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Combler les lacunes en matière de compétences est une responsabilité permanente des ressources humaines. Et à mesure que les conditions sociétales, business et macroéconomiques changent, les RH doivent réimaginer la force de travail de demain. Car le sol se dérobe constamment sous leurs pieds. Aujourd’hui, avec la crise du COVID-19, la vitesse à laquelle les RH doivent déployer les initiatives d’upskilling et de reskilling va en s’accélérant.

Upskilling et reskilling, de quoi parle-t-on ?

  • Définition de l’Upskilling (en français, « perfectionnement professionnel ») : former les salariés dans le but d’améliorer leurs performances dans leurs fonctions actuelles.
  • Définition du Reskilling (en français « requalification ») : former les salariés en vue d’une nouvelle fonction, en particulier lorsque les objectifs de l’entreprise ont changé.

La formation, une priorité renforcée par le contexte COVID-19

Malheureusement, il n’existe aucun plan reproductible pour une formation réussie. Chaque entreprise a des besoins spécifiques qui évoluent avec le temps. Dès mars 2020, les e-commerçants se sont empressés de recruter et de former (upskilling), afin de répondre à la hausse de la demande. Les services publics étaient, quant à eux, déjà engagés dans le reskilling. Avec l’introduction de technologies intelligentes permettant d’automatiser certaines tâches répétitives, ils ont pu donner une responsabilité accrue ou plus stratégique à leurs employés. Mais bien que l’intensité et la nature des efforts de formation aient varié d’un secteur à l’autre, le constat est général : le COVID-19 a forcé la main à toutes les entreprises. Reskilling et upskilling ne sont plus des mots à la mode : les efforts doivent être entrepris, et rapidement.

De nombreuses études montrent que les entreprises mènent une vraie guerre des talents, recrutant agressivement des candidats aux compétences identiques ou similaires. Pour certains postes il pourrait pourtant être plus économique, rapide et efficace de former les collaborateurs. Afin qu’ils puissent occuper des fonctions supérieures ou entièrement nouvelles. Mais il ne s’agit pas de choisir entre recruter et former. Ce qu’il faut, c’est un recrutement efficace associé à une stratégie de formation. Car investir dans les collaborateurs apporte plusieurs avantages : une réduction du turn-over ainsi qu’une amélioration de la productivité et de l’innovation.

HXM: The Importance of Continuous UpSkilling and Reskilling

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HXM: The Importance of Continuous UpSkilling and Reskilling

Aujourd’hui l’urgence est plus forte que jamais. S’engager dans l’upskilling et le reskilling peut être la clé de la survie à la crise du COVID-19. Aussi bien pour les jeunes entreprises qui doivent réussir rapidement que pour les organisations installées qui recherchent de la stabilité et une croissance à long terme. La difficulté étant que, maintenant et dans un avenir prévisible, les RH devront trouver le juste équilibre entre embauches, formations et licenciements. Et ce à chaque heure de la journée.

Comprendre les besoins organisationnels et être capable d’y répondre rapidement sera la clé, non seulement de la carrière des professionnels RH mais aussi du succès des organisations qui les entourent.

Du télétravail à l’upskilling et reskilling

Arrêtez-vous un instant et pensez à quel point tout a changé en seulement quelques mois. À la fin de l’année 2019, si un DRH était entré dans le bureau du PDG et lui avait recommandé de commencer à planifier un futur avec des salariés majoritairement en télétravail, on l’aurait sans doute sèchement renvoyé à son bureau. Aujourd’hui le télétravail est devenu normal, si ce n’est la norme.

Mais le principal enseignement est que les organisations se sont révélées plus agiles et réactives que prévu. Et si chacun a été capable d’adopter le télétravail tout en restant efficace, pourquoi les entreprises n’arriveraient-elles pas à former les employés à de nouvelles compétences, rapidement, afin d’atteindre les objectifs fluctuants de l’organisation ? L’upskilling et le reskilling dans un environnement de travail à distance est un défi mais également une nécessité. Et gardons aussi à l’esprit que l’apprentissage « sur le tas », par la pratique, fera partie du chemin. En effet, trouver l’équilibre demande aujourd’hui une adaptation continue, voire même à la volée.

Pensez-y de cette manière : il a fallu des décennies avant que les téléphones portables ne puissent être glissés dans nos poches. Puis le smartphone est arrivé. Aujourd’hui, une application ou un jeu mobile peuvent devenir viraux à l’échelle mondiale, en quelques minutes.

