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Devenir ingénieur DevOps: Guide complet pour réussir

Vous souhaitez devenir ingénieur DevOps ? Découvrez notre guide complet pour vous aider à réussir dans ce domaine passionnant !

Dans le paysage en constante évolution de l’informatique et du développement logiciel, DevOps est devenu une méthodologie critique qui relie les équipes de développement et d’exploitation.

2. Gather the Necessary Skills:

DevOps engineers need to possess a wide range of technical skills to be successful. These include knowledge of scripting languages such as Python and Bash, proficiency in configuration management tools like Ansible and Chef, and expertise in containerization and virtualization technologies like Docker and Kubernetes. Additionally, DevOps engineers should have a good understanding of source control systems like Git, continuous integration tools such as Jenkins, and monitoring solutions like Nagios.

3. Acquire Hands-on Experience:

The best way to learn DevOps is to gain hands-on experience. Start by setting up a local environment and deploying a simple application. Then, move on to more complex tasks such as automating builds, deploying applications in containers, and configuring monitoring tools. You can also join online communities such as Stack Overflow to interact with experienced DevOps engineers and get answers to your questions.

Conclusion

DevOps is a rapidly evolving field that requires a strong understanding of the underlying principles and technical skills. To become a successful DevOps engineer, you need to understand the DevOps philosophy, acquire the necessary skills, and gain hands-on experience. With the right attitude and dedication, you can embark on an exciting journey and make a successful career in DevOps.

1. Comprendre la philosophie DevOps :

Avant de plonger dans les aspects techniques, il est important de comprendre les principes et la philosophie de base derrière DevOps. DevOps met l’accent sur la collaboration, la communication et l’intégration entre les équipes de développement et d’exploitation pour atteindre une livraison et une amélioration continues. Familiarisez-vous avec la culture DevOps, ses valeurs et l’importance de l’automatisation dans le cycle de développement logiciel.

2. Acquérir les compétences nécessaires :

Les ingénieurs DevOps doivent posséder une large gamme de compétences techniques pour réussir. Ceux-ci incluent la connaissance des langages de script tels que Python et Bash, la maîtrise des outils de gestion de configuration tels que Ansible et Chef et l’expertise des technologies de conteneurisation et de virtualisation telles que Docker et Kubernetes. De plus, les ingénieurs DevOps devraient avoir une bonne compréhension des systèmes de contrôle des sources comme Git, des outils d’intégration continue tels que Jenkins et des solutions de surveillance telles que Nagios.

3. Acquérir une expérience pratique :

La meilleure façon d’apprendre DevOps est d’acquérir une expérience pratique. Commencez par configurer un environnement local et déployer une application simple. Ensuite, passez à des tâches plus complexes telles que l’automatisation des builds, le déploiement d’applications dans des conteneurs et la configuration des outils de surveillance. Vous pouvez également rejoindre des communautés en ligne telles que Stack Overflow pour interagir avec des ingénieurs DevOps expérimentés et obtenir des réponses à vos questions.

Conclusion

DevOps est un domaine en constante évolution qui nécessite une bonne compréhension des principes sous-jacents et des compétences techniques. Pour devenir un ingénieur DevOps réussi, vous devez comprendre la philosophie DevOps, acquérir les compétences nécessaires et acquérir une expérience pratique. Avec la bonne attitude et la dévotion nécessaires, vous pouvez entreprendre un voyage passionnant et faire une carrière réussie dans DevOps.

Source de l’article sur DZONE

Agroalimentaire : Ocealia bascule vers l’offre RISE with SAP avec PASàPAS

Ocealia opte pour l’ERP SAP S/4HANA en mode cloud, déployé chez un hyperscaler avec l’appui des équipes de PASàPAS. Un projet mené à bien en huit mois, qui permet au groupe de disposer d’un outil innovant, sur le plan fonctionnel comme ergonomique.

 

Ocealia est un acteur du secteur de l’agroalimentaire présent dans le centre ouest de la France (Poitou-Charentes, Dordogne et Limousin). Particulièrement polyvalent, ce groupe coopératif rassemble 10.000 adhérents, avec un réseau de distribution couvrant 340 implantations.

Ses multiples filiales lui permettent de couvrir un vaste spectre d’activités : productions végétales et animales, viticulture, jardinerie, snacking, mais aussi de l’alimentation animale ainsi qu’une filiale dédiée au transport. Ocealia réalise un chiffre d’affaires annuel de 810 millions d’euros, pour 1533 collaborateurs.

En 2009, Ocealia met en place un ERP SAP, qui l’accompagne depuis dans sa croissance et ses opérations de fusion/acquisition. Cet ERP reste aujourd’hui une des pièces centrales du système d’information du groupe.

