Articles

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

Lire les actualités

 

D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

Lire le témoignage

 

« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

Lettre d’information SAP Insights: Obtenez des insights stratégiques en vous abonnant à notre lettre d’information.

S’abonner

 

Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

En savoir plus

 

Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

The post La logistique durable en mouvement Till Dengel, Richard Howells | 14 min de lecture appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

En adoptant les solutions d’ERP cloud, les dirigeants se dotent d’une nouvelle boussole qui guidera leur philosophie en matière de personnel, et leur permettra d’éviter de futurs licenciements.

Licenciement : quatre syllabes qu’aucun collaborateur n’a envie d’entendre, et qu’aucun dirigeant d’entreprise n’a envie de prononcer. Malheureusement, les entreprises confrontées à un ralentissement de la croissance, à une forte inflation et à l’augmentation des coûts de la main-d’œuvre peuvent se trouver contraintes d’envisager une telle option.

Mais les licenciements posent un problème : généralement, ils sont une réaction plus qu’une précaution ou un choix stratégique. La première vague est souvent déclenchée par la crainte en cas de baisse prévue de la demande ou de ralentissements économiques. La seconde, la troisième, voire la quatrième, quant à elles, sont autant de mouvement de repli après des pertes financières. Mais le plus préoccupant dans une réduction de personnel, c’est le risque accru de voir baisser la productivité, la qualité des produits et des services, et de perdre des talents qualifiés dont vous aurez besoin pour saisir les occasions futures de rebondir.

Selon LeadershipIQ, 74 % des collaborateurs encore en poste après une vague de licenciements indiquent que leur productivité a décliné, et 69 % pensent que la qualité des produits et des services de leur entreprise s’est détériorée. Encore plus dommageable peut-être : 87 % des travailleurs restants sont moins enclins à recommander leur entreprise à de futurs candidats.

Anticiper la courbe des données

Après une réduction des effectifs, on peut s’attendre à des sentiments de culpabilité, d’anxiété ou de colère. Toutefois, les entreprises ne peuvent pas se permettre de les laisser impacter leur santé financière immédiate et leurs perspectives de croissance à long terme. Alors comment faire face à l’effet accordéon des licenciements et des embauches de masse ?

La technologie utilisée par une entreprise peut, sans le moindre doute, être un facteur de transformation ou de rupture. Ainsi, l’automatisation des tâches simples, des flux de processus, des simulations de scénarios et de la planification de gestion renforce l’efficacité opérationnelle. Les innovations intelligentes (telles que l’intelligence artificielle, l’apprentissage automatique, l’automatisation robotisée des processus, le traitement du langage naturel et l’analytique prédictive) transforment les données d’entreprise en insights riches. Exécutées dans le cloud, ces technologies permettent à vos collaborateurs de prendre des décisions stratégiques et précises, dans le feu de l’action – partout et à tout moment.

Selon IDC, toutes ces fonctionnalités numériques peuvent participer à améliorer les résultats de l’entreprise en augmentant de 75 % à 95 % le chiffre d’affaires, le resserrement des coûts, les bénéfices, la satisfaction client, l’efficacité opérationnelle, la productivité des collaborateurs et l’innovation. Cependant, elles sont inefficaces, voire contre-productives si elles s’appuient sur des données inexactes, incomplètes ou obsolètes.

Heureusement, les solutions d’ERP cloud sont conçues pour relever le défi, de manière à devancer les incertitudes économiques et les turbulences du marché. Les technologies d’entreprise ont le pouvoir de limiter les risques financiers en générant des rapports précis et complets sur les opérations de gestion en temps réel. Ainsi, il est possible d’intégrer un ERP cloud aux solutions de gestion des RH et du personnel afin d’obtenir une vision globale et transparente des performances, des compétences et de l’expérience de vos effectifs.

EN SAVOIR PLUS AVEC FORBES – SAP BrandVoice : Comment un ERP cloud génère de la croissance stratégique pour les leaders de la finance – Par un invité SAP

En agrégeant des applications, des systèmes et des référentiels auparavant cloisonnés, l’ERP cloud constitue une source d’informations unique. Il traite l’ensemble des données générées par les différentes fonctions, vérifie leur qualité et leur exactitude, et les synchronise dans toutes les applications. Résultat : une compréhension globale des besoins de l’entreprise, basée sur les données et tournée vers l’avenir, qui combine des informations opérationnelles, expérimentales et autres insights essentiels.

Armées de toutes ces informations, les entreprises sont à même d’expérimenter de meilleures façons de gérer l’évolution de leurs besoins. Ainsi, elles peuvent identifier les rôles redondants ou qui ont perdu leur pertinence. Mais au lieu de réduire les effectifs et d’embaucher de nouvelles personnes pour combler un manque de talents, elles ont la possibilité de former les salariés concernés à de nouveaux postes. En retour, les connaissances internes sont conservées et la confiance des collaborateurs dans la direction générale s’en trouve renforcée – des atouts critiques pour stimuler l’implication, l’innovation et les performances.

