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+2 points, c’est le gain en productivité attendu suite au déploiement de SAP ME sur une ligne de production du site Hitachi Astemo d’Angers. Autres bénéfices : une meilleure traçabilité, un contrôle qualité plus poussé et une visibilité accrue sur la production.

Hitachi Astemo est l’un des principaux équipementiers automobiles mondiaux. Son usine d’Angers, spécialisée dans les systèmes de freinage, a lancé un ambitieux projet de système d’information (SI) global, aujourd’hui passé en phase pilote. « Nous voulions nous doter d’un système de pilotage de la performance permettant d’assurer une traçabilité avancée, afin de répondre au cahier des charges des constructeurs automobiles premiums » précise Guillaume Neveu, Digital Manufacturing, MES – Un « core » model global, déployable sur l’ensemble des usines de la Business Unit. »

Les objectifs du projet étaient multiples : proposer une solution commune à tous les sites de production, permettant d’harmoniser les SI et tout en réduisant les coûts ; booster la productivité en accélérant les cycles de décision et les lignes de production ; améliorer la qualité des produits, leur traçabilité et le processus de contrôle ; avoir une meilleure visibilité sur la production des usines ; et, enfin, disposer d’un socle capable d’assurer la mise en œuvre d’une stratégie d’industrie 4.0.

Un MES comme pièce centrale du SI

« Il nous est rapidement apparu que le SI devait se concentrer sur un outil de pilotage de la production, ou MES (Manufacturing Execution System) » explique Guillaume Neveu. SAP Manufacturing Execution (SAP ME)  a été choisi pour assurer la collecte des données et le pilotage de la production. Avec l’appui de SAP MII (Manufacturing Intelligence Integration) pour l’intégration avec l’ERP et les fonctionnalités avancées de management visuel.

Suite à une première tentative non aboutie, le projet a été redémarré en juillet 2020. « Après avoir mené l’audit de la solution existante, nous avons demandé à Wynsys de reprendre le projet et de construire une nouvelle offre. » précise Guillaume Neveu. Les attentes et fonctionnalités ayant bien été identifiées en amont, quatre mois ont été suffisants pour mettre en place la solution. Il faudra attendre toutefois fin mars 2021 pour que SAP ME soit déployé sur un premier site, celui d’Angers.

« Nous avons pris le temps de valider la solution de façon très poussée, afin de nous assurer que tout se passerait bien, explique Cedric Mauresa, Business Relationship Manager au sein de la SI. Aujourd’hui, SAP ME tourne parfaitement sur une des lignes de production de notre site d’Angers. Les simulations réalisées avec Wynsys nous montrent que la solution pourra prendre en charge l’ensemble des dix lignes de production de l’usine, dès que nous aurons la validation de la Direction de l’usine. »

De multiples bénéfices

Guillaume Neveu nous détaille ci-dessous les objectifs atteints et les points restant à développer :

  1. Traçabilité : « L’outil de traçabilité de SAP ME répond à nos attentes. Près de 100 paramètres sont récupérés par frein, sachant qu’un frein est produit en moins de 10 secondes et qu’une trentaine de machines envoient des données simultanément. Le système arrive à collecter et traiter l’ensemble de ces informations. »
  2. Performance : « les retours des chefs d’équipes sont très positifs : les remontées en temps réel sur l’état de la ligne de production permettent de réagir rapidement en cas de problème ou d’imprévu. Et des rapports sont automatiquement générés chaque matin. »
  3. Contrôle : « Nous traçons ce qui sort des lignes, ainsi que ce qui a été fait ou refait. Il nous faudra toutefois aller plus loin dans le domaine du contrôle qualité, avec une analyse plus poussée de la production. »
  4. Socle IT : « Notre solution « core » est définie. Mais il nous faudra affiner la partie budgétaire, afin de proposer une offre meilleure marché pour les petits sites. Nous pourrions ainsi imaginer une plaque de déploiement commune à plusieurs usines, afin de mutualiser les coûts. »

Les superviseurs sont aujourd’hui en demande de ce type de solution. Ils gagnent en effet près d’une heure trente chaque matin grâce à la mise à disposition automatique de rapports détaillés, prêts à être analysés. Quant à l’OEE (Overall Equipment Effectiveness), il devrait croître : « Nous nous attendons à +2 points d’OEE, en plus des gains de productivité déjà programmés. » Mieux mesuré, l’OEE devient par ailleurs un indicateur plus fiable de la performance réelle des différents sites de production. Un argument clé pour améliorer la visibilité et la transparence des opérations.

 

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Source de l’article sur sap.com

Asset management and website performance optimization are two of those unavoidable headaches faced by every website owner.

