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Impact du RGPD sur le flux de travail de développement d'appli.

Le RGPD a un impact considérable sur le flux de travail de développement d’applications. Les développeurs doivent s’adapter aux nouvelles exigences et intégrer les principes de protection des données à leurs processus.

Les règles de protection des données générales de l’Union européenne (RGPD) marquent une nouvelle ère en matière de lois sur la cybersécurité. C’est l’une des plus complètes et des plus étendues réglementations sur la protection des données à ce jour, elle affecte donc considérablement le développement d’applications.

Les amendes en vertu du RGPD peuvent être lourdes, vous devez donc faire tout ce que vous pouvez pour vous y conformer. Voici comment cela impactera le flux de travail de développement d’applications.

L’entrée en vigueur du Règlement général sur la protection des données (RGPD) de l’Union européenne marque une nouvelle ère en matière de législation sur la cybersécurité. Il s’agit de l’une des plus complètes et des plus étendues réglementations sur la protection des données à ce jour, ce qui a un impact significatif sur le développement d’applications.

Les amendes en vertu du RGPD peuvent être considérables, il est donc important de faire tout ce qui est en son pouvoir pour s’y conformer. Voici comment cela affectera le flux de travail du développement d’applications.

Le processus de développement d’applications est complexe et comprend de nombreuses étapes. Chaque étape doit être conforme aux exigences du RGPD pour garantir que les données des utilisateurs soient correctement protégées. La première étape consiste à définir les objectifs et les fonctionnalités de l’application. Cela implique de prendre en compte les exigences du RGPD et de s’assurer que l’application ne collecte pas plus de données qu’elle n’en a besoin.

Une fois que les objectifs et les fonctionnalités ont été définis, le processus de développement peut commencer. Les développeurs doivent s’assurer que toutes les données collectées et traitées sont conformes aux exigences du RGPD. Cela signifie que les données doivent être stockées de manière sécurisée et que les utilisateurs doivent être informés des données qui sont collectées et de la manière dont elles seront utilisées. Les développeurs doivent également s’assurer que les données ne sont pas partagées avec des tiers sans le consentement explicite des utilisateurs.

Une fois le développement terminé, il est temps de procéder aux tests. Les tests sont essentiels pour s’assurer que l’application est conforme aux exigences du RGPD. Les tests doivent couvrir tous les aspects de la protection des données, y compris la sécurité, la confidentialité et l’accès aux données. Les tests doivent également vérifier que les données ne sont pas partagées avec des tiers sans le consentement explicite des utilisateurs. Une fois les tests terminés, l’application peut être mise en production et mise à disposition des utilisateurs.

En conclusion, le RGPD a un impact significatif sur le processus de développement d’applications. Il est important que les développeurs prennent en compte les exigences du RGPD lors de la planification et du développement d’une application et qu’ils procèdent à des tests approfondis pour s’assurer que l’application est conforme aux exigences du RGPD avant sa mise en production.

Source de l’article sur DZONE

Réduire l’empreinte carbone d’un produit nécessite une vision de bout en bout de son cycle de vie. Pour cela, il est nécessaire de casser la barrière IT existant entre la conception et la supply chain. SAP et Siemens proposent des intégrations avancées entre PLM et ERP. Avec Atos, ils s’allient pour aider les industriels à relever le défi climatique.

Les industriels sont confrontés à un triple défi : proposer des produits toujours plus complexes, dans des délais toujours plus serrés, tout en réduisant leur empreinte carbone. Le bilan de la COP26 de Glasgow est sans appel : constater la réalité du changement climatique ne suffit plus, il faut agir. Histoire de compliquer la situation, la raréfaction des matières premières s’ajoute aujourd’hui à l’urgence climatique.

Le sujet de l’empreinte carbone est crucial pour trois raisons principales :

  • Les clients sont toujours plus nombreux à demander comment sont fabriqués les produits qu’ils achètent et quelle est leur empreinte carbone. Une empreinte que l’entreprise doit être capable de mesurer.
  • La législation devient de plus en plus contraignante, poussant ainsi les entreprises à être plus vertueuses en matière d’environnement. Mais également à mettre en place des outils montrant la réalité de leurs actions dans ce domaine.
  • La RSE met en exergue le sens des responsabilités des entreprises. La green line (empreinte écologique) devient progressivement aussi importante que la top line (revenus) et la bottom line (marges).

