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Paris, le 3 octobre 2023 – Tout au long du mois d’octobre, SAP, leader mondial des logiciels d’entreprises, innove pour capitaliser sur l’engagement de ses collaborateurs aux enjeux de la RSE et lance en France le « Mois de l’Engagement ». Pendant quatre semaines, plusieurs actions seront menées pour soutenir les employées qui s’investissent dans des causes qui leurs sont chères.

 

Lancé le 3 octobre 2023, « Le Mois de l’Engagement » de SAP en France a été pensé avec les équipes de la Fondation SAP France et les Ambassadeurs SAP4Good. L’objectif ? Proposer une série d’actions sur l’ensemble du mois d’octobre et soutenir l’engagement des collaborateurs dans des missions à caractère social et environnemental.

« Le Village de l’Engagement », un espace dédié à l’Engagement et créé pour les collaborateurs.

Un village dédié aux actions sociales et environnementales ouvrira ses portes aux collaborateurs de SAP en France. Quatre quartiers thématiques seront proposés pour les employés qui souhaitent s’investir dans une cause : participer à l’essor de Entrepreneuriat Social, accompagner l’inclusion professionnelle via le numérique, s’engager pour Zéro inégalité (Pride@SAP, la Course du Cœur) et Agir pour l’Environnement

Le film documentaire Ose Toujours d’Enactus, réalisé par Jérôme Priolet, sera diffusé à l’occasion du lancement du Mois de l’Engagement, suivi d’une table ronde avec ENACTUS et SAP France. L’Association ENACTUS France a été créée en 2003 pour promouvoir le progrès social par l’action entrepreneuriale en France.

A travers plusieurs ateliers thématiques, cette journée sera également pour les bénévoles SAP l’occasion d’enrichir leurs compétences de mentoring d’entrepreneurs sociaux avec le coaching de Makesense et/ou d’acteurs de la transition énergétique, grâce à des animateurs dédiés.

SAP en France renforce ses actions en faveur de la RSE et amplifie celles de ses collaborateurs

Durant quatre semaines, au profit de son écosystème associatif, les employés de SAP en France s’impliqueront pour répondre au plus grand nombre d’objectifs du Développement Durable dont l’éducation, l’économie sociale et solidaire, une chance pour tous, l’égalité entre les sexes, le travail décent, etc.

La responsabilité environnementale de SAP sera également au programme avec l’adoption par le plus grand nombre de collègues d’une mobilité durable et le passage individuel à l’action pour la réduction de son empreinte carbone avec un atelier dédié : l’atelier 2tonnes qui a déjà convaincu 100% de ceux qui l’ont suivi !

Les enjeux de l’alimentation durable seront également présentés : le groupe SODEXO, leader mondial de la restauration collective, proposera à cette occasion davantage de menus végétariens au sein des locaux de SAP France.

Ce mois de l’Engagement renforce la politique globale de SAP en faveur des actions de RSE et encourage les collaborateurs à avoir un impact positif tant dans leur vie personnelle que professionnelle.

Au quotidien, l’entreprise continue de soutenir les initiatives des collaborateurs en faveur du bien commun.

 

« Chez ENACTUS, nous croyons que chaque individu porte en lui le désir d’un monde plus juste, plus inclusif et plus durable et que c’est en révélant ces rêves et en donnant confiance en chacun en sa capacité à agir, que nous ferons émerger une société souhaitable pour tous ! Nous accompagnons des étudiants, des enseignants et des professionnels à développer leurs compétences pour innover et agir au service de la société. » déclare Céline Sannié, Directrice Générale Adjointe ENACTUS

 

« Nous sommes très fiers de nous associer à cette initiative pour faire découvrir aux salariés de SAP une alimentation responsable, locale et gourmande faisant la part belle au frais et au végétal. Des approvisionnements au zéro plastique, en passant par la mise en place de paniers anti-gaspi, c’est un écosystème vertueux qui illustre notre engagement pour une restauration durable alliant plaisir, santé et éco-responsabilité. » explique Sabine Sakthikumar, Directrice Générale IDF et Nouveaux modèles de restauration chez SODEXO

 

Pour Emmanuelle Brun Neckebrock, CFO et Directrice Générale Déléguée SAP France : « Ce mois est une formidable opportunité pour tous nos collaborateurs et pour l’équipe de direction de continuer à nous engager. Aujourd’hui, notre entreprise a à cœur de contribuer au développement de toutes les initiatives, et c’est ce que nous faisons avec le Mois de l’Engagement, avec nos partenaires ENACTUS et SODEXO. Il est important pour SAP d’offrir à ses collaborateurs une plateforme d’engagements qui leur permettra de continuer à servir les causes qui leurs sont chères et d’en découvrir de nouvelles. »

