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Exploration approfondie d'Amazon EC2 : optimiser les charges de travail avec les données matérielles

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Explorer Amazon EC2 en profondeur pour optimiser les charges de travail avec les données matérielles. Découvrez comment tirer le meilleur parti de votre infrastructure cloud !

Comprendre le matériel sous-jacent aux instances EC2 d’Amazon

EC2 Instance Types and Hardware

Amazon EC2 offre une variété d’instances pour répondre aux besoins des utilisateurs. Chaque type d’instance est conçu pour offrir un ensemble spécifique de performances et de capacités. Les principaux types d’instances EC2 sont les suivants :

  • Instances à mémoire haute performance (HIMEM) : Ces instances sont conçues pour offrir une mémoire et une puissance de calcul élevées. Elles sont idéales pour les applications qui nécessitent des performances de calcul élevées et une grande quantité de mémoire.
  • Instances à processeur haute performance (HIPROC) : Ces instances sont conçues pour offrir une puissance de calcul élevée et une grande quantité de mémoire. Elles sont idéales pour les applications qui nécessitent des performances de calcul élevées et une grande quantité de mémoire.
  • Instances à processeur haute densité (HIDEN) : Ces instances sont conçues pour offrir une puissance de calcul élevée et une grande quantité de mémoire. Elles sont idéales pour les applications qui nécessitent des performances de calcul élevées et une grande quantité de mémoire.
  • Instances à processeur haute densité (HIDEN) : Ces instances sont conçues pour offrir une puissance de calcul élevée et une grande quantité de mémoire. Elles sont idéales pour les applications qui nécessitent des performances de calcul élevées et une grande quantité de mémoire.

Chaque type d’instance est alimenté par un matériel spécifique qui lui est propre. Par exemple, les instances à mémoire haute performance (HIMEM) sont alimentées par des processeurs Intel Xeon E5-2686 v4, des processeurs Intel Xeon E5-2676 v3 et des processeurs Intel Xeon E5-2676 v2. Les instances à processeur haute performance (HIPROC) sont alimentées par des processeurs Intel Xeon E5-2686 v4, des processeurs Intel Xeon E5-2676 v3 et des processeurs Intel Xeon E5-2676 v2. Les instances à processeur haute densité (HIDEN) sont alimentées par des processeurs Intel Xeon D-1541, des processeurs Intel Xeon D-1531 et des processeurs Intel Xeon D-1521. Enfin, les instances à processeur haute densité (HIDEN) sont alimentées par des processeurs Intel Xeon D-1541, des processeurs Intel Xeon D-1531 et des processeurs Intel Xeon D-1521.

Conclusion

Amazon EC2 offre une variété d’instances pour répondre aux besoins des utilisateurs. Chaque type d’instance est conçu pour offrir un ensemble spécifique de performances et de capacités, et est alimenté par un matériel spécifique. Comprendre le matériel qui se trouve sous le capot des instances EC2 est essentiel pour prendre les bonnes décisions lors du choix du type d’instance le plus adapté à votre cas d’utilisation. En ayant une compréhension fondamentale du matériel qui se trouve derrière les instances EC2, vous serez en mesure d’optimiser les performances et les coûts, ainsi que d’assurer le bon fonctionnement de vos applications.

Amazon Elastic Compute Cloud (EC2) est l’un des principaux services du cloud AWS, offrant une plateforme polyvalente pour le calcul sur demande. La vraie
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Accélérer la transformation numérique avec le cloud et DevOps.

La transformation numérique est essentielle pour rester compétitif. Le cloud et DevOps peuvent aider à accélérer ce processus et à améliorer l’efficacité.

Nuage et DevOps : un aperçu

La transformation numérique est devenue une initiative critique pour les entreprises qui souhaitent prospérer à l’ère moderne. Afin d’accélérer cette transformation, les organisations utilisent la puissance du cloud computing et adoptent des pratiques DevOps. Le cloud computing offre une infrastructure évolutive et flexible, tandis que DevOps permet une culture de collaboration et de livraison continue. Cet article explorera comment le cloud et DevOps contribuent à accélérer la transformation numérique et les avantages qu’ils apportent aux entreprises.

