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Introduction à la méthode Lean

Découvrez comment la méthode Lean peut vous aider à améliorer votre processus de production et à atteindre vos objectifs plus rapidement !

Histoire de la méthodologie Lean

To address these issues, Toyota developed a new approach called the Toyota Production System (TPS). This system focused on eliminating waste and improving quality. It was based on the principles of continuous improvement, respect for people, and customer focus. Over the years, the TPS has evolved into what is now known as the Lean methodology.

Principes du Lean

Le Lean est une méthodologie qui se concentre sur l’amélioration continue et la réduction des gaspillages. Il s’appuie sur cinq principes fondamentaux : le respect des personnes, la satisfaction du client, l’amélioration continue, la standardisation des processus et l’amélioration des flux. Ces principes sont appliqués à tous les aspects de l’entreprise, y compris la production, la gestion des stocks et la gestion des ressources humaines.

Le Lean est également très axé sur le codage. Les développeurs utilisent le codage pour créer des logiciels plus efficaces et plus rapides. Les principes du Lean sont appliqués au codage afin de réduire les gaspillages et d’améliorer la qualité du logiciel. Les développeurs peuvent également utiliser le codage pour automatiser certaines tâches et améliorer la productivité.

Le Lean est également très axé sur la collaboration. Les équipes travaillent ensemble pour trouver des solutions innovantes et améliorer les processus. Les membres de l’équipe peuvent partager leurs idées et leurs connaissances pour trouver des moyens d’améliorer la qualité et la productivité.

Avantages du Lean

Le Lean offre de nombreux avantages pour les entreprises. Tout d’abord, il permet de réduire les coûts en limitant les gaspillages et en améliorant l’efficacité des processus. En outre, le Lean permet aux entreprises de mieux répondre aux besoins des clients en améliorant la qualité des produits et en réduisant les temps de livraison.

Le Lean permet également aux entreprises d’accroître leur productivité en automatisant certaines tâches et en réduisant les temps de cycle. Enfin, le Lean favorise la collaboration entre les membres de l’équipe et permet aux entreprises d’être plus réactives face aux changements du marché.

En somme, le Lean est une méthodologie très efficace qui permet aux entreprises d’améliorer leur efficacité et leur productivité. Elle se concentre sur l’amélioration continue et la réduction des gaspillages grâce à l’utilisation du codage et à la collaboration entre les membres de l’équipe. En adoptant le Lean, les entreprises peuvent réduire leurs coûts, améliorer la qualité de leurs produits et augmenter leur productivité.

Source de l’article sur DZONE

WALLDORF, Allemagne – 16 septembre 2021 – SAP SE (NYSE : SAP) annonce la disponibilité de SAP® Product Footprint Management, une solution qui permet aux entreprises de calculer l’empreinte carbone de leurs produits ainsi que l’ensemble de la chaîne de valeur. Cette solution prend en compte l’ensemble du cycle de vie, ce qui aide les entreprises à révéler l’empreinte environnementale de leurs produits aux organismes de réglementation et leur permet de les rendre plus durables.

SAP Product Footprint Management fait partie d’un nouveau portefeuille d’applications de gestion axées sur le développement durable, offrant transparence et capacité de mesure tout au long de la supply chain, ce qui permet ainsi aux entreprises de réduire leurs émissions de carbone et d’adopter des activités plus durables.

« Les clients le souhaitent, le monde en a besoin. Il n’y a pas de temps à perdre pour que les entreprises agissent de manière plus responsable et plus durable. Les objectifs de développement durable sont de plus en plus importants pour la réussite des entreprises, au même titre que les objectifs financiers« , a déclaré Thomas Saueressig, membre du conseil d’administration de SAP SE et Responsable de l’Ingénierie des produits SAP. « Lorsque les entreprises intègrent les données relatives aux émissions dans les processus de gestion sous-jacents, les dirigeants peuvent provoquer un véritable changement. En prenant des décisions conscientes tout au long de la chaîne de valeur, ils sont en mesure d’échelonner la transition vers des voies à faibles émissions. SP est particulièrement bien placé pour favoriser ce changement à travers des réseaux d’entreprises collaboratifs, intelligents et durables. »

En intégrant les datas de toutes les solutions qui régissent les processus de production aux données de base des applications de gestion telles que SAP S/4HANA®, SAP Product Footprint Management peut calculer l’impact environnemental de divers scénarios de production. Par exemple, un fabricant de cookies peut choisir sa source d’approvisionnement en chocolat en fonction du coût de la matière première et de son empreinte carbone.

