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SAP France poursuit son engagement en faveur d’une Tech au service de l’impact en accompagnant le programme, Les Ambitieuses Tech For Good, du réseau d’incubateurs La Ruche. Parce qu’en France, les femmes ne représentent que 9% des entrepreneurs dans le secteur des nouvelles technologies, La Ruche, avec l’aide de SAP, souhaite relever un défi de taille : réduire les inégalités femmes / hommes dans les nouvelles technologies.

Ce programme d’accélération à destination de startup à impact dirigées par des femmes, est soutenu par des mentors SAP qui les accompagnent et apportent leurs expertises pour les aider à se développer.

Au programme : parité, impact social et nouvelles technologies.

Via cette nouvelle collaboration aux côtés de La Ruche, SAP poursuit ses engagements en faveur de la parité Femmes/Hommes dans la Tech et compte sur ses collaborateurs volontaires pour accompagner pendant 9 mois une partie des 10 femmes entrepreneures retenues par La Ruche. L’objectif : les aider à développer leur startup sociale tant sur le plan opérationnel que stratégique grâce aux nouvelles technologies.

Les nombreux avantages du programme Les Ambitieuses Tech For Good :

  • Le programme se déroule à La Ruche, espace de travail collaboratif et spécialisé dans l’entrepreneuriat responsable.
  • Le programme d’accélération est sur mesure et assuré par La Ruche avec : 9 sessions de mentorat, 6 jours de workshop, des mises en relation avec des experts et une préparation intensive pour passer du business plan à la levée de fonds.
  • Un prix coup de pouce est décerné à la fin de l’accélération.

SAP France : un partenaire engagé et de longue date en faveur de l’entrepreneuriat tech au féminin.

Pour SAP, les technologies sont un facteur d’intégration et de développement au-delà de toute discrimination. Ainsi, le Groupe tire parti de son expertise et de ses talents comme effet de levier pour contribuer à résoudre des enjeux sociaux de premier plan et engage des partenariats diversifiés avec diverses structures associatives en impliquant ses collaborateurs. Sa participation au précédent programme Les Ambitieuses Tech For Good est une des nombreuses illustrations de l’engagement de SAP sur ces enjeux. Elle  a permis le développement de plusieurs beaux projets comme celui de Ewen Life en 2019 qui vise à soutenir la valorisation et la formation auprès de personnes atteintes de maladies rares dans la gestion de la maladie de manière émotionnelle et sociale. En 2020, le projet Aaliatech a mis en place un chatbot de traduction de langues des dialectes du milieu médical pour faciliter les échanges entre les médecins et les patients étrangers.

« Le mentorat mis en place par les équipes de SAP autour de nos entrepreneures Tech for Good, est un vrai outil d’accélération pour nos startups sociales ! L’écoute, la bienveillance et la pertinence des mentors mobilisés ont permis à Samah fondatrice de Aaliatech de bénéficier de retours concrets et motivants lui permettant de structurer efficacement sa stratégie commerciale. À La Ruche, nous sommes convaincus que la valeur d’un bon accompagnement réside dans la mobilisation des bonnes ressources au bon moment et les équipes de SAP ont su être ces ressources précieuses pour nos Ambitieuses Tech for Good lors de la précédente édition. » Gaspard Lefèvre, Responsable de programme incubation, La Ruche Paris

« Ce que l’accompagnement SAP4Good m’a apporté est une grande dose de soutien et d’encouragement dans la poursuite de mon projet. J’ai pu recevoir de précieux conseils d’experts avisés pour mieux appréhender les enjeux et défis liés à l’entreprenariat. C’est toujours un plaisir d’échanger avec les mentors : après nos sessions je repars avec un boost d’énergie et de bonne humeur ! » Samah Ghalloussi, CEO AALIA.tech

A qui s’adresse ce programme et comment postuler ?

Toute femme entrepreneure à impact, utilisant le numérique ou la Tech pour avoir un impact positif, ayant une première preuve de concept ou une solution aboutie et souhaitant accélérer le développement de sa startup peut postuler à la nouvelle édition Les Ambitieuses Tech for Good.

Les candidates peuvent déposer leurs dossiers de candidature ici jusqu’au 23 mars 2021 minuit. Les dossiers pré-sélectionnés pourront participer à des formations gratuites dédiées à booster la stratégie de développement, les 6 et 7 avril 2021, à Paris. Après des sessions de pitch en régions, les 10 startups sélectionnées commenceront leur programme d’accélération le 12 avril jusqu’au 31 décembre 2021.

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Source de l’article sur sap.com

Levallois – 8 mars 2021 – SAP annonce son intention de parvenir à la neutralité carbone de ses activités d’ici la fin 2023, soit deux ans plus tôt que prévu. Cette annonce coïncide avec la publication du rapport intégré 2020 de SAP. L’année dernière, l’entreprise a plus qu’atteint son objectif de réduction d’émissions de gaz à effet de serre (GES) avec la mise en place de nouvelles façons de travailler et de voyager des 100 000 collaborateurs SAP, engendrées par la pandémie de la COVID-19.

La forte diminution des vols d’affaires a contribué de manière significative à la réduction de l’empreinte carbone de SAP en 2020. Les employés travaillant principalement à domicile, les émissions de carbone causées par les trajets quotidiens et l’exploitation des immeubles de bureaux ont diminué. En conséquence, SAP a pu dépasser de 43% son objectif de réduction des émissions nettes de carbone sur l’année 2020, en générant 135 kilotonnes (kt) au lieu des 238 kt prévues. À titre de comparaison, les émissions de SAP en 2019 étaient de 300 kt. En accélérant la mise en place d’opérations neutres en carbone, SAP anticipe l’évolution actuelle et confirme son rôle de pionnier dans la protection du climat.

En s’efforçant de devenir neutre en carbone, SAP prend en compte toutes ses émissions directes et indirectes, ainsi que certaines émissions provenant de la chaîne d’approvisionnement, notamment celles liées aux vols d’affaires, aux voyages d’affaires en voiture de location et aux datacenters de sociétés partenaires. L’entreprise utilise l’approche consistant à éviter, réduire et compenser les émissions. Dans la mesure du possible, SAP cherche à éviter la création de GES par diverses pratiques commerciales, telles que l’utilisation des technologies de télécommunication plutôt que les déplacements. Si les émissions ne peuvent être évitées, SAP exploite des innovations, telles que l’éclairage à faible consommation d’énergie dans les bureaux, les systèmes de refroidissement efficaces dans les datacenters et les solutions de mobilité alternatives. Enfin, SAP compense les émissions inévitables en soutenant des projets climatiques et en travaillant avec des partenaires qui respectent la norme de qualité avancée par la Fondation Gold Standard ou des normes de qualité équivalentes. En outre, SAP mène continuellement de nouvelles initiatives d’entreprise, comme l’application d’un tarif interne carbone sur les vols d’affaires.

