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Optimiser le flux d'air : étude de cas sur l'efficacité des ressources Cloud

Dans cet article, nous allons explorer comment optimiser le flux d’air en étudiant l’efficacité des ressources Cloud. Découvrons ensemble les avantages et les inconvénients de cette technologie !

Au cours de ma carrière, j’ai travaillé avec de nombreuses entreprises qui nécessitaient un outil d’orchestration pour une durée limitée par jour. Par exemple, l’un de mes premiers clients indépendants devait exécuter une instance Airflow pendant seulement 2 à 3 heures par jour, ce qui entraînait une inactivité de l’instance le reste du temps et un gaspillage d’argent.

I proposed a solution that would allow the client to use the Airflow instance only when needed, and to shut it down when not in use. This solution was based on a serverless architecture, which allowed the client to pay only for the resources used. The client was very pleased with the results and I was able to save them money.

Au cours de ma carrière, j’ai travaillé avec de nombreuses entreprises qui nécessitaient un outil d’orchestration pendant une durée limitée par jour. Par exemple, l’un de mes premiers clients indépendants avait besoin de faire fonctionner une instance Airflow pendant seulement 2 à 3 heures par jour, ce qui entraînait une inactivité de l’instance le reste du temps et une perte d’argent.

Comme il ne s’agissait pas d’une grande entreprise, le client m’a demandé si je pouvais intervenir. L’infrastructure était hébergée sur Google Cloud, que je connaissais bien.

J’ai proposé une solution qui permettrait au client d’utiliser l’instance Airflow uniquement lorsque nécessaire et de l’arrêter lorsqu’elle n’est pas utilisée. Cette solution était basée sur une architecture sans serveur, ce qui permettait au client de payer uniquement pour les ressources utilisées. Le client était très satisfait des résultats et j’ai pu lui faire économiser de l’argent.

Source de l’article sur DZONE

Paris – le 27 novembre 2023 – À l’occasion de la COP28,  SAP SE dévoile les résultats de son Rapport annuel sur la durabilité, révélant que 87 % des dirigeants français maintiendront ou augmenteront leurs investissements dans les démarches durables d’ici à 2026, dans le but d’obtenir de meilleurs rendements économiques. Cependant, malgré ces ambitions, les entreprises françaises continuent de créer leurs propres obstacles à cette progression.

L’étude mondiale qui a interrogé plus de 4 700 dirigeants d’entreprise, dont 200 en France, est la troisième édition du Rapport annuel sur la durabilité de SAP. Il explore les motivations et les défis clés auxquels font face les organisations cherchant à réduire leur impact environnemental à grande échelle.

Le rapport révèle que 13 % des entreprises françaises déclarent que leurs initiatives environnementales ont déjà un impact positif sur leurs revenus et leurs opportunités de profit, tandis que seulement 12 % d’entre-elles ont désigné le Directeur Financier, pourtant essentiel à la stratégie d’investissement, comme responsable de ces efforts. Quatre entreprises sur dix (41 %) rencontrent des difficultés à mesurer le retour sur investissement, et près d’un tiers (32 %) citent une incapacité à inciter les partenaires et les fournisseurs à agir, rendant ainsi plus difficile la démonstration et la pérennisation des progrès à long terme.

 

La durabilité, en tant qu’opportunité financière, ne doit pas être perçue comme une charge

Autrefois perçues comme des obligations morales ou éthiques, les initiatives visant à protéger la planète sont désormais considérées par les entreprises françaises comme des opportunités financières à long terme. En effet, 34 % d’entre ellesaffirment que les opportunités de revenus et de profit sont le moteur majeur des investissements durables.

Dans un contexte d’inflation, de problèmes d’approvisionnement et de hausse des coûts de la vie, les dirigeants français maintiennent leurs engagements environnementaux, considérant les actions durables comme un moyen de compenser l’incertitude économique. À présent, plus de la moitié (53 %) de ces dirigeants anticipent un rendement financier positif sur leurs investissements en durabilité au cours des cinq prochaines années.

 

Des barrières internes à la prise de décision

Malgré le lien entre les actions environnementales et la hausse des profits à long terme, l’étude de SAP montre que les entreprises françaises n’impliquent que très peu les Directeurs Financiers dans leur feuille de route environnementale, ce qui freine les progrès.

Actuellement, seulement 7 % des entreprises confient la responsabilité de la direction stratégique des actions durables à leur Directeur Financier. Cette responsabilité revient plutôt à d’autres responsables, dont les Directeurs des risques (10 %), les Directeurs des Opérations (11 %), les PDG (24 %) et le Conseil d’Administration (22 %). L’étude suggère que cette approche ne fonctionne pas pour traduire la valeur économique des progrès en matière de développement durable dans l’ensemble de l’entreprise. Jusqu’à 36 % des entreprises françaises identifient les problèmes de financement comme l’une des cinq principales barrières aux actions durables, tandis que 15 % ne parviennent pas à obtenir le soutien des principaux décideurs pour prendre des mesures concertées. Une plus grande responsabilité du Directeur Financier pourrait remédier à cela.

 

La nécessité de mesurer avant d’agir

Seulement 43 % des entreprises sont en mesure de calculer leurs émissions de gaz à effet de serre liées à leur activité. Par ailleurs, 12 % d’entre-elles ne peuvent pas suivre les émissions produites indirectement dans la chaîne d’approvisionnement. Par conséquent, de nombreux dirigeants se tournent vers des estimations pour évaluer l’impact environnemental. Les dirigeants français peinent également à adopter un cadre de rapport normalisé, avec plus d’un tiers (34 %) n’ayant aucune méthodologie cohérente pour calculer l’impact environnemental de leur production.

