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Utiliser FaceIO pour développer le module d'authentification d'utilisateur d'une application web basée sur l'IA.

Utiliser FaceIO pour développer le module d’authentification d’utilisateur d’une application web basée sur l’IA est une solution innovante et sécurisée. Découvrez comment cela fonctionne!

Comment développer le module de connexion d’utilisateur du projet d’application Web à l’aide de l’interface de service AI tiers

Dans le passé, le développement des systèmes d’informations web application a nécessité une fonction module d’authentification d’utilisateur indispensable. La fonction d’authentification d’utilisateur comprend l’enregistrement et l’authentification de connexion des utilisateurs. Dans les méthodes de développement passées, la manière courante de réaliser le module de fonction d’authentification d’utilisateur est d’utiliser l’e-mail et le SMS pour vérifier. Maintenant, de nombreux ordinateurs des utilisateurs sont équipés de caméras, qui peuvent pleinement utiliser la technologie d’intelligence artificielle de reconnaissance faciale pour réaliser l’authentification d’utilisateur. J’ai utilisé la bibliothèque JavaScript de FaceIO pour mettre en œuvre l’authentification d’utilisateur dans le projet web app.

Cet article présente principalement comment développer le module de connexion utilisateur du projet web application à travers l’interface de service AI tiers. Le code source du projet web application a été téléchargé sur GitHub et est basé sur le protocole MIT. Il n’y a pas de restrictions.

En tant qu’informaticien enthousiaste, j’ai trouvé que l’utilisation de la reconnaissance faciale pour l’authentification d’utilisateur était très pratique. En outre, j’ai également constaté que la base de données des services AI tiers était très riche et complète. Cela me permet de trouver facilement les informations dont j’ai besoin pour le développement du projet web application. De plus, ces services AI tiers fournissent également des API très pratiques pour intégrer leurs fonctions à mon projet. Grâce à ces API, je peux facilement intégrer la reconnaissance faciale à mon projet web application et réaliser l’authentification d’utilisateur.

Source de l’article sur DZONE

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

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« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

En savoir plus

 

Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

The post La logistique durable en mouvement Till Dengel, Richard Howells | 14 min de lecture appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

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The website is full of resources for all kinds of coders, including comprehensive tutorials, reviews, a knowledge center, training packs, and more. You can even choose from a range of languages like:

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Web Fundamentals

We’ve already looked at a website offering coding resources specifically for Java, now let’s take a look at one designed for HTML5. Launched about 11 years ago as HTML5 Rocks, the Web Fundamentals website is packed full of tutorials, resources, and insights into the most recent updates to HTML5. This open-source environment allows developers and programmers to really get active with their skills.

You can play around with some of the code already available on the website, and explore tutorials authored by a range of amazing individuals. Although these courses are very comprehensive, it’s worth noting that they might not be the perfect choice for true beginners, as the tutorials can be more complex than most.

Dash General Assembly

If you’re keen to learn the essentials of coding in some of the most popular languages, like CSS, JavaScript, and HTML, then Dash General Assembly is the site for you. This website offers fun and free courses which will guide you through the basics of web development. You even get interactive tasks and challenges you can leverage within your browser, with no downloads required.

Users learn how to do a range of amazing things with this website, including how to code HTML5, build a beautiful website, and balance your layouts for aesthetic appeal and usability. You can even design dynamic interfaces where you can add aminations and effects. Dash General Assembly is a fantastic tool for anyone keen to get started in the world of coding.

Codeasy.net

Finally, Codeasy.net promises beginners a fast and simple way to start learning how to code, while having plenty of fun. This exciting website immerses you within a digital story which takes you on an adventure through the basics of coding. You’ll need to learn real-life coding skills to navigate your way through the rest of the story, which means you can develop your C# knowledge as you go.

This is one of the more unique tools for learning how to code that we’ve found so far. It’s a great way to discover the basics of C# without being bogged down in boring lectures. Remember, though, this website is intended for complete beginners, so you might find it a little basic if you already know some of the coding essentials.

Free Websites for Learning to Code

Free coding websites are an excellent way to develop your skills and unlock new opportunities in the world of coding. If you’re keen to jump into a new career as a programmer or coding developer, make sure you check out some of the options above. There’s no doubt you’ll find a site capable of giving you the boost you need.

 

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On June 29th, GitHub announced Copilot, an AI-powered auto-complete for programmers, prompting a debate about the ethics of borrowed code.

GitHub is one of the biggest code repositories on the Internet. It hosts billions of lines of code, creating an unparalleled dataset with which to train a coding AI. And that is exactly what OpenAI, via GitHub, thanks to its owners Microsoft has done — training Copilot using public repositories.

The chances are you haven’t tried Copilot yet, because it’s still invite-only via a VSCode plugin. People who have, are reporting that it’s a stunning tool, with a few limitations; it transforms coders from writers to editors because when code is inserted for you, you still have to read it to make sure it’s what you intended.

Some developers have cried “foul” at what they see as over-reach by a corporation unafraid of copyright infringement when long-term profits are on offer. There have also been reports of Copilot spilling private data, such as API keys. If, however, as GitHub states, the tool has been trained on publicly available code, the real question is: which genius saved an API key to a public repository.

GitHub’s defense has been that it has only trained Copilot on public code and that training AI on public datasets is considered “fair use” in the industry because any other approach is prohibitively expensive. However, as reported by The Verge, there is a growing question of what constitutes “fair use”; the TLDR being that if an application is commercial, then any work product is potentially derivative.

If a judge rules that Copilot’s code is derivative, then any code created with the tool is, by definition, derivative. Thus, we could conceivably reach the point at which a humans.txt file is required to credit everyone who deserves kudos for a site or app. It seems far-fetched, but we’re talking about a world in which restaurants serve tepid coffee for fear of litigation.

There are plenty of idealists (a group to which I could easily be accused of belonging) that nurture a soft-spot for the open-source, community-driven web. And of course, it’s true to say that many who walk the halls (or at least log into the Slack) of Microsoft, OpenAI, and GitHub are of the same inclination, contributing generously to open-source projects, mentoring, blogging, and offering a leg-up to other coders.

When I first learnt to code HTML, step one, before <p>hello World!</p> was view > developer > view source. Most human developers have been actively encouraged to look at other people’s code to understand the best way to achieve something — after all, that’s how web standards emerged.

Some individuals are perhaps owed credit for their work. One example is Robert Penner, whose work on easing functions inspired a generation of Actionscript/JavaScript coders. Penner published his functions online for free, under the MIT license; he also wrote a book which taught me, among other things, that a while loop beats a for loop, a lesson I use every day — I’d like to think the royalties bought him a small Caribbean island (or at least a vacation on one).

There is an important distinction between posting code online and publishing code examples in a book, namely that the latter is expected to be protected. Where Copilot is on questionable ground is that the AI is not a searchable database of functions, it’s code derived from specific problems. On the surface, it appears that anything Copilot produces must be derivative.

