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Paris – le 27 novembre 2023 – À l’occasion de la COP28,  SAP SE dévoile les résultats de son Rapport annuel sur la durabilité, révélant que 87 % des dirigeants français maintiendront ou augmenteront leurs investissements dans les démarches durables d’ici à 2026, dans le but d’obtenir de meilleurs rendements économiques. Cependant, malgré ces ambitions, les entreprises françaises continuent de créer leurs propres obstacles à cette progression.

L’étude mondiale qui a interrogé plus de 4 700 dirigeants d’entreprise, dont 200 en France, est la troisième édition du Rapport annuel sur la durabilité de SAP. Il explore les motivations et les défis clés auxquels font face les organisations cherchant à réduire leur impact environnemental à grande échelle.

Le rapport révèle que 13 % des entreprises françaises déclarent que leurs initiatives environnementales ont déjà un impact positif sur leurs revenus et leurs opportunités de profit, tandis que seulement 12 % d’entre-elles ont désigné le Directeur Financier, pourtant essentiel à la stratégie d’investissement, comme responsable de ces efforts. Quatre entreprises sur dix (41 %) rencontrent des difficultés à mesurer le retour sur investissement, et près d’un tiers (32 %) citent une incapacité à inciter les partenaires et les fournisseurs à agir, rendant ainsi plus difficile la démonstration et la pérennisation des progrès à long terme.

 

La durabilité, en tant qu’opportunité financière, ne doit pas être perçue comme une charge

Autrefois perçues comme des obligations morales ou éthiques, les initiatives visant à protéger la planète sont désormais considérées par les entreprises françaises comme des opportunités financières à long terme. En effet, 34 % d’entre ellesaffirment que les opportunités de revenus et de profit sont le moteur majeur des investissements durables.

Dans un contexte d’inflation, de problèmes d’approvisionnement et de hausse des coûts de la vie, les dirigeants français maintiennent leurs engagements environnementaux, considérant les actions durables comme un moyen de compenser l’incertitude économique. À présent, plus de la moitié (53 %) de ces dirigeants anticipent un rendement financier positif sur leurs investissements en durabilité au cours des cinq prochaines années.

 

Des barrières internes à la prise de décision

Malgré le lien entre les actions environnementales et la hausse des profits à long terme, l’étude de SAP montre que les entreprises françaises n’impliquent que très peu les Directeurs Financiers dans leur feuille de route environnementale, ce qui freine les progrès.

Actuellement, seulement 7 % des entreprises confient la responsabilité de la direction stratégique des actions durables à leur Directeur Financier. Cette responsabilité revient plutôt à d’autres responsables, dont les Directeurs des risques (10 %), les Directeurs des Opérations (11 %), les PDG (24 %) et le Conseil d’Administration (22 %). L’étude suggère que cette approche ne fonctionne pas pour traduire la valeur économique des progrès en matière de développement durable dans l’ensemble de l’entreprise. Jusqu’à 36 % des entreprises françaises identifient les problèmes de financement comme l’une des cinq principales barrières aux actions durables, tandis que 15 % ne parviennent pas à obtenir le soutien des principaux décideurs pour prendre des mesures concertées. Une plus grande responsabilité du Directeur Financier pourrait remédier à cela.

 

La nécessité de mesurer avant d’agir

Seulement 43 % des entreprises sont en mesure de calculer leurs émissions de gaz à effet de serre liées à leur activité. Par ailleurs, 12 % d’entre-elles ne peuvent pas suivre les émissions produites indirectement dans la chaîne d’approvisionnement. Par conséquent, de nombreux dirigeants se tournent vers des estimations pour évaluer l’impact environnemental. Les dirigeants français peinent également à adopter un cadre de rapport normalisé, avec plus d’un tiers (34 %) n’ayant aucune méthodologie cohérente pour calculer l’impact environnemental de leur production.

Cette ambiguïté est exacerbée par l’utilisation de méthodes de mesure conflictuelles dans leurs rapports. Alors que les dirigeants privilégient la mesure directe pour suivre les émissions énergétiques (91 %), la disponibilité des ressources (78 %), les déchets solides (79 %) et l’utilisation de matériaux (78 %), ils s’appuient sur des conjectures et des estimations pour la pollution de l’eau (68 %), l’impact de la chaîne d’approvisionnement (65 %), la perte de la nature (81 %) et la pollution de l’air (89 %). Cette situation conduit à des difficultés signalées par plus de 90 % des entreprises pour recueillir et analyser des données pour la conformité réglementaire. Cela survient à un moment où les dirigeants français doivent déjà naviguer entre une série de réglementations, taxes et prélèvements liés à leur empreinte carbone.

“Dans un contexte où des réglementations plus strictes exigent désormais des entreprises qu’elles divulguent leur impact environnemental, les dirigeants qui ne peuvent pas rapporter avec précision ces données encourent non seulement des allégations de greenwashing, mais également des amendes et des dommages à leur réputation. Se concentrer sur la mise en œuvre d’un cadre de reporting standardisé est une priorité : pour que les entreprises justifient leurs compétences écologiques, obtiennent des mesures précises et mettent en place des actions qui conduiront directement à un impact bénéfique à long terme » conclut Stephen Jamieson, responsable mondial des solutions d’économie circulaire chez SAP.

 

A propos de SAP :

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 26 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Contacts presse :

Sylvie Léchevin : sylvie.lechevin@sap.com / sap@the-arcane.com

 

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Source de l’article sur sap.com

Comme la plupart des secteurs d’activité, les prestataires de services font face à une pression croissante pour offrir des expériences exceptionnelles à leurs clients tout en préservant leurs marges. Cela soulève la question suivante : est-il possible de fournir plus de valeur aux clients qui utilisent moins de ressources ? Examinons de plus près les résultats du récent article Harvard Business Review, « Stimuler la croissance des services professionnels avec l’ERP cloud » pour en savoir plus.