A digital asset management (DAM) platform can provide centralized asset repositories with intuitive dashboards to help you manage assets. On the other hand, an image CDN can help you get rid of that messy responsive syntax and provide dynamic asset optimization with huge performance boosts.

The problem is that website performance has become such a competitive factor that DAMs with other priorities tend to fall short. On the other hand, specialized image CDNs don’t solve the problems associated with image management, particularly within organizations.

With that in mind, I propose solving these problems for good by putting together image management and optimization stack using ImageEngine and Cloudinary. Instead of being a comparison between these two tools, this article describes the benefits of using them to complement each other.

Features and Asset Management Capabilities

As a DAM, Cloudinary provides you with a visual interface to store, manage, and edit your image and video assets. In that way, it’s not much different from any other professional image managing software such as Adobe Bridge, except that it’s an online, browser-based service.

Using the Media Library, you can upload, delete, and organize images in folders, for example. The visual image editor allows you to make advanced transformations and image touch-ups and see the results instantaneously using tools like sliders, dropdowns, etc. You can even chain transformations together for multi-layered effects.

Cloudinary also allows you to manipulate images and videos this way using their URL-based API.

Cloudinary has additional auxiliary features that make asset management easier (especially in organizations), such as backups, role-based multi-user admin, and feature extensions via third-party integrations and add-ons.

This is something most image CDNs don’t provide. Instead, they allow you to access and transform images using URL manipulation. Transformations are usually made using string-based parameters or directives. A serverless, headless DAM, if you will.

However, the advantage of using a dedicated image CDN like ImageEngine, is that it can usually provide enhanced asset optimization. ImageEngine, for example, is an intelligent image CDN that uses WURFL device detection to finely read the context an image is accessed from (device model, PPI, OS, browser, resolution, etc.) and then chooses the optimal image for that configuration.

This frees up website owners from having to do any additional optimization. This business logic is also built-in to all of their global PoP servers, and ImageEngine specifically delivers cache-hit ratios close to 100%. The following performance section will illustrate the difference this can make in practice.

Check out the key differences between ImageEngine and Cloudinary. And, for a deeper insight, see the comparison with other similar CDNs, like imgix and Cloudflare

Performance

Just to cover our bases and prove that this is an effective asset management and optimization stack, I’m also going to affirm it using a Lighthouse performance audit. Here is a quick summary of the results:

For this test, I built a web page with a tonne of images with overly large file sizes. In this first Lighthouse audit, I didn’t apply any optimization to the images. Here’s the result:

As you can see, we had some major problems when it came to the loading time of our assets. Overall, the page took more than 10 seconds to load. One of Google’s crucial user-centric performance metrics, LCP, scored a miserable 7.5s. Lighthouse suggested that some of the main problems encountered were the asset file size, inefficient cache policies, using non-optimal image formats, and improperly sized images.

Both Cloudinary and ImageEngine are supposed to address all of these factors with their auto image optimization. In the next audit, I used the same page and content but served my images via Cloudinary:

As you can see, there is improvement in most factors. FCP is now in the green, and both the Speed index and LCP times have almost halved. Even TTI and CLS improved slightly. That being said, it’s still nowhere near optimal, and we’re still falling short of the all-important 3-second loading time ceiling.

So, finally, let’s do another Lighthouse audit – this time using ImageEngine on top of Cloudinary. Here are the results:

With ImageEngine, I finally scored in the green with 95. All the metrics that have to do with the sheer speed at which image content loads improved. The Speed Index and LCP, which is the most important, improved dramatically. CLS scored worse, but this typically varies from test to test.

You can find another and more extensive breakdown of the performance and pricing comparison here.

Transformations, Bandwidth Utilization, and Cost

Cloudinary’s pricing plans work on a credit-based system. Starting with the free account, you get 25 credits/month. Each credit can be used for 1,000 transformations, 1 GB of storage, or 1 GB of net viewing bandwidth. The other two packages cost $99 for 225 credits and $249 for 600 credits, respectively.

You should plan to generate a minimum of 5 transformations per image. In effect, that limits you to around 200 images with the free plan, excluding whatever manual transformations you make.

ImageEngine’s Basic plan costs $49 and provides you with 100 GB of Smart Bytes. Smart Bytes are based on optimized image content and translate to roughly 400-500 GB of raw images.

So, with Cloudinary, you have to compromise between bandwidth and storage usage as well as the number of transformations you can make. Transformations for Cloudinary are counted as they are dynamically generated on-demand.

