Articles

Acome modernise son ERP au travers d’une migration vers l’ERP intelligent SAP S/4HANA. Un socle solide qui lui permettra de concrétiser son projet de transformation, consistant à gérer la production industrielle depuis l’ERP.

Acome est un spécialiste des câbles de haute technicité, qui propose ses solutions aux acteurs du monde de l’automobile, des télécoms, du bâtiment ou encore du transport ferroviaire. De par son positionnement, Acome est un acteur clé du développement des véhicules de nouvelle génération, de la fibre, des bâtiments connectés et des villes intelligentes.

Première SCOP de France, Acome dispose de nombreux sites industriels et commerciaux, dans l’hexagone comme à l’étranger. Le groupe ACOME emploie 2000 collaborateurs, dont 1200 en France, pour un chiffre d’affaires annuel de 552 millions d’euros.

« Nous souhaitions refondre notre système d’information industriel, avec – entre autres – la mise en place d’un MES, explique Anne-Laure Gout, Responsable du service Études informatique de la DSI d’Acome. Michael Barbé a su nous convaincre que notre SI industriel pourrait tout à fait être intégré dans notre ERP SAP. La fin de maintenance de SAP ECC approchant, la DSI avait dans le même temps décidé d’opérer la migration vers l’ERP SAP S/4HANA. »

L’industriel décide donc de rapprocher ces deux projets. « Un premier partenaire nous avait proposé de repartir d’une feuille blanche, avec un projet de type greenfield, ce qui ne nous convenait pas. Nous nous sommes alors tournés vers PASàPAS, qui nous suit depuis des années, afin de mener une migration à fonctionnalités et périmètre constants. L’objectif était d’assurer la bascule vers l’ERP SAP S/4HANA avec un minimum d’impacts pour les métiers. »

Découvrez le témoignage de notre client.

Un engagement important de la part de PASàPAS

Le travail s’est fait de concert entre les équipes métiers d’Acome, porteuses du projet industriel, et la DSI de la SCOP, souhaitant opérer la migration de SAP ECC vers SAP S/4HANA. Le projet de migration a démarré en février 2021, pour se terminer 15 mois plus tard, le 30 mai 2022.

« De nombreuses personnes ont été impliquées, que ce soit chez PASàPAS, qui a mobilisé une cinquantaine de consultants, que du côté d’Acome, avec une équipe projet de 50 personnes et 80 key users, explique Michael Barbé, Directeur de programme chez Acome. Nous avons su rester concentrés tout au long de ces 15 mois, avec des objectifs précis qui nous ont permis de ne pas nous éparpiller et de mettre en fonction notre nouvel ERP dans les délais fixés. Le tout avec un appui sans faille de notre direction et des métiers. »

L’objectif de l’entreprise était de disposer d’un socle solide, propice au déploiement de nouvelles fonctionnalités. L’ERP SAP S/4HANA couvre d’ores et déjà un large périmètre (achats, ventes, finance, maintenance…), mais devrait prendre de l’ampleur rapidement (production, revue budgétaire…). Le tout avec la volonté de recourir aussi peu que possible aux spécifiques. « Nous voulions mettre en place une solution cohérente, qui permette de revenir à l’essentiel en s’appuyant autant que possible sur des processus standards. »

Migration réussie ! Place à l’innovation

L’ERP SAP S/4HANA est aujourd’hui en production. « Une importante phase de stabilisation a été réalisée pendant le premier mois, mais tout est aujourd’hui fonctionnel, avec une nette amélioration des performances par rapport à notre ancien ERP. Nous pouvons donc considérer cette étape de conversion comme réussie. Ce n’est toutefois que le premier jalon de notre projet de transformation », détaille Anne-Laure Gout. Si une ‘fiorisation’ progressive de l’interface et une revue des processus sont prévues, c’est bien le volet industriel qui est aujourd’hui au coeur des attentions.

