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Acome modernise son ERP au travers d’une migration vers l’ERP intelligent SAP S/4HANA. Un socle solide qui lui permettra de concrétiser son projet de transformation, consistant à gérer la production industrielle depuis l’ERP.

Acome est un spécialiste des câbles de haute technicité, qui propose ses solutions aux acteurs du monde de l’automobile, des télécoms, du bâtiment ou encore du transport ferroviaire. De par son positionnement, Acome est un acteur clé du développement des véhicules de nouvelle génération, de la fibre, des bâtiments connectés et des villes intelligentes.

Première SCOP de France, Acome dispose de nombreux sites industriels et commerciaux, dans l’hexagone comme à l’étranger. Le groupe ACOME emploie 2000 collaborateurs, dont 1200 en France, pour un chiffre d’affaires annuel de 552 millions d’euros.

« Nous souhaitions refondre notre système d’information industriel, avec – entre autres – la mise en place d’un MES, explique Anne-Laure Gout, Responsable du service Études informatique de la DSI d’Acome. Michael Barbé a su nous convaincre que notre SI industriel pourrait tout à fait être intégré dans notre ERP SAP. La fin de maintenance de SAP ECC approchant, la DSI avait dans le même temps décidé d’opérer la migration vers l’ERP SAP S/4HANA. »

L’industriel décide donc de rapprocher ces deux projets. « Un premier partenaire nous avait proposé de repartir d’une feuille blanche, avec un projet de type greenfield, ce qui ne nous convenait pas. Nous nous sommes alors tournés vers PASàPAS, qui nous suit depuis des années, afin de mener une migration à fonctionnalités et périmètre constants. L’objectif était d’assurer la bascule vers l’ERP SAP S/4HANA avec un minimum d’impacts pour les métiers. »

Découvrez le témoignage de notre client.

Un engagement important de la part de PASàPAS

Le travail s’est fait de concert entre les équipes métiers d’Acome, porteuses du projet industriel, et la DSI de la SCOP, souhaitant opérer la migration de SAP ECC vers SAP S/4HANA. Le projet de migration a démarré en février 2021, pour se terminer 15 mois plus tard, le 30 mai 2022.

« De nombreuses personnes ont été impliquées, que ce soit chez PASàPAS, qui a mobilisé une cinquantaine de consultants, que du côté d’Acome, avec une équipe projet de 50 personnes et 80 key users, explique Michael Barbé, Directeur de programme chez Acome. Nous avons su rester concentrés tout au long de ces 15 mois, avec des objectifs précis qui nous ont permis de ne pas nous éparpiller et de mettre en fonction notre nouvel ERP dans les délais fixés. Le tout avec un appui sans faille de notre direction et des métiers. »

L’objectif de l’entreprise était de disposer d’un socle solide, propice au déploiement de nouvelles fonctionnalités. L’ERP SAP S/4HANA couvre d’ores et déjà un large périmètre (achats, ventes, finance, maintenance…), mais devrait prendre de l’ampleur rapidement (production, revue budgétaire…). Le tout avec la volonté de recourir aussi peu que possible aux spécifiques. « Nous voulions mettre en place une solution cohérente, qui permette de revenir à l’essentiel en s’appuyant autant que possible sur des processus standards. »

Migration réussie ! Place à l’innovation

L’ERP SAP S/4HANA est aujourd’hui en production. « Une importante phase de stabilisation a été réalisée pendant le premier mois, mais tout est aujourd’hui fonctionnel, avec une nette amélioration des performances par rapport à notre ancien ERP. Nous pouvons donc considérer cette étape de conversion comme réussie. Ce n’est toutefois que le premier jalon de notre projet de transformation », détaille Anne-Laure Gout. Si une ‘fiorisation’ progressive de l’interface et une revue des processus sont prévues, c’est bien le volet industriel qui est aujourd’hui au coeur des attentions.

« Nous redémarrons maintenant la phase industrielle de notre projet, confirme Michael Barbé. Dès janvier 2023, notre atelier de production de tubes dédiés aux planchers chauffants sera équipé de l’ERP SAP S/4HANA. Les machines de l’atelier seront connectées au SI, afin de permettre une remontée des données et un pilotage de ces équipements dans l’ERP. Nous espérons avec cet outil être capables d’aller chercher de nouveaux gains sur le terrain de la performance industrielle. L’ERP sera ensuite déployé sur une autre de nos activités courant 2024, puis progressivement sur des activités de plus en plus complexes. »

PASàPAS est reconduit sur toute cette première phase de déploiement et devrait donc accompagner Acome sur ce projet au minimum jusqu’à la fin du premier trimestre 2024. À mesure que ce SI industriel sera déployé, le nombre d’utilisateurs de l’ERP SAP S/4HANA va s’accroître chez Acome. « Nous avons d’ores et déjà adapté notre parc de licences afin de permettre aux opérateurs travaillant en production d’accéder à l’ERP. Demain, 500 utilisateurs pourront ainsi se connecter à SAP S/4HANA », conclut Anne-Laure Gout.

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Source de l’article sur sap.com

Artelia modernise son système d’information avec SAP S/4HANA et la technologie SAP Fiori

L’ergonomie utilisateur avancée de SAP S/4HANA a convaincu Artelia de moderniser son SI SAP existant. Un projet complexe, mené à bien en moins de huit mois, avec l’aide de PASàPAS et l’engagement sans faille des équipes d’Artelia.

 

Artelia est un groupe d’ingénierie pluridisciplinaire français (industrie, bâtiment, mobilité, eau, énergie) qui a pour particularité d’être détenu à 100% par ses managers et salariés. En croissance rapide, le groupe approche aujourd’hui les 7000 collaborateurs et fait partie du top 15 européen des sociétés d’ingénierie de la construction.

En 2021, Artelia a enregistré un chiffre d’affaires de 745 millions d’euros, dont 85% réalisés en Europe. L’entreprise est implantée dans plus de 40 pays, avec une forte présence en Europe, mais également en Asie et en Afrique. Elle ambitionne de passer le cap du milliard d’euros de chiffre d’affaires annuel en 2025.

Un fort besoin de modernisation

« En 2018, nous avons dû faire face à l’obligation de déposer dans Chorus Pro les factures destinées à nos clients du secteur public, explique Angéline Carlassare, Responsable SI finance chez Artelia. En parallèle, nous voulions aller plus loin sur le sujet de la dématérialisation. » L’interface utilisateur de SAP ECC n’était pas adaptée à un public d’assistantes et assistants. La création d’applications simples d’usage, exploitant la technologie SAP Fiori, a permis alors de répondre au besoin d’Artelia.