L’approche data-driven de SAP permet aux entreprises d’intégrer les enjeux de développement durable de manière exhaustive pour obtenir des informations exploitables sur l’ensemble de la chaîne de valeur et ainsi les aider à passer à des processus de gestion à faible émission de carbone. En adoptant une approche différenciée, SAP permet aux entreprises d’identifier de manière proactive l’impact carbone au début du cycle de vie du produit et non plus de manière réactive après la fabrication du produit. En outre, SAP Product Footprint Management permet aux entreprises de réduire les émissions de carbone tout au long de leur chaîne de valeur, mais aussi d’échanger des données avec leurs clients, fournisseurs et partenaires commerciaux, ce qui favorise la transparence des émissions de portée 1, 2 et 3 d’une entreprise.

Alors que les réglementations gouvernementales proposées dans le but de lutter contre les effets néfastes du changement climatique pourraient coûter jusqu’à 120 milliards de dollars aux entreprises, SAP Product Footprint Management, solution cloud-native et basée sur SAP Business Technology Platform, est conçue pour mesurer et signaler l’impact des émissions de gaz à effet de serre. Une solution dans l’ère du temps pour les entreprises, dont une récente enquête d’IDC*  a pu démontrer que l’établissement de liens entre les indications financières et environnementales dans les rapports financiers, ainsi que la réduction des émissions de carbone, sont des sujets prioritaires pour les décideurs informatiques.*

 

L’engagement de SAP pour le développement durable

Depuis plus de dix ans, SAP montre l’exemple en matière de pratiques commerciales durables. En plus d’avoir été nommé leader de l’industrie du logiciel dans le Dow Jones Sustainability Indices (DJSI) pendant 14 années consécutives, l’adhésion de SAP à la Value Balancing Alliance et le SAP Integrated Report illustrent notre engagement à intégrer les performances économiques, environnementales et sociales pour guider les décisions commerciales.

« SAP se concentre depuis longtemps sur ses propres opérations de développement durable. Le lancement de la solution SAP Product Footprint Management, associé au projet Pathfinder du WBCSD, représente une occasion unique de réunir des entreprises pour qu’elles mènent conjointement la décarbonisation à travers les chaînes de valeur et les industries « , a déclaré Marta Muñoz, Directrice de Recherche Senior et Responsable de la Pratique Technologie et Développement durable, IDC EME.

Pour en savoir plus, visitez le SAP News Center et suivez SAP sur Twitter à @SAPNews.

 

*IDC, The Increasing Importance of ESG Principles for Enterprises, Doc # EUR147475621, février 2021.

 

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Source de l’article sur sap.com

8 startups françaises et internationales, spécialisées dans l’innovation autour de l’agriculture et de l’agroalimentaire, rejoignent cette sixième édition. Leur but ? Aider ces deux secteurs à se transformer, via des nouvelles technologies, pour avoir un impact positif et durable.

SAP.iO Foundry Paris annonce aujourd’hui le lancement de son nouveau programme d’accélération autour de l’Agribusiness. Suite à son appel à candidature en janvier dernier, le jury de SAP.iO composé de collaborateurs SAP, de partenaires (Deloitte, Accenture), et de fonds d’investissements (CapAgro et Astanor Venture) et de nombreux clients a retenu 8 startups spécialisées en procurement, supply chain, en plateformes de suivi de production et en outils d’aide à la décision. Pendant 10 semaines, SAP.iO va accompagner ces jeunes pousses dans leur croissance autant sur l’aspect business que technologique.

SAP.iO Foundry Paris ouvre ses portes à des startups du monde entier

Cette sixième promotion dépasse les frontières habituelles de SAP.iO Foundry Paris avec 3 startups françaises, 2 américaines 1 israélienne, 1 allemande et 1 canadienne.

Partant du constat que la France est l’une des plus grandes puissances agricoles, SAP.iO Foundry Paris lance le 1er programme d’accélération startups de SAP entièrement dédié à cette industrie. Les 8 jeunes pousses ont été retenues pour leurs technologies et leurs approches innovantes en matière de transition écologique. Grâce à l’expertise de SAP sur le sujet, notamment en Europe et aux Etats-Unis, l’accélérateur de startups offre à ces jeunes pousses l’opportunité de se positionner sur l’ensemble du globe.

Ce nouveau programme d’accélération sera articulé autour de 3 problématiques :

  • Digital Farming & Data-Driven Agriculture : comment intégrer dans l’Agribusiness de la donnée, de l’intelligence artificielle, de l’analytique, de la plateforme d’aide à la décision ?
  • Next-gen Agricultural Origination Processes : comment combiner conformité et traçabilité dans l’ensemble du processus de production et de transformation ?
  • Sustainable AgriBusiness Supply Chains : comment faire de l’agriculture plus responsable et respectueuse de l’environnement tout au long de la chaine de valeur ?

