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La crise sanitaire a appris aux entreprises combien il est essentiel de savoir s’adapter rapidement. Que ce soit en termes de production, de sourcing ou encore de distribution. En adoptant un modèle plus durable, il est possible de garantir la continuité de l’activité, même en cas de changement inattendu et massif de la demande.

L’économie d’expérience s’est imposée comme la thématique clé de l’année 2019. Ce concept a toutefois été éclipsé en 2020 par un invité inattendu, la résilience. Les PRA et autres plans de préparation aux risques ont en effet été confrontés à une réalité de terrain : une crise sanitaire et économique, doublée de schémas de consommation et de distribution profondément perturbés.

Défi 1 : éviter la rupture d’activité

Les moins chanceuses des entreprises sont celles pour lesquelles le confinement a enlevé toute possibilité d’activité. Au plus dur de la crise sanitaire, certaines ont dû ainsi purement et simplement fermer leurs portes. Mais d’autres ont su également rebondir, au travers de la distribution multicanale, de l’innovation métier, ou de la saisie de nouvelles opportunités de marché.

Les industriels qui ont su rediriger rapidement leur production vers de nouveaux produits (masques, respirateurs, gel hydroalcoolique, repas à emporter…) ont pu tirer leur épingle du jeu. Avec les crises économiques, sanitaires et climatiques qui s’annoncent, il faut s’attendre à une multiplication de ces défis de flexibilité, et s’y préparer.

Défi 2 : le télétravail

Dans l’absolu, beaucoup d’entreprises pourraient poursuivre leur activité avec une majorité de leurs salariés en télétravail. Mais peu étaient prête à travailler de la sorte, du fait d’un back-office inaccessible hors des murs de l’organisation et manquant de flexibilité opérationnelle. Des solutions cloud, comme Teams ou Zoom, ont pu compenser en partie ce manque. Mais ce n’est pas suffisant.

Il faut maintenant mettre en place des systèmes plus agiles et intelligents, capable de mieux analyser et prévoir, mais aussi de mieux s’adapter à une forte volatilité de la demande. Ceci doit d’accompagner d’infrastructures ouvertes vers l’extérieur et sécurisées, mettant en œuvre des technologies comme des équipements informatiques mobiles, des solutions informatiques en mode cloud, des systèmes de communication unifiée, de la blockchain, etc.

Défi 3 : se rapprocher du consommateur

Qui dit télétravailleur dit consommation à distance. Les entreprises se doivent donc d’aller vers le consommateur, en privilégiant le B2C, par exemple au travers de l’e-commerce. Mais aussi en transformant le B2B en B2B2C ou encore le Direct Selling en Social Selling.

Cela induit des changements profonds dans la structure logistique, avec une nécessité d’optimiser à la fois la production et la chaîne de distribution, afin de desservir un maximum de clients en un minimum de fret. Nous retrouvons ici une problématique que nous avions déjà rencontrée avec la montée de l’économie d’expérience. Celle-ci se traduit en effet par une hyper-personnalisation des produits, qui doivent être directement livrés au client, sans délai.

La solution est donc peut-être de combiner ces deux problématiques, afin de les transformer en opportunité : savoir combiner l’impératif de résilience imposé par la situation économique et sanitaire à la volonté d’expérience portée par les consommateurs et partenaires.

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Source de l’article sur sap.com

Alors que les collaborateurs commencent à abandonner progressivement cette longue période de travail à distance et à retourner sur leur lieu de travail, les entreprises se demandent à quel moment et de quelle manière il convient de le faire en toute sécurité. Il s’agit d’une tâche essentielle et d’un nouveau défi pour tous, tant pour les employés que pour les responsables des ressources humaines (RH).

Tout d’abord, la santé ainsi que le bien-être des collaborateurs et de leurs familles sont en jeu. Deuxièmement, il existe des risques commerciaux que les employeurs peuvent ne pas prendre en compte, allant du respect de la vie privée au non-respect du règlement général sur la protection des données (RGPD).

Aux États-Unis, par exemple, les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont récemment formulé des recommandations détaillées pour améliorer la sécurité dans les immeubles de bureaux, notamment en contrôlant les températures et les symptômes. Par ailleurs, l’Equal Employment Opportunity Commission (EEOC) des États-Unis continue de réviser ses lignes directrices aux employeurs afin d’équilibrer le respect du Americans with Disabilities Act (ADA) et des CDC.

Cette situation peut être éprouvante pour n’importe quelle organisation. Nombreuses sont celles qui choisissent d’adopter une longue période de travail à distance avec des horaires flexibles. Les entreprises qui sont implantées dans plusieurs régions se trouvent dans des phases et des environnements très différents. De l’Asie à l’Europe, certaines régions se montrent plus agressives en matière de déconfinement.

La première recommandation que j’adresse aux clients qui envisagent de faire revenir leurs employés au travail en toute sécurité est de commencer par un plan qui intégrera les processus RH. Pour aider les clients de tous les secteurs et de tous les pays à gérer cette transition, SAP a publié les principales mises à jour de la solution SAP SuccessFactors Visa and Permits Management ainsi que l’application partenaire Guardian by AlertEnterprise.

