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Directement intégré aux solutions qui alimentent les processus les plus critiques,

Joule est un copilote qui comprend vraiment l’entreprise.

 

WALLDORF, Allemagne – le 26 septembre 2023 — SAP SE (NYSE: SAP) a présenté aujourd’hui Joule, un copilote d’intelligence artificielle générative en langage naturel, destiné à transformer la manière dont les entreprises fonctionnent. Joule sera intégré à l’ensemble du portefeuille d’entreprises ayant choisi les solutions cloud de SAP, qui fournissent des informations proactives et contextualisées, issues de l’ensemble de la gamme de solutions SAP, ainsi que de sources tierces. En triant et en contextualisant rapidement des réseaux complexes de données d’entreprises cloisonnées, le nouvel assistant est en mesure de proposer des aperçus complets. Grâce à l’IA générative, Joule améliore la productivité en entreprise et favorise l’atteinte de meilleurs résultats commerciaux, de manière sécurisée et en conformité avec les règlementations. Joule s’inscrit dans la lignée des innovations révolutionnaires de SAP, faisant ses preuves avec des résultats concrets.

 

Joule : une intégration dans l’écosystème de solutions SAP

 

Avec près de 300 millions d’utilisateurs professionnels dans le monde entier qui travaillent régulièrement avec les solutions cloud de SAP, Joule a le pouvoir de redéfinir la manière dont les entreprises – et leurs employés – travaillent“, déclare Christian Klein, PDG et membre du conseil exécutif de SAP SE. “Joule s’appuie sur la position unique de SAP, au carrefour des écosystèmes de l’entreprise et de la technologie, et repose sur l’approche pertinente, fiable et responsable de l’IA métier que nous avons initiée pour continuer à aider nos clients à résoudre leurs problèmes les plus urgents. Joule comprendra ce que vous voulez dire, pas seulement ce que vous dites.”

 

Joule sera intégré aux applications SAP, de la gestion des Ressources Humaines à la Finance, en passant par la Supply Chain, les Achats et la User Expérience, ainsi qu’à la plateforme technologique commerciale de SAP.

 

La capacité de s’adapter à une multitude de cas concrets

 

Le fonctionnement est simple : les employés posent les questions qu’ils souhaitent ou exposent un problème à résoudre, en langage clair, et reçoivent des réponses intelligentes tirées des données commerciales, de textes, d’images et d’informations provenant de l’ensemble du portefeuille de solutions SAP, ainsi que de sources tierces.

 

Imaginez, par exemple, un fabricant demander à Joule de l’aider à mieux comprendre les performances de ventes en magasin : en se connectant à un ensemble de données, Joule est capable de détecter un problème dans la chaîne d’approvisionnement et de proposer des solutions. Joule proposera continuellement et au fil du temps de nouveaux scénarios de plus en plus élaborés, et pour toutes les solutions. Pour les Ressources Humaines, par exemple, il aidera à rédiger des fiches de poste conformes et à générer des questions pertinentes pour les entretiens.

 

« À mesure que l’IA générative dépasse l’engouement initial, le travail visant à garantir un retour sur investissement mesurable commence », précise Phil Carter, vice-président du Groupe, Worldwide Thought Leadership Research, IDC. « SAP a compris que l’IA générative finira par faire partie intégrante de la vie courante et professionnelle de chacun d’entre-nous, et a pris le temps de construire un copilote business qui se concentre sur la réponse à des problématiques du monde réel. Par ailleurs, le Groupe a accordé une importance particulière à la mise en place de garde-fous nécessaires pour garantir la responsabilité des choix de Joule. »

 

Un déploiement progressif prévu à partir du mois de novembre

 

Joule sera disponible avant la fin de l’année avec les solutions SAP SuccessFactors et SAP Start, puis avec SAP S/4HANA Public Cloud Edition en début d’année prochaine. SAP Customer Experience, les solutions SAP Ariba et la plateforme technologique commerciale de SAP suivront avec de nombreuses autres mises à jour à venir dans l’ensemble du portefeuille de SAP, qui seront annoncées lors de SAP SuccessConnect du 2 au 4 octobre, SAP Spend Connect Live du 9 au 11 octobre, SAP Customer Experience Live du 25 octobre, et SAP TechEd du 2 au 3 novembre.