 

Selon l’article, les prestataires de services parviennent effectivement à identifier, standardiser et automatiser les capacités métier grâce à des progiciels de gestion intégrés (ERP) fournis en tant que service. L’adoption d’un ERP cloud résout les problèmes liés aux logiciels hérités en apportant des améliorations de processus faciles à utiliser et à mettre en œuvre.

 

De l’identification automatique des erreurs dans les factures numérisées à l’acheminement des informations financières directement aux décideurs, un système ERP cloud permet aux prestataires de services, de toutes tailles et de toutes formes, de standardiser leurs données et d’éliminer les activités manuelles de routine qui les ralentissent.

 

Dans le cas de Nagarro, une société d’ingénierie de produits numériques avec des bureaux dans 33 pays différents, la société se préparait à la croissance et cherchait à lancer de nouveaux types d’activités. Avec la mise en œuvre d’un système ERP cloud, Nagarro a automatisé la facturation intra-société, ce qui lui a permis d’économiser 50 % du temps passé auparavant. « Avant, nous devions imprimer une liste de [paiements clients en retard], accéder au système pour chaque client et effectuer une nouvelle transaction pour afficher les détails. Aujourd’hui, tout est sur la base de données, vous pouvez donc double-cliquer, descendre dans chaque client et accéder facilement aux factures en retard », explique Christian Haller, membre du conseil des finances de Nagarro. Le suivi des paiements clients en retard, qui a été effectué manuellement, a été transformé avec un accès Cloud centralisé et a permis un processus de paiement rationalisé et une réussite accrue des projets clients.

 

Les systèmes financiers plus anciens sont souvent fragmentés, décousus et dépendants d’une intervention manuelle. De plus, ils ont besoin d’équipes informatiques importantes et dédiées pour exécuter la maintenance et les mises à jour. Ces défis entraînent des retards, des erreurs de données et un manque de visibilité qui font de la survie et de la croissance un effort herculéen. Le résultat de l’exploitation de processus standardisés et d’automatisations accrues signifie que les ressources peuvent se concentrer sur un travail à valeur ajoutée et différenciant, collaborer plus efficacement les unes avec les autres et offrir de meilleures expériences et soins aux clients.

Pour le cabinet de conseil Beyond Technologies, leur priorité était d’optimiser leur cycle quote-to-cash. Avec leur ERP cloud, ils ont utilisé l’intelligence artificielle pour rapprocher automatiquement les encaissements des clients.

 

« Nous avons un taux de réussite de 95 %, ce qui est un grand nombre », explique Luc Dubois, PDG d’Beyond Technology. Les améliorations réalisées au niveau des flux de trésorerie et de l’efficacité opérationnelle leur permettent désormais d’obtenir plus de capitaux pour faire face à la récession, développer leur main-d’œuvre et s’aventurer sur de nouveaux marchés sans recourir à des emprunts coûteux.  Avec des données communes dans une solution ERP unique, l’entreprise a pu accélérer la facturation et être payée plus rapidement.

 

Si vous êtes curieux des nombreux avantages de l’ERP cloud pour les prestataires de services professionnels axés sur la croissance, lisez ce document Harvard Business Review « Stimuler la croissance des services professionnels avec l’ERP cloud » ou écoutez ce podcast « Harvard Business Review Research : Stimuler la croissance des prestataires de services avec l’ERP cloud avec Paul Saunders »

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Source de l’article sur sap.com

Garder son emploi, mais pas le même.

Garder son emploi est une décision difficile à prendre lorsque l’on souhaite changer de métier, mais c’est possible ! Découvrez comment.

## Est-ce que le examen OCP a encore du sens?

Récemment, j’ai consacré trois articles à mon étude réticente pour l’examen OCP-17 Java, en donnant des conseils sur la façon de rendre l’effort moins pénible. Je ne l’ai pas encore passé. Avec chaque nouvelle avancée en assistance à la programmation IA, affiner vos compétences en tant que compilateur humain me semble de plus en plus anachronique. C’était toujours un acte de masochisme, mais je suis de plus en plus convaincu qu’il n’y a aucun avantage professionnel à devenir bon dans quelque chose que la machine est supérieure. Je concède que toute poursuite peut être bénéfique ou agréable pour des raisons autres que la simple utilité, mais en tant que développeur, je suis payé pour être productif. Passer un bon moment au travail est un plus, et les compétences que l’OCP exige ne sont pas mon idée de plaisir.

De nombreuses tâches intellectuelles qui sont difficiles pour les humains sont faciles pour les ordinateurs (échecs, arithmétique, apprentissage par cœur) et le sont depuis des décennies. Nous avons inventé les langages de programmation de haut niveau et la collecte des déchets car les êtres humains sont terribles pour inverser les bits et gérer la mémoire. La feuille de route des langages informatiques et des outils est celle de l’abstraction croissante. GitHub Copilot et ses semblables ne sont que la prochaine étape inévitable pour éliminer la complexité accidentelle.

Bien que je sois un développeur expérimenté, je n’ai pas le temps ou l’envie de passer des heures à apprendre des concepts qui ne sont pas directement liés à mon travail quotidien. De plus, je ne vois pas l’intérêt de passer un examen qui ne me donnera pas une certification reconnue par l’industrie. Cependant, je suis conscient que l’utilisation des données est essentielle pour les développeurs modernes. Les données sont utilisées pour prendre des décisions, améliorer les performances et créer des produits innovants. Les développeurs doivent être à l’aise avec les bases de données, l’analyse des données et le traitement des données. Les compétences en matière de données sont très recherchées par les employeurs et peuvent être acquises par le biais d’un cours ou d’une formation en ligne.