En adoptant les solutions d’ERP cloud, les dirigeants se dotent d’une nouvelle boussole qui guidera leur philosophie en matière de personnel, et leur permettra d’éviter de futurs licenciements. À partir des données concernant leurs collaborateurs et les performances de leur entreprise, ils sont en mesure de procéder à des modifications qui augmentent la valeur ajoutée de leurs activités, mais aussi de respecter les engagements pris envers leurs collaborateurs, leurs clients et leurs partenaires.

Mais le fait de disposer d’une vue d’ensemble des opérations de gestion (incluant les flux de trésorerie, les risques concurrentiels et les prévisions de la demande) est peut-être plus précieux encore. Grâce à cela, les décideurs mesurent mieux les impacts à long terme d’un licenciement, et peuvent imaginer des scénarios plus efficaces qui préserveront l’entreprise dans l’immédiat, tout en la préparant à progresser et à saisir les opportunités de reprise le plus rapidement possible.

Faire face à aujourd’hui et se préparer pour l’avenir

Un licenciement peut être inévitable. Mais au lieu d’y recourir automatiquement, planifier soigneusement sa main-d’œuvre est un meilleur moyen de faire face aux difficultés de l’économie mondiale et aux incertitudes du paysage concurrentiel.

Les solutions d’ERP cloud permettent aux dirigeants de redéfinir leurs priorités, afin de continuer à fournir des produits et services qui génèrent une croissance constante du chiffre d’affaires. Plus important encore : elles stimulent la confiance, poussant ainsi le personnel à tout mettre en œuvre pour aider l’entreprise à réussir dans une conjoncture délicate.

Pour découvrir comment un ERP cloud peut aider votre entreprise à faire face aux incertitudes, à relever les défis financiers et à améliorer ses résultats, consultez le rapport Aberdeen intitulé « Comment l’efficacité et l’innovation basées sur le cloud permettent de résoudre les défis financiers ».

 

– Par Wynona Benson, SAP

The post Comment un ERP cloud peut éviter à votre entreprise d’autres licenciements appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

En triant de vieux cartons dans mon garage, mon fils est tombé sur ma collection de films des années 1980 et 1990. Tandis que je le regardais exhumer les cassettes VHS, les DVD et quelques LaserDiscs de cette capsule temporelle de ma jeunesse, j’ai réalisé à quel point nous avons rapidement cessé de stocker nos films sur des étagères pour nous tourner vers le visionnage en streaming à la demande, sur un seul et même terminal qui tient dans une poche.

Plus frappantes encore sont les leçons tirées de chaque évolution de la livraison à domicile. Certaines entreprises ont conservé des modèles économiques classiques, convaincues que toute nouveauté n’est qu’une passade. D’autres se sont adaptées à chaque fois qu’elles se sont senties réellement menacées par la concurrence.

Mais les entreprises qui ont réellement tiré leur épingle du jeu sont celles qui ont mis en place et pérennisé de vraies innovations transformationnelles, avec la volonté assumée de toucher de nouveaux marchés, d’attirer de nouveaux clients et de répondre aux demandes et aux attentes.

Malheureusement, la plupart des entreprises de taille moyenne n’ont pas encore assimilé cette leçon en matière d’innovation. D’après un Info Snapshot IDC sponsorisé par SAP, seules 18 % des entreprises interrogées jugent que la transformation de leur modèle économique est une priorité – ce qui suggère que la plupart d’entre elles comptent seulement réagir aux bouleversements du secteur.

« Globalement, les entreprises de taille moyenne n’accordent pas la priorité à l’innovation, même si la rapidité d’adaptation et l’évolutivité stratégique sont inscrites dans leur ADN », explique Jeremy Rader, directeur général Stratégie et solutions d’entreprise (ESS) des groupes Data Platforms (DPG) et Cloud & Enterprise Solutions (CESG) d’Intel. « Soyons réalistes : le temps, l’argent et les ressources sont déjà comptés. Mais la technologie cloud peut permettre de rendre l’innovation plus abordable et plus facile à gérer pour celles qui explorent de nouvelles opportunités de transformation, moins coûteuses, moins risquées, et découvrent ainsi de meilleures manières de rester compétitives. »

 

Une étape essentielle pour assurer la prospérité d’une entreprise

Les défis de gestion et les demandes du marché sont chaque jour plus complexes, substantiels, et de plus grande envergure. Mais plutôt que de suivre chaque nouvelle tendance en matière de produits, chaque évolution des clients ou chaque innovation de la concurrence, les entreprises doivent concevoir les produits et services dont leur clientèle a réellement besoin. Cela implique d’établir une passerelle entre le cycle de vie des produits et des données de qualité, prises en charge par une plateforme interconnectée dotée des fonctions de gestion, d’analytique et d’intelligence artificielle nécessaires pour les collecter, les intégrer et les contextualiser en temps réel.

