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4 Règles pour Diriger des Équipes Dev en Période Économique Difficile

Diriger une équipe de développement en période économique difficile peut être un défi. Voici 4 règles pour vous aider à y parvenir !

Une perspective peu reluisante pour de nombreuses entreprises technologiques en 2023

## Une perspective peu reluisante pour de nombreuses entreprises technologiques en 2023

Michael Stahkne explained that communication should be frequent and transparent. He believes that “it’s important to be honest and open about the challenges the company is facing and the decisions that need to be made.” This helps to create a sense of trust and understanding between the leadership and the team.

Carolyn Vo agreed, adding that “it’s important to be clear about the decisions you’re making and why you’re making them.” She also suggested that leaders should “take the time to explain the context of the decisions, so that everyone understands why they are being made.”

2. Utiliser des bases de données pour prendre des décisions éclairées

Les dirigeants doivent prendre des décisions en temps de crise et il est important qu’ils disposent des informations nécessaires pour prendre des décisions éclairées. Lewis Tuff a expliqué que les bases de données sont un outil précieux pour les leaders car elles leur permettent d’accéder à des informations précises et à jour.

Il a expliqué que les bases de données peuvent être utilisées pour collecter des données sur les performances des employés et les tendances du marché, ce qui peut aider les dirigeants à prendre des décisions plus éclairées. Il a également souligné que les bases de données peuvent être utilisées pour surveiller les performances des produits et des services, ce qui peut aider les dirigeants à prendre des décisions plus judicieuses.

3. Faire preuve de flexibilité et d’adaptabilité

Les dirigeants doivent être flexibles et adaptables en temps de crise. Carolyn Vo a expliqué que les dirigeants doivent être prêts à modifier leurs plans en fonction des circonstances changeantes. Elle a souligné que les dirigeants doivent être prêts à s’adapter aux changements et à prendre des mesures rapides pour s’assurer que l’entreprise reste compétitive.

Michael Stahkne a également souligné l’importance de la flexibilité et de l’adaptabilité en temps de crise. Il a expliqué que les dirigeants doivent être prêts à prendre des risques calculés et à s’adapter aux changements du marché et à l’environnement concurrentiel. Il a également souligné l’importance d’utiliser des bases de données pour prendre des décisions éclairées et de se concentrer sur la recherche de nouvelles opportunités pour l’entreprise.

Source de l’article sur DZONE

Ne Pas Utiliser de Credentiels dans une CI/CD Pipeline

Les pipelines CI/CD sont des outils puissants, mais il est important de ne pas utiliser de credentiels sensibles pour éviter les risques de sécurité.

Comment Donner un Accès Sécurisé à des Services Tiers Sans Utiliser de Clés Secrètes

OpenID Connect (OIDC) is a protocol that allows users to authenticate themselves with an external identity provider, such as Auth0 or Okta. It works by exchanging an access token between the identity provider and the application. This token is cryptographically signed and contains a set of claims about the user, such as their name, email, and other attributes. The application can then use this token to authenticate the user and grant them access to resources.

En tant qu’utilisateur qui construit et maintient des infrastructures cloud, j’ai toujours été méfiant du point de vue de la sécurité lorsque je donne un accès à des services tiers, tels que les plateformes CI/CD. Tous les fournisseurs de services prétendent prendre des précautions strictes et mettre en œuvre des processus infaillibles, mais les vulnérabilités sont toujours exploitées et les erreurs arrivent. Par conséquent, ma préférence est d’utiliser des outils qui peuvent être hébergés en interne. Cependant, je ne peux pas toujours avoir le choix si l’organisation est déjà engagée auprès d’un partenaire externe, tel que Bitbucket Pipelines ou GitHub Actions. Dans ce cas, pour appliquer un IaC Terraform ou déployer un groupe d’échelle automatique, il n’y a pas d’autre choix que de fournir à l’outil externe une clé secrète API, n’est-ce pas ? Faux ! Avec la prolifération de OpenID Connect, il est possible de donner aux plates-formes tierces un accès basé sur des jetons qui n’exige pas de clés secrètes.

Le problème avec une clé secrète est qu’il y a toujours une chance qu’elle soit divulguée. Le risque augmente plus elle est partagée, ce qui se produit lorsque des employés quittent et que de nouveaux arrivent. L’un d’entre eux peut le divulguer intentionnellement ou ils peuvent être victimes d’une hameçonnage ou d’une violation. Lorsqu’une clé secrète est stockée dans un système externe, cela introduit un tout nouvel ensemble de vecteurs de fuite potentiels. Atténuer le risque implique de changer périodiquement les informations d’identification, ce qui est une tâche qui n’ajoute pas de valeur perceptible.

OpenID Connect (OIDC) est un protocole qui permet aux utilisateurs de s’authentifier auprès d’un fournisseur d’identité externe, tel qu’Auth0 ou Okta. Il fonctionne en échangeant un jeton d’accès entre le fournisseur d’identité et l’application. Ce jeton est signé de manière cryptographique et contient un ensemble de revendications sur l’utilisateur, telles que son nom, son adresse électronique et d’autres attributs. L’application peut ensuite utiliser ce jeton pour authentifier l’utilisateur et lui donner accès aux ressources.

Les jetons OIDC sont une alternative intéressante aux clés secrètes pour donner aux plates-formes tierces un accès limité aux ressources cloud. Les jetons sont générés par le fournisseur d’identité et peuvent être limités à une durée de vie spécifique et à un ensemble de revendications spécifiques. De plus, ils peuvent être révoqués à tout moment par le fournisseur d’identité si nécessaire. Les jetons OIDC sont donc une solution plus sûre et plus flexible pour donner aux plates-formes tierces un accè

Source de l’article sur DZONE

Analyse des sentiments : Quoi, Pourquoi et Comment ?

L’analyse des sentiments est un domaine important pour comprendre les opinions et les émotions des gens. Découvrons ensemble ce qu’elle est, pourquoi elle est importante et comment elle peut être appliquée.

