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Optimisation des lignes d'objet d'email et mobile avec AI et ML

Les entreprises peuvent désormais optimiser leurs lignes d’objet d’email et mobile grâce à l’intelligence artificielle et au machine learning. Une nouvelle ère de marketing commence !

Méthodologie

Architecture

La ligne d’objet et les titres des e-mails et des notifications push jouent un rôle important dans la détermination des taux d’engagement. La communication numérique nécessite la compétence de la conception de lignes d’objet convaincantes et de titres de notifications push concis qui captent l’attention de l’utilisateur. Les marketeurs conçoivent des lignes d’objet en fonction du ton du message à transmettre et du public cible visé. En «enseignant» efficacement cette compétence et en l’optimisant pour la communication numérique, les modèles d’IA générative offrent une avenue passionnante pour automatiser ce processus. L’article examine quelques approches pour créer des lignes d’objet et des titres de notifications push efficaces tout en les combinant avec des modèles classiques d’apprentissage automatique pour prédire les taux d’ouverture avec l’IA générative (Large Language Models).

Il ne s’agit pas seulement de créer des lignes d’objet accrocheuses que les LLM peuvent facilement générer avec le bon déclencheur. L’objectif est de générer un candidat idéal pour le contexte et le contenu qui incitera le destinataire à cliquer et à afficher le message. Les modèles d’apprentissage machine (ML), en particulier les algorithmes de forêt aléatoire, peuvent prédire avec une grande confiance la probabilité qu’un destinataire clique sur un message s’ils sont correctement formés. En combinant les LLM avec des modèles ML prédictifs, il est possible de générer des lignes d’objet et des titres de notifications push de haute qualité. Voici quelques moyens possibles.

La première approche consiste à entraîner un modèle ML prédictif sur un jeu de données historiques. Le modèle apprend à prédire le taux d’ouverture en fonction des caractéristiques telles que le sujet, le contenu et le public cible. Une fois le modèle formé, il peut être utilisé pour générer des lignes d’objet et des titres de notifications push optimaux pour chaque message. La seconde approche consiste à entraîner un modèle ML prédictif sur un jeu de données historiques tout en utilisant un modèle LLM pour générer des lignes d’objet et des titres de notifications push. Le modèle ML apprend à prédire le taux d’ouverture en fonction des caractéristiques telles que le sujet, le contenu et le public cible, tandis que le modèle LLM génère des lignes d’objet et des titres de notifications push optimaux pour chaque message. Enfin, la troisième approche consiste à entraîner un modèle ML prédictif sur un jeu de données historiques tout en utilisant un modèle LLM pour générer des lignes d’objet et des titres de notifications push optimaux pour chaque message. Le modèle ML apprend à prédire le taux d’ouverture en fonction des caractéristiques telles que le sujet, le contenu et le public cible, tandis que le modèle LLM génère des lignes d’objet et des titres de notifications

Source de l’article sur DZONE

La maintenance palliative cède progressivement la place à de la maintenance préventive, voire prédictive, grâce aux apports des capteurs et de l’Intelligence Artificielle. De nombreux industriels ont validé cette approche. Reste à passer à l’action.

La maintenance peut représenter de 10 % à 15 % des coûts de production. Le prédictif est en mesure d’aider à optimiser ces coûts. Toutefois, si 76 % des clients SAP interrogés pensent qu’il est important de pouvoir prédire la défaillance d’équipements, seuls 21 % sont satisfaits de leur politique de maintenance actuelle.

Mettre en place une maintenance prédictive demande :

  • des données de fonctionnement remontant rapidement et en quantité suffisante ;
  • l’utilisation d’algorithmes permettant de prédire les défaillances ;
  • l’appel à l’expertise des métiers : un élément clé de toute politique de maintenance.

Le recours à un jumeau numérique

« Les capteurs amènent un flot de données qui va remonter dans un jumeau numérique, lequel fonctionne en parallèle de l’équipement physique. Ce jumeau permet de prédire les besoins de maintenance, » explique Rodolphe Roy, directeur général d’ATS.

Réplique parfaite d’un objet ou d’un processus, le jumeau numérique est alimenté par les données venant du jumeau physique, ce qui permet d’en reproduire fidèlement l’état et de s’en servir comme base pour de la simulation.

« Il y a une vingtaine d’années, la simulation permettait de déterminer pourquoi les choses ne marchaient pas. Aujourd’hui, elle permet de prédire le fonctionnement physique d’objets très complexes, » témoigne Eric Bantegnie, vice-président et general manager Systems & Platform chez Ansys.

