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SAP en France s’engage aux côtés des femmes de la Tech le 12 mai prochain en participant au Forum SISTEMIC au Palais de Tokyo, lancé par Aude de Thuin et sous le Haut Patronage du Président de la République.

Tout au long de cette journée, des keynotes, des témoignages, des masterclass, des projections et des rencontres avec des experts seront organisés pour changer le rapport des femmes aux métiers des STEM (science, technology, engineering and mathematics).

Les équipes de SAP en France auront l’occasion de rencontrer des étudiants, lycéens, collégiens, enseignants et l’ensemble des réseaux de femmes pour démontrer l’engagement de SAP pour une tech plus inclusive et paritaire. Les collaboratrices de SAP auront le plaisir de partager leur expérience à toutes celles qui veulent développer leur carrière dans les métiers des STEM.

Pour Caroline Garnier, DRH de SAP France : « Toute entreprise de la tech a le devoir d’améliorer l’inclusivité dans son secteur. Chez SAP, nous sommes conscients que nous pouvons faire mieux, avec seulement 24% d’ingénieures. Cette première édition du forum SISTEMIC est une nouvelle occasion pour SAP de renforcer son engagement pour que les femmes puissent plus facilement accéder à des postes dans les STEM. »

Alors que la diversité est une force pour l’innovation et la réussite, SAP en France s’engage à soutenir toutes les initiatives qui visent à briser les plafonds de verre pour les femmes dans le secteur.

Vous pourrez retrouver les équipes SAP au stand We Need You !

 

Contact :

Sylvie Léchevin, Directrice Communication France & Belux –  sylvie.lechevin@sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Après une première série de podcasts qui a mobilisé des experts pour décrypter les principaux enjeux RH des entreprises, SAP donne cette fois la parole au terrain. Au programme de cette deuxième saison d’« HR Pulse », toujours animée par Thomas Dorynek, HXM Value Advisor : des retours d’expérience mêlés de souvenirs personnels, riches d’enseignements pour leurs pairs.

 

La crise sanitaire a représenté, pour bon nombre de DRH, un moment marquant de leur carrière. Le souvenir peut être plus ou moins bon, selon le contexte dans lequel s’est invitée la pandémie et la manière dont ce défi a pu être relevé. Dans le cas de Fernanda Ribeiro, VP RH en charge de l’excellence opérationnelle et de la transformation digitale chez Bureau Veritas, l’expérience a été largement positive : « En travaillant avec la direction générale, la DAF et les opérationnels, nous avons réussi à gérer les mobilités internes en un temps record, en monitorant nos carnets de commande et en ajustant les réponses en termes de compétences disponibles ». Avec, à la clé, l’atteinte des objectifs business et un impact social très favorable.

La crise sanitaire, un défi d’inventivité et d’agilité

De son côté, Delphine Isal, Digital learning & HR innovation Director chez Air France, garde le souvenir d’une pandémie globale qui a, du jour au lendemain, mis l’intégralité de la flotte à l’arrêt. L’enjeu a été de maintenir les liens et l’engagement, mais aussi de « faire preuve d’inventivité et d’agilité, pour développer une offre de formation répondant aux besoins actuels des apprenants. »

Ces deux retours d’expérience, passionnants et révélateurs, illustrent la diversité des missions des sept professionnels RH de haut niveau interrogés par SAP ; la multitude des enjeux auxquels ils et elles sont confrontés ; et les spécificités de l’environnement économique et social dans lequel ces décideurs interviennent.

Tirer des leçons des personnalités inspirantes

Cette saison 2 de « HR Pulse » est riche en retours d’expérience, qui permettent de découvrir ce qui anime ces professionnels très investis dans leurs missions. Leurs propres sources d’inspiration méritent d’ailleurs d’être partagées, à l’image de Bruno Frankiel, DRH de Giphar, qui évoque deux grands champions de tennis, Arthur Ashe et Yannick Noah. Le premier, afro-américain né dans un milieu modeste, a réussi à s’imposer dans un milieu majoritairement riche et blanc, à force de talent et de persévérance. Lors d’une visite au Cameroun, il rencontre le jeune Yannick, chez qui il décèle un potentiel et qu’il va soutenir. Un double exemple, pour Bruno Frankiel, de « leadership, charisme, rigueur et valeurs ».

