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Auparavant, « mener la belle vie » signifiait jouir du confort et du luxe, loin des problèmes financiers et des préoccupations environnementales. Ce n’est plus le cas aujourd’hui.

Selon une récente étude Harris/Ketchum commandée par Sustainable Brands, une communauté mondiale d’innovateurs de marque, la définition d’une belle vie a changé. Plutôt que l’argent, le statut et les réalisations personnelles, aujourd’hui, « la base d’une vie bien vécue repose sur l’équilibre, la simplicité et des liens plus étroits avec la famille, la communauté et l’environnement ».

Selon les sources, la recherche indique qu’environ 65 à 95 % des personnes veulent désormais vivre une vie plus durable et acheter des produits qui soutiennent un avenir plus durable. Cela a un impact considérable sur les sociétés qui souhaitent rester compétitives dans ce nouveau contexte.

Comment les marques évoluent-elles alors pour répondre aux besoins et aux aspirations des consommateurs qui apprécient la simplicité, la transparence, l’authenticité et la durabilité plutôt que les biens personnels et l’apparence ?

Appliquer la théorie

Les objectifs et la vision des marques durables sont clairs. Elles créent des feuilles de route pour développer en permanence des pratiques commerciales plus durables. Elles excellent dans le leadership éclairé, l’innovation et les meilleures pratiques pour façonner une culture où la vie durable constitue la base de la belle vie de demain.

En voici quelques exemples sympathiques.

Procter & Gamble, géant des produits de consommation courante, a augmenté d’un cran ses initiatives en termes d’économie circulaire en fabriquant des bouteilles à partir du plastique ramassé sur les plages et repêché dans les océans. La société s’est également engagée à recycler et à récupérer 5 milliards de litres d’eau par an de ses processus de fabrication. Elle s’attaque même à un problème que personne d’autre ne semble savoir résoudre : la société a inventé une technologie capable de redonner de la valeur aux déchets, comme la cellulose plastique des couches jetables sales.

À Haïti, une des conséquences involontaires des opérations de secours après le séisme dévastateur de 2010 a été l’accumulation de montagnes de bouteilles plastique sur toute l’île. Des bouteilles d’eau vides et les emballages des fournitures expédiées pour aider les Haïtiens se sont retrouvés dans les canaux, sur les plages et dans les rues. Le système de collecte des déchets du pays s’est alors effondré. Aujourd’hui, ces bouteilles trouvent une seconde vie sous la forme de cartouches d’imprimante. À travers un projet de recyclage radical, HP, une société qui voit la circularité comme une approche liée au cycle de vie des produits, collabore avec divers partenaires pour créer de nouveaux emplois, offrir une formation en matière de santé et de sécurité et instruire des centaines d’enfants qui collectaient auparavant des déchets pour venir en aide à leur famille.

Parvenir à la belle vie

En mai 2019, plus de 2 500 représentants de la communauté Sustainable Brands se sont rassemblés à Détroit afin de faire part de leurs efforts et de s’inspirer de ce que font les autres pour agir et avoir la conscience tranquille, tout en fournissant des produits et des services qui répondent aux besoins et aux visions des clients et des consommateurs.

Cette conférence de quatre jours attire des leaders éclairés, des innovateurs, des experts du développement durable et des stratèges de marque du monde entier. L’événement principal est l’exposition Innovation Expo. Les participants peuvent s’inscrire à des ateliers, à des laboratoires d’innovation et à des activités de programmation centrés sur l’amélioration du monde.

L’exposition est divisée en pavillons « Belle vie » dédié aux différents secteurs du marché tels que la chimie, l’énergie et la finance, ainsi qu’à des sujets tels que la circularité et la gestion des ressources. Une section est même consacrée aux revues qui sont capables d’inspirer des changements comportementaux, comme le National Geographic.

En tant que sponsor « Good Life Lounge » pour l’économie circulaire, SAP organise plusieurs dialogues interactifs sur des sujets stratégiques. La question de la pollution plastique des océans est un des sujets de la conférence auquel les dirigeants de SAP sont très attachés.

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Une direction qui a du sens

En 2018, Stephen Jamieson, responsable de SAP Leonardo au Royaume-Uni et en Irlande, a participé à la création de « Plastics Cloud », une plateforme pour s’attaquer au problème du plastique à usage unique. L’initiative compile des informations et utilise l’apprentissage automatique pour identifier les matériaux et les tendances prévisionnelles en matière d’achat et de recyclage de matières plastiques, ce qui permet aux services de répondre à la demande. Elle partage également des données avec les consommateurs pour les aider à comprendre l’impact qu’ils ont au sujet des matières plastiques.

Entre-temps, Padmini Ranganathan, vice-présidente globale Produits et innovation chez SAP, a inclus Plastics for Change dans Ariba Network, de façon à intégrer l’économie informelle des collecteurs de déchets dans un système d’offre et de demande de matériaux secondaires plus formalisé.

L’initiative de Stephen Jamieson et le travail de Padmini Ranganathan avec les collecteurs de matières plastiques ont été deux des principaux facteurs qui ont poussé SAP à parrainer le sommet Ocean Plastic Leadership Summit dirigé par Jim Sullivan, responsable de l’Innovation durable chez SAP, et Alexandra van der Ploeg, responsable de la Responsabilité sociale d’entreprise chez SAP.

Comme l’a dit Mohammed Ali « l’impossible est temporaire ». Ce paradigme a été répété à maintes reprises par les 170 producteurs, scientifiques, chercheurs et innovateurs participant au sommet océanique. Bien que la pollution plastique des océans soit un immense défi, Jim Sullivan estime que si les gouvernements, les organisations non gouvernementales (ONG), les consommateurs et les leaders industriels s’associaient, il serait possible de le relever en dix ans. La plupart du plastique est rejeté dans l’océan par cinq cours d’eau en Asie. Les experts estiment qu’en réduisant la quantité des matières plastiques déversées dans les cours d’eau de seulement 20 % au cours des sept prochaines années, les océans reviendraient aux niveaux de pollution plastique des années 1990.

La technologie pour y parvenir existe déjà. C’est l’investissement nécessaire au développement de cette infrastructure essentielle qui fait défaut, et ce manque s’accentue encore plus du fait de l’échec du système d’offre et de demande de matériaux recyclés.

Les entreprises durables jouent un rôle majeur dans la solution. Elles transforment leurs activités avec des modèles circulaires qui permettent aux consommateurs et aux producteurs de refuser, de réduire, de réutiliser et de recycler. Ensemble, ils créent une assise durable pour mener la belle vie, selon la nouvelle définition qu’on lui prête.

Publié en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

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