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Les apports de l’industrie 4.0 permettent de rendre les entreprises plus agiles, et aptes à répondre aux enjeux d’hyperpersonnalisation des produits, ainsi qu’aux aléas, économiques, sanitaires ou climatiques.

L’industrie doit faire face aujourd’hui à deux défis clés :

  • L’hyperpersonnalisation des offres induite par la montée de l’économie d’expérience, qui pousse les entreprises à aller de la mass production vers la mass customization.
  • La multiplication des changements brusques dans les habitudes de consommation, provoquée par des crises sanitaires, économiques et bientôt climatiques.

L’industrie 4.0 entend répondre à cette double problématique en rendant la production plus agile. Basiquement, l’industrie 4.0, c’est la transformation numérique appliquée au monde de l’industrie, avec une digitalisation des processus de production. Digitalisation qui doit s’accompagner d’une collecte et circulation des données assurée en temps réel entre les sites de production et le SI de l’entreprise.

De la nécessité de disposer d’un socle solide

Des processus standards et une plate-forme robuste sont nécessaires. « Notre partenariat avec SAP remonte à 2007, lors du déploiement de l’ERP qui sert maintenant de socle à notre stratégie Industrie 4.0. Les notions de socle et de standardisation des processus sont très importantes, » témoigne Damien Régnier, Digital & Shopfloor Operation chez Faurecia.

Attention toutefois à ne pas faire de la standardisation des processus un facteur de réduction de la flexibilité. « Il y a un écart entre le monde de l’ERP et le « shop floor ». L’un a besoin de processus standardisés alors que l’autre demande un certain niveau de flexibilité. » C’est donc un équilibre entre agilité et efficacité qu’il faudra savoir trouver.

Tout n’est d’ailleurs pas forcément bon à digitaliser sur la chaîne de production. « Il faut partir du « pain point » pour trouver des sources de gain, du ROI. Cibler les bons processus avec les bonnes technologies, » analyse François-Xavier de Thieulloy, expert Industrie du Futur à la Direction de l’accompagnement chez Bpifrance.

Le MES, primordial sur les chaînes de production

« L’introduction d’un MES (Manufacturing Execution System, logiciel de pilotage de la production) a été une étape importante dans la digitalisation de nos processus de production », explique Alexandre Sizaret, responsable Production System Efficiency chez Airbus. « Notre MES, sur base SAP ME, est aujourd’hui déployé dans 280 stations de production à travers l’Europe et utilisé quotidiennement par 5000 collaborateurs. »

Un MES permet de faire remonter les données de production en temps réel, mais également de faire redescendre alertes, informations et décisions auprès des opérateurs. Alexandre Sizaret alerte toutefois sur les dangers d’une digitalisation à outrance des processus. « À vouloir trop enrichir le MES, nous avons fini par perdre des utilisateurs. Nous avons alors pris du recul pour retravailler l’expérience utilisateur, en partenariat avec les opérateurs et les chefs d’équipe. »

« La co-construction de la solution reste primordiale, confirme François-Xavier de Thieulloy. Il faut écouter les acteurs de terrain afin de pouvoir les embarquer dans le projet. »

Les règles d’une digitalisation réussie

Nous l’avons vu, pour disposer de données de qualité et en quantité suffisante, il faut tout d’abord disposer de fondamentaux solides, comme un ERP. Mais aussi un MES, pour descendre au plus près de la chaîne de production, ainsi que des technologies comme l’IoT qui vont faciliter la capture de données.

Il faut également savoir traiter ces données qui vont aider à la prise de décision (data to action) ou piloter directement des processus (data driven process). Des informations doivent également redescendre afin de faciliter le travail de l’opérateur. L’opérateur augmenté est un des atouts clés de l’Industrie 4.0.

Enfin, lorsque le volume de données devient suffisant, des techniques de Machine Learning et d’Intelligence Artificielle pourront être utilisées afin d’anticiper les aléas et d’améliorer la production ainsi que la maintenance des équipements.

Tout ceci nécessite toutefois un SI solide et complexe, qui n’est pas toujours à la portée des petites entreprises. « Les PME industrielles ont besoin de solutions très packagées, proposant un ROI rapide », confirme François-Xavier de Thieulloy.

D’autres défis à ne pas négliger

Alexandre Sizaret insiste par ailleurs sur la nécessité d’assurer une continuité digitale : « La data doit aller de l’ingénierie jusqu’à la production et vice versa. Savoir capter ce qui se passe sur le terrain permettra d’alimenter des jumeaux numériques avec précision. »

Damien Régnier milite pour sa part en faveur de solutions hybrides : « Il faut trouver le bon équilibre entre du tout cloud et du tout local, du tout standard et du tout spécifique, mais aussi du tout agile et du tout efficace. »

Enfin, François-Xavier de Thieulloy, alerte sur le besoin d’accélérer le rythme de transformation : « Nous aimerions passer rapidement de quelques dizaines d’entreprises qui franchissent le pas chaque année vers l’Industrie du Futur à quelques centaines. »


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Les innovations technologiques permettent à l’industrie européenne de relever de nouveaux défis, dont la relocalisation de la production et la maîtrise de l’empreinte environnementale. Place à la quatrième révolution industrielle !

Les trois grandes révolutions industrielles sont toutes liées à des innovations majeures :

  • 1re révolution industrielle, le passage de l’artisanal au mécanisé, grâce à la vapeur.
  • 2e révolution industrielle, une production de masse standardisée, grâce à l’électricité.
  • 3e révolution industrielle, la flexibilité des automates programmables, grâce au numérique.

