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La Direction Nationale du Conseil et du Contrôle de Gestion des Clubs Professionnels (DNCCGCP) de la Ligue Nationale de Basket (LNB) s’appuie avec succès sur la solution SAP Analytics Cloud pour répondre à 4 grands principes : assurer la pérennité des clubs, favoriser le respect de l’équité sportive, contribuer à la régulation économique des comptes et évaluer la santé financière des clubs. Le besoin initial : mettre en place un outil fiable et performant pour consolider les données financières et analyser ces dernières facilement. Cette collaboration s’inscrit dans la continuité de la stratégie de digitalisation de la LNB.

La Ligue Nationale de Basketball organise et gère les championnats professionnels masculins par délégation de la Fédération Française de Basketball.

Centraliser sur le cloud les données financières des 18 clubs français

Les données financières de chaque club sont réparties sur des postes produits et des postes charges. Les postes produits, principales sources de recettes, sont liés aux matchs (billetterie, buvette et merchandising), aux subventions des collectivités territoriales, au sponsoring privé et aux droits TV. Les postes charges sont quant à eux liés aux salaires des joueurs et des entraîneurs. Pour créer un socle commun et centraliser toutes ces données, la LNB a fait le choix de SAP Analytics Cloud pour ses capacités de stockage et de transmission des données, son aspect collaboratif mais aussi pour ses états de restitution simplifiés. Toutes les données sont désormais stockées sur le cloud SAP pour plus de simplicité, d’accessibilité et de gain financier.

« La Ligue Nationale de Basket a engagé une stratégie tournée vers le numérique il y a plusieurs années. Elle a même créé cette année sa propre chaine OTT. En choisissant SAP Analytics Cloud, nous avons fait le choix d’avoir un socle commun qui permet de veiller à la santé financière des clubs, d’évaluer les zones de risques et d’identifier les irrégularités. Le Cloud était important car n’engendrait pas de coût pour les clubs et apportait beaucoup de simplicité d’usage », explique Paul Lafont, Référent de la Commission de Contrôle de Gestion et du Conseil Supérieur de Gestion Contrôleur de Gestion.

Réduire les temps de traitement et accélérer la prise de décision

En 2017, la LNB et SAP créent une architecture commune visant à imposer un plan comptable à tous les clubs pour faciliter le contrôle de leurs données, comparer leurs santés financières et mieux évaluer les zones de risques. Etendue ensuite aux clubs en septembre 2018, la solution SAP apporte de nombreux bénéfices métiers aux clubs et à la LNB comme :

  • Un stockage de données et la création d’un historique instantané et accessible à tous.
  • L’importation directe des balances comptables dans l’outil : gain de temps, limite du risque d’erreur, pas de ressaisie des données de l’échéance précédente…
  • Le développement de la capacité d’analyses des clubs à travers des états de restitution.
  • L’optimisation des flux liés à la collecte instantanée des infos financières.

Désormais, la LNB possède une vue instantanée des comptes des clubs. Les gains de temps sont également très importants. Pour les clubs, la soumission des données financières est désormais 8 fois plus rapide, passant de deux jours ouvrables à deux heures chaque cycle budgétaire. La LNB a également gagné 1,5 jours de saisie manuelle des données pour chaque cycle budgétaire grâce à l’importation automatisée des données.

«Les capacités de planification de SAP Analytics Cloud nous permettent de collecter, stocker et analyser plus efficacement les informations financières de toutes nos équipes. Cela nous fournit des informations financières fiables et approfondies qui nous aident à remplir notre mission et contribuent à assurer la viabilité économique des clubs. La solution nous a permis de prendre des décisions rapides pendant la pandémie COVID-19, avec des simulations montrant les impacts financiers de l’interruption de la saison », conclut Paul Lafont.