Pour sa part, Maïté Bouchez, DRH adjointe chez AP-HP, a choisi un extrait du dernier discours de l’ex-première ministre de Nouvelle-Zélande, Jacinda Ardern : « J’espère, qu’en retour, je laisserai derrière moi la conviction que l’on peut être gentil mais fort, empathique mais décidé, optimiste mais concentré, et que l’on peut être son propre leader ». Découvrez, dans les épisodes « HR Pulse », d’autres témoignages et role models tout aussi inspirants !

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Source de l’article sur sap.com

SAP met en lumière les retours d’expérience d’acteurs de terrain dans cette nouvelle série de podcasts, toujours animée par Thomas Dorynek, HXM Value Advisor. Ils évoquent notamment les évolutions récentes de leur fonction et les enjeux auxquels ils doivent désormais répondre.

 

Comment les professionnels RH peuvent-ils prendre place à la table des décisions ? Cette question transparaît, en filigrane, dans les témoignages de la plupart des DRH qui s’expriment dans « HR Pulse » saison 2. Pour illustrer la manière dont ce rôle stratégique peut se manifester, Nawal Mrani Alaoui, DRH Mars Petcare & Food France, explique par exemple le fonctionnement du trio décisionnaire, qu’elle compose avec le directeur général et le directeur financier.

L’évolution du métier de RH tient aussi au contexte et au secteur d’activité. Ainsi Maïté Bouchez, DRH adjointe chez AP-HP, explique la situation de l’hôpital public et son indispensable transformation, appelant à travailler sur l’attractivité des métiers et l’expérience collaborateur. Par exemple, avec des conditions de prise de poste sereines, « pour impulser une dynamique positive d’un point de vue managérial et de sentiment d’appartenance ».

Transformation digitale : une opportunité et un challenge

Les DRH partagent également leur vision des grands défis qui les attendent, avec là encore de nombreux sujets en commun, comme l’engagement, la fidélisation, le sens au travail et la QVT.  Bruno Frankiel, DRH de Giphar, cite de son côté l’hybridation de l’organisation du travail, à laquelle tous les métiers ne sont pas éligibles : « Comment gère-t-on l’équité et préserve-t-on l’unité de l’organisation ? ».

Pour sa part, Pierre-Michel Bataillard, DRH de SGD Pharma, évoque les défis posés par le digital, « à la fois une opportunité et un challenge ». Il s’agit notamment de travailler avec la DSI pour établir les priorités d’investissement et mettre en place les conditions d’un déploiement réussi. Cette saison 2 de « HR Pulse » met aussi en évidence l’importance du dialogue social, dans un contexte de culture politique et syndicale moins marquée chez les jeunes générations, et appelant de la réinvention – par exemple, avec des moyens d’interaction plus directs avec les collaborateurs.

Une palette de compétences au service de multiples enjeux

Pour accompagner l’évolution de leur fonction et relever les défis qui les attendent, quelles qualités sont aujourd’hui attendues chez les DRH ? A cette question, les professionnels répondent en mettant en avant l’humilité ou encore l’agilité. La capacité à naviguer entre différentes dimensions – temps court et temps, opérationnel et stratégique, problématiques individuelles et collectives, etc. – et à établir des compromis ressort aussi comme essentielle.

Quant à Jean-Luc Minard, DRH du groupe Framatome, il met en avant « la capacité de conviction, pour faire passer les messages en CODIR ou vis-à-vis des représentants du personnel, l’exemplarité, la curiosité, pour s’ouvrir à des idées différentes, et la modestie, pour remettre sans cesse le métier sur l’ouvrage ». Autant de compétences essentielles à la réalisation des missions stratégiques des DRH, dont les podcasts d’« HR Pulse » se font aujourd’hui le relais.

 

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Source de l’article sur sap.com

Levallois-Perret, le 16 mars 2023 – SAP France signe la Charte LGBT+ de l’Autre Cercle, véritable référent en matière d’inclusion des personnes LGBT+ dans le milieu professionnel, et ambitionne de poursuivre un objectif qui découle d’une stratégie plus globale chez SAP : « être l’entreprise Tech la plus inclusive au monde », tel qu’annoncé par Christian Klein, CEO & Executive Board Member de SAP.

