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Démarrer avec Jenkins

Découvrez comment démarrer avec Jenkins et profitez de ses avantages pour automatiser vos processus de développement.

Jenkins, un pilier de l’automatisation logicielle depuis plus d’une décennie grâce à ses outils riches en fonctionnalités et son adaptabilité.

Jenkins est un outil d’automatisation de logiciels très populaire depuis plus d’une décennie, grâce à ses fonctionnalités riches et sa grande adaptabilité. Bien que de nombreuses alternatives impressionnantes soient apparues sur le marché, Jenkins reste l’un des vétérans. Malgré son succès, Jenkins peut être difficile à apprendre et sauter dans le vaste monde des plugins et des fonctionnalités Jenkins peut rapidement devenir déroutant.

Dans cet article, nous allons décomposer cette complexité en comprenant d’abord les fondements et les concepts qui sous-tendent Jenkins. Avec cette base, nous apprendrons comment créer un pipeline simple dans Jenkins pour construire et tester une application. Enfin, nous examinerons comment améliorer cet exemple simple pour en faire un projet plus complexe et explorerons quelques alternatives à Jenkins.

Afin de pouvoir bien comprendre Jenkins, il est important de connaître les bases de la base de données. Une base de données est une collection organisée de données qui peut être facilement consultée, modifiée et mise à jour. Jenkins utilise une base de données pour stocker des informations telles que les paramètres du projet, les informations sur les builds et les informations sur les tests. Les bases de données sont également utilisées pour stocker des informations sur les plugins et les outils qui sont utilisés par Jenkins.

Une fois que nous avons compris la base de données, nous pouvons passer à la création d’un pipeline Jenkins pour construire et tester une application. Un pipeline est un ensemble d’étapes qui sont exécutées dans un ordre spécifique afin de produire un résultat final. Les pipelines Jenkins peuvent être configurés pour exécuter des tâches telles que la compilation du code source, le déploiement de l’application et le test des fonctionnalités. Les pipelines peuvent également être configurés pour envoyer des notifications lorsque des erreurs sont détectées ou lorsque des tests échouent.

Une fois que nous avons compris comment créer un pipeline Jenkins simple, nous pouvons passer à des projets plus complexes. Les pipelines Jenkins peuvent être configurés pour exécuter des tâches plus complexes telles que le déploiement dans le cloud, l’intégration continue et le déploiement continu. Ces pipelines peuvent également être configurés pour exécuter des tests plus complexes tels que les tests d’intégration et les tests de performance. Enfin, nous pouvons également explorer des alternatives à Jenkins telles que Travis CI, CircleCI et GitLab CI.

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Les 3 meilleures librairies de formulaires React.

Découvrez les 3 meilleures librairies de formulaires React pour créer des formulaires modernes et intuitifs !

## Comment pouvons-nous simplifier le travail à mesure que nos formulaires de projet React deviennent de plus en plus complexes ? Créer et gérer des formulaires dans React peut être un défi et prendre du temps. Heureusement, des bibliothèques tierces peuvent aider. De nombreuses bibliothèques de formulaires exceptionnelles sont disponibles qui peuvent simplifier le processus et rendre le développement de formulaires React plus efficace et plus agréable.

Formik

Formik est une bibliothèque open source qui a été créée par Jared Palmer et qui est très populaire dans la communauté React. Il est conçu pour simplifier la création et la gestion des formulaires complexes dans React. Il fournit des composants prêts à l’emploi qui peuvent être intégrés à des applications React. Formik est très facile à apprendre et à utiliser et permet aux développeurs de créer des formulaires complexes en quelques lignes de code. Il fournit également des outils puissants pour la validation des données, le traitement des erreurs et la gestion des états.

React Hook Form

React Hook Form est une autre bibliothèque open source pour la création et la gestion des formulaires React. Il a été créé par Andrey Okonetchnikov et est très populaire dans la communauté React. Il est conçu pour simplifier la création et la gestion des formulaires complexes dans React. Il fournit un ensemble de composants prêts à l’emploi qui peuvent être intégrés à des applications React. React Hook Form est très facile à apprendre et à utiliser et permet aux développeurs de créer des formulaires complexes en quelques lignes de code. Il fournit également des outils puissants pour la validation des données, le traitement des erreurs et la gestion des états.