Cette ambiguïté est exacerbée par l’utilisation de méthodes de mesure conflictuelles dans leurs rapports. Alors que les dirigeants privilégient la mesure directe pour suivre les émissions énergétiques (91 %), la disponibilité des ressources (78 %), les déchets solides (79 %) et l’utilisation de matériaux (78 %), ils s’appuient sur des conjectures et des estimations pour la pollution de l’eau (68 %), l’impact de la chaîne d’approvisionnement (65 %), la perte de la nature (81 %) et la pollution de l’air (89 %). Cette situation conduit à des difficultés signalées par plus de 90 % des entreprises pour recueillir et analyser des données pour la conformité réglementaire. Cela survient à un moment où les dirigeants français doivent déjà naviguer entre une série de réglementations, taxes et prélèvements liés à leur empreinte carbone.

“Dans un contexte où des réglementations plus strictes exigent désormais des entreprises qu’elles divulguent leur impact environnemental, les dirigeants qui ne peuvent pas rapporter avec précision ces données encourent non seulement des allégations de greenwashing, mais également des amendes et des dommages à leur réputation. Se concentrer sur la mise en œuvre d’un cadre de reporting standardisé est une priorité : pour que les entreprises justifient leurs compétences écologiques, obtiennent des mesures précises et mettent en place des actions qui conduiront directement à un impact bénéfique à long terme » conclut Stephen Jamieson, responsable mondial des solutions d’économie circulaire chez SAP.

 

A propos de SAP :

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 26 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Contacts presse :

Sylvie Léchevin : sylvie.lechevin@sap.com / sap@the-arcane.com

 

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Source de l’article sur sap.com

Pour accompagner sa transformation en acteur d’envergure mondiale, Bridor avait besoin de se doter d’un ERP moderne et de refondre ses processus métiers. Un projet de grande envergure, ayant mené à l’adoption de SAP S/4HANA et de SAP IBP.

Groupe Le Duff est un acteur français, leader de la restauration et de la boulangerie-viennoiserie. Il est présent dans 100 pays, au travers de ses 1250 restaurants et boulangeries et ses 15 sites de production. Groupe Le Duff emploie 30 000 collaborateurs, pour un chiffre d’affaires annuel dépassant les 2 milliards d’euros.

« Depuis ses débuts en 1976, le chiffre d’affaires du Groupe Le Duff a doublé tous les 5 ans, explique Ronan Le Janne, Responsable des applications de gestion (SAP, BI, SIRH…). La principale filiale du groupe est Bridor, un industriel spécialisé dans les produits de boulangerie surgelés premium, qui compte pour 45% du chiffre d’affaires du groupe. Bridor devient rapidement un acteur d’envergure mondiale, pour lequel il est stratégique de disposer d’un système d’information moderne proposant des processus capables d’accompagner cette forte croissance, organique comme externe. »

Groupe Le Duff utilise des solutions SAP depuis 2002. L’ERP SAP ECC de Bridor, souffrait toutefois de son manque de modernité. « Bridor avait accumulé un certain retard, la dernière montée de version technique SAP datait de 2012. Il devenait primordial de traiter cette dette technique, qui pouvait poser problème, notamment lors de l’adaptation du SI aux règles fiscales des pays dans lesquels nous ouvrons des filiales ».

Un projet ambitieux

La direction a fait le choix de refondre le SI de Bridor, en migrant vers l’ERP SAP S/4HANA, tout en opérant la refonte de ses processus métiers. La société a donc dû assurer un double chantier : la conversion technique vers un nouvel ERP et l’audit de ses processus clés.

Elle décide pour cela de se faire accompagner par VISEO. « Nous avions déjà identifié VISEO comme candidat potentiel, car c’est un spécialiste à la fois du retail et de l’industrie, les deux activités du Groupe Le Duff, poursuit Ronan Le Janne. VISEO a également une bonne connaissance de SAP S/4HANA dans un contexte agroalimentaire. Ses équipes sont donc expérimentées et capables de nous conseiller avec pertinence. Autres points positifs, une méthodologie compréhensible et efficace, ainsi qu’une bonne adhérence avec la culture et les valeurs du Groupe Le Duff ».

L’ERP de Bridor couvre un périmètre étendu : finance, achats, ventes, production, stocks… « Nos usines fonctionnent en 24/7 et s’appuient toutes sur notre ERP SAP, qui est le cœur du réacteur de nos processus industriels et supply chain. Un système qui fonctionne donc lui aussi en 24/7 et qu’il est difficile d’arrêter. C’est pourquoi nous avons voulu faire entrer un maximum de transformation dans ce projet ».

 

Une migration hybride

À mi-chemin entre Brownfield et Greenfield, la migration hybride, dite Bluefield, permet d’opérer une migration technique vers SAP S/4HANA, sans devoir subir le poids du legacy, les données nécessaires étant réintégrées au terme des développements. « La migration hybride nous a permis de nous réapproprier notre système, de le simplifier, en redéfinissant précisément son périmètre et ses fonctionnalités », confirme Ronan Le Janne.

L’audit des processus clés et les ateliers de cadrage se sont traduits par plus d’une centaine d’évolutions métiers, dont :

  • la refonte des structures organisationnelles ;
  • la mise en œuvre de SAP COPA et du General Ledger ;
  • la mise en place du P&L Bridor et Groupe dans SAP ;
  • La mise en œuvre des processus de prévisions, planification et S&OP dans SAP IBP.