## Qu’est-ce que l’analyse des sentiments ?

Sentiment analysis is the process of understanding the emotions and opinions of people regarding a particular topic. It is a type of natural language processing (NLP) that helps to identify and extract opinions from text. The goal of sentiment analysis is to determine the attitude of a speaker or writer with respect to some topic or the overall contextual polarity of a document.

En tant qu’enthousiaste informaticien, je suis très intéressé par le sentiment analysis. C’est un type de traitement du langage naturel (NLP) qui aide à identifier et à extraire les opinions d’un texte. L’objectif du sentiment analysis est de déterminer l’attitude d’un locuteur ou d’un écrivain par rapport à un sujet donné ou à la polarité globale d’un document.

Avec l’augmentation des utilisateurs sur les médias sociaux, le sentiment analysis est devenu une partie importante de la stratégie marketing des entreprises. Les entreprises peuvent utiliser le sentiment analysis pour comprendre les sentiments des utilisateurs sur leurs produits et services. En analysant les données des médias sociaux, les entreprises peuvent obtenir des informations précieuses sur leurs clients et leurs produits.

Le sentiment analysis est un outil puissant qui peut être utilisé pour tester la réputation et la perception des produits et services d’une entreprise. Les entreprises peuvent également utiliser le sentiment analysis pour surveiller la satisfaction des clients et prendre des mesures pour améliorer leurs produits et services. De plus, le sentiment analysis peut être utilisé pour analyser les tendances et les préférences des consommateurs. Les entreprises peuvent utiliser ces informations pour adapter leurs produits et services aux besoins des consommateurs.

Source de l’article sur DZONE

SAP France obtient la note de 77/100 à l’Index de l’égalité femmes-hommes au titre de l’année 2022. Cet Index a été calculé sur la base de 5 indicateurs :

  • Les écarts de rémunération : 37/40 points
  • La répartition des augmentations : 10/20 points
  • La répartition des promotions : 15/15 points
  • Le pourcentage de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité : 15/15 points
  • La mixité des dix plus hauts salaires : 0/10 points

La parité et la mixité étaient une priorité pour SAP France bien avant la mise en place de l’Index égalité professionnelle. En effet, SAP France renouvelle et adapte ses Accords Egalité Professionnelle depuis de nombreuses années. SAP France est en effet engagé dans une politique à long terme dans ces domaines avec notamment la mise en place de plans d’action égalité femme/homme et des analyses de rémunération régulières. Nos Accords n’abordent pas uniquement la question des salaires mais également des formations, du recrutement, du développement, etc. Autant d’éléments impactant l’égalité professionnelle, éléments que l’index, tel qu’il est construit aujourd’hui, ne permet pas de mesurer. SAP France entend poursuivre ses efforts et ses engagements dans le domaine de l’égalité professionnelle. Les négociations relatives au renouvellement de l’Accord Egalité Professionnelle débuteront prochainement.

Depuis 2022, l’Index de l’égalité salariale Femmes-Hommes prévoie également la mise en place d’objectifs de progression pour tous les indicateurs n’ayant pas obtenus la note maximale en cas de résultat inférieur à 85 sur 100. Dans cette perspective et  au-delà des mesures susmentionnées, des objectifs de progression ont été fixés :

  • Les dispositions prévues, à date, pour progresser sur l’aspect des écarts de rémunération femmes-hommes :
    • Des niveaux de salaires équivalents à l’embauche pour un même niveau de responsabilités, de formation, d’expérience et de compétences professionnelles.
    • Sensibilisation des managers quant à l’importance de l’équité de traitement dans leurs prises de décisions relatives à la revue de salaire annuelle, l’attribution de primes exceptionnelles dites « spot awards », attribution de RSU, etc.
    • Nomination de référents de l’égalité professionnelle pouvant être sollicités si un salarié estimait être discriminé en terme de rémunération.
    • Maintien du paiement de la part variable à 100% pendant la période de congés maternité.
    • Maintien du salaire sur la base du TTC en cas d’incapacité temporaire du travail au-delà de 90 jours consécutifs d’arrêt.

Les autres dispositions permettant de réduire les écarts de rémunération figurent au paragraphe suivant (dispositions prévues pour progresser sur les écarts de répartition des augmentations individuelles). Ces dispositions s’appliquent pour ces 2 indicateurs.

 

L’objectif est de progressivement arriver à se rapprocher, voir atteindre la note maximale sur ce premier indicateur, à l’aide des dispositions susmentionnées et sous-mentionnées.

 

  • Les dispositions prévues, à date, pour progresser sur les écarts de répartition des augmentations individuelles :
    • Garantir l’équité de traitement lors des révisions salariales annuelles : analyse de la moyenne d’augmentation, analyse du % de femmes et d’hommes augmentés.
    • Analyse annuelle via la méthode statistique dite de régression multiple. Tous les salariés avec des écarts supérieurs à 2% se voient leur salaire réajusté avec un budget dédié à l’égalité professionnelle. Les salariés exclus de l’analyse statistique, du fait d’un échantillonnage trop faible, font partis d’une analyse dite non statistique et reçoivent les ajustements de salaire nécessaires, le cas échéant.
    • Analyse du nombre d’augmentés dans l’année N au cours du T4 de l’année N (augmentés lors de la revue de salaire et lors des demandes d’augmentations hors cycle dites « off-cycles »).
    • Toute augmentation intervenue dans le cadre de réajustement de salaire ne saurait avoir des répercussions sur les décisions prises pendant la revue de salaire annuelle.
    • Sensibilisation des managers sur ces sujets, notamment lors des sessions d’information dédiées à la revue de salaire mais également dans les divers supports et communications dédiés.

 

L’objectif est d’atteindre la note maximale sur l’indicateur 2 lors du prochain calcul en appliquant l’ensemble de ces mesures. SAP France ayant précédemment obtenu la note maximale depuis la mise en place de l’Index.