Je pense que les développeurs doivent se concentrer sur leurs compétences en matière de données plutôt que sur l’apprentissage d’un langage de programmation spécifique. Les technologies évoluent rapidement et il est important de rester à jour. Les développeurs doivent être en mesure d’utiliser les technologies les plus récentes et les plus pertinentes pour leurs projets. Les compétences en matière de données sont essentielles pour réussir dans ce domaine et devraient être une priorité pour tout développeur.

Source de l’article sur DZONE

Révision de code sécurisée

La sécurité des systèmes informatiques est une priorité absolue. La révision de code sécurisée est un moyen essentiel pour assurer la sécurité des données et des systèmes.

## Examen de code sécurisé : essentiel pour assurer la sécurité et l’intégrité des applications logicielles

La revue de code sécurisée est essentielle pour assurer la sécurité et l’intégrité des applications logicielles. En examinant la base de code à la recherche de vulnérabilités et de faiblesses potentielles, les développeurs peuvent identifier et traiter les problèmes de sécurité avant que des acteurs malveillants ne les exploitent. Cet article discutera des meilleures pratiques pour mener une revue de code sécurisée complète et efficace.

Définir les exigences de sécurité

Avant de commencer une revue de code, il est essentiel d’établir des exigences de sécurité précises pour l’application. Ces exigences doivent être conformes aux meilleures pratiques et aux normes de conformité pertinentes pour votre projet. En définissant les objectifs et objectifs de sécurité à l’avance, le réviseur peut fournir un cadre pour évaluer le code et identifier les éventuelles lacunes en matière de sécurité.

Analyse de l’architecture

Une fois les exigences de sécurité définies, le réviseur peut passer à l’analyse de l’architecture. Il est important d’examiner la structure globale du code et de comprendre comment les différents composants interagissent entre eux. Cette étape permet au réviseur d’identifier des points faibles potentiels et d’analyser la façon dont les données sensibles sont traitées et stockées. Il est également important de vérifier si l’application respecte les normes de sécurité et les bonnes pratiques en matière d’architecture.

Examen du code source

Une fois que l’architecture a été analysée, le réviseur peut passer à l’examen du code source. Cette étape implique la recherche de vulnérabilités potentielles, telles que les failles d’injection SQL, les failles XSS et les failles de type buffer overflow. Il est également important de vérifier si le code respecte les normes et les bonnes pratiques en matière de codage. Le réviseur peut également rechercher des erreurs logiques ou des erreurs dans le traitement des données sensibles.

Source de l’article sur DZONE

Lors de son Move to Cloud, CITEO a décidé de moderniser son ERP SAP ECC, en optant pour l’offre RISE with SAP dans le Cloud. Un projet confié à STMS, lequel a su le mener à bien en moins de huit mois.

CITEO est une entreprise à mission agréée par l’Etat. Elle a été créée par les acteurs du secteur de la grande consommation et de la distribution pour réduire l’impact environnemental de leurs emballages ménagers et papiers graphiques via des solutions de réduction, de réemploi, de tri et de recyclage. CITEO détient une filiale, Adelphe, dédiée à la fin de vie des emballages issus des secteurs des vins & spiritueux et des médicaments.

Grace aux efforts de l’ensemble des acteurs, et des citoyens, 72% des emballages ménagers et 62% des papiers sont aujourd’hui recyclés en France.

CITEO et Adelphe regroupent 346 collaborateurs et le chiffre d’affaires du groupe, redistribué à 95% aux collectivités, s’est élevé en 2021 à 831,8 M€.

Pour accomplir sa mission, CITEO développe de nombreux outils afin d’une part de permettre les déclarations mais aussi d’apporter du conseil aux 35 000 clients et 34 500 collectivités avec les- quels elle travaille au quotidien.

Un virage vers le cloud… et SAP S/4HANA Cloud

CITEO est une entreprise qui doit gérer d’importants flux financiers, entrants et sortants. À ce titre, son ERP SAP ECC est une des briques centrales de son système d’information.

« En 2020, nous avons décidé de basculer vers le cloud Microsoft Azure, explique Nicolas Malaquin, Directeur des solutions digitales et systèmes d’information, CITEO. Nous avons dans un premier temps choisi de migrer notre ERP SAP ECC vers les infrastructures Microsoft Azure, avant de basculer sur une solution plus adaptée au monde du cloud, au travers d’une migration vers un ERP SAP S/4HANA en mode as a service. »

C’est donc dans ce contexte que CITEO a décidé d’opter pour l’offre RISE with SAP et d’adopter la solution SAP S/4HANA Cloud, avec à la clé quatre principaux bénéfices attendus :

  • une modernisation massive de l’ERP ;
  • une réduction des coûts globaux de fonctionnement, de l’ordre de 20% ;
  • une simplification administrative, l’ensemble étant géré via un unique contrat ;
  • l’accès à des fonctionnalités de disaster recovery, proposées en standard.

CITEO décide d’engager rapidement son projet de migration. « La fin de support de SAP ECC étant proche, nous voulions éviter de tomber dans le goulot d’étranglement formé par les migrations à venir au sein des grands groupes, commente la DSI CITEO. Il y a une vraie tension sur les ressources disponibles.

STMS est l’un des partenaires historiques de CITEO. C’est donc à lui qu’a été confiée le projet.

« Il est logique de confier ce projet à STMS, qui connaît bien notre métier et notre contexte. »

Une migration réussie en huit mois

L’ERP SAP ECC de CITEO se concentre sur les flux financiers (modules SD, MM er FICO). Un périmètre qui a été conservé lors du passage vers SAP S/4HANA. Tout comme la SAP GUI, ce qui a permis de limiter les changements du point de vue des utilisateurs. « Notre priorité était de mettre en place rapidement un socle technique solide, explique Julien Martin, Directeur de la Technologie et de la sécurité, CITEO. La ‘fiorisation’ de l’interface sera abordée dans un second temps. »

Les travaux de conception et de développement sont menés entre février et mai 2022, avec une première phase de recette s’étalant de mai à juillet, suivie de la recette métier en septembre, avant une mise en production en fin de mois. Le tout effectué sous le regard attentif des équipes de STMS, de l’intégrateur, mais également d’une équipe SAP dédiée. Après près de trois mois de fonctionnement, le bilan est positif : si quelques soucis restent à régler, le nouvel ERP n’a pas connu de défaillance majeure.