I don’t have a public GitHub repository, so OpenAI learned nothing from me. But let’s say I did. Let’s say I had posted a JavaScript-powered animation from which Copilot garnered some of its understanding. Does Microsoft owe me a fraction of its profits? Do I in turn owe Penner a fraction of mine? Does Penner owe Adobe (who bought Macromedia)? Does Adobe owe Brendan Eich (the creator of JavaScript)? Does Eich owe James Gosling (creator of Java), if not for the syntax, then for the name? And while we’re at it, which OS was Gosling using back in the mid-90s to compile his code — I doubt it was named after a fruit.

If this seems farcical, it’s because it is. But it’s a real problem created by the fact that technology is moving faster than the law. Intellectual property rights defined before the advent of the home computer cannot possibly define an AI-driven future.

 

Featured image uses images via Max Chen and Michael Dziedzic.

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Ten years ago, people began talking about the “Independent Web.” Although we don’t commonly use the term anymore, that doesn’t mean that it’s not still as vital a topic of discussion today as it was a decade ago.

Today, I want to look at where the term came from, what it refers to today, and why it’s something that all of us in business, marketing, and web design should be thinking about.

What Is The Independent Web?

The Independent Web is a term that was coined back in 2010 by John Battelle.

In “Identity and The Independent Web,” Battelle broaches the subject of internet users losing control of their data, privacy, and decision-making to the likes of social media and search engines.

“When we’re ‘on’ Facebook, Google, or Twitter, we’re plugged into an infrastructure that locks onto us, serving us content and commerce in an automated but increasingly sophisticated fashion. Sure, we navigate around, in control of our experience, but the fact is, the choices provided to us as we navigate are increasingly driven by algorithms modeled on the service’s understanding of our identity.”

That’s the Dependent Web.

This is how Battelle explains the Independent Web:

“There is another part of the web, one where I can stroll a bit more at my own pace, and discover new territory, rather than have territory matched to a presumed identity. And that is the land of the Independent Web.”

In 2010, this referred to websites, search engines, and apps where users and their activity were not tracked. But a lot has changed since then, and many websites that were once safe to peruse without interference or manipulation are no longer.

What Happens When the Dependent Web Takes Over?

Nothing good.

I take that back. It’s not fair to make a blanket statement about Dependent Web platforms and sites. Users can certainly benefit from sharing some of their data with them.

Take Facebook, for instance. Since its creation, it’s enabled people to connect with long-lost friends, stay in touch with distant relatives, enable freelance professionals like ourselves to find like-minded communities, etc.

The same goes for websites and apps that track and use visitor data. Consumers are more than willing to share relevant data with companies so long as they benefit from the resulting personalized experiences.

But the Dependent Web also has a darker side. There are many ways that the Dependent Web costs consumers and businesses control over important things like:

Behavior

If you’ve seen The Social Dilemma, then you know that platforms like Facebook and Google profit from selling their users to advertisers.

That’s right. They’re not just selling user data. They’re selling users themselves. If the algorithms can change the way users behave, these platforms and their advertisers get to cash in big time.

Many websites and apps are also guilty of using manipulation to force users to behave how they want them to.

Personal Data

This one is well-known thanks to the GDPR in the EU and the CCPA in California. Despite these initiatives to protect user data and privacy, the exploitation of personal data on the web remains a huge public concern in recent years.

Content and Branding

This isn’t relevant to websites so much as it is to social media platforms and Google.

Dependent Web platforms ultimately dictate who sees your content and when. And while they’re more than happy to benefit from the traffic and engagement this content brings to their platforms, they’re just as happy to censor or pull down content as they please, just as Skillshare did in 2019 when it deleted half of its courses without telling its course creators.

What’s more, while social media and search engines have become the place to market our businesses, some of our branding gets lost when entering such oversaturated environments.

Income

When algorithms get updated, many businesses often feel the negative effects almost immediately.

For example, Facebook updated its algorithm in 2018 to prioritize “meaningful content.” This pushed out organic business content and pulled regular user content to the top of the heap.

This, in turn, forced businesses to have to pay-to-play if they wanted to use Facebook as a viable marketing platform.

Access

The Dependent Web doesn’t just impact individuals’ experiences. It can have far-reaching effects when one company provides a critical service to a large portion of the population.

We saw this happen in November when AWS went down.

It wasn’t just Amazon’s servers that went down, though. It took out apps and sites like:

  • 1Password
  • Adobe Spark
  • Capital Gazette
  • Coinbase
  • Glassdoor
  • Roku
  • The Washington Post

And there’s absolutely nothing that these businesses or their users could do but sit around and wait… because Amazon hosts a substantial portion of the web.

Innovation

When consumers and businesses become dependent on platforms that predominantly control the way we live and work, it’s difficult for us to stand up for the little guys trying to carve out innovative pathways.

And that’s exactly what we see happen time and time again with Big Tech’s buy-and-kill tactics.

As a result, we really lose the option to choose what we use to improve our lives and our businesses. And innovative thinkers lose the ability to bring much-needed changes to the world because Big Tech wants to own the vast majority of data and users.

How Can We Take Back Control From The Dependent Web?

Many things are happening right now that are trying to push consumers and businesses towards a more Independent Web:

Consumer Privacy Protection: GDPR and CCPA empower consumers to control where their data goes and what it’s used for.

Big Tech Regulations: The Senate held tech regulation hearings with Facebook’s and Twitters’s CEOs.

Public Awareness Initiatives: Films like The Social Dilemma bring greater awareness to what’s happening on social media.

Ad Blocker Adoption: Adblocker usage is at an all-time high.

Private Search Engine Usage: Although Google dominates search engine market share, people are starting to use private search engines like Duck Duck Go.

Private Browsing Growth: Over 60% of the global population is aware of what private browsing is (i.e., incognito mode), and roughly 35% use it when surfing the web.

Self-hosted and Open Source CMS Popularity: The IndieWeb community encourages people to move away from Dependent platforms and build their own websites and communities. This is something that Matt Mullenweg, the founder of WordPress, talked about back in 2012.

“The Internet needs a strong, independent platform for those of us who don’t want to be at the mercy of someone else’s domain. I like to think that if we didn’t create WordPress something else that looks a lot like it would exist. I think Open Source is kind of like our Bill of Rights. It’s our Constitution. If we’re not true to that, nothing else matters.”

As web designers, this is something that should really speak to you, especially if you’ve ever met a lead or client who didn’t understand why they needed a website when they could just advertise on Facebook or Instagram.

A Decentralized Web: Perhaps the most promising of all these initiatives are Solid and Inrupt, which were launched in 2018 by the creator of the Web, Tim Berners-Lee.

As Berners-Lee explained on the Inrupt blog in 2020:

”The Web was always meant to be a platform for creativity, collaboration, and free invention — but that’s not what we are seeing today. Today, business transformation is hampered by different parts of one’s life being managed by different silos, each of which looks after one vertical slice of life, but where the users and teams can’t get the insight from connecting that data. Meanwhile, that data is exploited by the silo in question, leading to increasing, very reasonable, public skepticism about how personal data is being misused. That in turn has led to increasingly complex data regulations.”

This is something we should all keep a close eye on. Consumers and businesses alike are becoming wary of the Dependent Web.

Who better than the creator of the web to lead us towards the Independent Web where we can protect our data and better control our experience?