 

Joule s’appuie sur les offres Business AI existantes de SAP alors que plus de 26 000 clients cloud SAP ont maintenant accès à SAP Business AI. La stratégie globale de SAP visant à construire un écosystème d’IA d’avenir comprend des investissements directs, comme ceux annoncés en juillet avec Aleph Alpha, Anthropic et Cohere, ainsi que des partenariats avec des tiers, notamment ceux avec Microsoft, Google Cloud et IBM annoncés en mai 2023. Sapphire Ventures LLC, une société mondiale de capital-risque en logiciels soutenue par SAP, consacre plus d’un milliard de dollars au financement de start-ups technologiques d’entreprise alimentées par l’IA.

 

À propos de SAP

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com. 

 

Contact presse : sylvie.lechevin@sap.com | sap@the-arcane.com

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Source de l’article sur sap.com

Exemples de mauvais logiciels : à quel point le mauvais code peut-il vous nuire ?

Le mauvais code peut avoir des conséquences graves, en particulier lorsqu’il s’agit de logiciels. Découvrez les exemples de mauvais logiciels et à quel point ils peuvent vous nuire.

Un logiciel défectueux a conduit à la condamnation de 736 employés innocents par la Poste britannique

Francais

Tout le monde sait qu’il existe des mauvais logiciels. Dans un monde imparfait, un ensemble de quelques coïncidences, par exemple des erreurs humaines, du code défectueux ou des circonstances imprévues, peuvent entraîner une énorme panne même dans de très bons systèmes. Aujourd’hui, examinons des exemples concrets où des pannes ou des erreurs logicielles catastrophiques ont entraîné d’énormes pertes et même coûté la vie à une personne.

Un bug logiciel de la Poste britannique a conduit à la condamnation de 736 employés innocents

La Poste britannique utilise depuis 20 ans un logiciel appelé Horizon. Il avait des bugs qui faisaient en sorte qu’il signalait que des comptes sous le contrôle des employés étaient manquants. Cela ressemblait à ce qu’un employé ait volé des milliers de livres. En conséquence, 736 opérateurs de poste ont été condamnés. Des gens ont perdu leur emploi, leur famille et une femme a été envoyée en prison alors qu’elle était enceinte. Un homme s’est suicidé après que le système ait montré que son compte manquait 100 000 £.

Une base de données défectueuse a entraîné la mort d’un patient

En 2008, un homme de 59 ans est mort à l’hôpital de l’Université du Michigan après avoir reçu une dose massive d’un médicament contre le cancer à cause d’une base de données défectueuse. Le médecin a utilisé une base de données qui ne prenait pas en compte le poids du patient et a donc administré une dose beaucoup trop élevée. L’homme est décédé dans les heures qui ont suivi. Le système informatique était censé protéger les patients contre ce genre d’erreur, mais il n’a pas fonctionné.

Ces exemples montrent à quel point les erreurs logicielles peuvent être coûteuses et catastrophiques. Les développeurs doivent donc prendre des mesures pour s’assurer que leurs logiciels sont robustes et fiables et qu’ils ne causeront pas des dommages inutiles. Les bases de données doivent également être soigneusement vérifiées et testées pour s’assurer qu’elles sont à jour et exactes.

Source de l’article sur DZONE

Analyse de log avec grep

L’analyse de log avec grep est une méthode très pratique pour trouver des informations importantes dans les fichiers de log.

Mon récent voyage avec Linux et comment j’utilise grep pour analyser les journaux

Récemment, j’ai commencé un nouveau rôle en tant qu’ingénieur logiciel et, dans mon poste actuel, je passe beaucoup de temps dans le terminal. Bien que je sois un utilisateur Linux depuis longtemps, j’ai entamé mon voyage Linux après avoir été frustré par la configuration d’un environnement Node.js sous Windows pendant mes études universitaires. C’est à ce moment-là que j’ai découvert Ubuntu et que je suis tombé amoureux de la simplicité et de la puissance du terminal Linux. Malgré le fait que j’ai commencé mon voyage Linux avec Ubuntu, ma curiosité m’a poussé à essayer d’autres distributions, telles que Manjaro Linux et, finalement, Arch Linux. Sans aucun doute, j’ai une profonde affection pour Arch Linux. Cependant, au travail, j’utilisais macOS et, progressivement, j’ai également développé un amour pour macOS. Maintenant, j’ai basculé sur macOS comme pilote quotidien. Néanmoins, mon amour pour Linux, en particulier Arch Linux et la personnalisation étendue qu’il offre, reste inchangé.

Quoi qu’il en soit, dans ce post, je vais discuter de grep et de la façon dont je l’utilise pour analyser les journaux et découvrir des informations. Sans aucun doute, grep s’est avéré être un outil exceptionnellement puissant. Cependant, avant de plonger dans grep, voyons d’abord ce qu’est grep et comment il fonctionne.

