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WALLDORF, Allemagne – 27 janvier 2021 – SAP SE (NYSE: SAP) annonce « RISE with SAP », une offre phare visant à soutenir la transformation business des entreprises. RISE with SAP offre aux entreprises une toute nouvelle façon de repenser leurs processus métier pour soutenir leurs performances, et ce à toutes les étapes de leur transformation numérique. Avec son écosystème de partenaires solide, SAP offrira un retour sur investissement rapide et une grande flexibilité, le tout sans investissements initiaux élevés. Cette offre de Business Transformation-as-a-Service a été annoncée lors de l’événement « RISE with SAP: The Introduction » où SAP a également dévoilé son intention de faire une acquisition stratégique dans le domaine de l’intelligence des processus métier. Revivez le live avec Christian Klein et ses invités, dont Microsoft, Siemens et LiveKindly ici.

« Les tensions géopolitiques, les défis environnementaux et la pandémie en cours obligent les entreprises à faire face au changement plus rapidement que jamais », a déclaré Christian Klein, CEO de SAP. « Les entreprises capables d’adapter rapidement leurs processus métier prospéreront – et SAP peut les y aider. C’est la raison d’être de RISE with SAP : aider les entreprises à trouver en permanence de nouvelles façons de gérer leurs activités dans le cloud pour garder une longueur d’avance sur leur secteur. »

RISE with SAP est une offre unique pour chaque client, qui les accompagne vers l’Entreprise Intelligente. Proposée sous forme d’abonnement, l’offre comprend un accord de niveau de service, opérations et support.

L’approche holistique va aider les entreprises à véritablement transformer leur activité en allant au-delà d’une migration technique vers le cloud pour permettre une transformation continue. Avec son écosystème de partenaires solide, SAP va accompagner les entreprises dans leur transformation grâce à: 

  • La refonte des processus métier :
    • Business Process Intelligence repose sur le modèle de gestion et l’expertise de SAP en matière de processus acquise grâce à la collaboration avec ses 400 000 clients dans 25 secteurs. Les clients pourront continuellement analyser les performances de leurs processus de gestion, les comparer aux normes de l’industrie et les adapter facilement aux nouvelles exigences et demandes de l’entreprise. L’intelligence peut être intégrée aux processus métier grâce à une connexion directe au workflow SAP, à l’automatisation robotisée des processus (RPA) et à d’autres services d’intelligence artificielle (IA).
  • La gestion de la migration technique :
    • Les outils et services SAP prennent en charge l’ensemble du parcours technique avec un retour sur investissement rapide, auxquels s’ajoutent les offres de l’écosystème de SAP. Cela inclut des services automatisés pour faciliter le passage à des environnements de solutions modulaires et standard pour bénéficier plus rapidement de l’innovation dans le cloud, ainsi que le support d’architectes techniques pour faciliter la migration et une adoption plus forte.
    • L’infrastructure cloud choisie par le client se trouve dans un Data Center SAP ou celui d’un hyperscaler pour bénéficier des capacités de l’Infrastructure as-a-service sans limitation du système et des données.
  • La construction de nouveaux business models:
    • La Business Technology Platform fournit une couche sémantique ce qui permet de préserver le cœur du système propre ;
      • L’Enrichissement, l’extension et l’intégration des solutions SAP, partenaires ou tierces sont facilités en utilisant le même modèle de données et la même plateforme de services que les applications SAP.
      • Plus de 2 200 API permettent l’intégration des systèmes On-Premise, cloud et non SAP.
      • Pilotage et planification de l’organisation en temps réel , avec des données de qualité pour permettre le développement de scénarios Analytics, IA, et de planification, grâce à une couche de données sémantique
      • Des capacités low-code ou no code supplémentaires permettant d’étendre les solutions SAP, de l’intelligent RPA pour l’automatisation des processus, et un service de workflow pour modifier les processus à la volée.
  • SAP S/4HANA Cloud inclut de IA, de la RPA, des analyses avancées et des options de déploiement flexibles, selon la complexité du client.
  • Un accès unifié à l’un des plus grands réseaux d’entreprises au monde, comprenant les réseaux intelligents de fournisseurs et de logistique SAP, permettant aux entreprises de gérer l’entièreté de leur chaîne d’approvisionnement pour réagir plus rapidement aux évolutions du marché.