« Nous redémarrons maintenant la phase industrielle de notre projet, confirme Michael Barbé. Dès janvier 2023, notre atelier de production de tubes dédiés aux planchers chauffants sera équipé de l’ERP SAP S/4HANA. Les machines de l’atelier seront connectées au SI, afin de permettre une remontée des données et un pilotage de ces équipements dans l’ERP. Nous espérons avec cet outil être capables d’aller chercher de nouveaux gains sur le terrain de la performance industrielle. L’ERP sera ensuite déployé sur une autre de nos activités courant 2024, puis progressivement sur des activités de plus en plus complexes. »

PASàPAS est reconduit sur toute cette première phase de déploiement et devrait donc accompagner Acome sur ce projet au minimum jusqu’à la fin du premier trimestre 2024. À mesure que ce SI industriel sera déployé, le nombre d’utilisateurs de l’ERP SAP S/4HANA va s’accroître chez Acome. « Nous avons d’ores et déjà adapté notre parc de licences afin de permettre aux opérateurs travaillant en production d’accéder à l’ERP. Demain, 500 utilisateurs pourront ainsi se connecter à SAP S/4HANA », conclut Anne-Laure Gout.

The post L’ERP SAP S/4HANA devient le socle du futur SI industriel d’Acome appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Je suis ravi de vous annoncer que SAP lance plusieurs nouvelles offres pour aider les clients à maximiser les avantages de la technologie cloud.

Tout d’abord, la version privée de SAP S/4HANA Cloud 2023, est désormais disponible. Il s’agit d’une étape majeure pour SAP et nos clients, facilitant leur transition vers le cloud. Cette version offre des fonctionnalités améliorées basées sur un système ERP de pointe basé sur le cloud, qui est collaboratif, intelligent, interconnecté et durable.

Ensuite, nous avons lancé un nouveau forfait RISE with SAP premium plus, combinant la technologie de l’IA avec des solutions durables et avancées de finance pour aider les entreprises à innover plus rapidement, à prendre des décisions plus éclairées et à libérer la valeur des données d’entreprise.

Troisièmement, pour soutenir nos clients dans leur passage au cloud, nous avons créé un programme de conversion et de modernisation RISE, réunissant des outils, des conseils d’experts et des aides à la conversion.

SAP publie la dernière version de SAP S/4HANA Cloud, édition privée

La version 2023 de SAP S/4HANA Cloud, édition privée, ne se contente pas de couvrir l’ensemble des fonctionnalités de SAP ERP Central Component, mais elle intègre également la finance, le manufacturing, les opérations et les fournisseurs au sein d’une plateforme cloud unique, avec des applications métier basées sur la toute dernière architecture. En outre, dans le cadre de RISE with SAP, l’édition privée de SAP S/4HANA Cloud suit désormais un cycle de sortie de deux ans avec des innovations et des améliorations faciles à assimiler tous les six mois. La maintenance passera également de cinq à sept ans, ce qui permettra aux clients de mieux rentabiliser leur investissement.

SAP dévoile un nouveau Package Premium Plus pour RISE with SAP 

Face aux changements rapides du marché et aux exigences réglementaires complexes et en constante évolution, les clients de tous les secteurs et de toutes les régions géographiques ont besoin de systèmes et de processus basés sur le cloud. Les clients RISE with SAP peuvent choisir le package qui leur permet d’obtenir les meilleurs résultats, y compris un nouveau Package Premium Plus avec davantage d’outils pour accélérer et améliorer les décisions, et maximiser l’impact de l’IA dans les processus métier. Le Package Premium Plus comprendra :

  • Plus d’informations sur la durabilité en intégrant les données « carbone » et d’autres ressources dans les processus métier centraux, calculant et partageant ces données dans toute la chaîne de valeur, et en tenant compte de l’évolution rapide des normes de reporting environnemental, social et de gouvernance (ESG).
  • De nouvelles capacités d’IA pour l’ERP grâce à notre copilote d’IA récemment annoncé, Joule. Joule trie et contextualise rapidement les données issues de plusieurs systèmes pour fournir des informations plus intelligentes.
  • L’autonomisation des directions financières pour prendre des décisions plus rapidement avec des solutions qui rationalisent les opérations de planification, améliorent la précision des prévisions avec des données d’unités commerciales financières et non financières, et optimisent la gestion des encaissements.
  • La possibilité pour les clients de créer un ERP interconnecté avec un portail fournisseur qui simplifie la conformité des dépenses en permettant une collaboration étroite avec un large réseau de fournisseurs, ainsi que l’automatisation des transactions d’approvisionnement et de facturation.

