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When I first started following Charity on Twitter back in early 2019, I was quickly overwhelmed by the new words and concepts she was discussing. I liked the results she described: faster debugging, less alert fatigue, happier users. Those are all things I wanted for my team! But I was hung up on these big polysyllabic words, which stopped me from taking those first steps toward improving our own observability.

This post is my attempt to help orient folks who want to learn more about observability but maybe feel overwhelmed or intimidated by the vocabulary list, like I did. My goal is to get everyone on the same page about what these words mean so that we can focus on leveraging the tools and ideas to build better software and deliver more value! 

Source de l’article sur DZONE

Comment améliorer, contrôler et automatiser ses processus ? L’utilisation de SAP Cloud Platform permet aux entreprises d’atteindre leurs objectifs de Process Excellence.

Une connaissance fine des processus et la capacité à les améliorer en continu sont les clés de l’excellence opérationnelle de l’entreprise. Ceci nécessite agilité, collaboration, automatisation et intelligence dans les processus.

Cet objectif d’excellence des processus peut être atteint au travers d’un cycle comprenant quatre étapes :

  1. compréhension des processus ;
  2. amélioration des processus ;
  3. automatisation des processus ;
  4. surveillance et ajustement des processus.

« Il est essentiel de comprendre les processus existants, avant de pouvoir les améliorer et en tirer plus de valeur », résume Olivier Enault, Presales for Information & Process Excellence, SAP France. La première phase consiste donc à découvrir les processus au travers de la technologie Process Mining de Celonis, qui va les détecter et les analyser.

Redessiner les processus avec SAP Cloud Platform Workflow

SAP Cloud Platform Workflow va permettre de créer ou redéfinir des processus, de façon transparente et simple. « SAP Cloud Platform Workflow propose un moteur complet de design et d’orchestration des workflows, explique Laurent Rieu, Business Development Director EMEA, SAP. Il permet de digitaliser des processus précédemment basés sur des opérations manuelles (par exemple des échanges de mails) et de les orchestrer de manière rigoureuse. »

L’exemple type de processus RH est l’arrivée d’un nouvel employé. En liaison avec le SI, le processus va enchainer des actions, combinant des règles métiers prédéfinies et des tâches effectuées manuellement. Un premier manager va par exemple vérifier que le coach et le matériel assigné à l’employé sont les bons. Un second va se charger d’organiser le déplacement du nouvel employé, lié à sa formation, etc. Et en fin de chaine, il sera possible de collecter l’expérience utilisateur au travers de l’offre Qualtrics, afin d’améliorer encore ce processus.

Automatiser les processus avec SAP Intelligent RPA

Toutes les tâches sans valeur ajoutée sont ensuite automatisées au travers de SAP Intelligent Robotic Process Automation. « Lancés par les utilisateurs ou déclenchés automatiquement suivant un évènement donné, les robots proposent un ROI très rapide, témoigne Laurent Rieu. Les projets de RPA sont courts (quelques semaines) et libèrent immédiatement du temps pour les collaborateurs de l’entreprise. »

L’objectif n’est pas d’éliminer l’humain de l’équation, mais d’automatiser tout ce qui peut l’être. Selon les cas, les processus seront donc entièrement automatisés (sous la supervision d’un responsable) ou partiellement automatisés, les robots servant alors de lien et de support aux différents intervenants.

Déploiement et surveillance assurés par SAP Cloud Platform

Les processus sont déployés par la suite sur SAP Cloud Platform. Le monitoring est alors pris en charge par SAP Cloud Platform Process Visibility. Cet outil offre une vue en temps réel des processus et de leurs instances et fait remonter immédiatement les informations sous la forme d’indicateurs de performance destinés aux utilisateurs métier. Ainsi, des tableaux de bords permettent d’identifier rapidement tout incident ou ralentissement.

Les informations fournies par SAP Cloud Platform Process Visibility serviront de base à un nouveau cycle d’amélioration et d’automatisation des processus. C’est cette boucle d’amélioration continue qui permettra d’atteindre l’objectif d’excellence des processus.

Accélérer la mise en œuvre des projets de digitalisation et d’automatisation des processus

Maintenant que la proposition de valeur des activités de digitalisation et d’automatisation des processus est claire, la question importante reste la suivante : « Comment accélérer la réalisation de tels projets ? ».

SAP Cloud Platform ne se contente pas de fournir les briques technologiques pour implémenter ces scénarios de digitalisation et d’automatisation des processus. Nous allons plus loin et proposons des modèles complets de processus, de robots d’automatisation et de tableaux de bord de pilotage prêts à l’emploi pour permettre de simplifier la mise en œuvre rapide de tels scénarios, tout en fournissant la flexibilité requise pour assurer l’adéquation entre ces modèles et les besoins de nos clients.

Vous trouverez ainsi une collection grandissante de robots d’automatisation prédéfinis sur notre site en ligne Intelligent RPA Store

Vous trouverez également un ensemble de modèles de processus et de tableaux de bord sur notre site API Business Hub

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Source de l’article sur sap.com

Dans le cadre de son plan A2P 2020, Agromousquetaires a créé une société dédiée à la logistique. AgroM Transport s’appuie sur SAP TM 9.5 pour assurer la planification et l’exécution des opérations de transport. Une solution mise en place par itelligence.