 

  • SAP France obtient la note maximale sur les écarts de répartition des promotions. Vous retrouverez, ci-dessous, un certain nombre de mesures mises en place, à date, pour garantir l’équité de traitement quant à l’aspect évolution de carrière. A noter , par ailleurs, que seules les promotions (changement de T-level) comptent pour cet indicateur mais que chez SAP France, il peut également y avoir des progressions (changement de grade). Ces dernières ne sont pas prises en compte dans le calcul de l’indicateur du fait de la méthodologie établie pour le calcul de l’Index :
    • Analyse du % de femmes et d’hommes promus ou progressés lors des révisions salariales annuelles .
    • Analyse du nombre de promus dans l’année N au cours du T4 de l’année N (promus lors de la revue de salaire et lors des demandes de promotions hors cycle dites « off-cycles »).
    • Les changements de grades (dites « progressions » en interne) dans un même niveau (T-Level) ne sont pas pris en compte dans le calcul de l’Index mais ils sont néanmoins indissociables des promotions puisque les progressions dans les niveaux de carrière sont un préalable à la promotion au niveau supérieur. Dans cette perspective, notre Accord prévoit la garantie de l’équité de traitement lors des révisions salariales annuelles via une analyse de tous les salariés qui sont sur un grade 1 depuis 3 ans ou plus.
    • Garantir l’égalité d’accès à la formation, élément déterminant pour l’évolution professionnelle et donc favorisant les promotions.
    • Formations dédiées au développement de l’assertivité des femmes, notamment des femmes promues managers, expertes ou ayant vocation à le devenir.
    • Mise en place d’un Comité de mobilité interne afin d’identifier les besoins de mobilité interne.
    • Solutions de garde d’enfants et d’aide aux aidants pour favoriser l’équilibre temps de travail, temps de formation, temps de vie.
    • Nomination de référents de l’égalité professionnelle pouvant être sollicités si un salarié estimait être discriminé quant aux opportunités de carrière.

 

 

  • SAP France a toujours obtenu la note maximale sur le pourcentage de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité. En effet, SAP France apporte une attention particulières à la rémunération des femmes en congés maternité depuis de nombreuses années. A noter que SAP France a également un certain nombre de dispositifs en place pour les salariés en congés parental. Ces dispositions sont consultables dans notre Accord Egalité Professionnelle.

 

  • Les dispositions prévues, à date, pour progresser sur la mixité des dix plus hauts salaires :
    • Comme mentionné précédemment : garantir l’égalité d’accès à la formation, élément déterminant pour l’évolution professionnelle et ainsi favoriser l’accès, pour les femmes, à des postes de managers, experts ou de Direction. Les grilles de salaire pour ces niveaux de postes étant plus élevées, si le % de femmes se positionnant sur ces niveaux de postes augmente, il y aura alors, de fait, plus de chance d’atteindre la mixité des dix plus hauts salaires.
    • Solutions de garde d’enfants et d’aide aux aidants pour favoriser l’équilibre temps de travail, temps de formation, temps de vie. Permettant ainsi d’envisager plus facilement l’accès aux postes susmentionnés.
    • Toujours dans cette même logique d’évolution de carrière : entretien professionnel tel que prévu par la loi mais également entretiens trimestriels des salariés avec leurs managers (lors de « SAP Talk ») pour identifier les besoins en formation, aspirations en terme de développement de carrière, etc.

L’objectif étant d’obtenir progressivement des points sur cet indicateur 5 en appliquant l’ensemble de ces mesures.

Les détails de certaines mesures et les KPIs sont consultables dans notre Accord Egalité Professionnelle.

Nous vous informons également, qu’au titre de l’année 2022, SAP France comptabilise une majorité de femmes dans ses instances dirigeantes (54% de femmes et 46% d’hommes). Ce résultat démontre que la parité et la mixité sont des priorités pour SAP France. Retrouvez ci-dessous le détail des indicateurs résultant de la loi visant à accélérer l’égalité économique et professionnelle :

  • Pourcentage de femmes parmi l’ensemble des cadres dirigeants : non applicable
  • Pourcentage d’hommes parmi l’ensemble des cadres dirigeants : non applicable
  • Pourcentage de femmes parmi l’ensemble des membres des instances dirigeantes (en prenant en compte les personnes non salariées) : 54%
  • Pourcentage d’hommes parmi l’ensemble des membres des instances dirigeantes (en prenant en compte les personnes non salariées) : 46%

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Source de l’article sur sap.com

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

Lire les actualités

 

D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

Lire le témoignage

 

« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

En savoir plus

 

Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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Source de l’article sur sap.com

Many firms’ design and development decisions are increasingly oriented toward human-centered innovation. Instead of rushing goods to market, these firms are using a user-centered design approach.

Design and development teams build high-performing digital products or websites that uniquely meet customers’ demands by concentrating on the user experience. After all, a good web design is helpful in boosting the business reputation or user experience.

This post will define user-centered design, discuss its fundamental principles, and describe the user-centered design process.

What Is User-Centered Design?

To create an enjoyable solution to a problem, user-centered design is a collection of iterative design processes concentrating on the user’s needs at each step. In UCD, the expectations, objectives, and preferences of the user significantly impact design decisions.

Additionally, users are actively involved in the entire process from start to finish. User-centered design principles encourage designers to create products with users rather than just for them. This strategy typically includes user research, interviews, usability testing, and a massive amount of feedback gathering.

UCD Requires Four Fundamental Components:

  • Visibility: Can people see what your website is about and how to utilize it the moment they land on your page?
  • Availability: Is your website user-friendly? Can they swiftly locate information? They should be able to find call-to-action buttons, menus, filters, and search choices with ease.
  • Legibility: Is the text simple to read for users?
  • Language: Is the language simple to grasp for users? Do you avoid using industry jargon in your UX authoring, which might lead to confusion and hesitation?

What Is The Significance Of UCD?