« De multiples facteurs nous ont poussés à réfléchir à la modernisation de notre ERP, explique Philippe Cote, DSI d’Ocealia. Nous avions la volonté d’intégrer de nouveaux processus dans l’ERP, comme la gestion de la trésorerie et des rapprochements bancaires. La fin de maintenance annoncée de l’ERP SAP ECC 6 a également motivé cette décision. Nous souhaitions aussi bénéficier d’autres avancées apportées par l’ERP SAP S/4HANA : interface utilisateur rénovée, meilleure automatisation des processus, analytique intégrée ou encore l’accès à de nouvelles technologies comme l’IoT ou l’IA. »

Enfin, Ocealia voulait profiter de ce projet de conversion pour basculer vers le cloud d’un hyperscaler. Son contrat d’hébergement arrivant à terme en mars 2022, le nouvel ERP devait être prêt à cette date.

 

Un choix mûrement réfléchi

Le projet démarre en septembre 2020, lors d’un passage du CODIR à l’Experience Business Center parisien de SAP. Une visite suivie de démonstrations permettant de découvrir les fonctionnalités clés de l’ERP SAP S/4HANA.

Convaincu, Ocealia se tourne vers PASàPAS pour prendre en charge ce projet de migration de SAP ECC vers l’ERP SAP S/4HANA. « PASàPAS assure la TMA de notre environnement SAP depuis de nombreuses années, rappelle Philippe Cote. Ses équipes nous ont également accompagnés en 2018 lors de la mise à niveau de notre environnement SAP ECC et du passage vers la base de données SAP HANA. »

De janvier à mai 2021, Ocealia et PASàPAS travaillent au cadrage et à la méthodologie du projet. « Cette phase nous a permis de définir nos besoins, de structurer et de sécuriser nos travaux. Nous avons choisi de migrer notre ERP à fonctionnalités équivalentes, tout en définissant une feuille de route permettant l’intégration ultérieure de nouvelles fonctionnalités. »

En mai 2021, une “conversion à blanc” avec les données de productions est mis en place, afin de s’assurer de la faisabilité de la migration, mais également de permettre la réalisation de premiers tests. Cette préparation minutieuse a participé à un déroulé fluide du projet pendant les huit mois suivants, avec un démarrage à la date prévue et sans difficulté majeure, le 14 février 2022.

« La conversion factory de PASàPAS est indéniablement un atout sur ce type de projet. Les processus sont bien rodés, avec un suivi hebdomadaire des tâches à réaliser qui permet de s’assurer de ne rien rater, tout en offrant l’opportunité de régler les problèmes au fil de l’eau. »

Agroalimentaire : Ocealia bascule vers l’offre RISE with SAP avec PASàPAS (French)

Une bascule vers un hyperscaler

Lors de la migration vers l’ERP SAP S/4HANA, Ocealia a fait le choix de passer d’un cloud privé hébergé vers une solution proposée par un hyperscaler. En l’occurrence Google, au travers de l’offre RISE with SAP S/4HANA.

« Nous étions déjà clients de Google sur son offre Workspace et souhaitions continuer à travailler avec cette entreprise, explique Philippe Cote. Aujourd’hui, nous avons d’un côté une offre RISE, hébergée sur les serveurs de Google et garantie par SAP, et d’autre part des serveurs complémentaires dédiés aux autres composants de notre SI SAP (BW, BO, Content Server…), hébergés eux aussi chez Google, mais opérés par PASàPAS.”

La conciergerie, un service de pilotage global mis en place par PASàPAS, permet de faciliter la gestion au quotidien de l’ensemble. « La partie technologique est entièrement prise en charge par PASàPAS, ce qui nous permet de nous concentrer sur les développements métiers. »

Via ce service, PASàPAS accompagne également ses clients de façon proactive dans la gestion des cycles de vie de leur solution ERP dans RISE en leur proposant également des services complémentaires contextualisés à leurs organisations.

 

Un ERP en cours de fiorisation

« C’est un projet réussi, résume le DSI d’Ocealia. Les équipes se sont bien entendues, malgré les périodes de stress et de tension… et la crise sanitaire, qui nous a obligés à travailler en distanciel. Les métiers ont parfaitement joué le jeu, avec beaucoup de temps passé sur les tests. »

La migration à fonctionnalités équivalentes a permis de limiter les perturbations pour les utilisateurs. Mais Ocealia entend bien profiter rapidement des avancées proposées par l’ERP SAP S/4HANA. Les travaux ont ainsi débuté sur la gestion de la trésorerie et des rapprochements bancaires. D’ici la fin de l’année, des tuiles Fiori seront également déployées sur des fonctionnalités plus classiques, afin de quitter progressivement le mode transactionnel pour adopter une approche plus moderne.

« Nous allons mettre en place un laboratoire interne regroupant des utilisateurs qui disposeront d’un environnement “fiorisé”. Ceci nous permettra ainsi d’avancer sur la modernisation de l’interface utilisateur de notre ERP, tout en formant des key users qui participeront à son adoption auprès des équipes métiers. »

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Source de l’article sur sap.com

Paris – le 27 novembre 2023 – À l’occasion de la COP28,  SAP SE dévoile les résultats de son Rapport annuel sur la durabilité, révélant que 87 % des dirigeants français maintiendront ou augmenteront leurs investissements dans les démarches durables d’ici à 2026, dans le but d’obtenir de meilleurs rendements économiques. Cependant, malgré ces ambitions, les entreprises françaises continuent de créer leurs propres obstacles à cette progression.