Une technologie SAP tournée vers l’avenir pour un lieu de travail sûr et sain

Au lancement, la solution SAP SuccessFactors Visa and Permits avait un cas d’utilisation particulier, comme en témoigne son nom. Cependant, en travaillant avec ses clients pour étendre ses capacités, SAP a découvert de nombreux cas d’utilisation autour du suivi des certificats, des licences, des justificatifs et de bien d’autres choses encore qui sont particulièrement pertinentes aujourd’hui. Grâce à cette solution, les utilisateurs peuvent désormais contrôler le processus visant à faire revenir les employés au bureau tout en automatisant l’application de politiques complexes et évolutives en matière de santé et de sécurité liées au COVID-19 pour mieux protéger les personnes.

En quoi ces outils sont-ils utiles ?

Pour assurer un retour au travail sûr et sain, voici une approche en trois étapes qui vous permettra de démarrer.

Préparation

Grâce à la solution SAP SuccessFactors Visa and Permits, soutenez le déconfinement tout en minimisant les risques, et gérez les procédures de santé et de sécurité qui encadrent le retour au travail des collaborateurs.

  • Prévoyez pour vos collaborateurs un moyen sûr d’envoyer les documents, comme une preuve de certificat numérique de santé ou des justificatifs, avant leur retour au travail.
  • Suivez les coûts du dépistage. Les fonctionnalités de libre-service permettent aux utilisateurs de remplir et de soumettre des documents afin de réduire le travail manuel.
  • Gérez les renseignements médicaux sensibles des collaborateurs. Par exemple, les lignes directrices de l’EEOC précisent que l’ADA demande que les renseignements médicaux concernant un employé soient stockés séparément du dossier personnel de l’individu afin de limiter l’accès aux informations confidentielles. Autrement dit, au lieu de stocker les nouveaux renseignements médicaux dans SAP SuccessFactors Employee Central, ces informations peuvent être gérées dans SAP SuccessFactors Visa and Permits, ce qui contribue à la fois à sécuriser les données et à protéger les collaborateurs.
  • Réduisez le risque d’encourir de lourdes sanctions financières, comme le non-respect du RGPD en matière de « traitement de catégories particulières de données à caractère personnel ». Respectez les réglementations légales supplémentaires et les règles en matière de confidentialité des données, comme la Health Insurance Portability And Accountability Act ou HIPAA.
  • Configurez les processus de notification, d’approbation, de renouvellement et plus. Les tableaux de bord fournissent un aperçu de la conformité, et les actions en temps réel permettent aux entreprises de gérer en toute confiance leur personnel dans un environnement en constante évolution.
  • En ce qui concerne l’intégration, les entreprises ont la possibilité de simplifier le processus d’embauche afin de traiter les formalités administratives le plus tôt possible pour que les nouveaux collaborateurs puissent commencer à travailler.

Prévention

Faites revenir le personnel non essentiel au bureau en toute sécurité grâce à la solution AlertEnterprise Health & Safety Access Governance.

  • Contrôlez le nombre de personnes dans les locaux, gérez l’accès aux sites qui sont temporairement saturés et autorisez de nouveaux modes de travail par roulement
  • Prévoyez un système d’autodéclaration et d’autoattestation avec un rétablissement contrôlé de l’accès au lieu de travail déterminé par la politique. Par exemple, les employés et les visiteurs peuvent s’autoévaluer et vérifier s’ils ont de la fièvre, si quelqu’un dans leur foyer a été déclaré positif au COVID-19, etc.
  • Gérez les contrôles d’entrée au site grâce au libre-service pour les contrôles préalables, comme les contrôles de température, avec l’application de politiques et la gestion de l’accès.
  • Mettez en place des systèmes de badges et de sécurité pour gérer l’accès à l’espace de travail et contribuer à l’application des politiques de l’entreprise, comme avec le retrait automatique de l’accès.

Détection

Minimisez les risques permanents grâce à la solution AlertEnterprise Health & Safety Intelligence Tracker et protégez votre lieu de travail.

  • Utilisez les analyses pour suivre les personnes qui ont été exposées au COVID-19 ou qui pourraient l’être. Cette technologie permet de suivre une infection suspecte ou confirmée et de détecter les personnes ainsi que les zones susceptibles d’avoir été exposées au virus.
  • Déterminez les zones exposées pour les mettre en quarantaine ou les assainir. Les zones à haut risque peuvent alors être désinfectées, et les personnes à haut risque peuvent se voir retirer leur accès de sécurité.
  • Prenez des décisions à partir de données concrètes, comme les niveaux d’exposition, les cartes thermiques de localisation, et d’autres analyses de santé et de sécurité.

En ce qui concerne le déconfinement, les clients comprennent qu’il ne s’agit pas de revenir au travail comme si de rien n’était. Ils savent que le déconfinement ne se résume pas à choisir une date pour ouvrir les portes et à distribuer du gel hydroalcoolique. En cette période d’incertitude, ils veulent apprendre à préserver la santé, la sécurité et la sûreté de leurs collaborateurs et clientèle.

Si chacun doit jouer son rôle en assumant une responsabilité personnelle, les employeurs peuvent ouvrir la voie à un retour au travail sûr et sain.