Afin d’accélérer les travaux, une phase de réduction des spécifiques a été initiée dès les prémices du projet. « Nous aimerions pouvoir aller au bout de ce travail, avec une revue plus approfondie de nos processus, poursuit Julien Martin. Ceci nous permettra de revenir au plus près des standards tout en tirant le meilleur parti des fonctionnalités de l’ERP SAP S/4HANA. » Certains processus non standards pourraient donc sortir de l’ERP, alors que d’autres – comme les relances client – y seraient réintégrés. « Notre objectif est de redonner à chacun de nos outils sa vraie place dans notre SI. »

CITEO et STMS ont organisé des ateliers avec les Responsables métiers de l’entreprise et utilisateurs de l’ERP, afin qu’ils puissent faire remonter leurs souhaits et remarques. Ces points seront priorisés, afin de créer une roadmap pour 2023, comprenant des éléments comme : des travaux visant à réduire les temps de rapprochement bancaire, la mise à disposition du reporting Fiori pour le contrôle de gestion, la mise en place de tuiles pour les KPI standards dédiés à la comptabilité, ou encore la mise en place d’un cockpit de clôture.

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Source de l’article sur sap.com

Concevoir et réaliser des tests numériques pour applications mobiles

Je suis passionné par la conception et la réalisation de tests numériques pour les applications mobiles. Je vais partager mes connaissances et mes techniques pour vous aider à améliorer vos tests.

H2: L’écosystème des expériences numériques à venir est propulsé par le mobile

Avec l’environnement numérique de plus en plus complexe, les marques doivent s’adapter aux besoins de leurs clients à travers divers appareils, plateformes et canaux. Cependant, avec des ressources limitées, les marques ont tendance à choisir des emplacements établis pour servir leurs clients. Selon une enquête de Forrester, les dirigeants développent des expériences personnalisées pour les appareils les plus populaires des consommateurs, donnant la priorité aux canaux plus établis tels que les sites Web et les applications mobiles. Les marques optimisent également leurs sites Web pour une utilisation mobile, tandis que les applications mobiles offrent une occasion d’engagement plus fréquente avec les clients. Malgré la disponibilité de nombreux produits numériques, les entreprises mettent toujours l’accent sur les expériences numériques Web et mobiles. Pour offrir une expérience mobile supérieure et bien servir vos clients mobiles, il est nécessaire de procéder à des tests numériques pour les applications mobiles. Dans ce blog, nous expliquerons pourquoi les tests numériques sont essentiels pour les applications mobiles, comment ils diffèrent des applications Web et comment concevoir et effectuer des tests numériques pour les applications mobiles.

Le mobile est le moteur de l’avenir des écosystèmes d’expérience numérique

Les appareils mobiles sont devenus un élément familier de la vie quotidienne pour des millions de personnes. Dans le monde entier, des appareils dotés d’une connexion Web tels que les smartphones et les tablettes sont devenus des outils essentiels pour la communication, l’information et le divertissement. Selon Statista, en 2022, le nombre d’utilisateurs uniques d’Internet mobile était de cinq milliards, ce qui indique que plus de 60 % de la population mondiale d’Internet utilise un appareil mobile pour se connecter en ligne. La possession et l’utilisation d’Internet mobile sont prévues pour continuer à croître dans le futur car les technologies mobiles deviennent plus abordables et accessibles que jamais. Cette tendance à la hausse de l’adoption d’Internet mobile est évidente dans les marchés numériques en développement où les réseaux mobiles sont le principal moyen d’accès à Internet. Le trafic Internet mobile représente environ 60 % du trafic Web. En revanche, dans les marchés axés sur le mobile comme l’Asie et l’Afrique, les connexions mobiles représentent une part encore plus importante des pages Web consultées.

L’architecture mobile est essentielle pour fournir une expérience numérique optimale

L’architecture mobile est essentielle pour fournir une expérience numérique optimale. Les entreprises doivent comprendre comment leurs clients interagissent avec leurs produits et services à travers leurs appareils mobiles et comment ces interactions peuvent être améliorées. Les marques doivent s’assurer que leurs applications mobiles sont conçues pour fonctionner correctement sur différents appareils et systèmes d’exploitation. Une architecture mobile réussie implique une stratégie de conception cohérente et cohérente qui tient compte des différents facteurs tels que la taille de l’appareil, la résolution, la connectivité et la plate-forme cible. Les entreprises doivent également prendre en compte la vitesse et la fiabilité du réseau lorsqu’elles développent des applications mobiles afin de garantir une

Source de l’article sur DZONE

Paris, le 27 mars 2023 – Face à la recrudescence des risques géopolitiques, aux pénuries de matières premières et aux difficultés d’approvisionnement, SAP, à travers son étude Supply Chain 2023, revient sur les grands défis auxquels sont confrontées les entreprises internationales. Dans ce cadre, 350 responsables de chaîne logistique ont été interrogés et témoignent de la nécessité de transformer leur modèle : si à première vue les nouvelles semblent décourageantes, les entreprises y voient une réelle opportunité de s’améliorer et de devenir plus résilientes.