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Source de l’article sur sap.com

SAP, société du logiciel la plus durable et partenaire des organisations pour atteindre leurs objectifs climatiques, dévoile les résultats du Baromètre* du développement durable SAP/Odoxa. Un nouvel indicateur visant à mesurer l’intérêt des Français pour l’environnement et l’avenir de la planète. Cinq ans après l’adoption des accords de Paris pour le climat, les résultats révèlent que l’action environnementale est au cœur des préoccupations des Français, qu’elle agit sur leurs comportements de consommation mais aussi sur leurs perceptions des entreprises. Le Baromètre SAP/Odoxa décode l’état d’esprit des Français vis-à-vis des progrès réalisés en matière d’environnement par les gouvernements, les entreprises ou encore par eux-mêmes dans leurs quotidiens.

L’action environnementale est au centre des préoccupations des Français depuis la COP21.

Cinq ans après la COP21, l’action environnementale apparaît plus centrale pour les Français. En effet, 60% des Français ont le sentiment que l’action environnementale n’est pas incompatible avec la croissance et l’emploi. Ils ont cependant le sentiment, depuis 2015, que l’action menée contre le réchauffement climatique par la communauté internationale est un échec (78%) et attendent beaucoup de l’engagement de Joe Biden sur ce sujet. En effet, 77% d’entre eux pensent que le retour des Etats-Unis dans l’accord de Paris permettra à la communauté internationale de lutter plus efficacement contre le réchauffement climatique.

Les Français sont de plus en plus vigilants sur leur mode de consommation pour limiter leur impact environnemental au quotidien.

Les Français sont préoccupés par l’avenir de la planète puisque 9 répondants sur 10 (87%) se disent concernés par l’avenir de la planète. Cependant, 66% d’entre eux sont pessimistes sur le sujet et l’inquiétude domine. Dans la pratique, les Français sont assez vigilants au quotidien pour limiter l’impact de leur mode de vie puisqu’ils sont 86% à limiter leur impact environnemental ou sociétal de leur mode de vie au quotidien mais seuls 21% le font systématiquement.

Bien ancré dans les mentalités, 8 Français sur 10 (82%) pratiquent le tri sélectif systématique. Ils confirment leur intérêt pour la question des déchets, puisque 51% des répondants disent acheter des produits sans emballage ou avec moins d’emballages, et 35% disent vouloir adopter ce comportement. Le deuxième éco-comportement familier des Français est la consommation de produits de saison, adopté par 77% des répondants. Par ailleurs, 51% des répondants disent déjà privilégier les petits distributeurs et les circuits courts, et 35% disent avoir l’intention de le faire. Les investissements énergétiques restent quant à eux en retrait puisque 65% des Français ne semblent pas prêts à installer des panneaux solaires ou une éolienne chez eux, et 61% ne souhaitent pas remplacer leur voiture à essence par une voiture électrique.

Le baromètre révèle également que les Français sont très critiques à l’égard de leurs concitoyens : seuls 47% estiment que les habitants de leur région ont cette préoccupation, les habitants de PACA se montrant les plus critiques sur ce point (35%). Pour agir en faveur de la protection de la planète, si les Français ont fortement confiance dans les associations (77%), leurs communes (67%) et leurs régions (67%), ils sont plus réservés envers les citoyens (56%)et les entreprises (53%) et ont très peu confiance dans l’Etat (40%) et le Gouvernement (37%).

Les Français plébiscitent davantage les entreprises engagées en faveur du développement durable et cela se reflète sur leurs achats.

Les Français sont de plus en plus sensibles à l’engagement des entreprises pour le développement durable. Ainsi, 6 salariés sur 10 considèrent que leur entreprise investit pour protéger la planète et 8 Français sur 10 peuvent être séduits par les entreprises engagées en faveur du développement durable, cet engagement leur donnant envie d’acheter leurs produits (83%) ou d’y travailler (80%).

Les Français sont également de plus en plus attentifs aux actions des entreprises sur l’environnement lors de leurs achats. 72% des répondants privilégient les entreprises engagées en matière de réduction des emballages et 58% celles qui veillent à limiter les déplacements pour les livraisons d’achats en ligne. 62% des salariés estiment que leur entreprise veille à limiter l’impact environnemental ou sociétal de son activité, un sentiment encore plus présent dans les secteurs les plus exposés que sont les transports (70%) et l’industrie (62%). L’énergie (45%), l’agroalimentaire (37%) et les transports (23%) sont les secteurs d’activité considérés comme les plus engagés en faveur du développement durable. Quelle que soit leur taille et leur statut, les Français souhaitent voir l’ensemble des organisations (collectivités, administrations publiques) et des entreprises (PME, grands groupes, startups…) se mobiliser en faveur du développement durable.