User experience is important in product design, especially in digital products such as app design, web and interface design, and marketing. Customers want their lives to be simplified. A website, app, or product exists to fulfill a consumer. Hence its success is determined by their interaction with it.

The following are some of the advantages of a user-centered design strategy for a business:

  • Customers keep coming back for more
  • There would be an increase in sales
  • Creating polished, efficient, and widely available goods
  • Understanding challenges thoroughly to provide suitable solutions
  • Customers and teams working together
  • Avoiding typical blunders
  • Enhancing Competitiveness
  • Assisting them in comprehending their market

It offers consumers the following advantages:

  • Making their life easier
  • Fulfilling their desires
  • Companies making them feel heard and understood
  • Making them feel important in the creation of things they use
  • Providing answers to challenges they were unaware they had or could not imagine solutions to

Let’s dig in to learn more about the advantages of UCD.

Businesses can benefit from using the user-centered design approach in various ways. As you incorporate this into your web development, you can enjoy the following four main advantages.

1. Prevent Project Failure

Your company might find it simpler to incorporate improvements and ensure your product is in line with actual user needs if you have a continuous feedback process assessing how customers react to your product, like a website.

Customers feel like their needs are better represented in the finished product, which can increase engagement and strengthen the bond with the company.

2. Improve ROI

This method produces products that more accurately reflect user expectations. The procedure also lessens mistakes made by website users, for instance. When combined, these factors motivate users to convert from leads to paying clients, boosting return on investment.

3. Increase Development Efficiency

In user-centered design, the objectives of the various team members are aligned. This can help clarify the best course of action for all parties involved. A more targeted, goal-oriented development process may be encouraged by the regular evaluation process.

Additionally, businesses can engage stakeholders and explain how their efforts and methodologies will improve customer interactions by using an iterative life cycle during product development.

4. Up The Level Of Competition

Customers will more fully appreciate what you offer, improve their engagement with your product or website, and be more likely to purchase from you if your product is created with their needs and expectations in mind.

As a result, this may increase your ability to compete in your sector.

5. KPIs Are Included

Given your user needs and business objectives, how do you move from the first to the second? You can measure key performance indicators with this in mind once you know what user needs are essential for the overall goals.

For instance, productivity may be the focus of office software, shopper activity may be the focus of sales tools, and retention rates may be the focus of other apps. All of these are necessary steps toward achieving business values like profit and revenue.

Human-Centered Design Versus User-Centered Design

There is a significant difference between humans and users. Simply put, all users are humans; however, not all humans will use your product. Therefore, you must thoroughly understand your target market to produce a successful user-centered design.

Detailed research should be done on the problems and goals of your users. Then, talk to them and give them several chances to offer feedback. By doing this, you’ll create a user persona that is complete and that you can use to determine the priorities for your design.

It’s critical to understand that different user groups may have additional requirements, levels of technical expertise, and expectations for using products like the one you’ve made.

What crucial guidelines or principles should designers consider when adopting a user-centric design?

The Process Of User-Centered Design

Certain fundamental principles underpin user-centered design. While the development process is always iterative, no explicit methods for implementation are specified. The approach can be implemented in either a waterfall or an agile environment.

1. Contextualization

The first step is to analyze the environment in which users will use the product. What are the intended applications of the product for future users? Teams working on projects can get answers by watching and talking to potential users.

2. Outlining The Prerequisites

Specifying the requirements for the new product is the second step. In this step, user requirements are described while considering corporate needs.

3. Design

Once the requirements are established, the actual design process can begin. Designers typically start by producing a straightforward prototype, like one made of paper, then move on to digital wireframes and a finished prototype.

4. Analysis

The project team solicits feedback from potential users after creating a prototype. This is typically done for digital applications through in-depth user testing and qualitative research.

Do surveys and tests evaluate user satisfaction, effectiveness, and efficiency? With the new information, the project team goes back to step 2 or step 3 of the design process to improve the product. Once the user feedback is satisfied, these iterations continue while taking into account corporate frameworks (time and costs).

Top 10 User-Centered Design Principles

Principles of user-centered design attempt to guarantee that usability is the primary priority throughout the development process. These principles, if successfully followed, will ensure that user experience is fulfilled not just during the initial introduction of a product but also during its use.

Furthermore, each of the following principles may be tailored to match the specific requirements and interaction demands of any product.

1. Use Simple Language

Professional Web Designer strives to provide the most readable discourse for the user while creating a product. This involves clarifying vocabulary, eliminating jargon, and simply providing information pertinent to the work.

Presenting users with irrelevant information throughout their use of the product taints its usefulness. Furthermore, basic language helps the user finish the work without being overwhelmed or confused.

2. Feedback

Users expect a reaction to all of their actions. This might involve modifying the look of the screen after completing an activity. If the job is finished after some time, it should display a loading page to notify the user that the task is in process.

Keeping the user informed throughout the process reassures them and keeps them on track with their job.

3. Maintaining Consistency

Keeping the product consistent is essential in ensuring an ideal user experience. Consistency affects how customers approach a product, and the time it takes to learn how to use it.

From the start of the project until its completion, the consistent philosophy underpinning the UCD process should be maintained. If the interface design needs to be updated, it is critical to maintaining consistency across new features to stay beneficial to the user.

4. Give The Complete User Control

Consumers are already aware of their requirements. They should be able to use a product with minimal effort and depend on the product’s help to accomplish the rest.

By removing the effort from the job, the user can do it quickly while keeping control of their activities.

5. Describe The Situation

Before developing a product, the designer must first investigate the ideal user and their wants. The designers can gain a comprehensive sense of some of the issues these people experience by studying their lifestyles.

Many of these observations are conducted through interviews. These interviews provide the designer with information on the exact goals that users want to attain and how they want to achieve them.

6. Examine the Design

Designers undertake usability testing with actual users of their product at this stage in the UCD process. This stage provides designers with insight into how consumers will interact with the product and how to modify it to suit them better.