La diversité et l’inclusion sont devenues des priorités pour les organisations qui concentrent davantage leurs actions autour de ces enjeux sociétaux. En tant qu’entreprise engagée, SAP France souhaite défendre ce qui est juste et tend, par cette action, à poursuivre une démarche forte et volontariste en matière d’inclusion pour les collaborateurs appartenant à la communauté LGBT+.

 

Les engagements

L’Autre Cercle, Association française de référence qui œuvre pour l’inclusion des personnes LGBT+ dans le monde du travail depuis plus de 25 ans, anime un réseau d’employeurs et de signataires d’entreprises engagés pour favoriser l’inclusion des personnes LGBT+ dans le milieu professionnel. Chaque signature est valable pour une durée de 3 ans.

En signant la Charte de l’Autre Cercle, SAP France s’engage à :

  • créer un environnement inclusif pour les collaboratrices et les collaborateurs LGBT+ ;
  • veiller à l’égalité des droits et de traitement entre toutes les collaboratrices et tous les collaborateurs, quelle que soit leur orientation sexuelle ou leur identité de genre ;
  • soutenir toutes les victimes de propos ou d’actes discriminatoires ;
  • mesurer les avancées et partager les bonnes pratiques pour faire évoluer l’environnement professionnel.

Cet engagement vient compléter les nombreuses actions déjà menées en faveur de la diversité et de l’inclusion au sein de SAP France (diversité de genre, de génération, personnes en situation de handicap, neurodiversité …) et encourage chacun et chacune à défendre la diversité, l’équité et l’inclusion chaque jour de l’année. L’occasion également pour SAP France de réaffirmer ses valeurs de respect et de bienveillance, tant en interne qu’auprès de tout son écosystème, afin d’être – ensemble – tous acteurs du changement.

 

Lancement de Pride@SAP

Au fil des décennies, SAP a su créer des espaces d’écoute, sûrs, où l’on se sent accueilli et où l’on peut venir alimenter la créativité de l’entreprise. Le bien-être au travail gagne de l’importance et devient un facteur d’attractivité, de fidélisation et d’engagement. Chaque entreprise doit pouvoir adapter son identité et ses valeurs à ces évolutions.

C’est dans cette optique que SAP France annonce le lancement de son réseau professionnel Pride@SAP France pour que chacune et chacun puisse revendiquer sa fierté d’être elle-même et lui-même.

 

Le mot des porte-paroles

Olivier Nollent, Président, Directeur Général de SAP France indique : « En signant cette charte, nous avons vocation à toucher tous nos employés mais aussi tout notre écosystème de partenaires, de clients ou d’investisseurs. Notre ambition est de montrer la voie, dans la continuité de nos actions en faveur de la diversité et de l’inclusion, et de faire écho au-delà de notre propre environnement. »

Caroline Garnier, DRH SAP France & Maroc ajoute : « La diversité contribue à rendre notre lieu de travail plus performant et l’inclusion est nécessaire pour l’épanouissement de chacun – toutes deux requièrent une attention constante, de la vigilance et des actions concrètes. Notre objectif est de promouvoir un environnement de travail dans lequel chacune et chacun peut s’épanouir, quelle que soit son orientation sexuelle ou son identité de genre. Sois fièr·e d’être toi-même ! »

 

Denis Triay, Président de L’Autre Cercle : « Comme les autres facteurs de diversité, ceux de l’orientation sexuelle et de l’identité de genre confèrent un regard et une expérience de vie différente qui permettent d’enrichir les réflexions et les modes de décisions dans les organisations. La norme induit un mode de pensée qui rassure, la diversité propose un mode de pensée en rupture.
La diversité est le catalyseur de la performance et de l’innovation, il  est de la responsabilité des employeurs de savoir la préserver, de la cultiver et de la promouvoir. C’est non seulement un enjeu de responsabilité sociétale mais aussi un enjeu de développement stratégique des organisations.
 »

Catherine Tripon, Porte-parole et Co-responsable du pôle Employeurs : « Quand on a pour devise d’améliorer le bien-être de toutes et tous, évidemment cela fait écho pour les employé.es de SAP. Tous les critères de diversité sont concernés par des démarches volontaristes inclusives. Mais cela ne peut se pérenniser sans embarquer l’ensemble du collectif de travail. Pour les personnes LGBT+, tenant compte des violences de part le monde, travailler dans une entreprise mondiale comme SPA, qui s’engage à les protéger et les valoriser dans leur parcours professionnel, c’est une marque d’engagement que la Charte LGBT+ permet de consolider. »

 

 

A propos de SAP

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com. 

