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Lors de son Move to Cloud, CITEO a décidé de moderniser son ERP SAP ECC, en optant pour l’offre RISE with SAP dans le Cloud. Un projet confié à STMS, lequel a su le mener à bien en moins de huit mois.

CITEO est une entreprise à mission agréée par l’Etat. Elle a été créée par les acteurs du secteur de la grande consommation et de la distribution pour réduire l’impact environnemental de leurs emballages ménagers et papiers graphiques via des solutions de réduction, de réemploi, de tri et de recyclage. CITEO détient une filiale, Adelphe, dédiée à la fin de vie des emballages issus des secteurs des vins & spiritueux et des médicaments.

Grace aux efforts de l’ensemble des acteurs, et des citoyens, 72% des emballages ménagers et 62% des papiers sont aujourd’hui recyclés en France.

CITEO et Adelphe regroupent 346 collaborateurs et le chiffre d’affaires du groupe, redistribué à 95% aux collectivités, s’est élevé en 2021 à 831,8 M€.

Pour accomplir sa mission, CITEO développe de nombreux outils afin d’une part de permettre les déclarations mais aussi d’apporter du conseil aux 35 000 clients et 34 500 collectivités avec les- quels elle travaille au quotidien.

Un virage vers le cloud… et SAP S/4HANA Cloud

CITEO est une entreprise qui doit gérer d’importants flux financiers, entrants et sortants. À ce titre, son ERP SAP ECC est une des briques centrales de son système d’information.

« En 2020, nous avons décidé de basculer vers le cloud Microsoft Azure, explique Nicolas Malaquin, Directeur des solutions digitales et systèmes d’information, CITEO. Nous avons dans un premier temps choisi de migrer notre ERP SAP ECC vers les infrastructures Microsoft Azure, avant de basculer sur une solution plus adaptée au monde du cloud, au travers d’une migration vers un ERP SAP S/4HANA en mode as a service. »

C’est donc dans ce contexte que CITEO a décidé d’opter pour l’offre RISE with SAP et d’adopter la solution SAP S/4HANA Cloud, avec à la clé quatre principaux bénéfices attendus :

  • une modernisation massive de l’ERP ;
  • une réduction des coûts globaux de fonctionnement, de l’ordre de 20% ;
  • une simplification administrative, l’ensemble étant géré via un unique contrat ;
  • l’accès à des fonctionnalités de disaster recovery, proposées en standard.

CITEO décide d’engager rapidement son projet de migration. « La fin de support de SAP ECC étant proche, nous voulions éviter de tomber dans le goulot d’étranglement formé par les migrations à venir au sein des grands groupes, commente la DSI CITEO. Il y a une vraie tension sur les ressources disponibles.

STMS est l’un des partenaires historiques de CITEO. C’est donc à lui qu’a été confiée le projet.

« Il est logique de confier ce projet à STMS, qui connaît bien notre métier et notre contexte. »

Une migration réussie en huit mois

L’ERP SAP ECC de CITEO se concentre sur les flux financiers (modules SD, MM er FICO). Un périmètre qui a été conservé lors du passage vers SAP S/4HANA. Tout comme la SAP GUI, ce qui a permis de limiter les changements du point de vue des utilisateurs. « Notre priorité était de mettre en place rapidement un socle technique solide, explique Julien Martin, Directeur de la Technologie et de la sécurité, CITEO. La ‘fiorisation’ de l’interface sera abordée dans un second temps. »

Les travaux de conception et de développement sont menés entre février et mai 2022, avec une première phase de recette s’étalant de mai à juillet, suivie de la recette métier en septembre, avant une mise en production en fin de mois. Le tout effectué sous le regard attentif des équipes de STMS, de l’intégrateur, mais également d’une équipe SAP dédiée. Après près de trois mois de fonctionnement, le bilan est positif : si quelques soucis restent à régler, le nouvel ERP n’a pas connu de défaillance majeure.

Afin d’accélérer les travaux, une phase de réduction des spécifiques a été initiée dès les prémices du projet. « Nous aimerions pouvoir aller au bout de ce travail, avec une revue plus approfondie de nos processus, poursuit Julien Martin. Ceci nous permettra de revenir au plus près des standards tout en tirant le meilleur parti des fonctionnalités de l’ERP SAP S/4HANA. » Certains processus non standards pourraient donc sortir de l’ERP, alors que d’autres – comme les relances client – y seraient réintégrés. « Notre objectif est de redonner à chacun de nos outils sa vraie place dans notre SI. »

CITEO et STMS ont organisé des ateliers avec les Responsables métiers de l’entreprise et utilisateurs de l’ERP, afin qu’ils puissent faire remonter leurs souhaits et remarques. Ces points seront priorisés, afin de créer une roadmap pour 2023, comprenant des éléments comme : des travaux visant à réduire les temps de rapprochement bancaire, la mise à disposition du reporting Fiori pour le contrôle de gestion, la mise en place de tuiles pour les KPI standards dédiés à la comptabilité, ou encore la mise en place d’un cockpit de clôture.

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Source de l’article sur sap.com

Il ne fait aucun doute que le concept de durabilité est en passe de transformer l’économie mondiale. L’épuisement des ressources de la planète, les bouleversements climatiques, la fracture sociale et économique, l’évolution des préférences de consommation, l’activisme salarial, la multiplication des réglementations et la crise de confiance dans les institutions sont autant de facteurs qui poussent les entreprises à se montrer toujours plus prudentes dans leurs objectifs et dans leurs bénéfices. Et tout cela est bon pour les affaires.

En assumant sa responsabilité sociétale, une entreprise renforce la réputation de sa marque. En effet, les demandeurs d’emploi et les consommateurs d’aujourd’hui cherchent à soutenir les organisations qui défendent des valeurs importantes et qui ont une incidence positive sur la société dans son ensemble. Quant aux investisseurs, ils s’intéressent de plus en plus aux objectifs de développement durable, et en particulier à leur impact social. Enfin, les réglementations concernant les droits humains et l’environnement se développent rapidement. De quoi pousser les PDG et les dirigeants d’entreprises à adopter une approche plus durable.

 

Les personnes, la planète et la prospérité

Quand vous entendez le mot « durabilité », vous avez peut-être le réflexe de penser au recyclage ou à l’environnement. Mais le concept ne se résume pas à éliminer les bouteilles d’eau à usage unique ou à réduire la consommation des combustibles fossiles. Le développement durable, c’est bien plus que cela. C’est une approche globale qui intègre des aspects sociaux, environnementaux et économiques – en somme, qui implique les personnes, la planète et la prospérité.

Les entreprises sont de plus en plus conscientes de la nécessité de se préoccuper autant de la durabilité sociale, ou durabilité en ressources humaines, que de ses volets économique et environnemental – car ce sont ces trois facteurs indissociables qui soutiennent et stimulent la durabilité de leurs activités. Les personnes sont les éléments constitutifs de la société ; elles exercent un impact sur l’environnement et alimentent l’économie. Elles sont naturellement au cœur de toute stratégie visant à atteindre des objectifs de développement durable. Dans le monde du travail actuel, les RH ont à la fois l’opportunité et la responsabilité de s’assurer que l’humain est au centre des différentes tâches, en créant un environnement propice aussi bien à l’épanouissement des collaborateurs qu’à la prospérité de l’entreprise dans son ensemble.

People Sustainability Is Emerging as a New Strategic Business Imperative

Définir la durabilité sociale

La durabilité sociale repose sur un traitement éthique et équitable des personnes au sein d’une entreprise, de sa Supply Chain et des populations parmi lesquelles elle opère.

La durabilité environnementale et économique implique de préserver et d’utiliser avec prudence les ressources naturelles et financières ; de la même manière, la durabilité sociale nécessite de considérer les personnes et le potentiel humain comme des ressources précieuses, qui doivent être entretenues et valorisées afin de favoriser la résilience, l’agilité et la réalisation d’objectifs pérennes.

Les entreprises qui font de la durabilité sociale une priorité en générant un impact social et en créant une culture plus diversifiée et inclusive sont mieux à même de stimuler l’implication et la productivité de leurs collaborateurs. Elles sont également mieux placées pour attirer et retenir les talents. Penny Stoker, responsable des talents internationaux chez EY, nous explique en quoi la durabilité sociale est centrale dans la construction d’un monde du travail meilleur.

Identifier les six piliers de la durabilité sociale

L’équipe de recherche en RH SAP SuccessFactors a identifié six domaines qui forment les piliers de la durabilité sociale. Bien que ces piliers soient distincts les uns des autres, on peut bien entendu identifier des recoupements. Et au centre de tout, il y a évidemment la notion de culture, qui détermine tant de comportements à l’intérieur d’une entreprise aussi bien qu’en dehors. Intéressons-nous à ces piliers, sous l’angle des RH et des processus de gestion du personnel.

