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Artelia modernise son système d’information avec SAP S/4HANA et la technologie SAP Fiori

L’ergonomie utilisateur avancée de SAP S/4HANA a convaincu Artelia de moderniser son SI SAP existant. Un projet complexe, mené à bien en moins de huit mois, avec l’aide de PASàPAS et l’engagement sans faille des équipes d’Artelia.

 

Artelia est un groupe d’ingénierie pluridisciplinaire français (industrie, bâtiment, mobilité, eau, énergie) qui a pour particularité d’être détenu à 100% par ses managers et salariés. En croissance rapide, le groupe approche aujourd’hui les 7000 collaborateurs et fait partie du top 15 européen des sociétés d’ingénierie de la construction.

En 2021, Artelia a enregistré un chiffre d’affaires de 745 millions d’euros, dont 85% réalisés en Europe. L’entreprise est implantée dans plus de 40 pays, avec une forte présence en Europe, mais également en Asie et en Afrique. Elle ambitionne de passer le cap du milliard d’euros de chiffre d’affaires annuel en 2025.

Un fort besoin de modernisation

« En 2018, nous avons dû faire face à l’obligation de déposer dans Chorus Pro les factures destinées à nos clients du secteur public, explique Angéline Carlassare, Responsable SI finance chez Artelia. En parallèle, nous voulions aller plus loin sur le sujet de la dématérialisation. » L’interface utilisateur de SAP ECC n’était pas adaptée à un public d’assistantes et assistants. La création d’applications simples d’usage, exploitant la technologie SAP Fiori, a permis alors de répondre au besoin d’Artelia.

Plus tard, d’autres demandes ont émergé, cette fois-ci sur la partie achat. « Nous nous sommes alors dit que nous aurions tout intérêt à basculer sur SAP S/4HANA, avant d’adopter le module achat, afin de profiter de sa nouvelle ergonomie. »

Dans la phase finale de son appel d’offres, Artelia a commandé auprès des deux candidats sélectionnés une étude de cadrage. La société voulait ainsi donner l’opportunité à chacun des intégrateurs de partager leur vision du projet. C’est PASàPAS, l’un des deux partenaires SAP récurrents d’Artelia, qui a été retenu.

Un projet solidement cadré

Le périmètre de l’ERP d’Artelia est somme toute assez classique : finance, contrôle de gestion, gestion des projets et administration des ventes. Mais il est complexifié par des applications périphériques, dont de la BI et un CRM. Le tout dans un contexte multi-ERP, qui est le résultat d’une forte croissance du groupe, organique comme externe.

« Pour sécuriser le projet, nous avions demandé à SAP une formation sur les écarts existants entre SAP ECC et SAP S/4HANA, explique Nicolas Panayoti, Responsable de la transformation digitale finance chez Artelia. Nous avons détecté une cinquantaine de changements s’appliquant à notre SI. Les écarts majeurs – une dizaine – ont été intégrés au projet proactivement afin de diminuer les risques lors de la mise en route de notre nouveau SI. »

« Un projet de migration reste coûteux, poursuit Angéline Carlassare. Il faut donc être capable d’amener rapidement de la valeur. Toutefois, afin de sécuriser notre projet, nous avons décidé d’opter pour une approche en deux temps : une phase de conversion, comprenant un minimum de modifications majeures, suivie d’une étape de réflexion autour de ce que SAP S/4HANA pourra nous proposer par la suite. »

Une approche en phase avec les contraintes pesant sur l’agenda d’Artelia. Lancé en mai 2021, le projet devait en effet impérativement être terminé en fin d’année, afin que le nouvel ERP soit en production lors de la fusion de trois sociétés du groupe, programmée en janvier 2022.

Artelia modernise son système d’information avec SAP S/4HANA et la technologie SAP Fiori (French)

Un client très engagé

L’ERP SAP S/4HANA est aujourd’hui en fonction chez Artelia. Avec deux types de retours :

  • Les équipes finance n’ont pas vu de réel changement, les processus qu’ils utilisent n’ayant pas été profondément modifiés lors de la migration. Quelques régressions ont pu être constatées, par exemple au sujet des business partners. La configuration d’une tuile standard proposée par SAP a permis toutefois de limiter l’impact de ce problème, en proposant une expérience utilisateur satisfaisante pour des ADV.

Pendant le projet, Artelia s’est trouvé confronté à quelques difficultés, certains choix faits pouvant avoir un impact important pour l’organisation. « Lorsque nous avons soulevé ce problème, PASàPAS a adapté son dispositif, en mettant en place des réunions hebdomadaires nous permettant de faire le point sur les choix faits, l’impact de ces choix et les décisions qu’il nous fallait prendre. Cette initiative a été clé dans la réussite du projet, » explique Angéline Carlassare. « Nous avons mis du temps à nous caler avec le partenaire, confirme Nicolas Panayoti. Mais, finalement, le projet s’est bien déroulé, car toutes les équipes étaient impliquées, celles d’Artelia, comme celles de PASàPAS. »

L’année 2022 est celle de la stabilisation de l’ERP et de la recherche de quick wins. Artelia va ainsi mener plusieurs sprints visant à intégrer des évolutions fonctionnelles, notamment au travers de la mise en place de cockpits Fiori.