React Final Form

React Final Form est une autre bibliothèque open source pour la création et la gestion des formulaires React. Il a été créé par Erik Rasmussen et est très populaire dans la communauté React. Il est conçu pour simplifier la création et la gestion des formulaires complexes dans React. Il fournit un ensemble de composants prêts à l’emploi qui peuvent être intégrés à des applications React. React Final Form est très facile à apprendre et à utiliser et permet aux développeurs de créer des formulaires complexes en quelques lignes de code. Il fournit également des outils puissants pour la validation des données, le traitement des erreurs et la gestion des états. De plus, il offre une architecture modulaire qui permet aux développeurs de personnaliser leurs formulaires en fonction de leurs besoins spécifiques.

Conclusion

Il existe de nombreuses bibliothèques de formulaires React disponibles sur le marché qui peuvent simplifier le processus de développement des formulaires React. Les trois bibliothèques les plus populaires sont Formik, React Hook Form et React Final Form. Chacune d’entre elles offre une architecture puissante et modulaire qui permet aux développeurs de créer des formulaires complexes en quelques lignes de code. Elles offrent également des outils puissants pour la validation des données, le traitement des erreurs et la gestion des états. En fin de compte, le choix de la bibliothèque dépendra du projet spécifique et des besoins du développeur.

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Questions d'entretien pour Scrum Master - Édition ChatGPT

Vous cherchez des questions d’entretien pour un Scrum Master ? Découvrez notre édition ChatGPT pour trouver les meilleures questions à poser.

Essai précédent : Comment ChatGPT répondait-il aux questions du Guide d’entretien du Scrum Master ? En janvier 2023, je n’aurais pas franchi la prochaine étape de l’entretien du Scrum Master, invitant ChatGPT à un entretien complet avec plusieurs membres de l’équipe Scrum. Alors, si les modèles GPT 3.5 ou 4.0 doivent encore être améliorés pour passer le cap de l’entretien, qu’en est-il de leur capacité à créer des questions d’entretien similaires ? Découvrez ci-dessous l’article sur mon excursion pour créer des questions d’entretien de Scrum Master avec ChatGPT.

Auparavant, j’ai testé comment ChatGPT répondrait aux questions du Guide d’entretien du Scrum Master; voir ci-dessous. En janvier 2023, je n’aurais pas pris la prochaine étape dans le processus d’entretien du Scrum Master, invitant ChatGPT à un entretien de grande taille avec plusieurs membres de l’équipe Scrum.

Donc, si les modèles GPT 3.5 ou 4.0 ont encore besoin d’être améliorés pour passer le seuil de l’entretien, qu’en est-il de leur capacité à créer des questions d’entretien similaires? Profitez de l’article suivant sur ma excursion pour créer des questions d’entretien du Scrum Master avec ChatGPT.

J’ai décidé de tester la capacité de ChatGPT à créer des questions d’entretien pour le Scrum Master. Pour ce faire, j’ai créé un corpus de données contenant des informations sur le rôle et les responsabilités du Scrum Master et j’ai demandé à ChatGPT de générer des questions à partir de ce corpus. J’ai été agréablement surpris par les résultats. Les questions générées par ChatGPT étaient pertinentes et couvraient un large éventail de sujets liés au rôle et aux responsabilités du Scrum Master.

Ensuite, j’ai décidé de tester la capacité de ChatGPT à générer des questions plus spécifiques et plus complexes. Pour ce faire, j’ai créé un autre corpus de données contenant des informations plus détaillées sur le rôle et les responsabilités du Scrum Master et j’ai demandé à ChatGPT de générer des questions à partir de ce corpus. De nouveau, les résultats étaient très satisfaisants. Les questions générées par ChatGPT étaient pertinentes et couvraient un large éventail de sujets liés au rôle et aux responsabilités du Scrum Master.