L’Industrie 4.0 s’appuie non pas sur une innovation de rupture, mais sur un package d’innovations : robotique avancée, Machine to Machine, IoT, réseaux 5G, impression 3D, jumeaux numériques, Blockchain pour la traçabilité, mais aussi Machine Learning et Intelligence Artificielle.

Au cœur de cette révolution se trouve la data. Plus précisément la capacité à collecter toutes les données de l’usine, puis à les faire remonter, généralement dans le cloud, avant de les traiter, en mode big data, puis enfin de transformer ces données en décisions, le data to action.

Lancé en 2011 par un ensemble d’acteurs, dont SAP, le concept d’Industrie 4.0 offre l’agilité et la résilience nécessaires pour répondre aux exigences de l’économie d’expérience et aux aléas, devenus hélas de plus en plus fréquents. Il permet également de basculer d’un modèle de production de masse, initié avec la seconde révolution industrielle, vers une stratégie de personnalisation de masse, répondant mieux aux besoins des consommateurs actuels.

Le moment est venu pour l’Industrie 4.0

Si certaines technologies de l’Industrie 4.0 existent parfois depuis des années, une conjonction de facteurs permet aujourd’hui de les combiner et de les démocratiser. « L’Industrie 4.0 entre en production, car son ROI est fort, explique Aymeric de Pontbriand, CEO de Scortex. Les nouvelles technologies deviennent en effet suffisamment abordables pour que l’équation économique prenne du sens aux yeux des industriels. Mais le vrai challenge reste celui des compétences nécessaires au déploiement en masse de ces nouvelles technologies. »

« Aujourd’hui, nous avons de la donnée et les technologies sont matures, poursuit Erwin Guizouarn, président d’Evolution Energie. Se pose la question du passage à l’échelle. Les industriels veulent pouvoir rapidement déployer ces technologies, en masse. Il y a un vrai challenge sur la fourniture de plates-formes personnalisables, robustes et sécurisées. Les données sont là. Les infrastructures et applicatifs sont en train d’arriver. »

Le moment est venu de relocaliser la production

L’hyperpersonnalisation des produits est une chance pour l’Europe, car elle se traduit par une relocalisation des usines. Difficile en effet de faire parvenir dans un temps raisonnable un produit personnalisé à un client, s’il doit traverser la moitié de la planète dans un conteneur.

Cette nouvelle industrie ne sera toutefois pas celle d’hier, ne fabriquera pas les mêmes produits et ne fera pas travailler les mêmes types de profils. Elle est plus technique, mais aussi plus affûtée et mieux optimisée. Elle se veut également plus vertueuse d’un point de vue écologique.

« La relocalisation de la production est une opportunité fantastique pour l’Europe, confirme Aymeric de Pontbriand. Cela se traduira par de l’emploi, souvent dans des régions désertées. Tout en repartant sur de nouvelles bases, avec une production moderne et soucieuse de son impact environnemental. » Erwin Guizouarn confirme cette tendance verte : « Les grands industriels français se sont engagés à devenir neutres en carbone d’ici 5 à 10 ans. Il y a un vrai mouvement en France pour aller vers des énergies propres et une production décarbonée. Industrie 4.0 et transition énergétique sont non seulement conciliables, mais souhaitables. »

Scortex et Evolution Energie montrent la voie

Les industriels veulent pouvoir disposer de solutions de type Industrie 4.0 clés en main, au ROI immédiat. Evolution Energie se concentre sur l’exploitation des données liées à l’énergie et son utilisation, avec comme objectif une maîtrise de ces coûts, qui peuvent représenter jusqu’à 80 % des dépenses de certains industriels. Scortex numérise pour sa part le contrôle qualité au travers de techniques d’Intelligence Artificielle. Le contrôle qualité manuel par inspection visuelle est en effet une tâche ingrate, qui peut représenter de 20 % à 30 % des dépenses d’un industriel.

Grâce à ce type de solutions ciblées, les industries peuvent basculer par étapes vers le 4.0. Mais certains enjeux restent plus globaux. « Le traitement massif de la donnée permet de passer par exemple à du vrai temps réel, ou de mettre en place une gestion globale de la production au niveau d’un groupe entier », illustre Erwin Guizouarn.

« Lors du passage à l’Industrie 4.0, il faut toutefois faire attention à ne pas laisser des sous-traitants sur le bord de la route, prévient Aymeric de Pontbriand. L’Industrie 4.0 va s’accompagner d’un véritable enjeu d’homogénéisation de la Supply Chain. »


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Levallois-Perret, le 23 novembre 2020 – SAP France annonce accompagner Team Vitality dans sa digitalisation. Le leader européen de l’esport s’appuie sur les solutions de SAP pour accélérer son développement à l’échelle internationale.

Quand Big Data rime avec esport

Le milieu du sport peut être considéré comme un système complexe où interagissent de nombreux acteurs comme les sportifs, les sponsors, les entraîneurs ou encore les fans. Les objectifs d’un club consistent à la fois à augmenter les performances de ses équipes mais également assurer une rentabilité financière sur le long terme dans un environnement de plus en plus concurrentiel. Ce modèle se vérifie dans des sports très médiatisés et aux forts enjeux business comme dans le football, le basketball, le tennis, etc, mais se confirme aussi dans l’esport dont la croissance et l’attractivité ne font désormais plus aucun doute.