Depuis 2017, SAP poursuit également un objectif climatique certifié par l’initiative Science Based Targets (SBTi) pour apporter sa propre contribution à la limitation du réchauffement climatique à 1,5°C au-dessus des niveaux préindustriels. Si son objectif « zéro carbone » s’applique principalement à ses propres activités, l’objectif climatique de SAP englobe également la chaîne de valeur en amont et en aval. Depuis 2014, SAP utilise 100% d’énergie renouvelable pour alimenter tous ses data centers. Grâce à son cloud vert, SAP peut proposer à ses clients des solutions de cloud computing neutres en carbone.

SAP apporte son soutien aux objectifs de développement durable fixés en 2015 par les Etats membres des Nations unies, en se concentrant particulièrement sur l’objectif 13, Action pour le climat. Ici, la plus grande force de SAP réside dans sa capacité à aider ses plus de 400 000 clients dans le monde à mettre en œuvre des mesures de protection du climat grâce à des offres telles que le programme Climate 21. Avec ses clients et partenaires, SAP fournira plus d’informations sur les solutions dans ce contexte ainsi que sur l’économie circulaire, le pilotage holistique et le reporting lors du SAP Sustainability Summit qui se tiendra virtuellement les 28 et 29 avril 2021.

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Source de l’article sur sap.com

En août 2018, Microsoft avait fait la une des journaux en exigeant de ses fournisseurs qu’ils mettent en œuvre des politiques de congé parental rémunéré. Toute société qui souhaitait vendre des biens et des services à Microsoft devait offrir à ses salariés un congé payé d’au moins 12 semaines.

Voici un exemple de grande entreprise qui cherche à influencer ses fournisseurs, et pas uniquement sur le niveau de prix : il s’agit de voir au-delà des coûts financiers pour également prendre en compte les coûts sociaux et environnementaux. Lors du Social Enterprise World Forum (événement pour encourager le développement des entreprises solidaires) les participants ont mentionné que si les grandes entreprises adoptaient des exigences plus durables en matière d’approvisionnement, cela pourrait avoir un impact positif sur les bénéfices, les populations et la planète.

Johnson & Johnson, l’un des plus grands laboratoires pharmaceutiques au monde, a assisté à l’événement. Julian Hooks est directeur des achats (B2B) chez Johnson & Johnson. Il a déclaré : « Nous cherchons à faire du monde un endroit plus sain, étape par étape, et ce en partie via notre stratégie d’approvisionnement. ». La stratégie de Johnson & Johnson est de privilégier les achats auprès de fournisseurs qui sont des entreprises détenues par des femmes ou une minorité.

Selon Julian Hooks, en 2017, la société a dépensé 1,45 milliard de dollars auprès d’entreprises détenues par des femmes ou des gens de couleur. Selon lui, « pour changer l’image de l’industrie pharmaceutique, il faut changer l’image de la chaîne logistique. C’est ainsi que l’on pourra faire progresser la société et exercer un impact. ». Comme Johnson & Johnson opère dans 165 sociétés et travaille avec 70 000 fournisseurs dans le monde entier, il renferme le potentiel de favoriser considérablement la diversité aux postes dirigeants à l’échelle mondiale.

La technologie facilite les achats solidaires. La technologie peut également promouvoir les biens et services que les entreprises solidaires proposent aux entreprises commerciales. C’est là qu’est intervenue SAP, fournisseur mondial de logiciels. Marcell Vollmer, directeur de la stratégie digitale de SAP Ariba, a expliqué dans son allocution au Social Enterprise World Forum (SEWF) comment Ariba Network (anciennement Ariba, fournisseur cloud pour l’approvisionnement en ligne acquis par SAP en 2012) connecte plus de 3,5 millions de sociétés dans le monde à des entreprises socialement responsables.

« Lorsque nous discutons avec des professionnels de l’approvisionnement, nous constatons qu’ils tentent de résoudre divers problèmes dans les chaînes logistiques, notamment l’esclavage, la pauvreté et la diversité. Cependant, ils manquent de visibilité et de données sur leurs fournisseurs, ce qui leur complique la tâche », explique M. Vollmer. SAP Ariba fournit cette visibilité et peut surveiller plus de 200 critères différents, tels que la performance environnementale, les pratiques professionnelles et commerciales équitables ou encore la diversité parmi les cadres dirigeants. Ces informations permettent aux sociétés d’évaluer les risques et de classer les fournisseurs potentiels, ce qui se traduit par des chaînes logistiques plus éthiques et durables.

Étant donné que SAP Ariba met en relation plus de 3,5 millions de sociétés pour un volume de transactions commerciales d’environ 2 100 milliards de dollars, elle offre aux entreprises solidaires une occasion formidable d’accéder à un marché plus vaste. Les sociétés peuvent ainsi adopter des stratégies commerciales plus durables, simplement en achetant auprès de fournisseurs socialement responsables.

SAP développe également un écosystème de partenaires qui aide les sociétés à trouver des entreprises à vocation sociale. Par exemple, grâce à son partenariat avec Made in a Free World, SAP Ariba a réduit le nombre de produits fabriqués par des travailleurs esclaves, en offrant une transparence sur les pratiques professionnelles des fournisseurs. SAP collabore également avec des organisations comme ConnXus dans le but de promouvoir la diversité des fournisseurs : elle aide les sociétés à trouver des petites entreprises, détenues par des femmes ou des minorités.

Cet article est également disponible sur Medium : Innovation Spotlight.

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Source de l’article sur sap.com

Le mois dernier, 162 personnes d’horizons très différents ont embarqué à bord d’un navire pour rejoindre le Sommet contre la pollution plastique des océans (OPLS) dans le gyre de l’Atlantique Nord, un système circulaire de courants océaniques. Ces personnes ont pris part à une expédition de recherche expérimentale pour mieux comprendre l’étendue de la pollution plastique, et pour développer des partenariats et des solutions intersectorielles en vue de relever ce défi mondial au cours de la prochaine décennie.

Organisée par SoulBuffalo, cette expérience immersive a été conçue pour mettre les décideurs en situation, afin qu’ils puissent observer et ressentir par eux-mêmes le côté catastrophique de la pollution plastique. Selon l’Oceanic Society basée en Californie, entre 4 et 12 millions de tonnes métriques de plastique sont déversées chaque année dans l’océan, soit suffisamment pour couvrir tout le littoral de la planète ! Et ces chiffres devraient plus que doubler dans les dix prochaines années.