Plus tard, d’autres demandes ont émergé, cette fois-ci sur la partie achat. « Nous nous sommes alors dit que nous aurions tout intérêt à basculer sur SAP S/4HANA, avant d’adopter le module achat, afin de profiter de sa nouvelle ergonomie. »

Dans la phase finale de son appel d’offres, Artelia a commandé auprès des deux candidats sélectionnés une étude de cadrage. La société voulait ainsi donner l’opportunité à chacun des intégrateurs de partager leur vision du projet. C’est PASàPAS, l’un des deux partenaires SAP récurrents d’Artelia, qui a été retenu.

Un projet solidement cadré

Le périmètre de l’ERP d’Artelia est somme toute assez classique : finance, contrôle de gestion, gestion des projets et administration des ventes. Mais il est complexifié par des applications périphériques, dont de la BI et un CRM. Le tout dans un contexte multi-ERP, qui est le résultat d’une forte croissance du groupe, organique comme externe.

« Pour sécuriser le projet, nous avions demandé à SAP une formation sur les écarts existants entre SAP ECC et SAP S/4HANA, explique Nicolas Panayoti, Responsable de la transformation digitale finance chez Artelia. Nous avons détecté une cinquantaine de changements s’appliquant à notre SI. Les écarts majeurs – une dizaine – ont été intégrés au projet proactivement afin de diminuer les risques lors de la mise en route de notre nouveau SI. »

« Un projet de migration reste coûteux, poursuit Angéline Carlassare. Il faut donc être capable d’amener rapidement de la valeur. Toutefois, afin de sécuriser notre projet, nous avons décidé d’opter pour une approche en deux temps : une phase de conversion, comprenant un minimum de modifications majeures, suivie d’une étape de réflexion autour de ce que SAP S/4HANA pourra nous proposer par la suite. »

Une approche en phase avec les contraintes pesant sur l’agenda d’Artelia. Lancé en mai 2021, le projet devait en effet impérativement être terminé en fin d’année, afin que le nouvel ERP soit en production lors de la fusion de trois sociétés du groupe, programmée en janvier 2022.

Artelia modernise son système d’information avec SAP S/4HANA et la technologie SAP Fiori (French)

Un client très engagé

L’ERP SAP S/4HANA est aujourd’hui en fonction chez Artelia. Avec deux types de retours :

  • Les équipes finance n’ont pas vu de réel changement, les processus qu’ils utilisent n’ayant pas été profondément modifiés lors de la migration. Quelques régressions ont pu être constatées, par exemple au sujet des business partners. La configuration d’une tuile standard proposée par SAP a permis toutefois de limiter l’impact de ce problème, en proposant une expérience utilisateur satisfaisante pour des ADV.

Pendant le projet, Artelia s’est trouvé confronté à quelques difficultés, certains choix faits pouvant avoir un impact important pour l’organisation. « Lorsque nous avons soulevé ce problème, PASàPAS a adapté son dispositif, en mettant en place des réunions hebdomadaires nous permettant de faire le point sur les choix faits, l’impact de ces choix et les décisions qu’il nous fallait prendre. Cette initiative a été clé dans la réussite du projet, » explique Angéline Carlassare. « Nous avons mis du temps à nous caler avec le partenaire, confirme Nicolas Panayoti. Mais, finalement, le projet s’est bien déroulé, car toutes les équipes étaient impliquées, celles d’Artelia, comme celles de PASàPAS. »

L’année 2022 est celle de la stabilisation de l’ERP et de la recherche de quick wins. Artelia va ainsi mener plusieurs sprints visant à intégrer des évolutions fonctionnelles, notamment au travers de la mise en place de cockpits Fiori.

L’année 2023 sera pour sa part consacrée à l’activation du module achats. Mais aussi à la montée de version de l’ERP. « Le rythme des mises à jour de l’ERP SAP S/4HANA est plus rapide que précédemment, avec un support limité à 5 ans, rappelle Angéline Carlassare. Or, nous avons opté pour la version 1909 de SAP S/4HANA. Nous avons donc programmé une montée de version en 2023, en prévision de la fin de support de SAP S/4HANA 1909 en 2024. »

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Source de l’article sur sap.com

Exploitez le potentiel de Quarkus et HarperDB pour une gestion des données efficace.

Exploitez le potentiel de Quarkus et HarperDB pour une gestion des données plus efficace et plus rapide ! Découvrez comment ces technologies peuvent vous aider à optimiser vos processus.

Dans le paysage en constante évolution de la technologie de base de données, rester à la pointe de la technologie n’est pas seulement une option, c’est une nécessité. Alors que les applications modernes continuent de grandir en complexité et en portée mondiale, le rôle de la base de données sous-jacente devient de plus en plus critique. C’est le socle qui soutient le fonctionnement sans faille des applications et le stockage et la récupération de vastes quantités de données. Dans cette ère d’applications à l’échelle mondiale, avoir une base de données à hautes performances, flexible et efficace est primordial.

The ultra-database is designed to handle the massive amounts of data that modern applications generate. It’s built to be highly scalable, allowing it to easily accommodate the ever-growing data volumes. It also offers superior performance, ensuring that applications can access and process data quickly and efficiently. Additionally, it provides flexibility, allowing it to easily adapt to the changing needs of applications. Finally, it’s designed to be secure, protecting data from unauthorized access and malicious attacks.

Dans le paysage en constante évolution de la technologie de base de données, rester à la pointe de la technologie n’est pas seulement une option, c’est une nécessité. Alors que les applications modernes continuent de croître en complexité et en portée mondiale, le rôle de la base de données sous-jacente devient de plus en plus critique. C’est le squelette qui soutient le fonctionnement sans faille des applications et le stockage et la récupération de vastes quantités de données. Dans cette ère d’applications à l’échelle mondiale, avoir une base de données à hautes performances, flexible et efficace est primordial.

Alors que les demandes des applications modernes augmentent, le besoin d’une base de données qui puisse suivre le rythme n’a jamais été aussi grand. La «base de données ultra» est devenue un acteur clé pour garantir que les applications fonctionnent sans faille et efficacement à l’échelle mondiale. Ces bases de données doivent offrir une combinaison unique de vitesse, d’adaptabilité et d’adaptabilité pour répondre aux exigences diverses des différentes applications, des plates-formes de commerce électronique aux systèmes IoT.

La base de données ultra est conçue pour gérer les quantités massives de données générées par les applications modernes. Il est conçu pour être hautement extensible, ce qui lui permet d’accueillir facilement les volumes de données toujours croissants. Il offre également une performance supérieure, ce qui permet aux applications d’accéder et de traiter rapidement et efficacement les données. En outre, il offre une grande flexibilité, ce qui lui permet de s’adapter facilement aux besoins changeants des applications. Enfin, il est conçu pour être sûr, protégeant les données contre tout accès non autorisé et attaques malveillantes.

Source de l’article sur DZONE

Angular et ASP.NET Core : une équipe gagnante

Découvrez comment Angular et ASP.NET Core peuvent s’associer pour créer une équipe gagnante et développer des applications web modernes et performantes !