L’étude mondiale qui a interrogé plus de 4 700 dirigeants d’entreprise, dont 200 en France, est la troisième édition du Rapport annuel sur la durabilité de SAP. Il explore les motivations et les défis clés auxquels font face les organisations cherchant à réduire leur impact environnemental à grande échelle.

Le rapport révèle que 13 % des entreprises françaises déclarent que leurs initiatives environnementales ont déjà un impact positif sur leurs revenus et leurs opportunités de profit, tandis que seulement 12 % d’entre-elles ont désigné le Directeur Financier, pourtant essentiel à la stratégie d’investissement, comme responsable de ces efforts. Quatre entreprises sur dix (41 %) rencontrent des difficultés à mesurer le retour sur investissement, et près d’un tiers (32 %) citent une incapacité à inciter les partenaires et les fournisseurs à agir, rendant ainsi plus difficile la démonstration et la pérennisation des progrès à long terme.

 

La durabilité, en tant qu’opportunité financière, ne doit pas être perçue comme une charge

Autrefois perçues comme des obligations morales ou éthiques, les initiatives visant à protéger la planète sont désormais considérées par les entreprises françaises comme des opportunités financières à long terme. En effet, 34 % d’entre ellesaffirment que les opportunités de revenus et de profit sont le moteur majeur des investissements durables.

Dans un contexte d’inflation, de problèmes d’approvisionnement et de hausse des coûts de la vie, les dirigeants français maintiennent leurs engagements environnementaux, considérant les actions durables comme un moyen de compenser l’incertitude économique. À présent, plus de la moitié (53 %) de ces dirigeants anticipent un rendement financier positif sur leurs investissements en durabilité au cours des cinq prochaines années.

 

Des barrières internes à la prise de décision

Malgré le lien entre les actions environnementales et la hausse des profits à long terme, l’étude de SAP montre que les entreprises françaises n’impliquent que très peu les Directeurs Financiers dans leur feuille de route environnementale, ce qui freine les progrès.

Actuellement, seulement 7 % des entreprises confient la responsabilité de la direction stratégique des actions durables à leur Directeur Financier. Cette responsabilité revient plutôt à d’autres responsables, dont les Directeurs des risques (10 %), les Directeurs des Opérations (11 %), les PDG (24 %) et le Conseil d’Administration (22 %). L’étude suggère que cette approche ne fonctionne pas pour traduire la valeur économique des progrès en matière de développement durable dans l’ensemble de l’entreprise. Jusqu’à 36 % des entreprises françaises identifient les problèmes de financement comme l’une des cinq principales barrières aux actions durables, tandis que 15 % ne parviennent pas à obtenir le soutien des principaux décideurs pour prendre des mesures concertées. Une plus grande responsabilité du Directeur Financier pourrait remédier à cela.

 

La nécessité de mesurer avant d’agir

Seulement 43 % des entreprises sont en mesure de calculer leurs émissions de gaz à effet de serre liées à leur activité. Par ailleurs, 12 % d’entre-elles ne peuvent pas suivre les émissions produites indirectement dans la chaîne d’approvisionnement. Par conséquent, de nombreux dirigeants se tournent vers des estimations pour évaluer l’impact environnemental. Les dirigeants français peinent également à adopter un cadre de rapport normalisé, avec plus d’un tiers (34 %) n’ayant aucune méthodologie cohérente pour calculer l’impact environnemental de leur production.

Cette ambiguïté est exacerbée par l’utilisation de méthodes de mesure conflictuelles dans leurs rapports. Alors que les dirigeants privilégient la mesure directe pour suivre les émissions énergétiques (91 %), la disponibilité des ressources (78 %), les déchets solides (79 %) et l’utilisation de matériaux (78 %), ils s’appuient sur des conjectures et des estimations pour la pollution de l’eau (68 %), l’impact de la chaîne d’approvisionnement (65 %), la perte de la nature (81 %) et la pollution de l’air (89 %). Cette situation conduit à des difficultés signalées par plus de 90 % des entreprises pour recueillir et analyser des données pour la conformité réglementaire. Cela survient à un moment où les dirigeants français doivent déjà naviguer entre une série de réglementations, taxes et prélèvements liés à leur empreinte carbone.

“Dans un contexte où des réglementations plus strictes exigent désormais des entreprises qu’elles divulguent leur impact environnemental, les dirigeants qui ne peuvent pas rapporter avec précision ces données encourent non seulement des allégations de greenwashing, mais également des amendes et des dommages à leur réputation. Se concentrer sur la mise en œuvre d’un cadre de reporting standardisé est une priorité : pour que les entreprises justifient leurs compétences écologiques, obtiennent des mesures précises et mettent en place des actions qui conduiront directement à un impact bénéfique à long terme » conclut Stephen Jamieson, responsable mondial des solutions d’économie circulaire chez SAP.

 

A propos de SAP :

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 26 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Contacts presse :

Sylvie Léchevin : sylvie.lechevin@sap.com / sap@the-arcane.com

 

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Source de l’article sur sap.com

Chorégraphie de modèles : optimiser la communication en systèmes distribués.