However, if you use ImageEngine for optimization, you can switch off Cloudinary’s auto-optimization. When a new image variant is needed, it will be generated and delivered via ImageEngine. Considering variant count isn’t limited by ImageEngine, this will drastically cut down on the number of credits you’ll need to spend on transformations.

Effectively, that means you could use the bulk of your Cloudinary credits purely for storage and specific transformations. For example, advanced cropping, applying effects, or color adjustments. These are, after all, the main functions of a DAM.

With this setup, ImageEngine’s Basic plan and Cloudinary’s free plan should be adequate for most websites, saving around $50 a month.

How to Implement Cloudinary with ImageEngine

Signing up for Both Services

As it will house all of your image assets, the logical place to start would be to sign up with Cloudinary.

Create a (free) account, and make sure to take note of your “cloud name” during the setup wizard. This will be the name of your designated storage location on the Cloudinary platform and is usually a garbled string like di2zgnxh0 by default. However, you can change this to something more meaningful.

Once you’ve signed up, you can start uploading your image assets and creating different versions/transformations of them. Setting up Cloudinary integration on a CMS, like WordPress, is usually straightforward. Just indicate the CMS you’ll be using, copy the API key, install the plugin, and activate it.

Next, sign up for a free trial with ImageEngine. There will also be a short setup wizard during which you will:

  1. Provide ImageEngine with the website where your images will be delivered.
  2. Supply your image origin (in this case, your Cloudinary web folder). For now, you can only add the Cloudinary, e.g., res.cloudinary.com.
  3. Get your ImageEngine image-serving domain, e.g., {randomstring}.cdn.imgeng.in

When in your ImageEngine dashboard, you’ll see this domain listed under “Engines” as well as an entry for Cloudinary under “Origins.” Edit the latter and under “Advanced,” add your Cloudinary folder to the “PATH” field.

That’s it, you should now be able to store and manage images via Cloudinary and serve them via the ImageEngine CDN.

Dynamically Loading Specific Image Variants

Let’s take a look at a use case for loading different transformations of individual images on your site. This example will showcase how you can use Cloudinary’s advanced image editing tools to transform images while still reaping the optimization rewards of using ImageEngine as your image CDN.

A popular practice today is to use rounded images for team, client, or profile portraits. Using Cloudinary, you can load this transformation using the following URL:

https://res.cloudinary.com/myimages/image/upload/w_400,h_400,c_crop,g_face,r_max/w_200/profile.jpg

This will resize the image to 400 by 400px, focus on the face, and apply the maximum amount of radial cropping around it – to a width of 200px.

The same image can then be accessed via your ImageEngine delivery engine simply by swapping out the domain:

https://images.myimageengine.com.imgeng.in/image/upload/w_400,h_400,c_crop,g_face,r_max/w_200/profile.jpg

NOTE: I added my Cloudinary folder designation (“myimages”) as the path to my image origin. With that config, I don’t need to include it every time I use the image URL.

For example, you can set up the origin like this:

And, then under advanced:

If I specifically wanted to load the profile picture in WebP format (for transparency support, for example), I could add the ImageEngine directive f_webp:

https://images.myimageengine.com.imgeng.in/image/upload/w_400,h_400,c_crop,g_face,r_max/w_200/?imgeng=/f_webp/profile.jpg

ImageEngine and Cloudinary – The Wrap Up

Both ImageEngine and Cloudinary are superb platforms that can make managing image and video assets easier and improve your website maintenance. However, both services have their specialty in which they outperform each other.

For ImageEngine, it’s delivering blisteringly fast image loading times in next-gen formats and with a minimal loss of visual quality.

For Cloudinary, it’s providing a visual interface to organize, store, and edit your image and video assets.

As a further incentive, letting each of these services handle what they’re best at can lead to lowering your long-term operating costs.

 

[– This is a sponsored post on behalf of ImageEngine –]

Source

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

This article will explain in detail, how to integrate with RabbitMQ in MuleSoft and read messages from a queue.

Install and Setup RabbitMQ on Mac

In this section, I will explain how to install RabbitMQ on Mac, create a new queue and publish messages to the queue using the RabbitMQ portal.

Source de l’article sur DZONE

Intermine, where I was tasked with creating new user training documentation. For this project, I entirely rewrote the Intermine user documentation — which included images, code snippets, tables, mathematical formulas, and more — using GitBook. This guide will share my experience creating technical documentation using GitBook and act as a de-facto quick-start guide to GitBook.

What is GitBook?