 

Imran Sajid est le directeur international de la gestion du capital humain pour SAP SuccessFactors.

Publié pour la première fois en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Sur un marché devenu très volatile, la planification de la supply chain devient de plus en plus difficile. Des technologies prédictives s’appuyant sur des données internes et externes, ainsi que des jumeaux numériques permettront d’affiner les prévisions.

La supply chain doit s’adapter pour faire face aux défis d’agilité et de résilience du marché. « La supply chain est un domaine en pleine évolution, avec des sujets comme la data, la robotique, l’IoT ou l’intelligence artificielle », confirme Manuel Davy, Fondateur et CEO de VEKIA.

Quels sont les enjeux de la supply chain ?

  1. Satisfaire les clients.
  2. Réduire les stocks.
  3. Maîtriser les coûts opérationnels.

Mais sur un marché devenu très volatile, où les clients exigent de plus en plus une livraison à J+1, les choses peuvent rapidement se compliquer. « La supply chain c’est extrêmement simple : il suffit d’avoir le bon stock au bon endroit au bon moment : fois des centaines de milliers de point de gestion ou de points de stockage, fois des millions de références, et avec beaucoup d’incertitudes. »

L’une des clés du succès réside dans la prise en compte de ces incertitudes. Mais également dans la capacité à accompagner le client dans ses changements de mode de consommation. Pendant le confinement, ce sont les entreprises capables d’adresser les clients par des canaux numériques, comme l’e-commerce, qui ont tiré leur épingle du jeu. L’omnicanalité s’est imposée alors comme un facteur de résilience.

La prédiction est au cœur de la supply chain

« La planification est partout dans la supply chain, poursuit Manuel Davy. Les technologies les plus avancées sont en mesure de prévoir finement la demande des consommateurs, ce qui permet en remontant dans la supply chain d’anticiper toutes les opérations. »

L’amélioration des prévisions peut suivre deux voies : voir plus loin, grâce à une puissance de calcul accrue ; être plus fin, au travers de l’analyse de plus de données. Le fait de prendre en compte les données d’expérience (comme le ressenti des consommateurs vis-à-vis des produits ou de la marque) permettra par exemple de mieux satisfaire les clients.

Être capable d’agréger des données endogènes et exogènes (météo, réseaux sociaux…) est donc un facteur clé pour améliorer les processus de prédiction et de planification. Par ailleurs, il est primordial de savoir faire circuler les données internes et de les enrichir. Par exemple en disposant d’une vision en temps réel du stock, assurée par de l’IoT.

Autre voie d’amélioration, la mise en place d’un jumeau numérique de la supply chain, permettant de tester des scénarios de type what-if, afin de gagner en agilité ou en résilience. Ou tout simplement pour évaluer l’impact du lancement d’un nouveau produit.

Savoir passer du plan à l’action

Il est essentiel que le prédictif influe directement sur les opérations de l’entreprise (data to action), tout en n’écartant pas l’humain du processus de décision. « La planification reste un sujet humain. Il ne faut pas écarter l’humain, qui est le pilote et aura le dernier mot, car lui seul sait appréhender des situations très incertaines, comme celles que nous avons rencontrées récemment, explique Manuel Davy. Mais nous pouvons donner à l’humain des moyens d’être plus efficace : des algorithmes, des données, de la puissance de calcul. »

La transformation de la supply chain est un sujet riche et passionnant. Mais aussi global, comme le souligne le CEO de VEKIA : « quand on commence à transformer une supply chain, cela entraîne l’ensemble de l’entreprise vers l’industrie 4.0. ». L’occasion peut-être d’évaluer de nouvelles stratégies de supply chain management, comme le DDMRP (Demand Driven MRP), qui s’appuie non plus sur des prévisions, mais sur la demande réelle.

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Source de l’article sur sap.com

Stephen Hawking a défini l’intelligence comme « la capacité à s’adapter au changement ». En ce sens, 2020 peut être vu comme un test de QI géant pour les entreprises. La pandémie mondiale, le Brexit, les attentes croissantes des clients, la hausse des cyberattaques, la volatilité de l’activité et les exigences de conformité du XXIe siècle ne sont que quelques-uns des changements que les organisations doivent savoir intégrer intelligemment – non seulement maintenant, mais aussi sur le long terme.

La résilience est désormais associée à la survie des entreprises. Selon McKinsey, « votre contexte commercial est et restera incertain. Mais si vous bougez maintenant, vous pourrez surfer sur les vagues d’incertitude au lieu d’être maîtrisé par elles. »

Nous partageons cette analyse. Mais nous ne pensons pas que vous devriez avoir à tout gérer par vous-même. Lors du confinement, la réponse de SAP a consisté à aider ses clients. Nous offrons maintenant des ressources pour aider les entreprises à revenir à leur meilleur niveau.

SAP aide les organisations à être mieux gérées en devenant des entreprises intelligentes. Une démarche dont le cœur est l’ERP Intelligent SAP S/4HANA. C’est pourquoi nous avons créé un programme pour aider les entreprises à basculer vers SAP S/4HANA.