Agromousquetaires est le pôle agroalimentaire du groupe Mousquetaires. Avec 4,03 milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel, 11.000 collaborateurs, 19.700 partenaires agricoles, 62 usines en France et 10 filières, Agromousquetaires est un poids lourd du secteur. La société est en effet le leader français des marques de distributeur, mais aussi le 4e groupe agroalimentaire et le 1er armateur de pêche de l’Hexagone.

Dans le cadre de son plan Agro Performance Plus 2020 (A2P 2020), Agromousquetaires souhaite réduire ses coûts de production au travers de l’innovation. La société passe d’un réseau de PME à une logique de filière, plus efficace. L’un des volets de ce plan prévoit la mise en place d’un pôle logistique dédié.

Le choix de SAP TM et itelligence

En avril 2017, Agromousquetaires a décidé de transférer l’activité logistique de ses filières bœuf et porc vers une nouvelle société, AgroM Transport. Avec comme date butoir le premier janvier 2019.

L’utilisation de SAP Transportation Management (SAP TM) est rapidement apparue comme une évidence pour le groupe. Car le SI d’AgroM Transport mise sur d’autres solutions SAP pour la comptabilité, la finance, le contrôle de gestion et les achats non marchands. Le choix de SAP TM va donc dans le sens d’une cohérence du SI de la nouvelle entreprise.

L’intégrateur itelligence a été choisi pour sa taille rassurante (plus de 7900 consultants présents dans 27 pays) et sa connaissance étendue des solutions SAP (activité 100 % SAP et 30 ans d’expertise). Il a su également convaincre avec sa méthodologie pragmatique, consistant à proposer une solution fonctionnelle le plus tôt possible. Les utilisateurs ont ainsi pu faire remonter leurs recommandations rapidement, l’objectif étant de bâtir une offre de transport moderne : cartographie, diagrammes de Gantt, échanges informatisés avec les partenaires transporteurs, suivi des camions, etc.

Un planning serré

Le projet a démarré en septembre 2017, le pilote devant impérativement être achevé un an plus tard, pour une mise en production le premier janvier 2019. Dans la pratique, le prototype de la solution SAP TM 9.5 a été mis en fonction en mai 2018, avec une phase de stabilisation se terminant en septembre 2018, puis un déploiement progressif jusqu’à la fin de l’année. SAP TM se charge de la planification et de l’exécution des opérations de transport, la gestion des données de base (fournisseurs, clients, articles…) et de la facturation étant prise en charge par S/4HANA Finance.

Le premier janvier 2019, la société AgroM Transport a été lancée avec 331 collaborateurs transférés, 331 cartes grises, 135 transporteurs partenaires, 17 sites gérés et 12 entrepôts frigorifiques. 130.000 ordres de fret sont prévus sur l’année, pour un chiffre d’affaires estimé à 72 millions d’euros. Une grosse volumétrie que SAP TM a su prendre en charge.

Une deuxième phase déjà démarrée

Les enjeux sont atteints à 100 % sur de nombreux critères :

  • mise en place d’un plan de transport efficace ;
  • optimisation du réseau de transport ;
  • exploitation centralisée ;
  • cartographie, GIS et diagrammes de Gantt ;
  • communication avec les partenaires par voie électronique ;
  • intégration avec l’ERP SAP…

Le tout pour un budget maitrisé.

À ce jour, Agromousquetaires n’a migré que deux de ses filières vers la nouvelle société. Une seconde phase programmée sur deux ans est toutefois annoncée. À terme, le choix de SAP TM permettra également de faire remonter des informations vers les outils de Business Intelligence (BI) d’Agromousquetaires.

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Source de l’article sur sap.com

Alors que les collaborateurs commencent à abandonner progressivement cette longue période de travail à distance et à retourner sur leur lieu de travail, les entreprises se demandent à quel moment et de quelle manière il convient de le faire en toute sécurité. Il s’agit d’une tâche essentielle et d’un nouveau défi pour tous, tant pour les employés que pour les responsables des ressources humaines (RH).

Tout d’abord, la santé ainsi que le bien-être des collaborateurs et de leurs familles sont en jeu. Deuxièmement, il existe des risques commerciaux que les employeurs peuvent ne pas prendre en compte, allant du respect de la vie privée au non-respect du règlement général sur la protection des données (RGPD).

Aux États-Unis, par exemple, les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont récemment formulé des recommandations détaillées pour améliorer la sécurité dans les immeubles de bureaux, notamment en contrôlant les températures et les symptômes. Par ailleurs, l’Equal Employment Opportunity Commission (EEOC) des États-Unis continue de réviser ses lignes directrices aux employeurs afin d’équilibrer le respect du Americans with Disabilities Act (ADA) et des CDC.

Cette situation peut être éprouvante pour n’importe quelle organisation. Nombreuses sont celles qui choisissent d’adopter une longue période de travail à distance avec des horaires flexibles. Les entreprises qui sont implantées dans plusieurs régions se trouvent dans des phases et des environnements très différents. De l’Asie à l’Europe, certaines régions se montrent plus agressives en matière de déconfinement.