Pour plus d’informations sur RISE with SAP, lisez les blogs de Christian Klein, Juergen Mueller Thomas Saueressig, Uwe Griegoleit, et Jan Gilg.

Lisez ce que les partenaires SAP ont à dire ici.

Visitez le SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter à @sapnews.

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Source de l’article sur sap.com

Here we are into a brand new year, and although we’re far from out of the woods yet, there is a feeling of renewed hope on many fronts.

In this first collection of the year, we have a mix of retrospectives, brand new ventures, and business as usual. There is an eclectic mix of styles on offer, from glossy and slick to minimalist and brutalist, but all confident and looking to a better world in the year ahead.

Clar

Brand strategists Clar have a simple but strong site. Aside from a few personnel profile shots and the odd bit of line animation, it is all text. The typography is good, and the use of color holds interest.

Ebb Dunedin

This boutique hotel, opening in March 2021 (COVID permitting), has bucked the usual luxury hotel trend and bravely gone for a more minimal design style to complement its interiors.

Aplós

Perfect for Dry January, Aplós is a new, non-alcoholic spirit that can be drunk on its own, with a mixer or in a cocktail. The site design and branding aesthetic is sophisticated calm.

Malala Fund COVID Initiative

Subtle color and simple line decorations keep this site for the Malala Fund’s COVID Initiative clean but warm and appealing.

Taubmans Chromatic Joy

This micro-site promoting Taubmans’ new paint color collection is bursting with color and makes a big nod to the Memphis style of the 1980s.

Myriad

Myriad video production agency’s site uses small amounts of bright colors really well. And they quote Eleanor Shellstrop.

The Ocean Cleanup

Cleaning all the plastic crap out of the oceanic garbage patches is a grim job, but it’s getting done, and The Ocean Cleanup site explains how and why in a not grim way.

Photo Vogue Festival

This site displaying the work and talks from Vogue Italia’s 2020 Photo Festival mixes a hand-drawn style with clean type and a strong grid.

Zero

Zero is a digital branding agency. Their site is glossy with lots of high-quality images, smooth transitions, and a clear structure. The background options are a fun touch.

Fluff

This site for cosmetics brand Fluff takes an old school approach to designing for different viewports — sticking a fullscreen background behind your mobile view for desktop sounds like a terrible idea, but here it works.

Patricia Urquiola

The new site for Patricia Urquiola design studio is bright, bold, and assured, inspiring confidence.

Breathing Room

Breathing Room describes itself as a volunteer creative coalition that designs spaces for black people to live without limits through art, design, and activism. The design radiates confidence and optimism.

A Year in Review

A microsite from Milkshake Studio, highlighting their work over the past year. Some good scrolling animation.

Umamiland

Umamiland is an animated interactive introduction to Japanese food, with links to Google search results for individual items or where to get them.

Acqua Carloforte

Carloforte is the town on the island of San Pietro, near Sardinia, and the scents of the island inspire the perfumes of Acqua Carloforte. Cue beautiful photography.

Eugene Ling

Eugen Ling’s portfolio site is simple and straightforward with little or no marketing-speak and a lovely, understated slider transition.

CWC Tokyo

Cross World Connections is an Illustration and Creative Agency based in Japan and represents illustrators from all over the world.

Lions Good News

Following the cancellation of the Cannes Lions Festival of Creativity in 2020, this site was set up to highlight good news in creativity during the pandemic. A carousel of paper flyers forms the main navigation and creates a lo-fi, DIY feel.