 

Seule 1 entreprise française sur 10 s’attend à la fin des problèmes qui touchent la chaîne d’approvisionnement d’ici l’été 2023

Les conclusions du rapport Tomorrow’s Supply Chain : Disruption Around Every Corner[1] soulignent l’état critique de la chaîne d’approvisionnement depuis le début de la pandémie. Les entreprises françaises, belges et néerlandaises ont été freinées par des retards dans la production de biens ou la livraison de services (50%) et un manque de matières premières (34%). Ceci a entraîné une baisse significative du chiffre d’affaires (33 %), une incapacité de payer le personnel (31 %) ou les loyers (41 %), mais aussi une perte de clientèle (35 %) ou une atteinte à la réputation (27 %).

Près de la moitié des entreprises françaises (46%) s’attendent à ce que les problèmes qui touchent actuellement la chaîne d’approvisionnement persistent jusqu’à la fin 2023. Seule 1 entreprise sur 10 prévoit qu’ils seront résolus d’ici la fin de l’été. Pour près de 4 entreprises sur 10, la durée de ces problèmes dépend de la résolution d’événements clés : la situation en Ukraine (24 %) ou la crise énergétique (17 %).

Les entreprises françaises en attente de mesures incitatives des pouvoirs publics pour attirer de nouvelles compétences, notamment venant de l’international

Si deux tiers des entreprises françaises sont en phase avec la stratégie du président Emmanuel Macron qui souhaite que la France « soit une nation plus indépendante », en faisant valoir que la démondialisation des chaînes d’approvisionnement favoriserait la croissance économique, elles indiquent clairement souhaiter davantage de soutien de la part du gouvernement pour résoudre ces problèmes, et demandent des mesures incitatives pour attirer et améliorer les compétences de la main-d’œuvre (49 %), y compris celles provenant de l’étranger (40 %). Ces entreprises demandent également une collaboration accrue avec l’industrie (40%). Le rapport montre par ailleurs qu’une majorité des entreprises françaises (66 %) pense que la démondialisation des chaînes d’approvisionnement pourrait favoriser la croissance économique. Aux Pays-Bas, elles sont plus mitigées : 34 % y seraient favorables et 66 % défavorables.

Olivier Kessler-Gay, Directeur Général pour l’Europe de l’Ouest chez Pandora, commente : « Notre défi aujourd’hui est de répondre aux nouvelles attentes d’une expérience d’achat transparente, personnalisée et omnicanale. En intégrant totalement notre chaîne de valeur, de la conception de nos bijoux et leur fabrication dans nos ateliers, à l’approvisionnement de nos boutiques, nous avons éliminé certaines problématiques que rencontrent d’autres acteurs du marché. Nous pouvons ainsi mieux anticiper l’impact d’évolutions macroéconomiques et gérer les risques. Si de nombreuses incertitudes restent complexes à appréhender, la connaissance de nos clients, la data et les outils à notre disposition nous permettent d’améliorer la croissance grâce à une approche beaucoup plus sophistiquée et à une compréhension plus fine de la demande. »

 

Une opportunité pour transformer la Supply Chain ?

La transformation de la chaîne logistique est prioritaire pour les entreprises : dans près de deux tiers des organisations, il s’agit d’une initiative parrainée au plus haut niveau. Environ six organisations sur dix prévoient une transformation majeure de la chaîne d’approvisionnement au cours des deux prochaines années et une proportion similaire considère les attentes des clients en matière de développement durable comme un facteur critique pour leurs activités. D’ailleurs, nombre d’entre elles agissent déjà en adoptant de nouveaux processus, de nouvelles méthodes et des solutions intelligentes pour pallier les risques actuels et futurs de leur chaîne d’approvisionnement.

Rémy Vernet, Directeur de la Digital Supply Chain chez SAP France commente : « Alors qu’autrefois la gestion de la supply chain consistait surtout à réduire les coûts, les entreprises sont confrontées au défi de rester en avance sur la demande des consommateurs, tout en améliorant la résilience, en réduisant les émissions de carbone, en diminuant le taux de rotation du personnel et en maintenant les coûts à un niveau bas. Le marché du travail post-pandémique, la guerre en Ukraine, la hausse des coûts de l’énergie ont exacerbé les défis des modèles actuels de supply chain en France. Quels que soient les facteurs externes qui perturberont la circulation des biens et des services, notre culture de consommation à la demande ne fera que s’accroître. L’expédition du jour au lendemain est considérée comme tardive, avec des mises à jour de suivi toutes les heures. Une approche novatrice est nécessaire pour répondre à cette demande. »

 

Comment STMicroelectronics a réussi à transformer sa supply chain.

L’industrie des semi-conducteurs est une activité complexe.  Elle compte plus de 40 000 produits, plus de 200 000 clients et des process de fabrication sophistiqués. Les étapes de fabrication comprennent des centaines d’étapes qui peuvent se dérouler sur six mois autour d’un grand réseau mondial d’installation et de production. Tous ces paramètres doivent être compris dans une forte demande sur quatre marchés finaux : automobile, industrie, électronique et infrastructures de communication. STMicroelectronics fait fonc face à un très haut niveau de difficulté à gérer au quotidien.

STMicroelectronics et SAP ont uni leurs forces pour développer une supply chain fondée sur l’analyse et l’optimisation de la big data, des modèles de jumeaux numériques pour fusionner le physique et le numérique, et des outils collaboratifs pour l’ensemble des opérations. Cette union a permis un changement radical dans la façon dont cette multinationale utilise le cloud.

 

Dario Fozibo, directeur de la supply chain chez STMicroelectronics, explique : “La dynamique commerciale du marché des semi-conducteurs était très instable pendant la pandémie. Depuis, la complexité de la chaîne d’approvisionnement s’est encore accru avec une plus grande volatilité de la demande, des pénuries d’approvisionnement et de matériaux. Tout ceci combiné à une perturbation de l’économie mondiale via l’inflation, une hausse des taux d’intérêts, une augmentation des coûts de l’énergie, des réglementations commerciales plus complexes, et bien plus encore.  Tous ces facteurs ont indéniablement un impact négatif sur de nombreuses chaînes d’approvisionnement, mais cette situation n’est pas irréversible. Grâce à nos investissements, nous avons pu mieux gérer, contrôler et automatiser nos processus en termes de visibilité et de résilience. C’est ce qui fait la différence aujourd’hui.”