EN SAVOIR PLUS AVEC FORBES – SAP BrandVoice : Tendances 2022 en matière de biens de consommation : votre marque peut-elle offrir une satisfaction et un confort instantanés ? – Par Susan Galer

« Le plus grand obstacle à l’innovation est la crainte du changement et de l’échec », rappelle M. Rader. « Quand les gens sont capables de gérer, de protéger, de contextualiser et d’analyser des volumes considérables de données en toute confiance, ils ont toutes les clés pour obtenir des résultats plus significatifs, quoi qu’ils fassent. Tout cela commence par la mise en place d’une plateforme cloud interconnectée et fiable. »

Lorsque les données de différents services et fonctions (marketing, ventes, services, opérations et finances) sont intégrées, consolidées et recoupées avec la veille concurrentielle, les entreprises de taille moyenne sont mieux à même de justifier leurs investissements dans l’innovation produit. Elles peuvent alors établir le calendrier, les étapes, l’expertise et les technologies nécessaires pour concrétiser ces innovations d’une manière qui favorise la croissance.

Lorsqu’une entreprise obtient les bonnes données et sait comment en tirer les insights stratégiques dont elle a besoin, une culture de l’innovation commence à se mettre en place. Par exemple, les collaborateurs se mettent à surveiller étroitement les indicateurs de performance clés qui évaluent la demande de produits, la satisfaction client et les inquiétudes des services au regard des performances financières, de manière à pouvoir réagir plus rapidement et efficacement aux bouleversements.

 

Une innovation alimentée par les données pour garder une longueur d’avance

Les entreprises de taille moyenne ne peuvent pas se permettre de perdre du temps, ni de réaliser un projet d’innovation en se contentant d’espérer qu’il fonctionne. Mais ne pas innover est un risque encore plus grand dans un marché en constante évolution, rempli de clients qui en attendent chaque jour davantage.

EN SAVOIR PLUS AVEC FORBES – SAP BrandVoice : Comment les entreprises de taille moyenne peuvent relancer leur activité, se développer et s’étendre grâce aux technologies avancées – Par un invité SAP

Et lorsque les entreprises accordent davantage d’attention à la qualité et à l’impact de ces données, l’innovation n’est plus reléguée au second plan, comme une activité dont chacun sait qu’elle est nécessaire sans pouvoir s’y consacrer. Il devient possible d’allouer les ressources adéquates à explorer les opportunités, expérimenter de nouvelles idées et renforcer son avantage concurrentiel.

Si vous souhaitez approfondir la question, regardez la rediffusion du webinaire sponsorisé par Intel sur la manière dont les entreprises de taille moyenne peuvent favoriser une culture de l’innovation, dans le cadre de notre série #ConnectGrowWin.

 

Par Richard Howells, vice-président Gestion des solutions pour la Supply Chain numérique, SAP

The post L’innovation continue : le véritable levier de compétitivité des entreprises de taille moyenne appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Les modèles « en tant que service » font désormais partie de notre quotidien de consommateurs. À quand remonte la dernière fois que vous avez acheté un CD ou un DVD ? En ce qui me concerne, je ne m’en souviens pas. Toute ma famille utilise des plateformes de diffusion continue pour tout cela. Mes fils et moi commandons même nos lames de rasoir et nos crèmes de rasage selon un modèle similaire. Bien sûr, on dirait bien que c’est toujours moi qui paye, mais c’est un autre sujet !

Ce concept de vente d’un résultat en tant que service est communément appelé « servitization ». Hier simple modèle de consommation, c’est aujourd’hui une approche commerciale plus large, dans laquelle les dépenses d’investissement pour un équipement représentent de plus en plus un obstacle aux yeux de l’acheteur. Souvent, il est bien plus intéressant d’avoir accès au même équipement moyennant des frais mensuels, basés sur une utilisation à l’heure ou encore sur le débit.

Grâce à la servitization, les fabricants trouvent de nouveaux moyens de se rapprocher de leurs clients à travers des modèles économiques inédits. Pour ce faire, ils établissent une relation suivie, basée sur des transactions mensuelles alignées sur la consommation, le débit, la disponibilité ou l’exploitation des équipements plutôt que sur une transaction ou une vente ponctuelle attribuant la responsabilité de la maintenance au prestataire de services.

La servitization appelle des produits plus intelligents

Pour rendre la servitization possible, les équipementiers doivent concevoir des produits plus intelligents, capables de collecter les informations nécessaires à une facturation précise de leurs clients. Ils doivent également s’assurer que leurs équipements fonctionnent en permanence, et génèrent les données dont ils ont besoin pour prévoir les opérations de maintenance qui éviteront les pannes. Grâce à l’Internet des Objets (IdO), des capteurs emmagasinent les informations d’utilisation, de débit ou de performances pertinentes pour alimenter le processus de gestion en tant que service.

Grâce à un jumeau numérique de la machine, le fabricant et le client sont tous deux en mesure d’en surveiller les performances et d’utiliser les algorithmes d’apprentissage automatique afin d’évaluer le degré d’efficacité de son utilisation.

La valeur ajoutée de la servitization

Faire des services une part croissante et dynamique de votre activité, c’est accéder à de nouvelles sources de revenus et améliorer vos marges tout en évitant la banalisation et en érigeant la durabilité en véritable facteur de différenciation.

Prenons un exemple fictif. Soit une entreprise qui produit des machines à laver. Cette entreprise souhaite mettre en place un modèle de « lavage en tant que service », dans lequel elle facturerait ses clients en fonction du nombre de lavages réalisés chaque mois par leurs appareils.