 

 

Santé et sécurité
A minima, vous devez garantir la sécurité physique de votre personnel, le protéger contre les risques et subvenir à ses besoins de base. Votre processus d’intégration offre-t-il aux nouvelles recrues une formation et un équipement de sécurité appropriés dès le premier jour ? Avez-vous une bonne visibilité sur l’ensemble de vos collaborateurs, et notamment sur l’endroit où ils se trouvent ? Savoir qui sont vos salariés et où ils sont, à tout moment, vous permet de réagir rapidement en cas de crise et de proposer une assistance si nécessaire.

Diversité, équité et inclusion
En la matière, il s’agit de garantir à chaque individu un traitement juste et équitable, quels que soient son identité sociale et son système de croyances, de telle sorte qu’il en retire un sentiment authentique d’appartenance. Êtes-vous en mesure d’attirer et de recruter des demandeurs d’emploi issus de milieux divers ? Disposez-vous d’un processus de sélection et d’entretien standardisé ? Votre système de rémunération est-il transparent ? Avez-vous mis en place des métriques et un suivi des objectifs en matière de diversité, d’équité et d’inclusion ?

Bien-être et équilibre
Au-delà des impératifs de santé et de sécurité de base, il s’agit de prioriser le bien-être global (psychologique, social, financier et professionnel) de vos collaborateurs en mettant à leur disposition les outils et les ressources pertinents. Proposez-vous un ensemble complet d’avantages avec des options attrayantes ? Vos collaborateurs sont-ils suffisamment en confiance pour être pleinement eux-mêmes au travail ? Encouragez-vous une culture du dialogue permanent entre les responsables et leurs équipes ?

Confiance et transparence
Dans ce domaine, il importe que les collaborateurs puissent s’exprimer, comprendre comment sont prises les principales décisions qui les concernent, et être certains que leur entreprise agit de manière éthique. Écoutez-vous régulièrement vos collaborateurs et tenez-vous compte de leurs retours ? Avez-vous mis en place des règles et des processus garantissant l’utilisation éthique des technologies intelligentes ainsi que la confidentialité et la protection des données ? Vos métriques de diversité sont-elles publiées et accessibles à tous ?

Autonomie et développement personnel
Vos collaborateurs doivent bénéficier d’informations claires, du soutien et des outils nécessaires pour développer leurs compétences et agir sur leur parcours professionnel. Proposez-vous des options de formation inclusives pour répondre aux besoins et aux préférences d’un personnel diversifié ? Veillez-vous à ce que les responsables transmettent des retours équitables et exploitables à leurs équipes ? Offrez-vous un accès équitable aux opportunités de développement ?

Objectif organisationnel et RSE
Dans ce dernier domaine, l’entreprise s’efforce activement de rendre ce qu’elle reçoit et d’exercer un impact positif sur le monde ; ses collaborateurs sont encouragés à s’impliquer et se sentent galvanisés par la mission et les valeurs du groupe. Veillez-vous à ce que les objectifs individuels soient alignés sur ceux de l’entreprise afin de donner du sens au travail accompli ? Donnez-vous à vos collaborateurs la possibilité de s’adonner à leurs passions ?

 

Que peuvent faire les entreprises pour favoriser la durabilité sociale ?

Aujourd’hui, dans la plupart des entreprises, différents acteurs mènent ce genre d’initiatives sans trop connaître les stratégies des autres ni mettre en place de collaborations. Cela dit, il faut bien commencer quelque part. La première étape, en toute logique, consiste à déterminer où vous en êtes. Disposez-vous d’une stratégie unifiée, au moins dans certains des domaines évoqués plus haut ? Entamez des discussions et lancez-vous dans l’élimination des silos organisationnels.

Accordez la priorité aux personnes. Les progrès pour la planète et la prospérité suivront. C’est cela, être une entreprise résiliente, orientée sur les résultats et sur les personnes. Une entreprise qui n’est pas seulement parée pour répondre aux besoins de gestion d’aujourd’hui, mais qui saura s’adapter à ceux de demain.

Pour en savoir plus, regardez une rediffusion du discours d’ouverture SuccessConnect « Libérez toute la puissance du potentiel humain et transformez définitivement le monde du travail ».

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Kim Lessley est directrice mondiale du marketing des solutions chez SAP SuccessFactors.

 

 

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Source de l’article sur sap.com

Les modèles « en tant que service » font désormais partie de notre quotidien de consommateurs. À quand remonte la dernière fois que vous avez acheté un CD ou un DVD ? En ce qui me concerne, je ne m’en souviens pas. Toute ma famille utilise des plateformes de diffusion continue pour tout cela. Mes fils et moi commandons même nos lames de rasoir et nos crèmes de rasage selon un modèle similaire. Bien sûr, on dirait bien que c’est toujours moi qui paye, mais c’est un autre sujet !

Ce concept de vente d’un résultat en tant que service est communément appelé « servitization ». Hier simple modèle de consommation, c’est aujourd’hui une approche commerciale plus large, dans laquelle les dépenses d’investissement pour un équipement représentent de plus en plus un obstacle aux yeux de l’acheteur. Souvent, il est bien plus intéressant d’avoir accès au même équipement moyennant des frais mensuels, basés sur une utilisation à l’heure ou encore sur le débit.

Grâce à la servitization, les fabricants trouvent de nouveaux moyens de se rapprocher de leurs clients à travers des modèles économiques inédits. Pour ce faire, ils établissent une relation suivie, basée sur des transactions mensuelles alignées sur la consommation, le débit, la disponibilité ou l’exploitation des équipements plutôt que sur une transaction ou une vente ponctuelle attribuant la responsabilité de la maintenance au prestataire de services.

La servitization appelle des produits plus intelligents

Pour rendre la servitization possible, les équipementiers doivent concevoir des produits plus intelligents, capables de collecter les informations nécessaires à une facturation précise de leurs clients. Ils doivent également s’assurer que leurs équipements fonctionnent en permanence, et génèrent les données dont ils ont besoin pour prévoir les opérations de maintenance qui éviteront les pannes. Grâce à l’Internet des Objets (IdO), des capteurs emmagasinent les informations d’utilisation, de débit ou de performances pertinentes pour alimenter le processus de gestion en tant que service.

Grâce à un jumeau numérique de la machine, le fabricant et le client sont tous deux en mesure d’en surveiller les performances et d’utiliser les algorithmes d’apprentissage automatique afin d’évaluer le degré d’efficacité de son utilisation.

La valeur ajoutée de la servitization

Faire des services une part croissante et dynamique de votre activité, c’est accéder à de nouvelles sources de revenus et améliorer vos marges tout en évitant la banalisation et en érigeant la durabilité en véritable facteur de différenciation.

Prenons un exemple fictif. Soit une entreprise qui produit des machines à laver. Cette entreprise souhaite mettre en place un modèle de « lavage en tant que service », dans lequel elle facturerait ses clients en fonction du nombre de lavages réalisés chaque mois par leurs appareils.

Si, comme moi, le client fait partie d’une famille de cinq personnes, qui utilise la machine quotidiennement, il paiera davantage qu’une personne seule qui ne l’utilise qu’une fois par semaine. Le dénominateur commun est que la machine à laver doit fonctionner à pleine performance chaque fois que nécessaire.

Réinventer les modèles de services

Cette nouvelle offre de service requiert des contrats basés sur les résultats, qui incluent des mesures de performances des cycles de lavage et des accords de niveaux de service (SLA) garantissant une disponibilité à 100 %.

Afin de proposer une expérience immersive aux clients, une application peut leur fournir des données en temps réel sur leurs cycles de lavage : le moment où ils se terminent, combien de cycles ont été exécutés dans le mois, le coût, l’empreinte carbone, les performances de la machine…

Ces informations sont également utilisées par le fabricant et par une société de maintenance tierce pour gérer le cycle de vie complet des services, dans tous ses aspects : de l’installation à la facturation en passant par la garantie, l’émission de tickets de service, les interventions sur site, les réparations en atelier, la facturation et les solutions de financement.

Le modèle de service réduira également l’impact environnemental global de la machine en permettant une surveillance de la consommation d’énergie et d’eau, ainsi qu’une prise en charge de la mise hors service et du recyclage afin de maintenir l’équipement dans l’économie circulaire.

Des services précis afin de réduire les coûts et d’améliorer l’expérience client

La disponibilité des données relatives aux machines aide le fabricant et le partenaire de maintenance à repenser leurs opérations de gestion des services. Ils s’appuient sur une planification avancée basée sur l’IA pour hiérarchiser les interactions, améliorer l’utilisation des ressources et réduire les temps de déplacement.

Lorsqu’un technicien de service est dépêché pour réparer une machine, il doit avoir toutes les pièces nécessaires et toutes les informations de dépannage à portée de main via un appareil mobile. Il peut même être guidé dans son travail de réparation grâce à des lunettes à réalité augmentée. Le problème peut ainsi être résolu en une intervention, ce qui évite les longs délais provoqués par une commande de matériel après le rendez-vous.