It is advised that this stage be completed as quickly as feasible. The sooner customers provide input, the faster designers can comprehend their product from the user’s perspective.

7. Create Designs That Are Specific To The Needs Of The User

The design team must examine the distinctive features of their intended demographic as well as frequent real-world activities while beginning the design process. Furthermore, the product should be appropriate for the environment in which it will be utilized the most.

Making a product that needs a lot of work from the user reduces its usability and usefulness, ultimately defeating the objective of UCD.

8. The Design Process Is Iterative

Because user-centered design is based on putting the user first, the product team should constantly be working to improve the user experience. By introducing changes gradually, you will gain a better understanding of your target audience.

9. Adequate Navigational Tools

An essential component of the user experience is the capability to navigate between pages of your website and return to the previous one. Make sure users know where they are on your website and how to leave any pages they don’t want to see.

Customers can better understand how to navigate your page by giving them features like a navigation map, for instance. Make it simple for customers to change their order without leaving the current page if they buy clothing and discover they need a different size once they reach the checkout page.

10. Unflawed System

Customers should find it easy to navigate between your website’s pages and accomplish their goals. If they make a mistake, be there to help them fix it so they can achieve their goal.

The form may ask for specific, essential fields, such as the square footage, and may also include a gentle reminder or an alert that appears if the user accidentally leaves a required field blank.

Customers may feel more comfortable responding to your prompts and participating in a conversation if you ask questions one at a time and offer automated responses for each response.

Wrapping Up

User-centered design is more than just making a good product. It goes further than that. You demonstrate your motivations and intentions by putting your users in the spotlight. You’re demonstrating that it’s not all about meeting deadlines or turning a profit. Instead, you’re telling your users that you understand what they want and prioritize their needs.

It should come as no surprise that the most effective teams are user-centric. Knowing your customer is essential for success in any industry, including design. Create products that put the user first, and you will create products that people will love.

You can build a more robust, user-friendly website that is better equipped to respond to user needs and expectations by incorporating the User Centered Design process into your product design. However, it’s crucial to collaborate with a specialist who can apply these techniques and produce the result you’ve envisioned.

 

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

 

La relation entre la compétitivité à long terme et le développement durable est confirmée pour 85% des entreprises, selon la nouvelle étude Sustainability de SAP

 

Paris, le 28 novembre 2022. SAP dévoile les résultats de la première édition de sa nouvelle étude dédiée au lien entre la responsabilité environnementale et son impact sur la conception du business.

Nous assistons à une accélération de l’intégration des enjeux durables dans les politiques de gestion ainsi qu’une appréciation grandissante de l’apport pour le développement des affaires : 34% des entreprises indiquent vouloir augmenter leurs investissements pour construire un plan de lutte contre ces problématiques à horizon 3 ans, un chiffre qui s’est vu multiplié par 5 en 1 an.

34% des entreprises veulent augmenter leurs investissements sur les sujets liés au développement durable.

93% des entreprises considèrent que les législations sont bénéfiques autant pour l’environnement que pour le business.

37% seulement ne collectent les données de leur impact environnemental que depuis 2 à 5 ans.

Loin d’être une contrainte imposée aux entreprises, le développement durable est une conception du développement qui s’inscrit dans une perspective long terme : pour plus de 85% des entreprises françaises, la relation entre la compétitivité à long terme et le développement durable est une relation positive, et 75% d’entre elles déclarent voir un lien positif entre la durabilité et la profitabilité.

Plus que jamais, les entreprises se sentent concernées par ces enjeux, néanmoins, pour la plupart, elles ne sont pas suffisamment outillées pour collecter les données nécessaires quant à leur impact environnemental : 37% seulement estiment pouvoir collecter les données, et ce uniquement depuis 2 à 5 ans.

Mise en cause ? La qualité des datas collectées qui est insatisfaisante pour plus de 63% des entreprises françaises, notamment à cause d’un manque de transparence dans les calculs ou les prévisions (39%), ou par une fréquence beaucoup trop faible de la collecte (35%).

Près de 94% des entreprises françaises témoignent du double bénéfice business/responsabilité qu’imposent les règlementations et les législations.

Ce constat est partagé par 93% des entreprises dans le monde, soulignant d’une part l’unanimité de la nécessité d’avoir une règlementation sur le développement durable, mais aussi et surtout les bénéfices.

Dans les mesures légales les plus efficaces qui poussent les entreprises à s’engager sur des actions d’amélioration de leurs impacts, les taxes arrivent en première position (53%), suivies par les provisions pour l’innovation et la taxe carbone avec respectivement 51% et 38% des réponses.

Retrouvez l’intégralité de l’étude ici

 

Méthodologie de l’étude : 

Le centre de recherche SAP Insights a recueilli des données auprès de 6 669 personnes interrogées dans 40 pays et 29 secteurs d’activité. Les répondants avaient la plus haute connaissance des objectifs et des processus de durabilité de leur organisation.

Les enquêtes ont été menées en ligne au mois d’avril 2022.

Certains chiffres proviennent de données normalisées entre les groupes de répondants entre 2021 et 2022.

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Source de l’article sur sap.com

I have lost count of the number of times I have been told that Java is not a suitable language in which to develop applications where performance is a major consideration. My first response is usually to ask for clarification on what is actually meant by “performance” as two of the most common measures – throughput and latency, sometimes conflict with each other, and approaches to optimise for one may have a detrimental effect on the other. 

Techniques exist for developing Java applications that match, or even exceed, the performance requirements of applications that have been built using languages more traditionally used for this purpose. However, even this may not be enough to get the best performance from a latency perspective. Java applications still have to rely on the Operating System to provide access to the underlying hardware. Typically latency-sensitive (often called “Real Time”) applications operate best when there is almost direct access to the underlying hardware, and the same applies to Java. In this article, we will introduce some approaches that can be taken when we want to have our applications utilise system resources most effectively. 