La chorégraphie de modèles est un outil puissant pour optimiser la communication en systèmes distribués. Elle permet de coordonner et de gérer les interactions entre les différents acteurs.

Dans le paysage technologique en constante évolution d’aujourd’hui, il est commun que les applications migrent vers le cloud pour embrasser l’architecture des microservices.

Logiciel Chorégraphie

La chorégraphie est une méthodologie qui se concentre sur l’interaction entre les services sans l’utilisation d’un orchestrateur central. Au lieu de cela, chaque service est responsable de la communication avec les autres services. Les services peuvent communiquer directement entre eux ou via un bus de messages. La chorégraphie est une méthode très populaire pour gérer la communication entre les microservices car elle offre une plus grande flexibilité et une plus grande scalabilité que l’orchestration. Il est également plus facile à mettre en œuvre et à maintenir.

Avantages et inconvénients de la chorégraphie

Bien que la chorégraphie offre une plus grande flexibilité et une plus grande scalabilité, elle présente également certaines limitations. Par exemple, le développement et le déploiement des services peuvent être plus difficiles car ils doivent être conçus pour fonctionner ensemble. De plus, il est plus difficile de déboguer et de maintenir des applications basées sur la chorégraphie car il n’y a pas d’orchestrateur central pour surveiller le flux de messages entre les services. Enfin, la chorégraphie peut être plus difficile à mettre en œuvre dans des environnements distribués car elle nécessite une coordination stricte entre les services.

Conclusion

La chorégraphie est une méthodologie très populaire pour gérer la communication entre les microservices. Il offre une plus grande flexibilité et une plus grande scalabilité que l’orchestration, mais il présente également certaines limitations. Il est plus difficile à développer et à déployer, à déboguer et à maintenir, et peut être plus difficile à mettre en œuvre dans des environnements distribués. Cependant, dans certains cas, la chorégraphie peut être la meilleure solution pour gérer la communication entre les microservices. Il est important de comprendre les nuances et les avantages et les inconvénients de cette méthodologie avant de choisir le bon logiciel pour votre application.

Logiciel Chorégraphie

La chorégraphie est une méthodologie qui se concentre sur l’interaction entre les services sans l’utilisation d’un orchestrateur central. Au lieu de cela, chaque service est responsable de la communication avec les autres services. Les services peuvent communiquer directement entre eux ou via un bus de messages. La chorégraphie est une méthode très populaire pour gérer la communication entre les microservices car elle offre une plus grande flexibilité et une plus grande scalabilité que l’orchestration. Il est également plus facile à mettre en œuvre et à maintenir.

Avantages du logiciel Chorégraphie

La chorégraphie offre une variété d’avantages par rapport à l’orchestration. Tout d’abord, elle permet aux services de communiquer directement entre eux sans avoir à passer par un orchestrateur central. Cela signifie que chaque service peut fonctionner indépendamment des autres, ce qui permet une plus grande flexibilité et une plus grande scalabilité. De plus, la chorégraphie est plus facile à mettre en œuvre et à maintenir car il n’y a pas d’or

Source de l’article sur DZONE

Pour accompagner sa transformation en acteur d’envergure mondiale, Bridor avait besoin de se doter d’un ERP moderne et de refondre ses processus métiers. Un projet de grande envergure, ayant mené à l’adoption de SAP S/4HANA et de SAP IBP.

Groupe Le Duff est un acteur français, leader de la restauration et de la boulangerie-viennoiserie. Il est présent dans 100 pays, au travers de ses 1250 restaurants et boulangeries et ses 15 sites de production. Groupe Le Duff emploie 30 000 collaborateurs, pour un chiffre d’affaires annuel dépassant les 2 milliards d’euros.

« Depuis ses débuts en 1976, le chiffre d’affaires du Groupe Le Duff a doublé tous les 5 ans, explique Ronan Le Janne, Responsable des applications de gestion (SAP, BI, SIRH…). La principale filiale du groupe est Bridor, un industriel spécialisé dans les produits de boulangerie surgelés premium, qui compte pour 45% du chiffre d’affaires du groupe. Bridor devient rapidement un acteur d’envergure mondiale, pour lequel il est stratégique de disposer d’un système d’information moderne proposant des processus capables d’accompagner cette forte croissance, organique comme externe. »

Groupe Le Duff utilise des solutions SAP depuis 2002. L’ERP SAP ECC de Bridor, souffrait toutefois de son manque de modernité. « Bridor avait accumulé un certain retard, la dernière montée de version technique SAP datait de 2012. Il devenait primordial de traiter cette dette technique, qui pouvait poser problème, notamment lors de l’adaptation du SI aux règles fiscales des pays dans lesquels nous ouvrons des filiales ».

Un projet ambitieux

La direction a fait le choix de refondre le SI de Bridor, en migrant vers l’ERP SAP S/4HANA, tout en opérant la refonte de ses processus métiers. La société a donc dû assurer un double chantier : la conversion technique vers un nouvel ERP et l’audit de ses processus clés.