Grep est un outil de ligne de commande qui peut être utilisé pour rechercher des chaînes de caractères spécifiques dans un fichier ou un ensemble de fichiers. Il est très utile pour rechercher des mots ou des expressions spécifiques dans un fichier. Grep prend en charge une variété d’options qui peuvent être utilisées pour affiner les résultats de recherche. Par exemple, l’option -i peut être utilisée pour ignorer la casse lors de la recherche d’une chaîne de caractères spécifique. L’option -v peut être utilisée pour afficher toutes les lignes qui ne contiennent pas la chaîne de caractères spécifique. Il existe également des options supplémentaires qui peuvent être utilisées pour affiner les résultats.

J’utilise principalement grep pour analyser les journaux et découvrir des informations. Par exemple, je peux utiliser grep pour rechercher des erreurs spécifiques dans les journaux afin de trouver des indices sur les causes possibles des erreurs. J’utilise également grep pour rechercher des chaînes de caractères spécifiques dans les journaux afin de trouver des informations sur l’utilisation et le comportement des utilisateurs. En outre, j’utilise grep pour tester le code source afin de trouver des erreurs ou des bogues potentiels. Enfin, j’utilise grep pour rechercher des informations spécifiques dans les fichiers de configuration afin de vérifier si les paramètres sont correctement configurés.

En bref, grep est un outil extrêmement puissant qui peut être utilisé pour rechercher des chaînes de caractères spécifiques dans un f

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Paris – 1er juillet 2023. Olena Kushakovska (50 ans) actuelle Directrice Générale de SAP Labs France devient la nouvelle Présidente de l’entité R&D de SAP en France.

 

Diplômée de l’Université de Kiev en mathématiques appliquées, de SKEMA Business School et de l’École Polytechnique, Olena Kushakovska rejoint SAP en 2000 en tant qu’ingénieure logicielle. Après plusieurs postes à responsabilité au sein des équipes de développement du Groupe, elle prend la tête du site SAP Labs France de Sophia-Antipolis en 2017. Elle s’engage dans l’écosystème local où elle favorise la création d’un consortium d’entreprises dédié à la recherche en intelligence artificielle.

Après ses succès dans la coordination des activités de R&D et la livraison des services aux clients, elle aura pour mission de renforcer l’attractivité de SAP Labs France en axant sa politique sur trois piliers : excellence opérationnelle, expertise technologique et engagement pour le développement durable.

Actuelle Directrice Générale de SAP Labs France et co-dirigeante du Conseil Industriel pour la Recherche en Intelligence Artificielle (ICAIR), elle devient Présidente de l’entité R&D et succède à Hanno Klausmeier, à ce poste depuis 2007.

« J’ai démarré chez SAP il y a 22 ans en tant que développeuse. J’ai gravi les échelons, jusqu’à prendre la tête aujourd’hui de SAP Labs France. Je ressens de la fierté d’accompagner une équipe de 400 experts et de la reconnaissance envers Clas qui me permet de relever ce nouveau défi », déclare Olena Kushakovska, Présidente de SAP Labs France.

« SAP Labs France, à travers la conception de solutions technologiques innovantes, joue un rôle essentiel dans l’accompagnement de la transformation de nos clients en France et à l’étranger. Je suis ravi que nous ayons trouvé en Olena un grand leader pour SAP Labs France. C’est une dirigeante qui a fait ses preuves et qui saura accomplir les missions qui lui sont confiées.», conclut Clas Neumann, Senior VP – Head of Global SAP Labs Network.

À propos de SAP

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com. 

 

Contact presse : sylvie.lechevin@sap.com

sap@the-arcane.com

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Source de l’article sur sap.com

Questions d'entretien pour Scrum Master - Édition ChatGPT

Vous cherchez des questions d’entretien pour un Scrum Master ? Découvrez notre édition ChatGPT pour trouver les meilleures questions à poser.

Essai précédent : Comment ChatGPT répondait-il aux questions du Guide d’entretien du Scrum Master ? En janvier 2023, je n’aurais pas franchi la prochaine étape de l’entretien du Scrum Master, invitant ChatGPT à un entretien complet avec plusieurs membres de l’équipe Scrum. Alors, si les modèles GPT 3.5 ou 4.0 doivent encore être améliorés pour passer le cap de l’entretien, qu’en est-il de leur capacité à créer des questions d’entretien similaires ? Découvrez ci-dessous l’article sur mon excursion pour créer des questions d’entretien de Scrum Master avec ChatGPT.