La fonction RH connaît la même évolution rapide. Il y a quelques décennies le passage des documents papier aux fichiers informatiques s’opérait lentement. Aujourd’hui les RH ont délégué les tâches répétitives à des intelligences artificielles ou à des portails en ligne et élaborent des stratégies d’e-learning et de modélisation des effectifs. Si leur fonction est d’aligner les objectifs de formation sur les besoins de l’entreprise, alors les RH ont, comme tout le monde, besoin d’upskilling. Une stratégie de formation pertinente et agile, prête à être déployée à tout moment, est la carte que les professionnels RH ont en main avec leur siège à la table des décisions.

L’avenir du travail est là

Pour les RH, le défi n’est pas simplement d’identifier les lacunes en matière de compétences et de décider s’il faut embaucher ou former. Il s’agit de quantifier l’impact, revoir le plan d’action, puis de quantifier encore, etc. Dans un monde où chaque décision repose sur un calcul de ROI, même subjectif, il est essentiel pour les RH de relier les initiatives de formation aux objectifs immédiats et long terme de l’entreprise. Prenons deux exemples :

  • Delaware Consulting (1700 employés), en implémentant des solutions logicielles de formation robustes, a pu réaliser des économies grâce à un suivi plus précis de ses dépenses. Delaware a ainsi réduit de 5 % les coûts liés aux annulations de formations et de 12 % le temps consacré à l’administratif RH.
  • Newcrest Mining, en Australie, a utilisé des solutions logicielles similaires pour économiser 1,6 million de dollars US en frais de formation au cours des six premiers mois et a également dégagé 3,2 millions de dollars d’économies par gains de productivité la première année.

Le défi, cependant, est le temps : quand et comment les employés peuvent-ils être formés ? C’est particulièrement délicat lorsque l’on sait qu’un employé dispose en moyenne de 14 minutes de temps libre par semaine pour se former. Trouver un moyen d’ajouter une formation à la journée de travail est plus compliqué que de décider s’il faut ou non former. De plus, toute initiative d’upskilling ou de reskilling doit plus largement s’inscrire dans une planification stratégique des effectifs.

Cela signifie que certains salariés seront sélectionnés pour développer de nouvelles compétences quand d’autres seront laissés de côté. Les employés sont intelligents et savent ce qui se passe autour d’eux. C’est pourquoi les initiatives de formation doivent être accompagnés d’un plan de communication solide. Afin que les rumeurs, notamment sur les réductions d’effectifs, ne s’ébruitent pas. Toute stratégie de reskilling ou d’upskilling doit également être associée à un plan de communication interne solide. Un domaine où les RH assument une responsabilité croissante. Dans le cadre d’un vaste effort à l’échelle de l’entreprise, il est essentiel de veiller à ce que chacun, qu’il participe ou non à l’effort de requalification, comprenne les objectifs de l’organisation et la manière dont son travail sera affecté.

Les pièges et obstacles de l’upskilling et du reskilling

Il est également important de garder en tête différents scénarios. Comme la possibilité pour les salariés requalifiés d’exporter leurs nouvelles compétences ailleurs, voire chez un concurrent. Le turn-over est toujours une préoccupation, même en temps normal. Mais si l’attrition peut affecter le ROI associé à un effort de reskilling ou d’upskilling, l’alternative consistant à ne pas former, et donc à ne pas répondre à l’évolution du contexte, serait bien pire.

C’est pourquoi il est essentiel de relier directement les efforts de formation aux résultats de l’entreprise. Par exemple : si l’objectif est de stimuler les ventes en formant de nouveaux commerciaux, il faut mesurer la hausse des ventes. Cherchez des partenaires dans l’entreprise qui peuvent s’appuyer sur des outils ou localisez des parties prenantes pour vous aider à mesurer l’impact de votre travail. Les craintes d’attrition ou de perte de temps équivalent, en fin de compte, à une paralysie par l’analyse. S’engager dans le reskilling et l’upskilling est une question de capacité de l’entreprise à faire face à la concurrence. C’est pourquoi les RH ne doivent pas être considérées comme une entité administrative mais comme une entité pouvant s’attaquer de front aux déficiences de l’entreprise.

Être compétitif dans le contexte business moderne exige à la fois de réimaginer la fonction RH et de créer une culture de l’apprentissage. L’un ne va pas sans l’autre. Les efforts de formation exigent également des RH qu’ils aient une stratégie claire sur les personnes qui recevront de nouvelles compétences et sur ce qu’elles sont censées apporter à l’avenir. Enfin, il faut tenir compte de la manière dont la technologie peut évoluer et avoir un impact sur l’efficacité de tout effort de formation. Un système de gestion de la formation (LMS) moderne peut vous aider à atteindre vos objectifs d’upskilling et de reskilling.

