques de diversité sont-elles publiées et accessibles à tous ?

Autonomie et développement personnel
Vos collaborateurs doivent bénéficier d’informations claires, du soutien et des outils nécessaires pour développer leurs compétences et agir sur leur parcours professionnel. Proposez-vous des options de formation inclusives pour répondre aux besoins et aux préférences d’un personnel diversifié ? Veillez-vous à ce que les responsables transmettent des retours équitables et exploitables à leurs équipes ? Offrez-vous un accès équitable aux opportunités de développement ?

Objectif organisationnel et RSE
Dans ce dernier domaine, l’entreprise s’efforce activement de rendre ce qu’elle reçoit et d’exercer un impact positif sur le monde ; ses collaborateurs sont encouragés à s’impliquer et se sentent galvanisés par la mission et les valeurs du groupe. Veillez-vous à ce que les objectifs individuels soient alignés sur ceux de l’entreprise afin de donner du sens au travail accompli ? Donnez-vous à vos collaborateurs la possibilité de s’adonner à leurs passions ?

 

Que peuvent faire les entreprises pour favoriser la durabilité sociale ?

Aujourd’hui, dans la plupart des entreprises, différents acteurs mènent ce genre d’initiatives sans trop connaître les stratégies des autres ni mettre en place de collaborations. Cela dit, il faut bien commencer quelque part. La première étape, en toute logique, consiste à déterminer où vous en êtes. Disposez-vous d’une stratégie unifiée, au moins dans certains des domaines évoqués plus haut ? Entamez des discussions et lancez-vous dans l’élimination des silos organisationnels.

Accordez la priorité aux personnes. Les progrès pour la planète et la prospérité suivront. C’est cela, être une entreprise résiliente, orientée sur les résultats et sur les personnes. Une entreprise qui n’est pas seulement parée pour répondre aux besoins de gestion d’aujourd’hui, mais qui saura s’adapter à ceux de demain.

Pour en savoir plus, regardez une rediffusion du discours d’ouverture SuccessConnect « Libérez toute la puissance du potentiel humain et transformez définitivement le monde du travail ».

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Kim Lessley est directrice mondiale du marketing des solutions chez SAP SuccessFactors.

 

 

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Source de l’article sur sap.com

En triant de vieux cartons dans mon garage, mon fils est tombé sur ma collection de films des années 1980 et 1990. Tandis que je le regardais exhumer les cassettes VHS, les DVD et quelques LaserDiscs de cette capsule temporelle de ma jeunesse, j’ai réalisé à quel point nous avons rapidement cessé de stocker nos films sur des étagères pour nous tourner vers le visionnage en streaming à la demande, sur un seul et même terminal qui tient dans une poche.

Plus frappantes encore sont les leçons tirées de chaque évolution de la livraison à domicile. Certaines entreprises ont conservé des modèles économiques classiques, convaincues que toute nouveauté n’est qu’une passade. D’autres se sont adaptées à chaque fois qu’elles se sont senties réellement menacées par la concurrence.

Mais les entreprises qui ont réellement tiré leur épingle du jeu sont celles qui ont mis en place et pérennisé de vraies innovations transformationnelles, avec la volonté assumée de toucher de nouveaux marchés, d’attirer de nouveaux clients et de répondre aux demandes et aux attentes.

Malheureusement, la plupart des entreprises de taille moyenne n’ont pas encore assimilé cette leçon en matière d’innovation. D’après un Info Snapshot IDC sponsorisé par SAP, seules 18 % des entreprises interrogées jugent que la transformation de leur modèle économique est une priorité – ce qui suggère que la plupart d’entre elles comptent seulement réagir aux bouleversements du secteur.