Lancé en avril 2021 par la phase de cadrage, le projet s’est poursuivi jusqu’en fin d’année 2022, pour une mise en route de SAP S/4HANA le premier janvier 2023.

« Compte tenu de la complexité du projet, cela s’est très bien passé. Une organisation stricte, une implication sans faille des métiers et une forte réactivité de la part de VISEO nous ont permis de tenir le planning que nous avions défini en 2020. Dès le 2 janvier 2023, de gros volumes d’opérations ont été enregistrés dans notre ERP SAP S/4HANA. Depuis, nous n’avons pas constaté de perte de productivité et le nombre de tickets d’incidents reste maîtrisé. C’est un démarrage bien maîtrisé et une belle réussite pour le Groupe Le Duff. »

Quelques travaux sur la partie finance ont été effectués sur le premier trimestre 2023 et un accompagnement au changement sera nécessaire pour acculturer les équipes à certaines nouvelles fonctionnalités et certains nouveaux processus. Mais le projet arrive à son terme, dans les délais et pour le budget prévu. « Un projet réussi, pour un rapport qualité / prix imbattable », conclut Ronan Le Janne. Prochaine étape, l’adoption de SAP S/4HANA Retail.

 

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Source de l’article sur sap.com

Révolutionner le trading algorithmique : le pouvoir de l'apprentissage par renforcement

La technologie d’apprentissage par renforcement est en train de révolutionner le trading algorithmique. Elle offre aux traders des possibilités inédites pour améliorer leurs performances.

En tant que professionnels de la technologie, nous sommes déjà conscients que notre monde est de plus en plus axé sur les données. C’est particulièrement vrai dans le domaine des marchés financiers, où le trading algorithmique est devenu la norme, utilisant des algorithmes complexes pour exécuter des transactions à des vitesses et fréquences qui dépassent largement les capacités humaines. Dans ce monde où les millisecondes peuvent faire la différence entre le profit et la perte, le trading algorithmique offre un avantage en rendant le trading plus systématique et moins influencé par les biais émotionnels humains.

Mais que se passerait-il si nous pouvions aller plus loin? Et si nos algorithmes de trading pouvaient apprendre de leurs erreurs, s’adapter à de nouvelles conditions de marché et améliorer constamment leur performance au fil du temps? C’est là que l’apprentissage par renforcement, un domaine de pointe de l’intelligence artificielle, entre en jeu.

Source de l’article sur DZONE

Paris, le 27 mars 2023 – Face à la recrudescence des risques géopolitiques, aux pénuries de matières premières et aux difficultés d’approvisionnement, SAP, à travers son étude Supply Chain 2023, revient sur les grands défis auxquels sont confrontées les entreprises internationales. Dans ce cadre, 350 responsables de chaîne logistique ont été interrogés et témoignent de la nécessité de transformer leur modèle : si à première vue les nouvelles semblent décourageantes, les entreprises y voient une réelle opportunité de s’améliorer et de devenir plus résilientes.

 

Seule 1 entreprise française sur 10 s’attend à la fin des problèmes qui touchent la chaîne d’approvisionnement d’ici l’été 2023

Les conclusions du rapport Tomorrow’s Supply Chain : Disruption Around Every Corner[1] soulignent l’état critique de la chaîne d’approvisionnement depuis le début de la pandémie. Les entreprises françaises, belges et néerlandaises ont été freinées par des retards dans la production de biens ou la livraison de services (50%) et un manque de matières premières (34%). Ceci a entraîné une baisse significative du chiffre d’affaires (33 %), une incapacité de payer le personnel (31 %) ou les loyers (41 %), mais aussi une perte de clientèle (35 %) ou une atteinte à la réputation (27 %).

Près de la moitié des entreprises françaises (46%) s’attendent à ce que les problèmes qui touchent actuellement la chaîne d’approvisionnement persistent jusqu’à la fin 2023. Seule 1 entreprise sur 10 prévoit qu’ils seront résolus d’ici la fin de l’été. Pour près de 4 entreprises sur 10, la durée de ces problèmes dépend de la résolution d’événements clés : la situation en Ukraine (24 %) ou la crise énergétique (17 %).

Les entreprises françaises en attente de mesures incitatives des pouvoirs publics pour attirer de nouvelles compétences, notamment venant de l’international

Si deux tiers des entreprises françaises sont en phase avec la stratégie du président Emmanuel Macron qui souhaite que la France « soit une nation plus indépendante », en faisant valoir que la démondialisation des chaînes d’approvisionnement favoriserait la croissance économique, elles indiquent clairement souhaiter davantage de soutien de la part du gouvernement pour résoudre ces problèmes, et demandent des mesures incitatives pour attirer et améliorer les compétences de la main-d’œuvre (49 %), y compris celles provenant de l’étranger (40 %). Ces entreprises demandent également une collaboration accrue avec l’industrie (40%). Le rapport montre par ailleurs qu’une majorité des entreprises françaises (66 %) pense que la démondialisation des chaînes d’approvisionnement pourrait favoriser la croissance économique. Aux Pays-Bas, elles sont plus mitigées : 34 % y seraient favorables et 66 % défavorables.