Le fonctionnement sans heurts d’une application nécessite une construction robuste et une coordination sans faille entre ses technologies front-end et back-end. Le front-end est responsable de la définition de l’interface utilisateur et de l’expérience utilisateur d’une application, tandis que le back-end alimente ses fonctionnalités et gère la logique.

C’est pourquoi il est impératif que les développeurs trouvent une combinaison de technologies qui garantisse une faisabilité maximale entre les deux extrémités, ce qui permettra de créer une application robuste et fonctionnelle.

Coding is the foundation of any application. It is the process of writing instructions in a programming language that a computer can understand and execute. It requires a deep understanding of the underlying technologies and their associated frameworks.

Pour que l’application fonctionne sans heurts, il est nécessaire d’avoir un build robuste et une coordination sans faille entre les technologies front-end et back-end. Le front-end est responsable de la définition de l’interface utilisateur et de l’expérience utilisateur, tandis que le back-end alimente ses fonctionnalités et gère la logique.

C’est pourquoi il est impératif que les développeurs trouvent une combinaison de technologies qui assure une faisabilité maximale entre les deux extrémités, ce qui permettra de créer une application robuste et fonctionnelle.

Le codage est la base de toute application. Il s’agit du processus d’écriture d’instructions dans un langage de programmation que l’ordinateur peut comprendre et exécuter. Il nécessite une compréhension approfondie des technologies sous-jacentes et de leurs frameworks associés.

Source de l’article sur DZONE

Pour accompagner sa transformation en acteur d’envergure mondiale, Bridor avait besoin de se doter d’un ERP moderne et de refondre ses processus métiers. Un projet de grande envergure, ayant mené à l’adoption de SAP S/4HANA et de SAP IBP.

Groupe Le Duff est un acteur français, leader de la restauration et de la boulangerie-viennoiserie. Il est présent dans 100 pays, au travers de ses 1250 restaurants et boulangeries et ses 15 sites de production. Groupe Le Duff emploie 30 000 collaborateurs, pour un chiffre d’affaires annuel dépassant les 2 milliards d’euros.

« Depuis ses débuts en 1976, le chiffre d’affaires du Groupe Le Duff a doublé tous les 5 ans, explique Ronan Le Janne, Responsable des applications de gestion (SAP, BI, SIRH…). La principale filiale du groupe est Bridor, un industriel spécialisé dans les produits de boulangerie surgelés premium, qui compte pour 45% du chiffre d’affaires du groupe. Bridor devient rapidement un acteur d’envergure mondiale, pour lequel il est stratégique de disposer d’un système d’information moderne proposant des processus capables d’accompagner cette forte croissance, organique comme externe. »

Groupe Le Duff utilise des solutions SAP depuis 2002. L’ERP SAP ECC de Bridor, souffrait toutefois de son manque de modernité. « Bridor avait accumulé un certain retard, la dernière montée de version technique SAP datait de 2012. Il devenait primordial de traiter cette dette technique, qui pouvait poser problème, notamment lors de l’adaptation du SI aux règles fiscales des pays dans lesquels nous ouvrons des filiales ».

Un projet ambitieux

La direction a fait le choix de refondre le SI de Bridor, en migrant vers l’ERP SAP S/4HANA, tout en opérant la refonte de ses processus métiers. La société a donc dû assurer un double chantier : la conversion technique vers un nouvel ERP et l’audit de ses processus clés.

Elle décide pour cela de se faire accompagner par VISEO. « Nous avions déjà identifié VISEO comme candidat potentiel, car c’est un spécialiste à la fois du retail et de l’industrie, les deux activités du Groupe Le Duff, poursuit Ronan Le Janne. VISEO a également une bonne connaissance de SAP S/4HANA dans un contexte agroalimentaire. Ses équipes sont donc expérimentées et capables de nous conseiller avec pertinence. Autres points positifs, une méthodologie compréhensible et efficace, ainsi qu’une bonne adhérence avec la culture et les valeurs du Groupe Le Duff ».

L’ERP de Bridor couvre un périmètre étendu : finance, achats, ventes, production, stocks… « Nos usines fonctionnent en 24/7 et s’appuient toutes sur notre ERP SAP, qui est le cœur du réacteur de nos processus industriels et supply chain. Un système qui fonctionne donc lui aussi en 24/7 et qu’il est difficile d’arrêter. C’est pourquoi nous avons voulu faire entrer un maximum de transformation dans ce projet ».

 

Une migration hybride

À mi-chemin entre Brownfield et Greenfield, la migration hybride, dite Bluefield, permet d’opérer une migration technique vers SAP S/4HANA, sans devoir subir le poids du legacy, les données nécessaires étant réintégrées au terme des développements. « La migration hybride nous a permis de nous réapproprier notre système, de le simplifier, en redéfinissant précisément son périmètre et ses fonctionnalités », confirme Ronan Le Janne.

L’audit des processus clés et les ateliers de cadrage se sont traduits par plus d’une centaine d’évolutions métiers, dont :

  • la refonte des structures organisationnelles ;
  • la mise en œuvre de SAP COPA et du General Ledger ;
  • la mise en place du P&L Bridor et Groupe dans SAP ;
  • La mise en œuvre des processus de prévisions, planification et S&OP dans SAP IBP.

Lancé en avril 2021 par la phase de cadrage, le projet s’est poursuivi jusqu’en fin d’année 2022, pour une mise en route de SAP S/4HANA le premier janvier 2023.

« Compte tenu de la complexité du projet, cela s’est très bien passé. Une organisation stricte, une implication sans faille des métiers et une forte réactivité de la part de VISEO nous ont permis de tenir le planning que nous avions défini en 2020. Dès le 2 janvier 2023, de gros volumes d’opérations ont été enregistrés dans notre ERP SAP S/4HANA. Depuis, nous n’avons pas constaté de perte de productivité et le nombre de tickets d’incidents reste maîtrisé. C’est un démarrage bien maîtrisé et une belle réussite pour le Groupe Le Duff. »

Quelques travaux sur la partie finance ont été effectués sur le premier trimestre 2023 et un accompagnement au changement sera nécessaire pour acculturer les équipes à certaines nouvelles fonctionnalités et certains nouveaux processus. Mais le projet arrive à son terme, dans les délais et pour le budget prévu. « Un projet réussi, pour un rapport qualité / prix imbattable », conclut Ronan Le Janne. Prochaine étape, l’adoption de SAP S/4HANA Retail.

 

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Source de l’article sur sap.com

API en mouvement : maintenez vos APIs à jour

Les API sont en mouvement constant et il est essentiel de les maintenir à jour pour assurer le bon fonctionnement de votre application. Découvrez comment!

Dans le monde en constante évolution de la technologie, les applications logicielles sont devenues le pilier de la société moderne.