 

A propos de SAP :

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 26 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Contact presse :

Sylvie Lechevin : sylvie.lechevin@sap.com / sap@the-arcane.com

 

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Source de l’article sur sap.com

SAP lance une nouvelle solution pour accélérer l’économie circulaire

WALLDORF, Allemagne – le 9 novembre 2021SAP SE (NYSE : SAP) annonce aujourd’hui la disponibilité de SAP Responsible Design and Production, une solution permettant de concevoir des produits de manière durable et de passer à une économie circulaire. Il s’agit de la dernière offre d’un portefeuille croissant de logiciels spécifiques au développement durable qui aide les entreprises à accroître leurs capacités de mesure et de gestion des données.

À l’heure où des réglementations relatives au développement durable, telles que des taxes sur le plastique, sont mises en place, la solution SAP Responsible Design and Production permet aux marques d’accélérer leur transition vers des pratiques commerciales d’économie circulaire. Cette nouvelle solution aide les entreprises à avoir une meilleure visibilité sur les flux de matériaux à travers leurs processus, notamment en assurant le suivi et la conformité aux réglementations qui évoluent rapidement, en particulier celles qui concernent les emballages de produits et les plastiques. Alors que les entreprises développent de plus en plus de produits durables, la gestion des matériaux et des données réglementaires devient aujourd’hui l’un des défis les plus complexes de l’industrie de la consommation.

« L’économie circulaire repose sur trois principes, portés par la conception – éliminer les déchets et la pollution, faire circuler les produits et les matériaux, et régénérer la nature. Les solutions numériques jouent un rôle important dans la transition vers une économie circulaire« , a déclaré Andrew Morlet, PDG de la Fondation Ellen MacArthur. « Elles permettent aux entreprises d’intégrer des pratiques circulaires dans l’ensemble de leurs activités, de la conception de produits visant à réduire les déchets dès le départ au suivi du cycle de vie des matériaux qu’elles utilisent. »

Avec la nouvelle solution de SAP, les entreprises peuvent intégrer les principes de circularité dans leurs processus de gestion de base, ce qui permet d’éliminer les déchets et de dégager une nouvelle valeur en concevant des produits durables dès leur conception. À titre d’exemple, le responsable d’une marque de shampooing dispose d’une visibilité sur le cycle de vie complet du produit, y compris sur ses obligations en matière de responsabilité élargie des producteurs (REP) et sur les taxes sur les plastiques des différents marchés. Cette visibilité aide le responsable de la marque à apporter des modifications à la conception pour réduire les déchets et à prendre des décisions sur la manière de réduire les coûts du système de déchets en aval.

« Chaque année, nous utilisons presque deux fois plus de ressources que la planète ne peut en régénérer. Les entreprises peuvent jouer un rôle crucial en conservant plus longtemps la valeur de nos systèmes grâce à une conception de produits intelligente et responsable qui réutilise les ressources au lieu de les éliminer« , a déclaré Scott Russell, membre du Conseil d’Administration et Responsable de la Réussite Client chez SAP. « La conception de produits qui éliminent les déchets et utilisent des matériaux responsables présente une complexité inhérente, mais la solution SAP Responsible Design and Production s’attaque à cette complexité et offre une solution de référence à nos clients, ce qui les aide à fournir des produits circulaires et à mettre en place une économie régénérative. »

SAP Responsible Design & Production, une solution du Cloud co-développée avec Accenture sur SAP Business Technology Platform, fournit des informations sur mesure qui permettent aux entreprises de suivre le rythme des réglementations REP et des taxes sur le plastique, d’intégrer les principes de circularité dans les processus de gestion de base et d’optimiser la conception pour une activité durable.

Pour en savoir plus sur le thème « Aider les entreprises à prospérer dans une économie circulaire », cliquez ici.

Depuis plus de dix ans, SAP montre l’exemple en tant qu’entreprise durable. En plus d’avoir été nommé leader de l’industrie du logiciel dans le Dow Jones Sustainability Indices (DJSI) pendant 14 années consécutives, l’adhésion de SAP à la Value Balancing Alliance et le SAP Integrated Report illustrent son engagement à intégrer les performances économiques, environnementales et sociales pour guider les décisions commerciales.

Pour en savoir plus, consultez SAP Sustainability Solutions et suivez SAP sur Twitter à l’adresse @SAPNews.

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.