Révolutionner le retour sur investissement en augmentant les performances des équipements et en allongeant leur durée de vie

Grâce à la visibilité accrue garantie par les capteurs d’IdO intégrés aux machines à laver, le fabricant est désormais en mesure d’assurer un suivi continu des performances de tous les équipements utilisés. Il peut ainsi surveiller leur état et leurs performances par rapport aux accords de niveau de service.

Le fabricant peut également tirer parti des données émises par toutes les machines et, grâce à des algorithmes d’intelligence artificielle, identifier des tendances ou encore anticiper le risque de défaillance. Il peut aussi proposer des opérations de maintenance préventive afin de limiter les pannes et de renforcer le service client. Enfin, ces informations peuvent être transmises aux équipes de recherche et de développement afin qu’elles éliminent tout problème récurrent au moment de concevoir la prochaine génération de la machine.

Un cycle de service de lavage vraiment complet

Il est évident que le modèle économique « en tant que service » perdurera – dans nos vies privées bien sûr, mais aussi de plus en plus au sein des entreprises modernes, auxquelles il permettra de dégager des gains dans tous les domaines.

Pour découvrir comment tracer votre voie vers une gestion de service d’excellence, téléchargez le récent livre blanc de Copperberg intitulé « Transformer la gestion des services pour une servicisation fructueuse ».

 

Richard Howells, Vice-président ERP et Supply Chain numérique chez SAP

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Source de l’article sur sap.com

Alors que les voyages en avion reviennent à des niveaux pré-pandémiques, les constructeurs repensent les paramètres environnementaux, en examinant en profondeur le cycle de vie des millions de pièces qui composent les avions dans lesquels les gens voyagent chaque jour.

Jusqu’à présent, l’objectif de neutralité carbone s’est traduit par la recherche d’économies de carburant grâce à la conception de machines et de moteurs plus légers, et ce à juste titre – c’est en vol que les avions produisent le plus gros pourcentage de leur empreinte CO2. Même si ces efforts se poursuivent, les constructeurs élargissent cet horizon de durabilité à l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement et de production de l’aviation, de la conception et de la production des avions aux opérations commerciales et au-delà.

« Il ne s’agit pas seulement de savoir à quoi ressemblent la conception et la production d’avions durables, mais aussi comment concevoir des opérations plus durables pour les flottes existantes”, a déclaré Torsten Welte, vice-président mondial, responsable des industries A&D chez SAP. « Les constructeurs étudient comment ils peuvent échanger davantage de données en amont et en aval de la chaîne de valeur pour concevoir et fabriquer la prochaine génération d’avions tout en améliorant ce dont ils disposent pour une activité neutre en carbone. L’aviation durable connecte les données entre l’ingénierie, la chaîne d’approvisionnement, la fabrication, les ventes et la finance. »

Une aviation sans émissions requiert une stratégie holistique

Comme la plupart des industries, les fabricants d’avions tiennent compte du réusinage dans le coût des affaires. Cette approche ne sera pas… durable dans la prochaine ère, car des politiques de plus en plus strictes, telles que le Green Deal européen entrent en vigueur et la pression sur les coûts augmente. Selon les analystes d’IDC, d’ici 2024, 80 % des fabricants mondiaux intégreront la durabilité environnementale dans leurs processus et leur écosystème de gestion du cycle de vie des produits, ce qui améliorera les ventes de 3 %. Le défi pour les fabricants d’avions est de suivre les émissions de CO2 à travers les opérations commerciales à plusieurs niveaux.

“Les entreprises doivent comprendre l’empreinte carbone totale de chaque pièce utilisée dans l’avion, ainsi que chaque étape de fabrication qui y est associée, y compris l’approvisionnement et la production, les contrôles de qualité, les arrêts de production et les retouches, l’expédition et le recyclage”, a déclaré Welte. « Les leaders de l’industrie s’orientent vers une stratégie holistique de conception durable tout au long du cycle de vie de l’avion. Par exemple, les matériaux à l’intérieur des cabines sont souvent remplacés après quelques années, et la plupart finissent dans des décharges. Comment créer une économie plus circulaire pendant la durée de vie de l’avion ? »

Favoriser un état d’esprit durable

La durabilité exige des fabricants qu’ils adoptent un état d’esprit et des outils différents dans les activités quotidiennes telles que la conception et l’approvisionnement. Selon M. Welte, certains fabricants considèrent l’approvisionnement comme mûr pour le changement, déplaçant les considérations d’achat du prix le plus bas vers les fournisseurs qui offrent des produits répondant à des paramètres de durabilité indirects et à plus long terme.

“Une pièce plus respectueuse du CO2 peut avoir un coût initial plus élevé, mais offrir des options de recyclage qui réduisent les émissions de carbone”, a déclaré Welte. « De plus, à mesure que les constructeurs d’avions explorent des alternatives de carburants et de matériaux durables, les concepteurs devront collaborer beaucoup plus étroitement avec les fournisseurs, en partageant des données pour trouver des produits de la plus haute qualité qui réduiront les remaniements et les émissions de CO2 qui en résultent. Par exemple, des technologies telles que les solutions SAP Ariba et SAP Enterprise Product Development aident les concepteurs à collaborer efficacement avec les fournisseurs pour définir et atteindre des critères de référence communs en matière de développement durable ».

Innovations numériques pour la neutralité carbone

Le calcul de l’empreinte carbone des pièces d’un avion est incroyablement complexe. Il ne suffit pas de répartir uniformément les coûts énergétiques, tels que l’électricité et le chaleur, entre les différents produits. Un rapport détaillé calcule l’énergie utilisée par les différentes pièces de façon beaucoup plus précise, en se basant sur toutes les heures de fonctionnement de la machine.

“Chaque activité, directe ou indirecte, doit être comptabilisée en CO2”, a déclaré Welte. « Avec une plus grande visibilité sur l’ensemble de la chaîne de valeur de la fabrication, les entreprises peuvent immédiatement repérer les problèmes avec les fournisseurs en amont afin d’éviter les remaniements, et ce, en produisant de meilleurs produits. Lorsque vous pouvez communiquer plus rapidement avec votre réseau d’entreprise, en collectant et en analysant dynamiquement les données à partir d’une tour de contrôle centralisée, vous pouvez suivre les progrès de votre organisation par rapport aux références de l’entreprise et de l’industrie. »

Les fabricants n’ignorent pas que chaque ralentissement entraîne un coût important en terme de perte de temps, ce qui se traduit par un gaspillage d’énergie. D’ici 2023, les analystes d’IDC ont prédit que 30 % des fabricants partageront des applications avec des partenaires de l’écosystème industriel afin d’améliorer la visibilité et l’efficacité opérationnelle et de garantir la sûreté, la sécurité et la qualité. Poussés par une demande accrue de responsabilité environnementale dans les écosystèmes de fabrication, les chercheurs d’IDC prévoient que 40 % des fabricants du G2000 utiliseront les technologies de traçabilité pour réduire les risques et renforcer la transparence d’ici 2025. Au cours de la même période, les chercheurs de Gartner ont prédit que 40 % de l’ensemble des technologies IT dans le secteur de la fabrication seront responsables de la modélisation des données pour la durabilité et les objectifs de réduction nette des émissions de carbone.

Certains fabricants utilisent déjà des innovations telles que les doubles numériques, qui capturent de manière dynamique des informations susceptibles d’accélérer la production, l’approbation des produits et la certification de nouveaux moteurs et avions.

À juste titre ou non, l’aviation a mauvaise réputation par rapport à d’autres secteurs qui consomment autant ou plus d’énergie. Mais l’aviation sans émissions n’est pas un mirage. Les fabricants se sont fixé un nouvel horizon en matière de commerce durable, en rassemblant un écosystème pour créer un avenir neutre en carbone.

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Source de l’article sur sap.com

Il ne fait aucun doute que la durabilité transforme l’économie mondiale. La diminution des ressources planétaires, le changement climatique, la division sociale et économique, l’évolution des préférences des consommateurs, l’activisme des employés, l’augmentation des réglementations et la baisse de la confiance institutionnelle conduisent tous à ce que les organisations soient de plus en plus mesurées en fonction de leur objectif ainsi que du profit. Et c’est bon pour les affaires.

 

Agir de manière socialement responsable renforce la réputation de la marque d’une organisation. Les demandeurs d’emploi et les consommateurs veulent aujourd’hui soutenir les organisations qui défendent quelque chose d’important et qui ont un impact positif sur la société dans son ensemble. Les investisseurs mettentdavantage l’accent sur les objectifs de développement durable en mettant davantage l’accent sur l’impact social. Les droits de l’homme et les réglementations environnementales se multiplient rapidement. Tout cela exige une approche plus durable de la part des PDG et des chefs d’entreprise.

 

Les gens, la planète et la prospérité

 

Lorsque vous entendez le mot durabilité, la première chose à laquelle vous pensez peut-être est le recyclage ou la durabilité environnementale, mais la durabilité va bien au-delà de l’élimination des bouteilles d’eau à usage unique et de la réduction de la consommation de combustibles fossiles. Une approche holistique de la durabilité intègre la durabilité sociale, environnementale et économique – ou les personnes, la planète et la prospérité.