Contact presse SAP : sylvie.lechevin@sap.com

 

A propos de l’Autre Cercle

Association créée en 1997, L’Autre Cercle est l’acteur français de référence pour l’inclusion des personnes LGBT+ au travail. Ses valeurs sont le respect, l’humanisme, l’indépendance, l’engagement et le pragmatisme. Elle œuvre pour un monde professionnel épanouissant, inclusif et respectueux des personnes dans toutes leurs diversités, quelle que soit leur orientation sexuelle ou identité de genre. Outre sa vocation d’observatoire, ses missions sont d’accompagner les organisations et de promouvoir les bonnes pratiques. L’Autre Cercle fédère plus de 230 organisations publiques et privées adhérentes et/ou signataires de la Charte d’Engagement LGBT+ réunissant plus de 2 millions de salarié·e·s et agent·e·s.

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Source de l’article sur sap.com

Combler les lacunes en matière de compétences est une responsabilité permanente des ressources humaines. Et à mesure que les conditions sociétales, business et macroéconomiques changent, les RH doivent réimaginer la force de travail de demain. Car le sol se dérobe constamment sous leurs pieds. Aujourd’hui, avec la crise du COVID-19, la vitesse à laquelle les RH doivent déployer les initiatives d’upskilling et de reskilling va en s’accélérant.

Upskilling et reskilling, de quoi parle-t-on ?

  • Définition de l’Upskilling (en français, « perfectionnement professionnel ») : former les salariés dans le but d’améliorer leurs performances dans leurs fonctions actuelles.
  • Définition du Reskilling (en français « requalification ») : former les salariés en vue d’une nouvelle fonction, en particulier lorsque les objectifs de l’entreprise ont changé.

La formation, une priorité renforcée par le contexte COVID-19

Malheureusement, il n’existe aucun plan reproductible pour une formation réussie. Chaque entreprise a des besoins spécifiques qui évoluent avec le temps. Dès mars 2020, les e-commerçants se sont empressés de recruter et de former (upskilling), afin de répondre à la hausse de la demande. Les services publics étaient, quant à eux, déjà engagés dans le reskilling. Avec l’introduction de technologies intelligentes permettant d’automatiser certaines tâches répétitives, ils ont pu donner une responsabilité accrue ou plus stratégique à leurs employés. Mais bien que l’intensité et la nature des efforts de formation aient varié d’un secteur à l’autre, le constat est général : le COVID-19 a forcé la main à toutes les entreprises. Reskilling et upskilling ne sont plus des mots à la mode : les efforts doivent être entrepris, et rapidement.

De nombreuses études montrent que les entreprises mènent une vraie guerre des talents, recrutant agressivement des candidats aux compétences identiques ou similaires. Pour certains postes il pourrait pourtant être plus économique, rapide et efficace de former les collaborateurs. Afin qu’ils puissent occuper des fonctions supérieures ou entièrement nouvelles. Mais il ne s’agit pas de choisir entre recruter et former. Ce qu’il faut, c’est un recrutement efficace associé à une stratégie de formation. Car investir dans les collaborateurs apporte plusieurs avantages : une réduction du turn-over ainsi qu’une amélioration de la productivité et de l’innovation.

HXM: The Importance of Continuous UpSkilling and Reskilling

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HXM: The Importance of Continuous UpSkilling and Reskilling

Aujourd’hui l’urgence est plus forte que jamais. S’engager dans l’upskilling et le reskilling peut être la clé de la survie à la crise du COVID-19. Aussi bien pour les jeunes entreprises qui doivent réussir rapidement que pour les organisations installées qui recherchent de la stabilité et une croissance à long terme. La difficulté étant que, maintenant et dans un avenir prévisible, les RH devront trouver le juste équilibre entre embauches, formations et licenciements. Et ce à chaque heure de la journée.