 

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Le Big Data est le flot d’informations dans lequel nous nous trouvons tous les jours (des zettaoctets de données provenant de nos ordinateurs, des terminaux mobiles et des capteurs). Ces données sont utilisées par les entreprises pour orienter la prise de décisions, améliorer les processus et les stratégies, et créer des produits, des services et des expériences centrés sur le client.

Le Big Data désigne non seulement de gros volumes de données, mais aussi des données de nature variée et complexe. Il dépasse généralement la capacité des bases de données traditionnelles à capturer, gérer et traiter ce type de données. De plus, le Big Data peut provenir de n’importe où et de tout ce que nous sommes en mesure de surveiller numériquement. Les satellites, les appareils IoT (Internet des Objets), les radars et les tendances des réseaux sociaux ne sont que quelques exemples parmi la multitude de sources de données explorées et analysées pour rendre les entreprises plus résilientes et compétitives.


L’importance de l’analyse du Big Data

La véritable valeur du Big Data se mesure d’après votre capacité à l’analyser et à le comprendre. L’intelligence artificielle (IA), le machine learning et les technologies de base de données modernes permettent de visualiser et d’analyser le Big Data pour fournir des informations exploitables en temps réel. L’analyse du Big Data aide les entreprises à exploiter leurs données en vue de saisir de nouvelles opportunités et de créer de nouveaux modèles de gestion. Comme l’a si bien dit Geoffrey Moore, auteur et analyste de gestion, « sans analyse du Big Data, les entreprises sont aveugles et sourdes, errant sur le Web comme des cerfs sur une autoroute ».

How does Big Data and Analytics work? Simply Explained

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How does Big Data and Analytics work? Simply Explained


L’évolution du Big Data

Aussi inconcevable que cela puisse paraître aujourd’hui, l’Apollo Guidance Computer a emmené l’homme sur la lune avec moins de 80 kilo-octets de mémoire. Depuis, la technologie informatique s’est développée à un rythme exponentiel, de même que la génération de données. La capacité technologique mondiale à stocker des données a doublé tous les trois ans depuis les années 1980. Il y a un peu plus de 50 ans, lors du lancement d’Apollo 11, la quantité de données numériques générées dans le monde aurait pu tenir dans un ordinateur portable. Aujourd’hui, l’IDC estime ce chiffre à 44 zettaoctets (soit 44 000 milliards de gigaoctets) et prévoit qu’il atteindra 163 zettaoctets en 2025.

44 zettaoctets de données numériques aujourd’hui, IDC

163 zettaoctets de données numériques en 2025, IDC

Plus les logiciels et la technologie se développent, moins les systèmes non numériques sont viables. Le traitement des données générées et collectées numériquement requiert des systèmes de data management plus avancés. En outre, la croissance exponentielle des plates-formes de réseaux sociaux, des technologies pour smartphones et des appareils IoT connectés numériquement ont contribué à l’émergence du Big Data.


Types de Big Data : que sont les données structurées et non structurées ?

Les ensembles de données sont généralement catégorisés en trois types, selon leur structure et la complexité de leur indexation.

Illustration des différents types de big data : données structurées, données non-structurées, données semi-structurées.

  1. Données structurées : ce type de données est le plus simple à organiser et à rechercher. Il peut inclure des données financières, des machine logs et des détails démographiques. Une feuille de calcul Microsoft Excel, avec sa mise en forme de colonnes et de lignes prédéfinies, offre un moyen efficace de visualiser les données structurées. Ses composants peuvent facilement être catégorisés, ce qui permet aux concepteurs et administrateurs de bases de données de définir des algorithmes simples pour la recherche et l’analyse. Même lorsque les données structurées sont très volumineuses, elles ne sont pas nécessairement qualifiées de Big Data, car elles sont relativement simples à gérer et ne répondent donc pas aux critères qui définissent le Big Data. Traditionnellement, les bases de données utilisent un langage de programmation appelé SQL (Structured Query Language) pour gérer les données structurées. SQL a été développé par IBM dans les années 1970 pour permettre aux développeurs de créer et gérer des bases de données relationnelles (de type feuille de calcul) qui commençaient à émerger à l’époque.
  2. Données non structurées : cette catégorie de données peut inclure des publications sur les réseaux sociaux, des fichiers audio, des images et des commentaires client ouverts. Ces données ne peuvent pas être facilement capturées dans les bases de données relationnelles standard en lignes et colonnes. Auparavant, les entreprises qui voulaient rechercher, gérer ou analyser de grandes quantités de données non structurées devaient utiliser des processus manuels laborieux. La valeur potentielle liée à l’analyse et à la compréhension de ces données ne faisait aucun doute, mais le coût associé était souvent trop exorbitant pour en valoir la peine. Compte tenu du temps nécessaire, les résultats étaient souvent obsolètes avant même d’être générés. Contrairement aux feuilles de calcul ou aux bases de données relationnelles, les données non structurées sont généralement stockées dans des lacs de données, des entrepôts de données et des bases de données NoSQL.
  3. Données semi-structurées : comme leur nom l’indique, les données semi-structurées intègrent à la fois des données structurées et non structurées. Les e-mails en sont un bon exemple, car ils incluent des données non structurées dans le corps du message, ainsi que d’autres propriétés organisationnelles telles que l’expéditeur, le destinataire, l’objet et la date. Les dispositifs qui utilisent le marquage géographique, les horodatages ou les balises sémantiques peuvent également fournir des données structurées avec un contenu non structuré. Une image de smartphone non identifiée, par exemple, peut indiquer qu’il s’agit d’un selfie et préciser l’heure et l’endroit où il a été pris. Une base de données moderne exécutant une technologie d’IA peut non seulement identifier instantanément différents types de données, mais aussi générer des algorithmes en temps réel pour gérer et analyser efficacement les ensembles de données disparates.

Les sources du Big Data

Les objets générateurs de données se développent à un rythme spectaculaire, depuis les drones jusqu’aux grille-pains. Toutefois, à des fins de catégorisation, les sources de données sont généralement divisées en trois types :

Illustration des différentes sources du big data : données sociales, données machine, données altérables.

Données sociales

Comme leur nom l’indique, les données sociales sont générées par les réseaux sociaux : commentaires, publications, images et, de plus en plus, vidéos. En outre, compte tenu de l’ubiquité croissante des réseaux 4G et 5G, on estime que le nombre de personnes dans le monde qui regardent régulièrement des contenus vidéo sur leur smartphone atteindra 2,72 milliards en 2023. Bien que les tendances concernant les réseaux sociaux et leur utilisation évoluent rapidement et de manière imprévisible, leur progression en tant que générateurs de données numériques est incontestable.

Données machine

Les machines et appareils IoT sont équipés de capteurs et ont la capacité d’envoyer et de recevoir des données numériques. Les capteurs IoT aident les entreprises à collecter et traiter les données machine provenant des appareils, des véhicules et des équipements. Globalement, le nombre d’objets générateurs de données augmente rapidement, des capteurs météorologiques et de trafic jusqu’à la surveillance de la sécurité. Selon l’IDC, il y aura plus de 40 milliards d’appareils IoT en 2025, générant près de la moitié des données numériques mondiales.