La première recommandation que j’adresse aux clients qui envisagent de faire revenir leurs employés au travail en toute sécurité est de commencer par un plan qui intégrera les processus RH. Pour aider les clients de tous les secteurs et de tous les pays à gérer cette transition, SAP a publié les principales mises à jour de la solution SAP SuccessFactors Visa and Permits Management ainsi que l’application partenaire Guardian by AlertEnterprise.

Une technologie SAP tournée vers l’avenir pour un lieu de travail sûr et sain

Au lancement, la solution SAP SuccessFactors Visa and Permits avait un cas d’utilisation particulier, comme en témoigne son nom. Cependant, en travaillant avec ses clients pour étendre ses capacités, SAP a découvert de nombreux cas d’utilisation autour du suivi des certificats, des licences, des justificatifs et de bien d’autres choses encore qui sont particulièrement pertinentes aujourd’hui. Grâce à cette solution, les utilisateurs peuvent désormais contrôler le processus visant à faire revenir les employés au bureau tout en automatisant l’application de politiques complexes et évolutives en matière de santé et de sécurité liées au COVID-19 pour mieux protéger les personnes.

En quoi ces outils sont-ils utiles ?

Pour assurer un retour au travail sûr et sain, voici une approche en trois étapes qui vous permettra de démarrer.

Préparation

Grâce à la solution SAP SuccessFactors Visa and Permits, soutenez le déconfinement tout en minimisant les risques, et gérez les procédures de santé et de sécurité qui encadrent le retour au travail des collaborateurs.

  • Prévoyez pour vos collaborateurs un moyen sûr d’envoyer les documents, comme une preuve de certificat numérique de santé ou des justificatifs, avant leur retour au travail.
  • Suivez les coûts du dépistage. Les fonctionnalités de libre-service permettent aux utilisateurs de remplir et de soumettre des documents afin de réduire le travail manuel.
  • Gérez les renseignements médicaux sensibles des collaborateurs. Par exemple, les lignes directrices de l’EEOC précisent que l’ADA demande que les renseignements médicaux concernant un employé soient stockés séparément du dossier personnel de l’individu afin de limiter l’accès aux informations confidentielles. Autrement dit, au lieu de stocker les nouveaux renseignements médicaux dans SAP SuccessFactors Employee Central, ces informations peuvent être gérées dans SAP SuccessFactors Visa and Permits, ce qui contribue à la fois à sécuriser les données et à protéger les collaborateurs.
  • Réduisez le risque d’encourir de lourdes sanctions financières, comme le non-respect du RGPD en matière de « traitement de catégories particulières de données à caractère personnel ». Respectez les réglementations légales supplémentaires et les règles en matière de confidentialité des données, comme la Health Insurance Portability And Accountability Act ou HIPAA.
  • Configurez les processus de notification, d’approbation, de renouvellement et plus. Les tableaux de bord fournissent un aperçu de la conformité, et les actions en temps réel permettent aux entreprises de gérer en toute confiance leur personnel dans un environnement en constante évolution.
  • En ce qui concerne l’intégration, les entreprises ont la possibilité de simplifier le processus d’embauche afin de traiter les formalités administratives le plus tôt possible pour que les nouveaux collaborateurs puissent commencer à travailler.

Prévention

Faites revenir le personnel non essentiel au bureau en toute sécurité grâce à la solution AlertEnterprise Health & Safety Access Governance.

  • Contrôlez le nombre de personnes dans les locaux, gérez l’accès aux sites qui sont temporairement saturés et autorisez de nouveaux modes de travail par roulement
  • Prévoyez un système d’autodéclaration et d’autoattestation avec un rétablissement contrôlé de l’accès au lieu de travail déterminé par la politique. Par exemple, les employés et les visiteurs peuvent s’autoévaluer et vérifier s’ils ont de la fièvre, si quelqu’un dans leur foyer a été déclaré positif au COVID-19, etc.
  • Gérez les contrôles d’entrée au site grâce au libre-service pour les contrôles préalables, comme les contrôles de température, avec l’application de politiques et la gestion de l’accès.
  • Mettez en place des systèmes de badges et de sécurité pour gérer l’accès à l’espace de travail et contribuer à l’application des politiques de l’entreprise, comme avec le retrait automatique de l’accès.

Détection

Minimisez les risques permanents grâce à la solution AlertEnterprise Health & Safety Intelligence Tracker et protégez votre lieu de travail.

  • Utilisez les analyses pour suivre les personnes qui ont été exposées au COVID-19 ou qui pourraient l’être. Cette technologie permet de suivre une infection suspecte ou confirmée et de détecter les personnes ainsi que les zones susceptibles d’avoir été exposées au virus.
  • Déterminez les zones exposées pour les mettre en quarantaine ou les assainir. Les zones à haut risque peuvent alors être désinfectées, et les personnes à haut risque peuvent se voir retirer leur accès de sécurité.
  • Prenez des décisions à partir de données concrètes, comme les niveaux d’exposition, les cartes thermiques de localisation, et d’autres analyses de santé et de sécurité.

En ce qui concerne le déconfinement, les clients comprennent qu’il ne s’agit pas de revenir au travail comme si de rien n’était. Ils savent que le déconfinement ne se résume pas à choisir une date pour ouvrir les portes et à distribuer du gel hydroalcoolique. En cette période d’incertitude, ils veulent apprendre à préserver la santé, la sécurité et la sûreté de leurs collaborateurs et clientèle.