Elle décide pour cela de se faire accompagner par VISEO. « Nous avions déjà identifié VISEO comme candidat potentiel, car c’est un spécialiste à la fois du retail et de l’industrie, les deux activités du Groupe Le Duff, poursuit Ronan Le Janne. VISEO a également une bonne connaissance de SAP S/4HANA dans un contexte agroalimentaire. Ses équipes sont donc expérimentées et capables de nous conseiller avec pertinence. Autres points positifs, une méthodologie compréhensible et efficace, ainsi qu’une bonne adhérence avec la culture et les valeurs du Groupe Le Duff ».

L’ERP de Bridor couvre un périmètre étendu : finance, achats, ventes, production, stocks… « Nos usines fonctionnent en 24/7 et s’appuient toutes sur notre ERP SAP, qui est le cœur du réacteur de nos processus industriels et supply chain. Un système qui fonctionne donc lui aussi en 24/7 et qu’il est difficile d’arrêter. C’est pourquoi nous avons voulu faire entrer un maximum de transformation dans ce projet ».

 

Une migration hybride

À mi-chemin entre Brownfield et Greenfield, la migration hybride, dite Bluefield, permet d’opérer une migration technique vers SAP S/4HANA, sans devoir subir le poids du legacy, les données nécessaires étant réintégrées au terme des développements. « La migration hybride nous a permis de nous réapproprier notre système, de le simplifier, en redéfinissant précisément son périmètre et ses fonctionnalités », confirme Ronan Le Janne.

L’audit des processus clés et les ateliers de cadrage se sont traduits par plus d’une centaine d’évolutions métiers, dont :

  • la refonte des structures organisationnelles ;
  • la mise en œuvre de SAP COPA et du General Ledger ;
  • la mise en place du P&L Bridor et Groupe dans SAP ;
  • La mise en œuvre des processus de prévisions, planification et S&OP dans SAP IBP.

Lancé en avril 2021 par la phase de cadrage, le projet s’est poursuivi jusqu’en fin d’année 2022, pour une mise en route de SAP S/4HANA le premier janvier 2023.

« Compte tenu de la complexité du projet, cela s’est très bien passé. Une organisation stricte, une implication sans faille des métiers et une forte réactivité de la part de VISEO nous ont permis de tenir le planning que nous avions défini en 2020. Dès le 2 janvier 2023, de gros volumes d’opérations ont été enregistrés dans notre ERP SAP S/4HANA. Depuis, nous n’avons pas constaté de perte de productivité et le nombre de tickets d’incidents reste maîtrisé. C’est un démarrage bien maîtrisé et une belle réussite pour le Groupe Le Duff. »

Quelques travaux sur la partie finance ont été effectués sur le premier trimestre 2023 et un accompagnement au changement sera nécessaire pour acculturer les équipes à certaines nouvelles fonctionnalités et certains nouveaux processus. Mais le projet arrive à son terme, dans les délais et pour le budget prévu. « Un projet réussi, pour un rapport qualité / prix imbattable », conclut Ronan Le Janne. Prochaine étape, l’adoption de SAP S/4HANA Retail.

 

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Source de l’article sur sap.com

Introduction à la méthode Lean

Découvrez comment la méthode Lean peut vous aider à améliorer votre processus de production et à atteindre vos objectifs plus rapidement !

Histoire de la méthodologie Lean

To address these issues, Toyota developed a new approach called the Toyota Production System (TPS). This system focused on eliminating waste and improving quality. It was based on the principles of continuous improvement, respect for people, and customer focus. Over the years, the TPS has evolved into what is now known as the Lean methodology.

Principes du Lean

Le Lean est une méthodologie qui se concentre sur l’amélioration continue et la réduction des gaspillages. Il s’appuie sur cinq principes fondamentaux : le respect des personnes, la satisfaction du client, l’amélioration continue, la standardisation des processus et l’amélioration des flux. Ces principes sont appliqués à tous les aspects de l’entreprise, y compris la production, la gestion des stocks et la gestion des ressources humaines.

Le Lean est également très axé sur le codage. Les développeurs utilisent le codage pour créer des logiciels plus efficaces et plus rapides. Les principes du Lean sont appliqués au codage afin de réduire les gaspillages et d’améliorer la qualité du logiciel. Les développeurs peuvent également utiliser le codage pour automatiser certaines tâches et améliorer la productivité.

Le Lean est également très axé sur la collaboration. Les équipes travaillent ensemble pour trouver des solutions innovantes et améliorer les processus. Les membres de l’équipe peuvent partager leurs idées et leurs connaissances pour trouver des moyens d’améliorer la qualité et la productivité.

Avantages du Lean

Le Lean offre de nombreux avantages pour les entreprises. Tout d’abord, il permet de réduire les coûts en limitant les gaspillages et en améliorant l’efficacité des processus. En outre, le Lean permet aux entreprises de mieux répondre aux besoins des clients en améliorant la qualité des produits et en réduisant les temps de livraison.

Le Lean permet également aux entreprises d’accroître leur productivité en automatisant certaines tâches et en réduisant les temps de cycle. Enfin, le Lean favorise la collaboration entre les membres de l’équipe et permet aux entreprises d’être plus réactives face aux changements du marché.