Si, comme moi, le client fait partie d’une famille de cinq personnes, qui utilise la machine quotidiennement, il paiera davantage qu’une personne seule qui ne l’utilise qu’une fois par semaine. Le dénominateur commun est que la machine à laver doit fonctionner à pleine performance chaque fois que nécessaire.

Réinventer les modèles de services

Cette nouvelle offre de service requiert des contrats basés sur les résultats, qui incluent des mesures de performances des cycles de lavage et des accords de niveaux de service (SLA) garantissant une disponibilité à 100 %.

Afin de proposer une expérience immersive aux clients, une application peut leur fournir des données en temps réel sur leurs cycles de lavage : le moment où ils se terminent, combien de cycles ont été exécutés dans le mois, le coût, l’empreinte carbone, les performances de la machine…

Ces informations sont également utilisées par le fabricant et par une société de maintenance tierce pour gérer le cycle de vie complet des services, dans tous ses aspects : de l’installation à la facturation en passant par la garantie, l’émission de tickets de service, les interventions sur site, les réparations en atelier, la facturation et les solutions de financement.

Le modèle de service réduira également l’impact environnemental global de la machine en permettant une surveillance de la consommation d’énergie et d’eau, ainsi qu’une prise en charge de la mise hors service et du recyclage afin de maintenir l’équipement dans l’économie circulaire.

Des services précis afin de réduire les coûts et d’améliorer l’expérience client

La disponibilité des données relatives aux machines aide le fabricant et le partenaire de maintenance à repenser leurs opérations de gestion des services. Ils s’appuient sur une planification avancée basée sur l’IA pour hiérarchiser les interactions, améliorer l’utilisation des ressources et réduire les temps de déplacement.

Lorsqu’un technicien de service est dépêché pour réparer une machine, il doit avoir toutes les pièces nécessaires et toutes les informations de dépannage à portée de main via un appareil mobile. Il peut même être guidé dans son travail de réparation grâce à des lunettes à réalité augmentée. Le problème peut ainsi être résolu en une intervention, ce qui évite les longs délais provoqués par une commande de matériel après le rendez-vous.

Révolutionner le retour sur investissement en augmentant les performances des équipements et en allongeant leur durée de vie

Grâce à la visibilité accrue garantie par les capteurs d’IdO intégrés aux machines à laver, le fabricant est désormais en mesure d’assurer un suivi continu des performances de tous les équipements utilisés. Il peut ainsi surveiller leur état et leurs performances par rapport aux accords de niveau de service.

Le fabricant peut également tirer parti des données émises par toutes les machines et, grâce à des algorithmes d’intelligence artificielle, identifier des tendances ou encore anticiper le risque de défaillance. Il peut aussi proposer des opérations de maintenance préventive afin de limiter les pannes et de renforcer le service client. Enfin, ces informations peuvent être transmises aux équipes de recherche et de développement afin qu’elles éliminent tout problème récurrent au moment de concevoir la prochaine génération de la machine.

Un cycle de service de lavage vraiment complet

Il est évident que le modèle économique « en tant que service » perdurera – dans nos vies privées bien sûr, mais aussi de plus en plus au sein des entreprises modernes, auxquelles il permettra de dégager des gains dans tous les domaines.

Pour découvrir comment tracer votre voie vers une gestion de service d’excellence, téléchargez le récent livre blanc de Copperberg intitulé « Transformer la gestion des services pour une servicisation fructueuse ».

 

Richard Howells, Vice-président ERP et Supply Chain numérique chez SAP

The post Il est grand temps de prendre la « servitization » – les nouvelles prestations de services – au sérieux appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

WALLDORF — SAP SE (NYSE: SAP) today announced its financial results for the fourth quarter and fiscal year ended December 31, 2022.

SAP Announces Q4 and FY 2022 Results

  • All financial outlook metrics met in FY 2022
  • Cloud revenue up 33% and up 24% at constant currencies in FY 2022. Q4 S/4HANA cloud revenue further accelerates, up 101% and up 90% at constant currencies
  • Current cloud backlog exceeds €12 billion, up 27% and up 24% at constant currencies
  • IFRS cloud gross profit up 38%, non-IFRS cloud gross profit up 37% and up 28% at constant currencies in FY 2022
  • IFRS operating profit flat, non-IFRS operating profit down 2% and down 7% at constant currencies in FY 2022. Q4 IFRS operating profit up 17%, non-IFRS operating profit up 5% and up 2% at constant currencies
  • 2023 outlook anticipates accelerating topline and double-digit non-IFRS operating profit growth
  • Targeted restructuring in 2023 reflects focus on strategic growth areas and accelerated cloud transformation
  • SAP has decided to explore a sale of its stake in Qualtrics

“SAP is more resilient than ever. We end 2022 with continued strong cloud momentum and a return to operating profit growth in the fourth quarter, marking an important inflection point. Heading into 2023, this gives us great confidence in delivering on our promise of accelerating topline and double-digit non-IFRS operating profit growth. As we enter the next chapter of SAP, I want to thank Luka for his great partnership on this journey.”

Christian Klein, CEO

“In my 37th and final earnings for SAP, I am proud that the SAP team is announcing excellent results and continued cloud momentum. We are on track to deliver our growth and profitability commitments for 2023. I am extremely confident in the continued success of SAP’s most exciting transformation in its history. Thank you to the wonderful SAP family that I have been part of for 27 years.”