 

Les organisations reconnaissent de plus en plus la nécessité de se concentrer autant sur la durabilité sociale, ou sur les personnes, qu’elles l’ont été sur la durabilité économique et environnementale – les trois ensemble soutiennent et stimulent la durabilité de l’entreprise. Les gens constituent la société, ont un impact sur l’environnement et alimentent l’économie. Les gens sont au cœur de toute stratégie visant à progresser vers les objectifs de développement durable. Dans le milieu de travail d’aujourd’hui, les RH ont à la fois la possibilité et la responsabilité de veiller à ce que les employées soient au centre du travail en créant un environnement dans lequel la main-d’œuvre et l’organisation peuvent s’épanouir.

 

People Sustainability Is Emerging as a New Strategic Business Imperative

 

Définir la durabilité sociale

La durabilité sociale se concentre sur le traitement de ces dernières – celles qui font partie de la main-d’œuvre d’une organisation, à travers leurs chaînes d’approvisionnement et dans les communautés dans lesquelles elles opèrent – de manière éthique et équitable.

 

Tout comme la durabilité environnementale et économique qui nécessitent une préservation et une utilisation prudentes des ressources naturelles et financières, la durabilité sociale nécessite de traiter les personnes et le potentiel humain comme des ressources précieuses qui doivent être soutenues et valorisées pour favoriser la résilience, l’agilité et la réalisation des objectifs de durabilité.

 

Les entreprises qui accordent la priorité à la durabilité sociale, en créant un impact social et en créant une culture plus diversifiée et inclusive, sont en mesure de stimuler l’engagement et la productivité des employés. Ils sont également mieux placés pour attirer et retenir les talents. Penny Stoker, leader mondial des talents chez EY, explique comment la durabilité sociale est au cœur de la construction d’un monde du travail meilleur.

 

Déballer les  six piliers de la durabilité sociale

 

L’équipe SAP SuccessFactors HR Research a identifié six domaines distincts, ou piliers, qui comprennent la durabilité sociale. Bien que les domaines soient distincts, il est également clair qu’il existe un chevauchement entre ces piliers. Au centre de tout cela, bien sûr, se trouve la culture – car elle dicte tant de comportements à la fois à l’intérieur et à l’extérieur d’une organisation. Découvrons un peu ces domaines dans le contexte des processus RH et des ressources humaines.

 

Santé et sécurité

Au minimum, vous devez vous assurer que la main-d’œuvre est à l’abri des risques physiques pour la santé et la sécurité et a accès aux nécessités de base. Votre processus d’intégration offre-t-il aux nouvelles recrues une formation et un équipement de sécurité appropriés dès le premier jour ? Avez-vous une visibilité sur l’ensemble de vos effectifs, y compris leurs emplacements ? Savoir qui et où se trouve votre personnel à tout moment vous permet de réagir rapidement en temps de crise et de fournir un soutien en cas de besoin.

 

Diversité, équité et inclusion

Ici, l’accent est mis sur le traitement juste et équitable de chaque individu, quel que soit son groupe d’identité sociale ou son système de croyances, et sur la garantie qu’il ressent un véritable sentiment d’appartenance. Êtes-vous en mesure d’attirer et d’engager des demandeurs d’emploi d’horizons divers ? Avez-vous un processus de sélection et d’entretien standardisé ? Offrez-vous une transparence salariale ? Mesurez-vous et suivez-vous les objectifs de diversité, d’équité et d’inclusion ?

 

Bien-être et équilibre

Au-delà de la santé et de la sécurité de base, ce domaine vise à garantir que le bien-être holistique des employés – psychologique, social, financier et professionnel – est prioritaire et soutenu avec les outils et les ressources nécessaires. Offrez-vous un ensemble complet d’avantages sociaux avec des options intéressantes ? Vos employés se sentent-ils à l’aise de se mettre entièrement au travail ? Avez-vous favorisé une culture de dialogue continu entre les managers et leurs subordonnés ?

 

Confiance et transparence

Ici, l’accent est mis sur le fait que les employés ont une voix, comprennent comment les décisions clés qui les affectent sont prises et font confiance à leur organisation pour agir de manière éthique. Écoutez-vous régulièrement vos employés et agissez-vous en fonction des commentaires qu’ils fournissent ? Avez-vous établi des politiques et des processus pour l’utilisation éthique des technologies intelligentes et la confidentialité et la protection des données ? Publiez-vous publiquement des indicateurs de diversité ?

 

Autonomisation et croissance

Ici, les employés reçoivent la clarté, le soutien et les outils nécessaires pour développer leurs compétences et sont habilités à influencer leur trajectoire de carrière. Offrez-vous des options d’apprentissage inclusif pour répondre aux besoins et aux préférences d’apprentissage d’une main-d’œuvre diversifiée ? Assurez-vous que les managers fournissent des commentaires équitables et exploitables à leurs équipes ? Offrez-vous un accès équitable aux opportunités de développement ?

 

Objectif organisationnel et RSE

Dans ce dernier pilier, l’organisation travaille activement à redonner et à avoir un impact positif sur le monde ; les employés sont encouragés à participer et se sentent dynamisés par la mission et les valeurs de l’organisation. Assurez-vous que les objectifs individuels sont alignés sur les objectifs de l’entreprise pour accroître le sens du but et le sens du travail ? Offrez-vous à votre personnel l’espace nécessaire pour poursuivre ses passions ?

 

Que peuvent faire les organisations pour favoriser la durabilité sociale ?

 

Dans la plupart des organisations aujourd’hui, différentes parties de l’entreprise dirigent ces efforts avec une connaissance ou une collaboration minimale des stratégies des autres. Cependant, nous devons commencer quelque part. La première étape la plus logique est de comprendre où vous en êtes aujourd’hui. Avez-vous une stratégie unifiée – au moins sur certains de ces piliers ? Commencez les conversations et commencez à briser les silos organisationnels.

 

Donnez la priorité aux gens, et la planète et la prospérité suivront. C’est ce que signifie être une organisation résiliente, axée sur les résultats et axée sur les personnes. Une organisation non seulement équipé pour répondre aux besoins commerciaux d’aujourd’hui, mais qui s’adapte aux besoins commerciaux de demain.

 

Pour en savoir plus, regardez une rediffusion du discours d’ouverture de SuccessConnect, Libérez le pouvoir du potentiel humain et changez le travail pour de bon.

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Kim Lessley est  global director of Solution Marketing chez SAP SuccessFactors.

Mots-clés: Ressources Humaines,

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Source de l’article sur sap.com

Réduire l’empreinte carbone d’un produit nécessite une vision de bout en bout de son cycle de vie. Pour cela, il est nécessaire de casser la barrière IT existant entre la conception et la supply chain. SAP et Siemens proposent des intégrations avancées entre PLM et ERP. Avec Atos, ils s’allient pour aider les industriels à relever le défi climatique.

Les industriels sont confrontés à un triple défi : proposer des produits toujours plus complexes, dans des délais toujours plus serrés, tout en réduisant leur empreinte carbone. Le bilan de la COP26 de Glasgow est sans appel : constater la réalité du changement climatique ne suffit plus, il faut agir. Histoire de compliquer la situation, la raréfaction des matières premières s’ajoute aujourd’hui à l’urgence climatique.

Le sujet de l’empreinte carbone est crucial pour trois raisons principales :

  • Les clients sont toujours plus nombreux à demander comment sont fabriqués les produits qu’ils achètent et quelle est leur empreinte carbone. Une empreinte que l’entreprise doit être capable de mesurer.
  • La législation devient de plus en plus contraignante, poussant ainsi les entreprises à être plus vertueuses en matière d’environnement. Mais également à mettre en place des outils montrant la réalité de leurs actions dans ce domaine.
  • La RSE met en exergue le sens des responsabilités des entreprises. La green line (empreinte écologique) devient progressivement aussi importante que la top line (revenus) et la bottom line (marges).