 

Des entreprises françaises soucieuses de renforcer leur chaîne d’approvisionnement

La grande majorité des entreprises françaises est consciente du besoin d’améliorer sa chaîne logistique (87 %). 36 % d’entre elles comprennent également l’ampleur des changements à mettre en place. Les résultats de l’étude montrent que les entreprises françaises explorent d’autres voies pour améliorer leurs chaînes d’approvisionnement :

  • 74% prévoient de prendre de nouvelles mesures d’urgence pour leur chaîne d’approvisionnement
  • 70 % prévoient de trouver de nouvelles solutions respectueuses de l’environnement
  • 66 % prévoient d’adopter de nouvelles technologies pour les aider à surmonter les difficultés au cours des 1 ou 2 prochaines années.

 

Rémy Vernet chez SAP France conclut : « Il est passionnant de voir qu’autant d’organisations réalisent l’importance d’investir dans les technologies de pointe pour innover et qu’elles prévoient d’adopter de nouvelles solutions de supply chain respectueuses de l’environnement. Les supply chains résilientes doivent être durables, non seulement en termes d’environnement, mais aussi par rapport aux évolutions des technologies et des infrastructures en France tout comme à l’étranger. Pendant des décennies, la gestion de la supply chain s’est concentrée sur les coûts, la priorité étant de la maintenir légère et rapide. Ce n’est pas la même chose que d’être agile et résilient. Avec la fin des modèles “just in time”, les entreprises doivent commencer à placer les mêmes attentes sur leur chaîne d’approvisionnement que sur leurs activités plus larges, en se structurant pour être “just in case”, afin de pouvoir s’adapter en cas de catastrophe. Celles qui n’opèrent pas ce changement s’exposeront à des 18 mois très difficiles. »

 

[1]  La Supply Chain de demain : des perturbations à tout moment

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À propos de SAP

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com. 

Contact presse : sylvie.lechevin@sap.com

sap@the-arcane.com – 06 41 99 36 72

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Source de l’article sur sap.com

Paris, le 28 février 2023. SAP (SAP:SE) et Trustpair, deux experts en technologie et digitalisation des services financiers, ont mené une étude avec OpinionWay pour sonder la complexe situation des fraudes au virement contre les ETI et grands groupes en France, auprès de ceux qui la connaissent le mieux : les Directions Financières et les Responsables Trésorerie des grandes entreprises en France.

 

La moitié des entreprises en France a subi une attaque à la fraude bancaire en 2022, dont 50% ont abouti.

54% des entreprises ont constaté en 2022 une augmentation du nombre d’attaques par rapport à 2021, avec 23% des attaques ayant abouti.

Le nombre de tentatives de fraudes bancaires est en moyenne de 2,1 tentatives par entreprise, avec une légère tendance majoritaire pour les entreprises de plus de 5 000 employés : 2,4 en moyenne et 1,9 pour les autres.

Si 3% des victimes ont du mal à évaluer, à l’issue d’une attaque, la perte réelle, il n’en reste pas moins qu’en 2022, une tentative sur deux de piratage est fructueuse.

 

La fraude au virement en 2022, le cas d’école

Alors que 50% des entreprises témoignent d’une tentative de fraude au virement, 31% déclarent avoir subi plus d’une tentative de ce type en moins d’un an. Ce chiffre atteint même 40% pour les entreprises de plus de 5 000 salariés, preuve supplémentaire que – sur la fraude au virement – les grandes entreprises restent la cible favorite des escrocs, tandis que les plus petites structures souffriront d’attaques d’un autre genre.

 

De réels impacts financiers pour les victimes

71% des attaques concernent des sommes inférieures à 100K€ et représentent 85% des attaques à l’encontre des entreprises de moins de 5 000 employés.

La majorité des fraudes se concentre sur des sommes comprises entre 50K€ et 100K€ (26%) et cible tout particulièrement les entreprises de moins de 5 000 personnes, plus d’un tiers des menaces totales. Les structures de plus de 5 000 employées quant à elles, vont connaître 14% de fraudes dépassant les 300K€.

Si les interrogés nous rapportent que pour la majorité (91%), les sommes ont été récupérées, seul 26% indiquent avoir retrouvé la totalité des montants, engendrant un réel impact financier sur les petites et moyennes structures.

 

Des attaques, aux typologies variées, qui nécessitent une sensibilité plus exacerbée

La versatilité des tentatives de fraudes constitue l’un des leviers clés de réussite. Pour cette raison, les quatre typologies de fraudes les plus souvent évoquées sont :

  • La fraude aux faux clients (39 %)
  • La fraude à la fausse facture (37%)
  • La fraude au RIB (36%)
  • La fraude au Président (34%)

 

90% des interrogés sont d’accord ou particulièrement d’accord avec le fait que le risque global de fraude au virement augmente d’année en année, et 91% s’accordent sur le fait que la lutte contre ce type de fraude doit dorénavant représenter une priorité pour leur structure.