« Globalement, les entreprises de taille moyenne n’accordent pas la priorité à l’innovation, même si la rapidité d’adaptation et l’évolutivité stratégique sont inscrites dans leur ADN », explique Jeremy Rader, directeur général Stratégie et solutions d’entreprise (ESS) des groupes Data Platforms (DPG) et Cloud & Enterprise Solutions (CESG) d’Intel. « Soyons réalistes : le temps, l’argent et les ressources sont déjà comptés. Mais la technologie cloud peut permettre de rendre l’innovation plus abordable et plus facile à gérer pour celles qui explorent de nouvelles opportunités de transformation, moins coûteuses, moins risquées, et découvrent ainsi de meilleures manières de rester compétitives. »

 

Une étape essentielle pour assurer la prospérité d’une entreprise

Les défis de gestion et les demandes du marché sont chaque jour plus complexes, substantiels, et de plus grande envergure. Mais plutôt que de suivre chaque nouvelle tendance en matière de produits, chaque évolution des clients ou chaque innovation de la concurrence, les entreprises doivent concevoir les produits et services dont leur clientèle a réellement besoin. Cela implique d’établir une passerelle entre le cycle de vie des produits et des données de qualité, prises en charge par une plateforme interconnectée dotée des fonctions de gestion, d’analytique et d’intelligence artificielle nécessaires pour les collecter, les intégrer et les contextualiser en temps réel.

EN SAVOIR PLUS AVEC FORBES – SAP BrandVoice : Tendances 2022 en matière de biens de consommation : votre marque peut-elle offrir une satisfaction et un confort instantanés ? – Par Susan Galer

« Le plus grand obstacle à l’innovation est la crainte du changement et de l’échec », rappelle M. Rader. « Quand les gens sont capables de gérer, de protéger, de contextualiser et d’analyser des volumes considérables de données en toute confiance, ils ont toutes les clés pour obtenir des résultats plus significatifs, quoi qu’ils fassent. Tout cela commence par la mise en place d’une plateforme cloud interconnectée et fiable. »

Lorsque les données de différents services et fonctions (marketing, ventes, services, opérations et finances) sont intégrées, consolidées et recoupées avec la veille concurrentielle, les entreprises de taille moyenne sont mieux à même de justifier leurs investissements dans l’innovation produit. Elles peuvent alors établir le calendrier, les étapes, l’expertise et les technologies nécessaires pour concrétiser ces innovations d’une manière qui favorise la croissance.

Lorsqu’une entreprise obtient les bonnes données et sait comment en tirer les insights stratégiques dont elle a besoin, une culture de l’innovation commence à se mettre en place. Par exemple, les collaborateurs se mettent à surveiller étroitement les indicateurs de performance clés qui évaluent la demande de produits, la satisfaction client et les inquiétudes des services au regard des performances financières, de manière à pouvoir réagir plus rapidement et efficacement aux bouleversements.

 

Une innovation alimentée par les données pour garder une longueur d’avance

Les entreprises de taille moyenne ne peuvent pas se permettre de perdre du temps, ni de réaliser un projet d’innovation en se contentant d’espérer qu’il fonctionne. Mais ne pas innover est un risque encore plus grand dans un marché en constante évolution, rempli de clients qui en attendent chaque jour davantage.

EN SAVOIR PLUS AVEC FORBES – SAP BrandVoice : Comment les entreprises de taille moyenne peuvent relancer leur activité, se développer et s’étendre grâce aux technologies avancées – Par un invité SAP

Et lorsque les entreprises accordent davantage d’attention à la qualité et à l’impact de ces données, l’innovation n’est plus reléguée au second plan, comme une activité dont chacun sait qu’elle est nécessaire sans pouvoir s’y consacrer. Il devient possible d’allouer les ressources adéquates à explorer les opportunités, expérimenter de nouvelles idées et renforcer son avantage concurrentiel.

Si vous souhaitez approfondir la question, regardez la rediffusion du webinaire sponsorisé par Intel sur la manière dont les entreprises de taille moyenne peuvent favoriser une culture de l’innovation, dans le cadre de notre série #ConnectGrowWin.