Contacts presse :

Mathilde Thireau : mathilde.thireau@publicisconsultants.com

Robin Legros : robin.legros@publicisconsultants.com

SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

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Cette nouvelle série vidéo en trois parties explore l’impact des « passionnés » – un groupe croissant de consommateurs qui soutiennent activement les entreprises reflétant leurs valeurs personnelles sur les questions environnementales et sociales.

En 2020, le centre de recherche SAP Insights a lancé une étude conseillant les chefs d’entreprise sur les compétences et attributs dont ils auront besoin dans l’économie de l’expérience guidée par les émotions. Avec plus de 10 000 réponses de consommateurs du Canada et des États-Unis, le rapport a révélé que ce qui différencie les entreprises aujourd’hui, c’est la capacité d’un leader à s’exprimer et à mobiliser l’action sur les enjeux mondiaux. « Cet état d’esprit est alimenté par les passionnés, un groupe croissant de consommateurs qui croient qu’il faut agir pour améliorer le monde et qui attendent des chefs d’entreprise qu’ils fassent de même « , a déclaré Siddharth Taparia, vice-président principal et responsable de la stratégie, de la marque et du marketing de l’expérience chez SAP.

 

« Nous voulions attirer l’attention sur les problèmes environnementaux et sociétaux et montrer ce que les grandes entreprises, les clients et les partenaires de SAP font pour relever ces défis et susciter le changement et la prise de conscience dans leurs propres secteurs « , a ajouté M. Taparia.

 

Blank Canvas – bande annonce

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Blank Canvas - bande annonce

 

La série est animée par Baratunde Thurston, auteur à succès du New York Times et conteur nommé aux Emmy Awards. Chaque épisode se concentre sur un vaste sujet et explore les angles avec du contenu basé sur des données, des témoignages de clients et des points de vue d’experts.

 

Le premier épisode explore comment les acteurs de l’industrie de la fast fashion opèrent des changements environnementaux positifs suite à la pression de consommateurs passionnés qui demandent du changement. Le deuxième épisode montre comment des fans passionnés ont fait pression sur les ligues sportives professionnelles et les athlètes pour qu’ils mettent en place des initiatives et des messages de justice sociale sur et en dehors du terrain de jeu. Le troisième épisode examine comment les entreprises du secteur de l’alimentation et des boissons font face aux défis environnementaux majeurs que sont l’approvisionnement en eau, le gaspillage alimentaire et l’utilisation de plastique, et comment des consommateurs passionnés sont à l’origine des changements.

 

La série comprend des conversations avec le mannequin, entrepreneur et philanthrope Karlie Kloss et le golfeur professionnel Cameron Champ. Les épisodes présentent également des segments sur la façon dont des organisations telles que la NBA et le Fonds mondial pour la nature (WWF) s’efforcent de susciter des changements à l’échelle mondiale.

 

Découvrez les 3 épisodes de Blank Canvas sous-titrés en français

 

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Source de l’article sur sap.com

Auparavant, « mener la belle vie » signifiait jouir du confort et du luxe, loin des problèmes financiers et des préoccupations environnementales. Ce n’est plus le cas aujourd’hui.

Selon une récente étude Harris/Ketchum commandée par Sustainable Brands, une communauté mondiale d’innovateurs de marque, la définition d’une belle vie a changé. Plutôt que l’argent, le statut et les réalisations personnelles, aujourd’hui, « la base d’une vie bien vécue repose sur l’équilibre, la simplicité et des liens plus étroits avec la famille, la communauté et l’environnement ».

Selon les sources, la recherche indique qu’environ 65 à 95 % des personnes veulent désormais vivre une vie plus durable et acheter des produits qui soutiennent un avenir plus durable. Cela a un impact considérable sur les sociétés qui souhaitent rester compétitives dans ce nouveau contexte.

Comment les marques évoluent-elles alors pour répondre aux besoins et aux aspirations des consommateurs qui apprécient la simplicité, la transparence, l’authenticité et la durabilité plutôt que les biens personnels et l’apparence ?

Appliquer la théorie

Les objectifs et la vision des marques durables sont clairs. Elles créent des feuilles de route pour développer en permanence des pratiques commerciales plus durables. Elles excellent dans le leadership éclairé, l’innovation et les meilleures pratiques pour façonner une culture où la vie durable constitue la base de la belle vie de demain.

En voici quelques exemples sympathiques.

Procter & Gamble, géant des produits de consommation courante, a augmenté d’un cran ses initiatives en termes d’économie circulaire en fabriquant des bouteilles à partir du plastique ramassé sur les plages et repêché dans les océans. La société s’est également engagée à recycler et à récupérer 5 milliards de litres d’eau par an de ses processus de fabrication. Elle s’attaque même à un problème que personne d’autre ne semble savoir résoudre : la société a inventé une technologie capable de redonner de la valeur aux déchets, comme la cellulose plastique des couches jetables sales.