G!theimagineers

G!theimagineers is a production studio for events and entertainment. White lines on black, horizontal concertina navigation, and lots of circles.

Sgrappa

Sgrappa is handmade grappa with attitude, and this site has an uncompromising, in your face vibe.

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

This article was originally published at Coder Society, and we’ll explore GraphQL’s core features, how to interact with a GraphQL API, and some development and operational challenges.

The Story of GraphQL

Nowadays, REST seems to be the default approach for building APIs, typically based on the familiar HTTP protocol. While REST is relatively simple to work with and enjoys widespread popularity, its use of multiple endpoints to address resources sometimes gets in the way of flexibility.

Source de l’article sur DZONE

With the Auto Scale for VPC, you can create an instance group to scale according to your requirements. Based on the target utilization metrics that you define, the instance group can dynamically add or remove instances to achieve your specified instance availability.

VPC

Let’s start with a quick one, as an introduction to VPC.

Source de l’article sur DZONE

Remontée des données en temps réel, connexion des partenaires, mise en place d’un jumeau numérique, industrialisation de la fabrication sont quelques-unes des pistes d’évolution possibles dans le monde de la construction.

« Le monde de la construction se trouve à un point d’inflexion : le numérique va fondamentalement changer les business models, les méthodes et l’économie du secteur » constate Johnny Clemmons, Global Vice President en charge de cette thématique chez SAP. La demande devrait rester soutenue dans les décennies à venir, avec des projets d’une complexité croissante et une pression toujours aussi forte sur les marges.

Les techniques déjà employées dans l’industrie manufacturière peuvent trouver des débouchés dans le secteur de la construction :

• automatisation des tâches répétitives amenant peu de valeur ajoutée ;
• analyses et rapports en temps réel, pour un véritable pilotage de la production ;
• exploitation des données issues des capteurs, afin d’améliorer la prise de décision ;
• introduction de technologies interactives et de robotique.

Des chantiers connectés

Le responsable d’un chantier centralise de nombreuses informations sur l’avancement des travaux, mais souvent au travers d’une saisie manuelle, qui ne sera remontée que plus tard chez le constructeur. Impossible dès lors de piloter les chantiers de façon centralisée, ces données ne pouvant – au mieux – avoir un intérêt que lors d’études à postériori. Autre problème, chaque corps de métier va se charger d’une tâche précise, qu’il gérera souvent en toute indépendance.

Le premier enjeu consiste à casser ces silos, via une remontée des informations en temps réel dans l’ERP, ce qui ouvrira la voie à un pilotage centralisé des chantiers. L’amélioration de la collaboration entre les différents intervenants permettra également de créer de nouvelles synergies. L’équipe en charge des approvisionnements, les architectes, les ingénieurs et le donneur d’ordres pourront ainsi trouver des voies d’optimisation. Par exemple en proposant des structures plus modulaires, adaptées à l’utilisation de blocs préfabriqués, qui permettront – au travers de l’automatisation – d’améliorer la productivité, les coûts et la qualité.

Des partenaires connectés

À moyen terme, la Modélisation des Informations du Bâtiment (BIM, pour Building Information Modeling) promet de mieux gérer la construction d’un ouvrage, au travers d’un modèle unique du bâtiment, d’un processus de gestion basé sur la donnée, mais aussi de logiciels dédiés. Une approche qui n’est pas sans rappeler les systèmes de pilotage de la production (MES, pour Manufacturing Execution System) qui se démocratisent dans l’industrie.

Les intervenants vont pouvoir s’appuyer sur ce modèle pour synchroniser leurs efforts avec le maximum d’efficacité. Des technologies comme le rendu 2D/3D ou les jumeaux numériques renforceront cette démarche en optimisant la construction et en améliorant la prise de décision.