Alors que la pandémie de COVID-19 est un facteur de complication, il faut considérer la formation comme un facteur clé de stabilité et de croissance à long terme. Qui aide à pivoter face aux défis. Le COVID-19 a accéléré les tendances déjà en place et a mis en évidence ce que les entreprises savaient déjà : les organisations dont vous entendrez parler comme des « success stories » dans quelques années seront celles qui se seront activement engagées dans l’upskilling et reskilling de leurs salariés en vue des défis à venir. En raison de la pandémie, les entreprises doivent simplement évoluer à un rythme plus rapide. Et pour ce faire, elles doivent, de même que leurs employés, être plus « smart ».

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

If you were paying close attention to your IT department around the 8th of December, you might have heard some quiet sobbing and the occasional wail of, “Why? Why?! WHY?!” Now, it was the year 2020, so this might have seemed normal to you, but it’s actually something of a problem that could affect your business: CentOS is pretty much dead.

For the non-total-nerds among us, here’s the skinny: CentOS is a Linux-based operating system, typically used on servers. CentOS has been incredibly popular, and quite a few businesses run on it. But now, that’s changing.

CentOS is a Linux-based operating system, typically used on servers…But now, that’s changing

CentOS used to be released in thoroughly tested versions, the latest being CentOS 8. CentOS 8 was released in September of 2019 and was supposed to be supported for ten years. Now, it’s been decided that CentOS will no longer have versioned releases, opting for a rolling-release style of updates. That means there’ll be one version that constantly gets new software.

That’s cool in theory, but it means the operating system will be less stable overall. Essentially, it’s going to be used as a development branch of / testing ground for Red Hat Enterprise Linux and is no longer its own OS. If you have CentOS-based servers, you should migrate to another OS sooner rather than later.

And I just got my own CentOS-based VPS set up the way I wanted it.

Wait, What Does Red Hat Have To Do With This?

Here’s the short, short version of the history of CentOS: Red Hat (an OS developer) has two Linux distributions of its own and has had for a long time. There’s the free and community-focused Fedora and the business-focused highly expensive Red Hat Enterprise Linux (AKA RHEL).

Funny story: RHEL, despite its expensive licenses, is still mostly made from open source code, which anyone can access and use. And it’s a good OS, particularly for people who like stability.

In 2004, some smart people took all the open-source parts of RHEL and made a brand new, nearly identical operating system with it: the Community Enterprise Operating System, or CentOS. Basically, people could download and use an enterprise-level server OS for free. All the documentation for RHEL was compatible, and you could get support from the community.

It was the perfect alternative for anyone who didn’t have the budget for expensive software licenses.

In 2014, Red Hat offered to partner with the CentOS community. The idea was basically this: “It’s pretty much the same software. If our company and your community work together, both our products will be better! We make our money from enterprise customers, anyway.”

Most importantly, with Red Hat doing a lot of the heavy lifting in terms of updates and support, the CentOS community could focus on growing in other ways.

Red Hat pinky swore [citation needed] that they were in this for the long haul, and CentOS did continue to flourish. You know, until 2020.

Well, So Much For Pinky Swearing

Red Hat must have eventually decided that having a popular free version of its own enterprise software and managing it themselves no less — wasn’t that good for business. So they all but shut the project down.

Well, technically, they just changed how it operated. Instead of producing tested, production-ready versions, CentOS is merely a testing ground for RHEL. It is no longer, in my opinion, a good option for anyone who wants to run a stable server.

Current and Future CentOS Alternatives

So if you jumped on the CentOS 8 bandwagon, what should you put on your physical and virtual servers now? Well, you’ve got options.

Debian / Ubuntu

For those who don’t mind going to a very different kind of Linux, Debian has been the picture of OS stability and sysadmin-friendliness for a long time. If you want more frequent software updates, the Debian-based Ubuntu Server is popular and pretty good.

Oracle Linux

Yes, that Oracle has a RHEL-compatible Linux distribution of its own. But it’s not a clone, exactly. I mean, this is Oracle. It’s set up to use their tools and ecosystem, so I hope you like Oracle products. But hey, the OS itself is free!

ClearOS

ClearOS is another RHEL-compatible OS that’s mostly doing its own thing, though I’m not entirely sure what that thing is. Does the company have some deal with Hewlett-Packard? Anyway, they do have a free community edition and paid editions for home and business use.

The CloudLinux RHEL Fork

This is an upcoming release from the makers of CloudLinuxOS. It looks like they intend to load the new RHEL-based OS with some of their own tools, such as reboot-less server update tech. The first release is intended to be a more or less drop-in replacement for CentOS 8.

Rocky Linux

So the community that made and loved CentOS in the first place is, to say the least, ticked. They are so ticked that Greg Kurtzer (a co-founder of CentOS) has decided to do it all over again by making Rocky Linux and keep it in the community this time.