Si chacun doit jouer son rôle en assumant une responsabilité personnelle, les employeurs peuvent ouvrir la voie à un retour au travail sûr et sain.

 

Imran Sajid est le directeur international de la gestion du capital humain pour SAP SuccessFactors.

Publié pour la première fois en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

L’économie d’expérience est un mouvement qui touche aussi le monde de la construction. Que ce soit pour les clients, les différents acteurs travaillant sur un ouvrage, ou même les employés d’un chantier, dont les efforts seront valorisés.

De nombreux pans de l’économie ont aujourd’hui basculé vers l’économie dite d’expérience. Plus que le prix, c’est bien l’expérience attendue qui pousse un consommateur à franchir les portes d’une des enseignes de la célèbre chaine de cafés américaine.

Cette expérience, les clients la recherchent également dans le secteur de la construction. Selon une étude Qualtrics de 2018, 54 % des employés du secteur de la construction expliquent avoir dû sortir de leurs attributions pour aider un client. Une démarche plébiscitée par les employeurs, mais qui montre la nécessité de mieux prendre en compte les données d’expérience (X-data).

Mieux collaborer avec le client

La mise en place d’outils collaboratifs, mais également d’une Modélisation des Informations du Bâtiment (BIM, pour Building Information Modeling), va permettre une meilleure collaboration entre les différents acteurs travaillant autour d’un projet de construction : constructeurs, architectes, ingénieurs, chefs de chantiers, intervenants externes, fournisseurs, etc. Mais aussi avec les clients, qui pourront bénéficier d’une vue globale sur l’avancée du projet et dont les remarques seront mieux et plus rapidement prises en compte par l’ensemble des autres acteurs.

Cette collaboration pourra être renforcée par l’entremise d’un jumeau numérique. En plus de permettre un meilleur suivi du projet, le jumeau numérique offre également de lancer des simulations, selon des scénarios de type what-if. Afin d’évaluer par exemple la faisabilité et l’impact d’une suggestion venant du client, de l’architecte ou d’un contractant.

Attirer de nouveaux talents

Le départ à la retraite des ouvriers pose un problème de recrutement. Il est en effet à la fois difficile de trouver du personnel compétent… et de le conserver.

Déchargés de certaines tâches ingrates, les chefs de chantier peuvent s’atteler à des tâches de plus haute valeur ajoutée, plus valorisantes. Les jeunes ouvriers, issus de la génération Z, sont en recherche eux aussi d’une meilleure expérience. La collecte d’informations en temps réel via des smartphones leur permettra de gagner en autonomie, avec des plannings mieux adaptés et une remontée des problèmes en temps réel.

Les terminaux mobiles sont également en mesure de fournir des données utiles (plans, conseils d’assemblage) et pourront – à plus long terme – assister l’ouvrier au travers de techniques de réalité augmentée. Enfin, les équipements connectés sont plus finement entretenus et gérés, et se montrent ainsi plus disponibles et moins sujets aux pannes.

Mettre de l’expérience dans toute la chaine de valeur

La mise en place d’une plate-forme intégrant à la fois les données opérationnelles (O-data) et les données d’expérience (X-data) est essentielle. La centralisation de l’ensemble des informations va en effet faciliter la communication entre toutes les parties en présence, et accélérer la prise en compte des aléas de construction.

Les clients pourront suivre l’avancée des travaux en temps réel et faire remonter des suggestions et remarques à chaque étape du processus. Les responsables de chantier seront en mesure de se concentrer sur leur cœur de métier et non des tâches administratives fastidieuses. Enfin, les ouvriers, mieux épaulés et délestés de certains problèmes récurrents et frustrants, profiteront eux aussi d’une meilleure expérience dans leur travail quotidien.

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Source de l’article sur sap.com

Sur un marché devenu très volatile, la planification de la supply chain devient de plus en plus difficile. Des technologies prédictives s’appuyant sur des données internes et externes, ainsi que des jumeaux numériques permettront d’affiner les prévisions.

La supply chain doit s’adapter pour faire face aux défis d’agilité et de résilience du marché. « La supply chain est un domaine en pleine évolution, avec des sujets comme la data, la robotique, l’IoT ou l’intelligence artificielle », confirme Manuel Davy, Fondateur et CEO de VEKIA.

Quels sont les enjeux de la supply chain ?

  1. Satisfaire les clients.
  2. Réduire les stocks.
  3. Maîtriser les coûts opérationnels.

Mais sur un marché devenu très volatile, où les clients exigent de plus en plus une livraison à J+1, les choses peuvent rapidement se compliquer. « La supply chain c’est extrêmement simple : il suffit d’avoir le bon stock au bon endroit au bon moment : fois des centaines de milliers de point de gestion ou de points de stockage, fois des millions de références, et avec beaucoup d’incertitudes. »

L’une des clés du succès réside dans la prise en compte de ces incertitudes. Mais également dans la capacité à accompagner le client dans ses changements de mode de consommation. Pendant le confinement, ce sont les entreprises capables d’adresser les clients par des canaux numériques, comme l’e-commerce, qui ont tiré leur épingle du jeu. L’omnicanalité s’est imposée alors comme un facteur de résilience.