Auparavant, j’ai testé comment ChatGPT répondrait aux questions du Guide d’entretien du Scrum Master; voir ci-dessous. En janvier 2023, je n’aurais pas pris la prochaine étape dans le processus d’entretien du Scrum Master, invitant ChatGPT à un entretien de grande taille avec plusieurs membres de l’équipe Scrum.

Donc, si les modèles GPT 3.5 ou 4.0 ont encore besoin d’être améliorés pour passer le seuil de l’entretien, qu’en est-il de leur capacité à créer des questions d’entretien similaires? Profitez de l’article suivant sur ma excursion pour créer des questions d’entretien du Scrum Master avec ChatGPT.

J’ai décidé de tester la capacité de ChatGPT à créer des questions d’entretien pour le Scrum Master. Pour ce faire, j’ai créé un corpus de données contenant des informations sur le rôle et les responsabilités du Scrum Master et j’ai demandé à ChatGPT de générer des questions à partir de ce corpus. J’ai été agréablement surpris par les résultats. Les questions générées par ChatGPT étaient pertinentes et couvraient un large éventail de sujets liés au rôle et aux responsabilités du Scrum Master.

Ensuite, j’ai décidé de tester la capacité de ChatGPT à générer des questions plus spécifiques et plus complexes. Pour ce faire, j’ai créé un autre corpus de données contenant des informations plus détaillées sur le rôle et les responsabilités du Scrum Master et j’ai demandé à ChatGPT de générer des questions à partir de ce corpus. De nouveau, les résultats étaient très satisfaisants. Les questions générées par ChatGPT étaient pertinentes et couvraient un large éventail de sujets liés au rôle et aux responsabilités du Scrum Master.

Enfin, j’ai décidé de tester la capacité de ChatGPT à générer des questions plus complexes et plus approfondies. Pour ce faire, j’ai créé un autre corpus de données contenant des informations très détaillées sur le rôle et les responsabilités du Scrum Master et j’ai demandé à ChatGPT de générer des questions à partir de ce corpus. Une fois encore, les résultats étaient très satisfaisants. Les questions générées par ChatGPT étaient pertinentes et couvraient un large éventail de sujets liés au rôle et aux responsabilités du Scrum Master.

Au final, je suis très impressionné par la capacité de ChatGPT à générer des questions d’entretien pour le Scrum Master. Les questions générées sont pertinentes, couvrent un large éventail de sujets liés au rôle et aux responsabilités du Scrum Master et sont suffisamment complexes pour être utilisées dans un entretien réel. Je pense que ChatGPT peut être un outil très utile pour les recruteurs qui cherchent à trouver le bon candidat pour un poste de Scrum Master.

Source de l’article sur DZONE

SAP met en lumière les retours d’expérience d’acteurs de terrain dans cette nouvelle série de podcasts, toujours animée par Thomas Dorynek, HXM Value Advisor. Ils évoquent notamment les évolutions récentes de leur fonction et les enjeux auxquels ils doivent désormais répondre.

 

Comment les professionnels RH peuvent-ils prendre place à la table des décisions ? Cette question transparaît, en filigrane, dans les témoignages de la plupart des DRH qui s’expriment dans « HR Pulse » saison 2. Pour illustrer la manière dont ce rôle stratégique peut se manifester, Nawal Mrani Alaoui, DRH Mars Petcare & Food France, explique par exemple le fonctionnement du trio décisionnaire, qu’elle compose avec le directeur général et le directeur financier.

L’évolution du métier de RH tient aussi au contexte et au secteur d’activité. Ainsi Maïté Bouchez, DRH adjointe chez AP-HP, explique la situation de l’hôpital public et son indispensable transformation, appelant à travailler sur l’attractivité des métiers et l’expérience collaborateur. Par exemple, avec des conditions de prise de poste sereines, « pour impulser une dynamique positive d’un point de vue managérial et de sentiment d’appartenance ».

Transformation digitale : une opportunité et un challenge

Les DRH partagent également leur vision des grands défis qui les attendent, avec là encore de nombreux sujets en commun, comme l’engagement, la fidélisation, le sens au travail et la QVT.  Bruno Frankiel, DRH de Giphar, cite de son côté l’hybridation de l’organisation du travail, à laquelle tous les métiers ne sont pas éligibles : « Comment gère-t-on l’équité et préserve-t-on l’unité de l’organisation ? ».

Pour sa part, Pierre-Michel Bataillard, DRH de SGD Pharma, évoque les défis posés par le digital, « à la fois une opportunité et un challenge ». Il s’agit notamment de travailler avec la DSI pour établir les priorités d’investissement et mettre en place les conditions d’un déploiement réussi. Cette saison 2 de « HR Pulse » met aussi en évidence l’importance du dialogue social, dans un contexte de culture politique et syndicale moins marquée chez les jeunes générations, et appelant de la réinvention – par exemple, avec des moyens d’interaction plus directs avec les collaborateurs.