 

Par Richard Howells, vice-président Gestion des solutions pour la Supply Chain numérique, SAP

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Source de l’article sur sap.com

Paris, le 20 janvier 2023 – SAP France distingué à deux reprises pour sa qualité d’employeur depuis 2023.

SAP France est fier d’annoncer son classement parmi le TOP 10 des employeurs Best Places to Work de Glassdoor 2023. Au sein de ce même classement, SAP France se hisse à la deuxième place des acteurs High Tech.

L’entreprise se distingue également de nouveau, et pour la 10ème année consécutive par son classement à Top Employer France 2023 en occupant la 8ème place.

Cette année encore, le Groupe a su se démarquer comme étant un employeur attractif et respectueux d’un environnement de travail où la culture du Talent est devenue la véritable pierre angulaire du management, SAP France ayant fait de plusieurs domaines un socle managérial pour attirer et sauvegarder ses Talents.

En offrant un environnement de travail flexible, qui contribue grandement à l’équilibre vie professionnelle / vie personnelle, et en assurant des engagements forts en matière de Diversité et d’Inclusion, dont notamment la valorisation de l’intergénérationnel et l’accompagnement des salariés aidants, SAP France ne cesse d’améliorer les conditions de travail de l’ensemble de ses équipes.

L’expérimentation de « New ways of Work » démontre à nouveau cette volonté d’aller toujours plus loin pour offrir aux Talents une culture et des engagements alignés avec leurs besoins et leur temps.

Autre facteur souligné des salariés, l’engagement de SAP France en tant qu’entreprise responsable, avec notamment son programme de QVT, sa politique de Mécénat et de mentoring de startups sociales.

En qualité de géant de la Tech Européenne, nous devons montrer l’exemple. Nous devons transmettre et partager nos technologies business avec des entreprises qui en ont besoin. Nous devons offrir à nos Talents un environnement de travail qui puisse prendre en compte les évolutions sociétales, tout en étant à même de travailler l’individualité de chacun. Je m’étais engagé il y a quelques mois à offrir un environnement de confiance au business comme aux équipes SAP France. Ces distinctions prouvent que nous sommes sur la bonne voie, et qu’il nous faut continuer à privilégier une culture responsable du Talent”, indique Olivier Nollent, Président Directeur Général de SAP France.

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Source de l’article sur sap.com

Finding a good web design agency is challenging, especially if you’re doing it for the first time. With so many options, it’s challenging to determine which best meets your needs.

The obvious place to start looking for a web design agency is by asking friends, family, and colleagues for personal recommendations, but bear in mind that they may not be qualified to judge your options objectively, and you’ll need to carry out due diligence on any web design agency recommended to you.

The process of researching and evaluating different design agencies can be time-consuming and complex. To make it easier, you must start with a clear understanding of your goals and expectations.

Begin by making a long list of web design agencies and freelance designers that might fit the bill. Then whittle it down to a shortlist by discounting anyone whose portfolio you don’t like — while design is about more than just subjective opinions, it’s also vital that you end up with a website you like and are proud to show off as part of your brand identity.

Now you have your shortlist, there are several key questions to pose to each potential candidate to ensure that they are the right fit for you. Here are the ten questions you should be asking to put you on track to finding your perfect website design partnership.

1. What types of website design services do you offer?

The first thing to realize is that there are many different kinds of websites, and as such, there are also many different kinds of website design services.

The types of website design services offered by web design agencies range from basic site creation to complex ecommerce solutions.

Basic web design services usually include developing and implementing a CMS (Content Management System) such as WordPress, Joomla, or Craft. Agencies may also provide more advanced services such as custom website design, SEO optimization, and web hosting.

Different agencies and freelancers specialize in various types of sites, so you must compare their solutions with your requirements.