Du fait d’une remontée des informations en temps réel, il sera également possible de suivre les progrès d’un chantier en direct et donc l’évolution des coûts et marges. Avec comme bénéfice pour les contractants d’être payés plus rapidement lorsque leurs missions sont achevées.

Le prédictif en ligne de mire

Remontée de données en temps réel et mise en place d’un jumeau numérique sont les deux éléments clés pour aller au-delà de l’analyse traditionnelle et aborder le sujet du prédictif.

L’Internet des Objets est également une voie pour le prédictif. Connectés, les équipements des chantiers de construction font remonter des informations aux constructeurs. Un moyen d’améliorer la maintenance de ces équipements, en assurant leur entretien avant que les pannes ne surviennent. Mais également un moyen d’optimiser leur exploitation. Certains équipements lourds sont d’ores et déjà connectés. Une opportunité pour les entreprises souhaitant démarrer leur digitalisation par un projet simple, au ROI immédiatement mesurable.

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Source de l’article sur sap.com


Agile 

AI

Big Data

Cloud

Database

DevOps

Integration

  • Mulesoft 4: Continuous Delivery/Deployment With Maven by Ashok S — This article is a great example of what we want every tutorial to look like on DZone. The main aim of this article is to provide a standard mechanism to release project artifacts and deploy to Anypoint Platform, from the local machine or configure in continuous delivery pipelines.
  • Integration With Social Media Platforms Series (Part 1) by Sravan Lingam — This article helps you to build a RESTful API through MuleSoft that integrates with LinkedIn and shares a post on behalf of one’s personal account. I like this article because, in the age of social media, it’s so important for businesses to be connected and integrated!

IoT

Java

Microservices

Open Source

Performance

  • What Is Big O Notation? by Huyen Pham — Aside from a silly name, this article is an example of an in-depth analysis on a little-spoken-about concept. In this article, take a look at a short guide to get to know Big O Notation and its usages.
  • Is Python the Future of Programming? by Shormisthsa Chatterjee — Where is programming going? This article attempts to answer this question in a well-rounded way. The author writes, "Python will be the language of the future. Testers will have to upgrade their skills and learn these languages to tame the AI and ML tools".

Security

Web Dev

  • A Better Way to Learn Python by Manas Dash: There’s so many resources available for learning Python — so many that it’s difficult to find a good and flexible place to start. Check out Manas’ curated list of courses, articles, projects, etc. to get your Python journey started today. 
  • Discovering Rust by Joaquin Caro: I’m a sucker for good Rust content, as there’s still so many gaps in what’s available. Joaquin does a great job of giving readers his perspective of the language’s features in a way that traditional docs just 

Source de l’article sur DZONE

Voice is one aspect of technology that is getting bigger and bigger, and showing little sign of relenting. In fact, 2019 data revealed that 22% of UK households owned a voice-controlled digital home assistant device such as an Amazon Echo or Google home. This is double the figure recorded in 2017 and it is predicted that over the next five years nearly 50% of all homes will have one. Smart home adoption rates are increasing, and it shows how voice control is something we are all becoming more accustomed to.

With these high figures, does it follow that voice should be something web designers build into sites? Or is it merely a gimmick that will die out and render sites with hardware and complex design issues? You only have to look at the failed introduction of Google glass to see that certain technological advancements don’t always have the outcome that might be expected.

Multiple Voices

One of the first issues with voice is establishing whether you want sites to recognise everyone’s voices, or just those who have registered. If you’re using the site in a crowded room will it pick up on snippets of conversation from others and think these are instructions? Google Home has a feature whereby you have to register your voice with its app to use more personalised features such as the shopping list. Is this the sort of thing websites would need?

Accents

The implementation of voice is complex, not only does it need to understand certain languages (such as English), but all the accents and variations too. With 160 English dialects alone, that is a lot that the technology needs to understand – not including mispronunciations, slang, and colloquialisms. Also, if a site is used all over the world (which many are) how many languages will it need to know?