8 startups à forte valeur ajoutée orientées AgTech sélectionnées

  • Agrora permet aux transformateurs et aux négociants de produits agricoles de gagner du temps sur les processus d’approvisionnement et de distribution en offrant un logiciel d’approvisionnement pour les produits agricoles.
  • Clarifruit est une startup israélienne spécialisée dans le contrôle qualité des produits frais et notamment des fruits, qui grâce à l’intelligence artificielle et à des caméras, permet d’identifier si les fruits sont de bonne qualité et propres à la consommation.
  • Connecting Food est la première plateforme collaborative française utilisant la technologie blockchain et des modules intelligents pour apporter de la transparence, une traçabilité de bout en bout et un audit numérique complet des produits alimentaires avant de les mettre dans les mains des consommateurs.
  • Grain Chain Inc, startup américaine, a développé une plateforme révolutionnaire qui uniformise les règles du jeu pour les producteurs, les acheteurs, les opérateurs de stockage, les prêteurs et tous les autres participants de la chaîne d’approvisionnement agricole mondiale. Sa solution combine la blockchain et la technologie axée sur l’IoT pour vérifier et exécuter automatiquement les contrats intelligents, créant ainsi des flux de travail entièrement automatisés et numérisés à chaque étape.
  • Heavy Connect est une plateforme mobile américaine spécialisée dans le respect de réglementations, répondant aux difficultés que peuvent rencontrer les agriculteurs, souvent confrontés à de nombreux contrôles sanitaires et réglementaires.
  • Milk Moovement est une startup canadienne déjà bien établie et qui se développe sur toute la chaîne d’approvisionnement du lait, de la récolte à la livraison. Milk Moovement agit comme un outil de communication entre toutes les entreprises impliquées dans la chaîne d’approvisionnement des produits laitiers.
  • Procsea France SASEn dotant l’industrie des produits de la mer des dernières technologies, en structurant et en standardisant les données, et en améliorant la traçabilité et la durabilité de la filière, ProcSea, startup française basée à Rennes, apporte de la valeur à chacun de ces acteurs et transforme également le commerce des produits de la mer dans son ensemble.
  • Sencrop est une plateforme française d’aide à la décision avec la particularité de pouvoir gérer et animer une communauté autour de sa plateforme pouvant connecter ensemble des capteurs IoT et différentes sources d’informations qui vont permettre d’aider l’agriculteur à prendre la bonne décision.

« L’industrie agroalimentaire est un secteur d’activité majeur pour la France. Au niveau européen, elle se situe au deuxième rang derrière l’Allemagne et on compte aujourd’hui beaucoup de grands groupes français d’envergure internationale. L’innovation est un facteur clé de la compétitivité du secteur, c’est également un moyen de réduire les inégalités et problématiques alimentaires mondiales. C’est dans ce contexte que nous avons décidé d’accompagner des startups dans le domaine Agtech. C’est avec beaucoup d’enthousiasme, que nous lançons notre 1er programme d’accélération startups de SAP entièrement dédié à l’agriculture et à l’agroalimentaire. D’envergure internationale, cette nouvelle promotion vise à apporter au secteur de l’agribusiness différents axes d’améliorations : plus d’efficacité, de transparence et de sécurité. C’est dans ce sens que nous avons sélectionné ces huit jeunes pousses françaises et étrangères dont la mission est de créer des solutions innovantes et complémentaires à celles de SAP pour apporter ensemble plus de valeur à nos clients », explique Sébastien Gibier, directeur de l’accélérateur SAP.iO Foundry Paris.

Avec ce programme et celui de ses autres accélérateurs dans le monde, SAP.iO confirme son ambition d’aller plus loin en 2021 et de vouloir devenir le One Stop Shop de SAP pour les startups à l’échelle mondiale grâce à ses différents programmes complémentaires.

Retrouvez tous les programmes startups proposés par SAP.iO sur leur site internet

Plus d’informations sur SAP.iO Foundry Paris, Agribusiness Industry Accelerator

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

Contacts presse

Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Pauline Barriere : 06.13.73.93.11– presse-sap@publicisconsultants.com
SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

 

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Source de l’article sur sap.com

Les apports de l’industrie 4.0 permettent de rendre les entreprises plus agiles, et aptes à répondre aux enjeux d’hyperpersonnalisation des produits, ainsi qu’aux aléas, économiques, sanitaires ou climatiques.

L’industrie doit faire face aujourd’hui à deux défis clés :

  • L’hyperpersonnalisation des offres induite par la montée de l’économie d’expérience, qui pousse les entreprises à aller de la mass production vers la mass customization.
  • La multiplication des changements brusques dans les habitudes de consommation, provoquée par des crises sanitaires, économiques et bientôt climatiques.