En tant que partenaire d’innovation et d’analyse de données d’organisations sportives professionnelles telles que la NBA, la WTA, Team Liquid et le FC Bayern, SAP intensifie la portée de son offre ERP dans l’esport. Outre la gestion de la performance des joueurs, SAP cherche également à impliquer les fans avec ses technologies innovantes. Intégrant des outils de gestion financière et aussi d’engagement marketing, SAP renforce la compétitivité des équipes esport en accélérant leur transformation numérique. Et pourquoi pas demain s’orienter dans la voie de l’ »Athlète Digital » ?

C’est dans ce contexte que la collaboration est née avec Team Vitality.

Team Vitality, un développement fulgurant

Fondé en 2013, Team Vitality est le plus important représentant français sur la scène internationale de l’esport. Comme dans le sport traditionnel, l’équipe est aujourd’hui devenue une marque à part entière avec plusieurs millions de fans. Avec le temps, Team Vitality a développé un marketing avancé et créé d’importants partenariats avec de grandes marques internationales. Team Vitality, c’est désormais toute une gamme de merchandising qui va des maillots officiels aux accessoires high-tech, en passant par une ligne de vêtements. Son business model s’appuie sur la vente en ligne mais aussi sur des points de vente et des espaces de rencontre avec ses fans qu’il compte décliner dans plusieurs grandes villes en France et en Europe. L’entreprise emploie aujourd’hui une cinquantaine de personnes.

SAP pour structurer sa croissance financière et rassurer ses investisseurs

Pour booster sa croissance, Team Vitality enchaîne les levées de fonds depuis plusieurs années. La marque mise également sur le meilleur des technologies pour gérer efficacement sa croissance, sur SAP pour l’accompagner dans le pilotage financier de son activité et sur APSIA pour l’assister dans cette transformation digitale. Team Vitality s’appuie sur 3 solutions clés de SAP :

  • SAP Business By Design, ERP basé sur le cloud pour optimiser la gestion de la finance, des achats et des stocks.
  • SAP Cloud Platform, plateforme d’intégration et d’extension pour faciliter les échanges avec l’écosystème de l’entreprise.
  • SAP Analytics Cloud, une solution d’analyse augmentée multi-source pour optimiser et accélérer la prise de décision. 

Un pilotage de l’activité facilité

L’utilisation des trois solutions SAP permet à Team Vitality d’optimiser l’ensemble de ses processus. Plus précisément, cinq aspects de la gestion de l’entreprise sont impactés :

  • Un suivi facilité d’éléments clés dans les contrats de partenariats et les contrats fournisseurs.
  • Une gestion des données améliorée : un meilleur tracé des flux grâce à une source d’information unique et fiable permettant ainsi de répondre facilement aux différentes contraintes contractuelles et légales (audit des comptes, RGPD, etc.).
  • L’automatisation de certaines tâches telles que le paiement de certains fournisseurs ou la comptabilisation de certains flux récurrents permettant ainsi un gain de temps considérable.
  • Une meilleure connaissance des flux financiers de l’entreprise dans un contexte de forte croissance du nombre de flux et de développement régulier de nouvelles activités.

« Nous avons plusieurs business models en un : nous faisons de la vente retail via notre site Internet, nous élaborons des contrats marketing avec différentes marques et nous générons également du contenu. Il était donc nécessaire d’avoir plusieurs outils regroupés en une seule interface facile d’accès pour pouvoir gérer l’ensemble de ces activités », explique Sonia Manueco, CFO chez Team Vitality.

Une collaboration sur le long terme

A terme, Team Vitality souhaite pousser encore plus loin l’utilisation des solutions SAP pour ainsi impacter toutes les branches de l’entreprise et l’accompagner dans son développement à l’international. Team Vitality envisage ainsi pour le quatrième trimestre 2020, une interconnexion entre le webshop et les différents flux de l’entreprise permettant d’améliorer la qualité de suivi et d’amélioration des commandes.

« Grâce à SAP, nous avons tous les composants pour aller encore plus loin : nous souhaitons nous améliorer davantage sur le volet opérationnel via l’automatisation de l’ensemble de nos process légaux, qualités ou encore logistiques. L’objectif à long terme est également d’exploiter l’ensemble des datas que nous récupérons sur nos plateformes comme Twitch et Twitter pour pouvoir faire le lien entre les interactions avec nos fans et les achats sur notre webshop », conclut Franck Boniface, COO chez Team Vitality.

 

Contact presse Team Vitality

Valérie Duthey et Maéva Corbel, Le Public Système PR – vitalityrp@lepublicsysteme.fr

Contacts presse SAP
Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Pauline Barriere : 06.13.73.93.11 – presse-sap@publicisconsultants.com

 

 

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La transparence numérique transforme les décisions des clients (autrefois considérées comme des choix personnels ou esthétiques) en choix moraux.

L’essor des décisions d’achat morales

Avant, les clients prenaient des décisions en fonction de critères comme la qualité et l’utilité. Aujourd’hui, ils se basent de plus en plus sur les valeurs et actions de l’entreprise.

Considérons cela comme l’essor des décisions d’achat morales.

Les réseaux sociaux et plateformes numériques permettent aux entreprises de savoir de manière rapide et transparente ce qui importe le plus aux clients. Les nouvelles tendances mode, par exemple, se propagent à travers le monde en seulement quelques heures, et non plusieurs jours ou semaines. Les réseaux sociaux aident aussi les clients à interagir facilement les uns avec les autres, où qu’ils soient dans le monde, du moment qu’ils partagent les mêmes croyances et idéologies.