Une problématique à traiter de bout en bout

« L’Union Européenne veut réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 55% en 2030 et vise la neutralité carbone en 2050. 2030, d’un point de vue industriel, c’est presque aujourd’hui, constate Denis Goudstikker, Teamcenter Business development Executive chez Siemens Digital Industry Software. À ce jour, un tiers des entreprises se sont fixé un objectif zéro émission, mais seulement 9% de ces entreprises ont réellement lancé des actions en vue de les réduire. »

Pour qu’un produit ait un impact environnemental minimal, il faut l’optimiser de bout en bout, de la conception à la production en passant par son utilisation et son recyclage. « La plupart des entreprises se concentrent uniquement sur les émissions liées à leur activité, explique Olivier Everaert, Head of Green PLM chez Atos. Elles ne prennent pas en compte l’ensemble du cycle de vie du produit et de sa chaîne de valeur, ce qui mène à des résultats sous-optimaux. Il faut penser en termes de réseau, où tous tendent vers un but commun, du fournisseur de matière première à l’industriel… et jusqu’au consommateur. »

« La réduction des impacts environnementaux commence dès la conception du produit, enchaîne Bruno Hemery, Head of Siemens partnership, SAP France. Elle se poursuit avec les approvisionnements (matières premières, emballage, etc.). Puis lors de la fabrication : produire mieux permettra d’avoir moins de rebuts en bout de chaîne et de consommer moins d’énergie. La logistique peut aussi être optimisée, en regroupant par exemple les approvisionnements de plusieurs fournisseurs (parfois concurrents) devant livrer un même client. Il faut également être capable de mieux connaître l’usage des produits, ce qui permettra de les améliorer au fil des versions. Enfin, d’autres éléments sont à prendre en compte, comme le recyclage et l’économie circulaire. »

Les actions en faveur de l’environnement ne sont pas forcément des investissements coûteux. Réduire la quantité de déchets générée lors de la production se traduit ainsi par une diminution des besoins en matière première et donc un abaissement des coûts de revient.

SAP et Siemens, artisans de la continuité numérique

Pouvoir prendre en charge l’ensemble du cycle de vie d’un produit nécessite de casser une barrière dans le système d’information de l’entreprise, celle séparant la conception, pré carré du PLM, et les fonctions finance, achat, production, vente, prises en charge par l’ERP. « Il faut décloisonner ces deux mondes, afin de mettre en place une continuité numérique, confirme Bruno Hemery. L’information pourra ainsi circuler dans les deux sens, la conception influant sur la supply chain et – partie innovante – la supply chain et l’usage du produit pouvant influer plus directement sur la conception. La continuité numérique permet également de s’assurer que l’information est identique des deux côtés. »

Le partenariat annoncé le 14 juillet 2020 entre SAP et Siemens vise à donner corps à ce concept de continuité numérique. Il s’est traduit par la livraison de nouvelles intégrations entre les offres de Siemens et de SAP. « Cette intégration fine entre nos deux plateformes donne une compréhension de l’ensemble du cycle de vie d’un produit permettant de s’assurer dès sa conception que l’on va dans la bonne direction, tout en restant compétitifs. La clé de la réussite est d’être capable d’amener des processus vertueux et compétitifs, » résume Denis Goudstikker.

Par ailleurs, la réduction de l’empreinte carbone passe souvent par de l’innovation. C’est le cas par exemple lorsqu’un constructeur automobile adopte des motorisations électriques ou à hydrogène. « La continuité numérique permet de créer des conditions favorables à l’adoption d’innovations, tout en maîtrisant le risque et en préservant la compétitivité de l’organisation, poursuit Denis Goudstikker. C’est un environnement qui permet de se préparer à n’importe quel scénario. »

Des ateliers pédagogiques animés par Atos

Atos sait diagnostiquer la chaîne de valeur des entreprises, afin de les aider à mettre en place une supply chain durable. Chaîne de valeur dont la visibilité et la transparence seront assurées par la mise en place d’une continuité numérique. La grande majorité des entreprises restent toutefois au début de cette transformation. Atos propose des ateliers pédagogiques gratuits leur permettant de mieux comprendre les applications pratiques de cette approche.

« Nous présentons une vingtaine de cas d’usages qui couvrent l’ensemble du cycle de vie d’un produit et nous montrons quelle est leur contribution sur l’empreinte carbone, détaille Olivier Everaert. Lors du premier atelier, les participants sont invités à nous faire remonter leur avis sur ces cas d’usage. Sont-ils applicables à leurs métiers ? Semblent-ils valables ? Peuvent-ils être améliorés ? Le second atelier permet de faire une plongée sur quelques cas d’usage sélectionnés, puis de discuter avec les participants de leur feuille de route de transformation. »

Ces ateliers d’idéation mettent l’accent sur le codéveloppement des cas d’usages et la cocréation des trajectoires de transformation des entreprises. Un premier brainstorming avant le passage à l’action…

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Source de l’article sur sap.com

WALLDORF, Allemagne – 16 novembre 2021SAP SE (NYSE : SAP) a annoncé aujourd’hui de nouveaux produits et services qui permettent aux développeurs, civils ou professionnels, d’accélérer la transformation numérique. Depuis la pandémie, la recherche de talents sonne comme un défi majeur à relever pour les organisations du monde entier. Selon IDC*, la pénurie mondiale de développeurs à plein temps passera de 1,4 million en 2021 à 4,0 millions en 2025. Les annonces de SAP répondent à cette pénurie de talents avec de nouveaux outils, fonctions, de l’IA intégrée et des programmes d’apprentissage pour aider les employés et les candidats à acquérir de nouvelles compétences pour aborder l’ère du « cloud-first ». Ces annonces interviennent pendant le SAP® TechEd, la conférence mondiale des développeurs de SAP, qui se déroule en ligne du 16 au 18 novembre 2021.

«  Pour nos clients et partenaires du monde entier, l’avenir est dans le cloud « , a déclaré Juergen Mueller, directeur technique et membre du comité exécutif de SAP SE. « Dénicher les bons talents, avoir les bonnes compétences et les connaissances  est un vrai challenge pour mener à bien ce projet.. Les annonces de SAP permettent non seulement de donner aux développeurs civils les moyens d’agir, mais aussi de soutenir les développeurs professionnels dans leurs efforts de formation continue, pour que les clients puissent continuer à innover aujourd’hui et construire les bases de leur réussite de demain. »

 

Tout le monde peut être un développeur

SAP a annoncé une expérience unifiée de développement low-code/no-code sur SAP Business Technology Platform (SAP BTP), qui permet aux développeurs professionnels et civils de créer de nouvelles applications, d’améliorer celles existantes et d’automatiser des tâches complexes. En ajoutant le développement no- code et l’automatisation avec l’environnement de développement SAP AppGyver®, en améliorant le développement low- code avec SAP Business Application Studio et en proposant une avant-première de la solution SAP Process Automation, SAP offre à ses clients de nouveaux moyens d’en faire plus en s’appuyant sur les talents technologiques de l’ensemble de leur organisation, que ce soit au sein ou en dehors des départements informatiques traditionnels.

DHL, l’un des leaders mondiaux du secteur de la logistique, utilise SAP AppGyver pour numériser les processus et rationaliser les opérations des employés pour la gestion de la flotte. « Avec SAP AppGyver, nous avons créé une application mobile sur iOS et Android pour mieux gérer les rapports de dommages pour notre flotte de remorques à travers l’Europe« , explique Ilari Aarikka, Director, Trailer Pool & Fleet, DHL.  » L’appli nous a permis d’accroître la fiabilité des rapports tout en rendant les inspections plus pratiques pour les employés sur le terrain.  »

Pour les développeurs professionnels, SAP propose également un ensemble gratuit pour SAP BTP qui inclut désormais SAP HANA® Cloud et SAP Integration Suite, ainsi qu’un aperçu de son nouveau thème visuel « Horizon » pour son système de conception SAP Fiori®.

 

Vers des solutions d’entreprise composables

SAP a annoncé plusieurs mises à jour afin d’aider les clients à mieux intégrer et étendre leurs activités grâce à des solutions modulaires et agiles qui répondent à des défis individuels. La dernière mise à jour de SAP Integration Suite, la couche d’intégration de SAP BTP, fournit du contenu d’intégration et des adaptateurs prépackagés supplémentaires – disponibles sur SAP API Business Hub – pour intégrer des applications SAP et non-SAP. D’ici la fin de l’année 2021, SAP Integration Suite sera disponible sur Google Cloud Platform. SAP lancera de nouvelles fonctionnalités d’extension dynamique dans SAP HANA Cloud pour aider les clients à déplacer leur charge de travail vers le cloud, depuis leurs propres systèmes sur site, en temps quasi réel. SAP présente également de nouvelles façons d’aider les migrations des systèmes SAP BW sur site vers la solution SAP Data Warehouse Cloud et des options de localisation étendues pour SAP S/4HANA® Cloud.

 

Offres d’intelligence artificielle embarquée dans l’ensemble du portefeuille

SAP a développé des fonctionnalités d’intelligence artificielle (IA) embarquées qui permettent aux développeurs et aux clients d’exploiter plus facilement l’IA et de stimuler la productivité. Les nouvelles fonctionnalités du service SAP Conversational AI simplifient la création et la surveillance des chatbots qui  automatisent les tâches et les flux de travail. SAP a prévu de lancer le service Personalized Recommendation, un nouveau moteur de recommandation basé sur un réseau neuronal qui fournit des recommandations hautement personnalisées, et ce dans un large éventail de scénarios commerciaux. De nombreux produits et services SAP utilisent désormais la puissance de l’IA, par exemple pour automatiser la correspondance des documents interentreprises, recommander des actions dans les flux de travail, extraire et traiter des données à partir de documents commerciaux ou fournir des recommandations d’apprentissage.