L’année 2023 sera pour sa part consacrée à l’activation du module achats. Mais aussi à la montée de version de l’ERP. « Le rythme des mises à jour de l’ERP SAP S/4HANA est plus rapide que précédemment, avec un support limité à 5 ans, rappelle Angéline Carlassare. Or, nous avons opté pour la version 1909 de SAP S/4HANA. Nous avons donc programmé une montée de version en 2023, en prévision de la fin de support de SAP S/4HANA 1909 en 2024. »

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Source de l’article sur sap.com

En 2021, le groupe Guerbet a décidé de basculer de SAP ECC vers SAP S/4HANA, afin de tirer profit des nouveautés fonctionnelles et technologiques de la dernière génération de l’ERP SAP. Une conversion achevée avec succès en mois d’un an.

 

Guerbet est une entreprise de santé française, spécialiste de l’imagerie médicale à visées diagnostique et opérationnelle.

Industriel d’envergure internationale, Guerbet est implanté dans plus de 80 pays et fait travailler plus de 2600 employés, pour un chiffre d’affaires en 2022 de 753 millions d’euros. En 2013, Guerbet décide de mettre en place l’ERP SAP ECC, commun à l’ensemble de ses filiales. Un projet de grande envergure.

« En 2020, notre ERP SAP ECC était déployé sur quasiment l’intégralité de nos sites des zones EMEA et APAC, avec à la clé près d’un millier d’utilisateurs », précise Marcello Bellato, Chief Information Officer de Guerbet.

Une conversion anticipée pour mieux exploiter ses opportunités

En 2021, Guerbet choisit d’opérer sa conversion vers l’ERP Intelligent SAP S/4HANA, alors même que SAP ECC n’a été déployé que sur la moitié des sites du groupe.

« Nous aurions pu réaliser cette conversion à la fin du déploiement de SAP ECC, poursuit Marcello Bellato, mais nous aurions alors raté l’opportunité de pouvoir profiter rapidement des avancées proposées par SAP S/4HANA, dont nous avons besoin pour accompagner notre transformation : nouveautés fonctionnelles, intégration d’outils analytiques et de reporting, automatisation avancée, etc. La conversion vers SAP S/4HANA et les nouvelles fonctionnalités nous permettront également d’accélérer le déploiement sur les pays restants, en réduisant les personnalisations. »

Guerbet décide de se faire accompagner par TeamWork sur ce projet. « Nous connaissions déjà cet intégrateur, dont le travail nous avait donné satisfaction. De plus, nous apprécions sa flexibilité et la proximité que ses équipes ont su nouer avec les nôtres. Des éléments très importants, dont nous espérions tirer profit dans le cadre de ce projet de conversion. »

11 mois pour convertir un ERP au périmètre étendu

Le projet démarre le 9 juin 2021, avec un go live de la solution SAP S/4HANA programmé pour le week-end de Pâques 2022, soit 11 mois plus tard. Un planning d’autant plus serré que le périmètre de la solution SAP ECC est particulièrement large. « Notre ERP ne se limite pas à la finance, confirme Marcello Bellato. Il couvre l’ensemble de notre supply chain : achats, ventes, production, distribution, logistique, gestion des entrepôts, service client… »

L’une des clés du succès de ce projet réside dans la forte implication des équipes métiers. « Près de 200 personnes ont participé à ce projet chez Guerbet. Ces experts métiers ont su travailler en coordination – et en bonne intelligence – avec nos équipes IT et celles de TeamWork. » L’autre clé du succès a été le soin apporté à la phase de test, pendant laquelle près de 3600 scénarios furent déroulés.

Les efforts conjugués des métiers, de l’IT et des équipes de TeamWork ont permis de lancer SAP S/4HANA dans les délais attendus, sans impact notable pour les utilisateurs ni interruption des opérations.

Des sessions de présentation ont aussi été organisées par TeamWork tout au long du projet. Elles ont permis aux key users de découvrir en amont les fonctionnalités et évolutions apportées par l’ERP SAP S/4HANA. Un atout clé pour emporter leur adhésion, les préparer au futur ERP, mais également construire la feuille de route des évolutions souhaitées pour les années à venir.

Roll-out et exploitation des atouts de SAP S/4HANA

Maintenant que la conversion a été réalisée, Guerbet peut reprendre son programme de déploiement, avec en ligne de mire les États-Unis, la zone LATAM et les pays d’Asie pour lesquels le déploiement de l’ERP n’avait pas encore été réalisé.

En parallèle, Guerbet va faire évoluer son ERP SAP S/4HANA, selon une feuille de route définie lors de la conversion (et des sessions de présentation aux métiers). La société a d’ores et déjà mis en œuvre un système de prise de commandes sur le Web, intégré avec l’ERP et déployé sur la SAP Business Technology Platform. D’autres projets sont à l’étude :

  • l’utilisation de RPA (Robotic Process Automation), afin d’automatiser la prise en charge des factures fournisseurs ;
  • le déploiement de SAP Cash Application, qui permettra de simplifier le processus Order-to-Cash ;
  • l’amélioration de la gestion des stocks, avec la mise en place d’un processus de Product Allocation ;
  • l’utilisation des Embedded Analytics de SAP S/4HANA, notamment pour calculer le délai moyen de paiement.