L’importance des APIs dans l’architecture logicielle moderne

Dans le monde en constante évolution de la technologie, les applications logicielles sont devenues le pilier de la société moderne. Des applications mobiles qui simplifient nos tâches quotidiennes aux plates-formes web qui nous connectent à l’échelle mondiale, ces applications dépendent d’une communication et d’un échange de données sans faille. C’est là que les interfaces de programmation d’application (API) entrent en jeu. Les APIs sont devenues le pilier du développement logiciel moderne, révolutionnant la façon dont les applications sont conçues, construites et intégrées. Leur importance provient de leur capacité à faciliter la communication et l’échange de données entre diverses applications et services. Au cœur de l’API, ou interface de programmation d’application, se trouve un ensemble de règles, de protocoles et d’outils qui permettent à différentes applications logicielles de communiquer et d’interagir entre elles. Les APIs agissent comme des ponts, permettant à une application d’accéder et d’utiliser les services et fonctionnalités fournis par une autre application ou plate-forme. Cette interopérabilité permet aux développeurs de combiner les forces de diverses applications et de créer des solutions intégrées puissantes.

Mise à jour et évolution des APIs au fil du temps

Les APIs sont essentielles pour maintenir l’architecture logicielle à jour et en bon état de fonctionnement. Les mises à jour et les modifications apportées aux APIs sont nécessaires pour s’assurer que les applications peuvent continuer à communiquer et à échanger des données sans problème. Les mises à jour peuvent être apportées pour corriger des bogues, ajouter des fonctionnalités supplémentaires ou améliorer la sécurité. De plus, les mises à jour peuvent être apportées pour s’adapter aux changements technologiques et aux nouvelles exigences des utilisateurs. Les mises à jour peuvent également être apportées pour s’adapter aux nouvelles normes et technologies, ce qui permet aux applications de rester compétitives. Les mises à jour des APIs sont donc essentielles pour maintenir l’architecture logicielle à jour et en bon état de fonctionnement.

Conclusion

Les APIs sont essentielles pour faciliter la communication et l’échange de données entre diverses applications et services. Elles sont également essentielles pour maintenir l’architecture logicielle à jour et en bon état de fonctionnement. Les mises à jour et les modifications apportées aux APIs sont nécessaires pour s’assurer que les applications peuvent continuer à communiquer et à échanger des données sans problème. Les mises à jour peuvent être apportées pour corriger des bogues, ajouter des fonctionnalités supplémentaires ou améliorer la sécurité. De plus, les mises à jour peuvent être apportées pour s’adapter aux changements technologiques et aux nouvelles exigences des utilisateurs. Les mises à jour des APIs sont donc essentielles pour maintenir l’architecture logicielle à jour et en bon état de fonctionnement.

L’importance des APIs dans l’architecture

Source de l’article sur DZONE

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

Lire le témoignage

 

« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

En savoir plus

 

Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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Source de l’article sur sap.com

La gestion d’une PME comme la montée en puissance d’une ETI impliquent nécessairement la digitalisation des processus de l’entreprise. Pour gagner en compétitivité sur le marché actuel, l’implémentation d’un ERP se révèle être un atout indéniable. En effet, il est indispensable d’automatiser les tâches, de fournir des services à distance et de rendre les données accessibles depuis différents supports.

Gérer efficacement les bases de données devient capital et relève d’un véritable enjeu stratégique pour chaque société. Leviers de croissance, centralisation et hiérarchisation des données permettent aux entreprises de se développer. L’externalisation informatique via le cloud assure une flexibilité et une sécurité supplémentaires dans le stockage et la mise à jour des databases. La maintenance à distance réduit considérablement les coûts. Il s’agit aussi de s’adapter aux fluctuations du marché en temps réel avec une réactivité à l’épreuve des aléas économiques. Tous les secteurs d’activité sont alors concernés par la transformation numérique ou l’optimisation de la solution digitale déjà en place. L’importance croissante du commerce en ligne accélère d’ailleurs la tendance.

Le traitement des informations requiert un logiciel de gestion d’entreprise performant, adapté à la taille de la structure et conçu pour permettre son évolution en fonction des objectifs fixés. Le système ERP soutient l’activité dans des conditions de rentabilité optimale au niveau de la production mais aussi de la gestion et du commerce. Il offre également un outil d’analyse fiable pour définir une stratégie d’entreprise pérenne. La solution ERP garantit un pilotage sur-mesure aux PME comme aux ETI. Mais derrière la technologie ERP et sa définition marketing, quelles modalités de déploiement assurent une compétitivité sans délai ? Voici tout ce qu’il faut savoir pour mettre à profit un ERP d’entreprise avec une intégration système réussie, une interface conviviale pour ses utilisateurs et un support client irréprochable.

Tous les bénéfices d’un système ERP pour les PME et les ETI

La transition numérique met en avant l’ERP avec une signification pas toujours accessible aux personnes extérieures au service informatique de l’entreprise. Pourtant, les PME comme les ETI peuvent elles aussi faciliter leur digitalisation en ayant recours à un Progiciel  de Gestion  Intégré  (PGI, de l’anglais ERP), conçu par un éditeur spécialisé. Les coûts de gestion de l’entreprise diminuent également avec l’automatisation des tâches récurrentes et la fin des répétitions de saisies informatiques inutiles entre les services. Avec un PGI, il n’est pas nécessaire d’investir dans une licence pour chaque poste de travail : il gère l’ensemble du système informatique et partage les données en temps réel avec les départements concernés.

Dans l’industrie, les sociétés de services et le commerce, les PME gagnent ainsi du temps et économisent sur leur budget annuel. Les équipes peuvent davantage mettre à profit leur énergie sur des tâches à valeurs ajoutées. L’Enterprise Resource Planning porte les petites structures au rang des ETI. Mais que signifie exactement ce terme informatique et quelles applications trouve-t-il dans les processus de gestion des informations et des services opérationnels des entreprises ?

Qu’est-ce qu’un ERP ?

Le terme désigne un logiciel professionnel aux multiples fonctionnalités. Il est conçu pour répondre à l’efficacité de gestion des processus informatisés de l’entreprise. En français, il est aussi connu sous l’appellation PGI pour Progiciel de Gestion Intégré. Il regroupe un ensemble de programmes paramétrables en fonction des utilisateurs et des besoins en lien avec l’activité. Il intègre à son système d’informations toutes les fonctions d’une société. Outil de gestion informatisée, il met à disposition des services concernés toutes les ressources nécessaires au fonctionnement de l’entreprise. Le PGI favorise le travail en équipe et assure la transmission des données entre les différents départements. Il permet d’interagir avec un site client. Il sert de passerelle entre les données des sites de production et celles des points de livraison. Le PGI promet une logistique sans faille. Mais qu’en est-il plus concrètement ?