Patrice Vatin, Head of Customer Advisory Finance & Risks, SAP France indique: « Notre perception des risques grandit car les menaces sont tangibles et nous sommes de plus en plus témoins de leurs externalités. Néanmoins, il est nécessaire de ne pas négliger toutes les menaces qui restent invisibles. Les études démontrent que nous avons tendance à minimiser les risques, or nous devons nous appliquer à autant adresser ces enjeux dissimulés, que ceux qui sont d’ores et déjà en œuvre. Il faut mettre en place des outils de contrôle continu intégrés à l’ERP, mais aussi une gouvernance entre les différentes équipes pour gérer les risques. 50% des entreprises ont été victimes de fraudes en 2022, mais 100% peuvent être des cibles. »

Baptiste Collot, Président et co-fondateur de Trustpair témoigne : « Le risque de fraude ne s’est pas atténué ces dernières années, loin de là. En cause une asymétrie de moyens qui se creuse entre l’attaque et la défense. Pour autant, la sensibilité des entreprises à ces risques a évolué. Le lien entre fraude et cyber-attaque est bien mieux identifié, les corporates sont davantage éduqués et ont une meilleure idée de comment l’adresser. La réponse réside dans une complémentarité des ressources, où le digital vient en support de l’humain pour lui permettre de se focaliser sur le bon niveau de risque. »

 

Découvrez l’intégralité de l’étude ici  

 

Méthodologie :

Étude réalisée auprès d’un échantillon de 151 DAF et responsables de trésorerie d’entreprise de plus de 250 salariés :

  • 125 Responsable / Directeur Administratif et/ou Financier (DAF)
  • 26 Responsable / Directeur de la trésorerie

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Source de l’article sur sap.com

SAP France obtient la note de 77/100 à l’Index de l’égalité femmes-hommes au titre de l’année 2022. Cet Index a été calculé sur la base de 5 indicateurs :

  • Les écarts de rémunération : 37/40 points
  • La répartition des augmentations : 10/20 points
  • La répartition des promotions : 15/15 points
  • Le pourcentage de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité : 15/15 points
  • La mixité des dix plus hauts salaires : 0/10 points

La parité et la mixité étaient une priorité pour SAP France bien avant la mise en place de l’Index égalité professionnelle. En effet, SAP France renouvelle et adapte ses Accords Egalité Professionnelle depuis de nombreuses années. SAP France est en effet engagé dans une politique à long terme dans ces domaines avec notamment la mise en place de plans d’action égalité femme/homme et des analyses de rémunération régulières. Nos Accords n’abordent pas uniquement la question des salaires mais également des formations, du recrutement, du développement, etc. Autant d’éléments impactant l’égalité professionnelle, éléments que l’index, tel qu’il est construit aujourd’hui, ne permet pas de mesurer. SAP France entend poursuivre ses efforts et ses engagements dans le domaine de l’égalité professionnelle. Les négociations relatives au renouvellement de l’Accord Egalité Professionnelle débuteront prochainement.

Depuis 2022, l’Index de l’égalité salariale Femmes-Hommes prévoie également la mise en place d’objectifs de progression pour tous les indicateurs n’ayant pas obtenus la note maximale en cas de résultat inférieur à 85 sur 100. Dans cette perspective et  au-delà des mesures susmentionnées, des objectifs de progression ont été fixés :

  • Les dispositions prévues, à date, pour progresser sur l’aspect des écarts de rémunération femmes-hommes :
    • Des niveaux de salaires équivalents à l’embauche pour un même niveau de responsabilités, de formation, d’expérience et de compétences professionnelles.
    • Sensibilisation des managers quant à l’importance de l’équité de traitement dans leurs prises de décisions relatives à la revue de salaire annuelle, l’attribution de primes exceptionnelles dites « spot awards », attribution de RSU, etc.
    • Nomination de référents de l’égalité professionnelle pouvant être sollicités si un salarié estimait être discriminé en terme de rémunération.
    • Maintien du paiement de la part variable à 100% pendant la période de congés maternité.
    • Maintien du salaire sur la base du TTC en cas d’incapacité temporaire du travail au-delà de 90 jours consécutifs d’arrêt.

Les autres dispositions permettant de réduire les écarts de rémunération figurent au paragraphe suivant (dispositions prévues pour progresser sur les écarts de répartition des augmentations individuelles). Ces dispositions s’appliquent pour ces 2 indicateurs.

 

L’objectif est de progressivement arriver à se rapprocher, voir atteindre la note maximale sur ce premier indicateur, à l’aide des dispositions susmentionnées et sous-mentionnées.

 

  • Les dispositions prévues, à date, pour progresser sur les écarts de répartition des augmentations individuelles :
    • Garantir l’équité de traitement lors des révisions salariales annuelles : analyse de la moyenne d’augmentation, analyse du % de femmes et d’hommes augmentés.
    • Analyse annuelle via la méthode statistique dite de régression multiple. Tous les salariés avec des écarts supérieurs à 2% se voient leur salaire réajusté avec un budget dédié à l’égalité professionnelle. Les salariés exclus de l’analyse statistique, du fait d’un échantillonnage trop faible, font partis d’une analyse dite non statistique et reçoivent les ajustements de salaire nécessaires, le cas échéant.
    • Analyse du nombre d’augmentés dans l’année N au cours du T4 de l’année N (augmentés lors de la revue de salaire et lors des demandes d’augmentations hors cycle dites « off-cycles »).
    • Toute augmentation intervenue dans le cadre de réajustement de salaire ne saurait avoir des répercussions sur les décisions prises pendant la revue de salaire annuelle.
    • Sensibilisation des managers sur ces sujets, notamment lors des sessions d’information dédiées à la revue de salaire mais également dans les divers supports et communications dédiés.

 

L’objectif est d’atteindre la note maximale sur l’indicateur 2 lors du prochain calcul en appliquant l’ensemble de ces mesures. SAP France ayant précédemment obtenu la note maximale depuis la mise en place de l’Index.