Comme l’explique Christian Klein, CEO de SAP : « plus qu’une transformation technologique, le passage à SAP S/4HANA est une véritable transformation métier. » C’est pourquoi nous vous proposons de vous aider à rédiger votre business case de migration en vous faisant découvrir les capacités intelligentes qui apporteront de la résilience à votre organisation. Nous vous aidons à mener votre projet à bien en utilisant notre expertise, nos outils spécialisés et nos partenaires. Le tout en tant qu’équipe unie : vous, nous et notre écosystème. Nous vous assistons également tout au long de votre projet, en vous accompagnant à chaque étape.

Comment ? Grâce à notre Digital Forum en trois parties : « Construire la résilience avec un ERP intelligent ». Cet événement prépare le terrain en apportant des conseils, des réponses aux questions courantes, des ressources, des outils, des informations et des éléments concernant le temps nécessaire pour construire un business case qui transformera tous les domaines de votre organisation, de la finance à la supply chain et l’informatique, en passant par les ventes et le marketing.

Les 20, 21 et 22 octobre de 10h00 à 11h30, nous vous livrerons les six ingrédients clés qui vous aideront à construire votre business case SAP S/4HANA, notamment :

  1. Des retours en live de la part d’experts SAP
  2. Des orientations métiers
  3. Des présentations client significatives
  4. Des conseils en provenance de nos partenaires les plus expérimentés
  5. Du chat et des sessions dédiées aux spécialistes
  6. Des questions-réponses et des téléchargements sur notre Digital Hub

Des clients tels que Vodafone, Naturipe Farms ou Enexis expliquent comment ils ont construit leurs propres business cases spécifiques et quel support s’est révélé déterminant. Ils livrent leurs expériences et conseils, afin de vous permettre de viser résilience et intelligence. Des partenaires tels que Deloitte, Capgemini et Delaware partagent leurs idées, expertise et conseils afin d’aider des organisations comme la vôtre à devenir des entreprises intelligentes.

Et parce que nous voulons que vous fassiez l’expérience de la première suite ERP Intelligente au monde, nous avons créé un jeu de simulation en temps réel, qui vous permettra d’acquérir une expérience pratique de SAP S/4HANA, les après-midi des 20 et 21 octobre. Cette expérience divertissante et ludique permettra à des groupes de joueurs de se mesurer entre eux, dans le cadre de décisions clés et de transactions dans la planification, les ventes, le marketing, les achats, la production, les finances et plus encore. Tout ceci dans un environnement métier fidèle à la réalité. Préparez-vous à gagner et adoptez ce jeu de simulation en prélude à votre passage à SAP S/4HANA.

Nous savons que chaque organisation est à une étape différente de son parcours, avec ses propres spécificités. C’est la raison pour laquelle nos « champions SAP S/4HANA » régionaux fournissent un support au cas par cas, vous montrant comment et par où commencer, en vous aidant à rédiger un business case pour votre organisation.

Que vous soyez une grande multinationale ou une petite entreprise, nos capacités et processus spécifiques à l’industrie, nos traitements en temps réel et notre automatisation intelligente de pointe vous permettent de vous adapter et d’évoluer avec confiance, agilité et résilience.

Les anciens systèmes ERP sont confortables et fonctionnels, mais ils ne vous mettront pas sur un pied d’égalité avec des concurrents qui ont pris en compte de nouvelles attentes client dépassant votre portée organisationnelle. La résilience des entreprises nécessite plus qu’une simple transformation du cœur technologique. Elle requiert une véritable transformation vers une entreprise intelligente. Transformation qui s’étend à tous les domaines de l’organisation.

En moyenne, les clients SAP S/4HANA constatent des gains métiers significatifs et transformateurs, comme :

  • Une augmentation des ventes de 30 % ;
  • Un coût total de possession réduit de 20 % ;
  • Une réduction des retours sous garantie de 40 % ;
  • Une réduction des coûts d’inventaire et des défauts de 20 % ;
  • Une augmentation de la vitesse de génération des rapports de 30 % ;
  • Une réduction de 50 % du temps passé sur la clôture d’exercice ;
  • Une création de devis 60 fois plus rapide.

Vous trouverez d’autres ingrédients pour votre business case sur le SAP S/4HANA Digital Forum : « Construisez la résilience avec un ERP intelligent ». Démarrez votre business case SAP S/4HANA. On se voit là-bas ! Inscription.

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Source de l’article sur sap.com

La crise économique actuelle pousse les entreprises vers des logiciels et des services basés sur le cloud computing qui sont peu gourmands en ressources, rentables et faciles à déployer. SAP est dans une position unique pour offrir ces solutions.

Le groupe New Ventures and Technologies de l’entreprise, dirigé par Max Wessel, est une unité exploratoire mise en place pour produire rapidement des technologies de pointe, orientées vers l’avenir. En plus de diriger le groupe, M. Wessel est directeur de l’innovation pour SAP et directeur général de SAP Bay Area. Wessel nous parle ici de son approche pour encourager l’innovation.

Fostering Innovation in the Intelligent Enterprise

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Fostering Innovation in the Intelligent Enterprise

Q : Qu’est-ce que l’innovation chez SAP ?