Le jumeau numérique ne répond pas seulement aux enjeux de maintenance, mais aussi aux enjeux de performance. « Nous pouvons dorénavant simuler le fonctionnement d’un processus de fabrication. Cela permet de confronter le résultat de la simulation aux performances du processus réel, afin de vérifier si son exécution est optimale. »

Enfin, l’utilisation des données d’exploitation est utile lors de la conception de nouvelles offres, qui ne repartiront alors pas d’une feuille blanche.

L’humain au cœur de tout

L’humain est essentiel dans la transformation des processus de maintenance. Les échecs dans les projets de transformation numérique sont en effet souvent liés à des soucis d’adoption des solutions et processus mis en place.

« C’est primordial, confirme Rodolphe Roy. Il faut accompagner cette transformation et aider à rapprocher les mondes de l’IT et de l’OT. L’IT doit proposer des outils parfaitement adaptés aux besoins des utilisateurs finaux, afin que cette courroie entre OT/IT ne se grippe pas. Il faut générer de la confiance : l’apport technologique ne doit pas inquiéter, mais au contraire rassurer. Il est crucial de repenser l’expérience homme-machine lors du passage à l’Industrie 4.0. »

La transformation numérique n’est pas seulement un défi, mais aussi une opportunité pour rendre l’industrie plus attractive et attirer de nouveaux talents. « Elle augmente la valeur des métiers et permet d’en créer de nouveaux, par exemple autour de la mise en œuvre et de la manipulation des jumeaux numériques, illustre Eric Bantegnie. L’opérateur de maintenance, spécialiste de la compréhension physique des équipements, gagne ainsi une compétence numérique. »

Vers du Product as a Service ?

La maintenance prédictive permet d’imaginer de nouvelles façons de commercialiser une offre, par exemple avec le Product as a Service, où c’est l’usage du produit qui est facturé et non le produit lui-même. Mais avant d’en arriver là, un défi attend les entreprises : le passage à l’échelle.

« Aujourd’hui, l plupart des industriels ont testé ces technologies, qui sont arrivées à maturité, explique Rodolphe Roy. Les grandes questions sont maintenant : comment passer à l’action ? Combien cela va-t-il me coûter ? Quel ROI attendre ? »

« Quelques centaines de milliers de jumeaux numériques seulement ont été déployés dans le monde, ajoute Eric Bantegnie. Mais nous sommes sur une trajectoire qui pourrait nous mener au milliard d’ici 3 à 5 ans. Il faudra toutefois savoir éviter une nouvelle guerre des standards, en assurant l’interopérabilité des solutions. »


En savoir plus sur les solutions SAP pour l’industrie 4.0


 

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Source de l’article sur sap.com

De la conception à l’utilisation, le numérique permet de suivre l’ensemble du cycle de vie d’un produit. Mais aussi de transformer la relation entre le fournisseur et ses clients, en proposant des innovations comme le Product as a Service.

Le jumeau numérique est une réplique numérique d’un objet, processus ou système. Alimenté en temps réel par des données venant de son jumeau physique, le jumeau numérique permet de disposer d’informations clés sur le dispositif ou service simulé. L’apport de techniques de Machine Learning ouvre même les portes du prédictif.

De la simulation classique au jumeau numérique

L’utilisation de la simulation numérique et de modèles 3D n’est pas nouvelle, mais cet usage était auparavant limité aux bureaux d’études.

« Le jumeau numérique existe dans l’ingénierie depuis une bonne vingtaine d’années », confirme Denis Goudstikker, en charge du Business Development du PLM et du SLM chez Siemens Digital Industries Software. « Dans l’industrie automobile, la simulation numérique a permis de raccourcir le temps de mise sur le marché d’un nouveau véhicule. Il y a trente ans, on jetait 100 véhicules contre un mur pour pouvoir assurer un certain niveau de sécurité. Il y a vingt ans, on n’en jetait plus que 5, après en avoir jeté 5000 dans un autre mur… virtuel. » Une avancée qui s’est traduite par un meilleur niveau de sécurité et une accélération du processus de conception des voitures.

Avec le jumeau numérique, les barrières sont éliminées entre l’ingénierie, la production et la maintenance. Et même au-delà, puisque cette continuité numérique peut se prolonger hors des murs de l’entreprise.