GitBook is a collaborative documentation tool that allows anyone to document anything—such as products and APIs—and share knowledge through a user-friendly online platform. According to GitBook, “GitBook is a flexible platform for all kinds of content and collaboration.” It provides a single unified workspace for different users to create, manage and share content without using multiple tools. For example:

Source de l’article sur DZONE


Introduction

Microsoft BizTalk Server 2020 is one of the world’s leading integration tools, with full support for newly released features. On January 15, 2020, Microsoft announced the release of BizTalk Server 2020. The whole community was excited to see the new set of features that were shipped in this release, it’s the beginning of a new era!

What Are the New Features?

There are many new features released with BizTalk Server 2020, let’s have a look at some of the them:

Source de l’article sur DZONE

One of the additions in the upcoming Zato 3.2 release is an extension to its publish/subscribe mechanism that lets services publish messages directly to other services. Let’s check how to use it and how it compares to other means of invoking one’s API services. 

How Does It Work?

In your Zato service, you can publish a message to any other services as below. Simply point self.pubsub.publish to the target service by the latter’s name and it will receive your message.

Source de l’article sur DZONE


When running Azure Kubernetes Service (AKS), it can be hard to understand and allocate costs in environments with multiple teams, projects, or even departments. With Kubecost, you gain full transparency into your Kubernetes usage and cost within minutes of installation. Officially launched in 2019 and built on open source, Kubecost now monitors over one billion dollars in Kubernetes spend, and enables startups and global enterprises alike to understand their spend and identify cost savings ranging from 30% to over 50%. Kubecost supports a wide range of self-managed and hosted Kubernetes environments, including Azure Kubernetes Service, which we’ll cover today in this article.

The Microsoft Azure Kubernetes Service (AKS) is a popular fully managed Kubernetes service that offers embedded continuous integration and continuous delivery as well as enterprise-grade security and governance— powerful tools for teams adopting Kubernetes. As with any complex infrastructure, AKS requires proper governance and financial transparency for successful organizational adoption. Kubecost, an open source tool that provides teams with visibility into Kubernetes spend and supports environments hosted in Azure, is a widely recommended solution for engineers and finance teams facing this problem. Note: This documentation page for AKS provides helpful context for using Kubecost to implement a cost governance strategy.

Source de l’article sur DZONE

Here I am again with another take from the field.

Red Hat Single Sign-on (RH-SSO) is the enterprise-ready version of Keycloak, and one thing that is most commonly asked, especially for big customers is, « How do we audit all the events? »

Source de l’article sur DZONE

NEW YORK et WALLDORF – Accenture (NYSE : ACN) et SAP SE (NYSE : SAP) étendent leur partenariat de plusieurs décennies pour aider les entreprises à intégrer le développement durable à l’ensemble de leurs activités, de la stratégie à l’exécution, afin de dégager une nouvelle valeur au sein de leurs entreprises et de leurs chaînes de valeur et d’approvisionnement.

En associant la technologie SAP aux services de développement durable d’Accenture et à leur vaste connaissance du secteur, les partenaires élargissent leur alliance afin de créer conjointement de nouvelles solutions qui permettront aux entreprises d’accélérer la dé-carbonisation complète de leurs chaînes d’approvisionnement et d’obtenir leur part des 4 500 milliards de dollars de croissance économique que l’économie circulaire pourrait générer*.

Grâce à ce partenariat étendu, Accenture et SAP prévoient de co-innover et de co-développer la nouvelle solution de SAP pour la production et la conception responsables, qui comprend des fonctionnalités aidant les entreprises à intégrer des mesures de durabilité dans leurs chaînes de valeur et d’approvisionnement, en mettant l’accent sur la conception et la fabrication des produits. Grâce à des données intégrées provenant de l’ensemble des opérations, les entreprises peuvent mieux concevoir et fabriquer des produits produisant moins de déchets, plus recyclables et contenant davantage de matières recyclées. Cela contribuera également à réduire le coût croissant de la conformité induit par les nouvelles réglementations en matière d’emballage et de responsabilité élargie des producteurs (REP).

« Notre collaboration permettra aux clients de SAP, qui comprennent 92% des Forbes Global 2000, d’utiliser leurs systèmes centraux pour les aider à mener leur programme de développement durable, à optimiser leurs performances ESG et à atteindre leurs objectifs », a déclaré Julie Sweet, chief executive officer d’Accenture. « Cette collaboration élargie s’appuie sur notre longue histoire avec SAP – notamment notre partenariat conjoint avec le Pacte mondial des Nations unies et 3M – et sur notre engagement commun à favoriser la réalisation des objectifs de développement durable. »

Accenture soutient également l’initiative Climate 21 de SAP, qui permet aux entreprises de tout secteur d’activité d’utiliser des outils d’analyse pour mesurer et minimiser les émissions de dioxyde de carbone (CO2) et réduire l’empreinte carbone tout au long du cycle de vie des produits. Par exemple, les recherches montrent que les émissions des fournisseurs en amont sont en moyenne plus de cinq fois supérieures à celles des opérations directes**. Grâce à l’ajout de mesures de durabilité dans l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement de bout en bout, les entreprises disposent d’une vision intégrée des économies environnementales et de l’impact des coûts et peuvent plus facilement optimiser leurs opérations.