À Haïti, une des conséquences involontaires des opérations de secours après le séisme dévastateur de 2010 a été l’accumulation de montagnes de bouteilles plastique sur toute l’île. Des bouteilles d’eau vides et les emballages des fournitures expédiées pour aider les Haïtiens se sont retrouvés dans les canaux, sur les plages et dans les rues. Le système de collecte des déchets du pays s’est alors effondré. Aujourd’hui, ces bouteilles trouvent une seconde vie sous la forme de cartouches d’imprimante. À travers un projet de recyclage radical, HP, une société qui voit la circularité comme une approche liée au cycle de vie des produits, collabore avec divers partenaires pour créer de nouveaux emplois, offrir une formation en matière de santé et de sécurité et instruire des centaines d’enfants qui collectaient auparavant des déchets pour venir en aide à leur famille.

Parvenir à la belle vie

En mai 2019, plus de 2 500 représentants de la communauté Sustainable Brands se sont rassemblés à Détroit afin de faire part de leurs efforts et de s’inspirer de ce que font les autres pour agir et avoir la conscience tranquille, tout en fournissant des produits et des services qui répondent aux besoins et aux visions des clients et des consommateurs.

Cette conférence de quatre jours attire des leaders éclairés, des innovateurs, des experts du développement durable et des stratèges de marque du monde entier. L’événement principal est l’exposition Innovation Expo. Les participants peuvent s’inscrire à des ateliers, à des laboratoires d’innovation et à des activités de programmation centrés sur l’amélioration du monde.

L’exposition est divisée en pavillons « Belle vie » dédié aux différents secteurs du marché tels que la chimie, l’énergie et la finance, ainsi qu’à des sujets tels que la circularité et la gestion des ressources. Une section est même consacrée aux revues qui sont capables d’inspirer des changements comportementaux, comme le National Geographic.

En tant que sponsor « Good Life Lounge » pour l’économie circulaire, SAP organise plusieurs dialogues interactifs sur des sujets stratégiques. La question de la pollution plastique des océans est un des sujets de la conférence auquel les dirigeants de SAP sont très attachés.

Notre génération a fait la différence

The Knowledge That our Generation Has Made a Difference

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The Knowledge That our Generation Has Made a Difference

Vidéo d’Angela Klose

Une direction qui a du sens

En 2018, Stephen Jamieson, responsable de SAP Leonardo au Royaume-Uni et en Irlande, a participé à la création de « Plastics Cloud », une plateforme pour s’attaquer au problème du plastique à usage unique. L’initiative compile des informations et utilise l’apprentissage automatique pour identifier les matériaux et les tendances prévisionnelles en matière d’achat et de recyclage de matières plastiques, ce qui permet aux services de répondre à la demande. Elle partage également des données avec les consommateurs pour les aider à comprendre l’impact qu’ils ont au sujet des matières plastiques.

Entre-temps, Padmini Ranganathan, vice-présidente globale Produits et innovation chez SAP, a inclus Plastics for Change dans Ariba Network, de façon à intégrer l’économie informelle des collecteurs de déchets dans un système d’offre et de demande de matériaux secondaires plus formalisé.

L’initiative de Stephen Jamieson et le travail de Padmini Ranganathan avec les collecteurs de matières plastiques ont été deux des principaux facteurs qui ont poussé SAP à parrainer le sommet Ocean Plastic Leadership Summit dirigé par Jim Sullivan, responsable de l’Innovation durable chez SAP, et Alexandra van der Ploeg, responsable de la Responsabilité sociale d’entreprise chez SAP.

Comme l’a dit Mohammed Ali « l’impossible est temporaire ». Ce paradigme a été répété à maintes reprises par les 170 producteurs, scientifiques, chercheurs et innovateurs participant au sommet océanique. Bien que la pollution plastique des océans soit un immense défi, Jim Sullivan estime que si les gouvernements, les organisations non gouvernementales (ONG), les consommateurs et les leaders industriels s’associaient, il serait possible de le relever en dix ans. La plupart du plastique est rejeté dans l’océan par cinq cours d’eau en Asie. Les experts estiment qu’en réduisant la quantité des matières plastiques déversées dans les cours d’eau de seulement 20 % au cours des sept prochaines années, les océans reviendraient aux niveaux de pollution plastique des années 1990.