2. Do you have any case studies of past projects I can review?

Experience matters when choosing a web design agency. Ask potential candidates about the years they have been in business and the types of projects they’ve worked on. New doesn’t necessarily mean low quality — plenty of great agencies are founded by experienced designers whose portfolios are owned by their previous employers.

However, it is easier to ensure a web design agency is a good fit for your project if you can review case studies of previous jobs. Case studies will provide valuable insights into their approach and techniques and how successful their clients have been.

3. Where are you based?

When it comes to web design agencies, there are pros and cons to hiring a local or remote team. On the one hand, working with a local agency can provide many advantages, such as in-person interaction and access to their resources. On the other hand, working with a remote team may offer greater flexibility, cost savings, and access to a global talent pool.

It’s essential to ask about an agency’s location to understand their services’ advantages and disadvantages.

Effective team communication is essential for any project, so you should check the working hours of any agency you select — you don’t want to wait overnight for answers to urgent queries.

4. Do you specialize in any particular industries or platforms?

Web design agencies may specialize in various industries and platforms, depending on the specific needs of their clients. For example, some might specialize in ecommerce solutions such as Shopify or WooCommerce, while others might focus on frameworks such as Vue or React.

Additionally, web design agencies may specialize in creating custom websites for specific industries, such as healthcare or finance.

Suppose you can locate a web design agency with previous experience developing websites for clients similar to you. In that case, they will be better placed to anticipate challenges specific to your project.

5. What is your process for designing websites?

Before hiring a web design agency, it’s essential to understand their approach to website design. For example, some agencies may take a more traditional “design and build” approach where they create the entire site from start to finish, while others may prefer to work with an existing template and make customizations.

Some design agencies use a traditional waterfall approach, while others adopt an agile methodology. Waterfall is a sequential process in which each step happens in isolation, whereas agile is an interactive approach with frequent testing and feedback.

Knowing how an agency prefers to work will help you establish realistic expectations about how they will integrate into your company culture.

5. Do you offer any additional services, such as SEO or hosting?

Website design agencies may offer a range of additional services, depending on the needs of their clients. Beyond website design and development, many agencies also provide SEO (search engine optimization) and web hosting services.

All reputable web design agencies will ensure that your website meets the minimum standard for technical SEO. But some agencies will also adapt your content to incorporate keywords and phrases related to your industry to help you increase website traffic once the site is launched.

When it comes to web hosting, your web design agency will help you choose the best type of hosting for your needs, but some agencies also provide hosting and will set up and manage a server for you.

6. How will the project be managed, and what is your timeline for completion?

When it comes to website design projects, timeline management is critical to ensure that your new website is delivered on time and within budget. Managing a website project requires careful planning and execution to keep everything on track.

You should also ask how the project will be managed throughout its lifecycle so that you can schedule your in-house timetables.

7. What type of maintenance can I expect after launching the website?

Launching your new website begins a long-term relationship with your web design agency. It’s essential to ask about their post-launch support process to ensure you have all the help and guidance you need. The agency should be able to provide comprehensive maintenance services such as bug fixing, content updates, and security checks.

Additionally, you should understand the process for making changes and requests after the website launch. Find out how quickly they can respond to your inquiries and the cost of any needed updates. This will help you plan your budget accordingly and avoid any unexpected fees.

9. How much will the project cost?

Speaking of costs, it’s vitally important to establish ballpark figures before you shortlist an agency. Like any industry, there is a wide range of different price points, dependent not just on the project but the marketability of the web design agency.

Make sure you ask for a comprehensive quote that outlines all the costs involved. Ask for a payment schedule so you know how much you’re expected to pay upfront. Check on any additional fees, such as maintenance or hosting.

Never adjust your project to secure a web design agency outside your budget. If you can’t afford a particular provider, strike them off your shortlist and move on to the next candidate.

10. What do you need from me?

As a client, there are several steps you need to take to ensure that your website design project runs smoothly. You will need to supply a detailed brief if nothing else.

