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Les pièges de l'utilisation de l'IA générale en développement logiciel : un cas pour une approche centrée sur l'humain.

Les développeurs logiciels sont confrontés aux risques liés à l’utilisation de l’intelligence artificielle générale. Une approche centrée sur l’humain est nécessaire pour éviter ces pièges.

## Avec le développement de l’intelligence artificielle générale, elle prend également sa place dans les emplois qui nécessitent des connaissances intellectuelles et de la créativité.

The primary challenge is testing. Testing is a critical step in the software development process, as it ensures that the code is functioning correctly and that the system is performing as expected. However, when it comes to General AI-based systems, testing can be a daunting task. This is because the system’s behavior is not predetermined, but rather determined by its own internal logic and learning algorithms. As such, it is difficult to anticipate how the system will behave in a given situation, making it difficult to test for potential bugs and errors.

Avec le développement de l’intelligence artificielle générale, elle prend également sa place dans les emplois qui nécessitent des connaissances intellectuelles et de la créativité. Dans le domaine du développement logiciel, l’idée d’utiliser les capacités cognitives de l’IA générale a suscité un intérêt considérable. L’idée d’un logiciel qui peut penser, apprendre et s’adapter comme un programmeur humain est séduisante et promet de rationaliser les processus de développement et de potentiellement révolutionner l’industrie. Cependant, sous le charme de surface se trouve un défi important : la difficulté de modifier les systèmes basés sur l’IA générale une fois qu’ils sont déployés.

L’IA générale, également connue sous le nom d’intelligence artificielle générale (AGI), incarne le concept des machines possédant une intelligence et une adaptabilité humaines. Dans le monde du développement logiciel, elle a le potentiel d’automatiser une multitude de tâches, allant du codage au débogage. Néanmoins, à mesure que nous plongeons dans les promesses et les périls de l’intégration de l’IA générale dans le processus de développement logiciel, une série de préoccupations et de défis critiques se présentent.

Le défi principal est le test. Le test est une étape essentielle du processus de développement logiciel, car il garantit que le code fonctionne correctement et que le système se comporte comme prévu. Cependant, lorsqu’il s’agit des systèmes basés sur l’IA générale, le test peut être une tâche redoutable. Cela est dû au fait que le comportement du système n’est pas prédéterminé, mais déterminé par sa propre logique interne et ses algorithmes d’apprentissage. Par conséquent, il est difficile de prévoir comment le système se comportera dans une situation donnée, ce qui rend difficile le test des bogues et des erreurs potentiels.

Source de l’article sur DZONE

L’environnement de travail d’aujourd’hui est plus que jamais différent de ce que nous avons déjà rencontré auparavant. En raison des changements monumentaux que la pandémie a introduits, les entreprises luttent à la fois contre les défis liés à la rétention des talents et contre un déficit de compétences numériques qui ne cesse de croître. Il est devenu de plus en plus évident que l’éducation et la formation doivent évoluer avec ce contexte.

Au sein de l’organisation SAP Learning, nous nous efforçons constamment à repenser la manière dont la formation peut aider nos clients, partenaires et collaborateurs à suivre le rythme.

Voici trois façons de réinventer l’apprentissage afin que chacun dans notre écosystème ait les compétences dont il a besoin pour réussir.

Réduire les obstacles à l’accès à l’éducation

La technologie a considérablement amélioré l’accès à l’apprentissage pour les communautés sous-représentées, ainsi que pour les étudiants qui débutent leur carrière. Qu’il s’agisse d’une conférence vidéo, d’un e-learning ou d’un exercice simulé, les connaissances peuvent être accessibles à l’échelle mondiale presque sans frais. Il en va de même pour l’éducation dans le monde des logiciels d’entreprise, un espace qui offre des opportunités de carrière importantes.

Nous voulons désormais créer des opportunités qui rendent les formations attrayantes et accessibles à tous. C’est pourquoi nous avons facilité l’accès à nos programmes globaux pour atteindre les étudiants et les apprenants susceptibles de rencontrer des barrières aux opportunités. En éliminant le coût de la formation et en réduisant le besoin d’activités en présentiel, nous continuons à développer notre communauté d’apprenants qui qui peuvent réaliser leurs aspirations dans l’écosystème SAP..

Nous sommes ravis d’avoir atteint plus de 150 000 apprenants actifs sur le site SAP Learning depuis son lancement en novembre, avec une croissance d’environ 2 000 participants par jour. Cette stratégie rapporte aux étudiants. En complément, grâce à des programmes financés pour les demandeurs d’emploi tels que People to Work by SAP, nous pouvons voir des évolutions de carrière avec le placement de plus de 80 % des participants dans de nouveaux emplois après avoir terminé la formation..

À mesure que SAP Learning se développe, nous sommes impatients de continuer à nous améliorer et à nous adapter aux besoins de ces communautés.

Adopter une approche basée sur les compétences pour le développement de carrière

Alors que nous élargissons notre communauté aux apprenants de divers horizons et niveaux de formation, nous observons que certains cherchent à améliorer les compétences requises pour leurs rôles actuels, tandis que d’autres cherchent à franchir la prochaine ou la première étape de leur carrière. Dans les deux cas, une approche spécifique basée sur les compétences peut aider les apprenants à se concentrer sur des domaines de développement spécifiques, ce qui leur fait gagner du temps et leur permet d’avoir une expérience personnalisée. Selon un livre blanc d’IBM, les technologies d’e-learning peuvent augmenter l’engagement des collaborateurs de 20 %.

Associée à des certifications, la formation basée sur les compétences permet aux apprenants externes de faire valoir de nouveaux ensembles de compétences auprès de leurs employeurs actuels et potentiels, et d’améliorer leur employabilité. En interne SAP, nous adoptons une approche similaire, car la compréhension des compétences de notre personnel nous permet de réaliser des investissements stratégiques en soutenant nos employés à acquérir de nouvelles compétences, nous permettant ainsi de développer des talents uniques pour l’avenir.

Cette approche basée sur les compétences et la manière avec laquelle nous formons nos employés et notre écosystème a été reconnue par les prix Learning Elite 2022 des Directeurs formation :  SAP a été classé parmi les lauréats du Silver Award qui reconnaissent les meilleurs programmes de formation et développement à travers le monde.

Atteindre les apprenants là où ils se trouvent

Personne n’apprend exactement de la même manière, mais la technologie peut servir de passerelle vers de meilleures expériences d’apprentissage pour tous. Grâce aux outils numériques, nous pouvons atteindre les apprenants où qu’ils soient et quand ils souhaitent apprendre. Nous pouvons penser au-delà du cadre de la classe traditionnelle et proposer des méthodes d’apprentissage alternatives plus accessibles et abordables, à destination d’un public plus large et plus global d’apprenants. Nous pouvons rendre les parcours d’apprentissage encore plus personnalisables et adaptables pour répondre réellement aux objectifs individuels.

Ces besoins varient: une récente enquête d’Anthology a révélé que plus de quatre étudiants sur cinq (82 %) souhaitent qu’au moins une partie de leurs cours se déroulent en distanciel, et deux sur cinq (41 %) préfèrent un apprentissage entièrement en ligne sans aucun élément en présentiel.

Nous savons que certains de nos clients auront toujours besoin d’une formation en présentiel hautement interactive. Mais nous savons aussi, que si nous voulons combler la pénurie de compétences SAP et développer notre écosystème de professionnels formés sur nos solutions, l’apprentissage numérique a un rôle essentiel à jouer.