Comprendre les besoins organisationnels et être capable d’y répondre rapidement sera la clé, non seulement de la carrière des professionnels RH mais aussi du succès des organisations qui les entourent.

Du télétravail à l’upskilling et reskilling

Arrêtez-vous un instant et pensez à quel point tout a changé en seulement quelques mois. À la fin de l’année 2019, si un DRH était entré dans le bureau du PDG et lui avait recommandé de commencer à planifier un futur avec des salariés majoritairement en télétravail, on l’aurait sans doute sèchement renvoyé à son bureau. Aujourd’hui le télétravail est devenu normal, si ce n’est la norme.

Mais le principal enseignement est que les organisations se sont révélées plus agiles et réactives que prévu. Et si chacun a été capable d’adopter le télétravail tout en restant efficace, pourquoi les entreprises n’arriveraient-elles pas à former les employés à de nouvelles compétences, rapidement, afin d’atteindre les objectifs fluctuants de l’organisation ? L’upskilling et le reskilling dans un environnement de travail à distance est un défi mais également une nécessité. Et gardons aussi à l’esprit que l’apprentissage « sur le tas », par la pratique, fera partie du chemin. En effet, trouver l’équilibre demande aujourd’hui une adaptation continue, voire même à la volée.

Pensez-y de cette manière : il a fallu des décennies avant que les téléphones portables ne puissent être glissés dans nos poches. Puis le smartphone est arrivé. Aujourd’hui, une application ou un jeu mobile peuvent devenir viraux à l’échelle mondiale, en quelques minutes.

La fonction RH connaît la même évolution rapide. Il y a quelques décennies le passage des documents papier aux fichiers informatiques s’opérait lentement. Aujourd’hui les RH ont délégué les tâches répétitives à des intelligences artificielles ou à des portails en ligne et élaborent des stratégies d’e-learning et de modélisation des effectifs. Si leur fonction est d’aligner les objectifs de formation sur les besoins de l’entreprise, alors les RH ont, comme tout le monde, besoin d’upskilling. Une stratégie de formation pertinente et agile, prête à être déployée à tout moment, est la carte que les professionnels RH ont en main avec leur siège à la table des décisions.

L’avenir du travail est là

Pour les RH, le défi n’est pas simplement d’identifier les lacunes en matière de compétences et de décider s’il faut embaucher ou former. Il s’agit de quantifier l’impact, revoir le plan d’action, puis de quantifier encore, etc. Dans un monde où chaque décision repose sur un calcul de ROI, même subjectif, il est essentiel pour les RH de relier les initiatives de formation aux objectifs immédiats et long terme de l’entreprise. Prenons deux exemples :

  • Delaware Consulting (1700 employés), en implémentant des solutions logicielles de formation robustes, a pu réaliser des économies grâce à un suivi plus précis de ses dépenses. Delaware a ainsi réduit de 5 % les coûts liés aux annulations de formations et de 12 % le temps consacré à l’administratif RH.
  • Newcrest Mining, en Australie, a utilisé des solutions logicielles similaires pour économiser 1,6 million de dollars US en frais de formation au cours des six premiers mois et a également dégagé 3,2 millions de dollars d’économies par gains de productivité la première année.

Le défi, cependant, est le temps : quand et comment les employés peuvent-ils être formés ? C’est particulièrement délicat lorsque l’on sait qu’un employé dispose en moyenne de 14 minutes de temps libre par semaine pour se former. Trouver un moyen d’ajouter une formation à la journée de travail est plus compliqué que de décider s’il faut ou non former. De plus, toute initiative d’upskilling ou de reskilling doit plus largement s’inscrire dans une planification stratégique des effectifs.