En somme, le Lean est une méthodologie très efficace qui permet aux entreprises d’améliorer leur efficacité et leur productivité. Elle se concentre sur l’amélioration continue et la réduction des gaspillages grâce à l’utilisation du codage et à la collaboration entre les membres de l’équipe. En adoptant le Lean, les entreprises peuvent réduire leurs coûts, améliorer la qualité de leurs produits et augmenter leur productivité.

Source de l’article sur DZONE

Introduction à la méthodologie Kanban

Découvrez comment la méthodologie Kanban peut vous aider à améliorer votre productivité et à atteindre vos objectifs !

Kanban : Une méthodologie qui a vu le jour au Japon dans les années 1940 pour améliorer l’efficacité de la fabrication. Aujourd’hui, elle s’est transformée en une approche largement utilisée pour gérer le travail dans divers secteurs, allant du développement logiciel à la santé. Kanban est une méthode Lean pour gérer et améliorer le travail dans les systèmes humains. Cette méthode utilise un système visuel pour gérer le travail à mesure qu’il progresse à travers diverses étapes de développement. C’est un outil simple mais puissant qui aide les équipes à gérer le flux de travail et à réduire les déchets. Cet article fournira un aperçu de la méthodologie Kanban, de ses avantages et de sa mise en œuvre.

Kanban is a visual system that uses cards, boards, and columns to represent the different stages of a project. It is used to manage workflows and ensure that tasks are completed in an efficient and timely manner. The cards represent individual tasks, and the columns represent the different stages of the workflow. Each card is moved from one column to another as it progresses through the workflow.

Kanban is a lean methodology that focuses on reducing waste and improving efficiency. It encourages teams to focus on the flow of work, rather than individual tasks. This helps teams identify bottlenecks and areas of improvement in their workflow.

Les Avantages de Kanban

Kanban est une méthode efficace pour gérer et améliorer le travail à travers les systèmes humains. Il offre de nombreux avantages, notamment une meilleure visibilité et une meilleure communication entre les membres de l’équipe.

Kanban permet aux équipes de mieux comprendre leurs processus et de les améliorer. Il permet aux équipes de mieux identifier les goulots d’étranglement et les domaines à améliorer dans leur flux de travail. Cela permet aux équipes de se concentrer sur l’amélioration continue et d’atteindre leurs objectifs plus rapidement.

Kanban est également une méthode très flexible qui peut être facilement adaptée aux besoins changeants des équipes. Il peut être utilisé avec une variété de technologies, notamment des tableaux Kanban numériques et des bases de données. Les tableaux Kanban numériques permettent aux équipes de gérer leur travail à distance et d’accéder à des informations en temps réel sur leurs projets. Les bases de données peuvent être utilisées pour stocker des informations sur les tâches et les projets, ce qui permet aux équipes de mieux comprendre leurs processus et de les améliorer.

Comment Mettre en Œuvre Kanban

Mettre en œuvre Kanban est relativement simple et peut être fait en quelques étapes simples. La première étape consiste à définir le flux de travail et à créer des colonnes pour représenter les différentes étapes du projet. La deuxième étape consiste à créer des cartes pour représenter les tâches individuelles et à les placer dans la colonne appropriée. La troisième étape consiste à définir des règles pour le flux de travail, telles que la quantité maximale de tâches qui peuvent être effectuées à chaque étape et le temps maximum autorisé pour chaque tâche. La quatrième étape consiste à surveiller le flux de travail et à apporter des modifications si nécessaire.

Kanban est une méthode puissante qui peut aider les équipes à améliorer leur flux de travail et à réduire les déchets. Il peut être facilement mis en œuvre avec une variété de technologies, notamment des tableaux Kanban numériques et des bases de données. Les équipes peuvent utiliser ces outils pour mieux comprendre leurs processus et améliorer leur efficacité. Kanban est un outil simple mais puissant qui peut aider les équipes à atteindre leurs objectifs plus rapidement et plus efficacement.

Kanban est une méthode qui a vu le jour au Japon dans les années 1940 afin d’améliorer l’efficacité des processus de fabrication. Aujourd’hui, elle est largement utilisée dans divers secteurs, allant du développement logiciel à la santé. Il s’agit

Source de l’article sur DZONE

Après plusieurs décennies de croissance rapide, le Groupe Leonhart est confronté à une problématique d’homogénéité de son système informatique (SI) : les sites utilisent des outils différents et la consolidation des données est complexe. Leonhart décide en 2020 d’uniformiser et de moderniser son SI, pour renforcer la qualité de ses données, mais aussi tirer parti de la Business Intelligence et profiter des nouvelles technologies. Une aventure accompagnée par les équipes Nagarro, qui ont déployé une solution bâtie autour de SAP S/4HANA Cloud Public.

Leonhart, du sable à l’aménagement extérieur

Le Groupe Leonhart est un acteur majeur de l’extraction et de la valorisation de sable et de granulats. Il propose :

  • des granulats naturels ou recyclés ;
  • des pierres naturelles ;
  • du béton prêt à l’emploi ;
  • des produits en béton pour la préfabrication lourde et légère.