Notre engagement à garantir des cours et des certifications largement accessibles a fait de SAP Learning un leader dans trois rapports IDC MarketScape, sur les Services de formation informatique 2021 en Europe et aux États-Unis et en APeJ (Asie-Pacifique avec exclusion du Japon) en 2022. Ces évaluations des fournisseurs couvrent une évaluation globale des capacités et des stratégies des acteurs du monde numérique de la formation, et reconnaissent SAP en tant que leader grâce à notre vaste portefeuille de produits et à nos offres de formation hybrides, entre autres facteurs.

Notre engagement en faveur de la formation continue

Bien que nous soyons ravis de voir l’impact de nos parcours de formation dans le domaine de la formation continue, et dans un esprit d’amélioration constante, nous pensons qu’il y a toujours de la place pour de la croissance et du développement. Nous accueillons avec joie les commentaires sur ce que nous pourrions améliorer ou ajouter à nos programmes tout au long de votre parcours d’apprentissage avec SAP.

Pour partager votre expérience de formation ou faire part de vos commentaires,
rendez-vous sur le site SAP Learning.

Max Wessel est Chief Learning Officer à SAP.

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Source de l’article sur sap.com

Paris, le 8 décembre 2021 – L’entreprise SAP est fière d’annoncer qu’elle remporte aujourd’hui le Trophée Défis RSE 2021 grâce à son engagement sociétal, illustré par People to Work. Lancé l’année dernière en France et en partenariat avec M2i Formation et Fitec, ce programme de formation est destiné aux demandeurs d’emploi et vise à donner une chance à tous pour faire émaner des talents de tout horizon.

People to Work : un programme qui fait déjà ses preuves avec plus de 800 personnes formées depuis un an

Partant du constat que 40% des employeurs européens ont des difficultés à trouver des profils compétents et experts en informatique, soit environ 500 000 emplois non pourvus, SAP, accompagné par ses deux partenaires, a déjà formé plus de 800 personnes. Le taux de retour à l’emploi est impressionnant : 100% pour ceux ayant suivi un cursus consultant et 80% pour un cursus utilisateur SAP.

People to Work de SAP permet ainsi à des personnes en recherche d’emploi de compléter leurs compétences, de se former et d’obtenir la certification SAP correspondant à leur métier, pour faire la différence. Il s’adresse à des candidats de niveau BEP à Bac +5 issus des domaines métiers de l’administration des ventes, achats, logistique, comptabilité et contrôle de gestion.

Sans critères académiques d’éligibilité, ces formations s’appuient entre autres sur des financements gouvernementaux. Les métiers les plus porteurs suite à une formation People to Work sont les Achats, la Logistique, l’ADV et la Comptabilité.

Un programme qui fait également ses preuves en Allemagne depuis 20 ans, et qui a permis à plusieurs milliers de demandeurs d’emploi d’accéder à une profession rapidement grâce à des formations certifiantes SAP.

Un Trophée qui confirme une fois de plus l’engagement RSE de SAP

Les Trophées Défis RSE, fondés en 2012, mettent à l’honneur divers acteurs soucieux de leur impact et désireux d’affirmer leurs engagements et responsabilités pour leurs salariés, pour leur écosystème, pour l’environnement et donc pour la planète et les générations futures. Parrainés par le Ministère de l’Économie et des Finances, le Ministère de la Transition Écologique et Solidaire et le Sénat, les Trophées Défis RSE sont également soutenus par des partenaires, des réseaux experts dans la RSE et le développement durable, et par des médias.

Les auditions par le jury ont permis de sélectionner un palmarès équilibré de 10 lauréats parmi 9 catégories. Les meilleures démarches et initiatives RSE des candidats sont évaluées selon une grille élaborée par EthiFinance, et des critères sur l’engagement, la performance, la pérennité et l’innovation.

« Les métiers du numérique gagnent à être connus et le marché du travail demeure très actif dans ce domaine. Ils sont porteurs d’avenir pour les jeunes qui ont du mal à s’insérer dans la vie active, mais aussi pour des personnes dont les métiers connaissent une décroissance et qui souhaitent se reconvertir. Le programme People to Work by SAP crée de l’opportunité au travers de la formation et du développement pour tous, par le biais de formations, de qualification et de validation des compétences financées par l’Etat. » Marie-Line Ségla, Directrice Formation – SAP Product Learning CoE.

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.

Contacts presse :

Mathilde Thireau : mathilde.thireau@publicisconsultants.com

Robin Legros : robin.legros@publicisconsultants.com

 

 

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Source de l’article sur sap.com

SAP NEWSBYTE – 16 août, 2021 – SAP SE (NYSE: SAP) a annoncé aujourd’hui avoir acquis la propriété intellectuelle de SwoopTalent, un leader de la gestion des données sur les talents, dans le cadre d’une acquisition d’actifs.

L’intégration des données et de la technologie d’apprentissage automatique de SwoopTalent aux solutions SAP® SuccessFactors® renforcera la vision de SAP en matière de gestion de l’expérience humaine (HXM), qui donne la priorité aux expériences individuelles des employés et aux opportunités dynamiques qui stimulent l’engagement, améliorent l’agilité organisationnelle, permettant ainsi d’alimenter la transformation de l’entreprise.

« L’individualisation à grande échelle nécessite une plateforme de données sophistiquée et puissante qui s’étend sur plusieurs systèmes « , explique Meg Bear, directrice des produits SAP SuccessFactors. « En rendant les données plus fiables et plus accessibles, nous pouvons aider nos clients à acquérir des connaissances approfondies sur la main d’oeuvre afin d’améliorer, de renouveler et de redéployer efficacement les compétences et de préparer l’avenir de leur entreprise. Les fondateurs de SwoopTalent sont des leaders d’opinion de l’industrie avec une expertise avérée dans l’utilisation des données, l’apprentissage automatique et l’analyse visant à perfectionner la gestion des ressources humaines et rendre les organisations plus compétitives. Nous sommes ravis de les voir rejoindre SAP pour faire avancer notre stratégie HXM. »

Fondée en 2012, SwoopTalent a développé une plateforme alimentée par l’IA qui combine, analyse et entraîne les données provenant de différents systèmes et flux de travail RH. SAP prévoit d’utiliser la technologie de SwoopTalent pour renforcer ses capacités d’IA et fournir aux clients un regard holistique et continuellement mis à jour sur leurs main d’oeuvre – des compétences et capacités aux intérêts et préférences d’apprentissage – afin qu’ils puissent mettre en accord les compétences de chacun aux emplois internes, aux projets, aux formations, aux tuteurs et bien plus encore. Plusieurs employés de l’ingénierie de SwoopTalent rejoindront également l’équipe SAP SuccessFactors.

« Les organisations sont à un moment charnière, car le travail est redéfini autour de l’agilité, de l’objectif et de la culture« , a déclaré Stacy Chapman, PDG et fondatrice de SwoopTalent. « Avec le HXM, SAP a la bonne vision et la bonne stratégie pour fournir une technologie qui permet aux individus de se perfectionner et de construire une carrière en phase avec leurs intérêts et leurs compétences. SAP et SwoopTalent sont en parfaite adéquation culturelle et partagent les mêmes valeurs. Nous sommes ravis de continuer à faire progresser le HXM ensemble« .