 

La formation, de la salle de classe à la salle de réunion

SAP a lancé un tout nouveau site SAP Learning. Il s’adresse aux développeurs SAP de tous niveaux. Sa conception simple et intuitive facilite le perfectionnement ou le recyclage dans des domaines d’innovation clés, gratuitement. Cette nouvelle expérience comprend une gamme complète de contenus de formations disponibles dans différents formats : des sessions dirigées par des experts et des formations pratiques aux vidéos de micro-apprentissage. SAP a également lancé un programme d’enseignement de l’IA pour les écoles ainsi qu’ un programme visant à fournir des solutions de cloud computing de SAP aux universités et aux professeurs.

 

48 heures de contenu en direct à SAP TechEd en 2021

Inscrivez-vous pour suivre l’événement avec plus de 100 sessions de renforcement des compétences, 25 ateliers, 8 pistes techniques et 48 heures de discussions techniques en continu sur Channel 1, accessible avec votre inscription à la conférence SAP TechEd.

 

SAP TechEd News Guide 2021

Plus de détails sur toutes les nouveautés, les lancements et les mises à jour sur http://sap.com/teched-news-guide

*Source : « Quantifying the Worldwide Shortage of Full-Time Developers, » Doc # US48223621, IDC, Septembre 2021

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.

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Source de l’article sur sap.com

Autrefois réservés aux très grandes entreprises, les logiciels de gestion de production sont désormais accessibles et parfaitement adaptés aux PME/ETI. En effet, les solutions ERP & CRM intègrent un module de supply chain management, ou gestion de la chaîne logistique. Il permet à toute entreprise, quel que soit son domaine d’activité, sa taille ou sa localisation, de suivre efficacement le cycle de vie d’un produit, de sa conception jusqu’à l’achat par le consommateur, et même au-delà. Voyons dans le détail tous les avantages que vous avez à tirer d’une solution de gestion de production pour votre PME/ETI.

Rappel : qu’est-ce qu’une solution ERP & CRM ?

Une solution ERP est un portefeuille de logiciels modulables et personnalisables. Elle permet de centraliser en un seul lieu toute la gestion d’une entreprise. En effet, ERP, pour Enterprise Resource Planning, signifie en français « Progiciel de Gestion Intégré ». CRM, pour Customer Relationship Management, signifie « Gestion de la Relation Client ». Il peut être hébergé en interne sur les propres serveurs de l’entreprise. Mais également sur le cloud afin d’être accessible via Internet de partout dans le monde. Ou bien encore, en hybride selon le niveau de confidentialité recherché.

Ce type de solution est particulièrement adapté aux petites et moyennes entreprises. Mais aussi aux entreprises de taille intermédiaire, qui possèdent de nombreux salariés et collaborateurs. Ceux-ci peuvent ainsi collaborer, même à distance, à partir d’informations et de données mises à jour en temps réel.

Parmi les modules les plus communément intégrés à une solution ERP & CRM, on trouve :

  • un système dédié à tout ce qui concerne l’aspect financier de l’entreprise (comptabilité, trésorerie, facturation, bilan…) ;
  • un logiciel pour la gestion de la relation client et l’expérience utilisateur (le CRM regroupant la base de données clients, le marketing, les espaces de commerce, les ventes et le service en amont, pendant et après une vente) ;
  • un module consacré au réseau et à la gestion des dépenses (relation avec les fournisseurs, gestion des sources d’approvisionnement, services et main-d’œuvre externes, ventes, déplacements…) ;
  • un logiciel permettant de gérer l’ensemble de la chaîne logistique (conception, planification, production, transport et vente) ;
  • un système RH ;
  • un outil d’analyse afin d’étudier chacune des données de l’entreprise et optimiser son développement.

Quelles sont les fonctionnalités d’un module de gestion de la chaîne logistique ?

Regardons plus particulièrement ce que peut apporter un logiciel de gestion de production à une PME/ETI.

Dans le monde d’aujourd’hui, tout est connecté et tout va très vite. Votre société doit être en capacité de s’adapter quasiment en temps réel à l’offre et la demande du marché. D’un côté, vous êtes tributaire de vos fournisseurs, de l’autre des exigences des consommateurs. Afin d’être réactif, quels que soient les aléas auxquels vous pouvez être confronté, munissez-vous d’un outil numérique. Il vous permettra d’avoir une vue d’ensemble de votre chaîne d’approvisionnement.

Qu’importe votre secteur d’activité, il existe une solution ERP adaptée (ERP agroalimentaire, ERP industrie mécanique, ERP banque et assurance, ERP mode et ERP bien de consommation, etc.). Fort d’un tel outil, vous maîtrisez la conception, la planification, la production, la maintenance et l’approvisionnement final de vos produits.

Pour votre gestion de production, le logiciel vous permet de suivre tout le cycle de vie de vos produits. Vos équipes vont ainsi pouvoir plus facilement :

  • Concevoir : vous avez imaginé un nouveau produit. Votre logiciel de supply chain management vous permet de le dessiner, de le décrire, d’en établir les plans. Mais également, d’échanger entre les différents acteurs, d’apporter des modifications, etc. avant de fournir le cahier des charges à l’équipe de production.
  • Planifier : sur le tableau de bord de votre logiciel, vous indiquez l’avancement de chaque étape de votre projet. Vous visualisez les différents délais de réalisation de chaque équipe. Vous avez une vue d’ensemble de ce qui avance normalement et ce qui peut bloquer. Ainsi, vous ajustez au fur et à mesure votre planning. Vous renforcez les équipes si besoin, redéployez les forces vives à un autre poste, etc.
  • Produire : tout est prêt pour démarrer la fabrication du produit. Sur votre logiciel, vous centralisez la liste de vos fournisseurs, les matières premières nécessaires. Ainsi que la main-d’œuvre interne et externe, la disponibilité des machines, etc.
  • Entretenir : vos outils de production doivent être entretenus, pour leur bon état de marche et la sécurité de vos employés. Grâce à votre logiciel, vous planifiez leur maintenance. Vous notez les pannes et donc l’indisponibilité de certaines machines. Vous prévoyez leur remplacement, etc.
  • Fournir : enfin, vos produits doivent parvenir à vos clients, les consommateurs. Avec votre logiciel logistique, vous gérez les stocks, le transport, la mise en rayon, la vente, le retour client, etc.

Comment améliorer l’efficacité de sa gestion de production avec un logiciel GPAO ?

En tant que PME/ETI, un logiciel de gestion de production assistée par ordinateur (GPAO) vous fait gagner un temps précieux. Il contribue ainsi à l’augmentation de votre chiffre d’affaires. En effet, pour rester compétitif, vous devez investir pour accélérer l’innovation. Mais aussi pour réduire vos délais de mise sur le marché et optimiser la production, tout en réduisant les coûts. La solution SAP Digital Supply Chain & Industry 4.0 vous offre la possibilité de rendre plus efficace la gestion de votre production.

Être résilient face à un imprévu

La crise liée au Covid-19 nous a appris qu’il était indispensable d’être en capacité de revoir son positionnement vis-à-vis du travail. Quasiment du jour au lendemain, des millions de salariés, et certainement les vôtres, ont dû s’adapter et se mettre au télétravail. Les études montrent que ce sont les entreprises qui utilisaient déjà des solutions ERP incluant une solution de gestion de production qui ont su le mieux réagir. Toutes les données étant présentes sur le cloud, les équipes de développement de projet ont pu continuer à innover depuis chez elles. De la même manière que si elles étaient dans les locaux de leur entreprise.

De même, la fermeture des frontières, les confinements dans les différents pays et, au-delà de cet événement particulier, un conflit, une catastrophe naturelle, etc. peuvent avoir un impact sur votre approvisionnement en matières premières ou pièces détachées. Connaître en temps réel l’état de vos stocks est un atout. Cela vous permet d’anticiper un éventuel changement de fournisseur, sans avoir à effectuer un long et fastidieux inventaire.

Vous comprenez donc qu’investir en amont dans du matériel connecté et des logiciels de solution globale vous permet de ne jamais être pris au dépourvu, quel que soit l’imprévu qui se présente à vous.  

Être agile et réactif

Même en temps normal, si cela est encore une réalité, et en dehors de toute catastrophe, il est important d’être réactif et de s’adapter avec agilité à la nouveauté. Grâce aux retours des informations et données fournies par votre CRM, vous êtes à l’écoute de vos clients. Vous pouvez, par conséquent, leur proposer des produits correspondant à leurs attentes, voire personnalisables.

Avec votre solution de supply chain management et son intelligence artificielle, il vous est possible de tester vos idées avant la diffusion du produit. Mais aussi d’analyser sa rentabilité et rationaliser les processus. Vous économisez ainsi grandement sur les coûts de production, les matières premières, la gestion des stocks, etc.  

