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Migrer de PHP 7.0 à PHP 8.1: tout ce qu'il faut savoir!

Migrer de PHP 7.0 à 8.1 peut être une tâche ardue, mais c’est nécessaire pour profiter des nouvelles fonctionnalités et améliorations. Découvrez tout ce qu’il faut savoir pour effectuer cette migration en toute sécurité !

PHP (Hypertext Preprocessor) : l’un des langages de script côté serveur les plus recherchés

Les données me font vibrer d’excitation! J’ai fait une découverte sensationnelle : PHP (Hypertext Preprocessor) est l’un des langages de script côté serveur les plus recherchés. Sa nature open source, sa courbe d’apprentissage facile et la capacité du code PHP à s’intégrer facilement à HTML en font un nom populaire dans le développement web. Il peut également être combiné avec JavaScript et CSS. De plus, une grande partie du logiciel WordPress est alimentée par PHP, ce qui le rend indispensable pour les utilisateurs de WordPress.

D’autres systèmes de gestion de contenu (CMS) populaires tels que Joomla, Drupal et Magneto dépendent également de PHP. PHP fonctionne sur tous les principaux systèmes d’exploitation, y compris Windows, macOS et Linux; se synchronise avec la plupart des bases de données, y compris MySQL, MongoDB et Postgres; et est pris en charge par la plupart des serveurs web tels qu’Apache, IIS, etc. Plusieurs grands noms, y compris Facebook, Shopify et Wikipedia, ont mis à profit PHP pour créer des sites Web puissants et interactifs.

Cette technologie est très polyvalente et peut être utilisée pour créer des sites Web à partir de zéro ou pour améliorer des sites Web existants. Les développeurs peuvent également créer des applications Web dynamiques et des applications mobiles avec PHP. De plus, il existe de nombreux frameworks PHP open source qui facilitent le développement d’applications Web. Les frameworks populaires incluent Laravel, Symfony, CodeIgniter et Zend Framework.

En résumé, PHP est une technologie puissante qui offre aux développeurs une variété d’options pour créer des sites Web dynamiques et interactifs. Il est open source, facile à apprendre et compatible avec la plupart des systèmes d’exploitation, bases de données et serveurs web. De plus, il existe de nombreux frameworks open source qui facilitent le développement d’applications Web. Enfin, plusieurs grandes entreprises ont mis à profit PHP pour créer des sites Web puissants et interactifs.

Source de l’article sur DZONE

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

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« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

En savoir plus

 

Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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Source de l’article sur sap.com

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

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10. Rey Theme

Rey is an innovative WooCommerce theme that is loaded with WooCommerce-friendly features and is easy to set up and use.

  • Key WooCommerce features include filtering, search, templating, and navigation.
  • Rey’s smart search helps site visitors find exactly what they want
  • Quickview and Ajax search is also available

Headers are customized for eCommerce, and visitors will appreciate Rey’s helpful cart, wish list, and checkout features.

Black Friday is not far off. Before you know it, many producers of WordPress themes, tools, and services will be offering tempting discounts.

Even if you come across a deal that appeals to you, it doesn’t hurt to look around to see if you can find a better one.

Keep in mind that the quality of a product or service is more important than its reduced price. It’s always best to pick and choose carefully. So, we’ve put together this list of the best Black Friday deals for 2022 to help you do just that.

 

[- This is a sponsored post on behalf of BAW media -]

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The post They’Re Live! 10 Great Black Friday 2022 Deals for Designers and Agencies first appeared on Webdesigner Depot.

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PHP is a widely-used open-source multi-purpose scripting language, which can be embedded in HTML and is especially suitable for Web development.

This article mainly introduces how to use the php-mqtt/client client library in PHP projects to implement the functions of connection, subscription, unsubscribing, message receiving and sending between MQTT client and MQTT server.

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Every day design fans submit incredible industry stories to our sister-site, Webdesigner News. Our colleagues sift through it, selecting the very best stories from the design, UX, tech, and development worlds and posting them live on the site.
The best way to keep up with the most important stories for web professionals is to subscribe to Webdesigner News or check out the site regularly. However, in case you missed a day this week, here’s a handy compilation of the top curated stories from the last seven days. Enjoy!”

What’s New in WordPress 6?

From PHP to Next.js: What Trivago Learned

4 CSS Progress Bars You Can Use on your Website

Lesser-Known and Underused CSS Features in 2022

Responsive Forms with CSS Flexbox

20 Best New Sites, June 2022

Building a Button Component

15 Web Design Principles for a Customer-Friendly Website

How I Created a Minimal Linktree Page in Just 2 Hours

Pixelarticons

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The post Popular Design News of the Week: May 23, 2022 – May 29, 2022 first appeared on Webdesigner Depot.