Cloud dans la transformation numérique

Le cloud computing joue un rôle vital dans la conduite de la transformation numérique des entreprises. Voici comment il facilite le processus :

Premièrement, le cloud computing offre aux entreprises une infrastructure flexible et évolutive. Les entreprises peuvent ainsi facilement adapter leurs systèmes à l’évolution des besoins et des exigences des clients. Les services cloud sont également très faciles à mettre en œuvre et à gérer, ce qui permet aux entreprises de se concentrer sur leurs activités principales plutôt que sur la gestion de leurs infrastructures. De plus, le cloud computing permet aux entreprises d’accéder à des logiciels et à des services qui ne sont pas disponibles sur leurs propres systèmes, ce qui les aide à rester compétitives.

Deuxièmement, le cloud computing permet aux entreprises de réduire leurs coûts de développement et d’exploitation. Les entreprises peuvent ainsi économiser sur les coûts de matériel et de personnel, car elles n’ont pas besoin d’acheter et de gérer leurs propres serveurs. De plus, les entreprises peuvent réduire leurs coûts de maintenance en utilisant des services cloud, car elles n’ont pas à se soucier des mises à jour logicielles ou des correctifs.

Enfin, le cloud computing permet aux entreprises d’accéder à des logiciels et à des services spécialisés qui peuvent aider à accélérer le processus de transformation numérique. Par exemple, les entreprises peuvent utiliser des outils de développement logiciel pour créer des applications plus rapidement et plus efficacement. Les entreprises peuvent également utiliser des services d’analyse pour mieux comprendre leurs clients et leurs marchés. Enfin, les entreprises peuvent utiliser des services de sécurité pour protéger leurs données et leurs systèmes contre les menaces en ligne.

DevOps dans la transformation numérique

DevOps est une pratique qui permet aux entreprises d’accélérer leur transformation numérique en améliorant la collaboration entre les différentes équipes informatiques. Voici comment DevOps facilite le processus :

Premièrement, DevOps permet aux équipes informatiques de travailler plus efficacement en mettant en œuvre des processus automatisés et en partageant les informations entre les différentes équipes. De plus, DevOps permet aux équipes informatiques de développer et de déployer des applications plus rapidement grâce à l’automatisation des processus et à l’utilisation d’outils spécialisés. Enfin, DevOps permet aux équipes informatiques de surveiller et de maintenir leurs applications plus facilement grâce à l’utilisation d’outils d’analyse et de surveillance.

Deuxièmement, DevOps permet aux entreprises de réduire les temps de développement et de déploiement des applications. Les équipes informatiques peuvent ainsi développer et déployer des applications plus rapidement grâce à l’automat

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Risques et solutions de sécurité de la virtualisation

La virtualisation offre de nombreux avantages, mais elle comporte aussi des risques et des défis en matière de sécurité. Découvrons ensemble les solutions pour les gérer.

## Risques de sécurité liés à la virtualisation

Attacks on Virtual Machines

VMs are the main target of attackers in a virtualized environment. Attackers can exploit vulnerabilities in the operating system or applications running on the VMs to gain access to the virtualization environment. Once they gain access, they can launch attacks on other VMs or steal sensitive data.

Hypervisor Attacks

The hypervisor is the core component of virtualization technology. It is responsible for managing the VMs and other virtualization components. Attackers can exploit vulnerabilities in the hypervisor to gain access to the virtualization environment and launch attacks on other VMs.

Solution pour les risques de sécurité liés à la virtualisation

Les organisations du monde entier adoptent de plus en plus la technologie de virtualisation pour ses nombreux avantages, tels que des économies de coûts, une efficacité améliorée, une flexibilité, une scalabilité et une récupération en cas de sinistre. Cependant, l’adoption accrue de la technologie de virtualisation a également entraîné une augmentation des risques de sécurité. Les risques de sécurité liés à la virtualisation sont causés par divers facteurs, tels que les vulnérabilités du logiciel de virtualisation, les attaques sur les machines virtuelles (VMs) et les attaques sur le hyperviseur. Cet article examine les risques de sécurité liés à la virtualisation et les solutions pour les atténuer.

Vulnérabilités du logiciel de virtualisation

Le logiciel de virtualisation est le cœur de la technologie de virtualisation. Il est responsable de la gestion des VMs, du hyperviseur et des autres composants de la virtualisation. Les vulnérabilités du logiciel de virtualisation peuvent être exploitées par des attaquants pour obtenir un accès non autorisé à l’environnement de virtualisation. Les attaquants peuvent exploiter ces vulnérabilités pour prendre le contrôle de l’environnement de virtualisation, voler des données sensibles et lancer des attaques sur d’autres VMs dans l’environnement virtuel.