La prédiction est au cœur de la supply chain

« La planification est partout dans la supply chain, poursuit Manuel Davy. Les technologies les plus avancées sont en mesure de prévoir finement la demande des consommateurs, ce qui permet en remontant dans la supply chain d’anticiper toutes les opérations. »

L’amélioration des prévisions peut suivre deux voies : voir plus loin, grâce à une puissance de calcul accrue ; être plus fin, au travers de l’analyse de plus de données. Le fait de prendre en compte les données d’expérience (comme le ressenti des consommateurs vis-à-vis des produits ou de la marque) permettra par exemple de mieux satisfaire les clients.

Être capable d’agréger des données endogènes et exogènes (météo, réseaux sociaux…) est donc un facteur clé pour améliorer les processus de prédiction et de planification. Par ailleurs, il est primordial de savoir faire circuler les données internes et de les enrichir. Par exemple en disposant d’une vision en temps réel du stock, assurée par de l’IoT.

Autre voie d’amélioration, la mise en place d’un jumeau numérique de la supply chain, permettant de tester des scénarios de type what-if, afin de gagner en agilité ou en résilience. Ou tout simplement pour évaluer l’impact du lancement d’un nouveau produit.

Savoir passer du plan à l’action

Il est essentiel que le prédictif influe directement sur les opérations de l’entreprise (data to action), tout en n’écartant pas l’humain du processus de décision. « La planification reste un sujet humain. Il ne faut pas écarter l’humain, qui est le pilote et aura le dernier mot, car lui seul sait appréhender des situations très incertaines, comme celles que nous avons rencontrées récemment, explique Manuel Davy. Mais nous pouvons donner à l’humain des moyens d’être plus efficace : des algorithmes, des données, de la puissance de calcul. »

La transformation de la supply chain est un sujet riche et passionnant. Mais aussi global, comme le souligne le CEO de VEKIA : « quand on commence à transformer une supply chain, cela entraîne l’ensemble de l’entreprise vers l’industrie 4.0. ». L’occasion peut-être d’évaluer de nouvelles stratégies de supply chain management, comme le DDMRP (Demand Driven MRP), qui s’appuie non plus sur des prévisions, mais sur la demande réelle.

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Source de l’article sur sap.com

La Branche Service-Courrier-Colis (BSCC) du Groupe La Poste s’appuie avec succès sur les solutions SAP BW /4HANA et SAP BI Suite pour répondre aux nouveaux enjeux du marché et réduire son Time To Market. Avec la volonté d’être davantage au service des métiers pour améliorer le service client, cette collaboration s’inscrit dans la transformation numérique de l’activité historique du Groupe La Poste. Cette dernière s’installe et se développe sur de nouveaux secteurs avec la volonté de simplifier la vie de tous et de chacun.

Les technologies SAP pour augmenter la qualité de service IT et client

Le projet, lancé en 2017 avec SAP BW/4HANA, est né de la nécessité de la BSCC de désiloter son organisation en place où chaque business unit était responsable du développement et du choix de ses outils BI. Le projet s’est alors bâti sur 3 grands enjeux :

  • Rationaliser, consolider et gérer l’obsolescence afin de converger vers une solution unique ;
  • Répondre aux enjeux métiers via un reporting opérationnel en temps réel et accélérer le Time To Market dans les projets ;
  • Avoir une vision 360 du cycle de vie de chaque produit passant par les chaînes logistiques de l’entreprise.

Depuis la mise en place des solutions SAP en 2017, la BSCC a uniformisé sa BI avec des outils clés en main pour les collaborateurs opérationnels (20 000 personnes). Tout est désormais centralisé et disponible quasiment instantanément pour être davantage au service des métiers et améliorer le service client.

Les 3 000 directeurs d’établissements sont depuis capables de mieux piloter leur activité, d’être plus réactifs mais aussi plus proactifs grâce à la fiabilité du SI. Enfin, cette nouvelle organisation apporte également une réelle amélioration de l’expérience client final permettant à la BSCC de faire des gains financiers significatifs.

Des coûts de run divisés par 6 et des gains financiers importants sur la partie TMS

La mise en place de SAP BW 4/HANA a permis le déploiement de cartographies mixant data source et volume d’informations, grâce à une plateforme permettant d’absorber de grosses volumétries de données. L’ensemble de ce projet a été mené en mode agile, la méthodologie S@fe ayant été déployée à l’échelle de la BSCC, pour permettre une meilleure flexibilité d’intégration et une meilleure coordination de travail entre les équipes.

Plusieurs projets ont pu voir le jour tel que le projet Osram, permettant de mesurer, analyser, piloter le raccordement qui est au cœur de la supply chain. La dernière version déployée permet d’ores et déjà de simuler la transformation de son réseau industriel qui est un enjeu majeur de la Poste pour améliorer la performance client. Ce projet offre une vision bout en bout de la collecte au dernier geste de distribution, ce qui est totalement disruptif et novateur par rapport au pilotage fait jusqu’à présent.