Olivier Kessler-Gay, Directeur Général pour l’Europe de l’Ouest chez Pandora, commente : « Notre défi aujourd’hui est de répondre aux nouvelles attentes d’une expérience d’achat transparente, personnalisée et omnicanale. En intégrant totalement notre chaîne de valeur, de la conception de nos bijoux et leur fabrication dans nos ateliers, à l’approvisionnement de nos boutiques, nous avons éliminé certaines problématiques que rencontrent d’autres acteurs du marché. Nous pouvons ainsi mieux anticiper l’impact d’évolutions macroéconomiques et gérer les risques. Si de nombreuses incertitudes restent complexes à appréhender, la connaissance de nos clients, la data et les outils à notre disposition nous permettent d’améliorer la croissance grâce à une approche beaucoup plus sophistiquée et à une compréhension plus fine de la demande. »

 

Une opportunité pour transformer la Supply Chain ?

La transformation de la chaîne logistique est prioritaire pour les entreprises : dans près de deux tiers des organisations, il s’agit d’une initiative parrainée au plus haut niveau. Environ six organisations sur dix prévoient une transformation majeure de la chaîne d’approvisionnement au cours des deux prochaines années et une proportion similaire considère les attentes des clients en matière de développement durable comme un facteur critique pour leurs activités. D’ailleurs, nombre d’entre elles agissent déjà en adoptant de nouveaux processus, de nouvelles méthodes et des solutions intelligentes pour pallier les risques actuels et futurs de leur chaîne d’approvisionnement.

Rémy Vernet, Directeur de la Digital Supply Chain chez SAP France commente : « Alors qu’autrefois la gestion de la supply chain consistait surtout à réduire les coûts, les entreprises sont confrontées au défi de rester en avance sur la demande des consommateurs, tout en améliorant la résilience, en réduisant les émissions de carbone, en diminuant le taux de rotation du personnel et en maintenant les coûts à un niveau bas. Le marché du travail post-pandémique, la guerre en Ukraine, la hausse des coûts de l’énergie ont exacerbé les défis des modèles actuels de supply chain en France. Quels que soient les facteurs externes qui perturberont la circulation des biens et des services, notre culture de consommation à la demande ne fera que s’accroître. L’expédition du jour au lendemain est considérée comme tardive, avec des mises à jour de suivi toutes les heures. Une approche novatrice est nécessaire pour répondre à cette demande. »

 

Comment STMicroelectronics a réussi à transformer sa supply chain.

L’industrie des semi-conducteurs est une activité complexe.  Elle compte plus de 40 000 produits, plus de 200 000 clients et des process de fabrication sophistiqués. Les étapes de fabrication comprennent des centaines d’étapes qui peuvent se dérouler sur six mois autour d’un grand réseau mondial d’installation et de production. Tous ces paramètres doivent être compris dans une forte demande sur quatre marchés finaux : automobile, industrie, électronique et infrastructures de communication. STMicroelectronics fait fonc face à un très haut niveau de difficulté à gérer au quotidien.

STMicroelectronics et SAP ont uni leurs forces pour développer une supply chain fondée sur l’analyse et l’optimisation de la big data, des modèles de jumeaux numériques pour fusionner le physique et le numérique, et des outils collaboratifs pour l’ensemble des opérations. Cette union a permis un changement radical dans la façon dont cette multinationale utilise le cloud.

 

Dario Fozibo, directeur de la supply chain chez STMicroelectronics, explique : “La dynamique commerciale du marché des semi-conducteurs était très instable pendant la pandémie. Depuis, la complexité de la chaîne d’approvisionnement s’est encore accru avec une plus grande volatilité de la demande, des pénuries d’approvisionnement et de matériaux. Tout ceci combiné à une perturbation de l’économie mondiale via l’inflation, une hausse des taux d’intérêts, une augmentation des coûts de l’énergie, des réglementations commerciales plus complexes, et bien plus encore.  Tous ces facteurs ont indéniablement un impact négatif sur de nombreuses chaînes d’approvisionnement, mais cette situation n’est pas irréversible. Grâce à nos investissements, nous avons pu mieux gérer, contrôler et automatiser nos processus en termes de visibilité et de résilience. C’est ce qui fait la différence aujourd’hui.”

 

Des entreprises françaises soucieuses de renforcer leur chaîne d’approvisionnement

La grande majorité des entreprises françaises est consciente du besoin d’améliorer sa chaîne logistique (87 %). 36 % d’entre elles comprennent également l’ampleur des changements à mettre en place. Les résultats de l’étude montrent que les entreprises françaises explorent d’autres voies pour améliorer leurs chaînes d’approvisionnement :

  • 74% prévoient de prendre de nouvelles mesures d’urgence pour leur chaîne d’approvisionnement
  • 70 % prévoient de trouver de nouvelles solutions respectueuses de l’environnement
  • 66 % prévoient d’adopter de nouvelles technologies pour les aider à surmonter les difficultés au cours des 1 ou 2 prochaines années.

 

Rémy Vernet chez SAP France conclut : « Il est passionnant de voir qu’autant d’organisations réalisent l’importance d’investir dans les technologies de pointe pour innover et qu’elles prévoient d’adopter de nouvelles solutions de supply chain respectueuses de l’environnement. Les supply chains résilientes doivent être durables, non seulement en termes d’environnement, mais aussi par rapport aux évolutions des technologies et des infrastructures en France tout comme à l’étranger. Pendant des décennies, la gestion de la supply chain s’est concentrée sur les coûts, la priorité étant de la maintenir légère et rapide. Ce n’est pas la même chose que d’être agile et résilient. Avec la fin des modèles “just in time”, les entreprises doivent commencer à placer les mêmes attentes sur leur chaîne d’approvisionnement que sur leurs activités plus larges, en se structurant pour être “just in case”, afin de pouvoir s’adapter en cas de catastrophe. Celles qui n’opèrent pas ce changement s’exposeront à des 18 mois très difficiles. »

 

[1]  La Supply Chain de demain : des perturbations à tout moment

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À propos de SAP

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com. 