Attaques sur les machines virtuelles

Les VMs sont la principale cible des attaquants dans un environnement virtualisé. Les attaquants peuvent exploiter des vulnérabilités du système d’exploitation ou des applications exécutées sur les VMs pour accéder à l’environnement de virtualisation. Une fois qu’ils ont accès, ils peuvent lancer des attaques sur d’autres VMs ou voler des données sensibles.

Attaques sur le hyperviseur

Le hyperviseur est le composant principal de la technologie de virtualisation. Il est responsable de la gestion des VMs et des autres composants de la virtualisation. Les attaquants peuvent exploiter des vulnérabilités du hyperviseur pour accéder à l’environnement de virtualisation et lancer des attaques sur d’autres VMs.

Mesures pour atténuer les risques de sécurité liés à la virtualisation

Il existe plusieurs mesures qui peuvent être prises pour atténuer les risques de sécurité liés à la virtualisation. L’une des principales mesures est l’utilisation d’une stratégie de sécurité robuste pour protéger le système contre les menaces externes et internes. La stratégie devrait inclure des mesures telles que l’utilisation d’un pare-feu pour bloquer les connexions non autorisées, la mise en œuvre d’une politique stricte d’accès aux données et l’utilisation d’outils de codage pour assurer la sécurité des données sensibles. De plus, il est important que les administrateurs système mettent à jour régulièrement le logiciel et le matériel afin d’atténuer les vul

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Tutoriel de plan de test complet : guide exhaustif avec exemples

Apprenez à créer un plan de test complet avec ce tutoriel exhaustif qui vous fournit des exemples pratiques.

Test Plan: Un Document Précieux qui Décrit la Stratégie de Test pour un Projet Logiciel ou Matériel

Un plan de test est un document précieux qui décrit la stratégie de test pour un projet logiciel ou matériel. C’est un document qui définit la portée des tests, les ressources nécessaires, l’environnement de test et les cas de test qui seront exécutés. Son objectif est de s’assurer que le processus de test est approfondi et complet et que tous les tests nécessaires sont menés de manière systématique et coordonnée.

Il sert de document détaillé pour assurer le bon fonctionnement du logiciel. La sortie de la phase de test est directement liée à la qualité de la planification qui y est associée. Ces plans de test sont généralement développés pendant la phase de développement pour gagner du temps lors de l’exécution des tests et parvenir à un accord mutuel avec toutes les parties prenantes.

Le plan de test est un document essentiel pour tout projet logiciel ou matériel. Il permet d’identifier les tests à effectuer, les ressources nécessaires et l’environnement dans lequel ils doivent être exécutés. Il est également utile pour déterminer le niveau de qualité du produit final et pour s’assurer que tous les tests ont été effectués correctement et complètement. Les plans de test peuvent également être utilisés pour documenter les résultats des tests et fournir des informations sur la qualité du produit.

Le plan de test est un outil puissant pour garantir la qualité d’un produit logiciel ou matériel. Il permet aux parties prenantes d’avoir une vision claire des tests à effectuer et des ressources nécessaires pour les exécuter. En outre, il permet aux développeurs et aux testeurs de se concentrer sur leurs tâches respectives et d’atteindre leurs objectifs plus rapidement et plus efficacement. Enfin, il permet aux utilisateurs finaux d’obtenir un produit final fiable et conforme aux spécifications.

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Optimiser les performances Cloud : Guide approfondi de tests et avantages

Découvrez comment optimiser les performances Cloud grâce à notre guide approfondi de tests et d’avantages ! Apprenez à tirer le meilleur parti de votre Cloud.

Êtes-vous confronté à des problèmes lors de la mesure de la scalabilité d’une organisation et d’autres facteurs de performance? Les utilisateurs peuvent accéder à leurs ressources à partir de n’importe quel appareil doté d’une connexion Internet, ce qui est l’un des principaux avantages des tests de performance en nuage. Cela implique que les investissements en matériel et en logiciel ne sont plus une préoccupation majeure lors de l’évaluation des exigences de scalabilité et de performance optimales d’une organisation. Les débits et les temps de latence de votre système sont mesurés par des tests de performance en nuage lorsque le nombre d’utilisateurs simultanés utilisant votre application change. Plusieurs caractéristiques de performances et différents modèles de charge sont également mesurés.

Les données sont devenues un élément essentiel pour les entreprises modernes. Les entreprises doivent mesurer la scalabilité et les autres facteurs de performance de leur organisation afin d’assurer leur croissance. Cependant, cette tâche peut s’avérer difficile et coûteuse. Heureusement, le test de performance en nuage offre une solution rentable et efficace pour mesurer la scalabilité et les performances d’une organisation.