Une problématique à traiter de bout en bout

« L’Union Européenne veut réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 55% en 2030 et vise la neutralité carbone en 2050. 2030, d’un point de vue industriel, c’est presque aujourd’hui, constate Denis Goudstikker, Teamcenter Business development Executive chez Siemens Digital Industry Software. À ce jour, un tiers des entreprises se sont fixé un objectif zéro émission, mais seulement 9% de ces entreprises ont réellement lancé des actions en vue de les réduire. »

Pour qu’un produit ait un impact environnemental minimal, il faut l’optimiser de bout en bout, de la conception à la production en passant par son utilisation et son recyclage. « La plupart des entreprises se concentrent uniquement sur les émissions liées à leur activité, explique Olivier Everaert, Head of Green PLM chez Atos. Elles ne prennent pas en compte l’ensemble du cycle de vie du produit et de sa chaîne de valeur, ce qui mène à des résultats sous-optimaux. Il faut penser en termes de réseau, où tous tendent vers un but commun, du fournisseur de matière première à l’industriel… et jusqu’au consommateur. »

« La réduction des impacts environnementaux commence dès la conception du produit, enchaîne Bruno Hemery, Head of Siemens partnership, SAP France. Elle se poursuit avec les approvisionnements (matières premières, emballage, etc.). Puis lors de la fabrication : produire mieux permettra d’avoir moins de rebuts en bout de chaîne et de consommer moins d’énergie. La logistique peut aussi être optimisée, en regroupant par exemple les approvisionnements de plusieurs fournisseurs (parfois concurrents) devant livrer un même client. Il faut également être capable de mieux connaître l’usage des produits, ce qui permettra de les améliorer au fil des versions. Enfin, d’autres éléments sont à prendre en compte, comme le recyclage et l’économie circulaire. »

Les actions en faveur de l’environnement ne sont pas forcément des investissements coûteux. Réduire la quantité de déchets générée lors de la production se traduit ainsi par une diminution des besoins en matière première et donc un abaissement des coûts de revient.

SAP et Siemens, artisans de la continuité numérique

Pouvoir prendre en charge l’ensemble du cycle de vie d’un produit nécessite de casser une barrière dans le système d’information de l’entreprise, celle séparant la conception, pré carré du PLM, et les fonctions finance, achat, production, vente, prises en charge par l’ERP. « Il faut décloisonner ces deux mondes, afin de mettre en place une continuité numérique, confirme Bruno Hemery. L’information pourra ainsi circuler dans les deux sens, la conception influant sur la supply chain et – partie innovante – la supply chain et l’usage du produit pouvant influer plus directement sur la conception. La continuité numérique permet également de s’assurer que l’information est identique des deux côtés. »

Le partenariat annoncé le 14 juillet 2020 entre SAP et Siemens vise à donner corps à ce concept de continuité numérique. Il s’est traduit par la livraison de nouvelles intégrations entre les offres de Siemens et de SAP. « Cette intégration fine entre nos deux plateformes donne une compréhension de l’ensemble du cycle de vie d’un produit permettant de s’assurer dès sa conception que l’on va dans la bonne direction, tout en restant compétitifs. La clé de la réussite est d’être capable d’amener des processus vertueux et compétitifs, » résume Denis Goudstikker.

Par ailleurs, la réduction de l’empreinte carbone passe souvent par de l’innovation. C’est le cas par exemple lorsqu’un constructeur automobile adopte des motorisations électriques ou à hydrogène. « La continuité numérique permet de créer des conditions favorables à l’adoption d’innovations, tout en maîtrisant le risque et en préservant la compétitivité de l’organisation, poursuit Denis Goudstikker. C’est un environnement qui permet de se préparer à n’importe quel scénario. »

Des ateliers pédagogiques animés par Atos

Atos sait diagnostiquer la chaîne de valeur des entreprises, afin de les aider à mettre en place une supply chain durable. Chaîne de valeur dont la visibilité et la transparence seront assurées par la mise en place d’une continuité numérique. La grande majorité des entreprises restent toutefois au début de cette transformation. Atos propose des ateliers pédagogiques gratuits leur permettant de mieux comprendre les applications pratiques de cette approche.