R : L’innovation est un grand mot, et nous en faisons beaucoup chez SAP. C’est dans chaque changement progressif que nous apportons à un produit, dans chaque itération de notre modèle commercial et de notre approche pour engager les clients. Et nous devrions être fiers de tout cela. Lorsque les clients nous demandent ce qu’ils pensent de l’innovation, c’est souvent à propos de l’adoption de technologies et de modèles commerciaux véritablement nouveaux. Ces dernières années, SAP a fait de grands progrès en ciblant les changeurs de jeu en plus de notre activité principale. Par exemple, l’équipe Voice AI de Newport Beach utilise le traitement du langage naturel pour analyser les données du centre d’appel SAP Concur afin de déterminer l’efficacité d’un engagement. Au lieu de passer des centaines d’heures à vérifier manuellement les journaux d’appels, l’intelligence artificielle (IA) prend le relais. C’est un excellent exemple de l’utilisation d’une nouvelle technologie pour résoudre un problème ancien. Comment SAP crée-t-il de l’innovation organique ?

Dans toute l’entreprise, nous introduisons de nouvelles fonctionnalités, de nouveaux produits et de nouveaux services sur ce qui semble être une base quotidienne. Cette innovation nous a permis de nous implanter solidement dans l’environnement de nos clients. Cependant, pour assurer une croissance transformatrice, nous avons également besoin d’une grande vision. Nous devons nous projeter dans dix ans, identifier les grands problèmes qui méritent d’être résolus, puis les attaquer de manière à apporter de la valeur à nos clients.

Parallèlement à cette vision, SAP doit donner à ses innovateurs les moyens d’explorer de nouvelles technologies, de travailler avec les clients sur des preuves de concept (POC) et de partager de grandes idées avec des collègues du monde entier. C’est cet échange qui nous permet d’identifier ensemble les grandes idées. L’année dernière, plus de 20 000 employés se sont engagés dans notre programme d’intrapreneurs, et lors de notre réunion de lancement du développement en janvier, nous avons officiellement lancé l’outil SAP Technology Radar, une plateforme centrale et interne d’échange de connaissances sur les nouvelles technologies. Nous voulons que chaque employé contribue au processus de développement de SAP. Et notre équipe New Ventures and Technologies soutient cette conversation.

Quelles sont les grandes tendances que vous observez ?

Il existe encore un énorme potentiel pour l’apprentissage machine au sein de l’entreprise. C’est pourquoi nous continuons à pousser les capacités d’IA dans la reconnaissance vocale et à étudier la génération de données synthétiques et les nouvelles méthodes de cryptage. Nous pensons qu’elles joueront un rôle dans l’introduction de capacités d’IA avancées dans l’entreprise.

Mais ce n’est pas seulement une question de technologies. Il s’agit aussi de simplifier le déploiement et la personnalisation des logiciels grâce à des logiciels « sans code » et à l’automatisation des processus d’entreprise. Ces progrès permettront à presque tout le monde de créer une application commerciale, sans avoir besoin d’être ingénieur.

La dernière tendance est l’application de nouveaux modèles commerciaux pour fournir des logiciels de manière fondamentalement différente. Par exemple, nous sommes désormais en mesure de mettre en relation des petites et moyennes entreprises (PME) avec des partenaires de prêt dans Ariba Network, en utilisant leurs factures comme point de référence pour le crédit. Cela nous a permis d’ouvrir le crédit à des entreprises qui en ont désespérément besoin pendant la crise économique actuelle, sans frais pour les entreprises ou pour nos clients SAP Ariba – tout cela parce que nous avons expérimenté ce nouveau modèle commercial au cours des deux dernières années.

Comment trouvez-vous ces points forts dans le portefeuille de SAP ?

SAP brille lorsque nous comprenons le problème du client, que nous avons une expertise approfondie du domaine dans un secteur d’activité donné et que nous infusons de nouvelles technologies pour résoudre le problème. Le produit de prêt aux PME que je viens de mentionner, Apparent Financing by SAP, est venu de l’équipe d’Ariba Network sur la base de conversations qu’ils ont eues avec leurs clients. Ils avaient une compréhension approfondie du problème du client, mais ils avaient besoin d’un partenaire technologique et l’ont trouvé dans notre organisation.

Une partie de notre rôle consiste à entamer une conversation avec l’ensemble de SAP sur l’avenir. Chaque année, nous menons diverses campagnes d’innovation chez SAP. Grâce à ces efforts, une grande partie des projets que nous lançons viennent directement des experts de notre entreprise. J’encourage mon équipe à adopter l’esprit d’un débutant en prenant du recul pour écouter toutes les idées des experts en produits et comprendre où se trouvent les nouvelles opportunités.

Comment éviter la cannibalisation de nos solutions classiques ?

Je préfère que nous cannibalisions nos solutions classiques plutôt que de laisser un concurrent le faire. C’est là que nous devons faire preuve de créativité et de conviction. Si nous sommes convaincus que le monde changera dans 10 ans, nous devrions alors nous engager dans une cannibalisation des flux existants. Le passage au « cloud » au cours de la dernière décennie est une chose dont SAP devrait être immensément fier. Mais le nuage est plus qu’un nouveau mécanisme de livraison, et il nous a obligé à réorganiser beaucoup de nos produits. Et nous l’avons fait avec audace, convaincus que le nuage serait le mécanisme de diffusion préféré de nombre de nos clients dans de nombreuses situations.