SAP et SwoopTalent ont convenu de ne pas divulguer le prix d’achat ou d’autres détails financiers de cette transaction.

Pour en savoir plus, lisez « Empowering a Future-Ready Workforce : Why Data and Our Latest Asset Acquisition Are Key » et notez bien la date de l’événement SuccessConnect le 13 octobre 2021.

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

Contacts presse SAP

Anne Le Bacon-Gaillard : SAP, Directeur de la Communication EMEA North – anne.le.bacon-gaillard@sap.com
Mathilde Thireau: Publicis Consultants 06 49 68 42 72 – presse-sap@publicisconsultants.com
SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPFrance.

Veuillez tenir compte de notre politique de confidentialité. Si vous avez reçu cette alerte de presse dans votre courriel et que vous souhaitez vous désabonner de notre liste d’envoi, veuillez communiquer avec presse-sap@publicisconsultants.com et écrire Désabonnement dans la ligne Objet.

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Source de l’article sur sap.com

Chaque année, Glassdoor, une plateforme de recherche d’emploi et d’évaluation des employés, récompense les employeurs et les leaders marquants du monde entier avec les Employees’ Choice Awards. SAP, éditeur mondial de logiciels d’origine européenne, est fier que son CEO, Christian Klein, ait remporté un prix Glassdoor Employees’ Choice Award, qui récompense les meilleurs CEOs de 2021.

En se basant entièrement sur les commentaires anonymes des employés au cours de l’année écoulée, Christian Klein a été reconnu comme un CEO de référence en Allemagne et en France. En France, Christian Klein se hisse à la première position du classement avec un taux d’approbation de 99%.

« Nos collaborateurs sont au cœur de notre succès et ils font de SAP la grande entreprise qu’elle est », a déclaré M. Klein. « De toutes les choses qui me motivent à donner le meilleur de moi-même chaque jour, ce sont sans aucun doute les personnes avec lesquelles j’ai le privilège de travailler dans le monde entier. Je suis reconnaissant de pouvoir travailler avec des personnes aussi exceptionnelles, qui m’inspirent continuellement par leur dévouement, leur ingéniosité et leur passion. »

Glassdoor, le leader mondial des avis sur les emplois et les entreprises, offre aux employés la possibilité de donner leur sentiment sur l’environnement, la culture et les dirigeants de leur entreprise. Sur les quelque 1,5 million d’employeurs évalués sur Glassdoor, le taux d’approbation moyen des CEO est de 73 %.

Pour en savoir plus sur les prix de la diversité et de l’intégration, les prix du meilleur lieu de travail, les certifications des premiers talents et les autres récompenses qui font de SAP une entreprise où il fait bon travailler, consultez la section Employer Awards sur sap.com.

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

Contacts presse SAP
Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Mateo Moreau : 06.31.80.86.93 – presse-sap@publicisconsultants.com
SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

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Source de l’article sur sap.com

Novo Mesto est une petite ville slovène située sur le coude pittoresque de la rivière Krka. Cette ville, dont l’origine remonte à la préhistoire, a toujours su gérer intelligemment ses ressources. L’idée d’assurer aux génération futures un environnement propre est profondément ancrée dans l’état d’esprit collectif. Les citoyens et les touristes peuvent se baigner dans la rivière en plein centre-ville.

« Nous ne sommes ni les premiers ni les derniers à vivre sur cette planète », déclare l’adjoint au maire de la ville, Bostjan Grobler. « Devenir une ville intelligente n’est pas un objectif en soi. L’objectif est de préserver la santé de nos citoyens et la salubrité de notre environnement afin d’offrir des emplois durables et des espaces de vie attrayants. La technologie nous aide à y parvenir. »

L’air pur comme point de départ

Comme beaucoup d’autres villes en Europe, Novo Mesto lutte depuis dix ans contre la pollution atmosphérique.

Celle-ci est particulièrement élevée en hiver, où les mesures font souvent état de particules de suie qui dépassent plusieurs fois par semaine les limites de matières particulaires (PM) fixées par l’Union européenne à 40 microgrammes par mètre cube. Il existe différents types de matières particulaires. Les matières les plus fréquemment mesurées sont des particules en suspension d’un diamètre de 10 microns ou moins, appelées PM10. Pour vous donner une idée, un micron est un millionième d’un mètre et un cheveu humain a une épaisseur d’environ 75 microns.

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le niveau de PM10 doit être inférieur à 20 microgrammes par mètre cube. La ville allemande de Mannheim, par exemple, enregistre une moyenne annuelle de 22 microgrammes, contre 27 à Novo Mesto. Même si ces moyennes sont faibles en comparaison de Shanghai, qui avoisine les 84, elles peuvent entraîner des maladies cardiaques et pulmonaires ainsi qu’une irritation des voies respiratoires, en particulier lorsqu’elles dépassent 40 microgrammes.

Novo Mesto affichait des niveaux élevés de PM10 année après année, mais les dirigeants municipaux ne savaient pas comment y remédier.

« Il était évident que nous devions agir », explique Peter Gersic, responsable du développement de projets pour la municipalité de Novo Mesto, « car la pollution atmosphérique ne disparaît pas toute seule. Mais en toute honnêteté, nous ne savions que faire de ces données. »

Après quelques recherches, la municipalité s’est adressée à SAP et Telekom Slovénie. Juraj Kovac, un analyste de Telekom doué de l’expertise technique adéquate pour mettre en œuvre des solutions de ville intelligente, nous a expliqué le fonctionnement de la solution. Des capteurs ont été installés dans toute la ville pour recueillir des données non seulement sur la pollution atmosphérique, mais aussi sur d’autres indicateurs environnementaux importants, notamment l’utilisation de l’eau et la pollution lumineuse.

« Nous utilisons SAP Leonardo pour collecter les données et SAP Analytics pour les analyser », explique Juraj Kovac. « Toutes nos plateformes IdO s’exécutent sur SAP Cloud Platform. Les données sont utilisées par la municipalité pour prendre des décisions opérationnelles et par les citoyens qui utilisent des applications mobiles, par exemple pour trouver des places de stationnement. »

Améliorer la vie urbaine

L’adjoint au maire comprend désormais que la gestion des ressources de la ville n’est pas uniquement une affaire d’État. Il s’agit d’aider les citoyens à revoir leur mode de vie. « Si nous voulons que les gens prennent moins leur voiture, nous devons leur offrir des alternatives comme les transports publics et les pistes cyclables », déclare Bostjan Grobler. « Il ne suffit pas de motiver les gens à acheter des véhicules électriques. Nous devons veiller à ce qu’ils puissent facilement les garer et les recharger. ».

Ce que Novo Mesto souhaite réaliser à petite échelle grâce à la technologie intelligente existe déjà dans plusieurs villes du monde. Depuis les bâtiments écologiques et la collecte des déchets basée sur des capteurs, jusqu’au développement des transports publics et des services municipaux en ligne, les villes intelligentes révolutionnent la vie urbaine.

La ville de New York, par exemple, a été nommée ville la plus intelligente au monde pendant deux années consécutives notamment pour son recours à un système de relevé automatisé permettant de mieux comprendre comment ses 8,5 millions d’habitants utilisent 1 milliard de gallons d’eau chaque jour. La ville de Londres, qui arrive deuxième au classement, a été récompensée pour son système de transport collectif et ses politiques d’urbanisme.