Luka Mucic, CFO

 

Read the Quarterly Statement

The post SAP Announces Fourth Quarter and Full-Year 2022 Results appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Paris, le 20 janvier 2023 – SAP France distingué à deux reprises pour sa qualité d’employeur depuis 2023.

SAP France est fier d’annoncer son classement parmi le TOP 10 des employeurs Best Places to Work de Glassdoor 2023. Au sein de ce même classement, SAP France se hisse à la deuxième place des acteurs High Tech.

L’entreprise se distingue également de nouveau, et pour la 10ème année consécutive par son classement à Top Employer France 2023 en occupant la 8ème place.

Cette année encore, le Groupe a su se démarquer comme étant un employeur attractif et respectueux d’un environnement de travail où la culture du Talent est devenue la véritable pierre angulaire du management, SAP France ayant fait de plusieurs domaines un socle managérial pour attirer et sauvegarder ses Talents.

En offrant un environnement de travail flexible, qui contribue grandement à l’équilibre vie professionnelle / vie personnelle, et en assurant des engagements forts en matière de Diversité et d’Inclusion, dont notamment la valorisation de l’intergénérationnel et l’accompagnement des salariés aidants, SAP France ne cesse d’améliorer les conditions de travail de l’ensemble de ses équipes.

L’expérimentation de « New ways of Work » démontre à nouveau cette volonté d’aller toujours plus loin pour offrir aux Talents une culture et des engagements alignés avec leurs besoins et leur temps.

Autre facteur souligné des salariés, l’engagement de SAP France en tant qu’entreprise responsable, avec notamment son programme de QVT, sa politique de Mécénat et de mentoring de startups sociales.

En qualité de géant de la Tech Européenne, nous devons montrer l’exemple. Nous devons transmettre et partager nos technologies business avec des entreprises qui en ont besoin. Nous devons offrir à nos Talents un environnement de travail qui puisse prendre en compte les évolutions sociétales, tout en étant à même de travailler l’individualité de chacun. Je m’étais engagé il y a quelques mois à offrir un environnement de confiance au business comme aux équipes SAP France. Ces distinctions prouvent que nous sommes sur la bonne voie, et qu’il nous faut continuer à privilégier une culture responsable du Talent”, indique Olivier Nollent, Président Directeur Général de SAP France.

The post SAP France récompensé à deux reprises pour son engagement en qualité d’employeur d’exception appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Levallois-Perret, le 17 janvier 2023. SAP SE (NYSE: SAP) annonce la nomination d’Olivier Nollent au poste de Président Directeur Général de SAP France, l’une des plus importantes filiales commerciales de SAP. Il succède à Gérald Karsenti qui se consacre à de nouveaux projets.

Arrivé chez SAP France en avril 2018 au poste de Directeur Général puis nommé Président Directeur Général en 2020, Gérald Karsenti aura contribué de façon importante à la visibilité de SAP sur le marché français en plaçant toujours le succès des clients et des partenaires au cœur de sa mission.

Alors que SAP France a conduit ces derniers mois de nombreux et importants chantiers de transformation, tant auprès de ses équipes que de ses clients et partenaires, la nomination d’Olivier Nollent va permettre à SAP France de poursuivre la dynamique commerciale engagée et d’accélérer la transition de l’entreprise vers le Cloud en France.

Cette nomination s’inscrit dans la continuité des efforts de développement menés auprès des clients et de tout l’écosystème de partenaires dans leurs grands enjeux de transformation digitale, ainsi que dans la poursuite de la croissance de SAP en France via le développement de ses activités Cloud auprès des grands comptes et PME/ETI.

« Depuis son arrivée au sein de SAP, Olivier a su très rapidement démontrer sa pertinence et son efficacité au service des engagements de SAP France, des clients, des partenaires et des équipes. Son parcours orienté Cloud, son expérience des grands acteurs de notre secteur, sa solide expertise dans le développement du business de la Tech, tout comme ses qualités de leader largement éprouvées depuis son arrivée, sont autant d’atouts dont nous avions besoin pour consolider les fondations de SAP France et retrouver la place qui doit être la nôtre sur le marché. Je remercie également Gérald d’avoir guidé SAP France sur la voie de la transformation de façon remarquable ces 5 dernières années » souligne Rohit Nagarajan, Président EMEA North de SAP.

« Je remercie Gérald pour son accompagnement au cours des dix derniers mois. Je suis très honoré de la confiance qui m’est faite et des responsabilités qui me sont confiées. Mes expériences passées dans de grandes entreprises Tech américaines m’ont permis d’acquérir une expertise reconnue notamment dans l’accompagnement de la transformation des business models de nos clients. Cette nomination intervient suite à une année réussie, tant sur les projets menés auprès des équipes SAP, que sur le renforcement de la relation avec nos clients et partenaires en tant que premier acteur de la Tech européenne. C’est dans cette optique que s’inscrit ma vision pour SAP France. », indique Olivier Nollent.

