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En 2021, le groupe Guerbet a décidé de basculer de SAP ECC vers SAP S/4HANA, afin de tirer profit des nouveautés fonctionnelles et technologiques de la dernière génération de l’ERP SAP. Une conversion achevée avec succès en mois d’un an.

 

Guerbet est une entreprise de santé française, spécialiste de l’imagerie médicale à visées diagnostique et opérationnelle.

Industriel d’envergure internationale, Guerbet est implanté dans plus de 80 pays et fait travailler plus de 2600 employés, pour un chiffre d’affaires en 2022 de 753 millions d’euros. En 2013, Guerbet décide de mettre en place l’ERP SAP ECC, commun à l’ensemble de ses filiales. Un projet de grande envergure.

« En 2020, notre ERP SAP ECC était déployé sur quasiment l’intégralité de nos sites des zones EMEA et APAC, avec à la clé près d’un millier d’utilisateurs », précise Marcello Bellato, Chief Information Officer de Guerbet.

Une conversion anticipée pour mieux exploiter ses opportunités

En 2021, Guerbet choisit d’opérer sa conversion vers l’ERP Intelligent SAP S/4HANA, alors même que SAP ECC n’a été déployé que sur la moitié des sites du groupe.

« Nous aurions pu réaliser cette conversion à la fin du déploiement de SAP ECC, poursuit Marcello Bellato, mais nous aurions alors raté l’opportunité de pouvoir profiter rapidement des avancées proposées par SAP S/4HANA, dont nous avons besoin pour accompagner notre transformation : nouveautés fonctionnelles, intégration d’outils analytiques et de reporting, automatisation avancée, etc. La conversion vers SAP S/4HANA et les nouvelles fonctionnalités nous permettront également d’accélérer le déploiement sur les pays restants, en réduisant les personnalisations. »

Guerbet décide de se faire accompagner par TeamWork sur ce projet. « Nous connaissions déjà cet intégrateur, dont le travail nous avait donné satisfaction. De plus, nous apprécions sa flexibilité et la proximité que ses équipes ont su nouer avec les nôtres. Des éléments très importants, dont nous espérions tirer profit dans le cadre de ce projet de conversion. »

11 mois pour convertir un ERP au périmètre étendu

Le projet démarre le 9 juin 2021, avec un go live de la solution SAP S/4HANA programmé pour le week-end de Pâques 2022, soit 11 mois plus tard. Un planning d’autant plus serré que le périmètre de la solution SAP ECC est particulièrement large. « Notre ERP ne se limite pas à la finance, confirme Marcello Bellato. Il couvre l’ensemble de notre supply chain : achats, ventes, production, distribution, logistique, gestion des entrepôts, service client… »

L’une des clés du succès de ce projet réside dans la forte implication des équipes métiers. « Près de 200 personnes ont participé à ce projet chez Guerbet. Ces experts métiers ont su travailler en coordination – et en bonne intelligence – avec nos équipes IT et celles de TeamWork. » L’autre clé du succès a été le soin apporté à la phase de test, pendant laquelle près de 3600 scénarios furent déroulés.

Les efforts conjugués des métiers, de l’IT et des équipes de TeamWork ont permis de lancer SAP S/4HANA dans les délais attendus, sans impact notable pour les utilisateurs ni interruption des opérations.

Des sessions de présentation ont aussi été organisées par TeamWork tout au long du projet. Elles ont permis aux key users de découvrir en amont les fonctionnalités et évolutions apportées par l’ERP SAP S/4HANA. Un atout clé pour emporter leur adhésion, les préparer au futur ERP, mais également construire la feuille de route des évolutions souhaitées pour les années à venir.

Roll-out et exploitation des atouts de SAP S/4HANA

Maintenant que la conversion a été réalisée, Guerbet peut reprendre son programme de déploiement, avec en ligne de mire les États-Unis, la zone LATAM et les pays d’Asie pour lesquels le déploiement de l’ERP n’avait pas encore été réalisé.