« Le constructeur nous fournit des définitions numériques de son produit », témoigne Eric Miralles, CIO de SNOP, équipementier automobile de premier plan. « À partir de cette définition, nous fabriquons les outils qui vont nous permettre d’emboutir les tôles suivant ce cahier des charges. Il faut pour cela que la chaîne allant de la conception à la production soit numérisée. La modélisation numérique de l’ensemble de la chaîne permet d’avoir une maîtrise globale des processus. »

Le jumeau numérique offre également des opportunités après la phase de fabrication.

« Si le jumeau numérique est né dans le milieu industriel, la capacité de connecter de façon massive des objets distribués aux clients, au travers de l’IoT, permet de développer de nouveaux services, mais aussi de redéfinir la relation entre client et fournisseur », analyse Luca Ammassari, Group Deputy Chief Information Officer in charge of Applications chez Engie.

Quels usages clés pour les jumeaux numériques ?

De la conception d’un produit à son utilisation, en passant par la production, le jumeau numérique permet de suivre l’ensemble du cycle de vie d’un produit. Mais également de réduire le time to market de nouvelles offres, la simulation numérique permettant d’accélérer la conception, le test et l’industrialisation des produits.

« Le jumeau numérique permet de répondre à des enjeux économiques et de recherche d’efficacité dans la production, analyse Eric Miralles. Sa mise en place nécessite toutefois une transformation numérique, mais aussi une transformation des organisations et des hommes. Il faut savoir saisir cette nouvelle opportunité par étapes et accompagner les équipes dans ce changement. »

« Le jumeau numérique est également important pour identifier et comprendre le comportement du matériel, poursuit Denis Goudstikker. Et ainsi optimiser son design et sa maintenance. Analyser le comportement acoustique d’une turbine permet par exemple de détecter tout changement dans son fonctionnement. Des modèles prédictifs vont alors déterminer si et quand elle tombera en panne. »

Les usages dans le secteur de la maintenance commencent à devenir communs, « mais il y a une chose à laquelle on s’attendait moins : le packaging d’objets et de services, explique Luca Ammassari. Le constructeur d’une turbine va proposer avec son équipement des services prédictifs basés sur l’utilisation d’un jumeau numérique. Il va s’appuyer sur les informations issues de turbines installées dans le monde entier qui seront comparées en temps réel au comportement de votre turbine, pour vous donner des probabilités de défaillance ou de perte de performance. »

Oser le passage au jumeau numérique

Construire le jumeau numérique de l’ensemble d’une ligne de production n’est pas toujours possible. Certains équipements anciens, amortis sur des dizaines d’années, ne sont en effet pas équipés de capteurs et ne peuvent parfois pas l’être.

La bonne pratique consiste à avancer par étapes, sur des projets ciblés, au fort ROI. « Il faut mener ses projets selon une approche agile, par petits pas et construire ainsi progressivement de la compétence en interne, explique Luca Ammassari. Certains projets auront des résultats décevants, mais cela ne doit pas remettre en cause la démarche. »

Difficile de savoir de quoi demain sera fait en matière d’innovation, constate Luca Ammassari, « c’est pourquoi notre objectif est d’accompagner les entreprises en leur fournissant des fondations capables d’intégrer ces innovations. Notre but n’est pas de proposer des offres clé en mains, mais une plate-forme permettant de sortir de la supply chain classique pour créer un nouvel écosystème. »

Une logique de partenaires qui est essentielle pour Eric Miralles. « C’est cet assemblage de partenaires qui nous permettra de digitaliser l’ensemble de notre supply chain », confirme-t-il. Et de conclure : « La crise que nous traversons aujourd’hui est un accélérateur et il y a beaucoup d’opportunités, très positives, qui nous permettent d’accéder à ces innovations. »

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Source de l’article sur sap.com

SAP Analytics Cloud concrétise la Business Intelligence de nouvelle génération, avec une ouverture totale, un plus large ensemble de fonctionnalités et l’intégration de technologies intelligentes, allant jusqu’au prédictif.

« Être une entreprise Intelligente, c’est rechercher au sein de l’ERP les voies d’automatisation, d’intégration et de fluidification des processus, explique Florian Hamon, Business Development Director, SAP Center of Excellence, SAP. SAP Analytics Cloud ou SAC participe à ce mouvement, avec son analytique temps réel et ses fonctionnalités avancées. »

SAP Analytics Cloud combine dans une unique offre cloud une solution de Business Intelligence avancée, des outils de planification et des capacités d’analyse augmentée. Des atouts clés pour accélérer le processus de décision.