Une palette de compétences au service de multiples enjeux

Pour accompagner l’évolution de leur fonction et relever les défis qui les attendent, quelles qualités sont aujourd’hui attendues chez les DRH ? A cette question, les professionnels répondent en mettant en avant l’humilité ou encore l’agilité. La capacité à naviguer entre différentes dimensions – temps court et temps, opérationnel et stratégique, problématiques individuelles et collectives, etc. – et à établir des compromis ressort aussi comme essentielle.

Quant à Jean-Luc Minard, DRH du groupe Framatome, il met en avant « la capacité de conviction, pour faire passer les messages en CODIR ou vis-à-vis des représentants du personnel, l’exemplarité, la curiosité, pour s’ouvrir à des idées différentes, et la modestie, pour remettre sans cesse le métier sur l’ouvrage ». Autant de compétences essentielles à la réalisation des missions stratégiques des DRH, dont les podcasts d’« HR Pulse » se font aujourd’hui le relais.

 

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Source de l’article sur sap.com

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

Lire le témoignage

 

« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

En savoir plus

 

Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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Source de l’article sur sap.com

En adoptant les solutions d’ERP cloud, les dirigeants se dotent d’une nouvelle boussole qui guidera leur philosophie en matière de personnel, et leur permettra d’éviter de futurs licenciements.

Licenciement : quatre syllabes qu’aucun collaborateur n’a envie d’entendre, et qu’aucun dirigeant d’entreprise n’a envie de prononcer. Malheureusement, les entreprises confrontées à un ralentissement de la croissance, à une forte inflation et à l’augmentation des coûts de la main-d’œuvre peuvent se trouver contraintes d’envisager une telle option.

Mais les licenciements posent un problème : généralement, ils sont une réaction plus qu’une précaution ou un choix stratégique. La première vague est souvent déclenchée par la crainte en cas de baisse prévue de la demande ou de ralentissements économiques. La seconde, la troisième, voire la quatrième, quant à elles, sont autant de mouvement de repli après des pertes financières. Mais le plus préoccupant dans une réduction de personnel, c’est le risque accru de voir baisser la productivité, la qualité des produits et des services, et de perdre des talents qualifiés dont vous aurez besoin pour saisir les occasions futures de rebondir.

Selon LeadershipIQ, 74 % des collaborateurs encore en poste après une vague de licenciements indiquent que leur productivité a décliné, et 69 % pensent que la qualité des produits et des services de leur entreprise s’est détériorée. Encore plus dommageable peut-être : 87 % des travailleurs restants sont moins enclins à recommander leur entreprise à de futurs candidats.

Anticiper la courbe des données

Après une réduction des effectifs, on peut s’attendre à des sentiments de culpabilité, d’anxiété ou de colère. Toutefois, les entreprises ne peuvent pas se permettre de les laisser impacter leur santé financière immédiate et leurs perspectives de croissance à long terme. Alors comment faire face à l’effet accordéon des licenciements et des embauches de masse ?

La technologie utilisée par une entreprise peut, sans le moindre doute, être un facteur de transformation ou de rupture. Ainsi, l’automatisation des tâches simples, des flux de processus, des simulations de scénarios et de la planification de gestion renforce l’efficacité opérationnelle. Les innovations intelligentes (telles que l’intelligence artificielle, l’apprentissage automatique, l’automatisation robotisée des processus, le traitement du langage naturel et l’analytique prédictive) transforment les données d’entreprise en insights riches. Exécutées dans le cloud, ces technologies permettent à vos collaborateurs de prendre des décisions stratégiques et précises, dans le feu de l’action – partout et à tout moment.

Selon IDC, toutes ces fonctionnalités numériques peuvent participer à améliorer les résultats de l’entreprise en augmentant de 75 % à 95 % le chiffre d’affaires, le resserrement des coûts, les bénéfices, la satisfaction client, l’efficacité opérationnelle, la productivité des collaborateurs et l’innovation. Cependant, elles sont inefficaces, voire contre-productives si elles s’appuient sur des données inexactes, incomplètes ou obsolètes.

Heureusement, les solutions d’ERP cloud sont conçues pour relever le défi, de manière à devancer les incertitudes économiques et les turbulences du marché. Les technologies d’entreprise ont le pouvoir de limiter les risques financiers en générant des rapports précis et complets sur les opérations de gestion en temps réel. Ainsi, il est possible d’intégrer un ERP cloud aux solutions de gestion des RH et du personnel afin d’obtenir une vision globale et transparente des performances, des compétences et de l’expérience de vos effectifs.