Cependant, la pollution plastique océanique est un problème que nous pouvons résoudre. Nous savons comment ramasser les ordures et nous savons comment les recycler. Selon Ted Siegler, un économiste spécialisé dans les ressources qui a travaillé pendant 25 ans sur la gestion des ordures dans les pays en développement, l’urgence est de construire les institutions et systèmes nécessaires pour y parvenir avant que l’océan ne se transforme irrémédiablement en une « soupe plastique » dénuée de toute forme de vie.

Pas un poisson en vue

Le groupe OPLS était constitué de producteurs, fabricants, marques, recycleurs et syndicats d’éboueurs. Étaient également au rendez-vous des experts financiers, des scientifiques, des revues comme le National Geographic, des chercheurs, des leaders éclairés et des innovateurs, depuis les cadres d’entreprises telles que Coca-Cola, Nestlé, Procter & Gamble et Dow Chemicals, jusqu’aux ONG telles que Greenpeace, WWF et Ocean Conservancy.

Chaque fois que le navire s’approchait d’algues sargasses, les participants interrompaient leurs réunions pour sauter dans des bateaux pneumatiques munis de leur équipement de plongée.

Ils ne virent aucun poisson de la journée. Et au début, ils ne virent pas beaucoup de plastique non plus. Le plastique est trompeur, car il n’est pas visible à la surface. Dans l’océan, il se décompose en petites particules qui sont capturées par les algues et ingérées par les espèces marines.

« Le vrai problème, c’est ce qui n’est pas visible », déclare Michael Groves, PDG de Topolytics, une entreprise d’analyse de données dédiée à la gestion des déchets, qui participait à l’expédition. Il explique que sur une distance d’un kilomètre, le navire a récupéré 76 débris microplastiques immédiatement sous la surface.

Multipliez ce chiffre par la quantité de microplastique présente dans la colonne d’eau qui descend jusqu’à une profondeur de 2,5 kilomètres et vous comprendrez l’immensité du problème.

Accepter la responsabilité

Comme l’explique Virginie Helias, directrice du développement durable chez Procter & Gamble, « le problème de la pollution plastique dans nos océans relève de la responsabilité de tous aujourd’hui, y compris des entreprises qui produisent et utilisent une grande partie du plastique dans le monde. »

John Hocevar, directeur de la campagne Océans de Greenpeace, le confirme.

« Les personnes présentes sur ce navire représentent des entreprises responsables d’une grande partie de l’empreinte plastique de la planète. Nous avons donc réuni ici les personnes réellement à même de résoudre le problème de la pollution plastique », a-t-il affirmé. « Plusieurs entreprises se concentrent sur des solutions en aval telles que le recyclage et l’éducation des consommateurs, mais ce dont nous avons besoin, c’est d’un plus grand nombre d’individus, d’entreprises et de gouvernements qui assument la responsabilité de la fin de production. »

John Hocevar estime que nous ne pourrons pas venir à bout de la pollution plastique tant que nous continuerons à en tirer parti et déclare que la plupart des entreprises ne sont même pas conscientes de la quantité de plastique qu’elles produisent. Le point de départ pour toute entreprise est d’évaluer son empreinte plastique, puis de se fixer des objectifs pour la réduire.

Mais il y a aussi de bonnes nouvelles. Plusieurs marques durables comme Procter & Gamble intensifient leurs initiatives en matière d’économie circulaire pour réduire, réutiliser et recycler les matières plastiques et autres ressources, et beaucoup d’autres prennent des mesures pour lancer des initiatives similaires.

Adidas, par exemple, fabrique des chaussures à partir du plastique repêché dans les océans. L’on doit cette idée à John Warner, un fondateur de la chimie verte, qui faisait partie de l’expédition.

Dow Chemicals, l’un des sponsors de l’expédition OPLS, a récemment annoncé qu’il participerait à une levée de fonds mondiale d’un milliard de dollars pour venir à bout des déchets plastiques dans l’environnement.

Jim Sullivan, qui pilote l’accélérateur d’innovation de SAP en matière de développement durable à l’échelle mondiale et qui a participé à l’organisation de l’expédition, souligne que pour résoudre une crise mondiale de cette ampleur, nous devons entamer un dialogue ouvert et parfois difficile avec les différentes parties prenantes. Nous devons également adopter une approche multisectorielle qui permette d’identifier les compromis avec d’autres défis mondiaux, tels que le changement climatique, afin d’éviter des conséquences graves. De plus, nous devons utiliser des métriques communes pour donner la priorité aux activités les plus significatives et suivre les progrès réalisés sur la voie des aspirations telles que le « zéro plastique » dans la nature en 2030.

Préserver plutôt que consommer

Il n’existe aucune solution ou entreprise capable de résoudre ce problème à elle seule. Les partenariats et les solutions évolutives tels que le Sommet contre la pollution plastique des océans constituent une pièce centrale du futur que nous devons inventer.

Dans un premier temps, il vaudrait la peine de revenir sur le « conflit d’intérêts initial entre les populations autochtones et les populations à l’ère industrielle, à savoir la gestion de la terre, de l’eau, du feu et de l’air ». Selon Patricia Anne Davis, gardienne de la sagesse navajo, ce conflit d’intérêts est toujours d’actualité.

Les populations autochtones ont protégé ces éléments depuis le début de l’humanité, alors que les populations à l’ère industrielle ont saccagé la planète en seulement un ou deux siècles. Ce conflit n’est plus durable et doit cesser, dans l’intérêt de tous les êtres humains de la planète.

« Nous devons passer de la consommation à la préservation », indique Damien Johnson, qui participait au sommet en tant que représentant du bureau d’innovation SAP en Amérique du Nord. Damien Johnson estime que la solution comporte deux volets : premièrement, stopper l’introduction de nouveaux déchets plastiques et deuxièmement, améliorer les processus de recyclage des déchets existants.

« L’utilisation du plastique a été motivée par l’innovation et le souhait d’améliorer l’expérience client.  Nous devons à présent utiliser la technologie et l’innovation pour maintenir cette expérience, mais supprimer les matières plastiques à usage unique », conclut-il.

Créer de la valeur

L’un des problèmes qui se pose avec les déchets plastiques, c’est qu’ils ne possèdent pas encore de valeur marchande…

Dans de nombreux pays comme le Brésil et l’Inde, les ramasseurs de rue récupèrent du métal, des guenilles et du papier, puis les revendent en vue de leur recyclage. Mais la plupart des matières plastiques n’intéressent personne, car elles ne possèdent aucune valeur marchande.

« Le pire, c’est que les entreprises qui veulent utiliser du plastique recyclé ont du mal à en trouver sur le marché », déclare Padmini Ranganathan, vice-présidente globale Produits et innovation chez SAP.