Comment pouvons-nous inciter nos employés à être plus innovants ?

Je m’oppose à la prémisse selon laquelle les employés ne sont pas assez innovants. Je reçois de nos collègues plus d’idées plus créatives et une compréhension plus approfondie d’un problème de l’industrie que vous ne pouvez l’imaginer. Au lieu d’inciter les gens à être plus innovants, nous devons les responsabiliser. L’une des initiatives dont je suis le plus fier chez SAP est notre programme d’intrapreneuriat. Lorsque j’ai repris l’organisation, moins de 3 000 personnes participaient chaque année à notre groupe d’exploration et d’accélération. Nous en avons maintenant plus de 20 000, et l’objectif cette année est d’en engager 25 000.

La raison pour laquelle nous menons le programme intrapreneuriat n’est pas que nous pensons qu’il va générer de meilleures idées – les idées sont déjà là. Il s’agit de donner aux gens un moyen de développer ces idées, de les tester et de les commercialiser. Et plus nous en ferons pour faciliter l’innovation, plus il sera facile pour les gens d’innover.

Que devons-nous faire pour permettre un meilleur rendement de l’innovation ?

Je pense que nous avons besoin de trois ingrédients : un capital patient, une structure créative et un mandat exécutif. S’attaquer aux grands problèmes prend du temps, et c’est pourquoi nous devons planifier en termes d’horizons temporels de dix ans. Nous devons mettre en place de petites équipes pour résoudre les problèmes que seul SAP peut résoudre et leur donner la patience et la structure qui leur permettent d’apporter de la valeur au marché. Si elles s’attaquent à des problèmes suffisamment importants, si on leur donne ce mandat, si on leur permet d’emprunter une voie non linéaire, elles feront des choses étonnantes.

En tant que directeur général de SAP Bay Area, quels avantages y a-t-il à faire partie des 20 sites mondiaux qui composent le réseau de laboratoires SAP ?

Au début de la pandémie COVID-19, nous avons pu joindre tous les directeurs de laboratoires par téléphone pour comprendre les meilleures pratiques réglementaires et les communications numériques dans différents environnements culturels. C’est un parfait exemple de la façon dont nous pouvons exploiter le meilleur d’une force de développement mondiale pour favoriser l’amélioration. Mais nous combinons également des idées et des forces lorsqu’il s’agit d’activer la base d’employés pour stimuler l’innovation, de créer des hackathons, de donner aux employés les moyens de trouver de nouvelles idées commerciales ou d’étendre notre portée dans l’écosystème afin d’identifier des partenaires locaux qui peuvent mettre nos produits et services sur le marché.

Quelle est votre recette personnelle pour pérenniser SAP ?

Tout ce que nous faisons du point de vue de l’innovation doit viser à rendre les logiciels d’entreprise plus personnels, plus flexibles et plus ouverts. Il est plus facile que jamais de connecter les systèmes entre eux, ce qui signifie que plus vos systèmes et votre écosystème sont ouverts, plus vous pouvez proposer une grande variété d’innovations. SAP compte 100 000 employés, mais 7,5 milliards de personnes sur la planète sont motivées pour nous aider à améliorer le fonctionnement du monde. Nous serions négligents si nous ne nous ouvrions pas aux idées extérieures sur la manière de faire évoluer les logiciels d’entreprise.

 

 

Publié initialement en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Alors que le confinement – mis en place pour ne par faire de nouvelles victimes – se poursuit, le terme Folding @ home fait le tour des cercles scientifiques.

Il ne s’agit pas d’une nouvelle façon de s’attaquer à cette « pile de linge » qui semble grossir de semaine en semaine ; c’est une approche technologique fascinante pour aider les scientifiques à découvrir un remède contre le COVID-19.

Selon les scientifiques, les protéines sont constituées d’une chaîne linéaire de substances chimiques – les acides aminés – qui, si elles sont efficaces, se « plient » en structures compactes et fonctionnelles. La façon dont les composants d’une protéine s’arrangent et se déplacent détermine sa fonction. Les virus ont également des protéines, qui sont utilisées pour supprimer notre système immunitaire et se reproduire.

Pour aider à lutter contre le coronavirus, les scientifiques et les médecins doivent comprendre comment la protéine virale fonctionne, ou «se replie», s’ils veulent trouver des moyens de l’arrêter.

C’est là que le Big Data rencontre l’épidémiologie. En exécutant des simulations informatiques qui les aident à comprendre les parties mobiles des protéines, les chercheurs pensent que les données qu’ils collectent les rapprocheront d’un remède.

«Il n’y a jamais eu plus d’experts réunis pour se concentrer sur un seul et même sujet», déclare Michael Schmidt, architecte de Converged Cloud chez SAP.