Données altérables

Il s’agit des données parmi les plus évolutives au monde. Par exemple, un détaillant international traite plus d’un million de transactions client par heure. Si l’on ajoute à cela les transactions d’achat et bancaires au niveau mondial, on comprend mieux le volume phénoménal de données générées. En outre, les données altérables contiennent de plus en plus de données semi-structurées, y compris des images et des commentaires, ce qui les rend d’autant plus complexes à gérer et à traiter.


Les cinq V du Big Data

Ce n’est pas parce qu’un ensemble de données est volumineux qu’il s’agit nécessairement de Big Data. Pour être qualifiées en tant que telles, les données doivent posséder au minimum les cinq caractéristiques suivantes :

Illustration des 5 V du Big Data : Volume, Vitesse, Variété, Véracité, Valeur.

  1. Volume : même si le volume n’est pas le seul composant qui constitue le Big Data, il s’agit d’une de ses caractéristiques principales. Pour gérer et exploiter pleinement le Big Data, des algorithmes avancés et des analyses pilotées par l’IA sont nécessaires. Mais avant tout cela, il doit exister un moyen fiable et sécurisé de stocker, d’organiser et d’extraire les téraoctets de données détenus par les grandes entreprises.
  2. Vitesse : auparavant, les données générées devaient ensuite être saisies dans un système de base de données traditionnel (souvent manuellement) avant de pouvoir être analysées ou extraites. Aujourd’hui, grâce à la technologie du Big Data, les bases de données sont capables de traiter, d’analyser et de configurer les données lorsqu’elles sont générées, parfois en l’espace de quelques millisecondes. Pour les entreprises, cela signifie que les données en temps réel peuvent être exploitées pour saisir des opportunités financières, répondre aux besoins des clients, prévenir la fraude et exécuter toute autre activité pour laquelle la rapidité est un facteur clé.
  3. Variété : les ensembles de données contenant uniquement des données structurées ne relèvent pas nécessairement du Big Data, quel que soit leur volume. Le Big Data comprend généralement des combinaisons de données structurées, non structurées et semi-structurées. Les solutions de gestion des données et les bases de données traditionnelles n’offrent pas la flexibilité et le périmètre nécessaires pour gérer les ensembles de données complexes et disparates qui constituent le Big Data.
  4. Véracité : bien que les bases de données modernes permettent aux entreprises d’accumuler et d’identifier des volumes considérables de Big Data de différents types, elles ne sont utiles que si elles sont précises, pertinentes et opportunes. S’agissant des bases de données traditionnelles alimentées uniquement avec des données structurées, le manque de précision des données était souvent dû à des erreurs syntaxiques et des fautes de frappe. Les données non structurées présentent toute une série de nouvelles difficultés en matière de véracité. Les préjugés humains, le « bruit social » et les problèmes liés à la provenance des données peuvent avoir un impact sur la qualité des données.
  5. Valeur : les résultats de l’analyse du Big Data sont souvent fascinants et inattendus. Mais pour les entreprises, l’analyse du Big Data doit fournir une visibilité qui les aident à gagner en compétitivité et en résilience, et à mieux servir leurs clients. Les technologies modernes du Big Data offrent la possibilité de collecter et d’extraire des données susceptibles de procurer un avantage mesurable à la fois en termes de résultats et de résilience opérationnelle.

Avantages du Big Data

Les solutions modernes de gestion du Big Data permettent aux entreprises de transformer leurs données brutes en informations pertinentes avec une rapidité et une précision sans précédent.

  • Développement de produits et de services :l’analyse du Big Data permet aux développeurs de produits d’analyser les données non structurées, telles que les témoignages clients et les tendances culturelles, et de réagir rapidement.
  • Maintenance prédictive : dans le cadre d’uneenquête internationale, McKinsey a constaté que l’analyse du Big Data émanant des machines IoT pouvait réduire les coûts de maintenance des équipements jusqu’à 40 %.
  • Expérience client :dans le cadre d’une enquête réalisée en 2020 auprès de responsables d’entreprises du monde entier, Gartner a déterminé que « les entreprises en croissance collectent plus activement des données sur l’expérience client que les entreprises à croissance nulle ». L’analyse du Big Data permet aux entreprises d’améliorer et de personnaliser l’expérience de leurs clients avec leur marque.
  • Gestion de la résilience et des risques :la pandémie de COVID-19 a été une véritable prise de conscience pour de nombreux dirigeants d’entreprise qui se sont rendu compte à quel point leur activité était vulnérable. La visibilité offerte par le Big Data peut aider les entreprises à anticiper les risques et à se préparer aux imprévus.
  • Économies et efficacité accrue : lorsque les entreprises effectuent une analyse avancée du Big Data pour tous les processus de l’organisation, elles peuvent non seulement détecter les inefficacités, mais aussi déployer des solutions rapides et efficaces.
  • Amélioration de la compétitivité : les informations obtenues grâce au Big Data peuvent aider les entreprises à réaliser des économies, à satisfaire leurs clients, à concevoir de meilleurs produits et à innover dans les opérations de gestion.

IA et Big Data

La gestion du Big Data repose sur des systèmes capables de traiter et d’analyser efficacement de gros volumes d’informations disparates et complexes. À cet égard, le Big Data et l’IA ont une relation de réciprocité. Sans l’IA pour l’organiser et l’analyser, le Big Data n’aurait pas grande utilité. Et pour que l’IA puisse générer des analyses suffisamment fiables pour être exploitables, le Big Data doit contenir des ensembles de données suffisamment étendus. Comme l’indique Brandon Purcell, analyste chez Forrester Research, « les données sont au cœur de l’intelligence artificielle. Un système d’IA doit apprendre des données pour remplir sa fonction ».

« Les données sont au cœur de l’intelligence artificielle. Un système d’IA doit apprendre des données pour remplir sa fonction ».

Brandon Purcell, analyste, Forrester Research


Machine learning et Big Data

Les algorithmes de machine learning définissent les données entrantes et identifient des modèles associés. Ces informations permettent de prendre des décisions avisées et d’automatiser les processus. Le machine learning se nourrit du Big Data, car plus les ensembles de données analysés sont fiables, plus le système est susceptible d’apprendre, de faire évoluer et d’adapter ses processus en continu.


Technologies du Big Data

Architecture du Big Data

À l’instar de l’architecture du bâtiment, l’architecture du Big Data fournit un modèle pour la structure de base déterminant la manière dont les entreprises gèrent et analysent leurs données. L’architecture du Big Data mappe les processus requis pour gérer le Big Data à travers quatre « couches » de base, des sources de données au stockage des données, puis à l’analyse du Big Data, et enfin via la couche de consommation dans laquelle les résultats analysés sont présentés en tant que Business Intelligence.

‍Analyse du Big Data

Ce processus permet de visualiser les données de manière pertinente grâce à l’utilisation de la modélisation des données et d’algorithmes spécifiques aux caractéristiques du Big Data. Dans le cadre d’une étude approfondie et d’une enquête de la MIT Sloan School of Management, plus de 2 000 dirigeants d’entreprise ont été interrogés sur leur expérience en matière d’analyse du Big Data. Comme on pouvait s’y attendre, ceux qui s’étaient impliqués dans le développement de stratégies de gestion du Big Data ont obtenu les résultats les plus significatifs.