« Nous présentons une vingtaine de cas d’usages qui couvrent l’ensemble du cycle de vie d’un produit et nous montrons quelle est leur contribution sur l’empreinte carbone, détaille Olivier Everaert. Lors du premier atelier, les participants sont invités à nous faire remonter leur avis sur ces cas d’usage. Sont-ils applicables à leurs métiers ? Semblent-ils valables ? Peuvent-ils être améliorés ? Le second atelier permet de faire une plongée sur quelques cas d’usage sélectionnés, puis de discuter avec les participants de leur feuille de route de transformation. »

Ces ateliers d’idéation mettent l’accent sur le codéveloppement des cas d’usages et la cocréation des trajectoires de transformation des entreprises. Un premier brainstorming avant le passage à l’action…

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Source de l’article sur sap.com

De tous les défis auxquels le monde est confronté aujourd’hui, le changement climatique représente la plus grande menace. Des points de basculement que nous ne nous attendions pas à voir franchir avant de nombreuses années ont déjà été atteints. Il reste peu de temps pour arrêter les changements irréversibles et désastreux des systèmes climatiques de la Terre.

L’objectif mondial de zéro émission carbone est un gigantesque challenge. Une transition significative vers les énergies renouvelables ne peut à elle seule résoudre que 55 % des émissions mondiales. Les 45 % restants résultent des transports, de l’utilisation des sols, de la gestion des bâtiments et de la production de biens de consommation et industriels. L’action en faveur du climat nécessite de nombreuses solutions différentes et interdépendantes. Elle doit être un effort conjoint des nations, des sociétés civiles et des entreprises.

L’évolution vers des pratiques commerciales durables est impulsée par les gouvernements, les consommateurs, les investisseurs et même les employés. Si la plupart des entreprises surveillent et mesurent les émissions de CO2 de leurs sites de production, les clients exigent de plus en plus de connaître l’empreinte carbone complète des produits qu’ils achètent.

En conséquence, les entreprises doivent passer du modèle linéaire qui domine encore aujourd’hui le secteur à une économie circulaire – un changement systémique qui renforce la résilience à long terme, génère des opportunités commerciales et économiques et procure des avantages environnementaux et sociétaux.

Dans cette nouvelle équation, le carbone devient de plus en plus un nouveau vecteur de transformation. Il s’agit effectivement d’une « monnaie » mondiale et universelle qui peut être suivie, échangée, gérée et minimisée comme toute autre ressource. Pourtant, pour la plupart des entreprises, la gestion du carbone est considérée soit comme un coût nécessaire à la conduite des affaires, soit comme une taxe qui sert de pénalité. D’une manière ou d’une autre, elle est considérée comme corrosive pour les bénéfices.

Mais que se passerait-il si nous pouvions convertir la gestion du carbone en stratégie d’investissement qui puisse également générer des bénéfices ? Et si nous pouvions rendre la durabilité rentable et la rentabilité durable, sans sacrifier l’une à l’autre ?

Cette idée est tout aussi visionnaire que prometteuse. Prenons l’exemple d’une grande entreprise de biens de consommation. À un horizon de cinq à dix ans, en fonction de l’évolution de la législation, il est possible d’éviter des dépenses de compensation de 1 à 2 % du chiffre d’affaires par an, d’augmenter le chiffre d’affaires de 1 à 3 % par an et de réaliser des économies de 2 à 5 millions d’euros par an grâce à une comptabilisation et une déclaration plus précise et plus efficace des émissions.