Privacy Issues

if there are clips of your voice out there on the web…it can easily be imitated

If a website involves a feature such as online shopping or other functions which require sensitive details to be input, this could put people off using voice. Users need to know where this saved data is being stored, how it will be used and if it is secure. In 2018, HMRC had signed up about 6.7 million people to its voice ID service and HSBC said over 10,000 were registering each week. This shows many trust the service, but experts say that if there are clips of your voice out there on the web (such as in a podcast) it can easily be imitated. Bringing with it security and privacy issues.

According to futurologist Dr Ian Pearson, who invented the text message back in 1991, it won’t be long until we can complete a financial transaction with just a few words and a gesture. This can be a time-saver for things such as online shopping, but we need to ensure there are the correct security steps in place.

Users Don’t Talk The Way They Type

When speaking we tend to use shortened and more colloquial language as opposed to when we type. The voice function on a website will need to be able to adapt for this. One example is if you are filling in a form or comment box by voice for a website, you will need to tell it what to punctuate, letting it know where to add a comma, exclamation mark etc.

Website Processes Need to be Simpler

With the web as we use it now, we often browse through pages, reading other snippets of information before clicking through to the page we want. With voice recognition it will cut out these middle steps. For example, if you are looking for a recipe of something specific, you will just say the command “Show me the … recipe” and it will take you straight there. This direct access to what we are looking for could lead to a simplification of websites.

Regular Updates

With websites as they are now, they need updates semi-regularly, depending on how they are built, how complex they are, and what features we have built into them. A voice-based site will need updating regularly, whether to add new words or processes or to keep up with the fast-adapting technology. It might end up being quite a complex process.

Mistrust

While there are more of us now than ever using voice control via tech such as Alexa, Google, and Siri, there is still a level of mistrust over it. It’s still not quite clear where data is being stored, if it is being stored, and how easy it could be to abuse.

Larger Storage and Bandwidth

If a site is built for voice, will it utilise a ready-built plugin or will it have its own software built by developers? Will this feature require a greater amount of storage and bandwidth to cope with it? These are further factors to consider when thinking of the future of implementing voice to websites.

We Still Don’t Know Where It Will Go

Voice technology while working in some respects, is still a bit of a grey area when it comes to future use. Will it be the next big thing as many have predicted, or will it simply die down?

Look at Google Glass – highlighted as the big new technology, they soon died down and were eventually discontinued. Smart watches were another thing. You can see their initial downfall by reading an article published in 2017 about smartwatches – how major smartwatch makers such as Apple and Samsung rushed into the market before the technology was ready and they subsequently failed. Motorola exited the smartwatch market, Pebble and Jawbone shut down and Fitbit sold 2.3 million fewer devices than in their previous quarter. It was perceived as being a fad. However, fast forward to 2020 and more people than ever are wearing and using smartwatches. The smartwatch market was valued at shipment volumes of 47.34 million in 2019 and is expected to reach 117.51 by 2025, reaching a growth of 15.4 over the next five years.

Will voice follow a similar trend?

No More Impulse Buying

People enjoy browsing websites and many businesses rely on user’s impulse buying and ask their websites to be designed to reflect this. With voice taking you directly to the page’s users want to find, will they bypass these potential selling traps and just buy what they want – rather than added extras? Will it end up being a negative for businesses and see users not as satisfied for the experience?

Voiceless Still Matters

You will also have to remember that not all devices might work with voice, or people might be browsing somewhere where voice cannot be used. This means in the design process it needs to work both for voice instruction and manual use. It needs to work just as well for both to ensure the customer journey isn’t affected.

There are many ways voice can affect how we design websites in the upcoming future. It’s important to take note of market trends and usage – seeing how people use voice and thinking of the customer journey. It’s vital we don’t forget the end goals of websites – whether it’s to inform or to sell, the implementation of voice needs to assist this process not make it harder.