Une solution conçue pour les défis d’aujourd’hui…

SAP Analytics Cloud est né d’un triple constat : un changement de paradigme en matière de BI, une très forte accélération des solutions cloud et la volonté d’accéder aux solutions métiers depuis tout type de support.

Concernant la Business Intelligence, SAP Analytics Cloud est capable de se connecter à toutes les sources de données grâce à des connecteurs SQL, BusinessObjects et SAP. La création de stories s’effectue à la souris, avec la possibilité de personnaliser les dashboards et d’insérer des éléments visuels évolués (par exemple de la cartographie). Des fonctions avancées de collaboration et de partage sont proposées. Enfin, une intégration native avec Excel est assuré, au travers d’Analysis for Office.

Sur le terrain du planning, SAP Analytics Cloud permet une planification dans l’instant, c’est-à-dire en live. Vous allez pouvoir ainsi analyser et restituer depuis le même outil. Mais aussi simuler, au travers de scénarios de type what-if, qui permettront d’explorer différentes options de décision. Là encore, le collaboratif (partage de plannings, délégation de tâches) est au cœur du module planning de SAC.

… et de demain

Le pilier Smart de SAP Analytics Cloud est primordial. Ses fonctionnalités intelligentes s’appuient massivement sur les algorithmes et le Machine Learning.

  • Découverte intelligente : SAC va proposer automatiquement et intelligemment des dashboards clés en main construits automatiquement à partir d’un jeu de données, sans préparation préalable. Des KPI variés sont proposés et les indicateurs clés influençant les données sont mis en valeur.
  • Interrogation des données : il est possible d’automatiser la génération de contenu en effectuant des recherches exprimées en langage naturel. Vous n’aurez plus besoin de passer par le service informatique pour disposer d’une restitution personnalisée.
  • Analyse intelligente : cette fonctionnalité permet de comprendre ce qui se cache derrière une donnée de base. Elle pourra également détecter des patterns dans les données ou donner la raison d’un point de données particulier.
  • Terminons par l’une des fonctionnalités les plus innovantes de SAP Analytics Cloud, les scénarios prédictifs : l’entrainement de modèles de Machine Learning avec des données existantes permettra par la suite de les utiliser sur de nouveaux jeux de données. Une technologie qui ouvre la voie à l’analyse prédictive !

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Source de l’article sur sap.com

Remontée des données en temps réel, connexion des partenaires, mise en place d’un jumeau numérique, industrialisation de la fabrication sont quelques-unes des pistes d’évolution possibles dans le monde de la construction.

« Le monde de la construction se trouve à un point d’inflexion : le numérique va fondamentalement changer les business models, les méthodes et l’économie du secteur » constate Johnny Clemmons, Global Vice President en charge de cette thématique chez SAP. La demande devrait rester soutenue dans les décennies à venir, avec des projets d’une complexité croissante et une pression toujours aussi forte sur les marges.

Les techniques déjà employées dans l’industrie manufacturière peuvent trouver des débouchés dans le secteur de la construction :

• automatisation des tâches répétitives amenant peu de valeur ajoutée ;
• analyses et rapports en temps réel, pour un véritable pilotage de la production ;
• exploitation des données issues des capteurs, afin d’améliorer la prise de décision ;
• introduction de technologies interactives et de robotique.

Des chantiers connectés

Le responsable d’un chantier centralise de nombreuses informations sur l’avancement des travaux, mais souvent au travers d’une saisie manuelle, qui ne sera remontée que plus tard chez le constructeur. Impossible dès lors de piloter les chantiers de façon centralisée, ces données ne pouvant – au mieux – avoir un intérêt que lors d’études à postériori. Autre problème, chaque corps de métier va se charger d’une tâche précise, qu’il gérera souvent en toute indépendance.

Le premier enjeu consiste à casser ces silos, via une remontée des informations en temps réel dans l’ERP, ce qui ouvrira la voie à un pilotage centralisé des chantiers. L’amélioration de la collaboration entre les différents intervenants permettra également de créer de nouvelles synergies. L’équipe en charge des approvisionnements, les architectes, les ingénieurs et le donneur d’ordres pourront ainsi trouver des voies d’optimisation. Par exemple en proposant des structures plus modulaires, adaptées à l’utilisation de blocs préfabriqués, qui permettront – au travers de l’automatisation – d’améliorer la productivité, les coûts et la qualité.