« Nous envisageons également de continuer à tirer profit de la technologie SAP Fiori, par exemple en l’utilisant au sein d’une application mobile qui permettrait de simplifier la maintenance des équipements présents sur nos lignes de production », conclut Marcello Bellato.

 

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Source de l’article sur sap.com

Concevoir et réaliser des tests numériques pour applications mobiles

Je suis passionné par la conception et la réalisation de tests numériques pour les applications mobiles. Je vais partager mes connaissances et mes techniques pour vous aider à améliorer vos tests.

H2: L’écosystème des expériences numériques à venir est propulsé par le mobile

Avec l’environnement numérique de plus en plus complexe, les marques doivent s’adapter aux besoins de leurs clients à travers divers appareils, plateformes et canaux. Cependant, avec des ressources limitées, les marques ont tendance à choisir des emplacements établis pour servir leurs clients. Selon une enquête de Forrester, les dirigeants développent des expériences personnalisées pour les appareils les plus populaires des consommateurs, donnant la priorité aux canaux plus établis tels que les sites Web et les applications mobiles. Les marques optimisent également leurs sites Web pour une utilisation mobile, tandis que les applications mobiles offrent une occasion d’engagement plus fréquente avec les clients. Malgré la disponibilité de nombreux produits numériques, les entreprises mettent toujours l’accent sur les expériences numériques Web et mobiles. Pour offrir une expérience mobile supérieure et bien servir vos clients mobiles, il est nécessaire de procéder à des tests numériques pour les applications mobiles. Dans ce blog, nous expliquerons pourquoi les tests numériques sont essentiels pour les applications mobiles, comment ils diffèrent des applications Web et comment concevoir et effectuer des tests numériques pour les applications mobiles.

Le mobile est le moteur de l’avenir des écosystèmes d’expérience numérique

Les appareils mobiles sont devenus un élément familier de la vie quotidienne pour des millions de personnes. Dans le monde entier, des appareils dotés d’une connexion Web tels que les smartphones et les tablettes sont devenus des outils essentiels pour la communication, l’information et le divertissement. Selon Statista, en 2022, le nombre d’utilisateurs uniques d’Internet mobile était de cinq milliards, ce qui indique que plus de 60 % de la population mondiale d’Internet utilise un appareil mobile pour se connecter en ligne. La possession et l’utilisation d’Internet mobile sont prévues pour continuer à croître dans le futur car les technologies mobiles deviennent plus abordables et accessibles que jamais. Cette tendance à la hausse de l’adoption d’Internet mobile est évidente dans les marchés numériques en développement où les réseaux mobiles sont le principal moyen d’accès à Internet. Le trafic Internet mobile représente environ 60 % du trafic Web. En revanche, dans les marchés axés sur le mobile comme l’Asie et l’Afrique, les connexions mobiles représentent une part encore plus importante des pages Web consultées.

L’architecture mobile est essentielle pour fournir une expérience numérique optimale

L’architecture mobile est essentielle pour fournir une expérience numérique optimale. Les entreprises doivent comprendre comment leurs clients interagissent avec leurs produits et services à travers leurs appareils mobiles et comment ces interactions peuvent être améliorées. Les marques doivent s’assurer que leurs applications mobiles sont conçues pour fonctionner correctement sur différents appareils et systèmes d’exploitation. Une architecture mobile réussie implique une stratégie de conception cohérente et cohérente qui tient compte des différents facteurs tels que la taille de l’appareil, la résolution, la connectivité et la plate-forme cible. Les entreprises doivent également prendre en compte la vitesse et la fiabilité du réseau lorsqu’elles développent des applications mobiles afin de garantir une

Source de l’article sur DZONE

SAP SE (NYSE : SAP) annonce aujourd’hui que Bboxx, fournisseur d’énergie propre et de services publics de nouvelle génération, a choisi l’offre de cloud Grow by SAP pour développer son activité et atteindre son objectif ambitieux de résoudre la problématique de la précarité énergétique.

Avec 770 millions de personnes vivant actuellement sans accès à l’énergie, Bboxx a été fondée en 2010 pour mettre fin à la pauvreté énergétique. Bboxx fabrique, distribue et finance des systèmes solaires décentralisés dans les pays en développement. Grâce à la fourniture d’une énergie abordable, fiable et propre, l’entreprise a un impact positif sur la vie de plus de 2 millions de personnes avec ses produits et services. Bboxx fournit ses produits et services à des clients mal desservis dans les zones rurales grâce à sa technologie innovante, Bboxx Pulse®, qui est sa propre plateforme de gestion à la pointe de la technologie. Bboxx Pulse® permet la croissance des futures entreprises mondiales de services publics et leur permet de gérer l’échelle, lorsque les clients, les employés et les produits sont dispersés dans des endroits éloignés.

Bboxx était donc à la recherche d’une plateforme basée sur le cloud computing, capable de fournir des logiciels évolutifs de pointe et d’intégrer les meilleures pratiques pour l’aider à étendre sa présence sur de nouveaux marchés. Bboxx a choisi SAP Business ByDesign – Supply chain and Finance avec Grow By SAP, un programme exclusif pour les entreprises en hypercroissance. La phase 1 du projet a été lancée en Asie en mai 2021. Ce n’est qu’un début, la phase 2 doit être lancée au Royaume-Uni, en France et au Rwanda en septembre 2021, et la phase 3 en RDC, au Kenya, au Togo et au Nigeria en décembre 2021. Au cours de la phase 3, SAP Business ByDesign sera intégré à Bboxx Pulse®. La mise en œuvre de SAP Business ByDesign est prise en charge par Orchard House Solutions, partenaire SAP de la transformation des activités et de Grow.