Les plateformes technologiques ont donné naissance à une prise de conscience mondiale sur des problématiques internationales comme le changement climatique, la violence et les droits de l’Homme. Parallèlement, les réseaux sociaux et technologies numériques offrent une transparence toujours plus grande sur les opérations des entreprises, permettant ainsi aux clients de se renseigner plus facilement sur leurs valeurs. Les clients se tournent ensuite vers les marques et produits qui incarnent leurs valeurs.

Accroître la transparence numérique aide les clients à évaluer les valeurs des entreprises à travers trois grandes catégories :

Les valeurs esthétiques

Elles influencent le plaisir et le mécontentement que nous procurent différentes choses comme la musique, la mode et le design. Les plateformes sociales diffusent les choix esthétiques des gens plus loin et plus vite, ce qui accélère comme jamais les tendances en matière d’esthétique.

Les valeurs personnelles

Elles déterminent les sentiments relatifs à la santé, au mode de vie et aux relations. Les clients s’attendent à ce que les entreprises adaptent leurs produits à leurs valeurs personnelles, d’autant que la personnalisation est de plus en plus facile.

Les valeurs morales

Comme l’honnêteté, l’équité et la compassion. Elles définissent ce que les individus pensent être bon ou mauvais. L’alignement des marques sur les valeurs morales joue un rôle de plus en plus important dans les décisions des clients.

***

Les plateformes sociales sensibilisent davantage aux défis humains à travers le monde, tels que l’accès à la nourriture et à l’eau, le changement climatique et la violence. Cette prise de conscience donne plus de poids aux valeurs morales dans les décisions des clients. Par exemple, si l’on choisissait avant nos chaussures pour des raisons esthétiques, aujourd’hui, nous entendons davantage mettre fin au travail forcé et marquer une différence.

La transparence incite les entreprises à prendre position. Les clients réalisent que, grâce à leur pouvoir d’achat, ils peuvent inciter les entreprises (voir « Des marchés aux communautés ») à soutenir clairement les valeurs qui leur tiennent à cœur. Les deux tiers des consommateurs affirment qu’ils soutiendront les entreprises qui, selon eux, font une différence positive dans la société (1). Et un nombre croissant de consommateurs condamnent les entreprises dont ils ne partagent pas les valeurs –(2). Il ne fait aucun doute que, pour les entreprises, les enjeux sont énormes et ne cessent de croître.

Pour aligner votre entreprise sur les décisions d’achat morales :

Comprenez les valeurs morales du marché

Les entreprises doivent intégrer en profondeur les valeurs morales de leur marché cible dans la conception de leurs produits et fournir aux clients des moyens de partager ces valeurs en faisant des déclarations. Mettez en avant et exprimez vos valeurs à chaque étape de l’expérience, de l’emballage ou des matériaux indiquant l’origine du produit, jusqu’aux scorecards numériques reflétant l’engagement de l’entreprise à l’égard de causes majeures.

Appliquez les valeurs morales à toute l’entreprise

Les clients savent si les entreprises sont sincères. Tirez parti des technologies émergentes pour assurer la transparence sur les sources d’approvisionnement, les conditions de travail, l’impact environnemental et la gérance adaptée des communautés locales. Par exemple, la blockchain peut aider à garantir la conformité au sein des réseaux de fournisseurs.

Prenez position ensemble

Revendiquez des positions claires et publiques sur des questions qui préoccupent collaborateurs et clients. Élaborez des programmes qui encouragent les partenariats sur une mission commune, et utilisez des plateformes numériques pour accroître l’impact. Par exemple, les compteurs intelligents des services publics entendent aider les clients à économiser l’énergie. Les programmes de type « Buy one, give one » intègrent le partenariat directement dans la transaction.

Faites de vos clients de vrais héros

Communiquez le succès en mettant l’accent sur l’impact produit par les clients et sur le rôle de soutien de votre entreprise. Développez des plateformes qui permettent aux clients de voir directement leur impact. Par exemple, les capteurs IoT sont capables de surveiller l’utilisation d’un produit de sorte que les clients puissent partager leurs accomplissements sur les réseaux sociaux.

Publié en anglais sur insights.sap.com


Références :

(1) Raphael Bemporad, « Brand Purpose in Divided Times » (La mission d’une marque en ces temps incertains), BBMG, 5 octobre 2017, http://bbmg.com/brand-purpose-in-divided-times/.

(2) Britta Wyss Bisang, « Five Key Sustainability Trends for 2018 » (Cinq grandes tendances en matière de développement durable pour 2018), Ethical Corporation, 12 mars 2018, http://www.ethicalcorp.com /five-key-sustainability-trends-2018.

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Levallois-Perret, le 5 novembre 2020 – SAP France, 5ème filiale du Groupe SAP, leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nomme Stéphanie Perchet au poste de Directrice des Opérations. Membre du Comité de direction, Stéphanie Perchet a pour mission principale de renforcer l’organisation des opérations et d’optimiser les processus de l’entreprise pour répondre aux enjeux de SAP France liés au développement de son Business sur le Cloud, à l’adoption de sa solution phare S/4HANA par le marché français et à l’accompagnement des entreprises sur leurs priorités économiques et environnementales.

Pour se faire, l’expérience client, l’excellence opérationnelle et l’accélération de la dynamique sur les thématiques « Future of Work »,  « Business for Good » et « Data et Culture » sont au cœur de sa stratégie.