Again, the goal is to make a re-build of RHEL, a drop-in replacement for CentOS (at least for now). Eventually, the goal is to migrate from CentOS to Rocky Linux as easy as using a single, one-line command. The ETA for initial release isn’t quite set in stone, but I can personally vouch for how hard the community is working.

[See, full disclosure here… after writing this article, I joined the Rocky Linux documentation team.]

So Yeah, You Have Options

Some are out now, and others will be soon. Again, CentOS 8 will be supported until the end of 2021. CentOS 7, weirdly, will be supported until June 2024.

Migration shouldn’t be too complicated. Still, a pain in the rear that we have to do this at all, though.

Source

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

In part one, I discussed the first version/Bluetooth version of my desk upgrade.

In this article, I’ll discuss upgrading the desk to use Google Smart Home so I can control my desk with my voice.

Source de l’article sur DZONE

Les solutions de données basées sur le cloud présentent clairement des avantages, notamment une meilleure flexibilité, une collaboration plus efficace, des coûts réduits et la possibilité de changer d’échelle. Mais ce n’est pas parce que vous voulez passer au cloud afin d’en tirer tous les avantages que vous devez faire une croix sur vos investissements sur site existants.

Une stratégie hybride permet de combiner « le meilleur des deux mondes ». Avec cette approche, vous pouvez évoluer vers le cloud tout en protégeant vos investissements sur site existants. C’est là qu’interviennent SAP Data Warehouse Cloud et SAP HANA Cloud. Ces deux solutions ouvertes se connecteront en toute transparence à votre environnement sur site actuel pour l’étendre au cloud.

Voyons les avantages que présente une stratégie hybride avec SAP Data Warehouse Cloud et SAP HANA Cloud.

Pourquoi choisir SAP HANA Cloud  ?

Gérez des volumes croissants de données tout en réduisant vos coûts de stockage

Le lac de données intégré de SAP HANA Cloud réduit les coûts de stockage et d’analyse des données. Aussi, faites des économies en y conservant vos données. Vous pourrez par la suite y accéder à distance quand vous le souhaitez. Peu importe le volume de vos données, le lac de données est conçu pour le prendre en charge.

Connectez-vous facilement à toutes les sources de données

SAP HANA Cloud est une solution de gestion multi-cloud qui simplifie l’accès aux données quelles qu’elles soient et quelle qu’en soit la source au moyen d’une passerelle unique. SAP HANA Cloud est directement utilisable avec ses agents de mise à disposition des données qui permettent de se connecter à plusieurs sources cloud et magasins d’objets. Quant à la fonctionnalité Smart Data Access (SDA), elle vous offre un accès aux données en temps réel pour tous vos systèmes sur site et cloud à l’aide de tables virtuelles, tout en vous permettant de maîtriser vos coûts.

Stockage In-Memory économique

Le lac de données de SAP HANA Cloud est une simple méthode pour réduire les coûts de stockage. Pour optimiser votre stockage In-Memory actuel sur site, vous pouvez transférer des charges de travail vers SAP HANA Cloud aux fins de traitement et virtualiser l’accès à vos données, tout en gardant vos données sur site.

Faites évoluer votre puissance de calcul ou votre stockage

Lorsque votre entreprise connaît une croissance rapide, vous devez faire changer l’échelle de votre stockage de données et de votre puissance de calcul en conséquence. Étendez rapidement votre productivité sur site sans avoir à investir dans du matériel supplémentaire. Avec SAP HANA Cloud, boostez vos capacités de stockage et améliorez votre puissance de calcul dès que vous en avez besoin. C’est aussi simple que ça !

Pourquoi Geberit a lancé une nouvelle stratégie hybride avec SAP HANA Cloud

À l’instar de nombreuses multinationales performantes, les données sont essentielles pour Geberit. Pour exploiter plus facilement ses données, le leader européen des produits sanitaires a placé SAP HANA Cloud au cœur de sa nouvelle stratégie hybride en matière de données. Grâce à cette solution, l’entreprise a pu rationaliser son environnement informatique et supprimer le besoin en middleware. Aujourd’hui, elle peut accéder à ses données en temps réel de manière centralisée pour prendre des décisions éclairées en temps voulu.

«SAP HANA Cloud sera le point central pour le reporting au sein notre environnement de données. C’est la version unique de vérité qui réunit toutes nos sources de données et qui nous fournit la visibilité dont nous avons besoin.»
– Marius Reck, directeur des applications de support informatique

Pourquoi choisir SAP Data Warehouse Cloud pour étendre votre environnement

Responsabilisez vos utilisateurs et donnez plus d’impact à votre travail

Responsabilisez vos utilisateurs afin qu’ils puissent connecter, modéliser et visualiser les données par eux-mêmes avec SAP Data Warehouse Cloud. Dotée d’une interface utilisateur intuitive et d’une couche métier, cette solution facilite la modélisation des données avec SQL ou un outil graphique par glisser-déposer. Les espaces, quant à eux, fournissent un environnement isolé dans lequel les utilisateurs peuvent modéliser et combiner des ensembles de données mondiaux avec des données locales, par exemple des fichiers CSV.