En utilisant les solutions ERP, finance et supply chain de SAP, Bboxx gagnera en efficacité grâce à l’automatisation généralisée des processus et à l’utilisation des meilleures pratiques intégrées à SAP. Le fait de disposer d’une seule interface cloud pour la finance et la chaîne d’approvisionnement aidera Bboxx à mettre en place un processus cohérent à l’échelle mondiale tout en répondant aux besoins locaux en matière de reporting.

Anthony Osijo, directeur financier du groupe Bboxx, a déclaré : « Bboxx est actuellement présent dans 10 pays, et nous avons l’ambition d’atteindre 23 pays d’ici cinq ans. Nous avons un impact positif direct sur 1,8 million de vies grâce à la fourniture d’une énergie propre, fiable et abordable. Nous voulons accélérer l’accès à l’énergie dans les pays en développement et continuer à transformer des vies et à révéler des potentiels grâce à l’accès à l’énergie. Face à l’ampleur de ces objectifs, il est essentiel d’avoir un partenaire mondial stratégique comme SAP, suffisamment souple et innovant pour vouloir nous accompagner dans cette démarche. »

Romain Gauthier, Vice-président régional – Nouveaux clients EMEA Nord chez SAP, a déclaré : « SAP était le partenaire idéal pour épauler la mission audacieuse de Bboxx, qui consiste à mettre fin à la précarité énergétique dans le monde, en lui fournissant une infrastructure de cloud unique, hautement flexible et évolutive. Le programme Grow by SAP a été spécialement conçu pour soutenir les entreprises à croissance rapide et les start-ups. Il permettra à Bboxx de bénéficier d’une supply chain, de finances, de comptabilité et d’un service client avancés sur trois grands continents, tout en veillant à ce qu’elle conserve sa base tarifaire compétitive. Lorsqu’il s’agit d’aider les entreprises à étendre leur empreinte et à se développer sur de nouveaux marchés, SAP est un véritable partenaire stratégique. »

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

Contacts presse SAP
Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Mateo Moreau : 06.31.80.86.93 – presse-sap@publicisconsultants.com
SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

 

 

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Source de l’article sur sap.com

Auparavant, « mener la belle vie » signifiait jouir du confort et du luxe, loin des problèmes financiers et des préoccupations environnementales. Ce n’est plus le cas aujourd’hui.

Selon une récente étude Harris/Ketchum commandée par Sustainable Brands, une communauté mondiale d’innovateurs de marque, la définition d’une belle vie a changé. Plutôt que l’argent, le statut et les réalisations personnelles, aujourd’hui, « la base d’une vie bien vécue repose sur l’équilibre, la simplicité et des liens plus étroits avec la famille, la communauté et l’environnement ».

Selon les sources, la recherche indique qu’environ 65 à 95 % des personnes veulent désormais vivre une vie plus durable et acheter des produits qui soutiennent un avenir plus durable. Cela a un impact considérable sur les sociétés qui souhaitent rester compétitives dans ce nouveau contexte.

Comment les marques évoluent-elles alors pour répondre aux besoins et aux aspirations des consommateurs qui apprécient la simplicité, la transparence, l’authenticité et la durabilité plutôt que les biens personnels et l’apparence ?

Appliquer la théorie

Les objectifs et la vision des marques durables sont clairs. Elles créent des feuilles de route pour développer en permanence des pratiques commerciales plus durables. Elles excellent dans le leadership éclairé, l’innovation et les meilleures pratiques pour façonner une culture où la vie durable constitue la base de la belle vie de demain.

En voici quelques exemples sympathiques.

Procter & Gamble, géant des produits de consommation courante, a augmenté d’un cran ses initiatives en termes d’économie circulaire en fabriquant des bouteilles à partir du plastique ramassé sur les plages et repêché dans les océans. La société s’est également engagée à recycler et à récupérer 5 milliards de litres d’eau par an de ses processus de fabrication. Elle s’attaque même à un problème que personne d’autre ne semble savoir résoudre : la société a inventé une technologie capable de redonner de la valeur aux déchets, comme la cellulose plastique des couches jetables sales.

À Haïti, une des conséquences involontaires des opérations de secours après le séisme dévastateur de 2010 a été l’accumulation de montagnes de bouteilles plastique sur toute l’île. Des bouteilles d’eau vides et les emballages des fournitures expédiées pour aider les Haïtiens se sont retrouvés dans les canaux, sur les plages et dans les rues. Le système de collecte des déchets du pays s’est alors effondré. Aujourd’hui, ces bouteilles trouvent une seconde vie sous la forme de cartouches d’imprimante. À travers un projet de recyclage radical, HP, une société qui voit la circularité comme une approche liée au cycle de vie des produits, collabore avec divers partenaires pour créer de nouveaux emplois, offrir une formation en matière de santé et de sécurité et instruire des centaines d’enfants qui collectaient auparavant des déchets pour venir en aide à leur famille.