SAP est un acteur exemplaire de la transition écologique et moteur de la transformation des organisations pour lutter contre le changement climatique.

SAP entend montrer l’exemple en se fixant pour objectif d’atteindre la neutralité climatique d’ici 2025 et s’engage à atteindre des objectifs de réduction des émissions de 1,5 °C fondés sur des données scientifiques en adéquation avec l’objectif à long terme de neutralité carbone. 100% d’énergies renouvelables alimentent le cloud de SAP et 94 % des employés de l’entreprise sont engagés en faveur du développement durable. L’entreprise est également signataire du Pacte mondial de l’ONU et membre d’associations partageant des valeurs communes, dont le CDP, la Value Balancing Alliance et la Fondation Ellen MacArthur. Par ailleurs, SAP est le premier éditeur de logiciels figurant en tête des indices Durabilité Dow Jones (DJSI).

SAP accompagne les organisations à atteindre leurs objectifs climatiques notamment via le programme Climate 21 et l’application SAP Product Carbon Footprint Analytics qui permet à aux entreprises utilisatrices d’analyser leurs émissions de gaz à effet de serre afin de réduire leur empreinte carbone et de contribuer au 13ème objectif des Nations Unies pour le développement durable : la lutte contre le changement climatique.

Retrouvez l’intégralité de l’étude :

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*Baromètre réalisé par Odoxa sur un échantillon de 3 003 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus entre le 13 et le 19 novembre 2020.

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Source de l’article sur sap.com

LEVALLOIS-PERRET, France – 10 décembre 2020 – SAP France, 5ème filiale du Groupe SAP, leader du marché des logiciels d’applications d’entreprise, annonce le renforcement de sa stratégie « Green Line » avec la création d’une direction dédiée. Dirigée par Pascal Le Nahédic, celle-ci vise à aider les organisations à répondre à une de leurs priorités incontournables : améliorer leur impact environnemental et sociétal. SAP entend ainsi accélérer sur les sujets clés du développement durable.

En effet, les entreprises européennes sont face à une problématique complexe : alors qu’elle ont consacré 124 milliards d’euros l’an dernier à de nouvelles actions de réduction de leurs émissions de Co2, elles vont encore devoir doubler les investissements bas carbone pour avoir une chance d’atteindre l’objectif de zéro émission nette en 2050 fixé par Bruxelles.

Pascal Le Nahédic nommé Directeur des solutions à impact écologique et sociétal, SAP France

Pascal Le Nahédic prend les commandes des solutions à impact écologique et sociétal de SAP et sera en charge d’accompagner les clients de SAP dans le développement de nouvelles pratiques pour réduire leur empreinte sur l’environnement grâce aux technologies.

Après avoir passé 10 ans au sein du Groupe Exxon en Europe et en Asie, Pascal rejoint SAP France en 1999 en tant que Directeur de projet. En 2007, il occupe la fonction de Presales Industries. Depuis 2015, il assure le rôle de Presales Business Architect pour l’industrie ENR. Passionné par le sujet d’économie circulaire, il multiplie les initiatives d’intrapreneuriat en interne dont un projet innovant visant à aider les entreprises à réduire leurs déchets en termes de PLV (Publicité sur Lieu de Vente).

Sylvie Turcotte – Directrice Avant-Vente, SAP France

Sylvie Turcotte est à la tête de l’ensemble de l’organisation Avant-Vente pour SAP France.  Elle a pour mission de renforcer la croissance cloud de la filiale française par la mise en place de nouvelles approches avant-vente. Passionnée du milieu des technologies depuis 30 ans dont 20 ans au sein du groupe SAP. Sylvie a débuté sa carrière chez SAP Canada en 2000 comme consultante Finance, Funds management et Real Estate, avant de rejoindre l’équipe avant-vente Secteur Public pendant plusieurs années pour ensuite devenir directrice des ventes de Premium Engagement. Par la suite, elle a été nommée Customer Solution Director (CSD) puis Directrice de l’équipe Digital Core (Finance et Supply Chain) au niveau de SAP Canada, rôle qu’elle occupait depuis 3 ans.