Son rôle dans le fonctionnement d’une entreprise

Dans une usine de production, par exemple, l’ERP centralise toutes les informations utiles pour assurer les commandes et les livraisons dans les délais prévus. Il adapte le rendement au stock disponible et au coût total. Il peut être programmé pour commander les matériaux automatiquement avant une pénurie pénalisante. L’ERP envoie alors la facturation de l’approvisionnement au service comptabilité. Il permet de planifier les roulements des équipes en fonction de la rentabilité de la production. Il fournit l’analyse financière nécessaire à la prise de décisions. Les données sont disponibles en temps réel. Même les ressources humaines peuvent bénéficier des applications du PGI. La base de données utilisée prévoit le croisement des informations, leur classement et leur extraction en fonction des stratégies préalablement définies. Autrement dit, l’ERP fluidifie l’agrégation et le traitement des données de toute l’entreprise pour que tous ses services en tirent profit.

L’ERP s’adresse également aux commerces et à la grande distribution. Un logiciel de gestion commerciale facilite la logistique au quotidien et la traçabilité des produits. Il s’inscrit dans une logique de gestion du cœur de métier ou des fonctions administratives comme l’émission des bulletins de paie. L’accès aux différentes informations de la filière entière reste toutefois soumis à des autorisations validées par la structure organisationnelle de l’entreprise. Mais tous les intervenants concernés partagent la même information immédiatement actualisée.

Le fonctionnement d’un ERP au sein d’une PME

L’avantage principal d’une intégration de système réside dans l’homogénéité des données accessibles. La mise à jour d’une information au niveau d’un poste de travail se transmet à tous les étages de l’organigramme de gestion. Chacun dispose des mêmes éléments pour traiter les tâches qui lui sont imparties. Tous bénéficient de la capitalisation des données stockées au sein du réseau interne. L’implémentation d’un ERP implique aussi des passerelles entre les différents programmes des départements spécifiques et leurs nombreux périphériques. Les données transitent sans problèmes de compatibilités ni d’interfaces. Le PGI communique avec les serveurs des fournisseurs et des clients lorsque le contexte s’y prête. Il est alors primordial de définir les fonctionnalités indispensables à l’activité.

Le logiciel gestion commerciale peut gérer l’envoi de mails pour une prospection régulière et une fidélisation des clients efficace. Certains secteurs ont intérêt à utiliser des assistants digitaux pour filtrer les communications par type d’informations. Chaque entreprise a son propre fonctionnement, l’ERP lui donne les moyens de l’optimiser avec une solution globale ou spécifique. Les conseils spécialisés de l’éditeur du progiciel de gestion d’entreprise apportent une expertise dans le choix des applications à mettre en place dans une filière particulière. Un diagnostic ERP après un audit complet des besoins de l’entreprise donne des perspectives nouvelles d’évolution sur le marché.

Choisir un progiciel de gestion intégré en fonction des besoins du business

La nature des données détermine en partie l’algorithme à utiliser. Les informations d’une ligne de production dans une usine ne sont pas du même ordre que celles d’une entreprise de services. Le commerce en ligne requiert des fonctionnalités spécifiques à son activité. La gestion des ressources humaines, des finances ou de la relation clients nécessitent des technologies adaptées à leur environnement de travail, sans nuire au fonctionnement du système global. Les supports multimédias utilisés et les composants de la bureautique déjà installés entrent également en ligne de compte dans la conception du PGI. Pourtant, certaines fonctionnalités sont communes à toutes les PME comme l’accès au réseau ou la gestion des mails. Les modules reliés à la base de données offrent ensuite des applications appropriées à chaque service. Ils visent à donner de l’ampleur au business mais doivent convenir aux dimensions du marché parfois géographiquement limité.

Les PME peuvent aussi disposer d’un terminal performant et sécurisé pour les paiements par carte de crédit via leur dispositif ERP. Mais les adaptations prévues par le fournisseur ERP ne se limitent pas aux opérations à réaliser pour la gestion de l’entreprise. Le progiciel est conçu pour respecter le mode de fonctionnement des équipes ainsi que la structure organisationnelle de l’entreprise.

Les différentes versions de la planification des ressources de l’entreprise

Le système ERP privilégie la gestion management. Il centralise les informations dès leur enregistrement dans la base de données et donne accès aux différentes composantes de l’activité selon les fonctions exercées au sein de la PME. L’ERP permet de superviser les flux en regard de leur rentabilité économique, logistique ou financière. Il fournit des outils d’analyses avancés pour amorcer une dynamique de croissance à partir de la configuration initiale de l’entreprise. La solution proposée répond à la capacité de production de l’entreprise ou à ses objectifs de ventes. Mais la mise au format doit être progressive. Elle nécessite une phase de tests : avant le déploiement intégral de la solution ERP, une intégration pilote garantit la continuité dans la qualité des processus. Il s’agit de ne pas impacter le fonctionnement de l’entreprise et d’assurer une transition à la hauteur des nouveaux objectifs de l’ETI. L’ERP pour PME sert également à travailler en équipe.

Les fonctionnalités à privilégier pour la gestion de projet ou l’organisation administrative

Le pilotage d’un projet et la gestion administrative d’une PME ne relèvent pas des mêmes processus. Ils sont donc assignés à différentes fonctionnalités. Les applications utilisées par les entités de travail organisent l’activité selon le mode opérationnel habituel. Le département des achats ou de la comptabilité ne fonctionne pas sur le modèle de la gestion de projets d’équipes. Les visioconférences et la communication unifiée permettent de mener à bien un projet d’étude. Les données statistiques, la gestion du budget et des délais à respecter avec le logiciel ERP libèrent du temps au chef de projet qui peut alors se concentrer sur les difficultés techniques et la relation client.

Un éditeur avec une expertise du métier garantit une implémentation informatique réussie. Si la formation des utilisateurs à l’ERP de l’entreprise est primordiale, sa configuration intuitive autorise une maintenance corrective simplifiée. Une simple mise à jour du système suffit souvent à apporter de nouvelles fonctionnalités pour rester concurrentiel.

Planifier l’évolution des structures organisationnelles du PGI avec une solution SaaS

La pertinence des fonctionnalités de l’ERP permet de gagner en rentabilité mais elle ne suffit pas à garantir la compétitivité en toute circonstance. Or la flexibilité est la clé du succès des PME. Elles profitent alors de leur statut d’ETI avant de conquérir de nouveaux marchés et de s’agrandir. Pour rester concurrentielles, elles doivent désormais se positionner à la pointe de l’innovation technologique.

Le cloud computing offre un système d’exploitation aux multiples possibilités et se révèle simple à utiliser. Il accompagne tous les projets innovants initiés pour s’adapter au marché. Les données sont accessibles même en distanciel et depuis n’importe quel type de terminaux. Les informations doivent pouvoir être consultées directement depuis un smartphone ou une tablette de l’entreprise. Les postes de travail évoluent en mode nomade et nécessitent une gestion à distance via internet. La solution SaaS donne les moyens d’organiser la réactivité des entreprises connectées mais pour quel taux d’investissements de la part des PME ?