EN SAVOIR PLUS AVEC FORBES – SAP BrandVoice : Comment un ERP cloud génère de la croissance stratégique pour les leaders de la finance – Par un invité SAP

En agrégeant des applications, des systèmes et des référentiels auparavant cloisonnés, l’ERP cloud constitue une source d’informations unique. Il traite l’ensemble des données générées par les différentes fonctions, vérifie leur qualité et leur exactitude, et les synchronise dans toutes les applications. Résultat : une compréhension globale des besoins de l’entreprise, basée sur les données et tournée vers l’avenir, qui combine des informations opérationnelles, expérimentales et autres insights essentiels.

Armées de toutes ces informations, les entreprises sont à même d’expérimenter de meilleures façons de gérer l’évolution de leurs besoins. Ainsi, elles peuvent identifier les rôles redondants ou qui ont perdu leur pertinence. Mais au lieu de réduire les effectifs et d’embaucher de nouvelles personnes pour combler un manque de talents, elles ont la possibilité de former les salariés concernés à de nouveaux postes. En retour, les connaissances internes sont conservées et la confiance des collaborateurs dans la direction générale s’en trouve renforcée – des atouts critiques pour stimuler l’implication, l’innovation et les performances.

En adoptant les solutions d’ERP cloud, les dirigeants se dotent d’une nouvelle boussole qui guidera leur philosophie en matière de personnel, et leur permettra d’éviter de futurs licenciements. À partir des données concernant leurs collaborateurs et les performances de leur entreprise, ils sont en mesure de procéder à des modifications qui augmentent la valeur ajoutée de leurs activités, mais aussi de respecter les engagements pris envers leurs collaborateurs, leurs clients et leurs partenaires.

Mais le fait de disposer d’une vue d’ensemble des opérations de gestion (incluant les flux de trésorerie, les risques concurrentiels et les prévisions de la demande) est peut-être plus précieux encore. Grâce à cela, les décideurs mesurent mieux les impacts à long terme d’un licenciement, et peuvent imaginer des scénarios plus efficaces qui préserveront l’entreprise dans l’immédiat, tout en la préparant à progresser et à saisir les opportunités de reprise le plus rapidement possible.

Faire face à aujourd’hui et se préparer pour l’avenir

Un licenciement peut être inévitable. Mais au lieu d’y recourir automatiquement, planifier soigneusement sa main-d’œuvre est un meilleur moyen de faire face aux difficultés de l’économie mondiale et aux incertitudes du paysage concurrentiel.

Les solutions d’ERP cloud permettent aux dirigeants de redéfinir leurs priorités, afin de continuer à fournir des produits et services qui génèrent une croissance constante du chiffre d’affaires. Plus important encore : elles stimulent la confiance, poussant ainsi le personnel à tout mettre en œuvre pour aider l’entreprise à réussir dans une conjoncture délicate.

Pour découvrir comment un ERP cloud peut aider votre entreprise à faire face aux incertitudes, à relever les défis financiers et à améliorer ses résultats, consultez le rapport Aberdeen intitulé « Comment l’efficacité et l’innovation basées sur le cloud permettent de résoudre les défis financiers ».

 

– Par Wynona Benson, SAP

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Levallois-Perret, le 17 janvier 2023. SAP SE (NYSE: SAP) annonce la nomination d’Olivier Nollent au poste de Président Directeur Général de SAP France, l’une des plus importantes filiales commerciales de SAP. Il succède à Gérald Karsenti qui se consacre à de nouveaux projets.

Arrivé chez SAP France en avril 2018 au poste de Directeur Général puis nommé Président Directeur Général en 2020, Gérald Karsenti aura contribué de façon importante à la visibilité de SAP sur le marché français en plaçant toujours le succès des clients et des partenaires au cœur de sa mission.

Alors que SAP France a conduit ces derniers mois de nombreux et importants chantiers de transformation, tant auprès de ses équipes que de ses clients et partenaires, la nomination d’Olivier Nollent va permettre à SAP France de poursuivre la dynamique commerciale engagée et d’accélérer la transition de l’entreprise vers le Cloud en France.

Cette nomination s’inscrit dans la continuité des efforts de développement menés auprès des clients et de tout l’écosystème de partenaires dans leurs grands enjeux de transformation digitale, ainsi que dans la poursuite de la croissance de SAP en France via le développement de ses activités Cloud auprès des grands comptes et PME/ETI.