Lors du récent événement Rise into the Future de SAP, nous avons entendu le témoignage de Mahindra & Mahindra, client RISE with SAP. L’entreprise ne se contente pas de migrer vers le cloud, elle transforme également ses activités avec la puissance de son ERP Cloud.

Selon Rucha Nanvati, directrice des systèmes d’information de Mahindra : « L’agilité est cruciale pour maintenir et consolider notre position de leader dans un environnement industriel dynamique. Le passage au cloud a amélioré le délai de mise sur le marché et a renforcé l’expérience client et employé. RISE with SAP nous permet également d’avoir un accès rapide à des innovations telles que l’IA, ce qui nous aide à innover plus rapidement et à rester compétitifs. »

SAP soutient le passage de ses clients vers le cloud

Le nouveau programme de migration et de modernisation RISE with SAP propose des offres adaptées aux besoins de chaque client. Le programme comprend :

  • Le cadre d’adoption RISE with SAP pour planifier votre conversion et la solution SAP Signavio Process Insights pour construire votre business case.
  • Le kit SAP Customer Evolution, un nouveau service gratuit qui propose des sessions individuelles avec des experts SAP dédiés pour évaluer la meilleure manière de migrer vers SAP S/4HANA Cloud. Le kit fournit un plan de transformation personnalisé et opérationnel dans un délai très court. Réservez dès aujourd’hui votre session Migrate Now.

Visitez le centre de conversion et de modernisation.

Pour reconnaître la contribution des clients SAP S/4HANA on premise, qui ont aidé à poser les bases de notre ERP moderne, SAP proposera des plans de soutien à la conversion, spécifiques à chaque client, et qui pourront offrir des avantages pour accélérer la transition vers un ERP cloud moderne.

Les événements de cette année nous rappellent une fois de plus que les entreprises qui peuvent se moderniser le plus rapidement ont de meilleures chances de réussite sur le long terme“, a déclaré Geoff Scott, CEO et Chief Community Champion de l’ASUG (Americas’ SAP Users’ Group)

« Les dernières annonces et innovations de SAP vont de pair avec les besoins liés à la transformation digitale, offrant aux clients une voie claire pour obtenir davantage de valeur de leurs investissements technologiques, dans des délais de plus en plus courts.”

De plus, nous travaillons sur un nouveau service qui offre une assistance de pointe aux clients RISE with SAP pour soutenir leur mise à niveau vers une version actuelle de SAP S/4HANA Cloud Ce service a pour but d’aider les clients à se mettre à niveau en réduisant les obstacles techniques et en rationalisant les processus de gestion, en s’assurant que leurs systèmes sont configurés au mieux pour fonctionner dans un modèle optimisé pour le cloud.

Il est clair que le moment est venu de passer au cloud et nous sommes ravis d’être votre partenaire de confiance dans cette aventure !


Eric van Rossum est chief marketing and solutions officer for Cloud ERP chez SAP.


A propos de SAP en France

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.

Contact presse – Sylvie Léchevin – sylvie.lechevin@sap.comsap@the-arcane.com

This document contains forward-looking statements, which are predictions, projections, or other statements about future events. These statements are based on current expectations, forecasts, and assumptions that are subject to risks and uncertainties that could cause actual results and outcomes to materially differ. Additional information regarding these risks and uncertainties may be found in our filings with the Securities and Exchange Commission, including but not limited to the risk factors section of SAP’s 2022 Annual Report on Form 20-F.
© 2023 SAP SE. All rights reserved.
SAP and other SAP products and services mentioned herein as well as their respective logos are trademarks or registered trademarks of SAP SE in Germany and other countries. Please see https://www.sap.com/copyright for additional trademark information and notices.