Quand les avantages fonctionnels et les intérêts financiers se rencontrent sur le cloud

Le logiciel SaaS prévoit la gestion de l’entreprise dans le Cloud. Il assume un stockage massif de données de façon décentralisée pour gagner en capacités. Il offre un service aux PME en quête de parts de marché supplémentaires. Ce type de logiciels professionnels s’avère performant pour le traitement des données et des flux d’informations. Le fournisseur héberge les codes sources des applis et des données dans un espace de stockage sécurisé. Il garantit la sauvegarde des données en cas de problème technique. Il les rend disponibles depuis internet à la demande de l’entreprise. Les PME n’ont jamais le souci de la maintenance du système. Un abonnement suffit pour profiter d’un usage illimité des ressources web prévues dans la solution SaaS. Les entreprises n’ont pas besoin d’investir dans du matériel puissant pour lancer les applis : le serveur web du logiciel de service s’en occupe à distance.

Le paramétrage du logiciel SaaS sur la table

Le cloud computing fournit les services informatiques indispensables à la croissance des entreprises. En plus de la gestion du réseau et du stockage des bases de données, il intègre l’intelligence artificielle dans les outils d’analyse. La vente et les finances sont gérées dans des conditions optimales. La stratégie évolue au même rythme que le marché. Le fournisseur ERP programme un paramétrage spécifique au domaine d’activité et aux objectifs chiffrés de l’entreprise. Les algorithmes présentent alors des solutions évolutives pour gérer les difficultés et développer un nouveau modèle économique à partir des nouvelles opportunités du marché.

Il existe aussi des solutions prévues pour développer le commerce en ligne. Les analyses prédictives font alors place aux améliorations de l’expérience utilisateur sur le site web. Le décryptage du trafic en ligne et des modalités du déclenchement des achats orientent la stratégie digitale à suivre.

La maintenance du système par SAP France

Leader de l’ERP, SAP France propose des solutions SaaS sur-mesure aux PME et aux ETI. Les entreprises bénéficient d’une expertise du logiciel de service et d’une implémentation spécifique à leurs processus. Spécialisé dans le Cloud, SAP accompagne le projet de digitalisation de la gestion organisationnelle et fonctionnelle des entreprises jusque dans la compétitivité. Ne vous laissez pas distancer sans réagir !

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“Cette initiative est née de notre profonde conviction que les entreprises, quelle que soit l’industrie, peuvent tirer parti du partage d’experiences.”

 

Il est ingénieur de formation, issu de Polytech’Nice-Sophia. Elle est diplômée en mathématiques appliquées et a validé une thèse en théorie de l’optimisation. Ils mènent leur carrière dans de grandes entreprises technologiques internationales. Et dirigent le Industrial Council of Artificial Intelligence Research (ICAIR). Olena Kushakovska (SAP) et Jean-Michel Sauvage (Amadeus) pilotent ensemble ICAIR depuis 2020. Ils ont une ambition claire pour l’organisation : accélérer le travail sur l’IA en mettant l’accent sur le développement durable. A l’occasion du 1er SAP Sustainability Summit, la directrice générale de SAP Labs France et le directeur R&D pour les solutions Revenue Management d’Amadeus se sont prêtés au jeu de l’interview croisée pour nous donner leur vision de l’IA durable.

  1. Quels sont les principaux avantages de l’IA dans votre secteur ?

Olena Kushakovska : Chez SAP, nous permettons à nos clients de devenir des entreprises intelligentes, d’utiliser les données pour bâtir des entreprises plus performantes, plus résilientes, plus rentables, plus agiles et plus durables. Nous mettons tout en œuvre pour que la réalité de l’entreprise intelligente soit pleinement intégrée avec les fonctionnalités d’Intelligence Artificielle.

Jean-Michel Sauvage : L’IA est une technologie majeure qui offre la meilleure utilisation possible des données et fournit un service plus performant, plus efficace, prévisible, personnalisé et à plus forte valeur ajoutée sur l’ensemble de la chaîne.

  1. Quand, pourquoi et comment vous êtes-vous engagé avec ICAIR ?

Olena : Amadeus et SAP sont membres fondateurs de ICAIR. La décision d’aller de l’avant a été prise entre Gilles Floyrac et moi il y a environ 2 ans. Gilles était le président d’Amadeus Nice à l’époque et la région Côte d’Azur venait de décrocher le label 3IA. Son idée était que les entreprises conduisent l’agenda industriel parallèlement au monde universitaire. Plus de 60 entreprises de la zone ont soutenu le projet 3IA. Nous avons contacté les entreprises que nous pensions intéressées (ex. IBM, ARM, NXP, Thales Alenia Space, Orange) et le “Club” est né. La réunion de mise en place entre les responsables de site pour sceller le club s’est tenue chez Amadeus puis la 1ère session de travail a eu lieu chez SAP en juin 2019.

Jean-Michel : Les techniques d’IA n’étant pas spécifiques à la résolution d’un problème, cette initiative est motivée par la forte conviction que les entreprises, même lorsqu’elles travaillent dans différents secteurs, peuvent bénéficier de l’apprentissage et du partage d’expériences sur les défis auxquels elles sont confrontées sur des problèmes techniques similaires.

« Nous nous efforçons d’utiliser l’IA de manière durable et d’atteindre les objectifs de durabilité de l’ONU au sein du secteur. » Olena KUSHAKOVSKA

  1. Qu’est-ce qui est spécial avec ICAIR ?

Jean-Michel : ICAIR se concentre sur la recherche appliquée, et à ce titre, est un moyen de lier la recherche fondamentale et les résultats académiques à leur application dans un environnement industriel.

Olena : ICAIR est à taille humaine, agile, diversifié, industriel, pratico-pratique, avec des cas d’utilisation réels. Des entreprises leaders dans le monde composent le conseil. Pour autant, il y a un faible niveau d’administration, une faible bureaucratie, mais beaucoup de bonne volonté et un grand écosystème. La bienveillance et le soutien sont sans faille, et l’implication continue !

  1. Pourquoi avoir choisi l’IA durable comme thème du programme ICAIR ? 

Jean-Michel : L’IA s’accompagne de défis, tant en termes de technologie, de puissance de calcul, que de biais d’apprentissage, ou de décisions humainement explicables. Nous pensons que l’IA peut être conçue et utilisée de manière durable et apporter de la valeur d’une manière qui respecte la planète et les communautés.

Olena : On questionne souvent l’IA en termes écologique ou éthique. Nous voulons envisager la durabilité dans un contexte beaucoup plus large, celui des objectifs de durabilité des Nations Unies. La durabilité s’entend comme la capacité de notre génération à atteindre ses objectifs, sans compromettre la capacité de la génération future à atteindre les leurs. Et ce, par rapport à toutes les ressources : naturelles, humaines, économiques. Nos efforts se concentrent sur l’IA durable pour atteindre les objectifs des Nations Unies au sein de l’industrie.