La technologie pour y parvenir existe déjà. C’est l’investissement nécessaire au développement de cette infrastructure essentielle qui fait défaut, et ce manque s’accentue encore plus du fait de l’échec du système d’offre et de demande de matériaux recyclés.

Les entreprises durables jouent un rôle majeur dans la solution. Elles transforment leurs activités avec des modèles circulaires qui permettent aux consommateurs et aux producteurs de refuser, de réduire, de réutiliser et de recycler. Ensemble, ils créent une assise durable pour mener la belle vie, selon la nouvelle définition qu’on lui prête.

Publié en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Le mois dernier, 162 personnes d’horizons très différents ont embarqué à bord d’un navire pour rejoindre le Sommet contre la pollution plastique des océans (OPLS) dans le gyre de l’Atlantique Nord, un système circulaire de courants océaniques. Ces personnes ont pris part à une expédition de recherche expérimentale pour mieux comprendre l’étendue de la pollution plastique, et pour développer des partenariats et des solutions intersectorielles en vue de relever ce défi mondial au cours de la prochaine décennie.

Organisée par SoulBuffalo, cette expérience immersive a été conçue pour mettre les décideurs en situation, afin qu’ils puissent observer et ressentir par eux-mêmes le côté catastrophique de la pollution plastique. Selon l’Oceanic Society basée en Californie, entre 4 et 12 millions de tonnes métriques de plastique sont déversées chaque année dans l’océan, soit suffisamment pour couvrir tout le littoral de la planète ! Et ces chiffres devraient plus que doubler dans les dix prochaines années.

Cependant, la pollution plastique océanique est un problème que nous pouvons résoudre. Nous savons comment ramasser les ordures et nous savons comment les recycler. Selon Ted Siegler, un économiste spécialisé dans les ressources qui a travaillé pendant 25 ans sur la gestion des ordures dans les pays en développement, l’urgence est de construire les institutions et systèmes nécessaires pour y parvenir avant que l’océan ne se transforme irrémédiablement en une « soupe plastique » dénuée de toute forme de vie.

Pas un poisson en vue

Le groupe OPLS était constitué de producteurs, fabricants, marques, recycleurs et syndicats d’éboueurs. Étaient également au rendez-vous des experts financiers, des scientifiques, des revues comme le National Geographic, des chercheurs, des leaders éclairés et des innovateurs, depuis les cadres d’entreprises telles que Coca-Cola, Nestlé, Procter & Gamble et Dow Chemicals, jusqu’aux ONG telles que Greenpeace, WWF et Ocean Conservancy.

Chaque fois que le navire s’approchait d’algues sargasses, les participants interrompaient leurs réunions pour sauter dans des bateaux pneumatiques munis de leur équipement de plongée.

Ils ne virent aucun poisson de la journée. Et au début, ils ne virent pas beaucoup de plastique non plus. Le plastique est trompeur, car il n’est pas visible à la surface. Dans l’océan, il se décompose en petites particules qui sont capturées par les algues et ingérées par les espèces marines.

« Le vrai problème, c’est ce qui n’est pas visible », déclare Michael Groves, PDG de Topolytics, une entreprise d’analyse de données dédiée à la gestion des déchets, qui participait à l’expédition. Il explique que sur une distance d’un kilomètre, le navire a récupéré 76 débris microplastiques immédiatement sous la surface.

Multipliez ce chiffre par la quantité de microplastique présente dans la colonne d’eau qui descend jusqu’à une profondeur de 2,5 kilomètres et vous comprendrez l’immensité du problème.

Accepter la responsabilité

Comme l’explique Virginie Helias, directrice du développement durable chez Procter & Gamble, « le problème de la pollution plastique dans nos océans relève de la responsabilité de tous aujourd’hui, y compris des entreprises qui produisent et utilisent une grande partie du plastique dans le monde. »

John Hocevar, directeur de la campagne Océans de Greenpeace, le confirme.

« Les personnes présentes sur ce navire représentent des entreprises responsables d’une grande partie de l’empreinte plastique de la planète. Nous avons donc réuni ici les personnes réellement à même de résoudre le problème de la pollution plastique », a-t-il affirmé. « Plusieurs entreprises se concentrent sur des solutions en aval telles que le recyclage et l’éducation des consommateurs, mais ce dont nous avons besoin, c’est d’un plus grand nombre d’individus, d’entreprises et de gouvernements qui assument la responsabilité de la fin de production. »

John Hocevar estime que nous ne pourrons pas venir à bout de la pollution plastique tant que nous continuerons à en tirer parti et déclare que la plupart des entreprises ne sont même pas conscientes de la quantité de plastique qu’elles produisent. Le point de départ pour toute entreprise est d’évaluer son empreinte plastique, puis de se fixer des objectifs pour la réduire.