C’est pour cette raison que Padmini Ranganathan et son équipe sont en train d’intégrer de nouvelles entreprises comme Plastics for Change sur Ariba Network, pour associer l’économie parallèle de ramassage de déchets à des systèmes plus officiels d’offre et de demande de matières secondaires.

« Nous devons intégrer les déchets plastiques dans la chaîne logistique, afin qu’ils ne soient pas récupérés dans le secteur illégal, car les éboueurs travaillent dur pour trier et convertir les déchets en valeur marchande », prévient Padmini Ranganathan.

La solution à long terme passe par un changement de fond, aussi bien dans le système de flux d’articles que dans les systèmes numériques.

« Outre les ERP et les processus de gestion, nous devons exploiter des systèmes numériques agiles et évolutifs au fur et à mesure que la chaîne logistique du plastique se transforme », déclare Padmini Ranganathan.

Technologie et travail d’équipe

Bien que la pollution plastique des océans soit un immense défi, ces experts estiment que si les gouvernements, les ONG, les consommateurs et les entreprises s’associaient, il serait possible de le relever en dix ans. En effet, la plupart des matières plastiques sont rejetées dans l’océan par cinq fleuves en Asie, ce qui signifie qu’une simple réduction de 20 % des matières plastiques déversées dans les cours d’eau au cours des sept prochaines années permettrait de revenir aux niveaux de pollution plastique océanique des années 1990.

La technologie pour y parvenir existe déjà. Les entreprises durables jouent un rôle majeur dans la solution. Elles transforment leurs activités avec des modèles circulaires qui permettent aux consommateurs et aux producteurs de refuser, de réduire, de réutiliser et de recycler. En réunissant les entreprises, les gouvernements, les ONG et les groupes de protection des océans, il est possible de créer une solution globale pour un avenir durable.

Publié initialement en anglais sur Forbes dans la catégorie Brandvoice

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Source de l’article sur sap.com

La plupart des pays industrialisés recyclent leurs déchets depuis déjà des décennies. Nous trions le verre, le plastique, le papier et le textile en les jetant dans les poubelles prévues à cet effet. Mais qu’advient-il ensuite de ces déchets ? En faisons-nous assez ? Et qu’en est-il des régions qui sont devenues des dépotoirs ou qui n’ont pas mis en place de systèmes de recyclage ?

Malgré nos efforts, près de 9 millions de tonnes de plastique sont déversés chaque année dans les océans en raison de notre modèle de consommation linéaire actuel Extraire, Fabriquer, Jeter.

L’entassement des déchets dans les décharges n’arrange rien. Pas moins de 1,3 milliard de tonnes de déchets sont mis en décharge chaque année et ce chiffre devrait grimper à 2,2 milliards de tonnes en 2025. Les dommages causés à l’homme, à la faune sauvage et à l’environnement sont considérables, mais nous pouvons prendre des mesures pour les atténuer.

Le cas des vêtements

Outre les déchets plastiques et électroniques, les textiles, notamment les textiles non biologiques, sont en grande partie responsables du problème. Selon l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (EPA), les Américains jettent 13,1 millions de tonnes de textiles par an, dont 15 % seulement sont recyclés. Cela signifie que plus de 11 millions de tonnes de textiles sont déversés chaque année dans les décharges, libérant dans le sol des colorants et des produits chimiques qui contaminent les eaux souterraines et nuisent à l’environnement. Pire encore, à mesure que les textiles se décomposent, ils libèrent du méthane, un gaz à effet de serre nocif qui contribue de manière significative au réchauffement climatique.

L’industrie textile est la plus polluante après le logement, le transport et l’alimentation. L’apparition des achats en ligne a bouleversé nos habitudes. Aujourd’hui, les consommateurs commandent les articles en plusieurs tailles ou plusieurs couleurs, les essaient et retournent ce qui ne leur convient pas, ce qui crée de nouveaux défis pour les commerçants. De nombreux détaillants sont contraints de jeter plus de 25 % des articles retournés, soit des tonnes de marchandises neuves déversées chaque année dans les décharges.

Dans ce contexte, le secteur de la mode éphémère est soumis à de fortes pressions pour repenser sa stratégie de production et merchandising en vue de réduire les dommages écologiques.

Quatre gestes pour réduire les déchets

La protection de l’environnement relève de la responsabilité collective. Si les gouvernements, les consommateurs, les fabricants et les détaillants font leur part du travail, il est encore possible d’inverser la tendance. En tant que citoyens et consommateurs, nous avons un rôle important à jouer.

Nous pouvons tous refuser d’acheter des articles en plastique à usage unique, des produits vendus dans des emballages superflus ou des vêtements bon marché qui finissent dans des décharges après avoir été portés une ou deux fois.

Nous pouvons réduire les déchets en évitant d’en générer, par exemple en réduisant le volume des marchandises achetées en ligne, puis retournées au vendeur. Pour ce qui est de la réutilisation, cette pratique est en plein essor. Des friperies aux associations caritatives, il existe de nombreux moyens de remettre des textiles, meubles et appareils sur le marché plutôt que de les déverser dans les décharges.

Enfin, le recyclage doit être l’objectif ultime. Il permet non seulement de réduire la dépendance à l’égard des matières premières, mais il crée des emplois et diminue l’impact de notre société de consommation sur l’environnement.

Toutefois, il existe encore un énorme fossé entre ce que nous aspirons à faire en tant que consommateurs et notre comportement au quotidien.

Même si plusieurs études, telles que l’enquête sur les emballages plastiques de 2017 réalisée par l’institut britannique de sondage Populus, confirment la motivation des consommateurs à mieux gérer leur consommation et leurs déchets de matières plastiques, il reste encore beaucoup à faire. Par exemple, les étiquettes d’emballage sont souvent source de confusion et la communication des collectivités locales sur les options de recyclage disponibles n’est pas suffisamment claire.

Une participante à une enquête a donné un excellent exemple de la complexité à laquelle les consommateurs sont confrontés lorsqu’ils tentent d’adopter les bons gestes. « J’ai effectué des recherches sur les couches biodégradables, qui me semblent être une bonne idée », a-t-elle déclaré. « Mais apparemment, ces couches peuvent uniquement être recyclées dans un composteur. Si elles sont mises en décharge, elles produisent du méthane, ce qui est réellement nocif pour l’environnement. »

Le défi de SAP concernant les matières plastiques

S’agissant des matières plastiques et de la pollution qu’elles engendrent, une manière de résoudre le problème serait de les éliminer tout simplement de la chaîne logistique.