Enfin, la BSCC a pu améliorer son taux de satisfaction client, en mettant les indicateurs utiles à disposition des collaborateurs suite au déploiement de rampe de flashage permettant de suivre les contenants. L’analyse des fausses directions, une vision factuelle (et non plus déclarée) de l’exécution de ce qui a été planifié dans le contrat de service entre établissement et une meilleure connaissance des flux logistique contribuent à l’optimisation des niveaux de tri.

Eric Brun, Responsable du Socle Connaissance 360, explique : “Depuis la mise en place généralisée des outils SAP, notre coût de run a été divisé par six pour la partie back-end, tout en améliorant le time to market. La solution est fiable, simple et claire, permettant aux équipes de réagir rapidement en cas de problème. Sur le volet transports, l’ensemble du Transport Management System a été repensé pour offrir un outil intuitif permettant de connaître la moindre anomalie ou retard et optimiser le taux de remplissage de chaque camion. Le reporting Atlas Handling permet quant à lui une gestion plus performante et prédictive de notre conteneurisation.  Les gains financiers sont extrêmement importants pour le métier et coté IT le TCO de notre back end divisé par 6 »

De nombreux projets communs à venir

« Nous sortons gagnants de la collaboration avec SAP qui nous apporte un vrai support sur nos enjeux court, moyen et long terme. Les équipes SAP nous nous ont réellement permis d’accélérer notre transformation. Nous travaillons sur une roadmap long terme à 3 ans qui inclut le déploiement d’HANA Enterprise en novembre prochain pour gérer les forts volumes dès janvier 2021 et l’accélération avec SAP Analytics Cloud pour faire du reporting massif et développer de nouveaux cas d’usages autour de la mobilité  », conclut Eric Brun.

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

 

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Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Sylvain Drillon : 06 44 71 35 68 – presse-sap@publicisconsultants.com

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Source de l’article sur sap.com

When starting a new business (or even venturing into the world of freelancing for the first time), there are some really big, important steps you have to take.

Step #1 is choosing the right business name for your brand identity.

Your business name isn’t something you can casually choose either — especially if you have lofty long-term goals for your company. It’s not as though you can’t change the name down the road, but that comes with a ton of work and will require you to rebuild pretty much everything all over again: your visual brand identity, your reputation, and your SEO…

So, it’s a good idea to spend time choosing a business name that’s going to work for you now and long into the future.

Today, we’re going to go through the process of how to name your brand. These questions will have you thinking beyond just “What name do I like the sound of?” and have you more focused on important questions like “What is my unique value proposition?”.

Let’s get started:

How to Name Your New Business

For those of you considering taking the easy way out and using a business name generator tool, let me show you why that’s a bad idea:

This is a list of business names suggested to me when I told the generator that my business is related to “design”:

  • Design
  • Normal Design
  • Regional Design
  • Design Partner
  • Design Stock

Even the more unique names on the list are unusable; they have no connection to me personally or to the kind of business I plan to start.

This is why it’s so important to sort out your brand identity and make sure you pick a business name that resonates with you, and your target audience. To do this yourself, answer the following seven questions:

1. What Services Will You Provide Or Products Will You Sell?

The one thing that name generators get right is including a descriptive word related to your business. That way, it doesn’t take an actual visit to your website or a look through your portfolio to figure out what you do.

Even if you have a very niche specialty, sum up your offering in one or two words. For instance:

  • Web design
  • Digital design
  • Design & development
  • UX design
  • Graphic design

Unless you run your business through your own name (which I’ll talk about shortly), your business name should include a simplified version of your offering in it.

2. Who Is Your Target User Persona?

A user persona is a fictional character created using the demographics and psychology of your ideal customer or client. You can use Hubspot’s Make My Persona generator to create a card that documents these details:

Once you sort out who you serve, what makes them tick, and how it fits into the bigger picture of their business, you can better pitch your solution to them.

For instance, Joanna above is a real estate agent and owner whose primary goal is to capture leads and generate sales. You know how effective a real estate website can be for improving an agent’s visibility online and streamlining how they earn money.

So, including words in your business name that speak to that persona as well as their goals might be really useful.

Just keep in mind that web designers don’t always commit to one niche or stick with the same niche over the long run. So, you might not want to make your business name too specific to an industry (e.g. “Real Estate Design Solutions”) and more related to higher level themes and goals.

3. What Are The Names Of Your Top Competitors?

Do you know who your main competitors will be upon entering this space? If not, now’s the time to look them up.

When it comes to business names, you want to see if you can identify common threads among them. Perhaps they use puns or include location-specific descriptors. Or they just stick with the names they were born with.

While you don’t want to come off as a copycat, you can imbue your business name with a similar theme or tone if it’s proven to be successful with your shared audience. 

4. What Makes You Different?

Every business has a unique value proposition (UVP) — something that sets them apart from everyone else in the space. What’s yours?

Do you operate within a large metropolitan area where your prospective clients’ industry is booming?

Did you previously work in the industry for which you now build websites?

Are you an SEO expert who builds enterprise websites that rank?

In business, it’s good to be different — so long as it benefits your clients.

If you have a particular UVP that’s going to make you stand out, you’re going to use it everywhere to market yourself — your website, social media, sales pitches, etc. So, you might want to consider using a unique keyword from it within your business name.