 

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

In this article, we will talk about what a PDO is, why is it necessary, and how to work with it.
Let’s start with the fact that for a long time php-programmers have been discussing the fate of the native functions to work with the database: mysql_connect, mysql_query, and others. The fact is that in upcoming versions of PHP data will be erased, these functions will go "Obsolete". Thus PHP developers should force on other tools to work with the database.
Currently, there are two alternatives solutions; mysqli extension and expansion of PDO. In this article, we will discuss PDO.
PDO – PHP Data Objects – is a layer that offers a versatile way to work with multiple databases.
This layer has several advantages:
  • PDO allows you to work with different databases, such as: MYSQL, Oracle, PostgreSQL and many others.
  • PDO allows you to work with a prepared statement
Now let’s talk about all this in more detail.

Connecting to a Database Using PDO

Before you start working with PDO, you must make sure that you have the correct extension – php_pdo_mysql.dll. This can be verified through the function phpinfo(). If everything is okay, you are good to go.
First we need to connect to the database:
PHP

 

xxxxxxxxxx
1

15

 

1

/ / MuSQL

2


3

   $Database = new PDO ("mysql: host = $ host; dbname = $Databasename", $username, $password); 

4


5

/ / PostgreSQL

6


7

   $Database = new PDO ("pgsql: host = $ host; dbname = $Databasename", $username, $password);

8


9

/ / MS SQL

10


11

   $Database = new PDO ("mssql: host = $ host; dbname = $Databasename", $username, $password); 

12


13

/ / SQLite

14


15

   $Database = new PDO ("sqlite: my / database / path / database.db");

As you can see from the example, each database connection string is slightly different from each other
You should always use try/catch when you are trying to connect to the unit, so that on exception we do not disclosed any data to the user.
PHP

 

xxxxxxxxxx
1

 

1

try {

2

   $Database = new PDO ("mysql: host = $ host; dbname = $Databasename", $username, $password); 

3

} 

4

catch (PDOException $ e) { 

5

   echo "Unable to connect to database"; 

6

}

Source de l’article sur DZONE

La crise économique actuelle pousse les entreprises vers des logiciels et des services basés sur le cloud computing qui sont peu gourmands en ressources, rentables et faciles à déployer. SAP est dans une position unique pour offrir ces solutions.

Le groupe New Ventures and Technologies de l’entreprise, dirigé par Max Wessel, est une unité exploratoire mise en place pour produire rapidement des technologies de pointe, orientées vers l’avenir. En plus de diriger le groupe, M. Wessel est directeur de l’innovation pour SAP et directeur général de SAP Bay Area. Wessel nous parle ici de son approche pour encourager l’innovation.

Fostering Innovation in the Intelligent Enterprise

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Fostering Innovation in the Intelligent Enterprise

Q : Qu’est-ce que l’innovation chez SAP ?

R : L’innovation est un grand mot, et nous en faisons beaucoup chez SAP. C’est dans chaque changement progressif que nous apportons à un produit, dans chaque itération de notre modèle commercial et de notre approche pour engager les clients. Et nous devrions être fiers de tout cela. Lorsque les clients nous demandent ce qu’ils pensent de l’innovation, c’est souvent à propos de l’adoption de technologies et de modèles commerciaux véritablement nouveaux. Ces dernières années, SAP a fait de grands progrès en ciblant les changeurs de jeu en plus de notre activité principale. Par exemple, l’équipe Voice AI de Newport Beach utilise le traitement du langage naturel pour analyser les données du centre d’appel SAP Concur afin de déterminer l’efficacité d’un engagement. Au lieu de passer des centaines d’heures à vérifier manuellement les journaux d’appels, l’intelligence artificielle (IA) prend le relais. C’est un excellent exemple de l’utilisation d’une nouvelle technologie pour résoudre un problème ancien. Comment SAP crée-t-il de l’innovation organique ?