Le groupe couvre l’ensemble de la chaine de valeur, de l’extraction à la livraison, en passant par produit mais propose également des services de transport et de livraison.

 

L’indispensable homogénéisation du système informatique

Si le Groupe Leonhart peut s’enorgueillir d’une croissance rapide ces dernières décennies, son développement en partie lié à des opérations de croissance externe a abouti à un SI hétérogène. De nombreux outils spécifiques à chaque activité cohabitent, sans réelle interconnexion.

En 2020, Leonhart décide de déployer un nouveau SI, standardisé et structurant. Son objectif est de s’appuyer sur une plateforme unique :

  • pour couvrir l’ensemble de ses processus métiers du Groupe,
  • pour améliorer la qualité des données,
  • permettant un accès rapide aux données,
  • avec une sécurité optimale,
  • à un coup maîtrisé.

 

Le choix du cloud et d’une solution SaaS

Un appel d’offres est lancé fin 2020. Le Groupe Leonhart, qui a élaboré un cahier des charges précis et détaillé, souhaite mener une étude exhaustive des solutions disponibles sur le marché et des modes de déploiement proposés par les intégrateurs.

Rapidement, le cloud et une solution SaaS s’impose pour :

  • la maîtrise des coûts, et le ROI rapide,
  • la facilité à monter en version, pour accompagner les projets et ambitions du Groupe et donc l’évolution de ses besoins et garantir la pérennité de la solution.

Le Groupe Leonhart choisit de se faire accompagner par Nagarro, pour :

  • l’expertise de ses consultants,
  • le compromis idéal entre solidité et taille humaine,
  • sa santé financière,
  • sa capacité à proposer une solution globale, intégrant un nécessaire développement spécifique.

Le projet est lancé en février 2021.

 

3 modules pour une plateforme unique

Nagarro a déployé une plateforme unique, bâtie sur des éléments complémentaires : L’ERP SAP S/4HANA Cloud Public pour couvrir les besoins métiers, avec un périmètre fonctionnel très étendu: extraction, négoce, finance, contrôle de gestion, production, logistique ou encore relation client sont entièrement couverts par les standards SAP et sa méthodologie d’implémentation Fit-toStandard.

Leonhart va également passer à la Business Intelligence, grâce à l’analytique, à la fois puissante et simple d’utilisation, intégrée à SAP S/4HANA Cloud.

Avec l’analyse Fit-to-Standard, une série d’ateliers a été organisé pour valider les processus métier prédéfinis (et reposant sur les best practices) de SAP et identifier les exigences spécifiques.

L’interconnexion avec le reste du SI de l’entreprise via la SAP Business Transformation Platform (SAP BTP). Cette plateforme regroupe dans un même environnement unifié les données et l’analytique, l’Intelligence Artificielle, le développement d’applications, l’automatisation et l’intégration.

Un développement spécifique, reposant sur SAP BTP, pour couvrir un besoin très spécifique : la pesée des camions entrant et sortant des sablières. Pour développer cette fonctionnalité non couverte par la solution standard, Nagarro a misé sur l’innovation : la reconnaissance visuelle et l’Internet des Objets permettent d’automatiser les peser et de connecter le pont bascule à SAP.

 

Le mot du client : Vers de nouveaux projets avec SAP

Une première étape franchie avec le déploiement d’un ERP standard, fiable et évolutif, le Groupe Leonhart veut aller plus loin et entrer dans « l’industrie 4.0 ».

« L’ERP étant également un socle robuste pour l’innovation, nous avons un nouveau projet avec SAP et Nagarro, le développement d’une gravière connectée. C’est l’un des prochains défis que nous allons relever »

 

Nicolas Battesti, DAF du groupe Leonhart.

 

Le partenaire, Nagarro : Expertise, pragmatisme et transparence

Nagarro France fait partie de la Business Unit SAP du groupe international Nagarro. Entreprise de services du numérique spécialisée dans l’intégration de solutions logicielles dédiées aux PME et ETI, nous accompagnons nos clients dans leur transformation numérique. Notre ambition : aider nos clients à saisir les opportunités et innovations du numérique pour améliorer leur performance et leur agilité, à travers une relation de confiance bâtie sur le long terme. Nagarro France bénéfice de toute la force et de l’expertise du Groupe, présent dans 33 pays et regroupant plus de 18 000 collaborateurs.

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Source de l’article sur sap.com

Chasse au trésor Agile-DevOps : réaliser la transition DevOps

avec succès

La chasse au trésor Agile-DevOps est une méthodologie innovante qui permet aux organisations de réaliser la transition DevOps avec succès. Découvrez comment!

Les flux de valeur ont été un principe central de la pensée Lean depuis des décennies, à commencer par Toyota et le mouvement Lean Manufacturing, et sont désormais largement adoptés dans tous les secteurs. Malgré cela, de nombreuses entreprises doivent encore exploiter pleinement le potentiel des flux de valeur pour provoquer un changement organisationnel et atteindre une plus grande efficacité et efficience. Au lieu de cela, elles peuvent se concentrer uniquement sur des métriques telles que la vitesse d’équipe ou la vitesse du pipeline de production, en manquant le tableau plus large du système de bout en bout.