En parallèle, Guerbet va faire évoluer son ERP SAP S/4HANA, selon une feuille de route définie lors de la conversion (et des sessions de présentation aux métiers). La société a d’ores et déjà mis en œuvre un système de prise de commandes sur le Web, intégré avec l’ERP et déployé sur la SAP Business Technology Platform. D’autres projets sont à l’étude :

  • l’utilisation de RPA (Robotic Process Automation), afin d’automatiser la prise en charge des factures fournisseurs ;
  • le déploiement de SAP Cash Application, qui permettra de simplifier le processus Order-to-Cash ;
  • l’amélioration de la gestion des stocks, avec la mise en place d’un processus de Product Allocation ;
  • l’utilisation des Embedded Analytics de SAP S/4HANA, notamment pour calculer le délai moyen de paiement.

« Nous envisageons également de continuer à tirer profit de la technologie SAP Fiori, par exemple en l’utilisant au sein d’une application mobile qui permettrait de simplifier la maintenance des équipements présents sur nos lignes de production », conclut Marcello Bellato.

 

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Source de l’article sur sap.com

Over the past few years, there have been countless new technology developments that have advanced the workforce —  from video and chat platforms that keep employees connected to automation solutions that boost productivity. One of the more popular developments has been intelligent document processing (IDP), used to extract data from structured and unstructured content to automate high-volume, repetitive document processing tasks. In fact, IDP has become so popular that, in 2022, the IDP market size was estimated to be at about 1.1 billion USD, but according to Research and Markets, it’s expected to grow to 5.2 billion USD by 2027. 

Despite the popularity of IDP, there are some iterations of the tool that lack the processing power needed to automate complex end-to-end business processes. Fortunately, robotic process automation (RPA) can step in to bolster your tech stack and solutions. 

Source de l’article sur DZONE

Technologies such as artificial intelligence (AI), machine learning (ML), and natural language processing (NLP) have led the way to software robots that reduce the manual, time-consuming, and repetitive actions performed on digital platforms. The concept of automating tasks on digital platforms is called robotic process automation (RPA). RPA is a software robot that interacts with computer-centric processes and aims to introduce a digital workforce that performs repetitive tasks previously completed by humans. This Refcard introduces RPA technology, how it works, key components, and how to set up your environment.
Source de l’article sur DZONE

Robotic Process Automation, better known as RPA, is an exciting issue among the C-suite and is rapidly making progress across many businesses. Innovation has filled up rapidly in the past few years, as have debates regarding automation and other related breakthrough advances, including Artificial Intelligence.

The concept is expectable, considering how automation tools and technologies are closely linked. RPA has always been destined to be the future of automation. If you are continually feeling stressed over your business operations’ efficiency, utilizing RPA could be the ideal decision.

Top Robotic Process Automation Trends for 2021

In this section, we will explain some of the top RPA trends businesses should look out for in 2021 and beyond.

Source de l’article sur DZONE

L’éthique est au cœur de la démarche IT de la MAIF. Robotiser les processus, oui, à condition que cela soit bénéfique aux sociétaires, aux collaborateurs, ainsi qu’aux performances et aux engagements sociaux de l’entreprise. À ce jour, une quinzaine de robots ont été déployés avec succès.

La MAIF est un assureur à part. Capitalisant sur ses valeurs mutualistes et sociales, la MAIF est financièrement solide, a décroché 16 fois le Podium de la relation client pour le secteur de l’assurance, tout en restant le seul assureur à faire partie des 50 entreprises les plus admirées des Français (IFOP – JDD – Nov 2019). Un impressionnant palmarès, mais qui ne doit pas faire oublier les questions d’efficacité opérationnelle. Un élément clé de satisfaction des sociétaires.

C’est en 2017 que la MAIF s’est penchée sur les technologies de RPA (Robotic Process Automation). Après une première expérimentation, l’assureur a compris tout l’intérêt qu’il pouvait tirer de cette technologie. Suite à appel d’offre, la solution de SAP a été choisie et déployée en 2018.

« Nous répondons aux sollicitations des métiers, qui expriment leurs besoins et décrivent une solution d’automatisation. Après étude du projet, le RPA est souvent préconisé pour répondre à ces demandes, car il est souple, facile à mettre en œuvre, avec un budget restreint » explique Jocelyn Paris, Chargé d’étude des systèmes d’information à la MAIF.

Avec le RPA, il n’est pas nécessaire de développer de nouvelles applications dans l’environnement MAIF : le robot va tout simplement reproduire des actions utilisateur. Ce qui est à la fois rapide et peu coûteux. Une quinzaine de robots sont aujourd’hui en production.