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Imagine walking into this: « About 4 million lines of PHP code, written by underpaid, sometimes not well-meaning, freelancers and students over the span of 8 years. The CEO wrote a large part, but stopped learning new techniques around 2004. »

That’s how bad tech debt can get when a startup is run without considering that all of those messy shortcuts will eventually have to get cleaned up.

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Ask any seasoned web app developer about their choice of programming language, and they are sure to mention PHP. PHP is a widely-used general-purpose scripting language that is especially suited for Web development and can be embedded into HTML. As per Builtwith, 3,090,319 live websites are still using PHP. However, when it comes to developing massive projects without lag or stability issues, developers tend to use frameworks, and PHP has two remarkable frameworks: 1) Laravel and 2) Yii. Both frameworks have a lot of followers in terms of full-grown communities globally, and there may be questions arising about which to choose.

What Are Laravel and Yii?

Laravel is a simple PHP framework frequently used for web-based or web application development initially created as a better alternative to Codeigniter. It is known for MVC Support, articulated ORM systems, reliability, modularity, and uncomplicated coding rules. Some of the key features of Laravel Framework are:

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WordPress is by far the world’s most popular CMS. Not only does it dominate the CMS market with a 64% market share, but it also powers 39.6% of all websites. It has taken the internet by storm by democratizing the web for all. Now, anyone can build, manage, and host a successful website without needing a college degree or coding expertise.

However, while WordPress is great at managing many technical aspects, it still can’t do everything for you. Built mostly on PHP, there are often concerns regarding how performant WordPress is. And, with performance impacting everything from bounce rates to SEO rankings to conversions, it’s something that should be on your radar too.

If you don’t know it yet, images are one of the main causes of slow-loading websites. In recent years, WordPress has stepped up its efforts to try and help users with image optimization out-of-the-box.

Still, as we’ll show, it’s not a total solution, and there is still plenty you can do to deliver better experiences on your WordPress website through image optimization.

What is WordPress Image Optimization? Why is it Important?

Simply put, image optimization is anything you do to make images load faster on your website pages. Almost all websites that use images can benefit from some form of image optimization, even those using WordPress.

Why?

Well, performance is a hugely significant factor when it comes to the competitiveness of your website today.

Google has also made performance an increasingly important factor when it comes to SEO rankings. In fact, performance is a direct ranking signal that carries significant weight.

Google’s Page Experience Update that went live in 2021 has been the biggest move in that direction yet. Soon, Google might even use visual indicators in SERP results to distinguish high-performing websites from the rest.

In Google’s own words, “These signals measure how users perceive the experience of interacting with a web page and contribute to our ongoing work to ensure people get the most helpful and enjoyable experiences from the web.”

So, Why Should We Target Images For Performance Optimization?

According to Google, images are the largest contributor to page weight. Google has also singled out image optimization specifically as the factor with the most untapped potential for performance optimization.

This problem isn’t going away soon. According to data by the HTTP Archive, there are roughly 967.5 KB bytes of image data on desktop web pages and 866.3 KB of image data on mobile pages. This is an increase of 16.1% and 38.8%, respectively, over the last five years.

Thanks to popular e-commerce tools like Woocommerce, it’s estimated that up to 28% of all online sales happen on WordPress websites.

And don’t forget, images are both a key part of conveying information to the user and integral to the design of your website. If they take significantly longer to load than your text, for example, it will negatively impact the user experience in a variety of ways.

In summary, optimized images help your WordPress website by:

  • Improving user satisfaction.
  • Improving various traffic metrics, like bounce rates, time-on-page, etc.
  • Boosting your SEO rankings.
  • Contributing to higher conversions (and sales).

How Does Image Optimization in WordPress Work?

WordPress is so popular because it’s a CMS (content management system) that allows anyone to build, design, and manage a website without any coding or advanced technical experience. Advanced features can be installed with just a few clicks, thanks to plugins, and you rarely have to touch the code behind your website unless you want to make some unique modifications.

In short, using a CMS like WordPress shields you from many of the day-to-day technicalities of running a website.

WordPress Image Optimization: What It Can Do

As we mentioned, one of the main reasons WordPress is so popular is because it takes care of many of the technical aspects of running a website. With that in mind, many think that WordPress should also automatically take care of image optimization without them having to get involved at all.