Dans le développement de produits modernes, la compréhension des flux de valeur est cruciale pour optimiser nos modes de travail et fournir de la valeur aux clients. En cartographiant le chemin vers la valeur, nous pouvons obtenir une visibilité sur nos processus et identifier les domaines d’amélioration, tels que les goulots d’étranglement du déploiement du code ou les incompatibilités entre les personnels et les rôles.

L’architecture des flux de valeur a été un principe central de la pensée Lean depuis des décennies, à partir de Toyota et du mouvement Lean Manufacturing, et est maintenant largement adoptée dans tous les secteurs. Malgré cela, de nombreuses entreprises doivent encore exploiter pleinement le potentiel des flux de valeur pour stimuler le changement organisationnel et atteindre une plus grande efficacité et efficience. Au lieu de cela, ils peuvent se concentrer uniquement sur des métriques telles que la vitesse d’équipe ou la vitesse du pipeline de production, en manquant le tableau d’ensemble du système de bout en bout.

Dans le développement de produits modernes, comprendre les flux de valeur est essentiel pour optimiser nos modes de travail et livrer de la valeur aux clients. En cartographiant le chemin vers la valeur, nous pouvons obtenir une visibilité sur nos processus et identifier les domaines d’amélioration, tels que les goulots d’étranglement du déploiement du code ou les incompatibilités entre le personnel et les rôles.

En outre, en comprenant les flux de valeur, nous pouvons mieux aligner les équipes et les processus sur l’objectif de livrer de la valeur à nos clients. Nous pouvons également identifier les points d’accélération et les points de friction dans le système et prendre des mesures pour améliorer la qualité et la rapidité des livraisons. Enfin, en surveillant les flux de valeur, nous pouvons mieux comprendre comment les changements apportés à l’architecture affectent la capacité de l’organisation à livrer de la valeur à ses clients.

Source de l’article sur DZONE

Qu'est-ce qui succèdera à l'Agilité ?

Les pratiques Agiles ont permis aux entreprises de s’adapter rapidement aux changements. Mais qu’est-ce qui succédera à l’Agilité ? Découvrons ensemble les nouvelles méthodes qui pourraient révolutionner le monde des affaires.

« Qu’est-ce qui Vient Après l’Agilité? »

Je pense que la plupart des équipes de développement se décrivent comme étant «agiles» et la plupart des équipes de développement ont des standups et des réunions appelées rétrospectives. Il y a également beaucoup de discussion sur «l’agilité», beaucoup écrit sur «l’agilité» et il y a de nombreuses présentations sur «l’agilité». Une question qui est souvent posée est: qu’est-ce qui vient après «l’agilité»? Beaucoup de testeurs travaillent dans des équipes «agiles», donc cette question nous concerne.

Avant de pouvoir considérer ce qui suit l’agilité, nous devons considérer ce qu’est l’agilité – une méthodologie de développement itérative et incrémentale. Les équipes agiles développent des logiciels par itérations et chaque itération fait un pas vers l’objectif de l’équipe. Une équipe agile peut décider, après une ou deux itérations, que l’objectif qu’elle poursuit doit être modifié et commencer à travailler sur un nouvel objectif. Travailler itérativement rend l’équipe agile car elle peut changer de direction rapidement et facilement. Il existe plusieurs méthodologies agiles et l’une des méthodologies les plus utilisées est le scrum.

Une base de données est un outil essentiel pour les équipes agiles car elle leur permet de stocker et d’accéder facilement aux informations dont elles ont besoin pour prendre des décisions rapides et efficaces. Les bases de données peuvent être utilisées pour stocker des informations sur les projets, les tâches, les membres de l’équipe et les progrès réalisés. Les bases de données peuvent également être utilisées pour suivre les performances des membres de l’équipe et leur rendement. Les bases de données peuvent également être utilisées pour stocker des informations sur les tests et leurs résultats afin que l’équipe puisse prendre des décisions basées sur des données objectives.

Les bases de données sont un outil puissant pour les équipes agiles car elles leur permettent d’accéder rapidement aux informations dont elles ont besoin pour prendre des décisions rapides et efficaces. Les bases de données peuvent être utilisées pour suivre le progrès des projets, les performances des membres de l’équipe et leurs résultats, ainsi que les résultats des tests. Les bases de données peuvent également être utilisées pour stocker des informations sur les tests et leurs résultats afin que l’équipe puisse prendre des décisions basées sur des données objectives.

Ainsi, les bases de données sont un outil essentiel pour les équipes agiles car elles leur permettent d’accéder rapidement aux informations dont elles ont besoin pour prendre des décisions rapides et efficaces. Les bases de données peuvent être utilisées pour suivre le progrès des projets, les performances des membres de l’équipe et leurs résultats, ainsi que les résultats des tests. Les bases de données peuvent également être utilisées pour stocker des informations sur les tests et leurs résultats afin que l’équipe puisse prend

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