La Commission de transport de Toronto utilise la technologie SAP pour optimiser la visibilité des processus et la communication pour le personnel œuvrant dans les transports en commun de la ville. La technologie IdO de SAP aide la ville d’Antibes à mieux gérer ses ressources en eau. La ville de Nanjing utilise les capteurs de circulation de SAP pour développer une culture plus écologique et plus humaniste.

Grâce à son utilisation visionnaire de la technologie pour assurer l’attractivité et la durabilité de la ville, Novo Mesto prouve que toute ville, quelle que soit sa taille, peut être une référence pour les générations à venir en matière de qualité de vie urbaine.

Publié en anglais sur Forbes.com

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Source de l’article sur sap.com

Etes-vous satisfait de votre système ERP ? Est-il temps de le mettre à niveau ? Vous avez peut-être écouté les témoignages de vos pairs quant à leur passage à des ERP modernes. Ou peut-être ressentez-vous le besoin de mettre en place de nouveaux processus pour rester compétitif et répondre aux attentes de vos clients, nouveaux processus que votre système actuel ne peut proposer. Quoi qu’il en soit, il est toujours bon d’évaluer en continu les performances du système, d’identifier les axes d’amélioration et d’anticiper les problèmes qui pourraient subvenir.

Le système ERP parfait existe-t-il ?

La réponse courte est « non ». Et même si le système parfait existait pour vos besoins spécifiques à un moment donné, ces besoins évoluent en permanence. Il faut donc garder le contrôle, évaluer dans quelle mesure votre ERP répond à vos besoins actuels et identifier les tendances qui pourraient entraîner des problèmes.

Il est en vogue de qualifier les systèmes installés de « legacy ERP ». Ce qui suggère une ancienne technologie et des systèmes obsolètes. C’est injuste car de nombreux systèmes installés sont régulièrement entretenus, mis à niveau et pleinement capables d’évoluer, de s’adapter, aux nouveaux besoins.

Cela dit, les mises à niveau des ERP sont facultatives, bien que fortement encouragées par les fournisseurs. Il est important de se tenir au courant des corrections et des améliorations disponibles. En cas de problèmes ou tendances défavorables, assurez-vous que votre système dispose de toutes les mises à jour et de la dernière version. Regardez ensuite si votre fournisseur propose des modules complémentaires ou des améliorations qui pourraient remédier aux lacunes constatées. Déterminez ce qu’il faudrait pour mettre en œuvre ces correctifs, en termes d’argent et d’efforts, et utilisez ces informations pour évaluer le coût du maintien de votre solution actuelle.

Votre logiciel ERP vous laisse-t-il tomber ?

En résumé, gardez votre système ERP à jour. Surveillez aussi de près ses performances. Les besoins, les vôtres comme ceux de vos clients, vont évoluer. Vous devez donc vous assurer que votre système ERP peut y répondre.

L’auto-évaluation mentionnée ci-dessus peut vous aider à identifier les défaillances et les sujets de préoccupation, par exemple :

  • Votre système est incapable de répondre aux nouveaux besoins ou limite les nouvelles initiatives.
  • Il ne prend pas en charge les nouvelles technologies et normes, ou seulement avec difficulté, à coût élevé et avec des retards. Le fournisseur est lent à intégrer de nouveaux éléments et nouvelles fonctionnalités.
  • Les fonctions sont difficiles à maîtriser et à utiliser, et nuisent à l’efficacité au lieu de la favoriser.
  • Le temps de réponse est excessivement lent. Le stockage et la récupération de l’information sont inadéquats, lourds ou ne répondent tout simplement pas aux besoins actuels en constante expansion.
  • Le système est coûteux et difficile à maintenir et à gérer, et ne bénéficie pas d’un soutien adéquat de la part de votre fournisseur.
  • Si votre système est vraiment un ancien ERP dont l’assistance du fournisseur s’amenuise, ou dont l’assistance technique se réduit, les programmeurs et analystes compétents deviendront plus chers et plus difficiles à trouver à mesure que le système deviendra plus obsolète et moins fiable.

C’est le genre de problèmes qui peuvent évoluer lentement et passer inaperçus pendant longtemps. Puis, soudain, il devient évident que les lacunes du système causent de graves problèmes ​- et qu’il faut faire quelque chose.

Combien dépensez-vous pour votre ERP ?

De nombreuses entreprises sont surprises lorsqu’elles font l’analyse et découvrent ce qu’il en coûte réellement pour maintenir leur système ERP existant en place et opérationnel. Cela peut sembler curieux pour les ETI, qui surveillent généralement de très près leurs dépenses. Mais il n’est pas toujours facile de distinguer les coûts directs et indirects associés à l’ERP.

Outre les frais mensuels et annuels versés au(x) fournisseur(s) de logiciels et au(x) fournisseur(s) de matériel, il y a des dépenses courantes pour le service et l’assistance de vos différents fournisseurs de services (par exemple service matériel, conseil ou réseau). N’oubliez pas d’inclure les coûts de mise à jour si vous avez détecté (ou pensez) que des mises à jour ou des améliorations sont nécessaires pour résoudre des problèmes existants ou anticipés, comme indiqué ci-dessus.

Considérez également les coûts internes directs du département informatique, y compris les salaires et les avantages, les locaux, les commodités et les fournitures. Essayez de distinguer ceux qui soutiennent directement votre ERP. N’oubliez pas qu’au moins certains de ces coûts subsisteront après la mise à niveau et le déploiement d’un nouveau système, surtout si vous remplacez un système traditionnel sur site par un autre système sur site. La structure des coûts pour les logiciels SaaS (Software-as-a-Service) basés sur le cloud est différente, mais vous aurez toujours besoin d’un point de comparaison pour prendre une décision défendable. Que cette décision soit de garder votre système actuel, de commencer une mise à niveau ERP ou de poursuivre un remplacement.

Quel serait le coût d’un nouveau système ?

Le coût potentiel du passage à un nouveau système ERP vous inquiète ? C’est compréhensible. Un nouveau système ERP est probablement l’une des plus grosses dépenses en équipement non productif qu’une entreprise fera au cours d’une année donnée. Néanmoins, par rapport aux avantages offerts et au montant dépensé pour le maintien du système actuel, la plupart des entreprises estiment que le coût est tout à fait raisonnable et justifiable. N’oubliez pas de penser en termes de coûts du cycle de vie – le coût total sur une période donnée, par exemple cinq à sept ans.

Lorsque vous examinez le coût d’acquisition et de déploiement d’un système de remplacement, sachez que les coûts du matériel et des licences logicielles ne sont qu’une partie de l’équation. Vous devez également inclure les éléments suivants dans votre évaluation :

  • La mise en réseau et les périphériques tels que les scanners de codes-barres, les appareils mobiles et les logiciels clients, ainsi que l’assistance.
  • La conversion et la saisie des données dans le nouveau système, ainsi que les dispositions pour l’archivage et l’accès aux enregistrements historiques.
  • La préparation aux sinistres, y compris les systèmes de sauvegarde ou de basculement, les ressources de récupération des données, la connectivité redondante et les communications.
  • La formation de l’équipe de déploiement de l’ERP et de tous les futurs utilisateurs (ce point est d’une importance capitale, ne le négligez pas).
  • Le développement et la documentation de nouveaux flux de travail.
  • L’assistance à l’implémentation. Il est probable qu’un certain niveau d’assistance sera inclus dans l’offre du fournisseur principal du système. Mais vous voudrez peut-être faire appel à une assistance supplémentaire du ou des fournisseurs, à des consultants externes, à votre cabinet comptable ou à d’autres personnes pour certains ou tous les éléments énumérés ci-dessus.
  • La charge supplémentaire pour vos employés pendant le déploiement sous forme d’heures supplémentaires, d’embauche d’intérimaires pour les aider dans leurs tâches habituelles afin qu’ils aient le temps de travailler sur le déploiement, ou de primes et autres incitations pour maintenir la motivation des salariés.