Pour ce faire, les entreprises ont besoin de logiciels qui les aident à mesurer, à comptabiliser et à prendre les bonnes actions – et SAP est très bien positionné pour répondre à ce challenge. Nous gérons les chaînes logistiques des plus grandes entreprises du monde, nous pouvons jouer un rôle central en aidant les entreprises à gérer leur Green Line* en minimisant l’empreinte carbone et l’impact environnemental négatif de leurs produits.

Inscrivez-vous dès maintenant au SAP Sustainability Summit pour les détails sur la manière dont nous aidons les entreprises à gérer leur Green Line* de manière responsable.

* en plus du pilotage traditionnel de la « top line » – c’est-à-dire la génération de chiffre d’affaires – et de la « bottom line » – l’optimisation des résultats nets et la profitabilité, les entreprises doivent maintenant piloter la « green line », c’est-à-dire la production responsable et durable.

Article original posté sur Linkedin en anglais

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Source de l’article sur sap.com


Avec la propagation du coronavirus, un effet domino fait des ravages sur les entreprises et les employés . Les chefs d’entreprise ont été contraints de fermer leurs portes ou de couper les services, ce qui a menacé leurs propres moyens de subsistance et ceux de leurs travailleurs.

Pour atténuer l’impact économique et humain, de nombreux pays ont adopté des lois qui doivent être mises en œuvre rapidement afin de protéger les emplois des citoyens les plus démunis.

Les entreprises étaient sous pression pour se conformer rapidement à ces nouvelles obligations légales et réglementations fiscales. Étant donné que de nombreux changements fiscaux et juridiques influencent la manière dont les entreprises rémunèrent leurs employés, les applications de paie et autres solutions de gestion de l’expérience humaine (HXM) ont été fortement impactées par la législation.

Les entreprises du monde entier se sont donc tournées vers SAP pour les aider à se conformer rapidement aux changements en mettant à jour leur logiciel.

80 mesures juridiques accélérées pour aider les clients

SAP dispose d’une stratégie de localisation solide, conçue pour de telles urgences inattendues. Qu’il s’agisse de mettre en œuvre la conformité légale liée à la sécurité des revenus, de réserver des billets aller-retour pour les employés expatriés bloqués ou d’accorder des allègements fiscaux aux petites et moyennes entreprises, l’équipe des services de mondialisation est là pour vous aider.

Pour relever le défi, il a fallu redistribuer les équipes, mobiliser des ressources supplémentaires et continuer à faire appel à des experts internes et externes.

«Nous n’avons épargné aucun effort pour proposer plus de 80 mesures juridiques accélérées qui aideront les clients à relever les défis actuels du marché», déclare Stefan Steinle, responsable des services de mondialisation chez SAP. «Et en plus de tous les changements juridiques liés au COVID-19, nous continuons également à fournir des mises à jour régulières et des changements juridiques.»

Les services de mondialisation travaillent en étroite collaboration avec les clients et les partenaires afin de fournir une solution pour chaque changement pertinent aussi rapidement et efficacement que possible et de mettre ces informations à la disposition du public. Nestlé est une entreprise mondiale qui s’appuie fortement sur la localisation soutenue par SAP, quel que soit le lieu d’activité de ses clients.

«C’est une excellente idée d’avoir un guichet unique pour tous les changements juridiques liés au COVID-19», déclare Mukesh Kumar Rai, SAP Total Quality Manager chez Nestlé pour l’Asie, l’Océanie et l’Afrique subsaharienne. «C’est encore plus utile pour un client mondial comme Nestlé avec plusieurs versions nationales.»

SAP maintient cette vue d’ensemble des annonces légales pertinentes pour les localisations SAP Payroll Processing et SAP SuccessFactors Employee Central Payroll. Trois exemples en Espagne, en Italie et en Autriche montrent l’étendue des changements légaux que SAP a mis en œuvre dans les solutions HXM pendant la pandémie.

Rallye en Espagne

L’Espagne fait partie des pays les plus durement touchés par le COVID-19 . Les autorités gouvernementales y ont publié six bulletins juridiques contenant jusqu’à quatre changements chacun. Ces changements affectent les paiements et les impôts de la sécurité sociale et nécessitent des modifications d’algorithme des données de base, du calcul de la paie et des rapports juridiques.

