Articles

Partie 2: Microservices avec Apache Camel et Quarkus

Dans cette partie, nous allons apprendre à créer des microservices avec Apache Camel et Quarkus. Nous verrons comment les deux outils peuvent être utilisés ensemble pour créer des applications modernes et performantes.

Exécution locale d’une application microservices basée sur Apache Camel et AWS SDK

Dans la première partie de cette série, nous avons vu une application de transfert d’argent simplifiée basée sur les microservices, mise en œuvre à l’aide des outils de développement Java Apache Camel et AWS SDK (Software Development Kit) et de Quarkus comme plate-forme d’exécution. Comme indiqué, il existe de nombreux scénarios de déploiement qui pourraient être envisagés pour exécuter la production d’une telle application; le premier et le plus simple consiste à l’exécuter localement de manière autonome. C’est le scénario que nous examinerons dans ce nouveau post.

Quarkus est capable d’exécuter vos applications de deux manières: en mode JVM (Java Virtual Machine) et en mode natif. Le mode JVM est la manière classique standard d’exécuter des applications Java. Ici, l’application en cours d’exécution n’est pas exécutée directement sur le système d’exploitation, mais dans un certain milieu d’exécution où des bibliothèques et des API Java sont intégrées et enveloppées. Ces bibliothèques et API peuvent être très volumineuses et elles occupent une partie spécifique de la mémoire appelée Resident Set Size (RSS). Pour en savoir plus sur le RSS et Quarkus (par opposition à la façon dont Spring Boot le gère), voir ici.

Lorsque vous exécutez votre application avec Quarkus en mode JVM, vous pouvez utiliser un outil appelé GraalVM pour compiler votre application en code natif. GraalVM est un outil open source qui permet de compiler des applications Java en code natif. Il prend en charge plusieurs langages, dont Java, JavaScript, Ruby, Python et R. GraalVM est capable de compiler votre application Java en code natif très rapidement, ce qui permet à votre application de s’exécuter plus rapidement et avec moins de consommation de mémoire. Il est également possible d’utiliser GraalVM pour compiler votre application en code natif et l’exécuter directement sur le système d’exploitation, sans passer par le mode JVM. Cela permet à votre application de fonctionner plus rapidement et avec une consommation de mémoire minimale.

Ainsi, grâce à l’utilisation du logiciel Quarkus et de GraalVM, vous pouvez facilement déployer votre application microservices-based money transfer sur votre système local. Vous pouvez également utiliser GraalVM pour compiler votre application en code natif et l’exécuter directement sur le système d’exploitation, ce qui permet à votre application de fonctionner plus rapidement et avec une consommation de mémoire minimale. Cela peut être très utile pour les applications qui nécessitent une exécution rapide et une consommation minimale de mémoire. De plus, vous pouvez également déployer votre application sur des plates-formes cloud telles que AWS ou Azure afin de bénéficier des avantages supplémentaires offerts par ces plates-formes.

Source de l’article sur DZONE

This is the perfect time to raise this point — just as Spring Native is coming to the forefront. Is it time to move to GraalVM? Spoiler: it depends. Yes, if you’re building serverless, probably no if you’re building pretty much anything else — with a few exceptions for some microservices.

Before I begin, I want to qualify that I’m talking about native image (SubstrateVM) which is what most people mean when they say GraalVM. That specific feature took over a much larger and more ambitious project that includes some amazing capabilities such as polyglot programming. GraalVM native images let us compile our Java projects to native code. It performs analysis and removes unnecessary stuff, it can reduce the size and startup time of a binary significantly. I’ve seen 10-20x improvement to startup time, that’s a lot. Ram usage is also much lower sometimes by a similar scale but usually not as significant.

Source de l’article sur DZONE

BellSoft issued a new version of Liberica Native Image Kit (NIK), 22.0.0.2, so in this short article, I will provide a tutorial on how to use it with the Quarkus framework.

Liberica NIK is based on the open-source project GraalVM (Community Edition) and is compatible with many platforms, including lightweight musl-based Alpine Linux. Liberica NIK in essence is a utility that converts JVM-based applications into native executables (AOT compilation).

Source de l’article sur DZONE

The GraalVM compiler is a replacement to HotSpot’s server-side JIT compiler, widely known as the C2 compiler. It is written in Java with the goal of better performance compared to the C2 compiler. New changes, starting with Java 9, mean that we can now plug in our own hand-written C2 compiler into the JVM thanks to JVMCI. The researchers and engineers at Oracle Labs have created a variant of JDK8 with JVMCI enabled, which can be used to build the GraalVM compiler. The GraalVM compiler is open source and is available on GitHub (along with the HotSpot JVMCI sources needed to build the GraalVM compiler). This gives us the ability to fork/clone it and build our own version of the GraalVM compiler.

In this post, we are going to build the GraalVM compiler with JDK8 on CircleCI. The resulting artifacts are going to be:

Source de l’article sur DZONE