5. Where Do You Envision Yourself In Five Years?

No one’s future is set in stone. However, if you’re seriously thinking about starting a new web design business, you have some ideas about where you want to go with it:

  • Do you like the idea of being a lifelong freelancer or digital nomad?
  • Would you like to operate your own design agency?
  • Do you have aspirations to build and sell website products, like plugins, themes, or UI kits instead?

If you expect to pivot your business at some point, be careful about choosing a business name that paints you into a corner. Keep it broader so that prospects don’t have to wonder what it is you really do.

And if you plan on scaling your business beyond yourself, using your own name might not be the best idea. You’ll want clients to associate the brand name with your agency, not with you specifically.

6. Will Your Business Name Be Easy To Remember?

At this point, you have some business names brewing. So, now we need to look at the more technical aspects of naming your brand.

Here’s what you need to do.

a. Write down no more than three to five business names you like.

For example:

  • Honeymooners Web Design
  • Charles Murphy Design & Development
  • FoREver Websites
  • SOLD Web Design Agency

b. Mash each name into one long lowercase string. Don’t include any punctuation.

For example:

  • honeymoonerswebdesign
  • charlesmurphydesignanddevelopment
  • foreverwebsites
  • soldwebdesignagency

c. Are any of the names difficult to read? Too long? Do any of them cause confusion and look like they mean something else?

If so, get rid of them as a matching domain name won’t work. Or, if you absolutely love them, fix the name so it’s clear, readable, and short. For instance:

charlesmurphydesignanddevelopment becomes charlesmurphydesign or just charlesmurphy.

7. Does The Name You Want Already Exist?

It’s a good idea to have a backup name in case you discover that the name you want already exists. Due to trademarking issues as well as possible confusion for your clients, you’ll want to avoid using a name that overlaps with or is the same as any other company (in or outside of web design).

Do a Google search for the business name you want to use. Check out the top 10 search results to see if there are any other matches.

You’ll also want to test out the domain name. Go to Domain.com and run your business name string through it:

You have a few options if this happens:

  1. Choose a different top-level domain (e.g. .tech, .io, .design).
  2. Use an abbreviated version of your business name  (e.g. solddesignagency.com).
  3. Move your backup business name to the front of the line and see if it’s available.

It all depends on how attached you are to the business name you’ve chosen. Just make sure that any changes you make to it (like shortening the domain name or using an alternate TLD) doesn’t cause confusion for prospects who look you up online. You don’t want them confusing someone else’s domain name for yours if business name and domain name don’t line up.

Choosing a Business Name Is Just the First Step…

Once you’ve settled on your business name, share it with a few people you trust. They’ll let you know if you’ve totally missed the mark or if it’s something you should be excited to run with.

As soon as you’re 100% sure it’s the right name, buy the domain name and register your company. Then, it’ll be official!

Of course, this isn’t the end to branding your new business. In our next Branding 101 post, we’re going to look at the next step: How to create the visual identity for your business.

Stay tuned!

 

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

Le BIM n’est pas encore une réalité pour les acteurs du monde de la construction. Toutefois, l’innovation n’est pas absente de ce secteur, avec des avancées notables dans la collecte des données et la gestion des équipements lourds.

Augusta Reeves est un spécialiste SAP depuis plus de 20 ans, comptant une dizaine d’années d’expérience dans le secteur de la construction. Il propose la solution métier Fit2 Construction, qui couvre les aspects suivants : devis, commandes, facturation, planification et gestion des chantiers, avec un suivi de l’avancement des travaux assuré en temps réel. Le tout s’appuie sur des technologies SAP.

Pour André Baveux, Président d’Augusta Reeves, « le secteur de la construction est celui qui a le moins gagné en productivité ces dernières années, car il souffre structurellement de marges faibles ». Les nouvelles exigences réglementaires sur la gestion des déchets et des plans comme BIM 2022 n’arrivent pas encore à faire bouger les lignes. Plus que pousser les entreprises dans la bonne direction, ces actions sont en effet vues comme des contraintes supplémentaires sur un marché pourtant déjà en tension.

Toutefois les grands groupes du secteur, qui ont une rentabilité supérieure aux autres acteurs du marché, mènent une veille technologique active.

1re rupture : les smartphones

Pour innover dans le secteur de la construction, il est impératif de proposer des solutions qui ne demanderont pas d’investissement important et qui proposeront un ROI immédiat et net.

La première rupture détectée par Augusta Reeves vient des téléphones mobiles. Les chefs de chantier et chefs d’équipe sont tous équipés de smartphones. « Un outil idéal pour de la collecte de données, analyse André Baveux. Les smartphones proposent aujourd’hui des écrans suffisamment grands pour de la saisie de données, sans être aussi fragiles que les tablettes. »

Il est impératif toutefois de créer des solutions dont l’ergonomie est adaptée à la taille d’écran des smartphones. Et qui sont utilisables par des personnes peu à l’aise avec la technologie et disposant d’un temps limité. « Il faut que la collecte soit ciblée et simple. Par exemple une saisie de temps, ou l’avancement d’une tâche. »

Cette saisie sur smartphone va permettre une collecte de données en temps réel et au plus près du terrain. Auparavant, les chefs de chantier rassemblaient les informations dans un tableau, saisi par la suite en agence et remonté à la société une fois par semaine, voire une fois par mois. Avec des données remontées immédiatement dans le SI de l’entreprise, il est possible de gérer les travaux et coûts en temps réel, tout en simplifiant la tâche du chef de chantier. Analysées, ces données pourront servir à effectuer du pilotage.