Le test de performance en nuage est une méthode qui permet aux utilisateurs d’accéder à leurs ressources depuis n’importe quel appareil doté d’une connexion Internet. Cela signifie que l’investissement en matériel et en logiciels n’est plus une préoccupation majeure lors de l’évaluation de la scalabilité et des exigences optimales de performance d’une organisation. Le débit et la latence du système sont mesurés à mesure que le nombre d’utilisateurs simultanés utilisant l’application change. De plus, plusieurs caractéristiques de performance et différents modèles de charge sont également mesurés.

Le test de performance en nuage est une méthode très pratique pour les entreprises qui cherchent à mesurer leurs performances et leur scalabilité. Il permet aux entreprises de tester leurs applications à grande échelle sans avoir à investir dans des serveurs et des logiciels coûteux. De plus, il offre une précision et une fiabilité inégalées pour mesurer les performances et la scalabilité des applications. Enfin, le test de performance en nuage est une méthode rapide et rentable pour mesurer la scalabilité et les performances d’une organisation.

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Concevoir une architecture hybride durable: le rôle crucial de l'empreinte carbone

La conception d’une architecture hybride durable est un défi majeur. Une attention particulière doit être portée à l’empreinte carbone pour garantir une solution durable.

L’augmentation de la demande en services de cloud computing et son impact sur l’environnement, mettant en évidence la nécessité de prioriser la durabilité et de réduire les émissions de carbone dans les environnements cloud hybrides, sont abordés dans cet article. Il souligne l’importance des exigences non fonctionnelles, en particulier l’empreinte carbone, dans la conception de l’architecture cloud hybride et la nécessité d’un rapport standardisé des émissions de carbone pour la transparence et le respect des obligations. L’article explore également diverses opportunités pour minimiser l’empreinte carbone, notamment l’optimisation de l’utilisation de l’énergie et des exigences matérielles, ainsi que la gestion de l’empreinte carbone par le suivi et le reporting des émissions, l’optimisation de l’utilisation du matériel et l’adoption de sources d’énergie renouvelables. Le rôle des fournisseurs de cloud dans l’aide aux entreprises à réduire leur empreinte carbone est discuté, ainsi que l’importance de la collaboration entre les dirigeants d’entreprise, les équipes informatiques et les fournisseurs de cloud pour intégrer la durabilité dans le processus de conception de la solution. De plus, l’article met en évidence l’impact significatif des exigences non fonctionnelles telles que le placement des charges de travail et le routage du réseau sur l’empreinte carbone d’une entreprise, soulignant la nécessité de prendre en compte les facteurs de durabilité pendant la conception et la mise en œuvre des environnements cloud hybrides pour réduire les émissions de carbone et se conformer aux exigences réglementaires.

## L’impact de la demande croissante en services de cloud computing sur l’environnement et la nécessité de prioriser la durabilité

L’utilisation croissante des services de cloud computing et son impact sur l’environnement soulignent la nécessité de prioriser la durabilité et de réduire les émissions de carbone dans les environnements hybrides cloud. Il est important de mettre l’accent sur les exigences non fonctionnelles, en particulier l’empreinte carbone, dans la conception de l’architecture hybride cloud et la nécessité d’un rapport standardisé des émissions de carbone pour la transparence et le respect des obligations.

Il existe plusieurs possibilités pour minimiser l’empreinte carbone, notamment l’optimisation de l’utilisation de l’énergie et des exigences matérielles, ainsi que la gestion de l’empreinte carbone par le suivi et le rapport des émissions, l’optimisation de l’utilisation du matériel et l’adoption de sources d’énergie renouvelables. Le rôle des fournisseurs de cloud dans l’aide aux entreprises à réduire leur empreinte carbone est discuté, ainsi que l’importance de la collaboration entre les dirigeants d’entreprise, les équipes informatiques et les fournisseurs de cloud pour intégrer la durabilité dans le processus de conception des solutions. De plus, l’article met en évidence l’impact significatif des exigences non fonctionnelles telles que le placement des charges de travail et le routage du réseau sur l’empreinte carbone d’une entreprise, soulignant la nécessité de prendre en compte les facteurs de durabilité lors de la conception et de la mise en œuvre des environnements hybrides cloud pour réduire les émissions de carbone et se conformer aux exigences réglementaires.