« Depuis son arrivée au sein de SAP, Olivier a su très rapidement démontrer sa pertinence et son efficacité au service des engagements de SAP France, des clients, des partenaires et des équipes. Son parcours orienté Cloud, son expérience des grands acteurs de notre secteur, sa solide expertise dans le développement du business de la Tech, tout comme ses qualités de leader largement éprouvées depuis son arrivée, sont autant d’atouts dont nous avions besoin pour consolider les fondations de SAP France et retrouver la place qui doit être la nôtre sur le marché. Je remercie également Gérald d’avoir guidé SAP France sur la voie de la transformation de façon remarquable ces 5 dernières années » souligne Rohit Nagarajan, Président EMEA North de SAP.

« Je remercie Gérald pour son accompagnement au cours des dix derniers mois. Je suis très honoré de la confiance qui m’est faite et des responsabilités qui me sont confiées. Mes expériences passées dans de grandes entreprises Tech américaines m’ont permis d’acquérir une expertise reconnue notamment dans l’accompagnement de la transformation des business models de nos clients. Cette nomination intervient suite à une année réussie, tant sur les projets menés auprès des équipes SAP, que sur le renforcement de la relation avec nos clients et partenaires en tant que premier acteur de la Tech européenne. C’est dans cette optique que s’inscrit ma vision pour SAP France. », indique Olivier Nollent.

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Comment garder ses talents ? Voilà l’une des grandes questions des départements RH aujourd’hui. À l’heure de la « Grande Démission », nombreux sont les ouvrages et les articles qui traitent les sujets de fidélisation et de rétention des collaborateurs. Ce défi majeur oblige les entreprises à être proactives, à déceler les risques et raisons de potentiels départs et à anticiper les actions pour garder leurs collaborateurs dans leurs équipes.

Depuis plusieurs années, le SIRH s’impose dans les entreprises, mais lorsque plusieurs outils s’accumulent, il est parfois difficile de les faire communiquer de manière performante, fluide, et cela peut freiner la rapidité de la prise de décision et d’actions pour garder les collaborateurs.

Dans cet article, nous verrons pourquoi le SIRH centralisé, en l’occurrence SAP SuccessFactors, est un outil puissant dans plusieurs domaines pour appuyer la stratégie de rétention des talents dans l’entreprise.

Plusieurs facteurs sont clés afin d’établir une stratégie de rétention des collaborateurs : le sentiment d’appartenance à l’entreprise, le besoin de défis, l’atteinte des objectifs fixés (qu’ils soient personnels ou collectifs), le développement des compétences, l’évolution au sein de l’entreprise, la qualité de vie au travail, etc. Pour chacun de ces axes, SAP SuccessFactors propose une réponse technologique adaptée à vos contextes et à vos process.

 En effet, les solutions SAP SuccessFactors comportent plusieurs modules dits « Talent », dédiés à la gestion de la vie et l’évolution des employés, de leur embauche jusqu’à leur départ. Nous y retrouvons, entre autres, la gestion de la performance, la prévision des actions de développement et de la succession et la prise en charge de la formation. Bien qu’ils se basent sur la donnée du Core HR, les modules « Talent » sont interconnectés entre eux, ce qui enrichit l’utilisation de chacun grâce à un flux d’informations pertinentes et transversales.

Dès l’annonce de l’arrivée d’un collaborateur, il est primordial d’anticiper son onboarding pour garantir une expérience d’accueil optimal. Nous le savons, bien qu’un salarié n’ait pas encore commencé son premier jour, celui-ci fait partie des effectifs et doit être intégré dans le système (via le module Recruiting ou via une entrée manuelle). Son onboarding peut alors commencer.

Le module Onboarding 2.0 permet de générer, en fonction du lieu de travail, du poste et du département du nouveau collaborateur, une liste d’actions à mener par le HRBP, le manager ou même les futurs collègues pour préparer au mieux l’arrivée. Les actions à mener peuvent être : organiser les premières réunions en avance, préparer la définition des objectifs, commander le matériel informatique, les badges d’accès, les identifiants aux différentes plateformes etc. Si ces actions sont menées à bien et en temps voulu, l’arrivée du collaborateur se fera de manière fluide et celui-ci aura le sentiment qu’il/elle était attendu(e) et sera rapidement disposé(e) à commencer son travail. Cet enjeu est doublement bénéfique pour l’entreprise : un sentiment d’appartenance à l’entreprise est créé pour le salarié et des données (de qualité) sont déjà renseignées dans le SIRH.