Contact presse : sylvie.lechevin@sap.com

sap@the-arcane.com – 06 41 99 36 72

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Source de l’article sur sap.com

Paris, le 28 février 2023. SAP (SAP:SE) et Trustpair, deux experts en technologie et digitalisation des services financiers, ont mené une étude avec OpinionWay pour sonder la complexe situation des fraudes au virement contre les ETI et grands groupes en France, auprès de ceux qui la connaissent le mieux : les Directions Financières et les Responsables Trésorerie des grandes entreprises en France.

 

La moitié des entreprises en France a subi une attaque à la fraude bancaire en 2022, dont 50% ont abouti.

54% des entreprises ont constaté en 2022 une augmentation du nombre d’attaques par rapport à 2021, avec 23% des attaques ayant abouti.

Le nombre de tentatives de fraudes bancaires est en moyenne de 2,1 tentatives par entreprise, avec une légère tendance majoritaire pour les entreprises de plus de 5 000 employés : 2,4 en moyenne et 1,9 pour les autres.

Si 3% des victimes ont du mal à évaluer, à l’issue d’une attaque, la perte réelle, il n’en reste pas moins qu’en 2022, une tentative sur deux de piratage est fructueuse.

 

La fraude au virement en 2022, le cas d’école

Alors que 50% des entreprises témoignent d’une tentative de fraude au virement, 31% déclarent avoir subi plus d’une tentative de ce type en moins d’un an. Ce chiffre atteint même 40% pour les entreprises de plus de 5 000 salariés, preuve supplémentaire que – sur la fraude au virement – les grandes entreprises restent la cible favorite des escrocs, tandis que les plus petites structures souffriront d’attaques d’un autre genre.

 

De réels impacts financiers pour les victimes

71% des attaques concernent des sommes inférieures à 100K€ et représentent 85% des attaques à l’encontre des entreprises de moins de 5 000 employés.

La majorité des fraudes se concentre sur des sommes comprises entre 50K€ et 100K€ (26%) et cible tout particulièrement les entreprises de moins de 5 000 personnes, plus d’un tiers des menaces totales. Les structures de plus de 5 000 employées quant à elles, vont connaître 14% de fraudes dépassant les 300K€.

Si les interrogés nous rapportent que pour la majorité (91%), les sommes ont été récupérées, seul 26% indiquent avoir retrouvé la totalité des montants, engendrant un réel impact financier sur les petites et moyennes structures.

 

Des attaques, aux typologies variées, qui nécessitent une sensibilité plus exacerbée

La versatilité des tentatives de fraudes constitue l’un des leviers clés de réussite. Pour cette raison, les quatre typologies de fraudes les plus souvent évoquées sont :

  • La fraude aux faux clients (39 %)
  • La fraude à la fausse facture (37%)
  • La fraude au RIB (36%)
  • La fraude au Président (34%)

 

90% des interrogés sont d’accord ou particulièrement d’accord avec le fait que le risque global de fraude au virement augmente d’année en année, et 91% s’accordent sur le fait que la lutte contre ce type de fraude doit dorénavant représenter une priorité pour leur structure.

Patrice Vatin, Head of Customer Advisory Finance & Risks, SAP France indique: « Notre perception des risques grandit car les menaces sont tangibles et nous sommes de plus en plus témoins de leurs externalités. Néanmoins, il est nécessaire de ne pas négliger toutes les menaces qui restent invisibles. Les études démontrent que nous avons tendance à minimiser les risques, or nous devons nous appliquer à autant adresser ces enjeux dissimulés, que ceux qui sont d’ores et déjà en œuvre. Il faut mettre en place des outils de contrôle continu intégrés à l’ERP, mais aussi une gouvernance entre les différentes équipes pour gérer les risques. 50% des entreprises ont été victimes de fraudes en 2022, mais 100% peuvent être des cibles. »

Baptiste Collot, Président et co-fondateur de Trustpair témoigne : « Le risque de fraude ne s’est pas atténué ces dernières années, loin de là. En cause une asymétrie de moyens qui se creuse entre l’attaque et la défense. Pour autant, la sensibilité des entreprises à ces risques a évolué. Le lien entre fraude et cyber-attaque est bien mieux identifié, les corporates sont davantage éduqués et ont une meilleure idée de comment l’adresser. La réponse réside dans une complémentarité des ressources, où le digital vient en support de l’humain pour lui permettre de se focaliser sur le bon niveau de risque. »

 

Découvrez l’intégralité de l’étude ici  

 

Méthodologie :

Étude réalisée auprès d’un échantillon de 151 DAF et responsables de trésorerie d’entreprise de plus de 250 salariés :

  • 125 Responsable / Directeur Administratif et/ou Financier (DAF)
  • 26 Responsable / Directeur de la trésorerie

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Source de l’article sur sap.com

Réduire les incidents de sécurité: implémenter un scanner d'images Docker

Implémenter un scanner d’images Docker peut aider à réduire les incidents de sécurité et à assurer une meilleure protection des données.

Est-ce que vous utilisez Docker pour déployer vos applications ? Si c’est le cas, vous n’êtes pas seul. L’utilisation de Docker a connu une croissance fulgurante ces dernières années. Bien qu’il offre de nombreux avantages, il introduit également de nouveaux risques de sécurité qui doivent être pris en compte.