Big Data et Apache Hadoop

Imaginez une grande boîte contenant 10 pièces de 10 centimes et 100 pièces de 5 centimes. Puis imaginez 10 boîtes plus petites, côte à côte, contenant chacune 10 pièces de 5 centimes et une seule pièce de 10 centimes. Dans quel scénario sera-t-il plus facile de repérer les pièces de 10 centimes ? Hadoop fonctionne sur ce principe. Il s’agit d’une structure en open source permettant de gérer le traitement du Big Data distribué sur un réseau constitué de nombreux ordinateurs connectés. Ainsi, au lieu d’utiliser un gros ordinateur pour stocker et traiter toutes les données, Hadoop regroupe plusieurs ordinateurs sur un réseau pouvant évoluer presque à l’infini et analyse les données en parallèle. Ce processus utilise généralement un modèle de programmation appelé MapReduce, qui coordonne le traitement du Big Data en regroupant les ordinateurs distribués.

Lacs de données, entrepôts de données et NoSQL

Les bases de données traditionnelles de type feuille de calcul SQL servent à stocker les données structurées. Le Big Data non structuré et semi-structuré nécessite des modèles de stockage et de traitement uniques, car il ne peut pas être indexé et catégorisé. Les lacs de données, les entrepôts de données et les bases de données NoSQL sont des référentiels de données capables de gérer les ensembles de données non traditionnels. Un lac de données est un vaste pool de données brutes qui n’ont pas encore été traitées. Un entrepôt de données est un référentiel de données qui ont déjà été traitées à des fins spécifiques. Les bases de données NoSQL fournissent un schéma flexible qui peut être modifié en fonction de la nature des données à traiter. Ces systèmes présentent chacun des avantages et des inconvénients, c’est pourquoi de nombreuses entreprises utilisent plutôt une combinaison de ces référentiels de données pour répondre au mieux à leurs besoins.

Bases de données in-memory

Les bases de données traditionnelles sur disque ont été conçues pour SQL et les bases de données relationnelles. Bien qu’elles soient capables de traiter de gros volumes de données structurées, elles ne sont pas adaptées au stockage et au traitement des données non structurées. Dans le cas des bases de données in-memory, le traitement et l’analyse se font entièrement dans la RAM, pour ne pas avoir à extraire les données d’un système sur disque. Les bases de données in-memory reposent également sur des architectures distribuées. Cela signifie qu’elles peuvent atteindre des vitesses beaucoup plus élevées en utilisant le traitement parallèle, par rapport aux modèles de base de données sur disque à un seul nœud.


Fonctionnement du Big Data

Le Big Data remplit ses fonctions lorsque son analyse fournit des informations pertinentes et exploitables qui améliorent l’activité de manière significative. Pour se préparer à la transition vers le Big Data, les entreprises doivent s’assurer que leurs systèmes et processus sont en mesure de collecter, de stocker et d’analyser le Big Data.

Illustration du fonctionnement du Big Data : collecter le Big Data, stocker le Big Data, Analyser le Big Data

  1. Collecter le Big Data.Une grande partie du Big Data est constituée d’énormes ensembles de données non structurées qui émanent de sources disparates et incohérentes. Les bases de données traditionnelles sur disque et les mécanismes d’intégration des données ne sont pas suffisamment performants pour les gérer. La gestion du Big Data requiert des solutions de base de données in-memory et des solutions logicielles spécifiques de l’acquisition de ce type de données.
  2. Stocker le Big Data.Comme son nom l’indique, le Big Data est volumineux. De nombreuses entreprises utilisent des solutions de stockage sur site pour leurs données existantes et espèrent réaliser des économies en réutilisant ces référentiels pour traiter le Big Data. Toutefois, le Big Data est plus performant lorsqu’il n’est pas soumis à des contraintes de taille et de mémoire. Les entreprises qui n’intègrent pas dès le départ des solutions de stockage Cloud dans leurs modèles de Big Data le regrettent souvent quelques mois plus tard.
  3. Analyser le Big Data. Il est impossible d’exploiter pleinement le potentiel du Big Data sans utiliser les technologies d’IA et de machine learning pour l’analyser. L’un des cinq V du Big Data est la « vitesse ». Pour être utiles et exploitables, les informations du Big Data doivent être générées rapidement. Les processus d’analyse doivent s’auto-optimiser et tirer régulièrement profit de l’expérience, un objectif qui ne peut être atteint qu’avec l’IA et les technologies modernes de bases de données.

Applications du Big Data

La visibilité offerte par le Big Data est bénéfique à la plupart des entreprises ou secteurs d’activité. Cependant, ce sont les grandes entreprises aux missions opérationnelles complexes qui en tirent souvent le meilleur parti.

Finance

Dans le Journal of Big Data, une étude de 2020 souligne que le Big Data « joue un rôle important dans l’évolution du secteur des services financiers, en particulier dans le commerce et les investissements, la réforme fiscale, la détection et les enquêtes en matière de fraude, l’analyse des risques et l’automatisation ». Le Big Data a également contribué à transformer le secteur financier en analysant les données et les commentaires des clients pour obtenir les informations nécessaires à l’amélioration de la satisfaction et de l’expérience client. Les ensembles de données altérables figurent parmi les plus importants et les plus évolutifs au monde. L’adoption croissante de solutions avancées de gestion du Big Data permettra aux banques et aux établissements financiers de protéger ces données et de les utiliser d’une manière qui bénéficie à la fois au client et à l’entreprise.

Hygiène et santé
publique

L’analyse du Big Data permet aux professionnels de santé d’établir des diagnostics plus précis, fondés sur des données avérées. De plus, le Big Data aide les administrateurs d’hôpitaux à identifier les tendances, à gérer les risques et à limiter les dépenses inutiles, afin de consacrer le maximum de fonds aux soins des patients et à la recherche. En cette période de pandémie, les chercheurs du monde entier s’efforcent de traiter et de gérer au mieux la COVID-19, et le Big Data joue un rôle fondamental dans ce processus. Un article de juillet 2020 paru dans The Scientist explique comment des équipes médicales ont pu collaborer et analyser le Big Data afin de lutter contre le coronavirus : « Nous pourrions transformer la science clinique en exploitant les outils et les ressources du Big Data et de la science des données d’une manière que nous pensions impossible ».

Transport et logistique

L’« effet Amazon » est un terme qui définit la manière dont Amazon a fait de la livraison en un jour la nouvelle norme, les clients exigeant désormais la même vitesse d’expédition pour tout ce qu’ils commandent en ligne. Le magazine Entrepreneur souligne qu’en raison de l’effet Amazon, « la course logistique au dernier kilomètre ne fera que s’intensifier ». Les entreprises du secteur s’appuient de plus en plus sur l’analyse du Big Data pour optimiser la planification des itinéraires, la consolidation des charges et les mesures d’efficacité énergétique.