Parvenir à la belle vie

En mai 2019, plus de 2 500 représentants de la communauté Sustainable Brands se sont rassemblés à Détroit afin de faire part de leurs efforts et de s’inspirer de ce que font les autres pour agir et avoir la conscience tranquille, tout en fournissant des produits et des services qui répondent aux besoins et aux visions des clients et des consommateurs.

Cette conférence de quatre jours attire des leaders éclairés, des innovateurs, des experts du développement durable et des stratèges de marque du monde entier. L’événement principal est l’exposition Innovation Expo. Les participants peuvent s’inscrire à des ateliers, à des laboratoires d’innovation et à des activités de programmation centrés sur l’amélioration du monde.

L’exposition est divisée en pavillons « Belle vie » dédié aux différents secteurs du marché tels que la chimie, l’énergie et la finance, ainsi qu’à des sujets tels que la circularité et la gestion des ressources. Une section est même consacrée aux revues qui sont capables d’inspirer des changements comportementaux, comme le National Geographic.

En tant que sponsor « Good Life Lounge » pour l’économie circulaire, SAP organise plusieurs dialogues interactifs sur des sujets stratégiques. La question de la pollution plastique des océans est un des sujets de la conférence auquel les dirigeants de SAP sont très attachés.

Notre génération a fait la différence

The Knowledge That our Generation Has Made a Difference

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The Knowledge That our Generation Has Made a Difference

Vidéo d’Angela Klose

Une direction qui a du sens

En 2018, Stephen Jamieson, responsable de SAP Leonardo au Royaume-Uni et en Irlande, a participé à la création de « Plastics Cloud », une plateforme pour s’attaquer au problème du plastique à usage unique. L’initiative compile des informations et utilise l’apprentissage automatique pour identifier les matériaux et les tendances prévisionnelles en matière d’achat et de recyclage de matières plastiques, ce qui permet aux services de répondre à la demande. Elle partage également des données avec les consommateurs pour les aider à comprendre l’impact qu’ils ont au sujet des matières plastiques.

Entre-temps, Padmini Ranganathan, vice-présidente globale Produits et innovation chez SAP, a inclus Plastics for Change dans Ariba Network, de façon à intégrer l’économie informelle des collecteurs de déchets dans un système d’offre et de demande de matériaux secondaires plus formalisé.

L’initiative de Stephen Jamieson et le travail de Padmini Ranganathan avec les collecteurs de matières plastiques ont été deux des principaux facteurs qui ont poussé SAP à parrainer le sommet Ocean Plastic Leadership Summit dirigé par Jim Sullivan, responsable de l’Innovation durable chez SAP, et Alexandra van der Ploeg, responsable de la Responsabilité sociale d’entreprise chez SAP.

Comme l’a dit Mohammed Ali « l’impossible est temporaire ». Ce paradigme a été répété à maintes reprises par les 170 producteurs, scientifiques, chercheurs et innovateurs participant au sommet océanique. Bien que la pollution plastique des océans soit un immense défi, Jim Sullivan estime que si les gouvernements, les organisations non gouvernementales (ONG), les consommateurs et les leaders industriels s’associaient, il serait possible de le relever en dix ans. La plupart du plastique est rejeté dans l’océan par cinq cours d’eau en Asie. Les experts estiment qu’en réduisant la quantité des matières plastiques déversées dans les cours d’eau de seulement 20 % au cours des sept prochaines années, les océans reviendraient aux niveaux de pollution plastique des années 1990.

La technologie pour y parvenir existe déjà. C’est l’investissement nécessaire au développement de cette infrastructure essentielle qui fait défaut, et ce manque s’accentue encore plus du fait de l’échec du système d’offre et de demande de matériaux recyclés.

Les entreprises durables jouent un rôle majeur dans la solution. Elles transforment leurs activités avec des modèles circulaires qui permettent aux consommateurs et aux producteurs de refuser, de réduire, de réutiliser et de recycler. Ensemble, ils créent une assise durable pour mener la belle vie, selon la nouvelle définition qu’on lui prête.

Publié en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Le mois dernier, 162 personnes d’horizons très différents ont embarqué à bord d’un navire pour rejoindre le Sommet contre la pollution plastique des océans (OPLS) dans le gyre de l’Atlantique Nord, un système circulaire de courants océaniques. Ces personnes ont pris part à une expédition de recherche expérimentale pour mieux comprendre l’étendue de la pollution plastique, et pour développer des partenariats et des solutions intersectorielles en vue de relever ce défi mondial au cours de la prochaine décennie.

Organisée par SoulBuffalo, cette expérience immersive a été conçue pour mettre les décideurs en situation, afin qu’ils puissent observer et ressentir par eux-mêmes le côté catastrophique de la pollution plastique. Selon l’Oceanic Society basée en Californie, entre 4 et 12 millions de tonnes métriques de plastique sont déversées chaque année dans l’océan, soit suffisamment pour couvrir tout le littoral de la planète ! Et ces chiffres devraient plus que doubler dans les dix prochaines années.