Mais il y a aussi de bonnes nouvelles. Plusieurs marques durables comme Procter & Gamble intensifient leurs initiatives en matière d’économie circulaire pour réduire, réutiliser et recycler les matières plastiques et autres ressources, et beaucoup d’autres prennent des mesures pour lancer des initiatives similaires.

Adidas, par exemple, fabrique des chaussures à partir du plastique repêché dans les océans. L’on doit cette idée à John Warner, un fondateur de la chimie verte, qui faisait partie de l’expédition.

Dow Chemicals, l’un des sponsors de l’expédition OPLS, a récemment annoncé qu’il participerait à une levée de fonds mondiale d’un milliard de dollars pour venir à bout des déchets plastiques dans l’environnement.

Jim Sullivan, qui pilote l’accélérateur d’innovation de SAP en matière de développement durable à l’échelle mondiale et qui a participé à l’organisation de l’expédition, souligne que pour résoudre une crise mondiale de cette ampleur, nous devons entamer un dialogue ouvert et parfois difficile avec les différentes parties prenantes. Nous devons également adopter une approche multisectorielle qui permette d’identifier les compromis avec d’autres défis mondiaux, tels que le changement climatique, afin d’éviter des conséquences graves. De plus, nous devons utiliser des métriques communes pour donner la priorité aux activités les plus significatives et suivre les progrès réalisés sur la voie des aspirations telles que le « zéro plastique » dans la nature en 2030.

Préserver plutôt que consommer

Il n’existe aucune solution ou entreprise capable de résoudre ce problème à elle seule. Les partenariats et les solutions évolutives tels que le Sommet contre la pollution plastique des océans constituent une pièce centrale du futur que nous devons inventer.

Dans un premier temps, il vaudrait la peine de revenir sur le « conflit d’intérêts initial entre les populations autochtones et les populations à l’ère industrielle, à savoir la gestion de la terre, de l’eau, du feu et de l’air ». Selon Patricia Anne Davis, gardienne de la sagesse navajo, ce conflit d’intérêts est toujours d’actualité.

Les populations autochtones ont protégé ces éléments depuis le début de l’humanité, alors que les populations à l’ère industrielle ont saccagé la planète en seulement un ou deux siècles. Ce conflit n’est plus durable et doit cesser, dans l’intérêt de tous les êtres humains de la planète.

« Nous devons passer de la consommation à la préservation », indique Damien Johnson, qui participait au sommet en tant que représentant du bureau d’innovation SAP en Amérique du Nord. Damien Johnson estime que la solution comporte deux volets : premièrement, stopper l’introduction de nouveaux déchets plastiques et deuxièmement, améliorer les processus de recyclage des déchets existants.

« L’utilisation du plastique a été motivée par l’innovation et le souhait d’améliorer l’expérience client.  Nous devons à présent utiliser la technologie et l’innovation pour maintenir cette expérience, mais supprimer les matières plastiques à usage unique », conclut-il.

Créer de la valeur

L’un des problèmes qui se pose avec les déchets plastiques, c’est qu’ils ne possèdent pas encore de valeur marchande…

Dans de nombreux pays comme le Brésil et l’Inde, les ramasseurs de rue récupèrent du métal, des guenilles et du papier, puis les revendent en vue de leur recyclage. Mais la plupart des matières plastiques n’intéressent personne, car elles ne possèdent aucune valeur marchande.

« Le pire, c’est que les entreprises qui veulent utiliser du plastique recyclé ont du mal à en trouver sur le marché », déclare Padmini Ranganathan, vice-présidente globale Produits et innovation chez SAP.

C’est pour cette raison que Padmini Ranganathan et son équipe sont en train d’intégrer de nouvelles entreprises comme Plastics for Change sur Ariba Network, pour associer l’économie parallèle de ramassage de déchets à des systèmes plus officiels d’offre et de demande de matières secondaires.

« Nous devons intégrer les déchets plastiques dans la chaîne logistique, afin qu’ils ne soient pas récupérés dans le secteur illégal, car les éboueurs travaillent dur pour trier et convertir les déchets en valeur marchande », prévient Padmini Ranganathan.

La solution à long terme passe par un changement de fond, aussi bien dans le système de flux d’articles que dans les systèmes numériques.

« Outre les ERP et les processus de gestion, nous devons exploiter des systèmes numériques agiles et évolutifs au fur et à mesure que la chaîne logistique du plastique se transforme », déclare Padmini Ranganathan.