Une aide précieuse pour le service contrats

Les assureurs ont une responsabilité d’évaluation du niveau de risque de chaque assuré. Plusieurs fois par an, la MAIF fait ainsi ressortir les situations en alerte. Toutefois, un tiers de ces alertes peuvent être écartées selon des règles spécifiques et sans qu’il soit nécessaire de se mettre en relation avec l’assuré. Ce travail fastidieux peut être confié à un robot, libérant ainsi du temps pour les collaborateurs. Mis en place en un peu plus d’un mois, ce robot est un succès et se charge de sortir les fiches pouvant l’être de façon automatique.

Lors du batch d’avril 2020, les collaborateurs n’ont pas pu avoir un accès direct aux fiches papier. Le robot a donc été modifié pour reporter l’ensemble des fiches au prochain batch de septembre. Les services en charge d’imprimer et de traiter ces fiches ont été soulagés d’une tâche difficile à mettre en œuvre en télétravail. Les processus de RPA ont ainsi montré leur capacité à s’adapter rapidement à une nouvelle situation.

« Nous avons démarré avec un premier robot chargé de faciliter la régularisation des situations comptables de certains de nos assurés. Sur 15.000 cas recensés par an, 8000 à 9000 sont maintenant traités par ce robot, soit 1500 heures gagnées, témoigne Magalie Vincent, Responsable d’équipe au service contrats. Un nouveau robot, déployé en janvier 2020, aide à traiter les fiches d’observation de la sinistralité. Sur 8000 fiches, le robot a pu en écarter 2600. Cela simplifie notre travail en nous soulageant d’une tâche chronophage, qui mobilisait jusqu’à 15 collaborateurs. Nous pouvons ainsi nous pencher sur les cas les plus intéressants et nous recentrer sur notre rôle d’analyse du risque. »

Notez qu’une phase d’ajustement des critères d’action de ce nouveau robot devrait lui permettre de prendre en charge un plus grand nombre de dossiers.

Une accélération des rapprochements bancaires

Il est parfois difficile d’effectuer des rapprochements entre les paiements reçus et les contrats des assurés. Chaque jour, des centaines de règlements ne sont pas rattachés automatiquement au compte d’un sociétaire. La MAIF dispose d’un outil pour faire ressortir les virements non identifiés et d’un autre pour rechercher des coordonnées bancaires dans les bases de la société. L’affectation au bon sociétaire des fonds reçus sans référence reste toutefois un travail fastidieux.

Le rapprochement entre ces différentes bases de données est une tâche qui peut être en grande partie automatisée. Le robot se charge de prendre la référence d’un paiement dans le premier outil et de rechercher à qui il pourrait correspondre dans le second. Le service de la gestion économique dispose ainsi de plus de temps pour se pencher sur des dossiers complexes.

« Le robot nous aide dans ce travail fastidieux, long et très répétitif, confirme Sylvie Carasco, Chargée de gestion comptable, service comptabilité assurance et réassurance. Il est capable de rechercher simultanément dans plusieurs bases de données suivant des critères comme le nom ou l’IBAN, et de trouver un ou plusieurs sociétaires pouvant correspondre. Le travail de recherche est ainsi défriché, ce qui permet d’accélérer la clôture de chaque dossier. Ce robot est d’une aide précieuse, en particulier lors des périodes d’échéances annuelles, où 500 à 600 recherches doivent être effectuées chaque jour, occupant de 7 à 8 personnes à temps plein. »

Là encore, ce robot s’est montré particulièrement utile pendant la crise du Covid-19. Avec un taux de réussite de 80 %, il remplit ses objectifs. L’amélioration continue des critères d’action du robot devrait encore augmenter son efficacité.

Et des dizaines d’autres projets en préparation…

Le service qui gère les conventions automobiles en est déjà à trois robots déployés et un quatrième en cours de développement. Très intéressé par le RPA, le service conventions réfléchit à d’autres processus que cette technologie pourrait contribuer à automatiser.