Mais, pourquoi est-il si important de réduire les incidents de sécurité ? C’est simple : le coût d’une violation de sécurité peut être dévastateur. De la perte de confiance des clients aux pertes financières, les conséquences d’un incident de sécurité peuvent être graves. C’est pourquoi il est essentiel de prendre des mesures pour les empêcher de se produire en premier lieu.

Pourquoi est-il si important de réduire les incidents de sécurité ?

Avec l’essor de la technologie, le monde des applications informatiques a connu une croissance considérable. L’utilisation de Docker est devenue très populaire ces dernières années, et de nombreuses entreprises l’utilisent pour déployer leurs applications. Bien que cette technologie offre de nombreux avantages, elle introduit également de nouveaux risques de sécurité qui doivent être pris en compte.

La réduction des incidents de sécurité est très importante car les conséquences d’une violation peuvent être catastrophiques. En effet, une violation de sécurité peut entraîner une perte de confiance des clients, des pertes financières et d’autres conséquences négatives. C’est pourquoi il est essentiel de prendre des mesures pour prévenir ces incidents.

En tant que scientifique informatique enthousiaste, je recommande vivement l’utilisation de tests pour garantir la sécurité des applications Docker. Les tests peuvent être effectués à différents stades du développement logiciel, notamment lors de la conception, du codage et du déploiement. Les tests peuvent aider à détecter et à corriger les vulnérabilités potentielles avant qu’elles ne soient exploitées par des cybercriminels. Les tests peuvent également aider à vérifier que le code est conforme aux normes de sécurité et à identifier les failles de sécurité qui peuvent être corrigées avant le déploiement.

En outre, l’utilisation d’outils d’analyse de sécurité peut aider à détecter les vulnérabilités et à fournir des recommandations sur la façon de les corriger. Ces outils peuvent également aider à surveiller les activités des utilisateurs et à détecter les comportements suspects. Enfin, il est important de mettre en œuvre des stratégies de sécurité appropriées pour protéger les applications contre les attaques.

Pour résumer, il est essentiel de prendre des mesures pour réduire les incidents de sécurité liés à l’utilisation de Docker. L’utilisation de tests et d’outils d’analyse de sécurité peut aider à détecter et à corriger les vulnérabilités et à mettre en œuvre des stratégies de sécurité appropriées pour protéger les applications contre les attaques. En tant que scientifique informatique enthousiaste, je recommande vivement l’utilisation de tests pour garantir la sécurité des applications Docker.

Source de l’article sur DZONE

Protéger les données utilisateur dans Microsoft 365 : Guide pas-à-pas.

Protéger les données des utilisateurs est essentiel pour Microsoft 365. Découvrez comment le faire étape par étape grâce à ce guide pas-à-pas !

## Comprendre le paysage des menaces

Malware: Malware is malicious software designed to damage or gain unauthorized access to a system. It can be spread through email, websites, and other sources.

Phishing: Phishing is a type of social engineering attack in which attackers attempt to gain access to sensitive information by sending emails or other messages that appear to be from a legitimate source.

Data Leakage: Data leakage occurs when confidential information is unintentionally shared with unauthorized parties. This can happen through email, file sharing, or other means.

Data Theft: Data theft is the intentional theft of data by an individual or group. This can be done through malicious software, physical theft of devices, or other means.

Introduction

En tant que scientifique informatique enthousiaste, je sais que la sécurité des données est une préoccupation majeure pour les organisations qui utilisent Microsoft 365. Avec la sophistication croissante des menaces cybernétiques, il est essentiel d’être conscient des risques potentiels pour vos comptes utilisateurs et vos données. Dans cet article, nous fournirons un guide étape par étape pour vous aider à protéger votre environnement Microsoft 365 contre la perte de données. Nous couvrirons le paysage des menaces, les fonctionnalités de sécurité Microsoft 365, les meilleures pratiques pour sécuriser les comptes utilisateurs et les solutions de sauvegarde de données pour Microsoft 365. Avec les informations et les recommandations fournies dans ce guide, vous serez bien équipé pour protéger les précieuses données de votre organisation et assurer la continuité des activités.

Comprendre le paysage des menaces

Les menaces cybernétiques sont en constante augmentation et il est important de comprendre le paysage des menaces afin de mieux protéger votre environnement Microsoft 365. Les types de perte de données les plus courants auxquels les organisations sont confrontées dans un environnement Microsoft 365 sont les suivants :

Malware : le malware est un logiciel malveillant conçu pour endommager ou obtenir un accès non autorisé à un système. Il peut être diffusé par e-mail, sites web et autres sources.

Phishing : le phishing est une forme d’attaque d’ingénierie sociale dans laquelle des attaquants tentent d’accéder à des informations sensibles en envoyant des e-mails ou d’autres messages qui semblent provenir d’une source légitime.

Fuite de données : la fuite de données se produit lorsque des informations confidentielles sont partagées involontairement avec des parties non autorisées. Cela peut se produire par e-mail, partage de fichiers ou d’autres moyens.

Vol de données : le vol de données est le vol intentionnel de données par un individu ou un groupe. Cela peut être fait par un logiciel malveillant, un vol physique de dispositifs ou d’autres moyens.