Sachez que la structure des coûts des systèmes SaaS basés sur le cloud est très différente de l’approche traditionnelle d’achat et d’implémentation sur site. Avec le SaaS, il y a peu ou pas de frais initiaux pour le matériel, car il s’agit essentiellement d’un abonnement. Un contrat SaaS inclut généralement une grande partie des coûts de maintenance et d’assistance. De sorte que vos coûts informatiques internes courants seront considérablement réduits. La plupart des entreprises estiment que le coût total sur cinq à sept ans avec un contrat SaaS sera probablement inférieur au coût total de l’achat et de la gestion en interne.

Au moment de prendre la décision de conserver votre système actuel ou d’envisager un remplacement, pensez aux bénéfices que vous pouvez en tirer. Avec une nouvelle solution ERP, vous bénéficierez d’une interface utilisateur moderne, de capacités et de fonctions supplémentaires, et vous améliorerez votre avantage concurrentiel. Tandis que si vous conservez votre ancien système, vous limitez votre capacité à rester agile, productif et compétitif. Bien que vous ne cherchiez pas en premier lieu à réaliser des économies, les exemples de réussite avec des ERP modernes démontrent que les bénéfices du passage à un nouveau système sont souvent moins coûteux et compensent les frais de mise à niveau.

Comment justifier financièrement un nouveau système ERP ?

Lorsqu’elles prennent une décision de cette importance, la plupart des entreprises exigent une analyse coûts-avantages sous la forme d’un retour sur investissement (ROI) attendu. Le côté coûts est facile : additionnez les coûts prévus comme indiqué ci-dessus. Du côté des avantages, il peut y avoir des économies directes sur les coûts informatiques, mais pour énumérer les principaux avantages, l’entreprise doit prévoir comment le système changera l’environnement de travail et permettra d’améliorer les performances, la productivité et le service à la clientèle.

  • Amélioration des performances : De nombreux projets ERP se justifient par les améliorations attendues en termes d’efficacité (réduction de la main-d’œuvre directe) et de réduction des coûts (y compris, mais sans s’y limiter, la réduction des stocks). Sachez toutefois que le système ne crée pas ces avantages par sa simple implémentation. Le système organise, analyse et présente les données de manière à ce que les responsables puissent mieux utiliser les ressources humaines et prendre de meilleures décisions, et c’est cela qui apporte les plus grands bénéfices. Gardez cela à l’esprit lorsque vous établissez un budget pour la formation des utilisateurs et pour la mise en œuvre de procédures améliorées.
  • Un meilleur service à la clientèle : Ces avantages sont moins directs, mais encore plus importants. En améliorant le service à la clientèle, vous pouvez théoriquement augmenter les ventes et les bénéfices, accroître votre part de marché et peut-être même augmenter vos marges, car un bon service à la clientèle apporte une valeur ajoutée au client sans ajouter de coût au produit lui-même. Dans certains cas, les améliorations du service à la clientèle deviennent une condition de survie. Car lorsqu’un nouveau ou un gros client attend des fonctionnalités telles que la transmission électronique des commandes ou l’amélioration des rapports informatisés, votre système ERP doit être à la hauteur.
  • Changements de l’environnement de travail : les systèmes d’aujourd’hui sont conçus pour être faciles à utiliser (l’UX, l’expérience utilisateur, est le mot actuellement à la mode) pour un accès rapide et facile à l’information. Le travail et le flux de travail de chaque utilisateur étant uniques, les systèmes actuels sont hautement personnalisés pour offrir à chacun les écrans et les processus de travail les plus efficaces et confortables. Cette efficacité accrue permettra aux salariés d’en faire plus et de gérer un plus grand volume d’affaires sans avoir besoin d’embaucher. Notez qu’il est déconseillé de justifier le système par une réduction des effectifs. Cela ne se produira probablement pas et la perspective de suppressions d’emplois ne motivera pas les salariés à adopter le système et à contribuer à son succès.

La sélection d’un ERP n’est qu’un début

Tout en suivant les conseils pour évaluer les systèmes ERP, gardez à l’esprit que le remplacement des systèmes existants n’est pas un processus simple ou rapide, mais qu’il vaut la peine car il peut apporter des avantages considérables lorsque l’ERP est correctement sélectionné et déployé.

La question que la plupart des entreprises se posent à ce stade est la suivante : « Combien de temps faut-il pour choisir et remplacer un système existant ? » Il n’y a pas de réponse unique. Cela dépend de la taille et de la complexité de l’organisation, du fait que l’un ou l’autre ou les deux systèmes (ancien et nouveau) soient basés sur le cloud, de la dynamique de l’entreprise et de l’équipe de déploiement, du niveau d’engagement de la direction dans le projet, et du degré de coopération ou de résistance au sein de la communauté des utilisateurs… pour ne citer que quelques-unes des variables. Certains déploiements peuvent être réalisés en quelques mois, d’autres prennent un an ou plus. Un partenaire expérimenté peut vous aider à établir un calendrier réaliste lorsque vous définissez votre plan de projet.

Nous n’avons pas besoin de vous répéter que le remplacement de votre système ERP sera forcément perturbant. S’il n’est pas possible de totalement les éviter, les perturbations peuvent cependant être minimisées grâce à un déploiement bien planifié et géré.

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Source de l’article sur sap.com

Auparavant, « mener la belle vie » signifiait jouir du confort et du luxe, loin des problèmes financiers et des préoccupations environnementales. Ce n’est plus le cas aujourd’hui.

Selon une récente étude Harris/Ketchum commandée par Sustainable Brands, une communauté mondiale d’innovateurs de marque, la définition d’une belle vie a changé. Plutôt que l’argent, le statut et les réalisations personnelles, aujourd’hui, « la base d’une vie bien vécue repose sur l’équilibre, la simplicité et des liens plus étroits avec la famille, la communauté et l’environnement ».

Selon les sources, la recherche indique qu’environ 65 à 95 % des personnes veulent désormais vivre une vie plus durable et acheter des produits qui soutiennent un avenir plus durable. Cela a un impact considérable sur les sociétés qui souhaitent rester compétitives dans ce nouveau contexte.

Comment les marques évoluent-elles alors pour répondre aux besoins et aux aspirations des consommateurs qui apprécient la simplicité, la transparence, l’authenticité et la durabilité plutôt que les biens personnels et l’apparence ?

Appliquer la théorie

Les objectifs et la vision des marques durables sont clairs. Elles créent des feuilles de route pour développer en permanence des pratiques commerciales plus durables. Elles excellent dans le leadership éclairé, l’innovation et les meilleures pratiques pour façonner une culture où la vie durable constitue la base de la belle vie de demain.