You should be prepared to schedule regular feedback sessions so your agency can stay on track. You’ll probably need to supply brand materials such as logos, style guides, and any text, images, and videos you want to be included. The agency may want you to sign a contract, agree on a payment schedule, and pay an initial deposit.

Conclusion

Hiring a web design agency is challenging, especially if you don’t have the technical knowledge to assess an agency’s past work objectively.

By asking the questions above, you’ll get a solid sense of what the company is like to work for, how well they fit your corporate culture, and whether their proposed solution is within your budget.

The more questions you ask, the better informed you’ll be, and the more likely your website design project will succeed. Good luck!

 

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Bâtir une culture d’apprentissage en continu est essentiel à la viabilité à long terme d’une organisation et peut constituer un moyen de garantir que votre personnel est prêt pour l’avenir. Cependant, la transformation des valeurs, des croyances et des normes d’une organisation qui influencent le comportement et les résultats de l’apprentissage peut être un défi, car les croyances de longue date ou les façons de faire bien ancrées ne peuvent être changées du jour au lendemain.

Le paradoxe est que vos employés ont probablement soif d’apprendre. En fait, dans une récente enquête menée par SAP dans le cadre de notre recherche sur la création d’une culture d’apprentissage continu, 69 % des personnes interrogées ont déclaré qu’elles auraient besoin d’acquérir de nouvelles compétences techniques et professionnelles pour exercer leur emploi actuel à l’avenir. Si l’on ajoute à cela le fait que les organisations et les employés sont confrontés à des environnements de travail hybrides et en distanciel, cela signifie que le support de formation doit être accessible à tous et facile à trouver.

En outre, les organisations sont toujours à la recherche des meilleurs moyens d’engager et de personnaliser l’expérience des apprenants. S’il existe sur le marché de nombreuses plateformes d’expérience de formation qui peuvent y contribuer, elles n’ont peut-être pas la portée d’une solution comme SAP SuccessFactors Work Zone, qui peut aider à fournir un accès unifié non seulement au contenu de SAP SuccessFactors Learning, mais aussi à d’autres applications et processus.

« Push & Pull », quelle stratégie choisir ?

De plus, une culture d’apprentissage forte doit intégrer une mentalité « d’attraction » (ou « pull »)  plutôt que de « poussée » (ou « push »). Une culture d’apprentissage « pull » est une culture dans laquelle les employés sont plus motivés d’apprendre en raison de leurs propres intérêts et désirs. Ils cherchent activement à apprendre sur des sujets ou des domaines qui les intéressent, que ce soit sur le plan professionnel ou personnel. Dans une culture « pull », l’apprenant prend en charge son apprentissage.

En revanche, une culture d’apprentissage « push » est une culture dans laquelle les employés sont tenus de participer à des activités d’apprentissage et de développement. . Cela inclut la participation à des cours de formation obligatoires sur la conformité ou la santé et la sécurité. Et si ce type de formation est nécessaire et souvent essentiel, il n’en reste pas moins que l’apprenant n’a pas le choix. Pour passer d’une culture d’apprentissage “push” à une culture d’apprentissage “pull” prédominante, il sera nécessaire de mettre en place un nouveau modèle, et pour cela, d’avoir le soutien de la direction, y compris pour donner l’exemple.

La technologie au service de l’apprentissage

Le rôle de la technologie ne peut certainement pas être négligé. Même dans le cadre d’un modèle “pull”, le fait de devoir consulter plusieurs systèmes pour trouver un contenu pertinent rend l’apprentissage pénible ; la technologie doit favoriser l’apprentissage, et non le rendre plus difficile. En outre, la façon dont nous travaillons et apprenons a changé – du lieu et du moment où nous travaillons jusqu’à la façon dont nous travaillons, apprenons et évoluons – et cette expérience est façonnée par un certain nombre d’éléments. Mais l’impact le plus important, sur l’expérience d’apprentissage, est celui des outils et processus digitaux qui nous permettent de réussir dans notre travail et de donner le meilleur de nous-mêmes.