L’an passé, l’équipe SAP Leonardo a lancé un projet d’innovation collaborative dans le cadre du UK Plastics Pact de WRAP afin de trouver de nouvelles solutions face au problème de pollution plastique. L’initiative a débuté par une enquête ethnographique visant à déterminer comment les citoyens perçoivent le défi de la pollution plastique. Sur la base des résultats de l’enquête, cinq personas ont été développées pour représenter les attitudes et comportements qui prévalent aujourd’hui dans la société britannique, depuis les sympathisants jusqu’aux ardents défenseurs de l’écologie.

Plusieurs thèmes sont ressortis de cette étude : le devoir de réduire la consommation de matières plastiques, la confusion et les mythes sur le recyclage, la nécessité d’apprendre et de répondre de manière appropriée et, enfin, la nécessité de sensibiliser.

Dans le cadre de la deuxième phase du projet, un marathon de programmation et une session de conception créative organisés sur trois jours ont rassemblé des experts et des innovateurs de SAP et de grandes entreprises internationales comme Unilever, HSBC et Deliveroo. Les équipes ont été invitées à concevoir des prototypes de produits et services autour des cinq thèmes pour les différents personas. Les prototypes sont en cours de développement et de test dans une phase d’incubation. Les solutions visant à éliminer le plastique seront présentées à l’occasion de l’exposition collective Design Frontiers, qui se déroulera au London Design Festival en septembre prochain.

Autres bonnes nouvelles

Pour ce qui est de la gestion des déchets industriels et ménagers, le lot d’efforts déployés varie d’un pays à l’autre. La Suède importe à présent des déchets, car moins de 1 % de ceux générés dans le pays se retrouvent dans des décharges. Le reste est recyclé ou brûlé pour chauffer les maisons. Le processus est tellement efficace que la Suède s’est mise à manquer de déchets et a commencé à en importer auprès de pays voisins pour alimenter son programme national de valorisation énergétique.

L’Allemagne est un autre exemple : sur les 45,9 millions de tonnes de déchets ménagers produites en 2017, seules 0,5 million de tonnes ont été mises en décharge grâce aux directives de l’UE, à des réglementations nationales strictes en matière de gestion des déchets et à des installations de traitement des déchets de pointe. La ville de Heidelberg, par exemple, a ajouté des capteurs intelligents à ces bacs à ordures et les a connectés à la solution SAP Connected Goods. La ville dispose désormais d’une visibilité en temps réel sur l’état des déchets, ce qui réduit le nombre de camions à ordures sur la route, en éliminant le ramassage inutile et le remplissage excessif. Cela a également contribué à la réduction du bruit, du trafic et de la pollution.

On constate aussi des progrès dans le Global Fashion Agenda. À la fin du premier semestre de l’année dernière, l’Engagement 2020 en faveur du système de mode circulaire avait été signé par 94 entreprises représentant 12,5 % du marché mondial de la mode. Ces entreprises se sont engagées à collecter et revendre des vêtements et des chaussures, de même qu’à accroître la part de vêtements et chaussures fabriqués à partir de fibres recyclées. Elles ont également promis de rendre compte des progrès annuels et, plus important encore, de transformer leurs pratiques commerciales linéaires actuelles.

De plus en plus d’entreprises prennent conscience des avantages d’une approche circulaire et de plus en plus de consommateurs réclament des produits et services plus durables. Dès lors, il est encore possible d’inverser la tendance.

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Publié initialement en anglais sur Forbes dans la catégorie Brandvoice

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Source de l’article sur sap.com


Après le succès de la première promotion, Le Village by CA Paris, Microsoft France et SAP  lancent aujourd’hui un nouvel appel à candidatures auprès des femmes entrepreneures.  
Cet appel est ouvert jusqu’au 7 février 2021 

Paris, le 11 janvier 2021  Le Village by CA Paris, accélérateur de startups qui accompagne les grands groupes/ETI vers le futur de leurs industries, lance un appel à candidatures pour sa seconde édition du comité de sélection dédié aux femmes entrepreneures en partenariat avec Microsoft France via son programme Microsoft for Startups et SAP via son programme SAP.iO No Boundaries. Cet appel est soutenu par plusieurs réseaux féminins :  Professional Women’s Network Paris#JamaisSansEllesWilla, et d’autres se joindront encore à l’initiative.

La promotion 2019 avait permis d’accélérer des entreprises telles que FinWedge, Les Petits Prödiges ou encore Pandobac.

Un appel à candidatures du 11 janvier au 7 février 2021

L’appel à candidatures débute ce jour et se terminera le 7 février 2021 à minuit. Par la suite, une quinzaine de startups seront pré-selectionnées puis invitées à pitcher devant un comité de sélection composé d’une trentaine de grandes entreprises. Par la suite, une Pitch Party sera organisée au Village by CA Paris, afin de présenter les startups lauréates devant des investisseurs et potentiels clients. Cet appel à candidatures s’adresse à toute entreprise à caractère innovant de moins de 3 ans portée par au moins une femme dont le produit ou la solution est finalisée ou en début de commercialisation.

Un programme d’accompagnement global à la clé

Les startups lauréates intégreront le Village by CA Paris pendant 2 ans (moyennant un loyer) et bénéficieront de programmes complémentaires offerts par Microsoft et SAP.

L’intégration au Village by CA parisien comprend des mises en relation d’affaires ciblées avec des entreprises privées et des acteurs publics, deux ans d’hébergement, un accompagnement personnalisé par l’équipe du Village et des experts (juridiques, comptables, RH…), des Masterclass, des conférences d’entrepreneurs à succès, une mise à disposition d’espaces communs, un accès à la réservation d’espaces événementiels, de la visibilité sur les réseaux du Village et une assistance administrative.

Programme Microsoft 

Microsoft intègre les startups au cœur de sa proposition de valeur et leur propose un accompagnement adapté à leurs besoins à travers le programme Microsoft for Startups. Son objectif est d’aider les startups à grandir, créer et étendre leur réseau en les accompagnant dans une démarche de partenariat.

Ce programme accorde jusqu’à 120 000 dollars de crédits cloud Azure, un accompagnement technique, de la visibilité, mais aussi et surtout l’opportunité d’un véritable partenariat avec Microsoft pour profiter de son écosystème et ainsi toucher de nouveaux clients et de nouveaux marchés. Il s’agit pour Microsoft de mettre la puissance de son écosystème de partenaires et de clients au service du développement des startups.

Plus d’informations sur le programme Microsoft for Startups Microsoft for Startups en France | Microsoft experiences

Programme SAP 

SAP a lancé SAP.iO en 2017 pour aider les startups innovantes internes et externes à SAP à développer de nouveaux produits, trouver des clients et à impacter le marché. Cette activité du Groupe s’est déployée progressivement en France au travers d’un Fonds d’investissement (SAP.iO Fund) et d’un accélérateur de startups externes (SAP.iO Foundry Paris) et d’un incubateur de startups internes (SAP.iO Venture).