Unfortunately, that’s not really the case.

True, WordPress does offer some built-in image optimization. Whenever you upload an image to WordPress, it currently compresses the quality to about 82% of the original (since v4.5).

In v4.4, WordPress also introduced responsive image syntax using the srcset attribute. This creates four breakpoints for each image you upload according to the default WordPress image sizes:

  • 150px square for thumbnails
  • 300px width for medium images
  • 768px max-width for medium_large images
  • 1024px max-width for large images.

Here you can see an example of the actual responsive syntax code generated by WordPress:

<img loading="lazy" src="https://bleedingcosmos.com/wp-content/uploads/2021/12/33-1024x683.jpg" alt="" class="wp-image-9" width="610" height="406" srcset="https://bleedingcosmos.com/wp-content/uploads/2021/12/33-1024x683.jpg 1024w, https://bleedingcosmos.com/wp-content/uploads/2021/12/33-300x200.jpg 300w, https://bleedingcosmos.com/wp-content/uploads/2021/12/33-768x512.jpg 768w, https://bleedingcosmos.com/wp-content/uploads/2021/12/33-1536x1024.jpg 1536w" sizes="(max-width: 610px) 100vw, 610px">

Depending on the screen size of the device from which a user visits your webpage, WordPress will let the browser pick the most appropriately sized image. For example, the smallest version for mobile displays or the largest for 4K Retina screens, like those of a Mac.

While this may seem impressive, it’s only a fraction of what can be achieved using a proper image optimization solution, as we’ll show later.

Lastly, WordPress implemented HTML native default lazy loading for all images starting with version 5.5.

So, in short, WordPress offers the following image optimization capabilities baked-in:

  • Quality compression (limited)
  • Responsive syntax (up to 4 breakpoints)
  • Lazy loading

WordPress Image Optimization: What it Cannot Do

There are other issues many have with both the implementation of image compression and responsive syntax as it’s used by WordPress. This leads to some users even purposefully deactivating WordPress’ built-in image optimization so they can fully take control of it themselves.

Here are some of the reasons why:

  • WordPress uses a very basic form of quality compression. It does not use advanced technologies like AI and machine learning algorithms to compress images while maintaining maximum visual quality. It’s also lossy compression, so the quality is lost for good. You can clearly see the difference between an original HD image and the compressed version created by WordPress.
  • WordPress only compresses most images by up to 20%, while advanced image optimization tools can reduce all image sizes intelligently by up to 80%.
  • Responsive syntax can provide significant performance improvements over simply uploading a single HD image to be served on all devices and screens. However, it’s still only limited to a set number of breakpoints (typically 3 or 4). Since it’s not dynamic, a whole spectrum of possible image sizes is not created or used.
  • Responsive syntax code is not scalable and can quickly lead to code that’s bloated, messy, and hard to read.
  • WordPress doesn’t accelerate image delivery by automatically caching and serving them via a global CDN, although this can be done using other tools.

Another important optimization feature that WordPress does not have is auto-conversion to next-gen image file formats. Different image formats offer different performance benefits on different devices. Some formats also enable higher levels of compression while maintaining visual fidelity.

Next-gen formats like WebP, AVIF, and JPEG-2000 are considered to be the most optimal formats on compatible devices. For example, until recently, WebP would be the optimal choice on Chrome browsers, while JPEG-4000 would be optimal on Safari browsers.

However, WordPress will simply serve images in the same formats in which they were originally uploaded to all visitors.

How to Measure the Image Performance of a WordPress Website?

As the undisputed king of search engines, we’ll base most of our performance metrics on guidelines established by Google.

Along with its various performance updates, Google has released a number of guidelines for developers as well as the tools to test and improve their websites according to said guidelines.

Google introduced Core Web Vitals as the primary metrics for measuring a web page’s performance and its effect on the user experience. Thus, Core Web Vitals are referred to as “user-centric performance metrics.” They are an attempt to give developers a testable and quantifiable way to measure an elusive and abstract concept such as “user experience.”

Combined with a number of other factors, Core Web Vitals constitute a major part of the overall page experience signal:

You can find a complete introduction to Core Web Vitals here. However, they currently consist of three main metrics:

  • LCP (Largest Contentful Paint): The time it takes the largest above-the-fold element on your page to load. This is typically a full-sized image or hero section.
  • FID (First Input Delay): The delay from the moment a user first interacts with an element on the page until it becomes responsive.
  • CLS (Cumulative Layout Shift): The visual stability with which the elements on a page load.