Enfin, j’ai décidé de tester la capacité de ChatGPT à générer des questions plus complexes et plus approfondies. Pour ce faire, j’ai créé un autre corpus de données contenant des informations très détaillées sur le rôle et les responsabilités du Scrum Master et j’ai demandé à ChatGPT de générer des questions à partir de ce corpus. Une fois encore, les résultats étaient très satisfaisants. Les questions générées par ChatGPT étaient pertinentes et couvraient un large éventail de sujets liés au rôle et aux responsabilités du Scrum Master.

Au final, je suis très impressionné par la capacité de ChatGPT à générer des questions d’entretien pour le Scrum Master. Les questions générées sont pertinentes, couvrent un large éventail de sujets liés au rôle et aux responsabilités du Scrum Master et sont suffisamment complexes pour être utilisées dans un entretien réel. Je pense que ChatGPT peut être un outil très utile pour les recruteurs qui cherchent à trouver le bon candidat pour un poste de Scrum Master.

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L'efficacité magique des composants en ingénierie

L’ingénierie est une science qui combine des composants magiques pour créer des solutions innovantes et efficaces. Découvrez l’efficacité magique des composants en ingénierie !

Comment les habitudes de vie peuvent être améliorées par l’ingénierie logicielle ?

By building a strong architecture, you can layer on additional features and capabilities that will make your software more efficient.

L’architecture est l’un des éléments clés pour créer des habitudes qui changent la vie. Cela est également vrai pour l’efficacité en ingénierie logicielle. En construisant une architecture solide, vous pouvez ajouter des fonctionnalités et des capacités supplémentaires qui rendront votre logiciel plus efficace.

L’architecture logicielle est un élément essentiel de tout projet de développement de logiciel. Il s’agit d’un cadre qui définit la structure et le comportement du système et fournit une base solide pour le développement et le déploiement de logiciels. Une bonne architecture permet à l’équipe de développement de concevoir et de développer un logiciel plus efficacement et plus rapidement.

Une bonne architecture permet également de réduire les coûts de développement et de maintenir un niveau élevé de qualité et de fiabilité du logiciel. Une architecture solide peut aider à réduire les risques et à améliorer la qualité du produit final. Elle peut également améliorer la scalabilité et la flexibilité du logiciel, ce qui permet aux développeurs de mettre en œuvre des fonctionnalités supplémentaires plus rapidement et plus facilement.

Enfin, une bonne architecture peut aider à améliorer la sécurité du logiciel. Une architecture bien conçue peut aider à réduire les vulnérabilités et à améliorer la résistance aux attaques. Cela permet aux développeurs de créer des applications plus sûres et plus fiables pour leurs utilisateurs.

En somme, l’architecture est un élément essentiel pour créer des logiciels efficaces. Une architecture solide peut aider à réduire les coûts de développement, à améliorer la qualité et la fiabilité du produit final, à améliorer la scalabilité et la flexibilité du logiciel et à améliorer la sécurité du logiciel. En adoptant une architecture efficace et en ajoutant des fonctionnalités supplémentaires, vous pouvez créer un logiciel plus efficace et plus robuste.

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SGD Pharma est une entreprise internationale, leader sur le marché des emballages pharmaceutiques en verre, à la pointe de la qualité et conforme aux Pharmacopées internationales.

Conscient que le patient est l’utilisateur final de ses produits, SGD Pharma axe sa politique qualité groupe sur le respect strict des Bonnes Pratiques de Fabrication Pharmaceutiques. L’ensemble des sites sont dédiés à la pharmacie et certifiés ISO 15378. Chaque flacon est contrôlé et emballé en salle propre de la classe ISO 8.

SGD Pharma met également tout en œuvre pour assurer la continuité de l’approvisionnement des flacons pour protéger ses clients et patients.

 

Objectif : stabiliser la paie de SGD Pharma

La paie de SGD Pharma étant historiquement très complexe, l’impératif était de la stabiliser et la fiabiliser.

SDG Pharma ayant déjà fait le choix de SAP SuccessFactors et HR Path pour le SIRH, il était logique et naturel de conserver les mêmes partenaires pour l’ensemble des processus RH du recrutement jusqu’à la paie.

La volonté première de SGD Pharma était de pérenniser sa paie pour assurer un niveau de service optimal et la pleine satisfaction des clients internes et des salariés.