Cela signifie que certains salariés seront sélectionnés pour développer de nouvelles compétences quand d’autres seront laissés de côté. Les employés sont intelligents et savent ce qui se passe autour d’eux. C’est pourquoi les initiatives de formation doivent être accompagnés d’un plan de communication solide. Afin que les rumeurs, notamment sur les réductions d’effectifs, ne s’ébruitent pas. Toute stratégie de reskilling ou d’upskilling doit également être associée à un plan de communication interne solide. Un domaine où les RH assument une responsabilité croissante. Dans le cadre d’un vaste effort à l’échelle de l’entreprise, il est essentiel de veiller à ce que chacun, qu’il participe ou non à l’effort de requalification, comprenne les objectifs de l’organisation et la manière dont son travail sera affecté.

Les pièges et obstacles de l’upskilling et du reskilling

Il est également important de garder en tête différents scénarios. Comme la possibilité pour les salariés requalifiés d’exporter leurs nouvelles compétences ailleurs, voire chez un concurrent. Le turn-over est toujours une préoccupation, même en temps normal. Mais si l’attrition peut affecter le ROI associé à un effort de reskilling ou d’upskilling, l’alternative consistant à ne pas former, et donc à ne pas répondre à l’évolution du contexte, serait bien pire.

C’est pourquoi il est essentiel de relier directement les efforts de formation aux résultats de l’entreprise. Par exemple : si l’objectif est de stimuler les ventes en formant de nouveaux commerciaux, il faut mesurer la hausse des ventes. Cherchez des partenaires dans l’entreprise qui peuvent s’appuyer sur des outils ou localisez des parties prenantes pour vous aider à mesurer l’impact de votre travail. Les craintes d’attrition ou de perte de temps équivalent, en fin de compte, à une paralysie par l’analyse. S’engager dans le reskilling et l’upskilling est une question de capacité de l’entreprise à faire face à la concurrence. C’est pourquoi les RH ne doivent pas être considérées comme une entité administrative mais comme une entité pouvant s’attaquer de front aux déficiences de l’entreprise.

Être compétitif dans le contexte business moderne exige à la fois de réimaginer la fonction RH et de créer une culture de l’apprentissage. L’un ne va pas sans l’autre. Les efforts de formation exigent également des RH qu’ils aient une stratégie claire sur les personnes qui recevront de nouvelles compétences et sur ce qu’elles sont censées apporter à l’avenir. Enfin, il faut tenir compte de la manière dont la technologie peut évoluer et avoir un impact sur l’efficacité de tout effort de formation. Un système de gestion de la formation (LMS) moderne peut vous aider à atteindre vos objectifs d’upskilling et de reskilling.

Alors que la pandémie de COVID-19 est un facteur de complication, il faut considérer la formation comme un facteur clé de stabilité et de croissance à long terme. Qui aide à pivoter face aux défis. Le COVID-19 a accéléré les tendances déjà en place et a mis en évidence ce que les entreprises savaient déjà : les organisations dont vous entendrez parler comme des « success stories » dans quelques années seront celles qui se seront activement engagées dans l’upskilling et reskilling de leurs salariés en vue des défis à venir. En raison de la pandémie, les entreprises doivent simplement évoluer à un rythme plus rapide. Et pour ce faire, elles doivent, de même que leurs employés, être plus « smart ».

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

SAP France annonce être certifié HappyIndex®Trainees 2021 France suite à sa participation à la campagne ChooseMyCompany. Pour sa 5ème certification successive, SAP France dépasse ses scores passés avec un taux de recommandation de 95,8% et une note globale de 4,41 sur 5 décernée par ses stagiaires et alternants.

Créé en 2012 par ChooseMyCompany, le label « Happy Trainees » se concentre sur la qualité dans l’accueil, l’accompagnement et le management des étudiants au sein d’une entreprise. 100% basé sur l’avis des stagiaires et alternants, il permet de mettre en avant les entreprises où les étudiants sont les plus motivés et heureux.

SAP France est fier de recevoir ce label et d’être ainsi reconnu comme une entreprise accordant de l’importance à la formation, aligné avec ses objectifs et sa politique RH.

« Notre stratégie RH est fondée sur le développement d’expériences positives pour toutes les populations : nos collaborateurs bien sûr, mais également nos candidats, alumni, stagiaires et alternants.. Cette certification est importante car décernée par nos stagiaires et alternants dans une période de crise sanitaire où nous avons dû les former à nos métiers le plus souvent à distance.  », explique Caroline Garnier, DRH de SAP France.

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