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Guide pratique de sécurité des conteneurs

Vous cherchez à mieux comprendre la sécurité des conteneurs ? Découvrez ce guide pratique qui vous aidera à protéger vos applications et vos données !

Lire le rapport : Rapport sur les tendances des conteneurs DZone 2023

Avec l’essor de l’architecture conteneurisée, les entreprises réalisent l’importance croissante de la sécurité des conteneurs. Bien que les conteneurs offrent indéniablement de profonds avantages, tels que la portabilité, la flexibilité et l’évolutivité, ils introduisent également des défis de sécurité sans précédent. Dans ce rapport, nous aborderons les principes fondamentaux et les stratégies de sécurité des conteneurs et nous nous pencherons sur deux méthodes spécifiques : la gestion des secrets et le patching. De plus, nous examinerons les outils et les techniques pour sécuriser les clés, les jetons et les mots de passe.

La gestion des secrets est une pratique essentielle pour assurer la sécurité des conteneurs. Les bases de données cryptographiques sont un moyen efficace de stocker et de gérer les secrets. Les bases de données cryptographiques peuvent être utilisées pour stocker des informations sensibles telles que les clés d’accès, les jetons d’authentification et les mots de passe. Les bases de données cryptographiques peuvent également être utilisées pour générer des clés et des jetons dynamiques, ce qui permet aux applications d’accéder aux données sensibles sans avoir à stocker les informations dans le conteneur.

Le patching est une autre pratique essentielle pour assurer la sécurité des conteneurs. Les outils de patching peuvent être utilisés pour mettre à jour le système d’exploitation et les applications logicielles installées dans le conteneur. Les outils de patching peuvent également être utilisés pour vérifier la présence de vulnérabilités et appliquer les correctifs appropriés. Les outils de patching peuvent également être utilisés pour surveiller l’activité du conteneur et détecter toute activité suspecte.

En conclusion, la sécurité des conteneurs est une préoccupation croissante pour les entreprises. La gestion des secrets et le patching sont des pratiques essentielles pour assurer la sécurité des conteneurs. Les bases de données cryptographiques peuvent être utilisées pour stocker et gérer les secrets, tandis que les outils de patching peuvent être utilisés pour mettre à jour le système d’exploitation et les applications logicielles installées dans le conteneur. De plus, les outils de patching peuvent également être utilisés pour surveiller l’activité du conteneur et détecter toute activité suspecte.

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Today’s digital businesses are expected to innovate, execute, and release products at a lightning-fast pace. The widespread adoption of automation tools, when coupled with DevOps and DevSecOps tools, is instrumental to these businesses achieving increased developer velocity and faster feedback loops. This eventually helps in shortening release cycles and improving the product quality in an iterative manner.

Though the shift to microservices and containerized applications and the adoption of open source are helping developers ship faster, they also pose challenges related to compliance and security. As per the Hidden In Plain Sight report from 1Password, DevOps and IT teams in enterprises continually face challenges posed by leakage of secrets, insecure sharing of secrets, and manual secrets management, amongst others.

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Connect all your Git secrets to the Jenkins pipeline.

It’s a common practice to encrypt the secrets/credentials we use in our code and then save it in some secure place. We have a number of options to achieve this, with tools like Vault, Git-crypt, and more. However, git-secret is one simple awesome tool that we can use to store our secrets in our Git repo. Git secret uses gpg for encryption and decryption of secrets. 

Here’s how git-secret works. Go to the folder in your repo in which you have files to encrypt. Then, run git init && git secret init. This would initialize your .gitsecret folder. Then you run git secret tell $email , and if you want other users to decrypt the secrets file you have to import their gpg public key and again run git secret tell $otheruseremailid . Now you can run git secret add $secretfilename and git secret hide,which creates $yoursecretfile.secret file, which is an encrypted secret file.

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In part one of this series on Best Practices for Building and Designing Containers for Kubernetes, we looked at how to separate config from code in Kubernetes and why you need to do that. Specifically, we examined how config maps and environment variables are defined and configured. In this post, we continue that important discussion with a look at secrets management, what secrets are, and how you manage them.

Managing Public Configuration Information in Kubernetes

Not all configuration information is safe to keep out in the “public” and many, if not most, Kubernetes-hosted workloads need usernames/passwords, tokens, keys or other private information to securely connect to other services. There are a variety of options worth exploring here, each with its own set of positives and negatives.

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