Technologie et travail d’équipe

Bien que la pollution plastique des océans soit un immense défi, ces experts estiment que si les gouvernements, les ONG, les consommateurs et les entreprises s’associaient, il serait possible de le relever en dix ans. En effet, la plupart des matières plastiques sont rejetées dans l’océan par cinq fleuves en Asie, ce qui signifie qu’une simple réduction de 20 % des matières plastiques déversées dans les cours d’eau au cours des sept prochaines années permettrait de revenir aux niveaux de pollution plastique océanique des années 1990.

La technologie pour y parvenir existe déjà. Les entreprises durables jouent un rôle majeur dans la solution. Elles transforment leurs activités avec des modèles circulaires qui permettent aux consommateurs et aux producteurs de refuser, de réduire, de réutiliser et de recycler. En réunissant les entreprises, les gouvernements, les ONG et les groupes de protection des océans, il est possible de créer une solution globale pour un avenir durable.

Publié initialement en anglais sur Forbes dans la catégorie Brandvoice

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Source de l’article sur sap.com

La plupart des pays industrialisés recyclent leurs déchets depuis déjà des décennies. Nous trions le verre, le plastique, le papier et le textile en les jetant dans les poubelles prévues à cet effet. Mais qu’advient-il ensuite de ces déchets ? En faisons-nous assez ? Et qu’en est-il des régions qui sont devenues des dépotoirs ou qui n’ont pas mis en place de systèmes de recyclage ?

Malgré nos efforts, près de 9 millions de tonnes de plastique sont déversés chaque année dans les océans en raison de notre modèle de consommation linéaire actuel Extraire, Fabriquer, Jeter.

L’entassement des déchets dans les décharges n’arrange rien. Pas moins de 1,3 milliard de tonnes de déchets sont mis en décharge chaque année et ce chiffre devrait grimper à 2,2 milliards de tonnes en 2025. Les dommages causés à l’homme, à la faune sauvage et à l’environnement sont considérables, mais nous pouvons prendre des mesures pour les atténuer.

Le cas des vêtements

Outre les déchets plastiques et électroniques, les textiles, notamment les textiles non biologiques, sont en grande partie responsables du problème. Selon l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (EPA), les Américains jettent 13,1 millions de tonnes de textiles par an, dont 15 % seulement sont recyclés. Cela signifie que plus de 11 millions de tonnes de textiles sont déversés chaque année dans les décharges, libérant dans le sol des colorants et des produits chimiques qui contaminent les eaux souterraines et nuisent à l’environnement. Pire encore, à mesure que les textiles se décomposent, ils libèrent du méthane, un gaz à effet de serre nocif qui contribue de manière significative au réchauffement climatique.

L’industrie textile est la plus polluante après le logement, le transport et l’alimentation. L’apparition des achats en ligne a bouleversé nos habitudes. Aujourd’hui, les consommateurs commandent les articles en plusieurs tailles ou plusieurs couleurs, les essaient et retournent ce qui ne leur convient pas, ce qui crée de nouveaux défis pour les commerçants. De nombreux détaillants sont contraints de jeter plus de 25 % des articles retournés, soit des tonnes de marchandises neuves déversées chaque année dans les décharges.

Dans ce contexte, le secteur de la mode éphémère est soumis à de fortes pressions pour repenser sa stratégie de production et merchandising en vue de réduire les dommages écologiques.

Quatre gestes pour réduire les déchets

La protection de l’environnement relève de la responsabilité collective. Si les gouvernements, les consommateurs, les fabricants et les détaillants font leur part du travail, il est encore possible d’inverser la tendance. En tant que citoyens et consommateurs, nous avons un rôle important à jouer.

Nous pouvons tous refuser d’acheter des articles en plastique à usage unique, des produits vendus dans des emballages superflus ou des vêtements bon marché qui finissent dans des décharges après avoir été portés une ou deux fois.

Nous pouvons réduire les déchets en évitant d’en générer, par exemple en réduisant le volume des marchandises achetées en ligne, puis retournées au vendeur. Pour ce qui est de la réutilisation, cette pratique est en plein essor. Des friperies aux associations caritatives, il existe de nombreux moyens de remettre des textiles, meubles et appareils sur le marché plutôt que de les déverser dans les décharges.

Enfin, le recyclage doit être l’objectif ultime. Il permet non seulement de réduire la dépendance à l’égard des matières premières, mais il crée des emplois et diminue l’impact de notre société de consommation sur l’environnement.

Toutefois, il existe encore un énorme fossé entre ce que nous aspirons à faire en tant que consommateurs et notre comportement au quotidien.