Les solutions hybrides cloud sont un moyen efficace pour les entreprises de réduire leur empreinte carbone et de répondre aux exigences réglementaires. Les fournisseurs de cloud doivent travailler en étroite collaboration avec les entreprises pour intégrer la durabilité dans le processus de conception des solutions. Les entreprises doivent également prendre en compte les exigences non fonctionnelles telles que le placement des charges de travail et le routage du réseau pour réduire leur empreinte carbone. Enfin, il est important d’adopter des sources d’énergie renouvelables et d’optimiser l’utilisation des ressources matérielles et énergétiques pour minimiser l’empreinte carbone et respecter les exigences réglementaires. La conception d’une architecture hybride cloud durable est essentielle pour assurer une empreinte carbone minimale et une conformité aux exigences réglementaires.

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SAP France s’engage avec la start-up Evolukid, les territoires de Lens-Liévin et Aix-Marseille pour le lancement du programme KESK’IA, programme d’excellence dédié aux étudiants en filières informatiques et digitales.

Paris, le 3 avril 2023 – SAP, leader mondial des logiciels innovants de gestion d’entreprises, renforce sa présence dans les territoires au service de l’égalité des chances avec le lancement du programme KESK’IA, en partenariat avec Evolukid, plateforme éducative pour développer les compétences du futur. Sur tout le territoire hexagonal, SAP France s’associe aux côtés de ses partenaires tels que L’Oréal, Société Générale, TATA Consultancy Services et UPS.

 

Favoriser l’égalité des chances dans le numérique avec KESK’IA.

Entre février et juin 2023, près de 100 étudiants seront accompagnés pour réaliser des prototypes d’Intelligence Artificielle au service de leur territoire. Sélectionnés parmi plus de 450 candidatures, ils seront chargés de développer des projets concrets à impacts positifs dans sept territoires via le programme KESK’IA. Ce programme d’excellence destiné aux étudiants en filière Informatique ou digitale vise à perfectionner leurs compétences et à préparer les talents de demain dans le domaine de l’Intelligence Artificielle.

Pendant toute la durée du programme, des mentors de SAP France accompagneront ces futurs talents pour la mise en œuvre d’une vingtaine de prototypes autour de quatre thématiques :

  • Prévention des risques et sécurité : détection du harcèlement
  • Environnement et écologie: Reconnaissance des déchets dans des zones difficilement accessibles par drones, réduction du gaspillage alimentaires dans les cantines scolaires
  • E-Réputation: Mesure des commentaires négatifs sur la collectivité
  • Aménagement du territoire : Reconnaissance d’infrastructures endommagées par drones ou caméra de vidéo-surveillance.

« SAP France est très fier de participer au programme KESK’IA, en partenariat avec Evolukid. Depuis toujours, SAP est déterminé à aller chercher les talents sur tout le territoire : en milieu urbain, rural ou en QPV. Ce programme renforce nos engagements en faveur de l’accessibilité de notre filière. C’est également une formidable occasion de montrer aux collectivités les atouts de l’IA et de les équiper face aux défis technologiques actuels. » déclare Olivier Nollent, Président – Directeur Général de SAP France.

« Pouvoir faire émerger de l’innovation et de la valeur ajoutée des quartiers populaires est ce que l’on recherche. Il faut redonner de la confiance à ces jeunes qui n’ont pas les relations pour rentrer facilement sur le marché : c’est ce que permet KESK’IA. Pouvoir s’appuyer sur de grandes entreprises de la tech telles que SAP est important et stimulant. C’est une vraie chance pour les étudiants du programme, mais aussi pour ces entreprises qui peuvent s’investir dans un projet à impact et faire grandir de nouveaux talents. » a ajouté Morad Attik, CEO d’Evolukid et Directeur du programme KESK’IA.

 

SAP France, un leader mondial engagé pour l’insertion professionnelle dans les territoires.

En tant que partenaire du programme KESK’IA, SAP France apporte sa contribution aux côtés de la Communauté d’Agglomération de Lens-Liévin (CALL) et la Métropole d’Aix-Marseille et accompagne 20 étudiants répartis dans ces deux territoires. En renforçant sa présence dans les territoires en dehors de ses sites d’implantation français, SAP en France souhaite être le moteur de l’intégration, de l’égalité des chances et de l’insertion professionnelle dans le domaine de l’IA.

Dans le Nord-Pas-de-Calais et dans les Bouches-du-Rhône, SAP vise à résoudre le déficit de compétences, de vocations des jeunes dans le numérique et s’emploie à faire grandir les talents de ces deux territoires en apportant des connaissances et un nouveau réseau professionnel.