Éducation

Depuis l’apparition de la pandémie, les établissements d’enseignement du monde entier ont dû réinventer leurs programmes d’études et leurs méthodes d’enseignement afin de faciliter l’apprentissage à distance. L’un des principaux défis a été de trouver des moyens fiables d’analyser et d’évaluer la performance des étudiants et l’efficacité globale des méthodes d’enseignement en ligne. Un article paru en 2020 au sujet de l’impact du Big Data sur la formation et l’apprentissage en ligne indique, au sujet des enseignants, que « le Big Data les aide à gagner en confiance pour personnaliser l’enseignement, développer l’apprentissage mixte, transformer les systèmes d’évaluation et promouvoir l’apprentissage continu ».

Énergie et services publics

Selon le U.S. Bureau of Labor Statistics, le service public consacre plus de 1,4 milliard de dollars aux relevés de compteurs et s’appuie généralement sur des compteurs analogiques et des lectures manuelles peu fréquentes. Les relevés de compteurs intelligents fournissent des données numériques plusieurs fois par jour et, grâce à l’analyse du Big Data, ces informations permettent d’accroître l’efficacité de la consommation énergétique, ainsi que la précision des prix et des prévisions. En outre, lorsque les agents n’ont plus à se charger des relevés de compteurs, la saisie et l’analyse des données peuvent permettre de les réaffecter plus rapidement là où les réparations et les mises à niveau sont les plus urgentes.

Publié en anglais sur insights.sap.com

The post Qu’est-ce que le Big Data ? appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Our Self-presentation skills far supersede our verbal communication
We speak more through our bodies than our words. The posture we assume, the expression on our face, hand gestures, and our eye movement conveys far more than we would like to expose.
A subtle smile in a meeting can indicate a willingness to engage in a dialogue, while a stern look can instantly kill the conversation. Constantly checking the phone or looking at the watch can signal disengagement, while focusing on the other person signals interest.
Rolling our eyes expresses distrust or disgust in another person’s idea or behavior, while our eyes light up when we are genuinely curious about others. Keeping head down while walking in the hallway shows a lack of presence while acknowledging people passing by through a simple nod creates warmth. A firm handshake to begin an interview can exude confidence and power, while a limp handshake can reveal nervousness and weakness.
These non-verbal cues form a part of our body language that speaks even when we are silent, revealing how we are thinking and feeling in the moment.
Olivia Fox Cabane who has lectured at Stanford, Yale, Harvard, MIT, and the United Nations says:

In the scope of human evolution, language is a relatively recent invention. But we’ve been interacting well before this through nonverbal modes of communication. As a result, nonverbal communication is hardwired into our brains, much deeper than the more recent language-processing abilities. This is why nonverbal communication has a far greater impact.

She then points out ‘Without our realizing it, our bodies send out thousands of signals every minute. Just like our breath and heartbeat, these signals are part of the millions of bodily functions controlled not by our conscious mind but by our subconscious mind.’
Understanding the power of our body language and the role it plays in workplace communication and collaboration can bring us together by adopting positive communication styles as opposed to setting us apart through bridges of misunderstanding.

Importance of Body Language in Communication

Our body language plays a key role in impression management, the art of influencing how we are perceived by others.
A positive body language can show our enthusiasm to contribute, confidence in our abilities, being comfortable in taking on challenges, passion to drive results, and present to recognize future demands. It can open a world of new possibilities.
A negative body language can send strong signals of our resistance to contribute, doubt of our abilities, uneasiness to take on challenges, indifferent and uncaring attitude towards outcomes, and disconnected from reality to be able to handle future potential. It can close doors to success and growth.
Maya Angelou said, ‘People may not remember what you said, but they will remember how you made them feel.’
Since our emotions drive a large part of our decision-making, guess who will get the attention when a new project or a position opens up — a person who exhibited confidence in their body language or someone who looked like a nervous wreck?
Intelligence and brilliance are not enough to be successful at work. Our self-presentation skills far supersede our verbal communication.

The way you carry yourself is a source of personal power — the kind of power that is the key to presence. It’s the key that allows you to unlock yourself—your abilities, your creativity, your courage, and even your generosity. It doesn’t give you skills or talents you don’t have; it helps you to share the ones you do have. It doesn’t make you smarter or better informed; it makes you more resilient and open. It doesn’t change who you are; it allows you to be who you are. — Amy Cuddy

What happens when what we say is not in alignment with what we believe? We can lie through our words, but our bodies will reveal the truth. The non-verbal cues that we send through our body speak stronger than words.
Consider this. Someone approaches you with advice on a new strategy. Instead of expressing your true opinion, you simply nod in agreement. But, the tension around your eyes, the tone of your voice, and many other non-verbal cues can make the other person uncomfortable and leave them feeling unsure of your advice with the decision to never trust you again.
The idea is not to be inauthentic through your body language but to be aware of its implications. 
Research shows that we form impressions about others within a few minutes of meeting them and then our confirmation bias guides us in picking data that confirms our point of view. Anything that strengthens our belief system is readily accepted and that which contradicts it is rejected.
Being aware of the role our body language plays in forming this impression can help us twist the outcome of an interview in our favor.
For someone in a leadership position, body language is extremely important since people in an organization mimic not only the way leaders talk but also pick on their non-verbal cues.
A leader with positive body language appears approachable, open to feedback and shows a willingness to change while a leader with negative body language appears inaccessible, closed to feedback, and arrogant to adapt and change with the future demands.
Amy Cuddy asks, ‘Our non-verbals govern how others think and feel about us, but do our non-verbals govern how we think and feel about ourselves?’
Absolutely. Mastering the art of non-verbal communication not only leads to better communication with others, but it benefits us too. Presenting our best self forward by adopting positive body language enables us to be the creator of our future as opposed to being a victim of other’s perceptions. It leads to more opportunities for growth with higher chances of success.

4 Body Language Mistakes and How to Fix Them

1. Mind Is Not Attuned to The Body

When our mind is not in congruence with our body, we may try to portray a state which is in conflict with our inner self by controlling our posture and expression on our face, but sooner or later this incongruence will show up in our body language.
A positive body language cannot keep up with the negative mental state — what goes up in our mind will show up in our body. Without our realization, these ‘microexpressions’ will be noticeable to the people around us.

Our body language expresses our mental state whether we like it or not. Our facial expressions, voice posture, and all the other components of body language reflect our mental and emotional condition every second. Because we don’t control this flow consciously, whatever is in our head will show up in our body language — Olivia Fox Cabane

How to Align Our Mind and Body:

Research shows that our mind cannot distinguish imagination from reality. So, whatever our mind believes, our body will project.
We can bring out the desired body language by catching ourselves in those moments of negative mental states — disagreement, insecurity, angst, frustration, anxiety, criticism, and self-doubt, and choosing to get into a positive one.

  1. When you need to project confidence, seek inspiration.
  2. When you feel angst due to a disagreement, ask yourself ‘What can I learn from the other person?’ and ‘How are my biases causing me to be closed-minded?’
  3. When all you can see is negativity, choose to ask ‘What’s the one positive thing I can think about this situation.’
  4. When self-doubt consumes you, tell yourself ‘I need to let go of my fears to create a better version of myself.’
  5. When you exaggerate a negative outcome, ask yourself ‘What’s the worst that can happen?’ and ‘Is it really that bad or am I making up stories?’
Adopting a positive frame of reference and moving from a problem to a solution mindset can help us shift gears from a negative internal state to a positive one.