En février 2019, SAP lançait SAP.iO No Boundaries pour financer et accompagner plus de 200 startups dirigées par des femmes et issues de la diversité au cours des 5 prochaines années. Via ce programme et son partenariat avec Village by CA Paris, SAP s’engage à accompagner les startuppeuses durant leur 2 ans d’accélération au Village by CA Paris et à leur faire bénéficier de son expérience dans l’accélération de jeunes pousses au travers d’actions : de coaching individuel et collectif, de travail sur les business plans ainsi que la mise en place de Masterclasses sur des thématiques variées.

Retour sur la première année d’accélération de la promotion Femmes Entrepreneures 2019

13 startups avaient été sélectionnées pour faire partie de la promotion 2019, dont Adaptia, Les Petits Prödiges, Effency, Pandobac ou encore Levia. En un an, plusieurs d’entre elles ont augmenté leur chiffre d’affaires et recruté leurs premiers collaborateurs. Elles ont été mises en relation avec des mentors, des experts ou des investisseurs et ont pu rencontrer les collaborateurs de SAP et Microsoft.

Une volonté d’aider les femmes à entreprendre 

« Après le succès de la première édition l’année en 2020, nous sommes très heureux de lancer un nouveau comité de sélection dédié aux femmes entrepreneures avec nos partenaires Microsoft et SAP, soutenus à nouveau par les réseaux féminins. Ce comité de sélection s’inscrit dans la charte SISTA que Le Village by CA Paris a signé en octobre dernier pour plus de mixité dans les structures d’accompagnement de startups. »  déclare Fabrice Marsella, directeur du Village by CA Paris.

« Engagé depuis de nombreuses années en faveur de la féminisation du secteur du numérique, en 2021 Microsoft multiplie les actions pour promouvoir l’entrepreneuriat féminin au service d’une innovation durable. Après la création de notre prix partenaires Microsoft pour les entrepreneures rôles modèles qui aura lieu en juin, nous sommes fiers de nous associer à nouveau aux côtés de nos partenaires Village by CA Paris et SAP.IO pour la seconde édition de « Femmes Entrepreneures ». Grâce au programme Microsoft for Startups, ces entrepreneures bénéficieront d’un accompagnement sur mesure et de la puissance de notre écosystème pour se développer sur le marché. », commente Agnès Van De Walle, Directrice de l’entité Partenaires et Startups de Microsoft France.

 « SAP a à cœur de soutenir l’entreprenariat divers et inclusif, notamment au travers de son initiative SAP.iO No Boundaries. Il est de notre responsabilité d’encourager et de soutenir ceux et celles qui ont un accès plus compliqué aux financement, aux réseaux.  C’est pour cette raison que nous avons décidé de soutenir pour la 2ème année l’initiative Village by CA ‘Promotion Femmes Entrepreneures’, explique Sébastien Gibier, Directeur SAP.iO Foundry Paris.

Les dates clés à retenir :

  • 7 février 2021 : clôture de l’appel à candidatures
  • 5 mars : comité de sélection
  • Date à venir : Pitch Party de présentation des startups lauréates

Lien pour candidater : cliquez ici  

A propos du Village by CA

Fondé par le Crédit Agricole en 2014, le Village by CA est un écosystème créateur de valeur et un accélérateur de startups qui soutient des projets à fort potentiel. Le premier Village a vu le jour à Paris en 2014 et le réseau compte désormais 36 Villages partout en France (Lille, Bordeaux, Orléans, Caen, St-Brieuc, Nantes, Paris, Lyon, Toulouse…) au Luxembourg et en Italie à Milan. Le Village dispose de relais dans des villes majeures dans le monde (Londres, New York, Moscou, Shanghai, Séoul, Tokyo, Singapour…) afin d’aider les startups dans leur développement à l’international. Situé au cœur des régions, les startups de chaque Village by CA évoluent dans un écosystème d’innovation fort d’une multitude de partenaires privés et publics.

A propos de Microsoft 

Leader des plateformes et des services de productivité, Microsoft donne à chaque individu et chaque organisation les moyens de réaliser ses ambitions, dans un monde fondé sur le Cloud et la mobilité. Au cœur de l’écosystème numérique français depuis plus de 30 ans, Microsoft France, présidée par Carlo Purassanta depuis septembre 2017, rassemble plus de 1 600 collaborateurs au sein de son Campus d’Issy-les-Moulineaux, sous le signe de l’ouverture, de la créativité et de la collaboration. Avec un tissu de plus de 10 500 partenaires business, technologiques, acteurs du secteur public, chercheurs ou start-ups, acteur responsable, Microsoft France s’engage en faveur de l’égalité des chances et de l’éducation au numérique aux côtés des associations sur l’ensemble du territoire.

A propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

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Source de l’article sur sap.com

SAP.iO Foundry Paris lance un nouvel appel à candidatures pour son programme d’accélération de startups orientées agri-business. Cette 6ème promotion de l’accélérateur de startups de SAP retiendra 6 à 10 pépites tech et Agtech pour son programme de 10 semaines débutant en avril 2021. Les startups françaises mais aussi européennes peuvent candidater dès aujourd’hui jusqu’au 31 janvier 2021. Un autre appel à candidature est ouvert aux startups Greentech Françaises pour ses programmes de Berlin et Munich.

Un programme Agribusiness à Paris pour impacter durablement l’industrie agroalimentaire

Cette nouvelle promotion regroupera 6 à 10 startups innovantes souhaitant avoir un impact positif et durable dans l’industrie agroalimentaire. Les jeunes pousses seront retenues pour leurs technologies et leurs approches novatrices en matière de transition écologique. Aux côtés de cadres et mentors SAP, les startups travailleront sur plusieurs pans de l’industrie agroalimentaire tels que :

  • L’agriculture numérique et l’agriculture au travers de l’utilisation des données;
  • La mise en place des processus d’agriculture de nouvelle génération;
  • Les chaînes d’approvisionnement responsables pour l’agroalimentaire.

Les startups sélectionnées devront également répondre à plusieurs enjeux, comprendre l’univers SAP pour construire une relation business de confiance et créer une intégration technique entre leur solution et celles de SAP. Tout au long du programme, les startups pourront profiter du programme SAP PartnerEdge et rencontrer des clients de SAP.

Après deux années de succès, SAP.iO Foundry Paris se développe et ouvre ses portes à des startups européennes, tout en gardant le même objectif : dénicher les meilleures startups pour répondre au mieux aux besoins et aux attentes de la société et de l’industrie.