En voici quelques exemples sympathiques.

Procter & Gamble, géant des produits de consommation courante, a augmenté d’un cran ses initiatives en termes d’économie circulaire en fabriquant des bouteilles à partir du plastique ramassé sur les plages et repêché dans les océans. La société s’est également engagée à recycler et à récupérer 5 milliards de litres d’eau par an de ses processus de fabrication. Elle s’attaque même à un problème que personne d’autre ne semble savoir résoudre : la société a inventé une technologie capable de redonner de la valeur aux déchets, comme la cellulose plastique des couches jetables sales.

À Haïti, une des conséquences involontaires des opérations de secours après le séisme dévastateur de 2010 a été l’accumulation de montagnes de bouteilles plastique sur toute l’île. Des bouteilles d’eau vides et les emballages des fournitures expédiées pour aider les Haïtiens se sont retrouvés dans les canaux, sur les plages et dans les rues. Le système de collecte des déchets du pays s’est alors effondré. Aujourd’hui, ces bouteilles trouvent une seconde vie sous la forme de cartouches d’imprimante. À travers un projet de recyclage radical, HP, une société qui voit la circularité comme une approche liée au cycle de vie des produits, collabore avec divers partenaires pour créer de nouveaux emplois, offrir une formation en matière de santé et de sécurité et instruire des centaines d’enfants qui collectaient auparavant des déchets pour venir en aide à leur famille.

Parvenir à la belle vie

En mai 2019, plus de 2 500 représentants de la communauté Sustainable Brands se sont rassemblés à Détroit afin de faire part de leurs efforts et de s’inspirer de ce que font les autres pour agir et avoir la conscience tranquille, tout en fournissant des produits et des services qui répondent aux besoins et aux visions des clients et des consommateurs.

Cette conférence de quatre jours attire des leaders éclairés, des innovateurs, des experts du développement durable et des stratèges de marque du monde entier. L’événement principal est l’exposition Innovation Expo. Les participants peuvent s’inscrire à des ateliers, à des laboratoires d’innovation et à des activités de programmation centrés sur l’amélioration du monde.

L’exposition est divisée en pavillons « Belle vie » dédié aux différents secteurs du marché tels que la chimie, l’énergie et la finance, ainsi qu’à des sujets tels que la circularité et la gestion des ressources. Une section est même consacrée aux revues qui sont capables d’inspirer des changements comportementaux, comme le National Geographic.

En tant que sponsor « Good Life Lounge » pour l’économie circulaire, SAP organise plusieurs dialogues interactifs sur des sujets stratégiques. La question de la pollution plastique des océans est un des sujets de la conférence auquel les dirigeants de SAP sont très attachés.

Notre génération a fait la différence

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Vidéo d’Angela Klose

Une direction qui a du sens

En 2018, Stephen Jamieson, responsable de SAP Leonardo au Royaume-Uni et en Irlande, a participé à la création de « Plastics Cloud », une plateforme pour s’attaquer au problème du plastique à usage unique. L’initiative compile des informations et utilise l’apprentissage automatique pour identifier les matériaux et les tendances prévisionnelles en matière d’achat et de recyclage de matières plastiques, ce qui permet aux services de répondre à la demande. Elle partage également des données avec les consommateurs pour les aider à comprendre l’impact qu’ils ont au sujet des matières plastiques.

Entre-temps, Padmini Ranganathan, vice-présidente globale Produits et innovation chez SAP, a inclus Plastics for Change dans Ariba Network, de façon à intégrer l’économie informelle des collecteurs de déchets dans un système d’offre et de demande de matériaux secondaires plus formalisé.

L’initiative de Stephen Jamieson et le travail de Padmini Ranganathan avec les collecteurs de matières plastiques ont été deux des principaux facteurs qui ont poussé SAP à parrainer le sommet Ocean Plastic Leadership Summit dirigé par Jim Sullivan, responsable de l’Innovation durable chez SAP, et Alexandra van der Ploeg, responsable de la Responsabilité sociale d’entreprise chez SAP.

Comme l’a dit Mohammed Ali « l’impossible est temporaire ». Ce paradigme a été répété à maintes reprises par les 170 producteurs, scientifiques, chercheurs et innovateurs participant au sommet océanique. Bien que la pollution plastique des océans soit un immense défi, Jim Sullivan estime que si les gouvernements, les organisations non gouvernementales (ONG), les consommateurs et les leaders industriels s’associaient, il serait possible de le relever en dix ans. La plupart du plastique est rejeté dans l’océan par cinq cours d’eau en Asie. Les experts estiment qu’en réduisant la quantité des matières plastiques déversées dans les cours d’eau de seulement 20 % au cours des sept prochaines années, les océans reviendraient aux niveaux de pollution plastique des années 1990.

La technologie pour y parvenir existe déjà. C’est l’investissement nécessaire au développement de cette infrastructure essentielle qui fait défaut, et ce manque s’accentue encore plus du fait de l’échec du système d’offre et de demande de matériaux recyclés.

Les entreprises durables jouent un rôle majeur dans la solution. Elles transforment leurs activités avec des modèles circulaires qui permettent aux consommateurs et aux producteurs de refuser, de réduire, de réutiliser et de recycler. Ensemble, ils créent une assise durable pour mener la belle vie, selon la nouvelle définition qu’on lui prête.

Publié en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

La plupart des pays industrialisés recyclent leurs déchets depuis déjà des décennies. Nous trions le verre, le plastique, le papier et le textile en les jetant dans les poubelles prévues à cet effet. Mais qu’advient-il ensuite de ces déchets ? En faisons-nous assez ? Et qu’en est-il des régions qui sont devenues des dépotoirs ou qui n’ont pas mis en place de systèmes de recyclage ?

Malgré nos efforts, près de 9 millions de tonnes de plastique sont déversés chaque année dans les océans en raison de notre modèle de consommation linéaire actuel Extraire, Fabriquer, Jeter.

L’entassement des déchets dans les décharges n’arrange rien. Pas moins de 1,3 milliard de tonnes de déchets sont mis en décharge chaque année et ce chiffre devrait grimper à 2,2 milliards de tonnes en 2025. Les dommages causés à l’homme, à la faune sauvage et à l’environnement sont considérables, mais nous pouvons prendre des mesures pour les atténuer.

Le cas des vêtements

Outre les déchets plastiques et électroniques, les textiles, notamment les textiles non biologiques, sont en grande partie responsables du problème. Selon l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (EPA), les Américains jettent 13,1 millions de tonnes de textiles par an, dont 15 % seulement sont recyclés. Cela signifie que plus de 11 millions de tonnes de textiles sont déversés chaque année dans les décharges, libérant dans le sol des colorants et des produits chimiques qui contaminent les eaux souterraines et nuisent à l’environnement. Pire encore, à mesure que les textiles se décomposent, ils libèrent du méthane, un gaz à effet de serre nocif qui contribue de manière significative au réchauffement climatique.

L’industrie textile est la plus polluante après le logement, le transport et l’alimentation. L’apparition des achats en ligne a bouleversé nos habitudes. Aujourd’hui, les consommateurs commandent les articles en plusieurs tailles ou plusieurs couleurs, les essaient et retournent ce qui ne leur convient pas, ce qui crée de nouveaux défis pour les commerçants. De nombreux détaillants sont contraints de jeter plus de 25 % des articles retournés, soit des tonnes de marchandises neuves déversées chaque année dans les décharges.