The post SAP diversifie ses offres Cloud pour accélérer l’innovation client appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

Lire les actualités

 

D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

Lire le témoignage

 

« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

Lettre d’information SAP Insights: Obtenez des insights stratégiques en vous abonnant à notre lettre d’information.

S’abonner

 

Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

En savoir plus

 

Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

The post La logistique durable en mouvement Till Dengel, Richard Howells | 14 min de lecture appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Lors d’une transformation interne, qu’elle soit d’ordre métier ou liée au SI, les étapes projet de communication et de formation sont nécessaires, et à ne pas négliger au travers de leur animation.

Les enjeux… l’appropriation par les futurs Utilisateurs, l’adhésion des futurs Utilisateurs, le succès du projet, la rentabilité de l’investissement dans la transformation, le fleurissement d’initiatives ou d’optimisation pour le nouveau processus ou le nouvel outil SI (dixit la cible), etc.

Les deux grands moyens de la conduite du changement

La communication nécessite de respecter quelques règles de l’art pour le besoin de sa mise en œuvre choisir le « bon » message, le « bon » support de diffusion, et les « bons » Interlocuteurs (les « Destinataires » du message) à l’instant « t » du projet. Ces trois choix sont liés et interdépendants.

Ce principe s’applique à chacune des étapes projet, voire à chacun des chantiers « phares » ou structurants à un moment donné du projet. Selon la culture de l’entreprise, la communication est animée par le sous-traitant ou la Direction Communication Cliente.

La formation… la stratégie de formation, tout comme celle de la communication, implique d’agir avec un minimum de méthode. Il est utile d’évaluer les compétences existantes des Interlocuteurs opérationnels impactés par le projet. Après une analyse de l’écart de compétences par rapport à la cible, les actions de mise à niveau sont définies et planifiées. Les moyens de formation sont variés (ex : e-learning, formation en présentiel, supports, MCD, Acteurs-Relais), et doivent inclure la possibilité d’un accompagnement plus fin (ou de proximité) et une étape d’ajustements.

Une mauvaise conduite du changement représente l’un des plus importants facteurs d’échec d’un projet.

Le dernier Rapport établi par KPMG, relatif aux plus grandes causes d’échec d’un projet, relate que 19% de ces causes sont dus à un défaut de communication, que 18% résultent d’une non implication de la population concernée (dixit l’action de communication).

Juste un rappel… la conduite du changement touche l’humain. Elle demande donc une attention particulière.

Evolution et conduite du changement

Combien êtes-vous à avoir subi un changement, et non à l’avoir accueilli, voire à s’y être impliqué ?

Combien êtes-vous à pester sur telle ou telle mesure de changement ?

Et… dans le cas d’un scénario de transformation déjà négatif à l’origine, par expérience, même lors d’une mesure impopulaire, la conduite du changement a du bon. Elle vous permet d’être informée correctement et de couper court à tous « les bruits », voire d’être l’un des Acteurs pour mieux appréhender l’objet de la transformation, de s’approprier ce-dernier, et d’en jouer pour mieux le vivre dans son quotidien.

A vous de choisir votre position.

Sandrine
Consultante Ankaa Engineering®
Professionnelle de 20 ans en Management de la fonction Achat et en Conseil organisationnel et de transformation, Sandrine a travaillé au sein d’environnements multiculturels, aux côtés d’équipes pluridisciplinaires.
Elle a exercé aussi bien auprès de grands Groupes que de PME-PMI, lui permettant ainsi d’approcher des problématiques différentes, des modes de fonctionnement hétérogènes, des circuits de décisions variés, des priorités et enjeux originaux.
Le parcours à dominante industrielle de Sandrine, lui a donné la possibilité de développer certaines compétences dont quelques-unes la distinguent ; telles qu’une double compétence métier, une bonne capacité d’adaptation, un fort sens du résultat et du service, une grande pratique de méthodes et outils métiers.
Ses domaines de prédilection :

Strategies achats – Optimisation de processus – Organisation – Methode
Sourcing, negociation, contractualisation
Pilotage de projets et changements – Evaluation sous KPI
Perimetres internationaux, Gestion simultanee, Management transverse

Etoile

Ankaa Engineering® en chiffres

Une initialisation de l’activité de service en 2000.