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Source de l’article sur sap.com

L’éthique est au cœur de la démarche IT de la MAIF. Robotiser les processus, oui, à condition que cela soit bénéfique aux sociétaires, aux collaborateurs, ainsi qu’aux performances et aux engagements sociaux de l’entreprise. À ce jour, une quinzaine de robots ont été déployés avec succès.

La MAIF est un assureur à part. Capitalisant sur ses valeurs mutualistes et sociales, la MAIF est financièrement solide, a décroché 16 fois le Podium de la relation client pour le secteur de l’assurance, tout en restant le seul assureur à faire partie des 50 entreprises les plus admirées des Français (IFOP – JDD – Nov 2019). Un impressionnant palmarès, mais qui ne doit pas faire oublier les questions d’efficacité opérationnelle. Un élément clé de satisfaction des sociétaires.

C’est en 2017 que la MAIF s’est penchée sur les technologies de RPA (Robotic Process Automation). Après une première expérimentation, l’assureur a compris tout l’intérêt qu’il pouvait tirer de cette technologie. Suite à appel d’offre, la solution de SAP a été choisie et déployée en 2018.

« Nous répondons aux sollicitations des métiers, qui expriment leurs besoins et décrivent une solution d’automatisation. Après étude du projet, le RPA est souvent préconisé pour répondre à ces demandes, car il est souple, facile à mettre en œuvre, avec un budget restreint » explique Jocelyn Paris, Chargé d’étude des systèmes d’information à la MAIF.

Avec le RPA, il n’est pas nécessaire de développer de nouvelles applications dans l’environnement MAIF : le robot va tout simplement reproduire des actions utilisateur. Ce qui est à la fois rapide et peu coûteux. Une quinzaine de robots sont aujourd’hui en production.

Une aide précieuse pour le service contrats

Les assureurs ont une responsabilité d’évaluation du niveau de risque de chaque assuré. Plusieurs fois par an, la MAIF fait ainsi ressortir les situations en alerte. Toutefois, un tiers de ces alertes peuvent être écartées selon des règles spécifiques et sans qu’il soit nécessaire de se mettre en relation avec l’assuré. Ce travail fastidieux peut être confié à un robot, libérant ainsi du temps pour les collaborateurs. Mis en place en un peu plus d’un mois, ce robot est un succès et se charge de sortir les fiches pouvant l’être de façon automatique.

Lors du batch d’avril 2020, les collaborateurs n’ont pas pu avoir un accès direct aux fiches papier. Le robot a donc été modifié pour reporter l’ensemble des fiches au prochain batch de septembre. Les services en charge d’imprimer et de traiter ces fiches ont été soulagés d’une tâche difficile à mettre en œuvre en télétravail. Les processus de RPA ont ainsi montré leur capacité à s’adapter rapidement à une nouvelle situation.

« Nous avons démarré avec un premier robot chargé de faciliter la régularisation des situations comptables de certains de nos assurés. Sur 15.000 cas recensés par an, 8000 à 9000 sont maintenant traités par ce robot, soit 1500 heures gagnées, témoigne Magalie Vincent, Responsable d’équipe au service contrats. Un nouveau robot, déployé en janvier 2020, aide à traiter les fiches d’observation de la sinistralité. Sur 8000 fiches, le robot a pu en écarter 2600. Cela simplifie notre travail en nous soulageant d’une tâche chronophage, qui mobilisait jusqu’à 15 collaborateurs. Nous pouvons ainsi nous pencher sur les cas les plus intéressants et nous recentrer sur notre rôle d’analyse du risque. »

Notez qu’une phase d’ajustement des critères d’action de ce nouveau robot devrait lui permettre de prendre en charge un plus grand nombre de dossiers.

