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Risques et solutions de sécurité de la virtualisation

La virtualisation offre de nombreux avantages, mais elle comporte aussi des risques et des défis en matière de sécurité. Découvrons ensemble les solutions pour les gérer.

## Risques de sécurité liés à la virtualisation

Attacks on Virtual Machines

VMs are the main target of attackers in a virtualized environment. Attackers can exploit vulnerabilities in the operating system or applications running on the VMs to gain access to the virtualization environment. Once they gain access, they can launch attacks on other VMs or steal sensitive data.

Hypervisor Attacks

The hypervisor is the core component of virtualization technology. It is responsible for managing the VMs and other virtualization components. Attackers can exploit vulnerabilities in the hypervisor to gain access to the virtualization environment and launch attacks on other VMs.

Solution pour les risques de sécurité liés à la virtualisation

Les organisations du monde entier adoptent de plus en plus la technologie de virtualisation pour ses nombreux avantages, tels que des économies de coûts, une efficacité améliorée, une flexibilité, une scalabilité et une récupération en cas de sinistre. Cependant, l’adoption accrue de la technologie de virtualisation a également entraîné une augmentation des risques de sécurité. Les risques de sécurité liés à la virtualisation sont causés par divers facteurs, tels que les vulnérabilités du logiciel de virtualisation, les attaques sur les machines virtuelles (VMs) et les attaques sur le hyperviseur. Cet article examine les risques de sécurité liés à la virtualisation et les solutions pour les atténuer.

Vulnérabilités du logiciel de virtualisation

Le logiciel de virtualisation est le cœur de la technologie de virtualisation. Il est responsable de la gestion des VMs, du hyperviseur et des autres composants de la virtualisation. Les vulnérabilités du logiciel de virtualisation peuvent être exploitées par des attaquants pour obtenir un accès non autorisé à l’environnement de virtualisation. Les attaquants peuvent exploiter ces vulnérabilités pour prendre le contrôle de l’environnement de virtualisation, voler des données sensibles et lancer des attaques sur d’autres VMs dans l’environnement virtuel.

Attaques sur les machines virtuelles

Les VMs sont la principale cible des attaquants dans un environnement virtualisé. Les attaquants peuvent exploiter des vulnérabilités du système d’exploitation ou des applications exécutées sur les VMs pour accéder à l’environnement de virtualisation. Une fois qu’ils ont accès, ils peuvent lancer des attaques sur d’autres VMs ou voler des données sensibles.

Attaques sur le hyperviseur

Le hyperviseur est le composant principal de la technologie de virtualisation. Il est responsable de la gestion des VMs et des autres composants de la virtualisation. Les attaquants peuvent exploiter des vulnérabilités du hyperviseur pour accéder à l’environnement de virtualisation et lancer des attaques sur d’autres VMs.

Mesures pour atténuer les risques de sécurité liés à la virtualisation

Il existe plusieurs mesures qui peuvent être prises pour atténuer les risques de sécurité liés à la virtualisation. L’une des principales mesures est l’utilisation d’une stratégie de sécurité robuste pour protéger le système contre les menaces externes et internes. La stratégie devrait inclure des mesures telles que l’utilisation d’un pare-feu pour bloquer les connexions non autorisées, la mise en œuvre d’une politique stricte d’accès aux données et l’utilisation d’outils de codage pour assurer la sécurité des données sensibles. De plus, il est important que les administrateurs système mettent à jour régulièrement le logiciel et le matériel afin d’atténuer les vul

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You might have noticed that resources comprising some Azure services such as Azure Kubernetes Service (AKS) span multiple resource groups by default. In some cases, you might intentionally want to segregate resources such as disks and network interfaces from VMs by placing them in different resource groups for better management. A common problem arising from the resource spread is that you might find it challenging to delete multiple resources and resource groups to entirely remove a service from a subscription.

We can solve the problem by using resource tags to associate resources and resource groups to a service. Tags are key-value pairs that can be applied to your Azure resources, resource groups, and subscriptions. Of course, you can use tags for many other purposes apart from resource management. The Azure docs website has a detailed guide on the various resource naming and tagging strategies and patterns.

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Introduction

While many of us are habituated to executing Spark applications using the ‘spark-submit’ command, with the popularity of Databricks, this seemingly easy activity is getting relegated to the background. Databricks has made it very easy to provision Spark-enabled VMs on the two most popular cloud platforms, namely AWS and Azure. A couple of weeks ago, Databricks announced their availability on GCP as well. The beauty of the Databricks platform is that they have made it very easy to become a part of their platform. While Spark application development will continue to have its challenges – depending on the problem being addressed – the Databricks platform has taken out the pain of having to establish and manage your own Spark cluster.

Using Databricks

Once registered on the platform, the Databricks platform allows us to define a cluster of one or more VMs, with configurable RAM and executor specifications. We can also define a cluster that can launch a minimum number of VMs at startup and then scale to a maximum number of VMs as required. After defining the cluster, we have to define jobs and notebooks. Notebooks contain the actual code executed on the cluster. We need to assign notebooks to jobs as the Databricks cluster executes jobs (and not Notebooks). Databricks also allows us to setup the cluster such that it can download additional JARs and/or Python packages during cluster startup. We can also upload and install our own packages (I used a Python wheel).

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Traditional DRaaS offerings typically require rigid data center infrastructure that is expensive and inefficient. Many DRaaS (Disaster Response-as-a-Solution) solutions offer an alternative to on-premises failover, but when they are based on the same on-premises DR (disaster response) technology, they cannot realize the full technical and business advantages of the cloud: multi-tenancy, scalability, agility, and cost-efficiency.

“Incorporating object storage into a backup service is relatively straightforward and, today, is commonly supported by most data protection vendors,” said Tom Critser, co-founder and CEO, JetStream Software. “But service providers haven’t previously had a CDP (continuous data protection) solution that continuously replicates data directly into an object store and uses the object store exclusively to maintain all recovery assets, including the recovery of system information, network configurations, and ongoing protection policies. That’s a very different kind of challenge that JetStream DR on Cloudian uniquely addressed.”

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