2de rupture : les équipements connectés

Autre voie de progrès ne nécessitant pas un investissement massif : l’exploitation des données issues des équipements lourds présents sur les chantiers, comme les bulldozers par exemple.

Les constructeurs connectent aujourd’hui ces équipements en 3G, afin de faire remonter des données sur le taux d’utilisation, les pannes rencontrées, etc. Plusieurs startups proposent des connecteurs permettant aux entreprises de récupérer et exploiter ces données. Il devient ainsi possible de savoir en temps réel où se trouve un engin de chantier, s’il est en cours d’utilisation ou non, et – lorsqu’il est en panne – quel code panne ressort.

Sans avoir à investir massivement, il est donc possible d’exploiter ces données afin d’optimiser le taux de réservation des engins de chantier et leurs cycles de maintenance. Avec quelques technologies complémentaires, la maintenance préventive pourra même se transformer en maintenance prédictive, avec la promesse de bénéfices encore plus importants.

« Le secteur de la construction est longtemps resté sinistré en matière de numérique. De nouveaux SI sont en cours de mise au point, avec des pratiques qui se diffusent, comme le guidage GPS ou les plans électroniques. Ces techniques sont rapidement adoptées, car elles permettent des gains de productivité rapide, résume André Baveux. La révolution numérique est en cours dans le secteur de la construction, mais elle se veut avant tout pragmatique. »

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Source de l’article sur sap.com

Avec la licence Enterprise Edition, vous accéderez sans restrictions à la base de données SAP HANA. Découvrez en quoi le passage à une licence full use peut être avantageux pour vos données et applications métiers.

Il y a 10 ans, SAP présentait un outil de gestion de bases de données de nouvelle génération, SAP HANA. Une offre présentant plusieurs caractéristiques clés :

  • In memory : les données sont lues et écrites en mémoire, pour des performances extrêmes
  • Orienté lignes : ce mode permet d’optimiser l’écriture (un enregistrement par ligne)
  • Orienté colonnes : ce mode facilite les requêtes (un type de données par colonne)

Cette double casquette ligne/colonne permet à SAP HANA d’adresser à la fois les traitements transactionnels et analytiques. Des technologies avancées gravitent autour de ce cœur : serveur d’applications, scripting, prédictif, Machine Learning, vues OLAP, graphes, gestion des données spatiales…

L’ensemble propose à la fois une connexion aux applications SAP (BICS) ou non (SQL et MDX). Il est également possible d’accéder à des sources de données tierces via Smart Data Streaming et Smart Data Access et aussi d’intégrer quasiment n’importe quel type de données, structurées ou non, jusqu’aux sources Hadoop, au travers de Smart Data Integration. Tout ceci est combiné avec des fonctions de partionning, de haute disponibilité, de répartition de charge, de parallélisation des requêtes, d’aide à la reprise d’activité, etc.

SAP HANA est aujourd’hui au cœur de nombreuses applications SAP. Il est également possible de l’utiliser en mode autonome. « Dans les deux cas, l’ensemble des fonctionnalités est disponible, car il n’existe qu’une seule version de SAP HANA », explique Olivier Demeusy, Director at Center of Excellence, EMEA North for SAP Business Technology Platform.

Runtime VS Enterprise

La principale différence entre SAP HANA Runtime Edition et SAP HANA Enterprise Edition réside dans le mode d’accès à la base de données et les restrictions s’y appliquant :

  • L’édition Runtime est conçue pour les applications SAP et ne peut être adressée qu’à travers ces applications
  • L’édition Enterprise est accessible sans restrictions depuis n’importe quel système ou application, SAP ou non.

La Runtime Edition n’autorise donc l’interaction avec la base de données qu’au travers des applications SAP, qui vont se charger de lancer les requêtes. L’Enterprise Edition est pour sa part accessible depuis les applications SAP, des applications tierces ou vos propres applicatifs métiers.

L’accès pourra se faire en direct au travers de requêtes SQL. Les fonctions d’intégration et de qualité de données pourront être librement exploitées, tout comme les moteurs avancés de SAP HANA. Enfin, de multiples ponts seront accessibles afin de lier du code métier à SAP HANA. Et ce jusqu’à l’hébergement de vos applications dans SAP HANA. SAP HANA XS Advanced permet en effet le développement d’applications natives SAP HANA, capables de fonctionner au plus près de la donnée.

Un changement de licence facilité

Passer de la Runtime Edition à l’Enterprise Edition est aisé, SAP HANA restant identique dans les deux cas. « Le passage d’une licence à l’autre ne se traduit par aucun changement technique », confirme Olivier Demeusy.

Le tarif comprend un coût d’acquisition et une maintenance annuelle. « Le tarif appliqué dépend directement du volume de données qui sera pris en charge par SAP HANA, avec un calcul effectué par blocs de 64 Go. » Que vous utilisiez une base de données de 500 Go ou de 20 To, vous aurez donc toujours la garantie de bénéficier d’une offre parfaitement ajustée.

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Source de l’article sur sap.com