 

  • SAP France obtient la note maximale sur les écarts de répartition des promotions. Vous retrouverez, ci-dessous, un certain nombre de mesures mises en place, à date, pour garantir l’équité de traitement quant à l’aspect évolution de carrière. A noter , par ailleurs, que seules les promotions (changement de T-level) comptent pour cet indicateur mais que chez SAP France, il peut également y avoir des progressions (changement de grade). Ces dernières ne sont pas prises en compte dans le calcul de l’indicateur du fait de la méthodologie établie pour le calcul de l’Index :
    • Analyse du % de femmes et d’hommes promus ou progressés lors des révisions salariales annuelles .
    • Analyse du nombre de promus dans l’année N au cours du T4 de l’année N (promus lors de la revue de salaire et lors des demandes de promotions hors cycle dites « off-cycles »).
    • Les changements de grades (dites « progressions » en interne) dans un même niveau (T-Level) ne sont pas pris en compte dans le calcul de l’Index mais ils sont néanmoins indissociables des promotions puisque les progressions dans les niveaux de carrière sont un préalable à la promotion au niveau supérieur. Dans cette perspective, notre Accord prévoit la garantie de l’équité de traitement lors des révisions salariales annuelles via une analyse de tous les salariés qui sont sur un grade 1 depuis 3 ans ou plus.
    • Garantir l’égalité d’accès à la formation, élément déterminant pour l’évolution professionnelle et donc favorisant les promotions.
    • Formations dédiées au développement de l’assertivité des femmes, notamment des femmes promues managers, expertes ou ayant vocation à le devenir.
    • Mise en place d’un Comité de mobilité interne afin d’identifier les besoins de mobilité interne.
    • Solutions de garde d’enfants et d’aide aux aidants pour favoriser l’équilibre temps de travail, temps de formation, temps de vie.
    • Nomination de référents de l’égalité professionnelle pouvant être sollicités si un salarié estimait être discriminé quant aux opportunités de carrière.

 

 

  • SAP France a toujours obtenu la note maximale sur le pourcentage de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité. En effet, SAP France apporte une attention particulières à la rémunération des femmes en congés maternité depuis de nombreuses années. A noter que SAP France a également un certain nombre de dispositifs en place pour les salariés en congés parental. Ces dispositions sont consultables dans notre Accord Egalité Professionnelle.

 

  • Les dispositions prévues, à date, pour progresser sur la mixité des dix plus hauts salaires :
    • Comme mentionné précédemment : garantir l’égalité d’accès à la formation, élément déterminant pour l’évolution professionnelle et ainsi favoriser l’accès, pour les femmes, à des postes de managers, experts ou de Direction. Les grilles de salaire pour ces niveaux de postes étant plus élevées, si le % de femmes se positionnant sur ces niveaux de postes augmente, il y aura alors, de fait, plus de chance d’atteindre la mixité des dix plus hauts salaires.
    • Solutions de garde d’enfants et d’aide aux aidants pour favoriser l’équilibre temps de travail, temps de formation, temps de vie. Permettant ainsi d’envisager plus facilement l’accès aux postes susmentionnés.
    • Toujours dans cette même logique d’évolution de carrière : entretien professionnel tel que prévu par la loi mais également entretiens trimestriels des salariés avec leurs managers (lors de « SAP Talk ») pour identifier les besoins en formation, aspirations en terme de développement de carrière, etc.

L’objectif étant d’obtenir progressivement des points sur cet indicateur 5 en appliquant l’ensemble de ces mesures.

Les détails de certaines mesures et les KPIs sont consultables dans notre Accord Egalité Professionnelle.

Nous vous informons également, qu’au titre de l’année 2022, SAP France comptabilise une majorité de femmes dans ses instances dirigeantes (54% de femmes et 46% d’hommes). Ce résultat démontre que la parité et la mixité sont des priorités pour SAP France. Retrouvez ci-dessous le détail des indicateurs résultant de la loi visant à accélérer l’égalité économique et professionnelle :

  • Pourcentage de femmes parmi l’ensemble des cadres dirigeants : non applicable
  • Pourcentage d’hommes parmi l’ensemble des cadres dirigeants : non applicable
  • Pourcentage de femmes parmi l’ensemble des membres des instances dirigeantes (en prenant en compte les personnes non salariées) : 54%
  • Pourcentage d’hommes parmi l’ensemble des membres des instances dirigeantes (en prenant en compte les personnes non salariées) : 46%

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Source de l’article sur sap.com

Optimisation de clusters GKE: 14 tactiques pour un déploiement K8s plus fluide

Découvrez comment optimiser vos clusters GKE et améliorer la fluidité de votre déploiement K8s grâce à ces 14 tactiques simples !

Comment s’assurer que votre cluster Google Kubernetes Engine est prêt pour les tempêtes à venir ?

Premièrement, l’optimisation de la sécurité. En tant qu’ingénieur informatique enthousiaste, je sais que la sécurité est une priorité absolue. Vous devez donc veiller à ce que votre cluster GKE soit protégé contre les menaces extérieures. Pour ce faire, vous devez configurer la sécurité des nœuds, définir des règles de pare-feu et utiliser des certificats TLS pour vous assurer que votre cluster est sûr et sécurisé. Vous devez également mettre en œuvre des contrôles d’accès et des stratégies de sécurité pour vous assurer que vos données et vos applications sont protégées.

Deuxièmement, l’optimisation de la disponibilité. Pour assurer une disponibilité maximale de votre cluster GKE, vous devez configurer le nombre de nœuds et leurs tailles pour répondre aux exigences de votre application. Vous devez également configurer des réplicas pour vos services et définir des règles de mise à l’échelle pour vous assurer que votre application est toujours disponible. Enfin, vous devez mettre en place des outils de surveillance pour vous assurer que votre cluster est toujours opérationnel.

Enfin, l’optimisation des coûts. Pour optimiser les coûts liés à votre cluster GKE, vous devez configurer le nombre de nœuds et leurs tailles pour répondre aux exigences de votre application. Vous pouvez également utiliser des outils tels que le codage pour réduire les coûts en réutilisant le code existant et en automatisant certaines tâches. Vous pouvez également utiliser des outils tels que Kubernetes pour optimiser les performances et réduire les coûts en répartissant les charges de travail sur plusieurs nœuds.

Source de l’article sur DZONE