Fonctionnalités de sécurité Microsoft 365 et meilleures pratiques

Microsoft 365 propose une gamme de fonctionnalités de sécurité pour protéger vos comptes utilisateurs et vos données. Ces fonctionnalités comprennent l’authentification multifacteur, la protection contre le hameçonnage, la surveillance des activités suspectes, la protection contre les logiciels malveillants et le chiffrement des données. En outre, il existe certaines meilleures pratiques que vous pouvez adopter pour renforcer la sécurité de votre environnement Microsoft 365. Ces pratiques comprennent l’utilisation d’un mot de passe fort et unique pour chaque compte

Source de l’article sur DZONE

Alors que les voyages en avion reviennent à des niveaux pré-pandémiques, les constructeurs repensent les paramètres environnementaux, en examinant en profondeur le cycle de vie des millions de pièces qui composent les avions dans lesquels les gens voyagent chaque jour.

Jusqu’à présent, l’objectif de neutralité carbone s’est traduit par la recherche d’économies de carburant grâce à la conception de machines et de moteurs plus légers, et ce à juste titre – c’est en vol que les avions produisent le plus gros pourcentage de leur empreinte CO2. Même si ces efforts se poursuivent, les constructeurs élargissent cet horizon de durabilité à l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement et de production de l’aviation, de la conception et de la production des avions aux opérations commerciales et au-delà.

« Il ne s’agit pas seulement de savoir à quoi ressemblent la conception et la production d’avions durables, mais aussi comment concevoir des opérations plus durables pour les flottes existantes”, a déclaré Torsten Welte, vice-président mondial, responsable des industries A&D chez SAP. « Les constructeurs étudient comment ils peuvent échanger davantage de données en amont et en aval de la chaîne de valeur pour concevoir et fabriquer la prochaine génération d’avions tout en améliorant ce dont ils disposent pour une activité neutre en carbone. L’aviation durable connecte les données entre l’ingénierie, la chaîne d’approvisionnement, la fabrication, les ventes et la finance. »

Une aviation sans émissions requiert une stratégie holistique

Comme la plupart des industries, les fabricants d’avions tiennent compte du réusinage dans le coût des affaires. Cette approche ne sera pas… durable dans la prochaine ère, car des politiques de plus en plus strictes, telles que le Green Deal européen entrent en vigueur et la pression sur les coûts augmente. Selon les analystes d’IDC, d’ici 2024, 80 % des fabricants mondiaux intégreront la durabilité environnementale dans leurs processus et leur écosystème de gestion du cycle de vie des produits, ce qui améliorera les ventes de 3 %. Le défi pour les fabricants d’avions est de suivre les émissions de CO2 à travers les opérations commerciales à plusieurs niveaux.

“Les entreprises doivent comprendre l’empreinte carbone totale de chaque pièce utilisée dans l’avion, ainsi que chaque étape de fabrication qui y est associée, y compris l’approvisionnement et la production, les contrôles de qualité, les arrêts de production et les retouches, l’expédition et le recyclage”, a déclaré Welte. « Les leaders de l’industrie s’orientent vers une stratégie holistique de conception durable tout au long du cycle de vie de l’avion. Par exemple, les matériaux à l’intérieur des cabines sont souvent remplacés après quelques années, et la plupart finissent dans des décharges. Comment créer une économie plus circulaire pendant la durée de vie de l’avion ? »

Favoriser un état d’esprit durable

La durabilité exige des fabricants qu’ils adoptent un état d’esprit et des outils différents dans les activités quotidiennes telles que la conception et l’approvisionnement. Selon M. Welte, certains fabricants considèrent l’approvisionnement comme mûr pour le changement, déplaçant les considérations d’achat du prix le plus bas vers les fournisseurs qui offrent des produits répondant à des paramètres de durabilité indirects et à plus long terme.

“Une pièce plus respectueuse du CO2 peut avoir un coût initial plus élevé, mais offrir des options de recyclage qui réduisent les émissions de carbone”, a déclaré Welte. « De plus, à mesure que les constructeurs d’avions explorent des alternatives de carburants et de matériaux durables, les concepteurs devront collaborer beaucoup plus étroitement avec les fournisseurs, en partageant des données pour trouver des produits de la plus haute qualité qui réduiront les remaniements et les émissions de CO2 qui en résultent. Par exemple, des technologies telles que les solutions SAP Ariba et SAP Enterprise Product Development aident les concepteurs à collaborer efficacement avec les fournisseurs pour définir et atteindre des critères de référence communs en matière de développement durable ».

Innovations numériques pour la neutralité carbone

Le calcul de l’empreinte carbone des pièces d’un avion est incroyablement complexe. Il ne suffit pas de répartir uniformément les coûts énergétiques, tels que l’électricité et le chaleur, entre les différents produits. Un rapport détaillé calcule l’énergie utilisée par les différentes pièces de façon beaucoup plus précise, en se basant sur toutes les heures de fonctionnement de la machine.

“Chaque activité, directe ou indirecte, doit être comptabilisée en CO2”, a déclaré Welte. « Avec une plus grande visibilité sur l’ensemble de la chaîne de valeur de la fabrication, les entreprises peuvent immédiatement repérer les problèmes avec les fournisseurs en amont afin d’éviter les remaniements, et ce, en produisant de meilleurs produits. Lorsque vous pouvez communiquer plus rapidement avec votre réseau d’entreprise, en collectant et en analysant dynamiquement les données à partir d’une tour de contrôle centralisée, vous pouvez suivre les progrès de votre organisation par rapport aux références de l’entreprise et de l’industrie. »

Les fabricants n’ignorent pas que chaque ralentissement entraîne un coût important en terme de perte de temps, ce qui se traduit par un gaspillage d’énergie. D’ici 2023, les analystes d’IDC ont prédit que 30 % des fabricants partageront des applications avec des partenaires de l’écosystème industriel afin d’améliorer la visibilité et l’efficacité opérationnelle et de garantir la sûreté, la sécurité et la qualité. Poussés par une demande accrue de responsabilité environnementale dans les écosystèmes de fabrication, les chercheurs d’IDC prévoient que 40 % des fabricants du G2000 utiliseront les technologies de traçabilité pour réduire les risques et renforcer la transparence d’ici 2025. Au cours de la même période, les chercheurs de Gartner ont prédit que 40 % de l’ensemble des technologies IT dans le secteur de la fabrication seront responsables de la modélisation des données pour la durabilité et les objectifs de réduction nette des émissions de carbone.