Grâce à la centralisation et à la virtualisation de SAP Data Warehouse Cloud, les utilisateurs peuvent accéder aux données dont ils ont besoin sans que l’équipe informatique ait à les répliquer et à les exporter. Vous avez besoin d’améliorer un modèle en vue de sa réutilisation dans l’entreprise ? Rien de plus simple. Votre équipe informatique peut y accéder à tout moment pour le mettre à jour, sans avoir à le reconstruire dans un environnement différent.

Répondez plus rapidement aux utilisateurs

Trouvez le bon équilibre entre gouvernance centrale sécurisée, demandes de changement à la volée et responsabilisation des utilisateurs grâce aux espaces de SAP Data Warehouse Cloud. Les espaces sont des environnements isolés dans lesquels les utilisateurs peuvent explorer les données. Dans la fonction de gestion des espaces, l’équipe informatique peut configurer et ajuster très facilement les connexions aux données, l’accès utilisateur et les quotas de calcul/stockage de chaque espace. Étant donné que chaque espace est isolé, les données restent gérées de manière centralisée et connectées en temps réel aux données sous-jacentes de l’entreprise. Dans leur espace, les utilisateurs ont la possibilité d’établir des connexions à de nouvelles sources de données, charger des fichiers locaux et modéliser des données avant de partager en temps réel les informations mises au jour avec d’autres utilisateurs sans affecter l’intégrité des données sous-jacentes.

Un point d’accès unique à toutes vos données

Sans entrepôt de données, il est difficile de garantir la qualité des données. Qui plus est, face à l’augmentation du volume et du nombre de sources de données, votre environnement se complexifie, ce qui peut nuire aux performances et aux analyses. Avec SAP Data Warehouse Cloud, l’équipe informatique peut consolider les données et tirer profit de services ETL/ELT, comme la mise en place de pipelines ou la transformation des données, pour créer une couche de données robuste et très performante.

L’équipe informatique ou les utilisateurs peuvent ensuite définir l’accès aux données en créant et en gérant des modèles de données complexes. En parallèle, la couche métier de SAP Data Warehouse Cloud mappe les concepts métier aux données sous-jacentes, afin qu’un plus grand nombre d’utilisateurs puissent comprendre et modéliser les données par eux-mêmes.

Atténuez la menace du Shadow IT

SAP Data Warehouse Cloud est une solution de bout en bout qui répond à tous les besoins de vos collaborateurs, depuis l’intégration jusqu’à la modélisation en passant par l’analyse, ce, afin de limiter le recours à des solutions ad hoc. Elle est également ouverte, ce qui permet d’y connecter les outils tiers dont vos collaborateurs se servent et de les gérer de manière centralisée. Peu importe la fonction ou le service de vos collaborateurs, SAP Data Warehouse Cloud vous permet de définir des autorisations claires et d’attribuer des rôles aux utilisateurs. Grâce aux espaces, l’équipe informatique dispose d’une visibilité à l’échelle de l’entreprise et peut gérer les différentes sources de données et connexions de manière centralisée.

Porsche étend SAP BW/4HANA vers le cloud avec SAP Data Warehouse Cloud

Porsche souhaitait entamer la transformation numérique d’un plus grand nombre de ses collaborateurs. Le groupe automobile avait déjà plusieurs systèmes en place, notamment des systèmes SAP (tels que SAP BW/4HANA et SAP ERP) et des systèmes tiers. Il ne souhaitait donc pas rajouter d’énièmes systèmes à cette organisation. Ce dont Porsche avait besoin, c’était d’une couche virtuelle unique pour connecter l’ensemble de ces systèmes et optimiser le flux des données. Le tout, dans un environnement géré pour éviter les éventuelles erreurs.

C’est ce qu’a permis l’extension de SAP BW/4HANA vers le cloud avec SAP Data Warehouse Cloud, entre autres choses.

«Nous avions besoin d’une solution qui réunirait l’ensemble de nos systèmes existants et qui ferait en sorte que chaque utilisateur final ait accès aux données dont il a besoin, et uniquement à ces données. SAP Data Warehouse Cloud était la solution idéale pour transformer notre architecture de données sans avoir à dépenser un montant colossal.»
– Markus Hartmann, directeur de la gestion des projets informatiques chez Porsche

Commencez petit et voyez grand

Chaque entreprise a une transition vers le cloud différente. Que l’objectif soit de responsabiliser les utilisateurs ou de créer une version unique de la réalité, SAP HANA Cloud et SAP Data Warehouse Cloud offrent la flexibilité dont vous avez besoin.