« Pour réussir à lutter contre la plus grande menace qui pèse sur notre monde aujourd’hui, nous devons collaborer à tous les niveaux de l’entreprise et de la société « , a déclaré Christian Klein, chief executive officer de SAP. « En s’appuyant sur notre partenariat de longue date et de confiance, SAP et Accenture unissent leurs forces pour aider nos clients à réaliser une croissance à long terme de manière durable. Nous apportons une visibilité sur l’impact environnemental de l’ensemble de la chaîne de valeur, en fournissant aux entreprises les informations dont elles ont besoin pour prendre les bonnes mesures et accélérer leur transition vers l’économie circulaire. »

Le mois dernier, SAP et Accenture ont donné le coup d’envoi d’un programme d’accélération mondial axé sur le développement durable au sein de SAP.iO Foundries. Le programme Sustainable Future, la plus grande cohorte de SAP.iO à ce jour, vise à aider les startups B2B en phase de démarrage à favoriser la transformation numérique et l’innovation dans quatre domaines cibles : le suivi et le commerce du carbone, l’efficacité des ressources, le suivi et l’atténuation des risques climatiques et l’économie circulaire. Treize startups ont été sélectionnées pour travailler avec SAP.iO Foundries Berlin et Munich, en tandem avec des experts d’Accenture et des entreprises leaders dans divers secteurs.

« La mise en œuvre de la gestion durable de la chaîne d’approvisionnement et des principes de l’économie circulaire est une tâche incroyablement difficile pour les entreprises, compte tenu de la diversité des questions ESG et des multiples parties prenantes concernées », a déclaré Bjoern Stengel,  senior research analyst, Worldwide Business Consulting and ESG Business Services chez IDC. « Selon les recherches d’IDC, les questions relatives au processus de création de valeur des entreprises (conception et gestion du cycle de vie des produits, approvisionnement en matières premières, etc.) sont les sujets d’ESG qui généreront le plus de demande à court terme. Cette nouvelle offre d’Accenture et de SAP permet aux clients de générer des informations critiques, fondées sur des données, de bout en bout, qui prennent en compte les paramètres non financiers nécessaires pour construire des chaînes d’approvisionnement durables et aider les entreprises à créer une valeur partagée. »

Cette collaboration est la dernière d’une série d’initiatives d’Accenture et de SAP qui aident les entreprises à tirer de la valeur du développement durable. Le Pacte mondial des Nations unies, avec le soutien d’Accenture et de SAP SE, en faveur des objectifs de développement durable (ODD), a lancé SDG Ambition en janvier 2020 et a publié les guides SDG Ambition et Integration en septembre 2020. Ensemble, grâce au SDG Ambition Accelerator qui a débuté en février 2021, plus de 600 entreprises dans 65 pays sont en train de monter en compétences pour appliquer ces outils à leurs activités.

À propos d’Accenture

Accenture est un des leaders mondiaux des services aux entreprises et administrations, avec une expertise de pointe dans les domaines du numérique, du cloud et de la sécurité. Combinant une expérience unique et une expertise spécialisée dans plus de 40 secteurs d’activité, Accenture s’appuie sur le plus grand réseau international de centres de technologie avancée et d’opérations intelligentes pour offrir à ses clients des services Strategy & Consulting, Interactive, Technology et Operations. Avec 537 000 employés, Accenture s’engage chaque jour auprès de ses clients dans plus de 120 pays, à réaliser la promesse de la technologie alliée à l’ingéniosité humaine. Accenture s’appuie sur le changement pour générer de la valeur et créer une réussite partagée avec ses clients, ses collaborateurs, ses actionnaires, ses partenaires et ses communautés.
Site Internet : www.accenture.com/fr

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

Contacts presse SAP
Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Pauline Barriere : 06.13.73.93.11 – presse-sap@publicisconsultants.com
SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

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Source de l’article sur sap.com

Photo by Oskar Yildiz on Unsplash.

When building integration components, it’s almost a given that we will have to process data in different formats like JSON, XML, YAML, etc. It’s imperative that any integration product should have very good support for handling these data formats. This kind of robust support for handling data in different formats makes the product flexible to be adapted to different use cases.

In this article, we will look into the support provided by Kumologica for handling the data in these different formats.

Source de l’article sur DZONE