  1. Quel est le champ d’application d’ICAIR ?

Jean-Michel : ICAIR a été pensé de telle sorte que des chercheurs d’entreprises de Sophia Antipolis hébergeant des laboratoires de recherche travaillant dans différents contextes industriels, et sur différents sujets, puissent discuter et échanger leurs points de vue sur des questions communes liées à l’utilisation de l’IA dans leurs industries respectives.

Olena : Notre objectif est de travailler sur des projets communs et d’échanger sur les meilleures pratiques en matière d’apprentissage automatique et d’intelligence artificielle. Cela permettra de faire progresser les recherches en matière d’IA. Enfin, nous comptons utiliser notre puissance commune pour promouvoir la Côte d’Azur en tant que berceau de l’IA durable.

  1. Qu’est-ce qui vous motive personnellement ?

Olena : Ma volonté est de promouvoir notre grande collaboration, dans l’écosystème incroyablement riche sur le plan technologique et intellectuel de la Côte d’Azur, en montrant à nos maisons-mères que cet endroit est vraiment exceptionnel, et y développer une véritable communauté autour de l’IA. Je veux aussi que la France et l’Europe obtiennent la place qu’elles méritent dans le monde en ce qui concerne l’IA, en veillant à ce que l’IA soit utilisée à bon escient, que la Côte d’Azur soit identifiée comme l’endroit idéal pour l’IA durable, et enfin que les gens ne craignent plus l’IA.

Jean-Michel : Je suis un passionné d’aviation et d’informatique. Heureusement pour moi, les voyages et l’aviation en particulier sont des domaines pleins de défis combinatoires, très complexes à résoudre et à optimiser. Chez Amadeus, nous sommes déjà pleinement engagés dans le déploiement de l’IA. Nous sommes également engagés depuis de nombreuses années dans le développement de systèmes ouverts et interopérables, car nous pensons que c’est en combinant les meilleurs services « atomiques » que nous apporterons une plus grande valeur ajoutée à nos clients, à l’industrie du voyage et aux voyageurs. Mais nous savons aussi que, comme toute évolution de ce genre, elle a besoin de temps, d’expérience, de tests et d’apprentissage. L’IA s’accompagne de nombreuses questions et défis sans réponse. Avec ICAIR, nous faisons partie de l’apprentissage, de l’enseignement, et nous voulons y répondre de la bonne manière.

 

 

 

Les membres sont des entreprises internationales avec des sites sur la Côte d’Azur et menant des recherches en IA :

  • Accenture,
  • ACRI-ST,
  • AIRFRANCE KLM,
  • Amadeus,
  • ARM,
  • Hewlett Packard Enterprise,
  • IBM,
  • NXP Semiconductors,
  • Orange,
  • Renault Software Labs,
  • SAP Labs France,
  • STMicroelectronics,
  • Thales Alenia Space.

Le programme touche l’ensemble de l’écosystème du label 3IA de la Côte d’Azur :

  • Académiques : Institut 3IA, UCA (Université Côte d’Azur), Ecoles, Centres de Recherche
  • Secteurs d’activité : ICAIR, ClusterIA
  • Institutions : MIA, OTESIA, EuropIA
  • Associations : Telecom Valley, Pôle SCS

Des initiatives liées à l’IA lancées par ces acteurs soutiennent la dynamique territoriale de la Côte d’Azur. Elles se rapportent aux objectifs de développement durable des Nations unies et constituent le champ d’application du programme « IA durable ».

En savoir plus : ICAIR – Industrial Council of Artificial Intelligence Research

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Source de l’article sur sap.com

L’upskilling des effectifs est depuis longtemps une priorité pour les organisations. Aujourd’hui, alors que les dirigeants réagissent aux perturbations mondiales, avec pour beaucoup un personnel en télétravail, ils s’appuient plus que jamais sur les technologies et les systèmes de gestion de la formation (LMS).

La crise mondiale du COVID-19 et l’instabilité économique obligent de nombreuses entreprises à « faire plus avec moins » en matière de reskilling et d’upskilling. Heureusement, les technologies de formation sont suffisamment matures pour que les entreprises puissent choisir parmi une gamme de fonctionnalités adaptées à leurs besoins et à leur budget.

Lorsque Discovery, compagnie d’assurance multinationale est passée au travail à distance, les RH ont identifié qu’environ 500 de ses collaborateurs n’étaient pas productifs. Plutôt que de chercher des solutions de court terme pour améliorer la productivité, la compagnie s’est focalisée sur la préparation du personnel aux métiers de l’avenir, par le reskilling. La priorité de l’entreprise reste ses salariés – et cela inclut de les équiper pour demain.

En période de croissance comme de crise les dirigeants s’efforcent de trouver les meilleures solutions pour leurs collaborateurs. Par exemple, les hôpitaux, les instituts de recherche et les organismes de santé répondent aux besoins du personnel de première ligne en créant des technologies de formation et des ressources éducatives visant à prévenir et limiter l’exposition au COVID-19.

Bien que les dernières avancées changent la donne pour les LMS, tous les investissements technologiques ne conviennent pas nécessairement à toutes les entreprises. Voici les éléments que les entreprises peuvent considérer lorsqu’elles investissent dans une nouvelle solution.

1. Des fonctionnalités liées à vos objectifs

Lorsqu’on choisit parmi toutes les options proposées par les technologies de formation, la première chose à vérifier est que les fonctionnalités répondent aux besoins, aux objectifs et à la stratégie des effectifs de l’entreprise. Pour beaucoup d’organisations, des plates-formes flexibles et ouvertes peuvent être nécessaires pour prendre en charge les nombreux éléments critiques.

Par exemple, une entreprise énergétique pourrait limiter l’accès à une zone particulière d’une installation nucléaire aux employés ayant complété une formation obligatoire et certifiante. L’entreprise aurait alors besoin d’un système de gestion de la formation (LMS) capable d’intégrer la certification des employés à ses formations et opérations sensibles.

De même, une entreprise pharmaceutique pourrait avoir besoin de valider l’apprentissage pour se conformer aux réglementations nationales sur les médicaments. Une solution qui offre de l’innovation au niveau de l’écosystème, y compris des applications partenaires, peut fournir des fonctionnalités supplémentaires et flexibles tout au long du cycle de vie des collaborateurs (y compris lors du recrutement, de l’onboarding, du développement et de la gestion de la succession). Si certaines grandes entreprises peuvent avoir besoin de solutions ouvertes qui prennent en charge divers cas d’utilisation, d’autres peuvent vouloir une solution adaptée à un secteur spécifique, comme l’éducation ou la santé. Quoi qu’il en soit, les entreprises devrait prendre le temps de rechercher la technologie pouvant soutenir au mieux leurs objectifs.