Un business-model différenciateur et atypique.

Premières ouvertures d’agences régionales en 2011.

8 sites : ALPES, CENTRE, MIDI-PYRENEES, NORMANDIE, PACA, RHONE, SUISSE, MAROC.

Un business-plan de développement national d’ici 5 ans.

5445 cartes de visites de consultants freelance et un référencement annuel de + 1600 nouveaux.

129 consultants accrédités.

Un processus de recrutement retravaillé fin 2014 avec le cabinet BPI Group, leader de l’accompagnement RH des transformations.

Des outils internes (CRM, Recrutement, Marketing, Ticketing client et Support, Meetings et Webinaires, Suivi de projets, ) exclusivement en modèle Saas.

De nouveaux clients PME-PMI, collectivités ou Grands comptes chaque mois.

+46% de croissance du CA consolidé Groupe sur 2015 par rapport à 2014.

Notés 17,5 / 20 par nos clients pour la qualité de nos services.

Notés 18,5/20 par nos consultants pour la qualité de notre relation.

Mais surtout la confiance renouvelée de nos « vieux clients ».

Merci à vous tous de votre confiance.

Après 2013 et 2014, Ankaa Engineering® est une nouvelle fois sélectionnée aux trophées de la communication.

Ankaa Engineering sélectionné aux trophées de la com 2015

Cette nouvelle sélection confirme la pertinence et la qualité de la communication de notre groupe.

Depuis 14 ans, les Trophées de la Communication® sont ouverts à tous. Service public ou secteur privé, de la petite entreprise au grand groupe, artisanat ou monde associatif, sphère culturelle ou monde industriel, du site internet corporate au site de e-commerce, 32 catégories permettent de récompenser les meilleures actions de communication et les meilleurs communicants du service public et du monde de l’entreprise.

En 2015, la soirée de remise des Trophées de la Communication 2015 se déroulera à LA GRANDE MOTTE au CASINO du GROUPE PARTOUCHE, lors d’un grand dîner de gala.

Cette semaine, suite à l’ouverture de son agence CENTRE, Ankaa Engineering  intègre l’actualité de la presse et des médias


Bref RAChez BREF Rhône Alpes, média économique sur la vie des entreprises : http://www.info-economique.com/

Publication Bref RA 150514

 

 

 

Distributique

Sur Distributique, média spécialisé dans les nouvelles technologies : http://www.distributique.comPublication Distributique 150514

 

 

 

Le Monde informatique

Sur Le Monde Informatique, média spécialisé dans le secteur IT : http://www.lemondeinformatique.frArticle Le monde informatique 160514

Témoignage recueilli à l’issue d’une mission de formation « Fondamentaux de la gestion de projets » menée auprès de la DSI de la Région Alsace :

« La formation sur le thème de la gestion de projet a été très enrichissante : elle m’a permis de poser les bases d’une nouvelle méthode de travail plus efficace et optimisée. En effet, grâce à l’expérience du formateur et à l’efficacité du support de cours, j’ai pu dégager rapidement les mots et les phases clés d’un projet bien géré. Elle m’a également permis d’ouvrir les yeux sur un certain nombre de mauvaises habitudes et m’a offert de nouveaux outils pour une meilleure organisation au quotidien. »

Jérôme SALEH
Direction Informatique (DSI)
Région Alsace
1, Place Adrien Zeller – BP 91006
67070 STRASBOURG CEDEX
Tél : (+33) 3 88 15 68 67
Région Alsace