En parallèle, SGD Pharma avait pour volonté de simplifier et standardiser les fonctionnalités de son SIRH avec une forte dimension internationale.

Les deux objectifs principaux étaient donc d’avoir une solution globale de gestion de la paie et des ressources humaines pour la France, et l’harmonisation des process comme la performance, la revue de salaire, la Time off à l’international par le biais du SIRH.

 

Un plan d’action en deux parties

HR Path a soutenu SGD Pharma dans ce projet à partir des outils déjà en place au sein de l’entreprise.

Les actions se sont axées selon deux volets :

1 – La stabilisation de la paie avec la définition du besoin, la mise en place d’un cahier des charges complet avec le support d’une équipe dédiée. Durant la phase de mise en place, des réunions hebdomadaires ont été organisées pour suivre le bon déroulement du projet et gérer les priorités. L’écoute et la flexibilité dont a fait preuve l’équipe a permis en quelques mois d’arriver à un excellent niveau de satisfaction.

2 – Une seconde équipe a travaillé sur le développement du SIRH SAP SuccessFactors pour réaliser dans un premier temps un audit complet des pratiques et pour définir les axes d’améliorations. L’enjeu pour SGD Pharma consistait à optimiser l’outil et en faciliter la prise en main.

En parallèle, il y a eu un travail sur la simplification du formulaire de performance pour une meilleure adhésion des utilisateurs.

Une relation de confiance et de proximité s’est rapidement créée entre les équipes de SGD Pharma et celles d’HR Path.

 

Des retours positifs et des salariés satisfaits

Les bénéfices constatés par ce projet et remontés par les équipes sont une meilleure fiabilisation de la paie avec une grande satisfaction de tous les acteurs.

Le déploiement du formulaire de performance 2023 a été un succès et les retours sont très positifs (adhésion des collaborateurs, processus plus lisibles, temporalité claire avec une simplification des étapes, implication des RH…)

 

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Tutoriel de plan de test complet : guide exhaustif avec exemples

Apprenez à créer un plan de test complet avec ce tutoriel exhaustif qui vous fournit des exemples pratiques.

Test Plan: Un Document Précieux qui Décrit la Stratégie de Test pour un Projet Logiciel ou Matériel

Un plan de test est un document précieux qui décrit la stratégie de test pour un projet logiciel ou matériel. C’est un document qui définit la portée des tests, les ressources nécessaires, l’environnement de test et les cas de test qui seront exécutés. Son objectif est de s’assurer que le processus de test est approfondi et complet et que tous les tests nécessaires sont menés de manière systématique et coordonnée.

Il sert de document détaillé pour assurer le bon fonctionnement du logiciel. La sortie de la phase de test est directement liée à la qualité de la planification qui y est associée. Ces plans de test sont généralement développés pendant la phase de développement pour gagner du temps lors de l’exécution des tests et parvenir à un accord mutuel avec toutes les parties prenantes.

Le plan de test est un document essentiel pour tout projet logiciel ou matériel. Il permet d’identifier les tests à effectuer, les ressources nécessaires et l’environnement dans lequel ils doivent être exécutés. Il est également utile pour déterminer le niveau de qualité du produit final et pour s’assurer que tous les tests ont été effectués correctement et complètement. Les plans de test peuvent également être utilisés pour documenter les résultats des tests et fournir des informations sur la qualité du produit.

Le plan de test est un outil puissant pour garantir la qualité d’un produit logiciel ou matériel. Il permet aux parties prenantes d’avoir une vision claire des tests à effectuer et des ressources nécessaires pour les exécuter. En outre, il permet aux développeurs et aux testeurs de se concentrer sur leurs tâches respectives et d’atteindre leurs objectifs plus rapidement et plus efficacement. Enfin, il permet aux utilisateurs finaux d’obtenir un produit final fiable et conforme aux spécifications.

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Avec l’aide de TeamWork, Albéa a adopté les solutions SAP Asset Manager et SAP Plant Maintenance, afin d’équiper ses techniciens de maintenance d’une solution moderne et mobile. Ce core model sera prochainement déployé sur l’ensemble des sites industriels du groupe.