Stéphanie, 41 ans, est titulaire d’un Master en relations internationales de l’Université Panthéon Sorbonne. Elle a rejoint SAP en 2004 et a occupé différents rôles à un niveau régional EMEA et global avant d’être nommée directrice des opérations.  Elle a notamment déployé le programme de business indirect avec l’écosystème Partenaires, a contribué au développement de l’organisation Commercial Sales à Barcelone et a collaboré avec le bureau du président EMEA. Ces différentes expériences lui confèrent une parfaite connaissance de l’organisation et de ses processus internes ainsi que des problématiques clients, de véritables points forts dans son nouveau rôle.

« Le succès client est une priorité absolue. Au cours des derniers mois, nous avons fait évoluer notre organisation et revu le parcours client pour répondre à la demande d’un accompagnement encore plus personnalisé pour, ensemble, créer encore plus de valeur. Stéphanie Perchet joue un rôle clé dans le développement de cette expérience client et dans la mise en place de notre stratégie visant à accompagner nos clients dans l’élargissement de leur revenu, le suivi de leur profitabilité mais aussi autour de sujets liés à l’attractivité de leurs talents et à l’amélioration de leur impact social et environnemental » explique Frédéric Chauviré, Directeur Général de SAP France.

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Dans le cadre de son plan A2P 2020, Agromousquetaires a créé une société dédiée à la logistique. AgroM Transport s’appuie sur SAP TM 9.5 pour assurer la planification et l’exécution des opérations de transport. Une solution mise en place par itelligence.

Agromousquetaires est le pôle agroalimentaire du groupe Mousquetaires. Avec 4,03 milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel, 11.000 collaborateurs, 19.700 partenaires agricoles, 62 usines en France et 10 filières, Agromousquetaires est un poids lourd du secteur. La société est en effet le leader français des marques de distributeur, mais aussi le 4e groupe agroalimentaire et le 1er armateur de pêche de l’Hexagone.

Dans le cadre de son plan Agro Performance Plus 2020 (A2P 2020), Agromousquetaires souhaite réduire ses coûts de production au travers de l’innovation. La société passe d’un réseau de PME à une logique de filière, plus efficace. L’un des volets de ce plan prévoit la mise en place d’un pôle logistique dédié.

Le choix de SAP TM et itelligence

En avril 2017, Agromousquetaires a décidé de transférer l’activité logistique de ses filières bœuf et porc vers une nouvelle société, AgroM Transport. Avec comme date butoir le premier janvier 2019.

L’utilisation de SAP Transportation Management (SAP TM) est rapidement apparue comme une évidence pour le groupe. Car le SI d’AgroM Transport mise sur d’autres solutions SAP pour la comptabilité, la finance, le contrôle de gestion et les achats non marchands. Le choix de SAP TM va donc dans le sens d’une cohérence du SI de la nouvelle entreprise.

L’intégrateur itelligence a été choisi pour sa taille rassurante (plus de 7900 consultants présents dans 27 pays) et sa connaissance étendue des solutions SAP (activité 100 % SAP et 30 ans d’expertise). Il a su également convaincre avec sa méthodologie pragmatique, consistant à proposer une solution fonctionnelle le plus tôt possible. Les utilisateurs ont ainsi pu faire remonter leurs recommandations rapidement, l’objectif étant de bâtir une offre de transport moderne : cartographie, diagrammes de Gantt, échanges informatisés avec les partenaires transporteurs, suivi des camions, etc.

Un planning serré

Le projet a démarré en septembre 2017, le pilote devant impérativement être achevé un an plus tard, pour une mise en production le premier janvier 2019. Dans la pratique, le prototype de la solution SAP TM 9.5 a été mis en fonction en mai 2018, avec une phase de stabilisation se terminant en septembre 2018, puis un déploiement progressif jusqu’à la fin de l’année. SAP TM se charge de la planification et de l’exécution des opérations de transport, la gestion des données de base (fournisseurs, clients, articles…) et de la facturation étant prise en charge par S/4HANA Finance.

Le premier janvier 2019, la société AgroM Transport a été lancée avec 331 collaborateurs transférés, 331 cartes grises, 135 transporteurs partenaires, 17 sites gérés et 12 entrepôts frigorifiques. 130.000 ordres de fret sont prévus sur l’année, pour un chiffre d’affaires estimé à 72 millions d’euros. Une grosse volumétrie que SAP TM a su prendre en charge.

Une deuxième phase déjà démarrée

Les enjeux sont atteints à 100 % sur de nombreux critères :

  • mise en place d’un plan de transport efficace ;
  • optimisation du réseau de transport ;
  • exploitation centralisée ;
  • cartographie, GIS et diagrammes de Gantt ;
  • communication avec les partenaires par voie électronique ;
  • intégration avec l’ERP SAP…

Le tout pour un budget maitrisé.

À ce jour, Agromousquetaires n’a migré que deux de ses filières vers la nouvelle société. Une seconde phase programmée sur deux ans est toutefois annoncée. À terme, le choix de SAP TM permettra également de faire remonter des informations vers les outils de Business Intelligence (BI) d’Agromousquetaires.

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Sur un marché devenu très volatile, la planification de la supply chain devient de plus en plus difficile. Des technologies prédictives s’appuyant sur des données internes et externes, ainsi que des jumeaux numériques permettront d’affiner les prévisions.