Source de l’article sur DZONE

User Experience is a crucial consideration for any web developer or designer; the only way to ensure that you’re delivering a successful website is to ensure that the end-user or customer will feel comfortable using it. 

A strong user experience increases your client’s chances of successful audience engagement and conversions.

What you might not realize, however, is that the strategies you use to enhance UX as a web developer or designer can also influence how the search engines respond to a website. 

Though many designers assume that SEO (Search Engine Optimization) is the work of a copywriter or content producer, there are design elements to consider too. 

After all, the definition of optimization is “the action of making the best version of a resource.”

So, how are UX and SEO connected?

Adding UX to a Successful SEO Strategy

SEO used to be easy. To stand out on the search results, you just needed to stuff a page full of as many keywords and phrases as possible. Now, it’s a little more complicated. 

Leaders in search engine development, like Google and Bing, know that they need to offer their customers excellent experiences to keep them. In this new experience-focused landscape, SEO and UX share common goals. 

Search engines don’t just want to provide customers with any answers to their questions. Instead, Google and its competitors are using everything from artificial intelligence to machine learning algorithms to ensure that search results are accurate, relevant, and engaging. 

In the same way, user experience is about providing users with easy access to the information and resources they want. 

Now that SEO is a multi-disciplined approach, UX is just one of the essential tools that makes it possible for developers to optimize their websites properly. 

Where UX Developers Influence SEO 

There are plenty of connections between UX and site indexability

We all know that since 2018, site speed has become a crucial ranking factor for companies in search of better search results. As a developer, it’s up to you to ensure that there aren’t too many elements weighing a website down that would prevent it from delivering fast results. 

Bounce rate is another critical factor in search engine ranking algorithms. When customers click on a website, Google wants to see that they get the answers they want. If your navigation is difficult to understand, or the correct information isn’t easy to see on a page, end-users will just hit the back button. 

Let’s take a closer look at how developers can influence SEO with their UX strategies. 

1. Site Navigation and Ease of Use

It’s no secret that today’s digital consumers crave easy-to-use sites.

A complex website with pages ranking for different terms might seem like an excellent idea for SEO. However, from a UX perspective, the easier it is to navigate your website, the more your end-users will benefit. 

According to a study from Ahrefs, well-optimized pages that rank for several keywords can be more beneficial than dozens of pages ranking for similar terms. At the same time, if the search engines have difficulty crawling all your pages due to a poor site navigation strategy, then some pages won’t get indexed. 

So, how do you improve navigation and SEO at once? Follow the proper structure for your site first, categories and subcategories on the retail page help customers find exactly what they need. A solid internal linking structure allows the crawlers to examine your website and index each essential page individually.

Keep navigation simple when designing a website for both UX and SEO potential. 

2. User-Friendly Page Layouts

There are countless cases where poor layout design and formatting disrupts SEO potential. For example, cluttering a page with too much information makes it tougher to read and index. At the same time, if your pages aren’t attractive and easy to navigate, customers are more likely to hit the back button. 

If customers come to a website and immediately leave it again, this tells the search engines that they’re not finding what they need on those pages. That means Google will bump you to a lower position on the SERPs. 

So, how do you make your layouts more UX and SEO-friendly?

  • Get your category pages right: Say you’re creating a blog page for your client. They want to list all of their blogs on one main page while linking to separate locations for each article. A design that puts a large chunk of content from each blog on the main page can be problematic for UX and SEO. It means your customers have to scroll further to find what they need. At the same time, the search engines never know which words to rank that main page for. On the other hand, listing blogs on smaller cards, as Fabrik does in this example, makes sorting through content easier. 
  • Leverage headers and tags: Your customers and the search engines habitually “scan” your pages. When trying to improve UX and SEO simultaneously, you must ensure that it’s easy to find crucial information quickly. Header 1 or H1 tags can help by showing your audience your website’s critical sections. Title tags also give search engines more information on the term you want to rank for. Organizing your content into a structure that draws the eye down the page also means your customers are more likely to stay on your website for longer. That shows the search engines that you have quality, relevant content. 
  • Make the most of images and videos: Visual media isn’t just an excellent way to engage your audience. With videos and pictures, you can convey more vital information in a quick and convenient format. This leads to greater satisfaction from your audience from a UX perspective. However, visual content is also great for SEO. You can optimize every image with alt text and meta descriptions. That means you have a higher chance of ranking both in the main search results and the image searches on Google. 

3. Using Search Data to Inform Site Architecture

Today, SEO is less about building hundreds of landing pages for individual queries. Now, it’s more important to take a simple, de-cluttered approach with your website. SEO can determine what kind of architecture you need to create for a successful website. 

For instance, say you wanted to rank for eCommerce SEO. There are tons of related words that connect to that primary search term. Rather than making dozens of different pages that try to rank for distinct phrases, you can cover a lot of other ideas at once with a larger, more detailed piece of content. 

If a topic is too big to cover everything on a single page, then you might decide to create something called “pillar” content out of your main terms. This involves using one main page where you discuss all of the topics you will cover. Then, you design several smaller sub-pages that link back to that central pillar. 

Once again, this helps the search engines to navigate your website and index your pages while assisting the customers in finding the correct information. At the same time, you combine more pages on a website and remove anything that might be detracting from your site’s authority or not offering enough value. 

4. Improving Website SERP Listings

It’s easy to forget as a developer that a customer’s first experience with a website won’t always happen on that site’s homepage. Usually, when your customers are looking for solutions to a problem, they’ll find your website on the search engine results instead. 

This means that you need to ensure that you make the right impression here:

There are a few ways that developers can ensure the search engine listings they create for their clients are up to scratch. For instance, a reasonable title tag for each page that includes appropriate keywords is excellent for SEO and UX. A title tag lets your customers know they’re in the right place and helps them find the information they need. 

Remember, around eight out of ten users on search engines say that they’ll click a title if it’s compelling. 