 

Leader mondial des tubes et emballages pour les produits cosmétiques et parfums. Albéa adresse un large panel de clients, dont des marques prestigieuses comme L’Oréal et Clarins. L’industriel dispose de 43 sites répartis dans 15 pays, où travaillent plus de 12 500 employés. Albéa a réalisé un chiffre d’affaires 2021 de 1,2 milliard de dollars.

La plupart des usines d’Albéa ne disposent pas d’outil dédié pour suivre les activités de maintenance. « Notre objectif était de mettre en place un outil commun pour gérer la maintenance et accompagner les techniciens avec des processus digitalisés et automatisés, tout en favorisant leur mobilité au sein de leur lieu de travail », résume Émilie Ganot, Business Relationship Manager, Supply Chain & Manufacturing, Albéa.

Un premier site pilote a été désigné pour accueillir cette solution, l’usine Albéa Argonne de Sainte-Menehould, le principal site industriel du groupe en France.

SAP Asset Manager : une offre mobile et ergonomique

Les usines d’Albéa, dont celle de Sainte-Menehould, travaillent la plupart sur un ERP SAP ECC. Certains utilisateurs étaient toutefois réticents à l’idée d’adopter SAP Plant Maintenance (SAP PM), jugé trop peu ergonomique et trop coûteux à maintenir. Plusieurs offres de GMAO ont été étudiées au fil des ans, mais elles restaient complexes à intégrer avec la gestion des stocks et le contrôle de gestion.

« Lors d’une démonstration de SAP Asset Manager (SAP AM), nous avons découvert un outil ergonomique, qui permet aux opérateurs de maintenance d’utiliser une tablette pour saisir leurs opérations et faire remonter des informations dans SAP PM. Nous avons alors validé l’utilisation de SAP AM, avec SAP PM en back-end, » témoigne Astrid Chauvin, Business Relationship Manager, Supply Chain & Manufacturing, Albéa.

Premier avantage, la solution s’interface nativement avec SAP ECC et ses différents modules (stocks, achats et finance). L’interface repose sur la technologie Fiori, qui permet de proposer une expérience utilisateur optimisée, compatible avec les terminaux mobiles. Enfin, l’application offre la capacité de saisir des données hors connexion, ce qui peut être très utile en environnement industriel.

TeamWork a assuré, en collaboration avec Albéa, l’intégration de cette solution. « TeamWork est un partenaire de confiance avec lequel nous aimons travailler, poursuit Astrid Chauvin. La force de TeamWork est de savoir aborder les sujets tant sur leurs aspects fonctionnels que techniques, le tout avec une forte connaissance métier. De plus, c’est une structure à taille humaine, très accessible. »

Une solution bien acceptée

« Le site Albéa Argonne est une grosse usine, comprenant 20 lignes de fabrication et 550 salariés, dont 20 techniciens de maintenance travaillant en 24/7, détaille Émilie Ganot. Nous avons décidé dans un premier temps de déployer la solution sur deux lignes pilotes. Le core model que nous allons mettre au point sera ensuite déployé sur le reste de l’usine, puis sur les autres sites industriels du groupe. »

Dans l’absolu, le déploiement de SAP AM reste un projet assez simple. Albéa a dû toutefois déployer simultanément SAP AM et SAP PM. De plus, l’intégration mobile – native dans SAP S/4HANA – a nécessité la mise en place d’un add-on spécifique sous SAP ECC. Enfin, la solution SAP AM repose sur des services mobiles de la SAP Business Technology Platform, qu’il a donc fallu aussi mettre en place et configurer. Au final, 5 mois ont été nécessaires entre le kick off du projet et le go live de la solution.

« Notre plus grande surprise a été l’adhésion des utilisateurs, note Astrid Chauvin. Ils ne voulaient initialement pas utiliser la solution SAP PM. En leur proposant SAP AM, nous avons donc eu l’impression de jouer à quitte ou double. Mais, dès que les utilisateurs ont entamé le projet avec nous et vu comment l’outil se présentait sur des tablettes, l’enthousiasme a été immédiat. Ceci nous a confortés dans l’idée que nous avions fait le bon choix. »

Reste que la solution n’est pas sans défauts. Si son cœur ne connaît qu’une grosse mise à jour par an, cette mise à jour peut avoir des implications aussi bien sur SAP AM, SAP PM que la SAP BTP. Quant à l’application mobile, elle est mise à jour bien plus fréquemment. Les équipes ont donc dû apprendre à gérer une solution hybride, mêlant on premise, cloud et mobilité.