Une accélération des rapprochements bancaires

Il est parfois difficile d’effectuer des rapprochements entre les paiements reçus et les contrats des assurés. Chaque jour, des centaines de règlements ne sont pas rattachés automatiquement au compte d’un sociétaire. La MAIF dispose d’un outil pour faire ressortir les virements non identifiés et d’un autre pour rechercher des coordonnées bancaires dans les bases de la société. L’affectation au bon sociétaire des fonds reçus sans référence reste toutefois un travail fastidieux.

Le rapprochement entre ces différentes bases de données est une tâche qui peut être en grande partie automatisée. Le robot se charge de prendre la référence d’un paiement dans le premier outil et de rechercher à qui il pourrait correspondre dans le second. Le service de la gestion économique dispose ainsi de plus de temps pour se pencher sur des dossiers complexes.

« Le robot nous aide dans ce travail fastidieux, long et très répétitif, confirme Sylvie Carasco, Chargée de gestion comptable, service comptabilité assurance et réassurance. Il est capable de rechercher simultanément dans plusieurs bases de données suivant des critères comme le nom ou l’IBAN, et de trouver un ou plusieurs sociétaires pouvant correspondre. Le travail de recherche est ainsi défriché, ce qui permet d’accélérer la clôture de chaque dossier. Ce robot est d’une aide précieuse, en particulier lors des périodes d’échéances annuelles, où 500 à 600 recherches doivent être effectuées chaque jour, occupant de 7 à 8 personnes à temps plein. »

Là encore, ce robot s’est montré particulièrement utile pendant la crise du Covid-19. Avec un taux de réussite de 80 %, il remplit ses objectifs. L’amélioration continue des critères d’action du robot devrait encore augmenter son efficacité.

Et des dizaines d’autres projets en préparation…

Le service qui gère les conventions automobiles en est déjà à trois robots déployés et un quatrième en cours de développement. Très intéressé par le RPA, le service conventions réfléchit à d’autres processus que cette technologie pourrait contribuer à automatiser.

« C’est un travail que nous avons mené sur plusieurs années, explique Céline Beunet, Responsable du service conventions. Les robots du service convention adressent des tâches précises : prise en charge d’un évènement non déclaré via l’ouverture d’un dossier et l’envoi d’un courrier au sociétaire ; automatisation du changement d’assureur lorsque le recours a été initialement présenté à la mauvaise partie ; suivi du remboursement du forfait, lorsqu’un recours présenté par une compagnie adverse a été contesté et refusé. Dans ce dernier cas de figure, le robot vérifie dans les échanges informatisés que nous avons bien été remboursés, puis classe le dossier. Ce que j’aime, c’est la possibilité de fixer les conditions d’action du robot et non de lui confier 100 % des processus. Ainsi, dès qu’un cas est litigieux, le gestionnaire reprend automatiquement la main. »

Le premier ROI du RPA est le temps qu’il fait gagner aux équipes. Économique et facile à mettre en œuvre, c’est un outil sans concurrence pour automatiser les processus. « Par rapport au coût d’automatisation d’une chaine logicielle, le RPA revient quasiment 10 fois moins cher, confirme Jocelyn Paris. Mais attention, le ROI est évalué selon quatre axes : la satisfaction des sociétaires ; la satisfaction des collaborateurs ; la performance de l’entreprise ; et l’aspect RSE. On ne veut surtout pas d’un robot qui remplace l’humain, mais d’une technologie qui aide l’humain. »

Maintenant que la plate-forme est en place et accessible largement, les demandes affluent et devraient sans nul doute s’intensifier. « La société française va vers plus de réglementation et d’administratif. Le RPA peut contribuer à atténuer ce phénomène. Si un robot peut s’occuper d’un traitement administratif, c’est aussi bien, car nous préférons que nos collaborateurs se focalisent sur leur cœur de métier : la relation humaine. » L’assureur militant s’engage ainsi au service de la performance comme du bien-être de ses collaborateurs.