En raison de la situation sanitaire le programme se déroulera en mode virtuel

Candidatures : https://sap.io/startupapplication/

Un programme Greentech à Berlin et Munich ouvert aux startups françaises

Les accélérateurs de SAP.iO à Berlin et Munich sont également à la recherche de startups françaises pour son programme “Sustainable Future” qui débutera dès mars prochain. Les startups retenues devront être actives dans les domaines suivants :

  • Suivi et courtage du carbone : mesure du carbone au sein et entre les entreprises au niveau du produit pour aider à la décarbonisation. Monétisation des investissements carbone.
  • Efficacité des ressources : optimiser l’utilisation des ressources rares telles que l’eau et les actifs existants.
  • Suivi et atténuation des risques climatiques : suivi des risques dans la chaîne d’approvisionnement et les communautés. Tirez parti des données en temps réel sur la météo et les risques géopolitiques pour prévoir les perturbations de la chaîne d’approvisionnement
  • Économie circulaire : recyclage et réutilisation de ressources clés telles que les plastiques et les métaux

Candidatures : https://sap.io/startupapplication/

Avoir un impact positif sur l’environnement

Ces deux nouvelles promotions renforcent l’engagement de SAP, premier éditeur de logiciels aux derniers indices de durabilité Dow Jones, en faveur du développement durable. En décembre dernier, un baromètre* SAP et Odoxa révélait que 9 Français sur 10 se disent concernés par l’avenir de, la planète.

*Retrouvez l’intégralité du baromètre ici.

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Source de l’article sur sap.com


SAP va consacrer 5% de ses dépenses annuelles auprès d’entreprises sociales et de fournisseurs issus de la diversité d’ici 2025, l’équivalent de 60 millions de dollars par an.

SAP invite les entreprises de tout secteur à rejoindre le mouvement et à acheter davantage de biens et de services auprès de ce type d’organisations.

WALLDORF — SAP SE (NYSE : SAP) a annoncé aujourd’hui le lancement de « 5 & 5 by ’25 », une initiative dont l’objectif est de réaliser 5 % de ses dépenses auprès d’entreprises sociales et de fournisseurs issus de la diversité d’ici 2025. En fixant cet objectif, SAP souhaite montrer l’exemple et inciter les entreprises du monde entier à acheter davantage de biens et de services auprès de fournisseurs dont les actions et les valeurs ont du sens,  et ainsi de produire un impact collectif positif sur les sociétés dans lesquelles elles mènent leurs activités.

Selon la Banque mondiale, les dépenses consacrées aux achats à travers le monde en 2019 s’élevaient au minimum à 14 000 milliards de dollars. En redirigeant ne serait-ce qu’une petite partie de ces dépenses vers des entreprises sociales agréées et des fournisseurs issus de la diversité, les entreprises ont le pouvoir de s’attaquer à certains des problèmes sociaux et environnementaux les plus préoccupants à l’échelle mondiale.

D’après les premiers projets pilotes effectués sur certains marchés, SAP estime pouvoir consacrer chaque année jusqu’à 60 millions de dollars de ses dépenses mondiales adressables aux entreprises sociales et aux fournisseurs issus de la diversité d’ici 2025. Chez les sociétés de l’indice boursier DAX, ce chiffre est estimé à environ 2,5 milliards d’euros, tandis que pour les sociétés de la liste Fortune 500 aux États-Unis, les estimations s’élèvent à 25 milliards de dollars.

Membre du Conseil d’administration de SAP, à la tête de l’entité Customer Success et récemment nommée Global Buy Social Ambassador de Social Enterprise UK, Adaire Fox-Martin a annoncé l’initiative « 5 & 5 by ’25 » lors de l’événement Procurement Reimagined organisé par SAP à Singapour.

« Toutes les entreprises, dans tous les secteurs, ont besoin de réaliser des achats », a expliqué Mme Fox-Martin. « Nous avons tous besoin de savon dans nos sanitaires, de services d’aménagement pour nos bureaux, de produits alimentaires et de boissons dans nos cafétérias, de services de marketing et de fournitures de bureau. Ces produits et services, parmi tant d’autres, peuvent tous être acquis auprès d’entreprises sociales et de fournisseurs issus de la diversité. Cet argent, nous sommes de toute façon amenés à le dépenser. Pourquoi ne pas l’utiliser auprès de fournisseurs dont les actions ont également un impact sur le plan social ? »

Les entreprises sociales sont des entreprises qui, de par leur culture et leurs opérations, cherchent résolument à changer le monde. Elles sont similaires à d’autres entreprises viables sur le plan commercial, mais présentent trois différences essentielles : elles sont fondées et gouvernées sur la base d’une mission sociale ou environnementale clairement définie ; elles réinvestissent la majorité de leurs bénéfices dans cette mission ; et elles sont contrôlées selon le principe de majorité exclusivement dans l’intérêt de cette mission. Un fournisseur issu de la diversité est une entreprise détenue et exploitée à 51 % ou plus par une personne ou un groupe de personnes issue(s) d’une population traditionnellement sous-représentée ou défavorisée.

« Avec nos clients, nos partenaires, nos fournisseurs issus de la diversité et les entreprises sociales, nous nous sommes fixé pour objectif de développer les achats socialement responsables là où les infrastructures le permettent, et nous avons l’intention de mettre sur pied les infrastructures nécessaires et de renforcer les capacités partout ailleurs », a ajouté Mme Fox-Martin. « Nous invitons toutes nos parties prenantes à en apprendre davantage sur le sujet et à participer avec nous à cette initiative, mais aussi à tracer la voie et à donner l’élan pour concrétiser cette ambition et trouver une meilleure façon de se développer. »

Pour en savoir plus, consultez l’article (en anglais) « Achats socialement responsables :trouver une meilleure façon de se développer » par Adaire Fox-Martin.

À propos de l’initiative « 5 & 5 by ’25 »

L’initiative « 5 & 5 by ’25 » a été développée par SAP pour encourager les entreprises de tous les secteurs à consacrer une plus grande part de leurs dépenses adressables à des fournisseurs socialement engagés et issus de la diversité. En rejoignant cette initiative, les entreprises acceptent de formaliser leur exploration des achats socialement responsables, notamment en établissant des partenariats avec des intermédiaires de premier plan, en adoptant des politiques d’achats socialement responsables, en consommant des biens et des services auprès de fournisseurs dont les actions et les valeurs ont du sens, et en élargissant leur engagement auprès d’autres entreprises sociales et fournisseurs issus de la diversité. L’objectif est de réaliser, d’ici 2025, 5 % des dépenses annuelles d’achats adressables auprès d’entreprises sociales et de fournisseurs issus de la diversité et, ce faisant, d’avoir un impact significatif sur les inégalités sociales et les enjeux environnementaux. « 5 & 5 by ’25 » fait partie du programme One Billion Lives de SAP, qui s’attache à promouvoir une plus grande intégration de l’entrepreneuriat social dans l’économie mondiale. Pour plus d’informations, consultez la page 5 & 5 by ’25.