La supply chain doit s’adapter pour faire face aux défis d’agilité et de résilience du marché. « La supply chain est un domaine en pleine évolution, avec des sujets comme la data, la robotique, l’IoT ou l’intelligence artificielle », confirme Manuel Davy, Fondateur et CEO de VEKIA.

Quels sont les enjeux de la supply chain ?

  1. Satisfaire les clients.
  2. Réduire les stocks.
  3. Maîtriser les coûts opérationnels.

Mais sur un marché devenu très volatile, où les clients exigent de plus en plus une livraison à J+1, les choses peuvent rapidement se compliquer. « La supply chain c’est extrêmement simple : il suffit d’avoir le bon stock au bon endroit au bon moment : fois des centaines de milliers de point de gestion ou de points de stockage, fois des millions de références, et avec beaucoup d’incertitudes. »

L’une des clés du succès réside dans la prise en compte de ces incertitudes. Mais également dans la capacité à accompagner le client dans ses changements de mode de consommation. Pendant le confinement, ce sont les entreprises capables d’adresser les clients par des canaux numériques, comme l’e-commerce, qui ont tiré leur épingle du jeu. L’omnicanalité s’est imposée alors comme un facteur de résilience.

La prédiction est au cœur de la supply chain

« La planification est partout dans la supply chain, poursuit Manuel Davy. Les technologies les plus avancées sont en mesure de prévoir finement la demande des consommateurs, ce qui permet en remontant dans la supply chain d’anticiper toutes les opérations. »

L’amélioration des prévisions peut suivre deux voies : voir plus loin, grâce à une puissance de calcul accrue ; être plus fin, au travers de l’analyse de plus de données. Le fait de prendre en compte les données d’expérience (comme le ressenti des consommateurs vis-à-vis des produits ou de la marque) permettra par exemple de mieux satisfaire les clients.

Être capable d’agréger des données endogènes et exogènes (météo, réseaux sociaux…) est donc un facteur clé pour améliorer les processus de prédiction et de planification. Par ailleurs, il est primordial de savoir faire circuler les données internes et de les enrichir. Par exemple en disposant d’une vision en temps réel du stock, assurée par de l’IoT.

Autre voie d’amélioration, la mise en place d’un jumeau numérique de la supply chain, permettant de tester des scénarios de type what-if, afin de gagner en agilité ou en résilience. Ou tout simplement pour évaluer l’impact du lancement d’un nouveau produit.

Savoir passer du plan à l’action

Il est essentiel que le prédictif influe directement sur les opérations de l’entreprise (data to action), tout en n’écartant pas l’humain du processus de décision. « La planification reste un sujet humain. Il ne faut pas écarter l’humain, qui est le pilote et aura le dernier mot, car lui seul sait appréhender des situations très incertaines, comme celles que nous avons rencontrées récemment, explique Manuel Davy. Mais nous pouvons donner à l’humain des moyens d’être plus efficace : des algorithmes, des données, de la puissance de calcul. »

La transformation de la supply chain est un sujet riche et passionnant. Mais aussi global, comme le souligne le CEO de VEKIA : « quand on commence à transformer une supply chain, cela entraîne l’ensemble de l’entreprise vers l’industrie 4.0. ». L’occasion peut-être d’évaluer de nouvelles stratégies de supply chain management, comme le DDMRP (Demand Driven MRP), qui s’appuie non plus sur des prévisions, mais sur la demande réelle.

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La Branche Service-Courrier-Colis (BSCC) du Groupe La Poste s’appuie avec succès sur les solutions SAP BW /4HANA et SAP BI Suite pour répondre aux nouveaux enjeux du marché et réduire son Time To Market. Avec la volonté d’être davantage au service des métiers pour améliorer le service client, cette collaboration s’inscrit dans la transformation numérique de l’activité historique du Groupe La Poste. Cette dernière s’installe et se développe sur de nouveaux secteurs avec la volonté de simplifier la vie de tous et de chacun.

Les technologies SAP pour augmenter la qualité de service IT et client

Le projet, lancé en 2017 avec SAP BW/4HANA, est né de la nécessité de la BSCC de désiloter son organisation en place où chaque business unit était responsable du développement et du choix de ses outils BI. Le projet s’est alors bâti sur 3 grands enjeux :

  • Rationaliser, consolider et gérer l’obsolescence afin de converger vers une solution unique ;
  • Répondre aux enjeux métiers via un reporting opérationnel en temps réel et accélérer le Time To Market dans les projets ;
  • Avoir une vision 360 du cycle de vie de chaque produit passant par les chaînes logistiques de l’entreprise.

Depuis la mise en place des solutions SAP en 2017, la BSCC a uniformisé sa BI avec des outils clés en main pour les collaborateurs opérationnels (20 000 personnes). Tout est désormais centralisé et disponible quasiment instantanément pour être davantage au service des métiers et améliorer le service client.

Les 3 000 directeurs d’établissements sont depuis capables de mieux piloter leur activité, d’être plus réactifs mais aussi plus proactifs grâce à la fiabilité du SI. Enfin, cette nouvelle organisation apporte également une réelle amélioration de l’expérience client final permettant à la BSCC de faire des gains financiers significatifs.

Des coûts de run divisés par 6 et des gains financiers importants sur la partie TMS

La mise en place de SAP BW 4/HANA a permis le déploiement de cartographies mixant data source et volume d’informations, grâce à une plateforme permettant d’absorber de grosses volumétries de données. L’ensemble de ce projet a été mené en mode agile, la méthodologie S@fe ayant été déployée à l’échelle de la BSCC, pour permettre une meilleure flexibilité d’intégration et une meilleure coordination de travail entre les équipes.