« C’est un travail que nous avons mené sur plusieurs années, explique Céline Beunet, Responsable du service conventions. Les robots du service convention adressent des tâches précises : prise en charge d’un évènement non déclaré via l’ouverture d’un dossier et l’envoi d’un courrier au sociétaire ; automatisation du changement d’assureur lorsque le recours a été initialement présenté à la mauvaise partie ; suivi du remboursement du forfait, lorsqu’un recours présenté par une compagnie adverse a été contesté et refusé. Dans ce dernier cas de figure, le robot vérifie dans les échanges informatisés que nous avons bien été remboursés, puis classe le dossier. Ce que j’aime, c’est la possibilité de fixer les conditions d’action du robot et non de lui confier 100 % des processus. Ainsi, dès qu’un cas est litigieux, le gestionnaire reprend automatiquement la main. »

Le premier ROI du RPA est le temps qu’il fait gagner aux équipes. Économique et facile à mettre en œuvre, c’est un outil sans concurrence pour automatiser les processus. « Par rapport au coût d’automatisation d’une chaine logicielle, le RPA revient quasiment 10 fois moins cher, confirme Jocelyn Paris. Mais attention, le ROI est évalué selon quatre axes : la satisfaction des sociétaires ; la satisfaction des collaborateurs ; la performance de l’entreprise ; et l’aspect RSE. On ne veut surtout pas d’un robot qui remplace l’humain, mais d’une technologie qui aide l’humain. »

Maintenant que la plate-forme est en place et accessible largement, les demandes affluent et devraient sans nul doute s’intensifier. « La société française va vers plus de réglementation et d’administratif. Le RPA peut contribuer à atténuer ce phénomène. Si un robot peut s’occuper d’un traitement administratif, c’est aussi bien, car nous préférons que nos collaborateurs se focalisent sur leur cœur de métier : la relation humaine. » L’assureur militant s’engage ainsi au service de la performance comme du bien-être de ses collaborateurs.

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Source de l’article sur sap.com

This pandemic has fostered the digital transformation and made that as a norm rather than an option of luxury. Adoption of niche technologies like RPA, AI, ML has increased and the decision-makers are serious towards its implementation in order to survive and stay abreast.

It is clearly evident that we have to change our operational practices and RPA plays an important role. Let’s see what are the few best Open-source and Commercial RPA tools to use in 2020.

Source de l’article sur DZONE

About a year ago, I was convinced that the key to succeeding with Artificial Intelligence (AI) was to take a platform approach. In other words, the synergies that accrue from appropriately bringing together the range of technologies that are making AI a reality for enterprises was, I believed, the way to go. I still firmly believe that.

In fact, having personally met over 200 executives (business and technology) since then, from around the world, who seek to find relief and new value from AI, I am convinced that opting for best of breed capabilities from a variety of vendors is not necessarily going to work out in practice. For one, despite claims of using only open standards in building these offerings, deploying the offerings from a variety of vendors in an integrated manner is a challenge. Further, the business and operational challenges that naturally occur in such situations with multiple providers are deterrents too.


Source de l’article sur DZONE (AI)

To gather insights on the state of artificial intelligence (AI), and all of its sub-segments – machine learning (ML), natural language processing (NLP), deep learning (DL), robotic process automation (RPA), regression, et al, we talked to 21 executives who are implementing AI in their own organization and helping others understand how AI can help their business. We began by asking, "What are your biggest concerns regarding AI today?" Here’s what they told us:

Hype

  • A fair amount of hype and excitement. The trough of disillusionment and then rise again. We focus on putting AI into production because we believe this is the biggest challenge.
  • 1) The Knowledge Gap — When it comes to combining the business process knowledge with the technical knowledge, there can often be a disconnect between understanding how companies are run and where A.I. implementation can be best leveraged. 2) Hype Cycle — With the hype around A.I. dying down, the technology is now viewed as a more tangible application. However, many are still talking about A.I. from purely a technology aspect, but the technology needs to be an enabler of an outcome. 3) Trust — While most CIOs and CFOs are eager to experiment with AI technologies, not all are yet fully onboard when it comes to the full investment of complete adoption and implementation. There is still a fair amount of concerns surrounding the lack of knowledge and ability to have the right combination of A.I. technology.
  • Currently, there is a great deal of excitement and hype around AI, which often translates to over-inflated expectations. AI is in its infancy; there is much to be learned and done. One of my concerns is that the reality of the long road ahead will cause many people to lose interest. Another concern is that many will view AI through the same lens as current analytical approaches to problem-solving, applying the same logic, tools, and infrastructure. AI requires thinking differently about the IT infrastructure. The scale of compute power and data storage required is unprecedented. Autonomous vehicles can easily generate 100s of petabytes of data per year, all of which must be stored and analyzed to improve the underlying algorithms. Current practice is to copy data from shared storage to individual servers with SSDs for faster processing, returning the results to shared storage once processing is complete. Such practice is extremely costly and inefficient when shared storage systems like WekaIO’s Matrix can support AI workloads from a common data pool.
  • One concern is that AI can be over-hyped. AI is a great technology and solves many problems, but we’re a long way from AI curing cancer or relieving the world of war and famine. But we can have a positive impact in terms of solving other real-world problems, and our hope is that people embrace this impact in a way that enables us to continue building for the future. In addition, with the wealth of new virtual assistants on the market today, we need to be cautious with consumer burnout and confusion. That’s why we created our cognitive arbitrator to connect these disparate virtual assistants and make it easier to interact. Lastly, because of the dependency of AI on data, questions about data privacy are becoming more relevant. It is important that we use data very responsibly and we draw a clear line between using data to improve the AI for a task and abusing it for other purposes.