2. We Do Not Make a Commitment to Be Present

‘Being present—paying attention to what’s going on rather than being caught up in your thoughts — can yield immense rewards. When you exhibit presence, those around you feel listened to, respected, and valued,’ explains Olivia Fox Cabane.
When we are not engaged in a conversation, consumed in our own thoughts, and pretend to listen, it clearly shows up in the non-verbal signals we send to the other person.
We may start fidgeting with our phone or laptop showing signs of distraction, look here and there instead of making eye contact signaling we are not interested in what they have to say and may even shift too many times in our position out of discomfort.
Without our awareness, our body language will convey disrespect and distrust to the other person.
How to Be Present:

You must commit to a conversation, even the brief ones, or walk away. If you’re too distracted, admit that to both yourself and the other person. Be present or be gone. — Celeste Headlee 

It’s more polite to walk away from a conversation that doesn’t interest you than pretend to be present.
Once you decide to participate, you first need to convince and tell yourself that you want to be present. Say ‘I choose to be present,’ and then adopt body language that aligns with it — look at the other person with enthusiasm, lean just a little to build interest, and try to grasp what the other person intends to say.
You may occasionally drift away, but by choosing to be mentally present, you can bring your mind back to the conversation. Active listening though difficult is the most effective form of non-verbal communication that requires continuous practice and training of the mind.

3. We Ignore Context

When we talk to someone, their perception of us is based on the context of the meeting, their expectations, and their own personal and cultural filters.
Without recognizing that people operate within a certain context, we may send non-verbal signals that conflict with their values, contradicts their mental state, or even violates their sense of self.
How to Apply Context:
When engaged in a difficult conversation, without empathizing with how the other person might be feeling in the moment, we may appear cold, unemotional, and downright rude. By adopting kindness and warmth in our body language, we can convey the right message without necessarily making them feel bad.
When someone is passed up for a promotion, showing an attitude of indifference without understanding the value it holds in their life can make them resent you. Body language that shows presence and concern by giving them an opportunity to express their feelings can build better relationships.
When a co-worker is grieving a personal loss, you may appear too intrusive in your body language when all they need is space to let the feelings subside. It could be a personal preference or a cultural nuance, but without understanding their context you may actually do more harm than good.
When dealing with difficult people, your body language may switch to a fight-or-flight response. But, if you take a moment to analyze the situation without being at the effect of a fundamental attribution error, you may understand the rationale behind their behavior.
Every situation is unique. We need to project the right body language for each person by taking their context and personal filters into account.

4. We Tell a Conflicting Story

We may believe that we are highly approachable, but others may find us unapproachable. We may also think that we are open-minded, while others may find us biased. We may assume that we provide a psychologically safe environment to our people, but our employees may be terrified to make mistakes.
Now, it’s easy to say that ‘it’s just them, not me. I have already communicated to them multiple times.’ But really, is that the true story? Your intention may be far from the reality of your situation.    

Just after we observe what others do and just before we feel some emotion about it, we tell ourselves a story. We add meaning to the action we observed. We make a guess at the motive driving the behavior. Why were they doing that? We also add judgment — is that good or bad? And then, based on these thoughts or stories, our body responds with an emotion. — Kerry Patterson

When our body language doesn’t match our words, people pick up on our non-verbal signals — the sign of contempt on our face when someone makes a mistake, pacing back and forth when conveying bad news, showing nervousness by fidgeting when asking for feedback, rolling eyes when we disagree, making hand gestures that signal blame and so on.
So, while you may communicate one thing with your words, your body may speak the opposite. And when people get confusing signals, they tend to go with what they observed and not what they heard.
How to Tell the Right Story:
Bring your body language in sync with the message you wish to convey. People find it easy to trust a person when their body language reflects their words.
When asking for feedback, look the person in the eye and don’t be distracted. When someone makes a mistake, show curiosity in your face to enable them to learn from their mistakes. When telling people to feel comfortable to approach you, make open arm-hand gestures. When communicating bad news, be intense but show confidence in your ability to make things right by looking at people with passion and hope.
People spend a lot of time perfecting their speech without verifying what their speech is conveying through their body. When it comes to making the right impression, don’t just speak through your words, make your body language count too.

Summary

Master the art of non-verbal communication in the workplace by:

  1. Tuning to a positive state of mind: Be self-aware of your negative mental states and choose to get into a positive one.
  2. Committing to being present: Practice active listening and engage fully in the conversation instead of being simply present.
  3. Taking context into account: Connect with the other person by taking their values, mental state, and sense of self into account.
  4. Telling the right story: Bring your body in sync with the message you wish to convey.
Previously published here.

Source de l’article sur DZONE

I often see freelancers on social media asking what the secret is to working fewer hours, making more money, and helping new clients to find them. While those things tend to happen the longer you’ve been freelancing, it doesn’t happen without some effort.

If you’re wondering how you can change things so that your business becomes more profitable and easier to manage, education is the key.

But it’s not just mastering new design techniques that will take you to the next level. It’s important to invest your time in a well-rounded education so that you can grow not just as a web designer, but also as a freelancer and business owner.

The good news is that you don’t have to spend a ton of cash on courses or resources. In the following round-up, I’m going to share some of the best free courses to help you level up.

5 Best Free Courses and Resources for Web Designers

Rather than sign up for Udemy, Skillshare and other premium course membership sites, I recommend taking a bootstrapping approach to self-education. I mean, the whole point in learning new skills and strengthening existing ones is so you can run a better business and make more money, right?

Once you have extra funds to throw at premium courses, definitely explore those options. For now, let’s focus on the free courses and resources that’ll help get you to that next level:

1. edX

edX was created by Harvard and MIT in order to provide university-level training and education to anyone, anywhere. While you can’t get certified without paying a few hundred dollars, you can go through entire courses for free.

Courses are offered over a wide range of categories. As a freelance web designer, you’d do well to focus on the following areas:

Design
Learn more than just how to design beautiful interfaces. Learn about the technical side of it, too — things like AI, IoT, and cybersecurity.

Computer Science
Learn web development and coding.

Business & Management
Learn essential business skills like:

  • Project management
  • Finance management
  • Leadership
  • Marketing and analysis

Communication
Learn things like branding, negotiation, reputation management, and critical thinking.

2. Envato Tuts+

Envato Tuts+ might be best known for its succinct step-by-step design and development tutorials. However, it has a new section of free video courses to take advantage of.

Although you won’t learn any soft skills here, this is a great resource if you want to master the tools of your trade.

Free courses give you a deeper look at tools like:

  • HTML, CSS, and JavaScript
  • Adobe’s suite of software
  • Sketch
  • WordPress
  • Video conferencing tools

3. YouTube

YouTube is more than just a place to watch entertaining videos. There are some amazing YouTube channels for web designers at all skill levels.

When choosing a design channel and course to follow, look for ones that are well organized. If they’re just posting videos at random without any rhyme or reason, it’ll be difficult to focus on and master one skill set before moving onto the next.