Cependant, la pollution plastique océanique est un problème que nous pouvons résoudre. Nous savons comment ramasser les ordures et nous savons comment les recycler. Selon Ted Siegler, un économiste spécialisé dans les ressources qui a travaillé pendant 25 ans sur la gestion des ordures dans les pays en développement, l’urgence est de construire les institutions et systèmes nécessaires pour y parvenir avant que l’océan ne se transforme irrémédiablement en une « soupe plastique » dénuée de toute forme de vie.

Pas un poisson en vue

Le groupe OPLS était constitué de producteurs, fabricants, marques, recycleurs et syndicats d’éboueurs. Étaient également au rendez-vous des experts financiers, des scientifiques, des revues comme le National Geographic, des chercheurs, des leaders éclairés et des innovateurs, depuis les cadres d’entreprises telles que Coca-Cola, Nestlé, Procter & Gamble et Dow Chemicals, jusqu’aux ONG telles que Greenpeace, WWF et Ocean Conservancy.

Chaque fois que le navire s’approchait d’algues sargasses, les participants interrompaient leurs réunions pour sauter dans des bateaux pneumatiques munis de leur équipement de plongée.

Ils ne virent aucun poisson de la journée. Et au début, ils ne virent pas beaucoup de plastique non plus. Le plastique est trompeur, car il n’est pas visible à la surface. Dans l’océan, il se décompose en petites particules qui sont capturées par les algues et ingérées par les espèces marines.

« Le vrai problème, c’est ce qui n’est pas visible », déclare Michael Groves, PDG de Topolytics, une entreprise d’analyse de données dédiée à la gestion des déchets, qui participait à l’expédition. Il explique que sur une distance d’un kilomètre, le navire a récupéré 76 débris microplastiques immédiatement sous la surface.

Multipliez ce chiffre par la quantité de microplastique présente dans la colonne d’eau qui descend jusqu’à une profondeur de 2,5 kilomètres et vous comprendrez l’immensité du problème.

Accepter la responsabilité

Comme l’explique Virginie Helias, directrice du développement durable chez Procter & Gamble, « le problème de la pollution plastique dans nos océans relève de la responsabilité de tous aujourd’hui, y compris des entreprises qui produisent et utilisent une grande partie du plastique dans le monde. »

John Hocevar, directeur de la campagne Océans de Greenpeace, le confirme.

« Les personnes présentes sur ce navire représentent des entreprises responsables d’une grande partie de l’empreinte plastique de la planète. Nous avons donc réuni ici les personnes réellement à même de résoudre le problème de la pollution plastique », a-t-il affirmé. « Plusieurs entreprises se concentrent sur des solutions en aval telles que le recyclage et l’éducation des consommateurs, mais ce dont nous avons besoin, c’est d’un plus grand nombre d’individus, d’entreprises et de gouvernements qui assument la responsabilité de la fin de production. »

John Hocevar estime que nous ne pourrons pas venir à bout de la pollution plastique tant que nous continuerons à en tirer parti et déclare que la plupart des entreprises ne sont même pas conscientes de la quantité de plastique qu’elles produisent. Le point de départ pour toute entreprise est d’évaluer son empreinte plastique, puis de se fixer des objectifs pour la réduire.

Mais il y a aussi de bonnes nouvelles. Plusieurs marques durables comme Procter & Gamble intensifient leurs initiatives en matière d’économie circulaire pour réduire, réutiliser et recycler les matières plastiques et autres ressources, et beaucoup d’autres prennent des mesures pour lancer des initiatives similaires.

Adidas, par exemple, fabrique des chaussures à partir du plastique repêché dans les océans. L’on doit cette idée à John Warner, un fondateur de la chimie verte, qui faisait partie de l’expédition.

Dow Chemicals, l’un des sponsors de l’expédition OPLS, a récemment annoncé qu’il participerait à une levée de fonds mondiale d’un milliard de dollars pour venir à bout des déchets plastiques dans l’environnement.

Jim Sullivan, qui pilote l’accélérateur d’innovation de SAP en matière de développement durable à l’échelle mondiale et qui a participé à l’organisation de l’expédition, souligne que pour résoudre une crise mondiale de cette ampleur, nous devons entamer un dialogue ouvert et parfois difficile avec les différentes parties prenantes. Nous devons également adopter une approche multisectorielle qui permette d’identifier les compromis avec d’autres défis mondiaux, tels que le changement climatique, afin d’éviter des conséquences graves. De plus, nous devons utiliser des métriques communes pour donner la priorité aux activités les plus significatives et suivre les progrès réalisés sur la voie des aspirations telles que le « zéro plastique » dans la nature en 2030.

Préserver plutôt que consommer

Il n’existe aucune solution ou entreprise capable de résoudre ce problème à elle seule. Les partenariats et les solutions évolutives tels que le Sommet contre la pollution plastique des océans constituent une pièce centrale du futur que nous devons inventer.

Dans un premier temps, il vaudrait la peine de revenir sur le « conflit d’intérêts initial entre les populations autochtones et les populations à l’ère industrielle, à savoir la gestion de la terre, de l’eau, du feu et de l’air ». Selon Patricia Anne Davis, gardienne de la sagesse navajo, ce conflit d’intérêts est toujours d’actualité.

Les populations autochtones ont protégé ces éléments depuis le début de l’humanité, alors que les populations à l’ère industrielle ont saccagé la planète en seulement un ou deux siècles. Ce conflit n’est plus durable et doit cesser, dans l’intérêt de tous les êtres humains de la planète.