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Source de l’article sur sap.com

La Fondation SAP France et Enactus France ont organisé l’édition 2020 du Social’Tech Challenge. L’objectif de l’initiative est d’accompagner des projets de lycéens, étudiants et professionnels à développer leurs compétences pour innover et agir au service du plus grand nombre. Enactus France est une entreprise hybride experte de la pédagogie expérientielle et de l’engagement qui rejoint la volonté de SAP d’aider, grâce à la Tech, le monde à mieux fonctionner. Dotées de cette volonté commune, la Fondation SAP France et Enactus France lancent, en 2018, le Social’Tech Challenge, un concours visant à récompenser des projets mettant le numérique au service de la société.

L’association Enactus a pu compter sur la participation et la contribution d’une centaine de collaborateurs SAP. Ces derniers se sont portés volontaires comme mentors d’étudiants entrepreneurs sociaux, jurés du Social’Tech Challenge ou encore jurés de la compétition nationale Enactus. Les collaborateurs SAP ont ainsi sélectionné et monitoré les projets et ont également organisé la journée Boost ton projet Digital. Le 27 avril 2020, 5 projets ont été retenus par un comité de sélection :

  • Bric à Vrac « Pour que tout le monde passe au Vrac »
  • Easy Diab « Le diabète une maladie qui nous concerne tous »
  • Gesture « Vos contenus accessibles aux malentendants »
  • Ovéga « La permaculture accessible à tous »
  • Ticket App « Pourquoi ne pourrions-nous pas simplement avoir nos tickets de caisse sur notre téléphone ? »

La finale du Social’Tech Challenge s’est déroulée le 26 mai 2020 avec un jury d’exception : Caroline Garnier, directrice des ressources humaines SAP France ; Catherine Mort, conseillère cloud et innovation SAP France ; Erik Marcadé, directeur de SAP Labs Paris; et Sébastien Gibier, directeur de SAP.iO Foundry Paris.

C’est Ovéga avec son projet « La permaculture accessible à tous » qui remporte la finale et le prix de 5 000 euros. Le nom du lauréat a été annoncé lors du Festival Enactus qui s’est déroulé cette année virtuellement autour de 3 grands rendez-vous : la finale du Social’Tech Challenge, les demi-finales et la finale de la compétition nationale Enactus pour laquelle Frédéric Chauviré, DG de SAP France, a été juré.

« De nombreux collaborateurs SAP sont impliqués dans l’accompagnement de projets d’entrepreneuriat social qui sont totalement en lien avec la vision de notre Groupe. Le Social’Tech Challenge est une belle initiative que nous mettons en œuvre avec notre partenaire Enactus France, un partenaire de confiance, avec qui nous partageons les mêmes motivations quand il s’agit d’innover et d’agir au servie du plus grand nombre. » Alexandra Darras, responsable de la Fondation SAP France.

À propos de SAP

SAP est le leader du marché des applications d’entreprise : 77% des transactions financières mondiales passent par un système SAP. L’entreprise accompagne les organisations de toute taille et de tout secteur à mieux opérer. Nos technologies de machine learning, d’Internet des objets (IoT), d’analytique avancée et de gestion de l’expérience aident nos clients à transformer leur activité en « entreprise intelligente ». SAP dote les professionnels d’une vision approfondie sur leur activité et favorise la collaboration pour garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Pour les entreprises, nous simplifions la technologie afin qu’elles puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications de bout en bout et nos services permettent à plus de 440 000 clients d’opérer de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’information, visitez le site www.sap.com

Contacts presse :

Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Sylvain Drillon : 06 44 71 35 68 – presse-sap@publicisconsultants.com

SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

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Source de l’article sur sap.com

SAP annonce accompagner la prochaine promotion des DesCodeuses, association engagée au service des femmes et des territoires. Par ce partenariat SAP entend renforcer son action en faveur de l’augmentation du nombre de femmes dans le secteur de la Tech. SAP apporte son expertise et le volontariat de ses collaborateurs engagés sur l’égalité et la mixité.

Depuis sa création en 2017, l’association DesCodeuses a pour mission d’informer, sensibiliser et de développer le pouvoir d’agir des femmes des quartiers prioritaires en les outillant, en les formant et en les accompagnant vers les métiers du numérique.

Depuis 2019, l’association a créé sa propre formation de développeuse / conceptrice permettant à des femmes de développer des compétences techniques, métiers et la confiance en soi. Après le succès de la première promotion, les DesCodeuses continue son aventure cette année avec SAP comme parrain de sa promotion « Katherine Johnson », physicienne, mathématicienne et ingénieure spatiale.

« Avec ce partenariat, l’association profitera de l’expérience et de l’expertise d’un des leaders mondiaux de la tech pour accompagner et mentorer nos étudiantes. SAP et les DesCodeuses ont cet ADN commun avec une culture de la mixité et du développement des femmes dans le monde de l’IT. Les parcours exemplaires de femmes chez SAP seront inspirants pour nos candidates de la promotion Katherine », explique Souad Boutegrabet, CEO et fondatrice des DesCodeuses

Membre du comité de sélection des futurs candidates, SAP accompagnera également l’association au travers de :

  • Mécénat de compétences : les collaborateurs de SAP partageront leurs connaissances du milieu de la tech et accompagneront les femmes de la promotion. Au programme : des ateliers de Design Thinking, des cafés virtuels, des session tech et des simulations d’entretiens d’emploi.
  • « Women role model » : les talents féminins de SAP témoigneront sur leur parcours, métier et challenges. Une occasion unique d’appréhender le monde de l’entreprise et celui de la tech sous le prisme féminin et découvrir les multiples enjeux technologiques des organisations : ressources humaines, ventes, IA…
  • Hackathon : Pour stimuler les étudiantes à élaborer un projet tech ambitieux, SAP et les DesCodeuses organiseront pour la première fois un hackathon.

Ces sessions et activités font écho avec les différentes actions et objectifs que s’est déjà fixés SAP sur son engagement pour la mixité au sein de son entreprise.

« Être le parrain d’une promotion des DesCodeuses, entièrement composée de femmes est un message fort et encourageant dans notre combat pour la mixité au sein de SAP. Je suis ravi que les collaborateurs SAP soient si engagés, volontaires et motivés pour accompagner ces talents au féminin qui, peut-être, se retrouveront un jour dans le bureau d’à côté. L’ensemble de nos actions menées avec les DesCodeuses permettront de mettre en lumière l’expertise et le savoir-faire nécessaires pour travailler dans une entreprise du monde du numérique » explique Erik Marcadé, directeur R&D de SAP France

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Source de l’article sur sap.com