Another component you have control over as a developer or designer is the “rich snippet.” Rich snippets are the informative chunks of content that Google adds to a search listing to help it stand out. You can use rich snippet plugins on a website to tell Google what kind of extra information you want to include on a page. 

For instance, you might want a company’s ratings to show up on your search results, so customers can see how trustworthy they are:

5. Local Business Rankings

When you’re creating a website for a company, it’s easy to forget about local rankings. We see the digital world as a way of reaching countless people worldwide. Local orders are easier to overlook when you have a global scope to work with. 

However, as a developer, you can boost a company’s chances of attracting the right local audience and boosting its credibility. For instance, you can start by ensuring that the correct directory information appears on your client’s website and social media profiles.

Another option is to create dedicated location pages for each area the company serves. This will make it easier for clients to find the contact details they need for their specific location. 

At the same time, pages that have been carefully optimized to rank for specific locations will earn more attention, specifically from search engines. The more of the search engine landscape your client can cover, the more chances they have to attract new customers and leads. 

Combing SEO and UX

In a world where experience is crucial for every business, it’s no wonder that UX and SEO are blending more closely together. There are a lot of areas where SEO and UX work in harmony together if you know where to find them. Improving your client’s SEO ranking with UX doesn’t just mean ensuring that their pages load quickly anymore. 

Simple strategies, like making sure a call-to-action button is clickable on a mobile page, can simultaneously boost a website’s UX potential and SEO performance. At the same time, adding images and alt text to a website provides search engines with more information while adding context to your content. 

The key to success is understanding how SEO and UX work together. If you look at SEO and UX as part of the same comprehensive strategy to give end-users a better online experience, achieving the right design goals is much easier. 

Of course, just like any strategy, it’s also worth making sure that you take the time to track the results of your UX and SEO campaigns. Examine which systems help you, and examine customers from an SEO perspective with design and development strategies.

 

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Live chat is one of the most powerful tools for customer experience in the current marketplace. 

In a world where customers are constantly connected to the online world, online chat is a reliable way of getting quick solutions to common problems. 

Today’s consumers prefer talking to an agent over chat to calling a contact center, and they often feel that live chat is less frustrating than waiting for the right person to answer the phone. 

Of course, like any digital tool, live chat is only effective when using it correctly. Today, we’re going to show you the crucial KPIs you need to consider if you want to ensure that your chat strategy is delivering a tangible return on investment. 

The Most Important Metrics to Measure for Live Chat

These days, implementing live chat tools is easier than ever. 

You don’t necessarily need to hire a professional developer unless you want a specialist widget with specific functions and unique branding. Many plugins and tools for sites built on Shopify and WooCommerce allow you to instantly access chat functions. 

However, just because implementing live chat is easy doesn’t mean that there aren’t countless ways for your strategy to go wrong. Keeping an eye on these crucial KPIs and metrics ensures you’re making the right impression with your chat strategy. 

1. First Response Time

First response time is a crucial live chat metric. This measures how long customers need to wait before someone responds to them. Technically, this metric only refers to how quickly an actual agent responds to your customer, so automated “thanks for getting in touch” messages don’t count. However, immediately responding with one of those messages can convince your audience to stick around for a little longer. 

The faster your agents can respond to messages and solve problems, the better your brand reputation becomes. The good news is that a good live chat strategy can lead to pretty quick response times. The average time for an agent to see a live chat message is around 2 minutes and 40 seconds.

To improve your FRT statistics, make sure you:

  • Invest in chatbots: AI chatbots can support customers 24/7 with handy, self-service functionality. These tools will also filter out the customers waiting for an agent who can find a solution to their problem on your FAQ page.
  • Prepare canned responses: Quick responses to common queries can help you to address a problem much faster. In addition, preparing canned responses will ensure that your team members can quickly respond to more customers. 
  • Increase your resources: Ensure you have the right hand and enough agents to handle peak demand.

2. Average Resolution Time

The first response rate only looks at how quickly someone responds to a customer’s message for the first time. However, it doesn’t show how rapidly you deal with client problems. Average Resolution Time is the metric that helps to measure customer satisfaction by seeing how long it takes to get to a point where your customer can close the chat. 

If it takes too long for your employees to solve problems, there’s an increased risk of your customers becoming annoyed and frustrated. Additionally, the longer agents take dealing with each individual chat, the more other consumers will have to wait for someone to become available. Finally, the longer it takes to resolve an issue, the more customer satisfaction decreases.

The key to success is ensuring that the right agent deals with the correct customer and that everyone on your team is empowered with the appropriate tools and information. Boost resolution time by:

  • Giving customers a quick self-service solution: For common questions, make sure that you have an FAQ section that you can direct your customers to. In addition, a chatbot that can offer quick canned responses to regular queries can save time. Plus, they’re great for reducing the pressure on your agents’ shoulders. 
  • Integrate CRM tools with live chat: Make sure your agents have access to information about each customer as soon as they start the conversation. This information should include the customer’s name, what they’ve purchased before, and if they’ve issued any support tickets. Integrating with the CRM makes it easier for agents to jump straight into the action without needing the customer to explain everything first. 
  • Keep resources handy: Your team members should have instant access to all the information they need to answer customer questions. Ensure that searchable data repositories are available for everyone on your live chat team. 

Remember, routing tools that automatically send customers to the agent with the proper knowledge or skills will also improve response times and reduce the number of times a customer needs to repeat themselves. 

3. Chat to Conversion Rate 

Live chat tools aren’t just an avenue for problem resolution. Although customers can get excellent service through live chat, they also look to chat to collect information before a potential purchase. Around 38% of customers say that they end up purchasing a positive live chat experience. 

The live chat app on your website can provide real-time assistance for sales queries, converting leads, and maximizing your return on investment. However, to determine how successful your chat system is at encouraging sales, you must look at the chat to conversion rate metric. 

Essentially, you measure the number of chats your company has been involved in, then compare that number to the total number of conversions from those customers. It might be helpful to narrow down your results here by using your data and analytics tools to separate your total number of live chats into those intended for sales information and those requiring assistance. 