Dans ce contexte, le secteur de la mode éphémère est soumis à de fortes pressions pour repenser sa stratégie de production et merchandising en vue de réduire les dommages écologiques.

Quatre gestes pour réduire les déchets

La protection de l’environnement relève de la responsabilité collective. Si les gouvernements, les consommateurs, les fabricants et les détaillants font leur part du travail, il est encore possible d’inverser la tendance. En tant que citoyens et consommateurs, nous avons un rôle important à jouer.

Nous pouvons tous refuser d’acheter des articles en plastique à usage unique, des produits vendus dans des emballages superflus ou des vêtements bon marché qui finissent dans des décharges après avoir été portés une ou deux fois.

Nous pouvons réduire les déchets en évitant d’en générer, par exemple en réduisant le volume des marchandises achetées en ligne, puis retournées au vendeur. Pour ce qui est de la réutilisation, cette pratique est en plein essor. Des friperies aux associations caritatives, il existe de nombreux moyens de remettre des textiles, meubles et appareils sur le marché plutôt que de les déverser dans les décharges.

Enfin, le recyclage doit être l’objectif ultime. Il permet non seulement de réduire la dépendance à l’égard des matières premières, mais il crée des emplois et diminue l’impact de notre société de consommation sur l’environnement.

Toutefois, il existe encore un énorme fossé entre ce que nous aspirons à faire en tant que consommateurs et notre comportement au quotidien.

Même si plusieurs études, telles que l’enquête sur les emballages plastiques de 2017 réalisée par l’institut britannique de sondage Populus, confirment la motivation des consommateurs à mieux gérer leur consommation et leurs déchets de matières plastiques, il reste encore beaucoup à faire. Par exemple, les étiquettes d’emballage sont souvent source de confusion et la communication des collectivités locales sur les options de recyclage disponibles n’est pas suffisamment claire.

Une participante à une enquête a donné un excellent exemple de la complexité à laquelle les consommateurs sont confrontés lorsqu’ils tentent d’adopter les bons gestes. « J’ai effectué des recherches sur les couches biodégradables, qui me semblent être une bonne idée », a-t-elle déclaré. « Mais apparemment, ces couches peuvent uniquement être recyclées dans un composteur. Si elles sont mises en décharge, elles produisent du méthane, ce qui est réellement nocif pour l’environnement. »

Le défi de SAP concernant les matières plastiques

S’agissant des matières plastiques et de la pollution qu’elles engendrent, une manière de résoudre le problème serait de les éliminer tout simplement de la chaîne logistique.

L’an passé, l’équipe SAP Leonardo a lancé un projet d’innovation collaborative dans le cadre du UK Plastics Pact de WRAP afin de trouver de nouvelles solutions face au problème de pollution plastique. L’initiative a débuté par une enquête ethnographique visant à déterminer comment les citoyens perçoivent le défi de la pollution plastique. Sur la base des résultats de l’enquête, cinq personas ont été développées pour représenter les attitudes et comportements qui prévalent aujourd’hui dans la société britannique, depuis les sympathisants jusqu’aux ardents défenseurs de l’écologie.

Plusieurs thèmes sont ressortis de cette étude : le devoir de réduire la consommation de matières plastiques, la confusion et les mythes sur le recyclage, la nécessité d’apprendre et de répondre de manière appropriée et, enfin, la nécessité de sensibiliser.

Dans le cadre de la deuxième phase du projet, un marathon de programmation et une session de conception créative organisés sur trois jours ont rassemblé des experts et des innovateurs de SAP et de grandes entreprises internationales comme Unilever, HSBC et Deliveroo. Les équipes ont été invitées à concevoir des prototypes de produits et services autour des cinq thèmes pour les différents personas. Les prototypes sont en cours de développement et de test dans une phase d’incubation. Les solutions visant à éliminer le plastique seront présentées à l’occasion de l’exposition collective Design Frontiers, qui se déroulera au London Design Festival en septembre prochain.

Autres bonnes nouvelles

Pour ce qui est de la gestion des déchets industriels et ménagers, le lot d’efforts déployés varie d’un pays à l’autre. La Suède importe à présent des déchets, car moins de 1 % de ceux générés dans le pays se retrouvent dans des décharges. Le reste est recyclé ou brûlé pour chauffer les maisons. Le processus est tellement efficace que la Suède s’est mise à manquer de déchets et a commencé à en importer auprès de pays voisins pour alimenter son programme national de valorisation énergétique.

L’Allemagne est un autre exemple : sur les 45,9 millions de tonnes de déchets ménagers produites en 2017, seules 0,5 million de tonnes ont été mises en décharge grâce aux directives de l’UE, à des réglementations nationales strictes en matière de gestion des déchets et à des installations de traitement des déchets de pointe. La ville de Heidelberg, par exemple, a ajouté des capteurs intelligents à ces bacs à ordures et les a connectés à la solution SAP Connected Goods. La ville dispose désormais d’une visibilité en temps réel sur l’état des déchets, ce qui réduit le nombre de camions à ordures sur la route, en éliminant le ramassage inutile et le remplissage excessif. Cela a également contribué à la réduction du bruit, du trafic et de la pollution.

On constate aussi des progrès dans le Global Fashion Agenda. À la fin du premier semestre de l’année dernière, l’Engagement 2020 en faveur du système de mode circulaire avait été signé par 94 entreprises représentant 12,5 % du marché mondial de la mode. Ces entreprises se sont engagées à collecter et revendre des vêtements et des chaussures, de même qu’à accroître la part de vêtements et chaussures fabriqués à partir de fibres recyclées. Elles ont également promis de rendre compte des progrès annuels et, plus important encore, de transformer leurs pratiques commerciales linéaires actuelles.

De plus en plus d’entreprises prennent conscience des avantages d’une approche circulaire et de plus en plus de consommateurs réclament des produits et services plus durables. Dès lors, il est encore possible d’inverser la tendance.

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Publié initialement en anglais sur Forbes dans la catégorie Brandvoice

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Source de l’article sur sap.com

Un personnel polyvalent est essentiel pour surmonter les défis, notamment ceux liés au COVID-19. Les entreprises reconnaissent désormais l’importance de l’upskilling et du reskilling. Mais elles ne savent pas toujours comment procéder à grande échelle. Ou comment exploiter efficacement des technologies comme les learning management systems (LMS). Si les collaborateurs peuvent accéder à une pléthore de formations, certifications et badges, de nombreux dirigeants peinent encore à discerner ce qui aura le plus d’impact.

Beaucoup d’organisations ont démontré leur capacité à faire basculer leurs salariés en télétravail presque du jour au lendemain. Alors que les entreprises commencent à s’adapter à cette nouvelle réalité, on peut se demander comment progresser sur d’autres problématiques. Comme celle de l’apprentissage sur le lieu de travail. Avec des solutions et des technologies innovantes les dirigeants étudient la meilleure façon d’y parvenir, en évaluant comment communiquer de manière authentique, recueillir des insights et mettre en œuvre des formations plus efficaces.