Cependant, l’exécution des innombrables simulations nécessaires requiert une puissance de calcul énorme. C’est là que les entreprises et le grand public entrent en jeu. Le don de la puissance de calcul inutilisée peut accélérer la vitesse d’exécution de ces simulations, ce qui peut nous rapprocher d’un remède.

Big Data Meets Epidemiology

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Big Data Meets Epidemiology

 

L’initiative a eu un grand coup de pouce lorsque NVIDIA a lancé un appel aux joueurs du monde entier, leur demandant de rejoindre le combat.

« Les ordinateurs de jeu sont des machines extrêmement puissantes », explique M. Schmidt. Avant cette crise, les joueurs utilisaient souvent leur capacité de réserve pour « miner » des cryptomonnaies et gagner un peu d’argent en parallèle. Mais maintenant, ils font don de la puissance de leur unité de traitement graphique (GPU) à la science ».

SAP s’est joint à cet effort. Pour que cela démarre rapidement, l’équipe DevOps de Schmidt a automatisé sa contribution en capacité, en augmentant la capacité de calcul de réserve existante. Cette capacité est située sur la plateforme d’édition d’entreprise convergente en nuage de la société, la même plateforme qui héberge un grand nombre de clients de SAP. Lorsque la crise COVID-19 a frappé, l’équipe a envisagé d’utiliser cette première mise en œuvre pour programmer et faire évoluer dynamiquement une unité centrale de traitement (CPU) et un GPU Folding@home à partir de la plateforme, en les augmentant lorsque les systèmes sont inactifs et en les réduisant lorsque d’autres charges utiles en ont besoin.

«L’une des choses que notre cloud fait vraiment bien est de répartir la charge sur les nombreux ordinateurs que nous avons dans nos centres de données», explique Schmidt. «Nous pouvons mesurer en temps réel la pression que nous mettons dans le système et réduire automatiquement la capacité que nous accordons à Folding @ home si nécessaire, en nous assurant vraiment qu’aucune charge utile productive n’est affectée.»

De plus, comme SAP maintient toujours une capacité de réserve pour ses clients, quelques nœuds GPU de rechange ont été ajoutés au projet. Bien que ces serveurs dédiés soient peu nombreux, ils peuvent calculer des unités de travail étendues qui donnent une très grande puissance de traitement pour des charges de travail très lourdes. L’équipe a ensuite augmenté sa contribution au projet Folding@home, en fournissant une moyenne de 19 pétaflops – ce qui équivaut à environ 50 000 CPU et GPU supplémentaires par rapport à sa capacité de réserve normale dans le cloud.

La charge de travail est répartie sur trois continents et neuf régions. L’équipe SAP se classe actuellement parmi les 200 premiers contributeurs, plus que les autres entreprises de logiciels. M. Schmidt se dit ravi des résultats, mais se souvient qu’il ne s’agit pas vraiment d’une compétition. « Nous sommes tous dans le même bateau, et je suis heureux que les autres entreprises donnent aussi beaucoup ».

En savoir plus sur l’objectif et la promesse de SAP: https://www.sap.com/corporate/en/purpose.html

Article publié pour la première fois en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Avec son réseau mondial, SAP co-innove dans des domaines cruciaux tels que l’éducation et l’accès à la technologie, afin d’aider le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie des gens. En des temps comme aujourd’hui, de nouvelles voies d’innovation sont nécessaires – et parfois, ce sont les plus petits d’entre nous qui nous surprennent le plus.

Le mois dernier, des élèves de sixième et de septième année (secondaire) au Danemark ont ​​eu la possibilité de participer à des cours pour apprendre le codage virtuel grâce à une collaboration entre l’Association danoise de l’industrie (ITC), certains de ses membres et Sofaskolen ou «l’école du canapé».

Ils proposent quotidiennement des tutoriels virtuels en direct gratuits pour les élèves du primaire, depuis la crise du COVID-19, sur YouTube et sur la chaîne de télévision nationale TV2. Sofaskolen a contacté l’Association danoise de l’industrie ITC pour créer une classe de code virtuelle.

SAP Danemark est un membre fondateur du concept de classe de code et soutient depuis 2016 le projet visant à combler le déficit de compétences numériques. C’est la première fois que la classe de code est proposée de manière virtuelle.
Avec NNIT, membre fondateur du concept classe de code, et Netcompany, un partisan du concept, ont défié la créativité des enfants sur trois thèmes :
  • Code for the Climate: SAP a demandé aux étudiants de développer une solution qui nous permet de mieux gérer le climat, par exemple via une application ou un jeu qui prend en charge le recyclage ou aide à éviter le gaspillage alimentaire. Pour préparer les enfants, ils avaient été initiés à la pensée de conception de base et au codage Scratch la veille.
  • Code for the Body: le NNIT voulait que les élèves trouvent une solution qui nous fasse bouger davantage, car trop de gens s’assoient sans vraiment bouger. Cette solution pourrait, par exemple, être une application ou un jeu qui apporte de l’exercice au travail ou du mouvement dans une journée d’école, de manière amusante.
  • Code for Love: Netcompany s’est concentré sur le fait que de nombreuses personnes sont trop seules, en particulier en ce moment pendant cette période de confinement. Ils ont demandé aux élèves de trouver des solutions qui mettent les gens en contact, par exemple, à travers une solution qui permet aux grands-parents et petits-enfants de mieux se connaître, ou qui permet aux voisins de découvrir qu’ils ont des intérêts communs.