Dans toute l’entreprise, nous introduisons de nouvelles fonctionnalités, de nouveaux produits et de nouveaux services sur ce qui semble être une base quotidienne. Cette innovation nous a permis de nous implanter solidement dans l’environnement de nos clients. Cependant, pour assurer une croissance transformatrice, nous avons également besoin d’une grande vision. Nous devons nous projeter dans dix ans, identifier les grands problèmes qui méritent d’être résolus, puis les attaquer de manière à apporter de la valeur à nos clients.

Parallèlement à cette vision, SAP doit donner à ses innovateurs les moyens d’explorer de nouvelles technologies, de travailler avec les clients sur des preuves de concept (POC) et de partager de grandes idées avec des collègues du monde entier. C’est cet échange qui nous permet d’identifier ensemble les grandes idées. L’année dernière, plus de 20 000 employés se sont engagés dans notre programme d’intrapreneurs, et lors de notre réunion de lancement du développement en janvier, nous avons officiellement lancé l’outil SAP Technology Radar, une plateforme centrale et interne d’échange de connaissances sur les nouvelles technologies. Nous voulons que chaque employé contribue au processus de développement de SAP. Et notre équipe New Ventures and Technologies soutient cette conversation.

Quelles sont les grandes tendances que vous observez ?

Il existe encore un énorme potentiel pour l’apprentissage machine au sein de l’entreprise. C’est pourquoi nous continuons à pousser les capacités d’IA dans la reconnaissance vocale et à étudier la génération de données synthétiques et les nouvelles méthodes de cryptage. Nous pensons qu’elles joueront un rôle dans l’introduction de capacités d’IA avancées dans l’entreprise.

Mais ce n’est pas seulement une question de technologies. Il s’agit aussi de simplifier le déploiement et la personnalisation des logiciels grâce à des logiciels « sans code » et à l’automatisation des processus d’entreprise. Ces progrès permettront à presque tout le monde de créer une application commerciale, sans avoir besoin d’être ingénieur.

La dernière tendance est l’application de nouveaux modèles commerciaux pour fournir des logiciels de manière fondamentalement différente. Par exemple, nous sommes désormais en mesure de mettre en relation des petites et moyennes entreprises (PME) avec des partenaires de prêt dans Ariba Network, en utilisant leurs factures comme point de référence pour le crédit. Cela nous a permis d’ouvrir le crédit à des entreprises qui en ont désespérément besoin pendant la crise économique actuelle, sans frais pour les entreprises ou pour nos clients SAP Ariba – tout cela parce que nous avons expérimenté ce nouveau modèle commercial au cours des deux dernières années.

Comment trouvez-vous ces points forts dans le portefeuille de SAP ?

SAP brille lorsque nous comprenons le problème du client, que nous avons une expertise approfondie du domaine dans un secteur d’activité donné et que nous infusons de nouvelles technologies pour résoudre le problème. Le produit de prêt aux PME que je viens de mentionner, Apparent Financing by SAP, est venu de l’équipe d’Ariba Network sur la base de conversations qu’ils ont eues avec leurs clients. Ils avaient une compréhension approfondie du problème du client, mais ils avaient besoin d’un partenaire technologique et l’ont trouvé dans notre organisation.

Une partie de notre rôle consiste à entamer une conversation avec l’ensemble de SAP sur l’avenir. Chaque année, nous menons diverses campagnes d’innovation chez SAP. Grâce à ces efforts, une grande partie des projets que nous lançons viennent directement des experts de notre entreprise. J’encourage mon équipe à adopter l’esprit d’un débutant en prenant du recul pour écouter toutes les idées des experts en produits et comprendre où se trouvent les nouvelles opportunités.

Comment éviter la cannibalisation de nos solutions classiques ?