Parallèlement à une stratégie des effectifs, les entreprises peuvent suivre les étapes suivantes pour soutenir la formation et le développement de leurs collaborateurs.

collaborateur au bureau

1. Déterminer les déficits de compétences et anticiper les besoins à long terme

Après avoir déterminé leurs objectifs et évalué plusieurs scénarios, les entreprises élaborent une stratégie des effectifs adaptée. Pour la déployer, une étape clé est de combler l’écart entre les compétences que vos collaborateurs ont déjà et celles qu’ils doivent acquérir. De nombreuses entreprises, lorsqu’elles s’adaptent à l’incertitude économique, évaluent ces écarts tout en déterminant s’il faut réduire les effectifs. Aussi important soit-il de réfléchir aux besoins d’aujourd’hui, considérer les besoins en effectifs et compétences pour les 5 à 10 prochaines années est tout aussi central, si ce n’est plus. Si certaines compétences techniques deviennent rapidement caduques, d’autres, comme le leadership, représentent un investissement pour l’avenir. Il a également été démontré qu’un programme de formation solide aide à attirer et retenir les meilleurs talents.

La première étape dans l’élaboration d’une stratégie de gestion des talents est l’identification des emplois et des carrières qui nécessiteront l’upskilling des collaborateurs. Par exemple, de nombreux emplois seront reconfigurés avec des technologies telles que l’intelligence artificielle (IA). Les organisations devraient commencer par identifier les tâches essentielles à la croissance et à l’amélioration de l’expérience client. Ensuite, elles devraient identifier les ressources nécessaires pour les accomplir. Ressources qui incluent notamment les machines intelligentes et salariés requalifiés. Les nouvelles descriptions de poste devraient refléter le besoin de ces collaborateurs plus stratégiques et créatifs. Dans le cadre du recrutement, les technologies RH peuvent aujourd’hui aider les entreprises à prédire la réussite en évaluant la personnalité et les capacités cognitives des candidats.

De plus, pour évaluer en continu les compétences des collaborateurs, il faut envisager de développer une bibliothèque des compétences. Une base de données de ce que les salariés doivent savoir et des compétences qu’ils doivent posséder pour performer dans leurs fonctions. Dans un sens, il s’agit de descriptions de postes basées sur les compétences.

2. Interroger les collaborateurs

Les plates-formes technologiques RH peuvent recueillir des données en temps réel sur l’expérience des collaborateurs et les objectifs business, afin d’aider les entreprises à bien prioriser en matière d’upskilling. En interrogeant les collaborateurs, elles peuvent diagnostiquer les compétences actuelles d’une personne et recueillir des informations sur les compétences adjacentes.

Comprendre les besoins d’un collaborateur est essentiel, non seulement pour la stratégie d’upskilling, mais aussi pour améliorer l’expérience employé et la fidélisation. Pour de meilleurs résultats à long terme, les entreprises devraient aligner leurs efforts d’upskilling sur les plans de carrière des collaborateurs et leur développement. Un personnel heureux est souvent un personnel productif. Des recherches ont montré que les collaborateurs sont souvent « au mieux de leur carrière » lorsque leurs talents, leurs passions et les besoins de l’entreprise sont alignés.

3. Tenir compte des compétences, des connaissances et de l’expérience

Dans certains domaines, l’acquisition et le transfert des connaissances sont tout aussi importants que les compétences. Bien que les data scientists puissent être très demandés pour intégrer les technologies d’IA dans une entreprise, il n’est pas toujours suffisant qu’un collaborateur cherche à obtenir une certification en data science pour assurer la fonction. Les candidats devront avoir une connaissance approfondie des mathématiques ou de l’informatique pour comprendre le fonctionnement des algorithmes. Lorsque les entreprises n’ont pas la taille, la crédibilité ou l’expertise nécessaires dans certains domaines, elles peuvent s’associer à des institutions, organisations académiques ou professionnelles, pour une formation personnalisée.

Un cadre d’apprentissage largement référencé, le modèle « 70-20-10 », encourage les entreprises à promouvoir 70 % de l’apprentissage par l’expérience, 20 % par autrui (mentorat, coaching), et 10 % par la formation formelle. Mais le modèle peut être pondéré selon les domaines et compétences. Par exemple, les pilotes de ligne ont des exigences différentes selon la licence qu’ils souhaitent obtenir, notamment privée ou commerciale. Beaucoup estiment qu’une formation rigoureuse et formelle devrait peser plus de 10 % dans de nombreux domaines.

4. Repenser, remodeler et rééquiper les RH pour soutenir un processus d’apprentissage continu

L’une des clés d’une stratégie des effectifs réussie consiste à diffuser une culture de l’apprentissage. Les collaborateurs peuvent manquer de temps pour suivre une formation de deux heures. Heureusement la technologie, des applications aux systèmes de gestion de la formation (LMS), permet aux collaborateurs d’acquérir des compétences et de partager des connaissances entre eux par le biais d’un upskilling itératif. Ces capsules de formation peuvent prendre la forme de vidéos d’apprentissage de 10 minutes, au format « snacking », qu’ils peuvent visionner aussi bien hors ligne et sur smartphone qu’à la maison.

L’époque où les entreprises donnaient la priorité aux compétences de base et assignaient des sessions de formation à leurs collaborateurs est révolue. Aujourd’hui, les dirigeants peuvent tirer parti des technologies et des écosystèmes pour permettre aux collaborateurs de piloter leur propre apprentissage. Des outils personnalisables qui utilisent l’IA et le machine learning peuvent par exemple fournir une formation, un coaching et des feedbacks personnalisés.

5. Motiver les collaborateurs en les aidant à suivre leurs progrès

Il n’y a pas de modèle unique pour l’upskilling. Au lieu de proposer des plans de formation normatifs, les dirigeants devraient, pour une formation et un développement professionnel réussis, lire les signaux émis par leurs employés.

Grâce à des plans de développement des collaborateurs personnalisés et à l’apprentissage social, les collaborateurs peuvent rester engagés et concentrés grâce à la mise en réseau virtuelle et au mentorat, tandis que les managers les motivent pour atteindre les objectifs. Pour soutenir un personnel en distanciel, les messageries instantanées et les social boards peuvent être très utiles pour retrouver la dynamique collective. Parmi les autres techniques de motivation, on peut citer la gamification associée à des récompenses financières ou des cartes-cadeaux. Et les derniers learning management systems (LMS) permettent aux entreprises de délivrer, de suivre et de gérer le contenu, les certifications et les données des collaborateurs comme une source unique d’enregistrement de l’apprentissage.

Suivant la tendance croissante au partage et à la consommation d’information sur les médias sociaux, de nombreuses personnes s’attendent à avoir la maîtrise du moment et de la façon dont elles apprennent. Et encourager les collaborateurs à créer et à contribuer à leur propre contenu d’apprentissage en créant leurs propres « playlists d’apprentissage» leur permet de devenir, en matière de formation, leur propre patron. Et cela ouvre les portes du progrès individuel.

Grâce à une stratégie des effectifs qui s’aligne sur les objectifs stratégiques, les entreprises peuvent appliquer ces mesures pratiques pour identifier les opportunités de reskilling et les déficits à combler. Grâce à une amélioration de l’expérience et des résultats relatifs au reskilling, les entreprises peuvent soutenir un personnel à l’épreuve du temps. 

L’évolution des réalités dans le monde entier – de la modification des chaînes d’approvisionnement aux business models – a un impact sur toutes les entreprises. Celles qui peuvent réorienter leur personnel pourront relever les défis de l’avenir.

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com