La Région Alsace assure des missions dans les domaines variés de l’apprentissage, la formation professionnelle, le développement économique, les transport, l’aménagement du territoire…Certaines sont obligatoires, d’autres sont issues d’un choix régional. Le Conseil Régional d’Alsace est constitué de 47 élus (29 Bas-Rhin et 18 Haut-Rhin). Son budget annuel est d’environ 800 millions d’euros. Sur 1 869 agents, 523 agents sont rattachés à la Maison de la Région et répartis au sein des différentes directions opérationnelles et fonctionnelles et 1 346 agents TOS (techniciens et ouvriers de services) travaillent dans les lycées alsaciens

Témoignage recueilli à l’issue d’une mission de conseil en « GOUVERNANCE IT ET TABLEAUX DE BORD » menée auprès de la DSI de l’entreprise NORSKE SKOG GOLBEY :

« Ce que j’ai véritablement apprécié durant la prestation réalisée sont le retour d’expérience et la capacité du consultant à mettre en relation la théorie de la gouvernance IT avec la vie courante d’une DSI, y compris pour des petites structures.
Cela a le grand mérite de valider des plans d’actions de mise en oeuvre opérationnelle « réalistes » et grâce à des échanges très constructifs d’aligner le pilotage de ma gouvernance IT avec la stratégie de ma société.
Je mettrais particulièrement en avant les capacités d’écoute et d’analyse du consultant, saupoudrées d’un humour distillé avec subtilité. »

Eric POIROT
Responsable informatique
NORSKE SKOG
P.O.Box 109,
Route Jean-Charles Pellerin,
F-88194 Golbey CEDEX, France
Tel.: + 33 (0)3 29 68 68 68
Logo NORSKE SKOG

Située près d’Epinal dans les Vosges, la papeterie Norske Skog Golbey est la filiale du groupe papetier norvégien Norske Skogindustrier ASA, leader mondial de l’industrie des papiers de publication.
Démarrée en 1992, l’usine emploie aujourd’hui 440 collaborateurs, génère 300 millions d’euros de CA et produit chaque année 600 000 tonnes de papier journal standard et amélioré destiné aux principaux éditeurs et imprimeurs européens.

Recevoir des témoignages de satisfaction nous fait toujours plaisir.
Surtout lorsqu’il s’agit du témoignage de l’un de nos intervenants.
« Je suis freelance dans les technologies de l’information depuis 12 ans, spécialiste des architectures de serveurs web à haute-résilience, auprès de structures d’hébergement Cloud, sur les datacenter de grands comptes et auprès de services informatiques de pme-pmi.
De part de mon statut de travailleur indépendant, j’ai toujours la tête dans le guidon, je saute de mission en mission toute l’année, ou consacre mes inter-contrats à parfaire ou actualiser mes compétences sur les nouvelles versions des environnements que je pratique.
Ainsi, je ne dispose que de trop peu de temps à rechercher des missions et sais combien peut être précieux un partenariat avec une société de service.
Toute la difficulté est de dénicher le bon dans la masse de SSII et autres cabinets de conseil…

Car, dans ce monde des prestataires de service, de multiples expériences négatives m’ont, je dois le reconnaître, rendu méfiant au fil des années.

Homme face à son laptop
J’interviens maintenant depuis 2 ans pour le compte de Ankaa-Engineering sur différents projets, auprès de différents de ses clients, essentiellement sur des missions courtes.
Ce qui m’a surpris chez Ankaa-Engineering est la capacité des interlocuteurs internes à maîtriser les problématiques de gestion inhérentes aux projets informatiques. Le terme Engineering de la société n’est pas usurpé.

Ceci couplé à un niveau de compétence technique qui leur permet de définir des objectifs opérationnels cohérents et de comprendre des contraintes techniques réellement pointues. On se sent écouté et compris. Bref, réellement soutenu et épaulé.

Avec Ankaa Engineering, j’ai enfin trouvé la concrétisation de ce qui s’appelle un partenariat efficace et suis totalement satisfait de la qualité de notre relation.

Frédéric AIDOUNI
Tel : +33 615 926 159″