Repenser l’expérience collaborateur

La dernière étude d’IDC montre qu’une expérience utilisateur insatisfaisante est la deuxième cause majeure de départ des employés. Mais que signifie une expérience satisfaisante lorsqu’il s’agit pour les employés de se sentir soutenus et aidés par la technologie ? Vous pouvez responsabiliser vos employés en mettant en place les bonnes ressources et informations digitales, en leur donnant les conseils dont ils ont besoin et en les aidant à y accéder facilement. Une expérience fragmentée pour les employés est encore la réalité dans la plupart des organisations, c’est pourquoi il est essentiel de supprimer les obstacles tels que le passage d’une application à une autre. Enfin, vous pouvez les responsabiliser en leur offrant un apprentissage dans le cadre de leur travail, afin qu’ils acquièrent les compétences qu’ils souhaitent et dont l’entreprise a besoin.

Dans le monde du travail d’aujourd’hui, en constante évolution, les employés s’attendent à de meilleures expériences, en particulier lorsqu’il s’agit de leur formation, leur développement personnel et l’évolution de leur carrière.

SAP SuccessFactors Opportunity Marketplace aide les employés à découvrir, en un seul endroit, les recommandations qui alimenteront leur développement continu et leur évolution de carrière : formation, projets, équipes dynamiques, mentors, programmes de mentorat et connexion entre pairs. Dans le même temps, les dirigeants peuvent bénéficier d’une visibilité accrue et d’une meilleure compréhension des forces et des capacités de leurs collaborateurs et de leurs équipes. Les gains potentiels pour les individus et les organisations sont immenses, comme une fidélité et un engagement accrus, ainsi qu’une adaptabilité permanente qui permettra aux personnes et aux entreprises de se développer et d’être prêtes au changement.

Venez découvrir comment les solutions SAP SuccessFactors et SAP SuccessFactors Work Zone peuvent contribuer à créer une forte culture d’apprentissage qui exploite la technologie plus efficacement.

  • Margit Bauer est directrice du marketing des solutions chez SAP SE.
  • Mark Tarallo est chercheur en marketing de solutions chez SAP.
  • Traduit par La Rédaction.

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Source de l’article sur sap.com

Software Developer, Technical Recruiter, HRD, VP of Corporate Development, VP of Delivery, and Head of Manufacturing, Supply Chain, and Logistics are all pivotal destinations of my career journey. Such a trajectory may raise questions for a layman: development, HR, and management seem to lie in different dimensions. In fact, for me, as a leader in a technology company, this is pretty logical.

I have always realized that all innovative solutions are created by people and for people. Given this, my goal was to obtain a non-trivial combination of technological base and knowledge about how and why people think and behave. I needed to master the skills of negotiations and sales and understand what exactly stands behind one’s goals, thinking, setting tasks, motivation, and what one’s pains and expectations are. This body of knowledge empowers me to offer technology that will be maximum beneficial. It also helps me with the team: to inspire, guide, help them grow, and become leaders.

Source de l’article sur DZONE

Voyons concrètement comment certains clients Success Factors ont réussi à transformer leur culture de la formation et gestion des talents en s’appuyant sur SAP SuccessFactors Learning et SAP SuccessFactors Work Zone.

 

L’une des plus anciennes organisations au Monde, Royal Mail Group, peut retracer son histoire sur plus de 500 ans, depuis son origine en 1516. Ceci étant, comme tant d’autres entreprises, elle est confrontée à la nécessité d’une transformation de ses activités commerciales pour être reconnue comme la première entreprise de livraison au Royaume-Uni et en Europe et pour rester en tête de l’évolution des besoins du marché.