Plusieurs projets ont pu voir le jour tel que le projet Osram, permettant de mesurer, analyser, piloter le raccordement qui est au cœur de la supply chain. La dernière version déployée permet d’ores et déjà de simuler la transformation de son réseau industriel qui est un enjeu majeur de la Poste pour améliorer la performance client. Ce projet offre une vision bout en bout de la collecte au dernier geste de distribution, ce qui est totalement disruptif et novateur par rapport au pilotage fait jusqu’à présent.

Enfin, la BSCC a pu améliorer son taux de satisfaction client, en mettant les indicateurs utiles à disposition des collaborateurs suite au déploiement de rampe de flashage permettant de suivre les contenants. L’analyse des fausses directions, une vision factuelle (et non plus déclarée) de l’exécution de ce qui a été planifié dans le contrat de service entre établissement et une meilleure connaissance des flux logistique contribuent à l’optimisation des niveaux de tri.

Eric Brun, Responsable du Socle Connaissance 360, explique : “Depuis la mise en place généralisée des outils SAP, notre coût de run a été divisé par six pour la partie back-end, tout en améliorant le time to market. La solution est fiable, simple et claire, permettant aux équipes de réagir rapidement en cas de problème. Sur le volet transports, l’ensemble du Transport Management System a été repensé pour offrir un outil intuitif permettant de connaître la moindre anomalie ou retard et optimiser le taux de remplissage de chaque camion. Le reporting Atlas Handling permet quant à lui une gestion plus performante et prédictive de notre conteneurisation.  Les gains financiers sont extrêmement importants pour le métier et coté IT le TCO de notre back end divisé par 6 »

De nombreux projets communs à venir

« Nous sortons gagnants de la collaboration avec SAP qui nous apporte un vrai support sur nos enjeux court, moyen et long terme. Les équipes SAP nous nous ont réellement permis d’accélérer notre transformation. Nous travaillons sur une roadmap long terme à 3 ans qui inclut le déploiement d’HANA Enterprise en novembre prochain pour gérer les forts volumes dès janvier 2021 et l’accélération avec SAP Analytics Cloud pour faire du reporting massif et développer de nouveaux cas d’usages autour de la mobilité  », conclut Eric Brun.

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

 

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Source de l’article sur sap.com


SAP va consacrer 5% de ses dépenses annuelles auprès d’entreprises sociales et de fournisseurs issus de la diversité d’ici 2025, l’équivalent de 60 millions de dollars par an.

SAP invite les entreprises de tout secteur à rejoindre le mouvement et à acheter davantage de biens et de services auprès de ce type d’organisations.

WALLDORF — SAP SE (NYSE : SAP) a annoncé aujourd’hui le lancement de « 5 & 5 by ’25 », une initiative dont l’objectif est de réaliser 5 % de ses dépenses auprès d’entreprises sociales et de fournisseurs issus de la diversité d’ici 2025. En fixant cet objectif, SAP souhaite montrer l’exemple et inciter les entreprises du monde entier à acheter davantage de biens et de services auprès de fournisseurs dont les actions et les valeurs ont du sens,  et ainsi de produire un impact collectif positif sur les sociétés dans lesquelles elles mènent leurs activités.

Selon la Banque mondiale, les dépenses consacrées aux achats à travers le monde en 2019 s’élevaient au minimum à 14 000 milliards de dollars. En redirigeant ne serait-ce qu’une petite partie de ces dépenses vers des entreprises sociales agréées et des fournisseurs issus de la diversité, les entreprises ont le pouvoir de s’attaquer à certains des problèmes sociaux et environnementaux les plus préoccupants à l’échelle mondiale.

D’après les premiers projets pilotes effectués sur certains marchés, SAP estime pouvoir consacrer chaque année jusqu’à 60 millions de dollars de ses dépenses mondiales adressables aux entreprises sociales et aux fournisseurs issus de la diversité d’ici 2025. Chez les sociétés de l’indice boursier DAX, ce chiffre est estimé à environ 2,5 milliards d’euros, tandis que pour les sociétés de la liste Fortune 500 aux États-Unis, les estimations s’élèvent à 25 milliards de dollars.

Membre du Conseil d’administration de SAP, à la tête de l’entité Customer Success et récemment nommée Global Buy Social Ambassador de Social Enterprise UK, Adaire Fox-Martin a annoncé l’initiative « 5 & 5 by ’25 » lors de l’événement Procurement Reimagined organisé par SAP à Singapour.

« Toutes les entreprises, dans tous les secteurs, ont besoin de réaliser des achats », a expliqué Mme Fox-Martin. « Nous avons tous besoin de savon dans nos sanitaires, de services d’aménagement pour nos bureaux, de produits alimentaires et de boissons dans nos cafétérias, de services de marketing et de fournitures de bureau. Ces produits et services, parmi tant d’autres, peuvent tous être acquis auprès d’entreprises sociales et de fournisseurs issus de la diversité. Cet argent, nous sommes de toute façon amenés à le dépenser. Pourquoi ne pas l’utiliser auprès de fournisseurs dont les actions ont également un impact sur le plan social ? »

Les entreprises sociales sont des entreprises qui, de par leur culture et leurs opérations, cherchent résolument à changer le monde. Elles sont similaires à d’autres entreprises viables sur le plan commercial, mais présentent trois différences essentielles : elles sont fondées et gouvernées sur la base d’une mission sociale ou environnementale clairement définie ; elles réinvestissent la majorité de leurs bénéfices dans cette mission ; et elles sont contrôlées selon le principe de majorité exclusivement dans l’intérêt de cette mission. Un fournisseur issu de la diversité est une entreprise détenue et exploitée à 51 % ou plus par une personne ou un groupe de personnes issue(s) d’une population traditionnellement sous-représentée ou défavorisée.