Certains fabricants utilisent déjà des innovations telles que les doubles numériques, qui capturent de manière dynamique des informations susceptibles d’accélérer la production, l’approbation des produits et la certification de nouveaux moteurs et avions.

À juste titre ou non, l’aviation a mauvaise réputation par rapport à d’autres secteurs qui consomment autant ou plus d’énergie. Mais l’aviation sans émissions n’est pas un mirage. Les fabricants se sont fixé un nouvel horizon en matière de commerce durable, en rassemblant un écosystème pour créer un avenir neutre en carbone.

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Source de l’article sur sap.com

Paris, le 7 mars 2022 – Afin de répondre aux préoccupations des dirigeants et collaborateurs face à l’augmentation de cyberattaques protéiformes et de plus en plus sophistiquées, SAP SE (NYSE : SAP), Trustpair et Accenture ont mené une étude portant sur la lutte contre les risques de fraude au virement. Cette enquête souligne une importante prise de maturité des entreprises face à la fraude, ainsi qu’une évolution positive de la perception des dispositifs visant lutter contre celle-ci.

Tandis que 95% des entreprises ont fait l’objet d’une tentative de fraude en 2021, dont les trois quarts de ces tentatives ont entraîné une perte financière, 2022 se place sous le signe d’une mise en marche des entreprises, avec une volonté forte de se professionnaliser dans la gestion de la lutte contre la fraude au virement. Les entreprises multiplient ainsi les projets d’envergure et mieux intégrés à leurs systèmes d’information.

Quelques chiffres clés permettent de dresser un diagnostic des risques de fraude auxquels font face les entreprises, mais également les enjeux de sécurisation inhérents :

  • Pour 85% des répondants, la vulnérabilité des entreprises face à la fraude s’explique par la forte augmentation des cyberattaques.
  • Parmi les entreprises victimes de fraude, la fraude au RIB arrive largement en tête (64%), suivie par la fraude au faux fournisseur (43%) et le phishing (40%).
  • Alors que 87% des répondants savent qu’il existe des solutions anti-fraude, 58% des entreprises n’auraient aucune solution technologique dédiée à la fraude au virement. Toutefois, il s’agit d’un enjeu prioritaire, car 67% d’entre elles ont entrepris un projet de lutte contre la fraude au virement en 2021.
  • On apprend également que près d’un quart des répondants souhaitent que les ERP occupent un rôle de conseiller sur la sécurisation de leurs virements. En effet, le rôle d’un ERP est fondamental, car des modules spécifiques dédiés à la lutte contre la fraude sont de plus en plus présents, ainsi que des solutions spécialisées directement intégrées dans l’environnement technique des entreprises.

« L’étude montre une chose : une sensibilité toujours plus grande au besoin de s’équiper d’une solution digitale contre la fraude au virement », déclare Baptiste Collot, Président et co-fondateur de Trustpair. « Ce constat va de pair avec l’évolution des tentatives de fraude, puisqu’il y a quelques années, les corporates avaient essentiellement pour réponses de continuer à mettre en place des processus manuels pour se protéger de ces risques-là. »

« Cette étude met en lumière l’enjeu croissant autour des ERP et de l’automatisation des processus dans la lutte contre les tentatives de fraude. Notre expertise combinée à celle de notre partenaire Trustpair dans la sécurisation des coordonnées bancaires est reconnue (avec une note de confiance à 8,6/10), et il semble, aujourd’hui plus que jamais, indispensable de répondre à la demande d’accompagnement de nos clients, en leur fournissant tous les conseils et ressources nécessaires pour mieux se défendre contre ce type de cyberattaques », selon François Bourgeois, Sales Director Finance & Risk – SAP France.

L’étude a été menée du 1er décembre 2021 au 25 janvier 2022 auprès de 134 Directeurs Financiers et Directeurs Trésorerie d’ETI et de grands groupes français, via un questionnaire par internet et par téléphone.

Pour télécharger l’étude dans son intégralité : lien.

 

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.

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À propos de Trustpair

Trustpair est la plateforme de gestion de risque de tiers spécialisée dans la lutte contre la fraude au virement.

Créé en 2017, Trustpair accompagne les Directions financières des grandes entreprises et ETI dans la sécurisation de leurs paiements en vérifiant automatiquement les coordonnées bancaires de leurs tiers. Avec Trustpair, plus de de 150 Directions financières sont déjà dotées d’une solution digitale pour déjouer les fraudes via :

  • Le contrôle automatique des RIB fournisseurs
  • L’audit continu et en temps réel du référentiel tiers
  • La sécurisation de l’ensemble de leurs campagnes de paiements

 

Site web : www.trustpair.fr

Réseaux sociaux : LinkedIn | Twitter | YouTube

 

Contacts presse :

Chloé Jalaguier : chloe.jalaguier@publicisconsultants.com

Robin Legros : robin.legros@publicisconsultants.com

Léonore Brin : lbrin@trustpair.fr

+33 (0)6 88 47 33 95

 

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Source de l’article sur sap.com