Royal Mail Group est une organisation mondiale, opérant dans 43 pays à travers le monde et employant plus de 140 000 personnes. Elle distribue chaque année plus de 1,8 milliard de colis et 14 milliards de lettres. Pour poursuivre la transformation de ses activités et de sa main-d’œuvre, Royal Mail avait besoin d’une plateforme offrant une expérience utilisateur personnalisée, fournissant les bons outils et les bonnes informations au bon format et au bon moment, afin de remplir ses fonctions quotidiennes. Avec SAP SuccessFactors Work Zone, SAP SuccessFactors Learning et BLEND de TalenTeam, Royal Mail a transformé son expérience d’apprentissage en proposant une plateforme numérique de développement personnel centrée sur l’utilisateur, baptisée ” The Royal Mail Academy “, qui a eu un impact intrinsèque sur la culture d’entreprise grâce à une approche ascendante de l’apprentissage et du développement.

Entièrement déployée en 12 semaines seulement, la plateforme permet de réunir tous les employés en un seul endroit pour tous leurs besoins RH, ainsi que les applications et services dont ils ont besoin. Aujourd’hui, les données permettent d’identifier plus facilement les experts locaux, 30 % du public cible a déjà utilisé la nouvelle plateforme après la mise en œuvre, l’agilité entre les gestionnaires de programmes et les employés de première ligne a augmenté, l’engagement des employés s’est considérablement amélioré et la diffusion des informations à grande échelle est plus rationalisée

Un autre client intéressant : Corning Incorporated, une entreprise technologique multinationale spécialisée dans les verres spéciaux, les céramiques ainsi que dans les matériaux et technologies connexes, opérant dans 60 pays et employant plus de 50 000 employés.

Ils utilisent SAP SuccessFactors Work Zone pour différents cas d’utilisation, mais concentrons-nous sur celui de la formation et du développement. Comme d’autres gros clients, Corning est composé de nombreuses divisions commerciales différentes qui ont toutes des besoins différents. L’objectif était de mettre en place différentes expériences universitaires d’apprentissage en tirant parti de l’investissement existant dans SAP SuccessFactors Learning et de créer un environnement qui permet aux personnes d’être guidées dans le développement de leur carrière. L’utilisation des espaces de travail améliore l’expérience globale, par exemple en complétant l’apprentissage formel par un apprentissage collaboratif.

Corning utilise les capacités de personnalisation pour aider les individus à trouver des informations pour des utilisations particulières et qui leurs sont utiles, au lieu d’être potentiellement submergés par trop d’informations. Il est utile de donner à l’utilisateur la possibilité de choisir le contenu qu’il souhaite et qui l’intéresse. Il peut s’agir de tout type d’information provenant des solutions SAP SuccessFactors, mais aussi de Microsoft Teams pour faciliter les groupes d’apprentissage virtuels.

Corning prévoit également d’accompagner ses collaborateurs délocalisés en distanciel grâce aux fonctionnalités de SAP SuccessFactors Work Zone, car elle ne dispose pas actuellement d’une plateforme pour communiquer avec elle de manière efficace. Avec cette solution, l’entreprise peut communiquer de manière plus plus engageante, directement depuis leur appareil mobile ou même leur ordinateur portable à la maison, et ce dans plusieurs langues. Corning étudie actuellement la solution SAP SuccessFactors Opportunity Marketplace, qui permettra à ses employés de piloter leur propre développement et leur croissance tout en s’alignant sur les valeurs et la stratégie de Corning en matière de talents. Cela peut être un facteur de différenciation important lorsqu’il s’agit d’attirer et de retenir les talents, tout en permettant à l’entreprise de soutenir la croissance de ses effectifs.

Découvrez comment les solutions SAP SuccessFactors et SAP SuccessFactors Work Zone aident les entreprises à améliorer leurs expériences d’apprentissage pour se préparer à l’avenir.

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Margit Bauer est directrice du marketing des solutions chez SAP SE.

Mark Tarallo est chercheur en marketing de solutions chez SAP.

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Source de l’article sur sap.com