SAP HANA Cloud et SAP Data Warehouse Cloud ne nécessitent aucun investissement préalable, et c’est SAP qui s’occupe de la gestion et de la maintenance. Vous souhaitez évaluer vos besoins ? Pas de problème. Lancez plusieurs projets pilotes et voyez ce qu’il vous faut. C’est là l’atout de ces deux solutions : grâce à leur approche flexible, vous pouvez commencer petit et évoluer au fil du temps. Par la suite, vous pouvez mettre en place une solution hybride à long terme pour tirer tous les avantages du cloud et des systèmes sur site, ou passer intégralement au cloud. À vous de voir !

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Source de l’article sur sap.com

This week on the Dev Interrupted podcast, I spoke with Cate Huston, Director of Engineering at DuckDuckGo. She’s an expert in asynchronous development and shared tons of interesting ideas: 

  •  How DuckDuckGo utilizes transient and permanent spaces differently
  •  How product feedback sessions are completed asynchronously
  •  How to help new remote employees feel a sense of belonging and accomplishment. 
  •  The unique relationship between asynchronous managers and developers  

Cate is really smart and has a super-awesome sounding accent so check it out! 

Source de l’article sur DZONE

SAP Analytics Cloud concrétise la Business Intelligence de nouvelle génération, avec une ouverture totale, un plus large ensemble de fonctionnalités et l’intégration de technologies intelligentes, allant jusqu’au prédictif.

« Être une entreprise Intelligente, c’est rechercher au sein de l’ERP les voies d’automatisation, d’intégration et de fluidification des processus, explique Florian Hamon, Business Development Director, SAP Center of Excellence, SAP. SAP Analytics Cloud ou SAC participe à ce mouvement, avec son analytique temps réel et ses fonctionnalités avancées. »

SAP Analytics Cloud combine dans une unique offre cloud une solution de Business Intelligence avancée, des outils de planification et des capacités d’analyse augmentée. Des atouts clés pour accélérer le processus de décision.

Une solution conçue pour les défis d’aujourd’hui…

SAP Analytics Cloud est né d’un triple constat : un changement de paradigme en matière de BI, une très forte accélération des solutions cloud et la volonté d’accéder aux solutions métiers depuis tout type de support.

Concernant la Business Intelligence, SAP Analytics Cloud est capable de se connecter à toutes les sources de données grâce à des connecteurs SQL, BusinessObjects et SAP. La création de stories s’effectue à la souris, avec la possibilité de personnaliser les dashboards et d’insérer des éléments visuels évolués (par exemple de la cartographie). Des fonctions avancées de collaboration et de partage sont proposées. Enfin, une intégration native avec Excel est assuré, au travers d’Analysis for Office.

Sur le terrain du planning, SAP Analytics Cloud permet une planification dans l’instant, c’est-à-dire en live. Vous allez pouvoir ainsi analyser et restituer depuis le même outil. Mais aussi simuler, au travers de scénarios de type what-if, qui permettront d’explorer différentes options de décision. Là encore, le collaboratif (partage de plannings, délégation de tâches) est au cœur du module planning de SAC.

… et de demain

Le pilier Smart de SAP Analytics Cloud est primordial. Ses fonctionnalités intelligentes s’appuient massivement sur les algorithmes et le Machine Learning.

  • Découverte intelligente : SAC va proposer automatiquement et intelligemment des dashboards clés en main construits automatiquement à partir d’un jeu de données, sans préparation préalable. Des KPI variés sont proposés et les indicateurs clés influençant les données sont mis en valeur.
  • Interrogation des données : il est possible d’automatiser la génération de contenu en effectuant des recherches exprimées en langage naturel. Vous n’aurez plus besoin de passer par le service informatique pour disposer d’une restitution personnalisée.
  • Analyse intelligente : cette fonctionnalité permet de comprendre ce qui se cache derrière une donnée de base. Elle pourra également détecter des patterns dans les données ou donner la raison d’un point de données particulier.
  • Terminons par l’une des fonctionnalités les plus innovantes de SAP Analytics Cloud, les scénarios prédictifs : l’entrainement de modèles de Machine Learning avec des données existantes permettra par la suite de les utiliser sur de nouveaux jeux de données. Une technologie qui ouvre la voie à l’analyse prédictive !

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Source de l’article sur sap.com

In the digital era, Big Data has drastically changed the landscape of business and risk management. With unlimited access to information about potential customers and user behavior, companies are using analytics to improve their risk management practices in more advanced ways than ever before.