Here is an illustration of how these metrics are scored:

While these are the three most important metrics to optimize, they are not the only ones. Google still measures other metrics like the FCP (First Contentful Paint), SI (Speed Index), as well as the TTFB (Time to First Byte), TBT (Total Blocking Time), and TTI (Time to Interactive).

A number of these metrics are directly affected by the images used on your web pages. For example, LCP, FCP, and SI are direct indicators of how fast the content of your web page loads and depends on the overall byte size of the page. However, it can also indirectly affect FID by keeping the main thread busy with rendering large amounts of image content or the perceived CLS by delaying the time it takes large images to load.

These metrics apply to all websites, whether they are custom-made or built using a CMS like WordPress.

When using tools like Lighthouse or PageSpeed Insights, you’ll also get scored based on other flags Google deems important. Some of them are specific to images, such as properly sizing images and serving images in next-gen formats.

If you only use built-in WordPress image optimization, you’ll get flagged for the following opportunities for improvement:

Some of the audits it will pass, however, are deferring offscreen images (lazy loading) and efficiently coding images (due to compression):

A Better Way to Optimize WordPress Images: ImageEngine

Billions of websites are all vying for prime real estate on Google SERPs, as well as the attention of an increasingly fussy internet-using public. Every inch matters when it comes to giving your website a competitive advantage.

So, how can you eliminate those remaining performance flags and deliver highly optimized images that will keep both your visitors and Google happy?

Sure, you could manually optimize images using software like PhotoShop or GIMP. However, that will take you hours for each new batch of images. Plus, you still won’t benefit from any automated adaptive optimization.

A more reasonable solution in today’s fast-paced climate is to use a tool developed specifically for maximum image optimization: an image CDN like ImageEngine.

ImageEngine is an automated, cloud-based image optimization service using device detection as well as intelligent image compression using the power of AI and machine learning. It can reduce image payloads by up to 80% while maintaining visual quality and accelerating delivery around the world thanks to its CDN with geographically dispersed PoPs.

Why is ImageEngine Image Optimization Better Than WordPress?

When making a head-to-head comparison, here are the reasons why ImageEngine can deliver better performance:

  • Device Detection: ImageEngine features built-in device detection. This means it picks up what device a visitor to your website is using and tailors its optimization strategy to what’s best for that specific device.
  • Client hints: By supporting client hints, ImageEngine has access to even more information regarding the device and browser to make better optimization decisions.
  • Next-gen formats: Based on optimal settings, ImageEngine automatically converts and serves images in next-gen formats like WebP, AVIF, JPEG2000, and MP4 (for GIFs).
  • Save data header: When a Chrome user has save-data mode enabled, ImageEngine will automatically compress images more aggressively to save on data transfer.
  • CDN with dedicated edge servers: ImageEngine will automatically cache and serve your optimized image assets using its global CDN. Each edge server has device awareness built-in to bring down latency and accelerate delivery. You can also choose to prioritize specific regions.

So, the key differentiator is that ImageEngine can tailor optimizing images for what’s optimal for each of your visitors. ImageEngine is particularly good at serving mobile visitors thanks to WURFL device detection, which can dynamically resize images according to most devices and screen sizes in use today. As of now, this is a completely unique capability that none of its competitors offer.

It allows for far better and more fine-tuned optimization than WordPress’ across-the-board approach to compression and responsive syntax.

If you want, you could turn off WordPress responsive syntax and compression, and you would still experience a performance increase using ImageEngine. However, ImageEngine also plays nice with responsive syntax, so it’s not completely necessary unless you want to serve the highest-fidelity/low-byte-size images possible.

How Does ImageEngine Work with WordPress?

The process ImageEngine uses to integrate with WordPress can be broken down into a few easy steps:

  • Sign up for an ImageEngine account: ImageEngine offers three pricing plans depending on the scale and features you need as well as a no-commitment 30-day free trial.
  • Specify your image origin: This tells ImageEngine where to find the original versions of your images. For a WordPress website, you can just use your domain, e.g., https://mywordpresswebsite.com. ImageEngine will then automatically pull the images you’ve uploaded to your WordPress website.

  • Copy the Delivery Address: After you create an account and specify your image origin, ImageEngine will provide you with a Delivery Address. A Delivery Address is your own unique address that will be used in your <img> tags to point back to the ImageEngine service. Delivery Addresses may be on a shared domain (imgeng.in) or customized using a domain that you own. A Delivery Address typically looks something like {random_string}.cdn.imgeng.in. If your images are uploaded to the default WordPress folder /wp-content/uploads/, you can access your optimized images from ImageEngine simply by changing your website domain. For example, by typing {imageengine_domain}.cdn.imgeng.in/wp-content/uploads/myimage.jpg into your browser, you’ll see the optimized version of that image. Just press the copy button next to the Delivery Address and use it in the next step configuring the plugin.