« Nous devons passer de la consommation à la préservation », indique Damien Johnson, qui participait au sommet en tant que représentant du bureau d’innovation SAP en Amérique du Nord. Damien Johnson estime que la solution comporte deux volets : premièrement, stopper l’introduction de nouveaux déchets plastiques et deuxièmement, améliorer les processus de recyclage des déchets existants.

« L’utilisation du plastique a été motivée par l’innovation et le souhait d’améliorer l’expérience client.  Nous devons à présent utiliser la technologie et l’innovation pour maintenir cette expérience, mais supprimer les matières plastiques à usage unique », conclut-il.

Créer de la valeur

L’un des problèmes qui se pose avec les déchets plastiques, c’est qu’ils ne possèdent pas encore de valeur marchande…

Dans de nombreux pays comme le Brésil et l’Inde, les ramasseurs de rue récupèrent du métal, des guenilles et du papier, puis les revendent en vue de leur recyclage. Mais la plupart des matières plastiques n’intéressent personne, car elles ne possèdent aucune valeur marchande.

« Le pire, c’est que les entreprises qui veulent utiliser du plastique recyclé ont du mal à en trouver sur le marché », déclare Padmini Ranganathan, vice-présidente globale Produits et innovation chez SAP.

C’est pour cette raison que Padmini Ranganathan et son équipe sont en train d’intégrer de nouvelles entreprises comme Plastics for Change sur Ariba Network, pour associer l’économie parallèle de ramassage de déchets à des systèmes plus officiels d’offre et de demande de matières secondaires.

« Nous devons intégrer les déchets plastiques dans la chaîne logistique, afin qu’ils ne soient pas récupérés dans le secteur illégal, car les éboueurs travaillent dur pour trier et convertir les déchets en valeur marchande », prévient Padmini Ranganathan.

La solution à long terme passe par un changement de fond, aussi bien dans le système de flux d’articles que dans les systèmes numériques.

« Outre les ERP et les processus de gestion, nous devons exploiter des systèmes numériques agiles et évolutifs au fur et à mesure que la chaîne logistique du plastique se transforme », déclare Padmini Ranganathan.

Technologie et travail d’équipe

Bien que la pollution plastique des océans soit un immense défi, ces experts estiment que si les gouvernements, les ONG, les consommateurs et les entreprises s’associaient, il serait possible de le relever en dix ans. En effet, la plupart des matières plastiques sont rejetées dans l’océan par cinq fleuves en Asie, ce qui signifie qu’une simple réduction de 20 % des matières plastiques déversées dans les cours d’eau au cours des sept prochaines années permettrait de revenir aux niveaux de pollution plastique océanique des années 1990.

La technologie pour y parvenir existe déjà. Les entreprises durables jouent un rôle majeur dans la solution. Elles transforment leurs activités avec des modèles circulaires qui permettent aux consommateurs et aux producteurs de refuser, de réduire, de réutiliser et de recycler. En réunissant les entreprises, les gouvernements, les ONG et les groupes de protection des océans, il est possible de créer une solution globale pour un avenir durable.

Publié initialement en anglais sur Forbes dans la catégorie Brandvoice

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Source de l’article sur sap.com

LEVALLOIS-PERRET, France – 10 décembre 2020 – SAP France, 5ème filiale du Groupe SAP, leader du marché des logiciels d’applications d’entreprise, annonce le renforcement de sa stratégie « Green Line » avec la création d’une direction dédiée. Dirigée par Pascal Le Nahédic, celle-ci vise à aider les organisations à répondre à une de leurs priorités incontournables : améliorer leur impact environnemental et sociétal. SAP entend ainsi accélérer sur les sujets clés du développement durable.

En effet, les entreprises européennes sont face à une problématique complexe : alors qu’elle ont consacré 124 milliards d’euros l’an dernier à de nouvelles actions de réduction de leurs émissions de Co2, elles vont encore devoir doubler les investissements bas carbone pour avoir une chance d’atteindre l’objectif de zéro émission nette en 2050 fixé par Bruxelles.

Pascal Le Nahédic nommé Directeur des solutions à impact écologique et sociétal, SAP France

Pascal Le Nahédic prend les commandes des solutions à impact écologique et sociétal de SAP et sera en charge d’accompagner les clients de SAP dans le développement de nouvelles pratiques pour réduire leur empreinte sur l’environnement grâce aux technologies.

Après avoir passé 10 ans au sein du Groupe Exxon en Europe et en Asie, Pascal rejoint SAP France en 1999 en tant que Directeur de projet. En 2007, il occupe la fonction de Presales Industries. Depuis 2015, il assure le rôle de Presales Business Architect pour l’industrie ENR. Passionné par le sujet d’économie circulaire, il multiplie les initiatives d’intrapreneuriat en interne dont un projet innovant visant à aider les entreprises à réduire leurs déchets en termes de PLV (Publicité sur Lieu de Vente).