Big Data Analytics

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Why Big Data Is Important

Big data has been around a long time, but it has taken a while for organizations to see the usefulness of big data. Big data doesn’t just track the consumer when they are online – it provides a history of behaviors that big data services can analyze and extrapolate from. If the consumer uses smart devices, makes a purchase with credit cards or checks, or visits establishments that use smart devices, they leave a data trail that can be analyzed by big data consulting to determine possible trends. These trends help businesses understand what drives their customers to make certain purchases over others.

Source de l’article sur DZONE

Avec la licence Enterprise Edition, vous accéderez sans restrictions à la base de données SAP HANA. Découvrez en quoi le passage à une licence full use peut être avantageux pour vos données et applications métiers.

Il y a 10 ans, SAP présentait un outil de gestion de bases de données de nouvelle génération, SAP HANA. Une offre présentant plusieurs caractéristiques clés :

  • In memory : les données sont lues et écrites en mémoire, pour des performances extrêmes
  • Orienté lignes : ce mode permet d’optimiser l’écriture (un enregistrement par ligne)
  • Orienté colonnes : ce mode facilite les requêtes (un type de données par colonne)

Cette double casquette ligne/colonne permet à SAP HANA d’adresser à la fois les traitements transactionnels et analytiques. Des technologies avancées gravitent autour de ce cœur : serveur d’applications, scripting, prédictif, Machine Learning, vues OLAP, graphes, gestion des données spatiales…

L’ensemble propose à la fois une connexion aux applications SAP (BICS) ou non (SQL et MDX). Il est également possible d’accéder à des sources de données tierces via Smart Data Streaming et Smart Data Access et aussi d’intégrer quasiment n’importe quel type de données, structurées ou non, jusqu’aux sources Hadoop, au travers de Smart Data Integration. Tout ceci est combiné avec des fonctions de partionning, de haute disponibilité, de répartition de charge, de parallélisation des requêtes, d’aide à la reprise d’activité, etc.

SAP HANA est aujourd’hui au cœur de nombreuses applications SAP. Il est également possible de l’utiliser en mode autonome. « Dans les deux cas, l’ensemble des fonctionnalités est disponible, car il n’existe qu’une seule version de SAP HANA », explique Olivier Demeusy, Director at Center of Excellence, EMEA North for SAP Business Technology Platform.

Runtime VS Enterprise

La principale différence entre SAP HANA Runtime Edition et SAP HANA Enterprise Edition réside dans le mode d’accès à la base de données et les restrictions s’y appliquant :

  • L’édition Runtime est conçue pour les applications SAP et ne peut être adressée qu’à travers ces applications
  • L’édition Enterprise est accessible sans restrictions depuis n’importe quel système ou application, SAP ou non.

La Runtime Edition n’autorise donc l’interaction avec la base de données qu’au travers des applications SAP, qui vont se charger de lancer les requêtes. L’Enterprise Edition est pour sa part accessible depuis les applications SAP, des applications tierces ou vos propres applicatifs métiers.

L’accès pourra se faire en direct au travers de requêtes SQL. Les fonctions d’intégration et de qualité de données pourront être librement exploitées, tout comme les moteurs avancés de SAP HANA. Enfin, de multiples ponts seront accessibles afin de lier du code métier à SAP HANA. Et ce jusqu’à l’hébergement de vos applications dans SAP HANA. SAP HANA XS Advanced permet en effet le développement d’applications natives SAP HANA, capables de fonctionner au plus près de la donnée.

Un changement de licence facilité

Passer de la Runtime Edition à l’Enterprise Edition est aisé, SAP HANA restant identique dans les deux cas. « Le passage d’une licence à l’autre ne se traduit par aucun changement technique », confirme Olivier Demeusy.

Le tarif comprend un coût d’acquisition et une maintenance annuelle. « Le tarif appliqué dépend directement du volume de données qui sera pris en charge par SAP HANA, avec un calcul effectué par blocs de 64 Go. » Que vous utilisiez une base de données de 500 Go ou de 20 To, vous aurez donc toujours la garantie de bénéficier d’une offre parfaitement ajustée.

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Source de l’article sur sap.com

Voice is one aspect of technology that is getting bigger and bigger, and showing little sign of relenting. In fact, 2019 data revealed that 22% of UK households owned a voice-controlled digital home assistant device such as an Amazon Echo or Google home. This is double the figure recorded in 2017 and it is predicted that over the next five years nearly 50% of all homes will have one. Smart home adoption rates are increasing, and it shows how voice control is something we are all becoming more accustomed to.