Être écoresponsable

Être innovant et hyperconnecté peut sembler aller à l’encontre des valeurs d’éco-responsabilité que vous souhaitez véhiculer. Il faut toutefois avoir une vision globale de votre système de production. Certes, le stockage de l’ensemble de vos données sur le  cloud et les serveurs qui l’hébergent entraîne une forte consommation d’énergie. Cependant, en contrepartie, vous économisez sur les déplacements. De plus, vous réduisez votre empreinte carbone. En effet, la majorité du travail de recherche, des réunions, des rendez-vous client, etc. peut se faire à distance. De même, avec une maîtrise parfaite de la gestion de vos stocks, vous évitez tout gaspillage inutile.

Au niveau de la fabrication et de la distribution de vos produits, votre logiciel GPAO vous permet une traçabilité de bout en bout de la chaîne de production. Il vous indique comment optimiser le conditionnement, les circuits de distribution, la récupération et le recyclage le cas échéant. Vous avez une vision très précise des produits dangereux et toxiques. Ceux dont l’étiquetage est automatisé, et comment les éliminer sans risque pour la nature ou, mieux, les recycler.

Concernant la maintenance de vos appareils de production, il est plus écoresponsable de les entretenir régulièrement. Vous éviterez ainsi la panne. Plutôt qu’être obligé d’arrêter la chaîne de production, de se débarrasser des machines défectueuses et non réparables, et d’en racheter de nouvelles. Votre logiciel GPAO répertorie chacun de vos moyens de production et vous alerte dès qu’une intervention est nécessaire.

Vous souhaitez simplifier la gestion de production de votre PME/ETI ? Vous souhaitez être en capacité de faire face aux imprévus et d’innover efficacement ? « Préparez demain dès maintenant » et contactez SAP, votre solution ERP & CRM globale.

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Source de l’article sur sap.com

Auparavant, « mener la belle vie » signifiait jouir du confort et du luxe, loin des problèmes financiers et des préoccupations environnementales. Ce n’est plus le cas aujourd’hui.

Selon une récente étude Harris/Ketchum commandée par Sustainable Brands, une communauté mondiale d’innovateurs de marque, la définition d’une belle vie a changé. Plutôt que l’argent, le statut et les réalisations personnelles, aujourd’hui, « la base d’une vie bien vécue repose sur l’équilibre, la simplicité et des liens plus étroits avec la famille, la communauté et l’environnement ».

Selon les sources, la recherche indique qu’environ 65 à 95 % des personnes veulent désormais vivre une vie plus durable et acheter des produits qui soutiennent un avenir plus durable. Cela a un impact considérable sur les sociétés qui souhaitent rester compétitives dans ce nouveau contexte.

Comment les marques évoluent-elles alors pour répondre aux besoins et aux aspirations des consommateurs qui apprécient la simplicité, la transparence, l’authenticité et la durabilité plutôt que les biens personnels et l’apparence ?

Appliquer la théorie

Les objectifs et la vision des marques durables sont clairs. Elles créent des feuilles de route pour développer en permanence des pratiques commerciales plus durables. Elles excellent dans le leadership éclairé, l’innovation et les meilleures pratiques pour façonner une culture où la vie durable constitue la base de la belle vie de demain.

En voici quelques exemples sympathiques.

Procter & Gamble, géant des produits de consommation courante, a augmenté d’un cran ses initiatives en termes d’économie circulaire en fabriquant des bouteilles à partir du plastique ramassé sur les plages et repêché dans les océans. La société s’est également engagée à recycler et à récupérer 5 milliards de litres d’eau par an de ses processus de fabrication. Elle s’attaque même à un problème que personne d’autre ne semble savoir résoudre : la société a inventé une technologie capable de redonner de la valeur aux déchets, comme la cellulose plastique des couches jetables sales.

À Haïti, une des conséquences involontaires des opérations de secours après le séisme dévastateur de 2010 a été l’accumulation de montagnes de bouteilles plastique sur toute l’île. Des bouteilles d’eau vides et les emballages des fournitures expédiées pour aider les Haïtiens se sont retrouvés dans les canaux, sur les plages et dans les rues. Le système de collecte des déchets du pays s’est alors effondré. Aujourd’hui, ces bouteilles trouvent une seconde vie sous la forme de cartouches d’imprimante. À travers un projet de recyclage radical, HP, une société qui voit la circularité comme une approche liée au cycle de vie des produits, collabore avec divers partenaires pour créer de nouveaux emplois, offrir une formation en matière de santé et de sécurité et instruire des centaines d’enfants qui collectaient auparavant des déchets pour venir en aide à leur famille.

Parvenir à la belle vie

En mai 2019, plus de 2 500 représentants de la communauté Sustainable Brands se sont rassemblés à Détroit afin de faire part de leurs efforts et de s’inspirer de ce que font les autres pour agir et avoir la conscience tranquille, tout en fournissant des produits et des services qui répondent aux besoins et aux visions des clients et des consommateurs.

Cette conférence de quatre jours attire des leaders éclairés, des innovateurs, des experts du développement durable et des stratèges de marque du monde entier. L’événement principal est l’exposition Innovation Expo. Les participants peuvent s’inscrire à des ateliers, à des laboratoires d’innovation et à des activités de programmation centrés sur l’amélioration du monde.

L’exposition est divisée en pavillons « Belle vie » dédié aux différents secteurs du marché tels que la chimie, l’énergie et la finance, ainsi qu’à des sujets tels que la circularité et la gestion des ressources. Une section est même consacrée aux revues qui sont capables d’inspirer des changements comportementaux, comme le National Geographic.

En tant que sponsor « Good Life Lounge » pour l’économie circulaire, SAP organise plusieurs dialogues interactifs sur des sujets stratégiques. La question de la pollution plastique des océans est un des sujets de la conférence auquel les dirigeants de SAP sont très attachés.

Notre génération a fait la différence

The Knowledge That our Generation Has Made a Difference

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The Knowledge That our Generation Has Made a Difference

Vidéo d’Angela Klose

Une direction qui a du sens

En 2018, Stephen Jamieson, responsable de SAP Leonardo au Royaume-Uni et en Irlande, a participé à la création de « Plastics Cloud », une plateforme pour s’attaquer au problème du plastique à usage unique. L’initiative compile des informations et utilise l’apprentissage automatique pour identifier les matériaux et les tendances prévisionnelles en matière d’achat et de recyclage de matières plastiques, ce qui permet aux services de répondre à la demande. Elle partage également des données avec les consommateurs pour les aider à comprendre l’impact qu’ils ont au sujet des matières plastiques.

Entre-temps, Padmini Ranganathan, vice-présidente globale Produits et innovation chez SAP, a inclus Plastics for Change dans Ariba Network, de façon à intégrer l’économie informelle des collecteurs de déchets dans un système d’offre et de demande de matériaux secondaires plus formalisé.

L’initiative de Stephen Jamieson et le travail de Padmini Ranganathan avec les collecteurs de matières plastiques ont été deux des principaux facteurs qui ont poussé SAP à parrainer le sommet Ocean Plastic Leadership Summit dirigé par Jim Sullivan, responsable de l’Innovation durable chez SAP, et Alexandra van der Ploeg, responsable de la Responsabilité sociale d’entreprise chez SAP.

Comme l’a dit Mohammed Ali « l’impossible est temporaire ». Ce paradigme a été répété à maintes reprises par les 170 producteurs, scientifiques, chercheurs et innovateurs participant au sommet océanique. Bien que la pollution plastique des océans soit un immense défi, Jim Sullivan estime que si les gouvernements, les organisations non gouvernementales (ONG), les consommateurs et les leaders industriels s’associaient, il serait possible de le relever en dix ans. La plupart du plastique est rejeté dans l’océan par cinq cours d’eau en Asie. Les experts estiment qu’en réduisant la quantité des matières plastiques déversées dans les cours d’eau de seulement 20 % au cours des sept prochaines années, les océans reviendraient aux niveaux de pollution plastique des années 1990.

La technologie pour y parvenir existe déjà. C’est l’investissement nécessaire au développement de cette infrastructure essentielle qui fait défaut, et ce manque s’accentue encore plus du fait de l’échec du système d’offre et de demande de matériaux recyclés.

Les entreprises durables jouent un rôle majeur dans la solution. Elles transforment leurs activités avec des modèles circulaires qui permettent aux consommateurs et aux producteurs de refuser, de réduire, de réutiliser et de recycler. Ensemble, ils créent une assise durable pour mener la belle vie, selon la nouvelle définition qu’on lui prête.

Publié en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Le mois dernier, 162 personnes d’horizons très différents ont embarqué à bord d’un navire pour rejoindre le Sommet contre la pollution plastique des océans (OPLS) dans le gyre de l’Atlantique Nord, un système circulaire de courants océaniques. Ces personnes ont pris part à une expédition de recherche expérimentale pour mieux comprendre l’étendue de la pollution plastique, et pour développer des partenariats et des solutions intersectorielles en vue de relever ce défi mondial au cours de la prochaine décennie.