2. Flexibilité

De nombreuses entreprises ayant des sites multiples ou un important personnel auront besoin d’un LMS orienté entreprise si elles s’engagent dans le reskilling de centaines voire de centaines de milliers d’employés.

Avec la généralisation du télétravail, les PME/ETI peuvent également avoir besoin d’un LMS qui puisse être étendu au domicile de leurs employés de manière sûre et efficace. Les technologies d’apprentissage mobiles accessibles en déplacement, y compris sur smartphones, pourraient améliorer l’adoption par les télétravailleurs et les employés qui manquent de temps de formation dédié, comme les commerciaux terrain.

Si les outils qui intègrent des formations en réalité virtuelle (VR) ou en réalité augmentée (AR) ne sont peut-être pas adaptés à toutes les situations, ils peuvent être utiles pour préparer les collaborateurs à des situations d’urgence ou à des scénarios uniques. Ces technologies émergentes sont un excellent exemple de la manière dont les outils de formation modernes peuvent aider les entreprises à relever de nouveaux défis et aider les collaborateurs à se perfectionner et se requalifier.

Walmart, par exemple, a formé plus d’un million d’employés en 2019 à la réalité virtuelle afin de proposer un apprentissage immersif. L’entreprise a également envoyé des casques VR dans les magasins pour entraîner les employés à la mise en place d’une machine qui récupère les commandes passées en ligne. Se libérant ainsi de la nécessité d’envoyer plusieurs personnes pour l’assembler, l’entretenir et dispenser une formation.

Qu’ils travaillent dans le retail, sur des plateformes pétrolières ou dans des exploitations agricoles, de nombreux employés pourraient atteindre de nouveaux niveaux de productivité et d’engagement grâce à des solutions personnalisables et flexibles.

3. Collaboration entre les employés – et les employeurs

Dans de nombreux cas, permettre aux collaborateurs de piloter leur apprentissage peut améliorer l’adoption des programmes, l’engagement et la culture de l’apprentissage. De nombreux employés réagiront positivement à l’upskilling itératif. Lequel leur apporte un sentiment d’appartenance et de fierté. Cet upskilling itératif peut par exemple prendre la forme de vidéos produites par les collaborateurs et partagées avec leurs collègues.

L’apprentissage social peut apporter des avantages à un personnel en télétravail. En atténuant l’isolement, l’anxiété et le manque de motivation auxquels les équipes peuvent être confrontées. Les social boards, chats et « missions » gamifiées sont quelques-unes des caractéristiques des LMS qui peuvent améliorer la collaboration tout en maintenant la distanciation physique. Les managers peuvent également utiliser ces fonctionnalités pour cibler les compétences qui correspondent aux nouvelles priorités et encourager les équipes à atteindre leurs objectifs.

4. La gestion du changement en support  

Intégrer un programme d’upskilling dans toute l’entreprise est une initiative majeure qui relève de la gestion du changement. L’alignement des valeurs, des personnes et de la culture d’entreprise pour atteindre un résultat souhaité ne viendra pas uniquement de l’adoption d’une nouvelle technologie. La gestion du changement occupe une place essentielle dans les discussions relatives à l’expérience de formation. Et ce pour au moins trois raisons.

  • Premièrement, s’assurer que la technologie est adaptée à l’organisation et au personnel permet d’augmenter son taux d’adoption et d’en tirer meilleur parti.
  • Deuxièmement, une gestion du changement réactive et basée sur les données permet de prolonger la durée de vie de la technologie.
  • Troisièmement, l’intégration d’une technologie de formation dans une organisation requiert une gouvernance. Elle nécessite notamment d’affecter la responsabilité sur les rôles et les données segmentées que vous pouvez collecter. De nombreux experts du reskilling vous diront que la gouvernance est toute aussi importante, si ce n’est plus, que la technologie de formation elle-même.

Les RH ne sont pas les seuls à investir dans ces solutions. La majorité des utilisateurs sont rattachés à la sécurité, conformité et formation à la vente. Alors que les budgets restent serrés et que des tensions peuvent surgir entre les services pour savoir qui doit avoir le contrôle des priorités en matière de reskilling et d’upskilling, les fonctionnalités des LMS devraient fournir un vrai retour sur investissement (ROI). Les bénéfices peuvent inclure le gain de temps lié à la recherche et au partage d’informations ; ou l’augmentation des revenus (ou réduction des coûts) résultant de la normalisation des technologies et du soutien à la formation. Par exemple, une étude indépendante sur SAP Jam, réalisée par Forrester Consulting, a révélé que le ROI moyen a augmenté de 18,5 % entre 2016 et 2018, les clients ayant trouvé davantage de façons d’utiliser la plateforme de collaboration.

Pour soutenir la gestion du changement qui accompagne l’introduction d’une nouvelle technologie, les entreprises doivent chercher des solutions qui offrent la possibilité de bêta-tester, d’itérer et d’adapter cette technologie aux besoins des collaborateurs. Les logiciels d’entreprise doivent offrir un support client aux dirigeants et aux employés pour une expérience d’apprentissage sans faille.

« De nombreux experts du reskilling vous diront que la gouvernance est toute aussi importante, si ce n’est plus, que la technologie de formation elle-même »

5. Méfiez-vous des mots à la mode et restez concentré sur vos collaborateurs

Les LMS d’aujourd’hui peuvent utiliser des technologies de pointe comme l’intelligence artificielle (IA) et le machine learning pour fournir tout ce qui est nécessaire, du coaching aux plans de développement des collaborateurs. Et ce à une échelle jamais atteinte auparavant. Mais alors que les dirigeants évaluent les options de LMS qui offrent ces nouvelles technologies et ces mots à la mode, il est important qu’ils restent d’abord engagés dans une stratégie des effectifs axée sur les objectifs de l’entreprise.

Si des fonctions comme la gamification et l’apprentissage social peuvent avoir un impact majeur pour certaines organisations, elles peuvent manquer de pertinence pour d’autres. Pour de nombreuses organisations, l’apprentissage classique en salle avec un formateur pourrait encore avoir toute sa place à l’avenir. L’écoute continue des collaborateurs fournira des informations utiles pour répondre à leurs besoins et concevoir une expérience d’apprentissage efficace.

De nombreux experts de l’upskilling conviendront que la formation et l’upskilling est un défi pour les employés et les employeurs. Alors que les entreprises investissent massivement dans les nouvelles technologies, l’objectif premier est d’investir efficacement dans le personnel.

La stratégie à long terme d’une entreprise en matière d’effectifs ne se limite pas au système de gestion de la formation (LMS) qu’elle a choisi. La gestion de l’expérience de formation inclut les nouvelles compétences et connaissances que les personnes vont acquérir ainsi qu’une méthode de travail efficace et agile. Un excellent programme d’upskilling aidera les collaborateurs à pivoter vers les nouveaux rôles qu’ils devront occuper demain et à soutenir l’innovation de rupture dans toute l’entreprise.

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com