Here are the channels I recommend you follow:

Flux

Learn skills related to:

  • Web design
  • Getting started as a freelancer
  • Strengthening your processes
  • Building your portfolio
  • Design theory and strategy

CharliMarieTV

Learn skills related to:

  • Web design
  • Building sites with Figma or Webflow
  • Career paths for designers
  • Productivity hacks

NNgroup

Learn skills related to UX:

  • Web design
  • User psychology
  • Usability testing
  • Design thinking
  • Research and data analysis
  • Journey mapping
  • Get access to UX Conference seminars, too

4. Moz Whiteboard Fridays

Even if you don’t offer SEO as a standalone service, it’s important for web designers to understand the role they play in SEO and to stay abreast of the latest and greatest strategies.

If you haven’t tuned in for one of Moz’s Whiteboard Fridays yet, I’d recommend you start now.

Some of the topics might not be relevant to you (like creating a content strategy). However, there are others you’ll get some great tips from, like the one above that talks about creating great visuals, preparing web pages with tags and schema markup, and optimizing for featured snippets.

5. Nir Eyal – Indistractible

Nir Eyal has made a name for himself over the years as an author and presenter on the subject of human psychology and behavior. His first book (Hooked) examined consumer behavior and how to design around it. His second (Indistractible) turned the focus on us — the doers and creators who build experiences and products for consumers.

The first of his free resources to explore is this 30-minute presentation on why we’re so easily distracted and how to keep those distractions (and ourselves) from getting in the way.

The second free resource to snag up is the 80-page workbook available on the homepage. Here’s a preview of what it looks like:

You’ll learn about common distractions, identify those that are specific to you, and then work through exercises to defeat them.

If this is something you’re struggling with, these resources will empower you to make a much-needed change.

BONUS: WebDesigner Depot

Although WebDesigner Depot doesn’t offer video courses, I consider each of the articles contained within this site to be mini-courses of their own. And you’ll learn everything you’ve ever wanted to know about becoming a web designer and growing your freelance business.

 

Featured image via Unsplash.

Source


Source de l’article sur Webdesignerdepot

The common theme in this month’s collection of new tools and resources is “things that help you show off your work.” Many of these tools are made to help you better web products or apps or showcase designs with others.

Here’s what new for designers this month.

Naturaltts

Naturaltts is an online text to speech converter, that allows you to download an mp3 recording. The tool has more than 60 voices to choose from in six languages. There’s a free plan for personal use (based on characters converted) and affordable paid plans for higher volumes and commercial users. One application of this tool is voiceover for videos or tutorials.

Handz

Handz is a library of hands with different gestures in three-dimensional shapes. The collection includes 12 gestures with nine skin colors, and three different sleeve types. Put all that together and you have 320 potential combinations that you can use for projects. The library is completely free and works in a variety of formats with different tools.

Isoflow

Isoflow allows you to create isometric diagrams for presentations and illustrations with ease. You can edit and then export diagrams for print or website use, thanks to vector rendering.

Device Shots

Device Shots is a small web app that helps you generate a high-resolution device mockup using a screenshot of your website or mobile application. It supports almost every device type you can think of and resizes for social media platforms.

Barchartrace

Barchartrace is a simple MIT open source bar chart generator. Use it to create some of the animated charts you see on social media. Just insert your information (upload via CSV file), choose animation settings, and go.

Zettlr Markdown Editor

Zettlr is a free and open source markdown editor for Mac OS. Zettlr supports simple notations, references, includes a dark mode, and tagging. It’s made for note takers who need a tool to amp up their projects, and is used primarily in higher education.

CSS Leaning Card Effect

The CSS Leaning Card Effect replicates the bookshelf feel you get when rectangles lean with a shadow against planes. Lynn Fisher does it in the pen with code that you can see and work on with your own images.

Lemon.io

Lemon.io is a tool that matches you with freelance developers to get projects moving more quickly. You are guaranteed a match in 24 hours and there is no risk if the match doesn’t work out. Just tell Lemon.io what you need and the algorithm will match you with a dev from the database. Prices for development through the platform start at $35 per hour.

Papercups

Papercups is a customer messaging tool that lets you chat in real-time. The customizable widget works with your favorite tools, such as Slack and Gmail, and is free to use. Chat apps are one of the most in-demand website features right now.

CSS Click to Animate Gif

Christian Heilmann has created a great guide/experiment in pure CSS that adds a play button on top of animated GIFs so that users can control the motion. He developed the concept because GIFs can get overwhelming and annoying. Learn how he did it and see it in action.

3D Book Image Generator

Here’s another little bit of CSS magic with a 3D Book Image Generator. Just input your image and set some specifications and get a 3D book cover image that you can use in projects. (There’s also an accompanying tutorial if you want to learn how to generate the CSS on your own.)

Luckysheet

Luckysheet is an online spreadsheet – it’s a lot like Microsoft Excel – with powerful data functions and tools. It’s user-friendly and open source. It even has quite a few built-in mathematical formulas and supports various table types.

RevKit

RevKit is a design system UI kit that works with Sketch, Figma, and Adobe XD. It includes plenty of organized components that you can pop right into designs to help get them started faster. It also includes a style guide, elements, and form controls. The download is free.

Card

Card allows you to store social media profiles, websites, and files in a customized profile. Share it in one click. Replace awkward contact exchange and multiple usernames with a simple QR code or link.

Scale Nucleus

Scale Nucleus helps visualize data, curate interesting slices within your dataset, review and manage annotations, and measure and debug model performance. This tool claims to be “the right way” to develop ML models.

Previewed

Previewed is a mockup generator to create beautiful promotional graphics for your app. Browse a variety of templates, pick one, customize, and download your design to show off.

NSFW Filter

NSFW Filter is a browser extension that blocks images that aren’t safe for work. The best part is that it runs locally in-browser and doesn’t access any of your data. Plus, it saves you from on-the-job embarrassment.

ColorFlick for Dribbble

ColorFlick for Dribbble is another browser extension that makes it easy to copy hex codes from the tool to your clipboard with ease. You can also create palettes you can share from your favorite shots using Coolors.

Tabler Icons

Tabler Icons is a collection of more than 550 SVG icons that you can customize. Change the color, size, or stroke width with on-screen controls and then click to copy the icons you want to use. It’s that simple!

Teenyicons

Teenyicons might be some of the cutest icons out there. This collection includes minimal 1px icons in outline or solid fills. And there are plenty of icons to choose from. Adjust the size and grab the ones that you need for projects.

Basicons

Basicons is a set of simple icons for product design and development. Plus, they are updated weekly.

Chozy Mermaid

Chozy Mermaid is a super funky novelty typeface to close out summer. The characters feature beach themes within slab characters. It might be hard to find an application for this one, but it is too fun not to share.

Dotuku

Dotuku is a dingbats font with a back to school theme. The limited character set features filled and outline styles that are perfect for classrooms.

Margin

Margin is a fun retro style typeface with a 1970s vibe. It’s a “chubby serif” with 60 characters and 58 glyphs.

Rollanda

Rollanda is a signature-style script with a thicker weight and rough stroke. The character set is pretty robust.

Source


Source de l’article sur Webdesignerdepot