Organisée par SoulBuffalo, cette expérience immersive a été conçue pour mettre les décideurs en situation, afin qu’ils puissent observer et ressentir par eux-mêmes le côté catastrophique de la pollution plastique. Selon l’Oceanic Society basée en Californie, entre 4 et 12 millions de tonnes métriques de plastique sont déversées chaque année dans l’océan, soit suffisamment pour couvrir tout le littoral de la planète ! Et ces chiffres devraient plus que doubler dans les dix prochaines années.

Cependant, la pollution plastique océanique est un problème que nous pouvons résoudre. Nous savons comment ramasser les ordures et nous savons comment les recycler. Selon Ted Siegler, un économiste spécialisé dans les ressources qui a travaillé pendant 25 ans sur la gestion des ordures dans les pays en développement, l’urgence est de construire les institutions et systèmes nécessaires pour y parvenir avant que l’océan ne se transforme irrémédiablement en une « soupe plastique » dénuée de toute forme de vie.

Pas un poisson en vue

Le groupe OPLS était constitué de producteurs, fabricants, marques, recycleurs et syndicats d’éboueurs. Étaient également au rendez-vous des experts financiers, des scientifiques, des revues comme le National Geographic, des chercheurs, des leaders éclairés et des innovateurs, depuis les cadres d’entreprises telles que Coca-Cola, Nestlé, Procter & Gamble et Dow Chemicals, jusqu’aux ONG telles que Greenpeace, WWF et Ocean Conservancy.

Chaque fois que le navire s’approchait d’algues sargasses, les participants interrompaient leurs réunions pour sauter dans des bateaux pneumatiques munis de leur équipement de plongée.

Ils ne virent aucun poisson de la journée. Et au début, ils ne virent pas beaucoup de plastique non plus. Le plastique est trompeur, car il n’est pas visible à la surface. Dans l’océan, il se décompose en petites particules qui sont capturées par les algues et ingérées par les espèces marines.

« Le vrai problème, c’est ce qui n’est pas visible », déclare Michael Groves, PDG de Topolytics, une entreprise d’analyse de données dédiée à la gestion des déchets, qui participait à l’expédition. Il explique que sur une distance d’un kilomètre, le navire a récupéré 76 débris microplastiques immédiatement sous la surface.

Multipliez ce chiffre par la quantité de microplastique présente dans la colonne d’eau qui descend jusqu’à une profondeur de 2,5 kilomètres et vous comprendrez l’immensité du problème.

Accepter la responsabilité

Comme l’explique Virginie Helias, directrice du développement durable chez Procter & Gamble, « le problème de la pollution plastique dans nos océans relève de la responsabilité de tous aujourd’hui, y compris des entreprises qui produisent et utilisent une grande partie du plastique dans le monde. »

John Hocevar, directeur de la campagne Océans de Greenpeace, le confirme.

« Les personnes présentes sur ce navire représentent des entreprises responsables d’une grande partie de l’empreinte plastique de la planète. Nous avons donc réuni ici les personnes réellement à même de résoudre le problème de la pollution plastique », a-t-il affirmé. « Plusieurs entreprises se concentrent sur des solutions en aval telles que le recyclage et l’éducation des consommateurs, mais ce dont nous avons besoin, c’est d’un plus grand nombre d’individus, d’entreprises et de gouvernements qui assument la responsabilité de la fin de production. »

John Hocevar estime que nous ne pourrons pas venir à bout de la pollution plastique tant que nous continuerons à en tirer parti et déclare que la plupart des entreprises ne sont même pas conscientes de la quantité de plastique qu’elles produisent. Le point de départ pour toute entreprise est d’évaluer son empreinte plastique, puis de se fixer des objectifs pour la réduire.

Mais il y a aussi de bonnes nouvelles. Plusieurs marques durables comme Procter & Gamble intensifient leurs initiatives en matière d’économie circulaire pour réduire, réutiliser et recycler les matières plastiques et autres ressources, et beaucoup d’autres prennent des mesures pour lancer des initiatives similaires.

Adidas, par exemple, fabrique des chaussures à partir du plastique repêché dans les océans. L’on doit cette idée à John Warner, un fondateur de la chimie verte, qui faisait partie de l’expédition.

Dow Chemicals, l’un des sponsors de l’expédition OPLS, a récemment annoncé qu’il participerait à une levée de fonds mondiale d’un milliard de dollars pour venir à bout des déchets plastiques dans l’environnement.

Jim Sullivan, qui pilote l’accélérateur d’innovation de SAP en matière de développement durable à l’échelle mondiale et qui a participé à l’organisation de l’expédition, souligne que pour résoudre une crise mondiale de cette ampleur, nous devons entamer un dialogue ouvert et parfois difficile avec les différentes parties prenantes. Nous devons également adopter une approche multisectorielle qui permette d’identifier les compromis avec d’autres défis mondiaux, tels que le changement climatique, afin d’éviter des conséquences graves. De plus, nous devons utiliser des métriques communes pour donner la priorité aux activités les plus significatives et suivre les progrès réalisés sur la voie des aspirations telles que le « zéro plastique » dans la nature en 2030.

Préserver plutôt que consommer

Il n’existe aucune solution ou entreprise capable de résoudre ce problème à elle seule. Les partenariats et les solutions évolutives tels que le Sommet contre la pollution plastique des océans constituent une pièce centrale du futur que nous devons inventer.

Dans un premier temps, il vaudrait la peine de revenir sur le « conflit d’intérêts initial entre les populations autochtones et les populations à l’ère industrielle, à savoir la gestion de la terre, de l’eau, du feu et de l’air ». Selon Patricia Anne Davis, gardienne de la sagesse navajo, ce conflit d’intérêts est toujours d’actualité.

Les populations autochtones ont protégé ces éléments depuis le début de l’humanité, alors que les populations à l’ère industrielle ont saccagé la planète en seulement un ou deux siècles. Ce conflit n’est plus durable et doit cesser, dans l’intérêt de tous les êtres humains de la planète.

« Nous devons passer de la consommation à la préservation », indique Damien Johnson, qui participait au sommet en tant que représentant du bureau d’innovation SAP en Amérique du Nord. Damien Johnson estime que la solution comporte deux volets : premièrement, stopper l’introduction de nouveaux déchets plastiques et deuxièmement, améliorer les processus de recyclage des déchets existants.

« L’utilisation du plastique a été motivée par l’innovation et le souhait d’améliorer l’expérience client.  Nous devons à présent utiliser la technologie et l’innovation pour maintenir cette expérience, mais supprimer les matières plastiques à usage unique », conclut-il.

Créer de la valeur

L’un des problèmes qui se pose avec les déchets plastiques, c’est qu’ils ne possèdent pas encore de valeur marchande…

Dans de nombreux pays comme le Brésil et l’Inde, les ramasseurs de rue récupèrent du métal, des guenilles et du papier, puis les revendent en vue de leur recyclage. Mais la plupart des matières plastiques n’intéressent personne, car elles ne possèdent aucune valeur marchande.

« Le pire, c’est que les entreprises qui veulent utiliser du plastique recyclé ont du mal à en trouver sur le marché », déclare Padmini Ranganathan, vice-présidente globale Produits et innovation chez SAP.

C’est pour cette raison que Padmini Ranganathan et son équipe sont en train d’intégrer de nouvelles entreprises comme Plastics for Change sur Ariba Network, pour associer l’économie parallèle de ramassage de déchets à des systèmes plus officiels d’offre et de demande de matières secondaires.

« Nous devons intégrer les déchets plastiques dans la chaîne logistique, afin qu’ils ne soient pas récupérés dans le secteur illégal, car les éboueurs travaillent dur pour trier et convertir les déchets en valeur marchande », prévient Padmini Ranganathan.

La solution à long terme passe par un changement de fond, aussi bien dans le système de flux d’articles que dans les systèmes numériques.

« Outre les ERP et les processus de gestion, nous devons exploiter des systèmes numériques agiles et évolutifs au fur et à mesure que la chaîne logistique du plastique se transforme », déclare Padmini Ranganathan.

Technologie et travail d’équipe

Bien que la pollution plastique des océans soit un immense défi, ces experts estiment que si les gouvernements, les ONG, les consommateurs et les entreprises s’associaient, il serait possible de le relever en dix ans. En effet, la plupart des matières plastiques sont rejetées dans l’océan par cinq fleuves en Asie, ce qui signifie qu’une simple réduction de 20 % des matières plastiques déversées dans les cours d’eau au cours des sept prochaines années permettrait de revenir aux niveaux de pollution plastique océanique des années 1990.

La technologie pour y parvenir existe déjà. Les entreprises durables jouent un rôle majeur dans la solution. Elles transforment leurs activités avec des modèles circulaires qui permettent aux consommateurs et aux producteurs de refuser, de réduire, de réutiliser et de recycler. En réunissant les entreprises, les gouvernements, les ONG et les groupes de protection des océans, il est possible de créer une solution globale pour un avenir durable.

Publié initialement en anglais sur Forbes dans la catégorie Brandvoice

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Source de l’article sur sap.com