Je préfère que nous cannibalisions nos solutions classiques plutôt que de laisser un concurrent le faire. C’est là que nous devons faire preuve de créativité et de conviction. Si nous sommes convaincus que le monde changera dans 10 ans, nous devrions alors nous engager dans une cannibalisation des flux existants. Le passage au « cloud » au cours de la dernière décennie est une chose dont SAP devrait être immensément fier. Mais le nuage est plus qu’un nouveau mécanisme de livraison, et il nous a obligé à réorganiser beaucoup de nos produits. Et nous l’avons fait avec audace, convaincus que le nuage serait le mécanisme de diffusion préféré de nombre de nos clients dans de nombreuses situations.

Comment pouvons-nous inciter nos employés à être plus innovants ?

Je m’oppose à la prémisse selon laquelle les employés ne sont pas assez innovants. Je reçois de nos collègues plus d’idées plus créatives et une compréhension plus approfondie d’un problème de l’industrie que vous ne pouvez l’imaginer. Au lieu d’inciter les gens à être plus innovants, nous devons les responsabiliser. L’une des initiatives dont je suis le plus fier chez SAP est notre programme d’intrapreneuriat. Lorsque j’ai repris l’organisation, moins de 3 000 personnes participaient chaque année à notre groupe d’exploration et d’accélération. Nous en avons maintenant plus de 20 000, et l’objectif cette année est d’en engager 25 000.

La raison pour laquelle nous menons le programme intrapreneuriat n’est pas que nous pensons qu’il va générer de meilleures idées – les idées sont déjà là. Il s’agit de donner aux gens un moyen de développer ces idées, de les tester et de les commercialiser. Et plus nous en ferons pour faciliter l’innovation, plus il sera facile pour les gens d’innover.

Que devons-nous faire pour permettre un meilleur rendement de l’innovation ?

Je pense que nous avons besoin de trois ingrédients : un capital patient, une structure créative et un mandat exécutif. S’attaquer aux grands problèmes prend du temps, et c’est pourquoi nous devons planifier en termes d’horizons temporels de dix ans. Nous devons mettre en place de petites équipes pour résoudre les problèmes que seul SAP peut résoudre et leur donner la patience et la structure qui leur permettent d’apporter de la valeur au marché. Si elles s’attaquent à des problèmes suffisamment importants, si on leur donne ce mandat, si on leur permet d’emprunter une voie non linéaire, elles feront des choses étonnantes.

En tant que directeur général de SAP Bay Area, quels avantages y a-t-il à faire partie des 20 sites mondiaux qui composent le réseau de laboratoires SAP ?

Au début de la pandémie COVID-19, nous avons pu joindre tous les directeurs de laboratoires par téléphone pour comprendre les meilleures pratiques réglementaires et les communications numériques dans différents environnements culturels. C’est un parfait exemple de la façon dont nous pouvons exploiter le meilleur d’une force de développement mondiale pour favoriser l’amélioration. Mais nous combinons également des idées et des forces lorsqu’il s’agit d’activer la base d’employés pour stimuler l’innovation, de créer des hackathons, de donner aux employés les moyens de trouver de nouvelles idées commerciales ou d’étendre notre portée dans l’écosystème afin d’identifier des partenaires locaux qui peuvent mettre nos produits et services sur le marché.

Quelle est votre recette personnelle pour pérenniser SAP ?

Tout ce que nous faisons du point de vue de l’innovation doit viser à rendre les logiciels d’entreprise plus personnels, plus flexibles et plus ouverts. Il est plus facile que jamais de connecter les systèmes entre eux, ce qui signifie que plus vos systèmes et votre écosystème sont ouverts, plus vous pouvez proposer une grande variété d’innovations. SAP compte 100 000 employés, mais 7,5 milliards de personnes sur la planète sont motivées pour nous aider à améliorer le fonctionnement du monde. Nous serions négligents si nous ne nous ouvrions pas aux idées extérieures sur la manière de faire évoluer les logiciels d’entreprise.

 

 

Publié initialement en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com