Des partenaires connectés

À moyen terme, la Modélisation des Informations du Bâtiment (BIM, pour Building Information Modeling) promet de mieux gérer la construction d’un ouvrage, au travers d’un modèle unique du bâtiment, d’un processus de gestion basé sur la donnée, mais aussi de logiciels dédiés. Une approche qui n’est pas sans rappeler les systèmes de pilotage de la production (MES, pour Manufacturing Execution System) qui se démocratisent dans l’industrie.

Les intervenants vont pouvoir s’appuyer sur ce modèle pour synchroniser leurs efforts avec le maximum d’efficacité. Des technologies comme le rendu 2D/3D ou les jumeaux numériques renforceront cette démarche en optimisant la construction et en améliorant la prise de décision.

Du fait d’une remontée des informations en temps réel, il sera également possible de suivre les progrès d’un chantier en direct et donc l’évolution des coûts et marges. Avec comme bénéfice pour les contractants d’être payés plus rapidement lorsque leurs missions sont achevées.

Le prédictif en ligne de mire

Remontée de données en temps réel et mise en place d’un jumeau numérique sont les deux éléments clés pour aller au-delà de l’analyse traditionnelle et aborder le sujet du prédictif.

L’Internet des Objets est également une voie pour le prédictif. Connectés, les équipements des chantiers de construction font remonter des informations aux constructeurs. Un moyen d’améliorer la maintenance de ces équipements, en assurant leur entretien avant que les pannes ne surviennent. Mais également un moyen d’optimiser leur exploitation. Certains équipements lourds sont d’ores et déjà connectés. Une opportunité pour les entreprises souhaitant démarrer leur digitalisation par un projet simple, au ROI immédiatement mesurable.

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Source de l’article sur sap.com

Sur un marché devenu très volatile, la planification de la supply chain devient de plus en plus difficile. Des technologies prédictives s’appuyant sur des données internes et externes, ainsi que des jumeaux numériques permettront d’affiner les prévisions.

La supply chain doit s’adapter pour faire face aux défis d’agilité et de résilience du marché. « La supply chain est un domaine en pleine évolution, avec des sujets comme la data, la robotique, l’IoT ou l’intelligence artificielle », confirme Manuel Davy, Fondateur et CEO de VEKIA.

Quels sont les enjeux de la supply chain ?

  1. Satisfaire les clients.
  2. Réduire les stocks.
  3. Maîtriser les coûts opérationnels.

Mais sur un marché devenu très volatile, où les clients exigent de plus en plus une livraison à J+1, les choses peuvent rapidement se compliquer. « La supply chain c’est extrêmement simple : il suffit d’avoir le bon stock au bon endroit au bon moment : fois des centaines de milliers de point de gestion ou de points de stockage, fois des millions de références, et avec beaucoup d’incertitudes. »

L’une des clés du succès réside dans la prise en compte de ces incertitudes. Mais également dans la capacité à accompagner le client dans ses changements de mode de consommation. Pendant le confinement, ce sont les entreprises capables d’adresser les clients par des canaux numériques, comme l’e-commerce, qui ont tiré leur épingle du jeu. L’omnicanalité s’est imposée alors comme un facteur de résilience.

La prédiction est au cœur de la supply chain

« La planification est partout dans la supply chain, poursuit Manuel Davy. Les technologies les plus avancées sont en mesure de prévoir finement la demande des consommateurs, ce qui permet en remontant dans la supply chain d’anticiper toutes les opérations. »

L’amélioration des prévisions peut suivre deux voies : voir plus loin, grâce à une puissance de calcul accrue ; être plus fin, au travers de l’analyse de plus de données. Le fait de prendre en compte les données d’expérience (comme le ressenti des consommateurs vis-à-vis des produits ou de la marque) permettra par exemple de mieux satisfaire les clients.

Être capable d’agréger des données endogènes et exogènes (météo, réseaux sociaux…) est donc un facteur clé pour améliorer les processus de prédiction et de planification. Par ailleurs, il est primordial de savoir faire circuler les données internes et de les enrichir. Par exemple en disposant d’une vision en temps réel du stock, assurée par de l’IoT.

Autre voie d’amélioration, la mise en place d’un jumeau numérique de la supply chain, permettant de tester des scénarios de type what-if, afin de gagner en agilité ou en résilience. Ou tout simplement pour évaluer l’impact du lancement d’un nouveau produit.

