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Faire des présentations à ses clients, ses investisseurs ou à ses équipes fait parti du parcours obligé de nombreuses professions. Si PowerPoint de Microsoft avec ses clip art et autres outils a longtemps été le logiciel roi, il n’est plus le seul.
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Dans un document en ligne, la direction interministérielle des systèmes d’information et de communication de l’Etat détaille ses bonnes pratiques et recommandations en matière d’ouverture du code source des outils développés par et pour les administrations. Une mesure prévue par la loi République Numérique en 2016.
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Microsoft est l’une des dix entreprises qui se sont engagées à essayer de résoudre les problèmes de licence dans le logiciel open source impliquant la GPL. Objectif : trouver des solutions avec les clients avant toute action en justice.
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« La récompense d’une victoire est souvent une nouvelle série de batailles. »
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Pour sa septième année d’existence, le projet LibreOffice s’offre une sixième version disponible aujourd’hui au téléchargement. Cette nouvelle version de la suite bureautique apporte son lot de nouvelles fonctionnalités.
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Comme le révèle NextInpact, le ministère de la Défense était prêt à envisager une transition vers le logiciel libre en 2005, soit deux ans avant la signature du contrat dit « Open Bar » avec Microsoft.
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Lancé en 2014, l’initiative Degooglisons Internet est pilotée par l’association Framasoft et propose de réunir sous une même étiquette plus de 30 services libres et décentralisés afin de proposer aux internautes des alternatives aux services phares détenus par les Gafa. Si vous ne supportez plus d’utiliser Doodle ou que Dropbox vous inspire tout le dégoût du monde, vous avez tout intérêt à vous tourner vers cette initiative qui regroupe sur un site dédié une trentaine de services alternatifs. La campagne baptisée Degooglisons Internet a rencontré un franc succès au cours de ses trois années d’existence comme le rappelaient ses organisateurs.

Mais il est maintenant temps pour le projet de passer dans sa seconde phase et de faire le point. Dans un post de blog, les membres de l’association Framasoft reviennent ainsi sur cette nécessaire évolution du projet après trois années passées à un rythme acharné pour passer sur un peaufinage du projet « Il y a dans ces trois ans un aspect publish or perish, « sors un service ou finis aux oubliettes », qui ne convient pas à l’attention et au soin que l’on veut apporter à nos propositions » expliquent les organisateurs.

Faire le point, mais ne pas s’arrêter en si bon chemin

Il ne sera donc pas question d’ajouter ad vitam aeternam de nouveaux services à la déjà longue liste de ceux proposés au sein de l’initiative, mais bien de répondre en proposant une philosophie alternative et de peaufiner la qualité des services déjà proposés. Parmi les pistes évoquées, l’association envisage ainsi d’améliorer la qualité de ses tutoriaux afin de permettre aux utilisateurs de s’émanciper peu à peu de la tutelle Framasoft, mais envisage aussi un travail sur les données.

« La problématique des silos de données centralisés par quelques monopoles mérite une réponse bien plus complexe et complète que simplement proposer « 32 services alternatifs » » expliquent ainsi les auteurs du post, ce qui laisse penser que Framasoft s’interroge sur la portabilité des données entre les différents services qu’ils proposent.

Cette mise au point est aussi l’occasion de faire taire les faux espoirs concernant l’apparition d’un hypothétique Framamail : « Nous allons vous décevoir tout de suite : nous n’allons pas proposer de Framamail, tout du moins pas sous la forme que vous imaginez. L’e-mail est une technologie à la fois simple (dans sa conception) et extrêmement complexe (dans sa maintenance). » L’initiative propose déjà plusieurs outils permettant d’héberger soi-même son propre serveur de mail, mais proposer un service de webmail comparable à ce que propose Gmail, le pillage des données personnelles en moins, n’est pas pour tout de suite.

L’idée n’est pas complètement écartée, mais Framasoft explique que sa mise en œuvre demanderait de nouveaux recrutements à temps plein au sein de l’équipe afin d’être en mesure de fournir un service décent. Framasoft préfère donc conserver son budget pour les autres services afin d’être en mesure d’assurer un service correct au plus grand nombre.

À l’occasion de ce point d’étape Framasoft profite de l’occasion pour présenter un redesign de son site Degooglisons Internet, qui correspond de leur propre aveu à une « v1 » de celui-ci. L’association diffuse également une infographie réalisée par Geoffrey Dorne faisant le point sur les différentes initiatives de Framasoft et les développements futurs. La nouvelle campagne sera officiellement lancée le 9 octobre pour une durée, là aussi, de trois ans.

Source : http://www.zdnet.fr/actualites/degooglisons-internet-un-point-d-etape-avant-une-nouvelle-campagne-39857954.htm#xtor=RSS-1