The post SAP annonce la nomination d’Olivier Nollent au poste de Président Directeur Général de SAP France appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Dans un marché très concurrencé et post Covid, la gestion et la distribution de matériel médical est en pleine transformation. Les ambitions de Quipment, premier fournisseur d’équipements médicaux pour les laboratoires du monde entier, s’incarnent sur plusieurs aspects dont celui de faire évoluer ses processus métiers ainsi que ses outils.

Paris, le 15 décembre 2022. SAP, leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, accompagne Quipment, acteur mondial de la fourniture de matériel médical pour les essais cliniques, dans le choix de leur nouvel ERP.

Avec des processus et des normes internationales de plus en plus complexes et exigeantes, mais aussi face à des volumes industriels, Quipment pourra désormais s’appuyer sur RISE S/4HANA Public Cloud pour automatiser tous ses processus métiers, de la Finance à la comptabilité, en passant par la gestion des stocks, la maintenance et la configuration de ces matériels, et ce dans plusieurs pays.

L’adoption de la solution permettra une digitalisation du Système d’Information pour anticiper les changements de business model – Quipment souhaitant aller toujours plus loin dans l’économie circulaire. Elle permettra également d’assurer un accompagnement adapté à la croissance de Quipment. La startup pourra enfin bénéficier de la simplicité d’usage grâce aux processus standardisés du dispositif SAP.

Ce partenariat a été rendu possible par la capacité des équipes Grow by SAP – un programme d’accélération pour les entreprises à forte croissance – à répondre à l’ensemble des besoins de Quipment, de leur proposer un accompagnement sur-mesure pour assurer aux équipes une adoption optimale et leur permettre de répondre à la demande croissante du marché. La proposition de valeur de Grow by SAP permet d’accélérer l’activité de Quipment de la manière la plus durable et efficace qui soit grâce à une solution SaaS et à un ensemble de mesures couvrant notamment le Marketing, la Finance, le Growth hacking, etc.

Aussi, l’association de SAP et WYNSYS, l’un des partenaires les plus performants de SAP, permet à la startup de restructurer ses processus et de profiter pleinement des avantages de la solution dans le Cloud.

Pierre Malingrey, Président et cofondateur de Quipment précise :  « La robustesse de la solution Rise S/4HANA nous a convaincu pour venir répondre à nos objectifs d’automatisation. Cela va permettre à Quipment de réaliser les gains d’efficacité significatifs et nous permettre de maintenir notre avance sur ce marché en phase d’industrialisation. Au-delà de cette efficience, la solution RISE S/4HANA va doter Quipment de gains capacitaires très importants pour absorber les volumes croissants de notre marché.

Lahcen Binoumar, Head of Middle Market chez SAP France déclare : « Collaborer avec une startup comme Quipment est une opportunité exceptionnelle pour SAP de démontrer les capacités et la flexibilité de ses solutions. Le secteur de l’approvisionnement des produits médicaux et de laboratoire répond à une exigence intrinsèque à Quipment que SAP et WYNSYS ont à cœur de soutenir. Notre solution permettra ainsi à Quipment de conforter sa position de leader sur son marché et de continuer à se développer à l’international, tout en modernisant ses processus. »

 

A propos de Quipment

Quipment est une entreprise française qui fournit et déploie du matériel médical dans le monde entier pour permettre à l’industrie pharmaceutique de valider des nouvelles thérapies en développement. Le matériel, déployé dans plus de 40 000 hôpitaux et plus de 110 pays, permet de suivre l’évolution de la santé de cohortes de patients sous traitement, et ainsi de valider et quantifier les bénéfices thérapeutiques des nouveaux traitements en cours de développement. Quipment permet de déployer des études cliniques de manière plus rapide, plus fiable, plus flexible et moins coûteuse, permettant ainsi à la recherche d’apporter plus rapidement et à moindre coût des nouveaux traitements aux patients. Avec 150 salariés et des centres logistiques aux Etats Unis, en Europe et au Japon, Quipment est le leader mondial de ce marché. Quipment est particulièrement sensible aux enjeux de responsabilité d’entreprise et agit avec une conscience très forte de ses impacts dans ses choix et sa gouvernance.

Pour plus d’informations, visitez : https://www.quipment.fr/

The post SAP accompagne Quipment grâce à RISE S/4HANA Public Cloud appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

SCM est un industriel indépendant né de la cession de la filiale oil and gas du groupe américain TE Connectivity. Suite à cette transaction, l’entreprise sarthoise avait un an pour basculer vers son propre ERP. Elle a opté pour une offre cloud SAP S/4HANA aux fonctionnalités resserrées sur l’essentiel, afin de tenir des délais de mise en place particulièrement courts. Avec l’aide des équipes de delaware, SCM a atteint ses objectifs en à peine 6 mois.

Une société presque centenaire, qui retrouve son indépendance

Systèmes et Connectique du Mans – SCM – conçoit, produit, teste, livre et installe des connecteurs électriques de puissance et optiques adaptés à des environnements extrêmes de corrosion, température et pression. La société travaille principalement pour des acteurs du secteur pétrolier et gazier (elle équipe notamment des plates-formes d’extraction en mer), mais également des clients des secteurs de la défense, du transport ferroviaire et de l’aéronautique. Elle s’appuie sur un site industriel moderne de 14.400 m². SCM emploie aujourd’hui environ 140 personnes pour un chiffre d’affaires annuel de 20 millions d’euros.