Même si plusieurs études, telles que l’enquête sur les emballages plastiques de 2017 réalisée par l’institut britannique de sondage Populus, confirment la motivation des consommateurs à mieux gérer leur consommation et leurs déchets de matières plastiques, il reste encore beaucoup à faire. Par exemple, les étiquettes d’emballage sont souvent source de confusion et la communication des collectivités locales sur les options de recyclage disponibles n’est pas suffisamment claire.

Une participante à une enquête a donné un excellent exemple de la complexité à laquelle les consommateurs sont confrontés lorsqu’ils tentent d’adopter les bons gestes. « J’ai effectué des recherches sur les couches biodégradables, qui me semblent être une bonne idée », a-t-elle déclaré. « Mais apparemment, ces couches peuvent uniquement être recyclées dans un composteur. Si elles sont mises en décharge, elles produisent du méthane, ce qui est réellement nocif pour l’environnement. »

Le défi de SAP concernant les matières plastiques

S’agissant des matières plastiques et de la pollution qu’elles engendrent, une manière de résoudre le problème serait de les éliminer tout simplement de la chaîne logistique.

L’an passé, l’équipe SAP Leonardo a lancé un projet d’innovation collaborative dans le cadre du UK Plastics Pact de WRAP afin de trouver de nouvelles solutions face au problème de pollution plastique. L’initiative a débuté par une enquête ethnographique visant à déterminer comment les citoyens perçoivent le défi de la pollution plastique. Sur la base des résultats de l’enquête, cinq personas ont été développées pour représenter les attitudes et comportements qui prévalent aujourd’hui dans la société britannique, depuis les sympathisants jusqu’aux ardents défenseurs de l’écologie.

Plusieurs thèmes sont ressortis de cette étude : le devoir de réduire la consommation de matières plastiques, la confusion et les mythes sur le recyclage, la nécessité d’apprendre et de répondre de manière appropriée et, enfin, la nécessité de sensibiliser.

Dans le cadre de la deuxième phase du projet, un marathon de programmation et une session de conception créative organisés sur trois jours ont rassemblé des experts et des innovateurs de SAP et de grandes entreprises internationales comme Unilever, HSBC et Deliveroo. Les équipes ont été invitées à concevoir des prototypes de produits et services autour des cinq thèmes pour les différents personas. Les prototypes sont en cours de développement et de test dans une phase d’incubation. Les solutions visant à éliminer le plastique seront présentées à l’occasion de l’exposition collective Design Frontiers, qui se déroulera au London Design Festival en septembre prochain.

Autres bonnes nouvelles

Pour ce qui est de la gestion des déchets industriels et ménagers, le lot d’efforts déployés varie d’un pays à l’autre. La Suède importe à présent des déchets, car moins de 1 % de ceux générés dans le pays se retrouvent dans des décharges. Le reste est recyclé ou brûlé pour chauffer les maisons. Le processus est tellement efficace que la Suède s’est mise à manquer de déchets et a commencé à en importer auprès de pays voisins pour alimenter son programme national de valorisation énergétique.

L’Allemagne est un autre exemple : sur les 45,9 millions de tonnes de déchets ménagers produites en 2017, seules 0,5 million de tonnes ont été mises en décharge grâce aux directives de l’UE, à des réglementations nationales strictes en matière de gestion des déchets et à des installations de traitement des déchets de pointe. La ville de Heidelberg, par exemple, a ajouté des capteurs intelligents à ces bacs à ordures et les a connectés à la solution SAP Connected Goods. La ville dispose désormais d’une visibilité en temps réel sur l’état des déchets, ce qui réduit le nombre de camions à ordures sur la route, en éliminant le ramassage inutile et le remplissage excessif. Cela a également contribué à la réduction du bruit, du trafic et de la pollution.

On constate aussi des progrès dans le Global Fashion Agenda. À la fin du premier semestre de l’année dernière, l’Engagement 2020 en faveur du système de mode circulaire avait été signé par 94 entreprises représentant 12,5 % du marché mondial de la mode. Ces entreprises se sont engagées à collecter et revendre des vêtements et des chaussures, de même qu’à accroître la part de vêtements et chaussures fabriqués à partir de fibres recyclées. Elles ont également promis de rendre compte des progrès annuels et, plus important encore, de transformer leurs pratiques commerciales linéaires actuelles.

De plus en plus d’entreprises prennent conscience des avantages d’une approche circulaire et de plus en plus de consommateurs réclament des produits et services plus durables. Dès lors, il est encore possible d’inverser la tendance.

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Publié initialement en anglais sur Forbes dans la catégorie Brandvoice

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Source de l’article sur sap.com