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Source de l’article sur sap.com

Levallois – 8 octobre 2020 – SAP SE (NYSE : SAP) annonce une nouvelle version de SAP® Logistics Business Network, qui apporte de nouvelles capacités dans la gestion du réseaux des partenaires logistiques en termes de visibilité, de collaboration et intègre de nouveaux partenaires à sa plateforme logistique.

SAP Logistics Business Network est une plateforme cloud de business network dédiée à la logistique, conçue pour permettre aux clients SAP de connecter leur système d’information à leur réseau de partenaires pour étendre le suivi livraison des commandes et assurer la traçabilité des produits.

« Comme preuve supplémentaire de l’engagement de SAP, annoncé lors de SAPPHIRE NOW®, de proposer une offre complète de business networks : SAP Business Network, nous continuons d’ajouter de nouvelles capacités et d’étendre nos partenariats sur SAP Logistics Business Network notre business network dédié à la logistique », a déclaré Paige Cox, vice-président senior de SAP et responsable du SAP Business Network. « Les APIs ouvertes et les partenariats élargis sont des preuves de notre stratégie visant à créer un véritable réseau des réseaux. »

Cette nouvelle version constitue la prochaine étape de notre stratégie visant à permettre une visibilité de bout en bout, une efficacité accrue de la logistique et une collaboration transparente grâce à un réseau d’entreprises unifié qui inclut :

  • La visibilité sur l’exécution des commandes client grâce au suivi et à la traçabilité de nouvelle génération intégrée à SAP Logistics Business Network. Notre business network permet un suivi des étapes de livraison en temps réel pour tous les modes de transport offrant ainsi une couverture mondiale.
  • Des capacités de collaboration transport étendues, notamment le suivi multimodal des ordres de fret qui accroît la visibilité sur les événements routiers et maritimes.
  • Des APIs standards pour connecter les partenaires et les plateformes de fret, permettant de nouvelles collaborations entre partenaires routiers et maritimes.

SAP Logistics Business Network étend la couverture de différents modes de transport grâce à des partenaires nouveaux et existants, tels que :

  • project44, offrant une connectivité B2B pour la contractualisation transport, et des fonctions de visibilité pour le suivi en temps réel des envois routiers et le suivi des transports maritimes.
  • ClearMetal, permettant le suivi des conteneurs et des expéditions en transit grâce au Machine Learning reposant sur le référencement croisé des informations afin de faciliter le suivi maritime.
  • Shippeo, spécialiste du marché européen, offrant aux chargeurs un accès à son réseau de transporteurs, à son expertise en matière de réglementation et aux données de télémétrie de millions de camions pour un suivi des expéditions routières en temps réel.

« Grâce à ces partenariats, les entreprises utilisatrices de SAP Logistics Business Network peuvent désormais accéder tout au long du transport terrestre et maritime à la localisation exacte, aux changements de statuts et à l’heure d’arrivée estimée (ETA) de leurs expéditions. La nouvelle connectivité avec les transporteurs maritimes et les ports, ainsi qu’avec les systèmes satellitaires, apporte une visibilité sur l’ensemble du fret maritime mondial, » explique Rémy Vernet, Directeur de l’activité Digital Supply Chain de SAP France. « Nous sommes également très heureux d’intégrer la startup Française Shippeo que nous avions accompagnée il y a deux ans via notre fonds d’investissement SAP.iO Fund. »

SAP Logistics Business Network fait partie intégrante de SAP Business Network. Ce réseau des réseaux met à profit les informations fournies par l’ERP en temps réel, permet de réaliser des analyses poussées et offre des synergies avec des solutions de business networks performants tels que Ariba® Network – qui relie plus de 5 millions d’entreprises dans le monde et où plus de 3 460 milliards de dollars US d’achat sont traités chaque année.

La fourniture d’une intelligence collective par le biais d’un réseau commercial ouvert et interopérable permet de mettre en place des chaînes d’approvisionnement durables et résilientes, de transformer les business modèles et d’offrir la souplesse nécessaire pour faire face aux crises mondiales.

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Source de l’article sur sap.com