Savoir passer du plan à l’action

Il est essentiel que le prédictif influe directement sur les opérations de l’entreprise (data to action), tout en n’écartant pas l’humain du processus de décision. « La planification reste un sujet humain. Il ne faut pas écarter l’humain, qui est le pilote et aura le dernier mot, car lui seul sait appréhender des situations très incertaines, comme celles que nous avons rencontrées récemment, explique Manuel Davy. Mais nous pouvons donner à l’humain des moyens d’être plus efficace : des algorithmes, des données, de la puissance de calcul. »

La transformation de la supply chain est un sujet riche et passionnant. Mais aussi global, comme le souligne le CEO de VEKIA : « quand on commence à transformer une supply chain, cela entraîne l’ensemble de l’entreprise vers l’industrie 4.0. ». L’occasion peut-être d’évaluer de nouvelles stratégies de supply chain management, comme le DDMRP (Demand Driven MRP), qui s’appuie non plus sur des prévisions, mais sur la demande réelle.

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Source de l’article sur sap.com

Avec la licence Enterprise Edition, vous accéderez sans restrictions à la base de données SAP HANA. Découvrez en quoi le passage à une licence full use peut être avantageux pour vos données et applications métiers.

Il y a 10 ans, SAP présentait un outil de gestion de bases de données de nouvelle génération, SAP HANA. Une offre présentant plusieurs caractéristiques clés :

  • In memory : les données sont lues et écrites en mémoire, pour des performances extrêmes
  • Orienté lignes : ce mode permet d’optimiser l’écriture (un enregistrement par ligne)
  • Orienté colonnes : ce mode facilite les requêtes (un type de données par colonne)

Cette double casquette ligne/colonne permet à SAP HANA d’adresser à la fois les traitements transactionnels et analytiques. Des technologies avancées gravitent autour de ce cœur : serveur d’applications, scripting, prédictif, Machine Learning, vues OLAP, graphes, gestion des données spatiales…

L’ensemble propose à la fois une connexion aux applications SAP (BICS) ou non (SQL et MDX). Il est également possible d’accéder à des sources de données tierces via Smart Data Streaming et Smart Data Access et aussi d’intégrer quasiment n’importe quel type de données, structurées ou non, jusqu’aux sources Hadoop, au travers de Smart Data Integration. Tout ceci est combiné avec des fonctions de partionning, de haute disponibilité, de répartition de charge, de parallélisation des requêtes, d’aide à la reprise d’activité, etc.

SAP HANA est aujourd’hui au cœur de nombreuses applications SAP. Il est également possible de l’utiliser en mode autonome. « Dans les deux cas, l’ensemble des fonctionnalités est disponible, car il n’existe qu’une seule version de SAP HANA », explique Olivier Demeusy, Director at Center of Excellence, EMEA North for SAP Business Technology Platform.

Runtime VS Enterprise

La principale différence entre SAP HANA Runtime Edition et SAP HANA Enterprise Edition réside dans le mode d’accès à la base de données et les restrictions s’y appliquant :

  • L’édition Runtime est conçue pour les applications SAP et ne peut être adressée qu’à travers ces applications
  • L’édition Enterprise est accessible sans restrictions depuis n’importe quel système ou application, SAP ou non.

La Runtime Edition n’autorise donc l’interaction avec la base de données qu’au travers des applications SAP, qui vont se charger de lancer les requêtes. L’Enterprise Edition est pour sa part accessible depuis les applications SAP, des applications tierces ou vos propres applicatifs métiers.

L’accès pourra se faire en direct au travers de requêtes SQL. Les fonctions d’intégration et de qualité de données pourront être librement exploitées, tout comme les moteurs avancés de SAP HANA. Enfin, de multiples ponts seront accessibles afin de lier du code métier à SAP HANA. Et ce jusqu’à l’hébergement de vos applications dans SAP HANA. SAP HANA XS Advanced permet en effet le développement d’applications natives SAP HANA, capables de fonctionner au plus près de la donnée.

Un changement de licence facilité

Passer de la Runtime Edition à l’Enterprise Edition est aisé, SAP HANA restant identique dans les deux cas. « Le passage d’une licence à l’autre ne se traduit par aucun changement technique », confirme Olivier Demeusy.

Le tarif comprend un coût d’acquisition et une maintenance annuelle. « Le tarif appliqué dépend directement du volume de données qui sera pris en charge par SAP HANA, avec un calcul effectué par blocs de 64 Go. » Que vous utilisiez une base de données de 500 Go ou de 20 To, vous aurez donc toujours la garantie de bénéficier d’une offre parfaitement ajustée.

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Source de l’article sur sap.com