Ethics

  • Worry about people who use it invasively. People who use it as an argument to collect data. You have to worry about of all of these arguments about the next phase of evolution. I’m pretty sure that’s not going to happen the way people think it will. The idea of artificial entities having different motives than we do and do things for their own reasons made up of many parts is a very old one. We will have entities that are different. It’s not going to be things like us in silicon cooperating with humans wind up in different social structures with humans doing stuff and machines doing stuff. We can build a place with huge inequalities or we can build a place where these capabilities make the world a better place and that’s really a choice we have to make by deciding how kind of businesses and practices we want to support. We should all be more mindful of what’s going on in the world — opportunity and also a caution which is not such a bad thing. Stop and think about how the world works. 
  • There is a lot of talk about “AI for good” today, but simply wishing for the best as we develop new technology is not enough. We, as an entire society, need to rethink how the future will look so that we can all be prepared for changes to public safety and the workforce. We need to be sure that we are taking care of each member of society, and that AI can be used to benefit the whole spectrum, not just the top corporations. 
  • The biggest worry about AI is about ethics. When AI has to make the tradeoff decisions that affect users, how are options weighed? How is this coded mathematically? These questions will affect the concerns over AI.

Security

  • There is an arms race going on in security. Hackers are continually becoming more and more sophisticated and finding increasingly clever ways to bypass safeguards. AI is essential to solving that problem. Providing AI that can quickly learn to adapt to a changing adversary requires smarter systems. I think education is also really critical. It is important to remember that these systems are not flawless and therefore there will be mistakes in classification. It is also important that whoever is using a system includes human-performed verification or sampling to identify things that the AI system may need to improve upon. 
  • With GDPR rolling out and thinking about the black box with DL important to track audit and have trails for decisions that were made. We are looking at audit trails and data lineage as it relates to AI. 
  • No privacy concerns about digital print at the edge it learns the value prop no way to go back to who was queued up at the traffic light. Powerful privacy implication of getting rid of the data at the edge quickly. 
  • Buzzword fatigue is a concern. Area starting to demo value. Security is not an obstacle, but it is a concern. The more you do on the edge the safer it is.

Other

  • I expected adoption to be faster. We strive to be a catalyst in the process.
  • There’s a misconception that AI will take over jobs.  AI will augment humans and make them more productive. The human will never be replaced more effective and less error-prone.
  • With most new technologies, the early experiences people have with AI may not be very good and will cause people to be hesitant about using it down the line. For example, one of the things we saw with the early deployment of chatbots was that it was good with a simple task but couldn’t take on a more complex request leaving users frustrated. Early experiences may slow down the positive and productive progress we need to make to make AI seamless. But I believe we will see the momentum around the usage of AI continue as the machines – and we – get better at implementation.
  • The successful implementation of an AI solution depends on the accuracy of the model and completeness of data. Some of the big concerns we see if the challenges with collecting the required data from different sources near real-time and at a big data scale, understanding the data lineage and relationships between them and keeping the algorithmic model up to date and relevant for business use cases. The reliability and adaptability of the model is key which takes time and multiple iterations for maturity.
  • Signal to noise ratio. Executives are going to overdose on snake oil and there will be a backlash against AI as a whole. Those of us doing legitimate work will get painted with the same broad brush as the swindler. Swindlers are certainly in the majority.


    Source de l’article sur DZONE (AI)