If your chat to conversion rate isn’t as high as you would like, there are lots of things you can do to start making a positive impact:

  • Automatically launch a chat: As soon as someone comes to your website, launch a chat window with a bot that asks whether you can help your customer. You can even include a list of commonly asked questions so your customer can get help faster. 
  • Follow up on chat conversations: Make sure you follow up on any questions that customers ask on your chat widget with an email. This is a great way to reach out to customers that may have been distracted and ended up abandoning their cart.
  • Personalize suggestions: Use AI insights and information from your customer management tools to determine which products are most likely to appeal to each customer, then suggest those items. Remember to ensure that your tone of voice in the chat matches your brand too. 

Remember, the faster you can answer customer queries and address their concerns with your live chat strategy, the more likely the chat will lead to a sale. Ultimately, customers are convinced to purchase when they believe they can trust your business to deliver excellent experiences. 

4. Customer Satisfaction Score

The customer satisfaction score is probably one of the most critical metrics in any customer experience strategy. It directly measures customer satisfaction levels and gives you an insight into how well you’re doing from the perspective of your target audience. 

The best way to measure CSAT through live chat is to add a survey to the end of the chat session. For instance, you could ask, “How would you rate this session on a scale of 1 to 10”. Then, based on the score, you’d calculate a “Net Promotion Score.” Each score falls into one of three categories: “Detractors 0-6”, “Passives 6-8,” and “Promotors 9-10”.

The more information you collect about your CSAT score, the easier it will be to determine where you’re going wrong with your live chat strategy. On the other hand, if the score is pretty good after a chat session, you’re probably on the right track. To improve your overall score:

  • Encourage feedback: Getting people to leave feedback, even on a live chat app, can be difficult. Offering customers the chance to win something in exchange for their insights could help you to get more data. 
  • Follow up: Connect with your “detractors” to find out what you did wrong. Follow up in the live chat session by asking if they’d like to leave a more comprehensive review. Alternatively, you can send an email asking for additional information. 
  • Reach out to promotors: Connect with the people who give you the most favorable scores to ask them for their insights. Find out what they enjoyed most about the experience and request a review that you can place on your website for social proof. 

5. Missed Opportunities

The longer someone waits for you to answer their question in a live chat or respond to their initial message, the more likely they’ll give up on the conversation. Unfortunately, this means that your company ends up with missed opportunities. You lose the chance to potentially make a sale, delight a customer, and strengthen your brand reputation.

While you might assume that your customers will know you can’t be available to answer all of their questions immediately, that’s not the case. INC tells us that 51% of consumers believe a business should always be open. So every missed chat is another negative mark against your reputation. 

If you discover that your team is missing a lot of chat chances, this could be a sign that you don’t have enough resources available in this area. However, there are a few ways that you can reduce your chances of missed opportunities, such as:

  • Hiring more team members: If you know that there are times of the year or week when you have peaks in demand, ensure that you have the correct number of staff members available. 
  • Using chatbots: Chatbots won’t be able to answer all customer questions, but they can deliver quick responses to commonly asked queries and reduce the risk of lost opportunities.
  • Provide alternative forms of communication: if your customer can’t reach you on live chat, make sure that there are other options available, like a phone number and email address or a form where your customer can automatically submit a ticket. 

6. Total Number of Chats and Tickets

Keeping track of the total number of tickets your customers submit, alongside the number of chats your employees engage in, will give you helpful information. First, the total number of conversations shows how many customers are taking advantage of your live chat function on the website. 

You’ll also be able to compare your total number of chats to the number of resolved problems you deal with for your customers. For example, comparing your total number of chats to an unlimited number of tickets shows you how many customers have been left to rely on other sources of communication. You can also see how good your employees are at following up with tickets issued by customers. 

When you’re analyzing your number of tickets and chat sessions, you might notice that many of the queries you dealt with were connected to specific questions or topics. If that’s the case, you might be able to create a new FAQ page for your customers or provide your chatbot with extra information that it can use. 

If you’re getting more support tickets through alternative means than live chat, it might be time to ask yourself what’s wrong with your live chat performance and why your customers choose not to use it. 

Improving Live Chat CX for Your Business

Live chat can be a powerful tool for improving customer experience and an excellent way to strengthen your relationship with existing and potential clients.

Step into the shoes of your customer and discover what it feels like to walk through the whole live chat experience, from the moment that you send a request to the live chat team to the moment when you close down the chat with a solution to your problem. Other quick tips include:

  • Getting the software right: Make sure your live chat app is easy for your end customers and your employees. The chat app you use should be convenient and suit your brand. It also needs to collect information effectively without causing problems like GDPR and regulations. Get a developer involved if you think you have a problem with your chat functionality. 
  • Guide your team: Remember that your team needs to know how to use the live chat tools available effectively if they’re going to deliver the best results to your customers. Make sure you give your employees scripts to deal with problems if needed. In addition, chatbots that can quickly grab information from integrated CRM tools and other solutions could make your agents’ lives much more manageable. 
  • Pay attention to feedback: Ask your customers for feedback on their live chat experiences whenever you can. Ensure you pay attention to what they say they like and dislike about the encounter. If you can listen to your customer’s opinions, they’ll give you a lot of helpful information to work with when you’re enhancing and optimizing your live chat strategy. In addition, listening to your audience shows that you have their best interests at heart.

Remember, as well as customer feedback; you might be able to ask your employees for their insights into how you can improve live chat performance too. Employees also work with these tools regularly, so they know which features are more problematic than others. 

Measuring and Improving Live Chat

Live chat functionality isn’t something that you implement into your website and forget about. Instead, like any form of customer service or engagement tool, your live chat solution should be something you test regularly and constantly update to suit your customers’ needs. 

Knowing which metrics to measure when examining live chat functionality and performance will boost the experience you can give your audience and even open the door for better relationships with clients in the long term.

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