L’histoire de SCM est intimement liée à celle de CKB (Carier Kheops Bac), entreprise reprise en 2012 par TE Connectivity. Lorsque le groupe américain annonce la délocalisation des activités de sa filiale, les salariés reprennent la main, avec le lancement de SCM en avril 2021. La filiale oil and gas de TE Connectivity utilisait l’ERP SAP ECC 6 du groupe. Suite à la cession d’actif, SCM disposait d’une année pour mettre en place son propre ERP.

Autre contrainte, la nécessité de basculer d’un système SAP conçu pour une multinationale et massivement customisé vers une solution plus simple, adaptée à une ETI française. Le tout dans un contexte de fin de vie programmée de SAP ECC.

Un projet mené à bien dans des délais records

Sur les conseils de SAP et de l’intégrateur delaware, SCM opte pour une migration vers une solution SAP cloud de dernière génération, au travers de l’offre RISE with SAP S/4HANA. Le projet démarre le 22 septembre 2021. Afin de limiter la conduite du changement, l’entreprise choisit de rester dans un premier temps en SAP GUI, comme le permet l’offre RISE with SAP S/4HANA. Les impacts du changement d’ERP sont ainsi minimisés. Un important travail de nettoyage des données a également été mené, afin de se concentrer sur les seules informations nécessaires au fonctionnement de la nouvelle structure.

Le démarrage du nouveau système a été effectif le 26 mars 2022, après seulement 6 mois de travaux. SCM a pu commencer à utiliser immédiatement son ERP SAP S/4HANA : émission des premières factures, enregistrement des réceptions de produits et des mouvements de stock, saisie des validations de qualité, etc. Aucun incident majeur n’a été remonté depuis ce lancement express de la solution SAP S/4HANA en mode cloud.

Satisfait de l’accompagnement proposé par delaware tout au long du projet, SCM a décidé de lui confier la tierce maintenance applicative de son ERP pour les 15 prochains mois. Dans un premier temps, la société s’appuiera sur cette TMA pour stabiliser son système d’information SAP et lui apporter quelques premières améliorations.

« Nous sommes passés d’un groupe international disposant de 90 sites dans le monde à une entreprise industrielle sarthoise d’un peu plus de 100 personnes. Il nous fallait un ERP adapté à ce nouveau contexte : une solution plus simple, capable d’aller à l’essentiel. Au cours du projet, nous avons pris le temps de déterminer quelles fonctionnalités nous étaient vraiment utiles et lesquelles étaient de l’ordre du confort (des sujets que nous étudierons ultérieurement) ce qui nous a permis de mettre en place notre nouvel ERP dans des délais particulièrement courts, » témoigne Frédéric Kleindienst, président de SCM.

« SCM est l’exemple d’une entreprise qui souhaite bénéficier de la force d’un ERP tel que celui de SAP sans y ajouter les contraintes. La nouvelle version S/4HANA Cloud de SAP est adaptée aux PME/ETI car elle allie une couverture fonctionnelle standard riche et une simplicité de gestion et d’utilisation de par son prisme SAAS. La binôme SAP – delaware permet de faire bénéficier à SCM d’un système reconnu partout dans le monde tout en y ajoutant la flexibilité et la réactivité attendues par une PME/ETI. C’est le modèle SAP tel que nous le définissons pour les 15 prochaines années à venir » déclare Lahcen Binoumar, Head of General Business, SAP France.

« Ce projet était un énorme challenge. Nous avons réussi à basculer vers l’ERP SAP S/4HANA en seulement 6 mois, alors qu’il faut habituellement entre 10 et 12 mois. Nous avons pu compter sur les équipes de delaware, qui nous ont accompagnés tout au long de ce projet, mais aussi sur nos équipes internes et nos utilisateurs, particulièrement matures sur l’environnement SAP. Afin de tenir les délais, nous avons opté pour un ERP resserré, que nous améliorerons par la suite, en lui ajoutant des fonctionnalités qui nous permettront de travailler encore plus confortablement, » détaille Mickaël Medard, directeur de programme, et supply chain Management, SCM

« Nous avons su mettre en place une solution de pointe, dans des délais particulièrement courts. Nous entretenons des relations étroites avec nos clients, afin de mieux comprendre leurs besoins et de leur apporter un service de qualité. La symbiose a ici été parfaite entre nos équipes, celles de SAP et de SCM. En optant pour l’offre RISE with SAP S/4HANA, la bascule vers le cloud a par ailleurs été grandement simplifiée, SAP devenant le point de contact unique pour la contractualisation, la mise à disposition et le maintien en conditions opérationnelles des infrastructures cloud, » résume Fatsah Nasri, chef de projet et Aymeric Fosset, Partner, delaware France.