  • Install the ImageEngine Optimizer CDN plugin: The plugin is completely free and can be installed just like any other plugin from the WordPress repository.
  • Configure and enable ImageEngine Plugin in WordPress: Just go to the plugin under “ImageEngine” in the main navigation menu. Then, copy and paste in your ImageEngine “Delivery Address,” tick the “Enabled” checkbox, and click “Save Changes” to enable ImageEngine:

Now, all ImageEngine basically does is replace your WordPress website domain in image URLs with your new ImageEngine Delivery Address. This makes it a simple, lightweight, and non-interfering plugin that works great with most other plugins and themes. It also doesn’t add unnecessary complexity or weight to your WordPress website pages.

ImageEngine vs Built-in WordPress Image Optimization

So, now let’s get down to business by testing the performance improvement you can expect from using ImageEngine to optimize your image assets.

To do this test, we set up a basic WordPress page containing a number of high-quality images. I then used PageSpeed Insights and the Lighthouse Performance Calculator to get the performance scores before and after using ImageEngine.

Importantly, we conducted this test from a mobile-first perspective. Not only has mobile internet traffic surpassed desktop traffic globally, but Google themselves have committed to mobile-first indexing as a result.

Here is a PageSpeed score using the Lighthouse calculator for WordPress with no image optimization:

As we can see, both Core Web Vitals and other important metrics were flagged as “needs improvement.” Specifically, the LCP, FCP, and TBT. In this case, both the LCP and FCP were a high-res featured image at the top of the page.

If we go to the opportunities for improvement highlighted by PageSpeed, we see where the issues come from. We could still save as much as 4.2s of loading time by properly resizing images and a further 2.7s by serving them in next-gen formats:

So, now let’s see how much ImageEngine can improve on that.

The same test run on my WordPress website using ImageEngine got the following results:

As you can see, we now have a 100 PageSpeed score. I saved roughly 2.5s on the SI (~86%) as well as roughly 1.7s on the LCP (~60%). There was also a slight improvement in the FCP.

Not only will you enjoy a stronger page experience signal from Google, but this represents a tangible difference to visitors regarding the speed with which your website loads. That difference will lead to lower bounce rates, increased user satisfaction, and more conversions.

There was also a 53% overall reduction in the total image payload. This is impressive, considering that it’s on top of WordPress’ built-in compression and responsive syntax.

Conclusion

So, as someone with a WordPress website, what can you take away from this?

Well, first of all, WordPress does feature some basic image optimization. And while not perfect, it should help you offer reasonable levels of performance, even if you use a lot of image content.

However, the caveat is that WordPress applies aggressive, across-the-board compression, which will lead to a noticeable reduction in visual quality. If you use WordPress for any type of website where premium quality images are important, this is a concern — for example, as a photography portfolio, exhibition, or image marketplace like Shutterstock.

By using ImageEngine, you can reduce image payloads and accelerate delivery even further without compromising too harshly on visual quality. What’s more, ImageEngine’s adaptive image optimization technology will provide greater improvements to more of your visitors, regardless of what device(s) they use to browse the web.

Whether or not you still want to use WordPress’ built-in optimizations, ImageEngine will deliver significant improvements to your user experience, traffic metrics, and even conversions.

Plus, true to the spirit of WordPress, it’s extremely simple to set up without any advanced configuration. Just sign up for ImageEngine in 3 easy steps, install the plugin, integrate ImageEngine by copy/pasting your image domain, and you’re good to go.

 

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Article Image Life was normal until 2020’s monstrously bad news – Covid – came around. Developers got out of bed, then marched to the office to crunch code as they always do. While inside of the office, they reviewed their goals, played with Git, interacted with their colleagues over a cup (or two) of coffee, and built products relevant to the functionality of the company. Many developers also had side-projects that they would go home and work on during their free time as their hobby.

While in the office, developers would be busy regurgitating code – web developers, for example, would work with PHP, SQL, CSS, Javascript, and its libraries (say, jQuery). Meanwhile, database administrators would think deeply about the performance of their database instances (they would take care of indexing and normalizing their data, or work with big data sets, etc.). Once the code was complete, they’d document it and push it over to GitHub.

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