With these high figures, does it follow that voice should be something web designers build into sites? Or is it merely a gimmick that will die out and render sites with hardware and complex design issues? You only have to look at the failed introduction of Google glass to see that certain technological advancements don’t always have the outcome that might be expected.

Multiple Voices

One of the first issues with voice is establishing whether you want sites to recognise everyone’s voices, or just those who have registered. If you’re using the site in a crowded room will it pick up on snippets of conversation from others and think these are instructions? Google Home has a feature whereby you have to register your voice with its app to use more personalised features such as the shopping list. Is this the sort of thing websites would need?

Accents

The implementation of voice is complex, not only does it need to understand certain languages (such as English), but all the accents and variations too. With 160 English dialects alone, that is a lot that the technology needs to understand – not including mispronunciations, slang, and colloquialisms. Also, if a site is used all over the world (which many are) how many languages will it need to know?

Privacy Issues

if there are clips of your voice out there on the web…it can easily be imitated

If a website involves a feature such as online shopping or other functions which require sensitive details to be input, this could put people off using voice. Users need to know where this saved data is being stored, how it will be used and if it is secure. In 2018, HMRC had signed up about 6.7 million people to its voice ID service and HSBC said over 10,000 were registering each week. This shows many trust the service, but experts say that if there are clips of your voice out there on the web (such as in a podcast) it can easily be imitated. Bringing with it security and privacy issues.

According to futurologist Dr Ian Pearson, who invented the text message back in 1991, it won’t be long until we can complete a financial transaction with just a few words and a gesture. This can be a time-saver for things such as online shopping, but we need to ensure there are the correct security steps in place.

Users Don’t Talk The Way They Type

When speaking we tend to use shortened and more colloquial language as opposed to when we type. The voice function on a website will need to be able to adapt for this. One example is if you are filling in a form or comment box by voice for a website, you will need to tell it what to punctuate, letting it know where to add a comma, exclamation mark etc.

Website Processes Need to be Simpler

With the web as we use it now, we often browse through pages, reading other snippets of information before clicking through to the page we want. With voice recognition it will cut out these middle steps. For example, if you are looking for a recipe of something specific, you will just say the command “Show me the … recipe” and it will take you straight there. This direct access to what we are looking for could lead to a simplification of websites.

Regular Updates

With websites as they are now, they need updates semi-regularly, depending on how they are built, how complex they are, and what features we have built into them. A voice-based site will need updating regularly, whether to add new words or processes or to keep up with the fast-adapting technology. It might end up being quite a complex process.

Mistrust

While there are more of us now than ever using voice control via tech such as Alexa, Google, and Siri, there is still a level of mistrust over it. It’s still not quite clear where data is being stored, if it is being stored, and how easy it could be to abuse.

Larger Storage and Bandwidth

If a site is built for voice, will it utilise a ready-built plugin or will it have its own software built by developers? Will this feature require a greater amount of storage and bandwidth to cope with it? These are further factors to consider when thinking of the future of implementing voice to websites.

We Still Don’t Know Where It Will Go

Voice technology while working in some respects, is still a bit of a grey area when it comes to future use. Will it be the next big thing as many have predicted, or will it simply die down?

Look at Google Glass – highlighted as the big new technology, they soon died down and were eventually discontinued. Smart watches were another thing. You can see their initial downfall by reading an article published in 2017 about smartwatches – how major smartwatch makers such as Apple and Samsung rushed into the market before the technology was ready and they subsequently failed. Motorola exited the smartwatch market, Pebble and Jawbone shut down and Fitbit sold 2.3 million fewer devices than in their previous quarter. It was perceived as being a fad. However, fast forward to 2020 and more people than ever are wearing and using smartwatches. The smartwatch market was valued at shipment volumes of 47.34 million in 2019 and is expected to reach 117.51 by 2025, reaching a growth of 15.4 over the next five years.

Will voice follow a similar trend?

No More Impulse Buying

People enjoy browsing websites and many businesses rely on user’s impulse buying and ask their websites to be designed to reflect this. With voice taking you directly to the page’s users want to find, will they bypass these potential selling traps and just buy what they want – rather than added extras? Will it end up being a negative for businesses and see users not as satisfied for the experience?

Voiceless Still Matters

You will also have to remember that not all devices might work with voice, or people might be browsing somewhere where voice cannot be used. This means in the design process it needs to work both for voice instruction and manual use. It needs to work just as well for both to ensure the customer journey isn’t affected.

There are many ways voice can affect how we design websites in the upcoming future. It’s important to take note of market trends and usage – seeing how people use voice and thinking of the customer journey. It’s vital we don’t forget the end goals of websites – whether it’s to inform or to sell, the implementation of voice needs to assist this process not make it harder.

 

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Source de l’article sur Webdesignerdepot