Une fois le collaborateur prêt à travailler, il faut être en mesure de définir, en co-construction avec les parties prenantes, des objectifs de performance et des challenges sur une période définie. Le module Performance and Goals vous permet, très simplement, d’ajouter des objectifs et de gérer le plan d’objectifs. Mais nous le savons, la simple définition de mission est bien insuffisante pour avoir des collaborateurs performants, fournisseurs d’un travail de qualité. Tout au long de l’année, collaborateur comme manager ont besoin de faire le point afin de s’assurer que l’atteinte des objectifs est en bonne voie. Ces moments d’échanges, de feedbacks, de prise de recul et d’ajustements sont nécessaires pour garder le cap.

Avec le module Performance & Goals, collaborateurs, managers et toutes parties prenantes auront la possibilité d’utiliser la fonctionnalité Continuous Performance Management.  Ils pourront ainsi suivre l’évolution de l’accomplissement des objectifs en les affinant grâce à des activités, des succès et la possibilité d’enregistrer des réunions et leurs notes directement dans l’outil. Vous avez également l’opportunité, en tant que collaborateur, de demander du feedback pour vous-même à n’importe qui présent dans la base de données SAP SuccessFactors de votre entreprise. En tant que manager, vous pouvez demander du feedback personnalisé pour vos membres d’équipes. Toutes ces informations, récupérées au fil de l’année, seront répliquées dans le formulaire d’entretien de performance annuel afin de donner de la visibilité et des informations relatives à la performance du collaborateur les plus précises possibles pour toutes les parties prenantes.

La revue des talents est également l’opportunité de faire un point sur chaque collaborateur dans l’entreprise et d’être en mesure de proposer les meilleures solutions en termes de besoin de développement, de formation, de succession et d’anticiper de potentiels départ et d’en identifier les raisons.

Le module Succession and Development propose plusieurs outils. Le premier, appelé Talent Review ou Calibration permet la création de sessions englobant des matrices d’évolution, de performance et de potentiel. Cela donnera lieu à une visualisation rapide de votre population nécessitant des besoins de développement particuliers.

Le deuxième outil vient compléter le premier en vous donnant la capacité d’identifier les niveaux de risques et impacts de départs potentiels des salariés. Il sera ainsi plus simple d’identifier rapidement les postes critiques impactés, de définir des plans de rétentions adaptés mais aussi de préparer la succession si ces plans n’étaient pas concluants.

Enfin, le troisième outil vous donne la possibilité de créer des viviers de talents, de proposer des programmes de formations ou d’évolution spécifiques et d’identifier les profils nécessitant une attention particulière sur le plan du développement des compétences, des aspirations professionnelles ou des souhaits de mobilité géographique.

À la suite de l’entretien de fin d’année et de la revue des talents, managers et collaborateurs seront en mesure de définir des objectifs de développement soit pour renforcer des compétences afin de mieux performer dans le poste actuel, soit pour en développer de nouvelles afin de prétendre à un nouveau poste. Cela peut se traduire par des formations présentes dans le catalogue du LMS.  Un lien direct entre le module de gestion des objectifs et le LMS facilitera l’affectation des contenus de formations et fluidifiera l’expérience utilisateur du SIRH.

Enfin, il est possible de créer des rapports personnalisés à destination de la population RH et de l’exécutif intégrant des KPI permettant d’assurer :

  • le suivi des campagnes RH,
  • le niveau d’adoption des modules
  • la bonne qualité des données.

Ces indicateurs seront primordiaux dans le suivi des collaborateurs ainsi que dans la détection et la rétention de vos talents.

Une chose importante qu’il faut garder à l’esprit : toutes ces actions d’identification, d’anticipation, de prise de décision et d’actions ne sont possibles que si toutes les parties prenantes sont responsabilisées et impliquées dans les différents processus liés au SIRH.

La digitalisation de la fonction RH démontre qu’aujourd’hui, et encore plus qu’auparavant, l’aspect humain est la pierre angulaire de tous les efforts de la stratégie RH et SIRH. La problématique de rétention des talents est majeure, même critique pour la performance de l’entreprise. SAP SuccessFactors propose des outils interconnectés afin d’évaluer les performances, d’ajuster les plans de développement du collaborateur, d’anticiper de potentiels départs, leurs raisons et les successions. Toutes ces actions stratégiques pour le développement du collaborateur et la pérennité de l’entreprise ne sont possibles, via le SIRH, que si les données sont renseignées dans celui-ci, de qualité et à jour.

IRH by Act-On Group est spécialisé dans le déploiement et la personnalisation des solutions SAPSuccessFactors, toujours adaptés à votre stratégie RH. N’hésitez pas à nous contacter pour un premier échange à l’adresse contact.irh@actongroup.com.

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