Pendant trois jours, les étudiants ont travaillé en petits groupes virtuels sur l’une des questions ci-dessus. À la fin du cours, les idées ont été présentées aux entreprises qui leur ont fourni un retour d’information sur leurs solutions créatives, à l’instar de l’émission de télévision « Dragons Den ».

Louise Ferslev, PDG de MyMonii et connue de l’émission télévisée «Løvens Hule», la version danoise de «Dragons Den» (programme dans lequel les entrepreneurs présentent leurs idées commerciales à un panel d’investisseurs), a entraîné les enfants sur la manière de présenter leurs idées aux entreprises.

Bien que l’enseignement se soit déroulé dans un environnement virtuel sur sofaskolen.dk une initiative d’éducation en ligne gratuite de COVID-19 d’Alinea, il y a eu beaucoup d’interaction pendant la semaine et les organisateurs ont été impressionnés par la variété des idées et la qualité des présentations et des techniques vidéo proposées par les élèves.

Une nouvelle génération courageuse, avisée en matière de technologie et sensibilisée à l’environnement, est en route.

En savoir plus sur l’objectif et la promesse de SAP: https://www.sap.com/corporate/en/purpose.html

Posté initialement en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com


Dans des moments comme celui-ci, la raison d’être n’est pas seulement un mot, c’est une responsabilité. Chez SAP, nous tirons parti de nos ressources et de notre réseau pour des solutions pragmatiques et innovantes, sur la base de valeurs et d’un objectif communs, mais nous vivons également notre raison d’être à travers nos propres actions pour aider le monde à mieux fonctionner et améliorer la vie des gens.

Les employés SAP face à la crise du Covid19 se sont engagés en créant des sites Web communautaires et des boutiques en ligne pour des œuvres caritatives et en partageant des histoires de motivation en réponse à la crise actuelle. Mais ils ne sont pas les seuls. Des équipes dans toute l’entreprise ont pour objectif d’aider le monde à s’améliorer.

SAP Next-Gen est une communauté pour les jeunes du monde entier qui sont passionnés par l’innovation et la technologie et qui veulent façonner l’entreprise intelligente en tant que futurs décideurs. Une partie fondamentale est constituée par les alliances universitaires SAP qui initient les étudiants et les professeurs aux logiciels SAP en leur proposant des activités de réseautage et d’éducation pour développer les talents de demain.

« Partager signifie se soucier des autres » – les employés de SAP aux Pays-Bas ont pris ce dicton à cœur et ont vu l’opportunité de partager tout leur savoir-faire avec la prochaine génération. Même avant la pandémie, des collègues de différentes équipes (ventes, préventes, marketing, conseil et expérience client) ont collaboré activement avec les universités. Aujourd’hui, toujours motivés pour aider les gens à se développer au mieux de leurs capacités, ils poursuivent les collaborations en ligne.

Sous la forme de conférences (désormais numériques), les étudiants d’universités telles que l’Avans Hogeschool et la Hogeschool Rotterdam peuvent obtenir des informations de qualité sur des sujets allant de l’analyse des données à la gestion des ventes et des comptes, en passant par la gestion de Supply Chain, les processus commerciaux et la réalité augmentée, ce qui contribue également à réduire le manque actuel d’accès à l’expérience pratique.

En outre, grâce à des ateliers tels qu’un jeu de simulation ERP sur un système SAP S/4HANA, les étudiants peuvent avoir un aperçu de ce à quoi pourraient ressembler les processus commerciaux et constater à quel point SAP S/4HANA est simple et efficace. En outre, l’équipe partage volontiers ses connaissances sur les technologies intelligentes afin d’établir une compréhension plus approfondie de l’entreprise intelligente au sein de la prochaine génération de jeunes travailleurs.

Au départ, les conférences et les ateliers ont été organisés à la demande de conférenciers qui connaissaient des employés de SAP et qui ont pu ainsi enrichir leurs méthodes d’enseignement. « Notre objectif annuel est de partager nos connaissances avec 10 000 étudiants aux Pays-Bas », explique Jaap Verdonk, partenaire d’alliance associé et responsable du programme Next-Gen NL. À ce stade, de nombreuses universités ont déjà adopté les systèmes SAP comme élément fixe de leurs programmes d’études.

Pourtant, le nombre de participants n’est pas le seul à avoir augmenté. De plus en plus de collègues SAP souhaitent partager leurs connaissances. C’est pourquoi l’équipe de Jaap est en train de constituer un groupe de participants pour tous ceux qui souhaitent s’impliquer, permettant à chacun de se soutenir mutuellement et d’agir de manière ciblée en partageant simplement son histoire.

Plus d’informations sur la façon dont nous pouvons relever les défis en période de perturbation : https://www.sap.com/france/about/global-health-safety.html

En savoir plus sur l’objectif et la promesse de SAP: https://www.sap.com/corporate/en/purpose.html

Tags: éducation , talents futurs , innovation , apprentissage , objectif

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