La satisfaction prévaut toutefois depuis le go live. Prochaine étape sur le court et moyen terme, le déploiement de ce core model sur les autres lignes de production du groupe. À plus long terme, Albéa espère tirer profit du couple SAP AM / SAP PM pour se lancer dans la maintenance prédictive de ses outils de production.

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Pour la cinquième année consécutive, nous publions les résultats de SAP Labs France portant sur l’Index égalité femmes-hommes. SAP Labs France obtient la note de 89/100 au titre de l’année 2022.

Cet Index a été calculé sur la base de 5 indicateurs :

  • Les écarts de rémunération : 39/40 points
  • La répartition des augmentations : 20/20 points
  • La répartition des promotions : 15/15 points
  • Le pourcentage de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité : 15/15 points
  • Mixité des dix plus hauts salaires : 0/10 points

L’index SAP Labs France, publié en 2023, met en lumière l’augmentation du score final par rapport à l’an passé (89/100 versus 79/100 l’an passé) grâce aux indicateurs 2 (augmentations) et 3 (promotions) qui progressent et obtiennent la note maximale.​ SAP Labs France maintient la note maximale sur l’aspect augmentations salariales pour les femmes au retour de congé maternité.

La parité et la mixité étaient une priorité pour SAP Labs France bien avant la mise en place de l’Index égalité professionnelle.

SAP Labs France est en effet engagée dans une politique à long terme dans ces domaines avec notamment la mise en place de plans d’action égalité femme/homme et des analyses de rémunération régulières. Notre Accord n’aborde pas uniquement la question des salaires mais également des formations, du recrutement, du développement, etc. Autant d’éléments impactant l’égalité professionnelle. Eléments que l’index, tel qu’il est construit aujourd’hui ne permet pas de mesurer.

SAP Labs France entend poursuivre ses efforts et ses engagements dans le domaine de l’égalité professionnelle. 

Pour rappel, la publication de cet index est obligatoire.

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Source de l’article sur sap.com

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

Lire le témoignage

 

« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

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Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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WALLDORF — SAP SE (NYSE: SAP) today announced its financial results for the fourth quarter and fiscal year ended December 31, 2022.

SAP Announces Q4 and FY 2022 Results

  • All financial outlook metrics met in FY 2022
  • Cloud revenue up 33% and up 24% at constant currencies in FY 2022. Q4 S/4HANA cloud revenue further accelerates, up 101% and up 90% at constant currencies
  • Current cloud backlog exceeds €12 billion, up 27% and up 24% at constant currencies
  • IFRS cloud gross profit up 38%, non-IFRS cloud gross profit up 37% and up 28% at constant currencies in FY 2022
  • IFRS operating profit flat, non-IFRS operating profit down 2% and down 7% at constant currencies in FY 2022. Q4 IFRS operating profit up 17%, non-IFRS operating profit up 5% and up 2% at constant currencies
  • 2023 outlook anticipates accelerating topline and double-digit non-IFRS operating profit growth
  • Targeted restructuring in 2023 reflects focus on strategic growth areas and accelerated cloud transformation
  • SAP has decided to explore a sale of its stake in Qualtrics

“SAP is more resilient than ever. We end 2022 with continued strong cloud momentum and a return to operating profit growth in the fourth quarter, marking an important inflection point. Heading into 2023, this gives us great confidence in delivering on our promise of accelerating topline and double-digit non-IFRS operating profit growth. As we enter the next chapter of SAP, I want to thank Luka for his great partnership on this journey.”

Christian Klein, CEO

“In my 37th and final earnings for SAP, I am proud that the SAP team is announcing excellent results and continued cloud momentum. We are on track to deliver our growth and profitability commitments for 2023. I am extremely confident in the continued success of SAP’s most exciting transformation in its history. Thank you to the wonderful SAP family that I have been part of for 27 years.”

Luka Mucic, CFO

 

Read the Quarterly Statement

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