L’industrie 4.0 entend répondre à cette double problématique en rendant la production plus agile. Basiquement, l’industrie 4.0, c’est la transformation numérique appliquée au monde de l’industrie, avec une digitalisation des processus de production. Digitalisation qui doit s’accompagner d’une collecte et circulation des données assurée en temps réel entre les sites de production et le SI de l’entreprise.

De la nécessité de disposer d’un socle solide

Des processus standards et une plate-forme robuste sont nécessaires. « Notre partenariat avec SAP remonte à 2007, lors du déploiement de l’ERP qui sert maintenant de socle à notre stratégie Industrie 4.0. Les notions de socle et de standardisation des processus sont très importantes, » témoigne Damien Régnier, Digital & Shopfloor Operation chez Faurecia.

Attention toutefois à ne pas faire de la standardisation des processus un facteur de réduction de la flexibilité. « Il y a un écart entre le monde de l’ERP et le « shop floor ». L’un a besoin de processus standardisés alors que l’autre demande un certain niveau de flexibilité. » C’est donc un équilibre entre agilité et efficacité qu’il faudra savoir trouver.

Tout n’est d’ailleurs pas forcément bon à digitaliser sur la chaîne de production. « Il faut partir du « pain point » pour trouver des sources de gain, du ROI. Cibler les bons processus avec les bonnes technologies, » analyse François-Xavier de Thieulloy, expert Industrie du Futur à la Direction de l’accompagnement chez Bpifrance.

Le MES, primordial sur les chaînes de production

« L’introduction d’un MES (Manufacturing Execution System, logiciel de pilotage de la production) a été une étape importante dans la digitalisation de nos processus de production », explique Alexandre Sizaret, responsable Production System Efficiency chez Airbus. « Notre MES, sur base SAP ME, est aujourd’hui déployé dans 280 stations de production à travers l’Europe et utilisé quotidiennement par 5000 collaborateurs. »

Un MES permet de faire remonter les données de production en temps réel, mais également de faire redescendre alertes, informations et décisions auprès des opérateurs. Alexandre Sizaret alerte toutefois sur les dangers d’une digitalisation à outrance des processus. « À vouloir trop enrichir le MES, nous avons fini par perdre des utilisateurs. Nous avons alors pris du recul pour retravailler l’expérience utilisateur, en partenariat avec les opérateurs et les chefs d’équipe. »

« La co-construction de la solution reste primordiale, confirme François-Xavier de Thieulloy. Il faut écouter les acteurs de terrain afin de pouvoir les embarquer dans le projet. »

Les règles d’une digitalisation réussie

Nous l’avons vu, pour disposer de données de qualité et en quantité suffisante, il faut tout d’abord disposer de fondamentaux solides, comme un ERP. Mais aussi un MES, pour descendre au plus près de la chaîne de production, ainsi que des technologies comme l’IoT qui vont faciliter la capture de données.

Il faut également savoir traiter ces données qui vont aider à la prise de décision (data to action) ou piloter directement des processus (data driven process). Des informations doivent également redescendre afin de faciliter le travail de l’opérateur. L’opérateur augmenté est un des atouts clés de l’Industrie 4.0.

Enfin, lorsque le volume de données devient suffisant, des techniques de Machine Learning et d’Intelligence Artificielle pourront être utilisées afin d’anticiper les aléas et d’améliorer la production ainsi que la maintenance des équipements.

Tout ceci nécessite toutefois un SI solide et complexe, qui n’est pas toujours à la portée des petites entreprises. « Les PME industrielles ont besoin de solutions très packagées, proposant un ROI rapide », confirme François-Xavier de Thieulloy.

D’autres défis à ne pas négliger

Alexandre Sizaret insiste par ailleurs sur la nécessité d’assurer une continuité digitale : « La data doit aller de l’ingénierie jusqu’à la production et vice versa. Savoir capter ce qui se passe sur le terrain permettra d’alimenter des jumeaux numériques avec précision. »

Damien Régnier milite pour sa part en faveur de solutions hybrides : « Il faut trouver le bon équilibre entre du tout cloud et du tout local, du tout standard et du tout spécifique, mais aussi du tout agile et du tout efficace. »

Enfin, François-Xavier de Thieulloy, alerte sur le besoin d’accélérer le rythme de transformation : « Nous aimerions passer rapidement de quelques dizaines d’entreprises qui franchissent le pas chaque année vers l’Industrie du Futur à quelques centaines. »


En savoir plus sur les solutions pour l’industrie 4.0, production


 

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Source de l’article sur sap.com