« Rêver, s’obstiner et réussir… il y a de la magie à voir grand ! Et cette citation d’Erick Orsenna et Marie Eloy qui caractérise la team et les jeunes de Lens. Car avoir ce type de programme chez nous et les grands groupes comme SAP et l’Oréal à nos côtés c’est inespéré ! Alors oui, ils rêvent mais ils sont obstinés à réussir ce projet. » ajoute Saliha SADOUKI, Responsable Pôle Communication & Numérique, Maison de l’Emploi du bassin Lens, Liévin, Hénin, Carvin.

Après quatre mois de développement, les étudiants présenteront devant un jury d’experts et d’élus leurs prototypes. Les sept prototypes finalistes qui représenteront les sept territoires du programme KESK’IA seront présentés par les étudiants en juin. Les trois meilleurs projets seront récompensés lors d’une cérémonie nationale à Paris rassemblant sponsors, entreprises partenaires, collectivités et experts de l’intelligence artificielle.

 

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À propos de SAP en France 

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.   

 

A propos d’Evolukid 

Evolukid, startup EdTech, accompagne depuis 2016 les collectivités territoriales et les entreprises dans la mise en œuvre de projets innovants liés aux nouvelles technologies. Notre expertise – incluant l’ingénierie pédagogique, le matériel, les intervenants formés, les déplacements et la logistique globale – nous permet d’intervenir partout en France et à l’étranger. Depuis 2019, nous avons lancé la plateforme éducative en ligne Evolukid : notre solution en ligne proposant des parcours éducatifs et des classes virtuelles pour répondre aux besoins des familles. Evolukid devient une véritable école numérique pour tous types de projets.

En partenariat avec la Banque des Territoires, Evolukid lance en février 2023 le programme KESK’IA pour former les étudiants et les talents des quartiers populaires à l’intelligence artificielle. Des villes associées telles que Lens, Meaux, Nantes, Marseille, et des acteurs majeurs de l’économie tels que Sales Force, Google, et d’autres leaders mondiaux qui rejoignent actuellement l’initiative seront parties prenantes du programme KESK’IA.

Ces jeunes étudiants, sélectionnés à l’issue du processus pédagogique, répondront à des problématiques locales d’écologie, de gestion des déchets et de citoyenneté par l’intelligence artificielle en livrant des prototypes fonctionnels (généralisables à d’autres territoires). Enfin, à l’issue de cette initiative, lors de la grande soirée de clôture avec l’ensemble des sponsors et partenaires, les candidats présenteront leurs prototypes et se verront décerner le prix de la meilleure innovation par un grand jury. Cela permettra aux entreprises non seulement de recruter les meilleurs, mais aussi de rappeler que les quartiers prioritaires sont le creuset de l’ambition de la France de se hisser parmi les premières nations en matière d’innovation et de nouvelles technologies.

 

Contact presse : 

SAP France 

Sylvie Léchevin

sylvie.lechevin@sap.com

sap@the-arcane.com

Evolukid

Amadou Dabitao ou Lralia Sall

contact@bnagency.co / lralia@bnagency.co

+33 6 95 10 50 99

 

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Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

Lire le témoignage

 

« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

En savoir plus

 

Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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Les modèles « en tant que service » font désormais partie de notre quotidien de consommateurs. À quand remonte la dernière fois que vous avez acheté un CD ou un DVD ? En ce qui me concerne, je ne m’en souviens pas. Toute ma famille utilise des plateformes de diffusion continue pour tout cela. Mes fils et moi commandons même nos lames de rasoir et nos crèmes de rasage selon un modèle similaire. Bien sûr, on dirait bien que c’est toujours moi qui paye, mais c’est un autre sujet !

Ce concept de vente d’un résultat en tant que service est communément appelé « servitization ». Hier simple modèle de consommation, c’est aujourd’hui une approche commerciale plus large, dans laquelle les dépenses d’investissement pour un équipement représentent de plus en plus un obstacle aux yeux de l’acheteur. Souvent, il est bien plus intéressant d’avoir accès au même équipement moyennant des frais mensuels, basés sur une utilisation à l’heure ou encore sur le débit.

Grâce à la servitization, les fabricants trouvent de nouveaux moyens de se rapprocher de leurs clients à travers des modèles économiques inédits. Pour ce faire, ils établissent une relation suivie, basée sur des transactions mensuelles alignées sur la consommation, le débit, la disponibilité ou l’exploitation des équipements plutôt que sur une transaction ou une vente ponctuelle attribuant la responsabilité de la maintenance au prestataire de services.