Comme l’analyse et la mise en œuvre de ces changements devaient être effectuées rapidement, Gema Moraleda, chef de produit chez SAP Espagne, et Carlos Moehlecke, propriétaire du produit de développement, ont organisé des réunions de groupes d’utilisateurs pour partager les détails des solutions SAP et ont utilisé plusieurs canaux de communication pour tenir les clients informés.

La contribution de SAP a été reconnue par les représentants du groupe d’utilisateurs, les clients et les partenaires. En mars, Juan José Díaz Vázquez de Barrahache , un partenaire SAP, a écrit : «Tout comme il y a des moments de critique, nous de Barrahache pensons également qu’il y a des moments de gratitude, et dans ce cas, nous applaudissons la façon dont SAP Espagne a intensifié ses dons. réponses aux utilisateurs espagnols de la paie en ces temps compliqués que nous vivons. »

Aider l’Italie à guérir

Mi-mars, le gouvernement italien a promulgué le décret-loi Cura Italia (« Guérir l’Italie »), qui contient des mesures telles que le report du paiement des impôts, un traitement spécial des absences, des primes supplémentaires et des allocations pour soutenir les familles. Le plus grand défi était de mettre à jour le logiciel en ligne et en temps voulu, compte tenu de la nature dynamique des annonces. SAP a utilisé tous les canaux de communication possibles pour aider à minimiser tout manque de clarté auquel le client était confronté.

Adaptation au modèle autrichien de travail à court terme

L’Autriche a adopté un modèle de chômage partiel , qui s’appuie sur les allocations de chômage fédérales. Bien que le programme ait nécessité des modifications très complexes du logiciel géré par les entreprises et les institutions, l’équipe régionale des services de mondialisation a terminé l’analyse et la mise en œuvre des changements requis en une semaine.  Dès la deuxième semaine d’avril, plus de 600 000 citoyens avaient demandé une indemnisation dans le cadre du programme, ce qui a incité le gouvernement autrichien à décupler les fonds disponibles pour soutenir le programme de chômage partiel, qui sont passés de 400 millions à 5 milliards d’euros.

Steinle résume la réponse de son équipe à la crise mondiale : « Notre contribution va au-delà de l’expertise en matière de solutions, de l’agilité et de la mise en place de solutions sur mesure. Nous nous sommes distingués non seulement en répondant rapidement aux opportunités du marché, mais aussi en proposant des solutions concrètes qui ont un impact socio-économique énorme sur les citoyens, les entreprises et les gouvernements ».

Tags: COVID-19 , HXM , paie

Article posté pour la première fois en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Le parlement européen a voté contre le texte du projet de réforme du copyright. Les articles 11 et 13 de ce texte cristallisaient les débats. Ces deux articles proposaient notamment la mise ne place d’outils de filtrage automatique des contenus, un texte qui faisait bondir les défenseurs des libertés numériques.
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Professionnels et amateurs devront passer des formation pour faire voler des drones dans le ciel français. Des attestations devront être présentées en cas de contrôles sur les zones de vol.
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La Commission Européenne a sélectionné une cinquantaine d’experts pour son comité chargé de rédiger des directives éthiques sur l’IA et d’anticiper les défis et les opportunités dans ce domaine.
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Le RGPD peut faire le bonheur des prestataires informatiques avec des marchés à la clé, mais aussi leur malheur, soulignait dès 2017 Syntec Numérique. Les entreprises IT alertent à présent sur les transferts d’obligations que pourraient tenter – et tentent même déjà – leurs clients. Les négociations promettent d’être rudes.
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Les entreprises n’ont pas trop des deux ans laissés par l’Union européenne tant le futur règlement induit des changements organisationnels, techniques et juridiques. Une préparation qui passera par un certain nombre d’étapes.
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Si Apple assure que ses clients ne sont pas ses produits, il doit néanmoins apporter des changements à ses systèmes et services pour être en conformité en mai avec la législation européenne sur la protection des données, le RGPD.
Source de l’article sur ZDNet