The post delaware delaware accompagne SCM dans son adoption de l’ERP intelligent SAP S/4HANA en mode cloud appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Paris, le 19 septembre 2022 – SAP SE (NYSE : SAP) a lancé l’édition 2023 de son programme d’accélération de start-ups axé sur le futur du Retail and Consumer Products. Pour cette 8ème édition de SAP.iO Foundry Paris, 12 start-ups internationales ont été sélectionnées par un jury composé d’experts SAP, de partenaires, de clients et de fonds d’investissement. Ces start-ups ont été reconnues comme étant précurseur sur ce thème de “Future of Retail and Consumer Products ”, un thème plus que jamais d’actualité avec les bouleversements des usages et du parcours client observé durant la crise sanitaire, et qui résulte de l’accélération de la numérisation de toutes les entreprises.

SAP.iO Foundry Paris, véritable incubateur de SAP en France, a déjà aidé plus de 65 start-ups à développer leur business ou leur solution. En quatre ans, SAP a atteint l’objectif fixé avec le gouvernement français visant à soutenir l’économie des start-ups lors sur sommet #ChooseFrance.

Ce nouveau programme a pour objectif de proposer aux entreprises du Retail et Consumer Products un accompagnement de leur stratégie digitale, grâce aux solutions de ces 12 start-ups, au rythme de l’évolution technologique autour de deux enjeux clés :

  • Proposer à leurs clients une expérience d’achat améliorée et différenciante
  • Assurer la traçabilité et l’authenticité de leurs produits

Odilia von Zitzewitz, Interim Lead SAP.iO Foundry Paris déclare : “SAP.iO est un accélérateur de start-ups formidable et engagé. Pour cette édition, l’accent a été mis sur le Retail laissant place à des innovations de choix, et qui répondent aux enjeux prédominants des acteurs de ce secteur clé. Nous sommes très fiers d’accompagner cette nouvelle promotion de start-ups !”

Au cours des 5 prochains mois, les start-ups auront accès à un mentorat personnalisé de la part des dirigeants de SAP France, à une exposition à la technologie SAP® et aux interfaces de programmation d’applications (API), ainsi qu’à des opportunités de collaboration avec des clients SAP du monde entier.

Les start-ups suivantes participent au programme SAP.iO Foundry Paris :

Sorga Technology

La mission de Sorga Technologie est d’accompagner les marques retail dans leur innovation digitale en proposant une solution à faible consommation d’énergie assurant la transparence et la traçabilité de leurs produits

https://sorga.org/

Arianee

La mission d’Arianee est de fournir aux entreprises des solutions simples pour établir des relations directes avec les consommateurs, respectueuses des données des utilisateurs et indépendantes des grandes plateformes technologiques.

https://www.arianee.org

 

CollectID

CollectID permet de garantir l’authenticité d’un produit, l’amélioration de l’expérience phygitale, ou encore l’établissement d’un canal de communication direct entre les marques . Une solution qui garantit l’authenticité et l’unicité des produits tout en rapprochant les marques de leurs clients.

https://www.collectid.com/

DIAKSE

Diakse développe et commercialise une solution de création de showrooms virtuels dans le métavers avec un objectif : permettre aux marques de mieux communiquer sur leurs produits et ainsi les aider à augmenter leurs ventes.

www.diakse.com

 

Foodetective

Foodetective est une plateforme de gestion et une infrastructure (API) de l’industrie F&B. Les entreprises utilisent Foodetective pour automatiser leurs opérations, simplifier leur administration, augmenter leurs revenus en ligne et accélérer les nouvelles opportunités commerciales. business.foodetective.co

LIVEBUY GmbH

LIVEBUY est une solution d’achat en direct pour les détaillants leaders du marché,

qui fournit à la fois la technologie et les bons créateurs pour construire une plateforme de contenu réussie au sein des boutiques en ligne.

https://www.livebuy.io/

  

Priceloop

Priceloop a développé une IA permettant de faciliter et d’automatiser les processus de tarification, proposant les meilleurs prix en tenant compte de tous les paramètres essentiels.

https://priceloop.ai/

 

Replika Software

Le logiciel Replika est une solution de vente sociale clé en main. Replika permet aux marques d’activer un réseau de vendeurs sociaux avec une entreprise clé en main pour inspirer sur les médias sociaux, vendre en ligne et se connecter avec les clients.

www.replikasoftware.com

  

Shopreme GmbH

Shopreme GmbH Développe notamment une technologie appelée « Scan & Go » qui transpose les avantages des achats en ligne dans les vrais magasins (rapidité, facilité de paiement, recommandations personnalisées, listes de course partagées…).

https://www.shopreme.com/

 

SmartPixels

SmartPixels fournit un outil de configuation et de visualisation de produits en 3D, l’objectif est d’aider les marques de mode et de luxe à créer des expériences personnalisées et interactives en ligne et en magasin.

https://www.smartpixels.fr/

 

SMARTZER LTD

La plateforme de Smartzer est utilisée par les marques pour transformer leurs vidéos et leurs flux en direct en expériences interactives et exploitables, ce qui leur permet d’obtenir un retour sur investissement direct du contenu et de mesurer les données détaillées des interactions vidéo.

www.smartzer.com

 

YZR

YZR automatise et accélère tous les projets de données textuelles de ses clients grâce à une solution puissante basée sur le traitement automatique des langues.

https://www.yzr.ai/en/

The post SAP.iO Foundry Paris lance la nouvelle édition de son programme consacré aux start-ups sur le thème de « Futur of Retail » appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com