La servitization appelle des produits plus intelligents

Pour rendre la servitization possible, les équipementiers doivent concevoir des produits plus intelligents, capables de collecter les informations nécessaires à une facturation précise de leurs clients. Ils doivent également s’assurer que leurs équipements fonctionnent en permanence, et génèrent les données dont ils ont besoin pour prévoir les opérations de maintenance qui éviteront les pannes. Grâce à l’Internet des Objets (IdO), des capteurs emmagasinent les informations d’utilisation, de débit ou de performances pertinentes pour alimenter le processus de gestion en tant que service.

Grâce à un jumeau numérique de la machine, le fabricant et le client sont tous deux en mesure d’en surveiller les performances et d’utiliser les algorithmes d’apprentissage automatique afin d’évaluer le degré d’efficacité de son utilisation.

La valeur ajoutée de la servitization

Faire des services une part croissante et dynamique de votre activité, c’est accéder à de nouvelles sources de revenus et améliorer vos marges tout en évitant la banalisation et en érigeant la durabilité en véritable facteur de différenciation.

Prenons un exemple fictif. Soit une entreprise qui produit des machines à laver. Cette entreprise souhaite mettre en place un modèle de « lavage en tant que service », dans lequel elle facturerait ses clients en fonction du nombre de lavages réalisés chaque mois par leurs appareils.

Si, comme moi, le client fait partie d’une famille de cinq personnes, qui utilise la machine quotidiennement, il paiera davantage qu’une personne seule qui ne l’utilise qu’une fois par semaine. Le dénominateur commun est que la machine à laver doit fonctionner à pleine performance chaque fois que nécessaire.

Réinventer les modèles de services

Cette nouvelle offre de service requiert des contrats basés sur les résultats, qui incluent des mesures de performances des cycles de lavage et des accords de niveaux de service (SLA) garantissant une disponibilité à 100 %.

Afin de proposer une expérience immersive aux clients, une application peut leur fournir des données en temps réel sur leurs cycles de lavage : le moment où ils se terminent, combien de cycles ont été exécutés dans le mois, le coût, l’empreinte carbone, les performances de la machine…

Ces informations sont également utilisées par le fabricant et par une société de maintenance tierce pour gérer le cycle de vie complet des services, dans tous ses aspects : de l’installation à la facturation en passant par la garantie, l’émission de tickets de service, les interventions sur site, les réparations en atelier, la facturation et les solutions de financement.

Le modèle de service réduira également l’impact environnemental global de la machine en permettant une surveillance de la consommation d’énergie et d’eau, ainsi qu’une prise en charge de la mise hors service et du recyclage afin de maintenir l’équipement dans l’économie circulaire.

Des services précis afin de réduire les coûts et d’améliorer l’expérience client

La disponibilité des données relatives aux machines aide le fabricant et le partenaire de maintenance à repenser leurs opérations de gestion des services. Ils s’appuient sur une planification avancée basée sur l’IA pour hiérarchiser les interactions, améliorer l’utilisation des ressources et réduire les temps de déplacement.

Lorsqu’un technicien de service est dépêché pour réparer une machine, il doit avoir toutes les pièces nécessaires et toutes les informations de dépannage à portée de main via un appareil mobile. Il peut même être guidé dans son travail de réparation grâce à des lunettes à réalité augmentée. Le problème peut ainsi être résolu en une intervention, ce qui évite les longs délais provoqués par une commande de matériel après le rendez-vous.

Révolutionner le retour sur investissement en augmentant les performances des équipements et en allongeant leur durée de vie

Grâce à la visibilité accrue garantie par les capteurs d’IdO intégrés aux machines à laver, le fabricant est désormais en mesure d’assurer un suivi continu des performances de tous les équipements utilisés. Il peut ainsi surveiller leur état et leurs performances par rapport aux accords de niveau de service.

Le fabricant peut également tirer parti des données émises par toutes les machines et, grâce à des algorithmes d’intelligence artificielle, identifier des tendances ou encore anticiper le risque de défaillance. Il peut aussi proposer des opérations de maintenance préventive afin de limiter les pannes et de renforcer le service client. Enfin, ces informations peuvent être transmises aux équipes de recherche et de développement afin qu’elles éliminent tout problème récurrent au moment de concevoir la prochaine génération de la machine.

Un cycle de service de lavage vraiment complet

Il est évident que le modèle économique « en tant que service » perdurera – dans nos vies privées bien sûr, mais aussi de plus en plus au sein des entreprises modernes, auxquelles il permettra de dégager des gains dans tous les domaines.