« Avec nos clients, nos partenaires, nos fournisseurs issus de la diversité et les entreprises sociales, nous nous sommes fixé pour objectif de développer les achats socialement responsables là où les infrastructures le permettent, et nous avons l’intention de mettre sur pied les infrastructures nécessaires et de renforcer les capacités partout ailleurs », a ajouté Mme Fox-Martin. « Nous invitons toutes nos parties prenantes à en apprendre davantage sur le sujet et à participer avec nous à cette initiative, mais aussi à tracer la voie et à donner l’élan pour concrétiser cette ambition et trouver une meilleure façon de se développer. »

Pour en savoir plus, consultez l’article (en anglais) « Achats socialement responsables :trouver une meilleure façon de se développer » par Adaire Fox-Martin.

À propos de l’initiative « 5 & 5 by ’25 »

L’initiative « 5 & 5 by ’25 » a été développée par SAP pour encourager les entreprises de tous les secteurs à consacrer une plus grande part de leurs dépenses adressables à des fournisseurs socialement engagés et issus de la diversité. En rejoignant cette initiative, les entreprises acceptent de formaliser leur exploration des achats socialement responsables, notamment en établissant des partenariats avec des intermédiaires de premier plan, en adoptant des politiques d’achats socialement responsables, en consommant des biens et des services auprès de fournisseurs dont les actions et les valeurs ont du sens, et en élargissant leur engagement auprès d’autres entreprises sociales et fournisseurs issus de la diversité. L’objectif est de réaliser, d’ici 2025, 5 % des dépenses annuelles d’achats adressables auprès d’entreprises sociales et de fournisseurs issus de la diversité et, ce faisant, d’avoir un impact significatif sur les inégalités sociales et les enjeux environnementaux. « 5 & 5 by ’25 » fait partie du programme One Billion Lives de SAP, qui s’attache à promouvoir une plus grande intégration de l’entrepreneuriat social dans l’économie mondiale. Pour plus d’informations, consultez la page 5 & 5 by ’25.

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Source de l’article sur sap.com

SAP annonce accompagner la prochaine promotion des DesCodeuses, association engagée au service des femmes et des territoires. Par ce partenariat SAP entend renforcer son action en faveur de l’augmentation du nombre de femmes dans le secteur de la Tech. SAP apporte son expertise et le volontariat de ses collaborateurs engagés sur l’égalité et la mixité.

Depuis sa création en 2017, l’association DesCodeuses a pour mission d’informer, sensibiliser et de développer le pouvoir d’agir des femmes des quartiers prioritaires en les outillant, en les formant et en les accompagnant vers les métiers du numérique.

Depuis 2019, l’association a créé sa propre formation de développeuse / conceptrice permettant à des femmes de développer des compétences techniques, métiers et la confiance en soi. Après le succès de la première promotion, les DesCodeuses continue son aventure cette année avec SAP comme parrain de sa promotion « Katherine Johnson », physicienne, mathématicienne et ingénieure spatiale.

« Avec ce partenariat, l’association profitera de l’expérience et de l’expertise d’un des leaders mondiaux de la tech pour accompagner et mentorer nos étudiantes. SAP et les DesCodeuses ont cet ADN commun avec une culture de la mixité et du développement des femmes dans le monde de l’IT. Les parcours exemplaires de femmes chez SAP seront inspirants pour nos candidates de la promotion Katherine », explique Souad Boutegrabet, CEO et fondatrice des DesCodeuses

Membre du comité de sélection des futurs candidates, SAP accompagnera également l’association au travers de :

  • Mécénat de compétences : les collaborateurs de SAP partageront leurs connaissances du milieu de la tech et accompagneront les femmes de la promotion. Au programme : des ateliers de Design Thinking, des cafés virtuels, des session tech et des simulations d’entretiens d’emploi.
  • « Women role model » : les talents féminins de SAP témoigneront sur leur parcours, métier et challenges. Une occasion unique d’appréhender le monde de l’entreprise et celui de la tech sous le prisme féminin et découvrir les multiples enjeux technologiques des organisations : ressources humaines, ventes, IA…
  • Hackathon : Pour stimuler les étudiantes à élaborer un projet tech ambitieux, SAP et les DesCodeuses organiseront pour la première fois un hackathon.

Ces sessions et activités font écho avec les différentes actions et objectifs que s’est déjà fixés SAP sur son engagement pour la mixité au sein de son entreprise.

« Être le parrain d’une promotion des DesCodeuses, entièrement composée de femmes est un message fort et encourageant dans notre combat pour la mixité au sein de SAP. Je suis ravi que les collaborateurs SAP soient si engagés, volontaires et motivés pour accompagner ces talents au féminin qui, peut-être, se retrouveront un jour dans le bureau d’à côté. L’ensemble de nos actions menées avec les DesCodeuses permettront de mettre en lumière l’expertise et le savoir-faire nécessaires pour travailler dans une entreprise du monde du numérique » explique Erik Marcadé, directeur R&D de SAP France

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Source de l’article sur sap.com