Pour découvrir comment tracer votre voie vers une gestion de service d’excellence, téléchargez le récent livre blanc de Copperberg intitulé « Transformer la gestion des services pour une servicisation fructueuse ».

 

Richard Howells, Vice-président ERP et Supply Chain numérique chez SAP

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Dans un marché très concurrencé et post Covid, la gestion et la distribution de matériel médical est en pleine transformation. Les ambitions de Quipment, premier fournisseur d’équipements médicaux pour les laboratoires du monde entier, s’incarnent sur plusieurs aspects dont celui de faire évoluer ses processus métiers ainsi que ses outils.

Paris, le 15 décembre 2022. SAP, leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, accompagne Quipment, acteur mondial de la fourniture de matériel médical pour les essais cliniques, dans le choix de leur nouvel ERP.

Avec des processus et des normes internationales de plus en plus complexes et exigeantes, mais aussi face à des volumes industriels, Quipment pourra désormais s’appuyer sur RISE S/4HANA Public Cloud pour automatiser tous ses processus métiers, de la Finance à la comptabilité, en passant par la gestion des stocks, la maintenance et la configuration de ces matériels, et ce dans plusieurs pays.

L’adoption de la solution permettra une digitalisation du Système d’Information pour anticiper les changements de business model – Quipment souhaitant aller toujours plus loin dans l’économie circulaire. Elle permettra également d’assurer un accompagnement adapté à la croissance de Quipment. La startup pourra enfin bénéficier de la simplicité d’usage grâce aux processus standardisés du dispositif SAP.

Ce partenariat a été rendu possible par la capacité des équipes Grow by SAP – un programme d’accélération pour les entreprises à forte croissance – à répondre à l’ensemble des besoins de Quipment, de leur proposer un accompagnement sur-mesure pour assurer aux équipes une adoption optimale et leur permettre de répondre à la demande croissante du marché. La proposition de valeur de Grow by SAP permet d’accélérer l’activité de Quipment de la manière la plus durable et efficace qui soit grâce à une solution SaaS et à un ensemble de mesures couvrant notamment le Marketing, la Finance, le Growth hacking, etc.

Aussi, l’association de SAP et WYNSYS, l’un des partenaires les plus performants de SAP, permet à la startup de restructurer ses processus et de profiter pleinement des avantages de la solution dans le Cloud.

Pierre Malingrey, Président et cofondateur de Quipment précise :  « La robustesse de la solution Rise S/4HANA nous a convaincu pour venir répondre à nos objectifs d’automatisation. Cela va permettre à Quipment de réaliser les gains d’efficacité significatifs et nous permettre de maintenir notre avance sur ce marché en phase d’industrialisation. Au-delà de cette efficience, la solution RISE S/4HANA va doter Quipment de gains capacitaires très importants pour absorber les volumes croissants de notre marché.

Lahcen Binoumar, Head of Middle Market chez SAP France déclare : « Collaborer avec une startup comme Quipment est une opportunité exceptionnelle pour SAP de démontrer les capacités et la flexibilité de ses solutions. Le secteur de l’approvisionnement des produits médicaux et de laboratoire répond à une exigence intrinsèque à Quipment que SAP et WYNSYS ont à cœur de soutenir. Notre solution permettra ainsi à Quipment de conforter sa position de leader sur son marché et de continuer à se développer à l’international, tout en modernisant ses processus. »

 

A propos de Quipment

Quipment est une entreprise française qui fournit et déploie du matériel médical dans le monde entier pour permettre à l’industrie pharmaceutique de valider des nouvelles thérapies en développement. Le matériel, déployé dans plus de 40 000 hôpitaux et plus de 110 pays, permet de suivre l’évolution de la santé de cohortes de patients sous traitement, et ainsi de valider et quantifier les bénéfices thérapeutiques des nouveaux traitements en cours de développement. Quipment permet de déployer des études cliniques de manière plus rapide, plus fiable, plus flexible et moins coûteuse, permettant ainsi à la recherche d’apporter plus rapidement et à moindre coût des nouveaux traitements aux patients. Avec 150 salariés et des centres logistiques aux Etats Unis, en Europe et au Japon, Quipment est le leader mondial de ce marché. Quipment est particulièrement sensible aux enjeux de responsabilité d’entreprise et agit avec une conscience très forte de ses impacts dans ses choix et sa gouvernance.

Pour plus d’informations, visitez : https://www.quipment.fr/

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