Sylvie Turcotte – Directrice Avant-Vente, SAP France

Sylvie Turcotte est à la tête de l’ensemble de l’organisation Avant-Vente pour SAP France.  Elle a pour mission de renforcer la croissance cloud de la filiale française par la mise en place de nouvelles approches avant-vente. Passionnée du milieu des technologies depuis 30 ans dont 20 ans au sein du groupe SAP. Sylvie a débuté sa carrière chez SAP Canada en 2000 comme consultante Finance, Funds management et Real Estate, avant de rejoindre l’équipe avant-vente Secteur Public pendant plusieurs années pour ensuite devenir directrice des ventes de Premium Engagement. Par la suite, elle a été nommée Customer Solution Director (CSD) puis Directrice de l’équipe Digital Core (Finance et Supply Chain) au niveau de SAP Canada, rôle qu’elle occupait depuis 3 ans.

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Source de l’article sur sap.com


Avec la propagation du coronavirus, un effet domino fait des ravages sur les entreprises et les employés . Les chefs d’entreprise ont été contraints de fermer leurs portes ou de couper les services, ce qui a menacé leurs propres moyens de subsistance et ceux de leurs travailleurs.

Pour atténuer l’impact économique et humain, de nombreux pays ont adopté des lois qui doivent être mises en œuvre rapidement afin de protéger les emplois des citoyens les plus démunis.

Les entreprises étaient sous pression pour se conformer rapidement à ces nouvelles obligations légales et réglementations fiscales. Étant donné que de nombreux changements fiscaux et juridiques influencent la manière dont les entreprises rémunèrent leurs employés, les applications de paie et autres solutions de gestion de l’expérience humaine (HXM) ont été fortement impactées par la législation.

Les entreprises du monde entier se sont donc tournées vers SAP pour les aider à se conformer rapidement aux changements en mettant à jour leur logiciel.

80 mesures juridiques accélérées pour aider les clients

SAP dispose d’une stratégie de localisation solide, conçue pour de telles urgences inattendues. Qu’il s’agisse de mettre en œuvre la conformité légale liée à la sécurité des revenus, de réserver des billets aller-retour pour les employés expatriés bloqués ou d’accorder des allègements fiscaux aux petites et moyennes entreprises, l’équipe des services de mondialisation est là pour vous aider.

Pour relever le défi, il a fallu redistribuer les équipes, mobiliser des ressources supplémentaires et continuer à faire appel à des experts internes et externes.

«Nous n’avons épargné aucun effort pour proposer plus de 80 mesures juridiques accélérées qui aideront les clients à relever les défis actuels du marché», déclare Stefan Steinle, responsable des services de mondialisation chez SAP. «Et en plus de tous les changements juridiques liés au COVID-19, nous continuons également à fournir des mises à jour régulières et des changements juridiques.»

Les services de mondialisation travaillent en étroite collaboration avec les clients et les partenaires afin de fournir une solution pour chaque changement pertinent aussi rapidement et efficacement que possible et de mettre ces informations à la disposition du public. Nestlé est une entreprise mondiale qui s’appuie fortement sur la localisation soutenue par SAP, quel que soit le lieu d’activité de ses clients.

«C’est une excellente idée d’avoir un guichet unique pour tous les changements juridiques liés au COVID-19», déclare Mukesh Kumar Rai, SAP Total Quality Manager chez Nestlé pour l’Asie, l’Océanie et l’Afrique subsaharienne. «C’est encore plus utile pour un client mondial comme Nestlé avec plusieurs versions nationales.»

SAP maintient cette vue d’ensemble des annonces légales pertinentes pour les localisations SAP Payroll Processing et SAP SuccessFactors Employee Central Payroll. Trois exemples en Espagne, en Italie et en Autriche montrent l’étendue des changements légaux que SAP a mis en œuvre dans les solutions HXM pendant la pandémie.

Rallye en Espagne

L’Espagne fait partie des pays les plus durement touchés par le COVID-19 . Les autorités gouvernementales y ont publié six bulletins juridiques contenant jusqu’à quatre changements chacun. Ces changements affectent les paiements et les impôts de la sécurité sociale et nécessitent des modifications d’algorithme des données de base, du calcul de la paie et des rapports juridiques.

Comme l’analyse et la mise en œuvre de ces changements devaient être effectuées rapidement, Gema Moraleda, chef de produit chez SAP Espagne, et Carlos Moehlecke, propriétaire du produit de développement, ont organisé des réunions de groupes d’utilisateurs pour partager les détails des solutions SAP et ont utilisé plusieurs canaux de communication pour tenir les clients informés.

La contribution de SAP a été reconnue par les représentants du groupe d’utilisateurs, les clients et les partenaires. En mars, Juan José Díaz Vázquez de Barrahache , un partenaire SAP, a écrit : «Tout comme il y a des moments de critique, nous de Barrahache pensons également qu’il y a des moments de gratitude, et dans ce cas, nous applaudissons la façon dont SAP Espagne a intensifié ses dons. réponses aux utilisateurs espagnols de la paie en ces temps compliqués que nous vivons. »

Aider l’Italie à guérir

Mi-mars, le gouvernement italien a promulgué le décret-loi Cura Italia (« Guérir l’Italie »), qui contient des mesures telles que le report du paiement des impôts, un traitement spécial des absences, des primes supplémentaires et des allocations pour soutenir les familles. Le plus grand défi était de mettre à jour le logiciel en ligne et en temps voulu, compte tenu de la nature dynamique des annonces. SAP a utilisé tous les canaux de communication possibles pour aider à minimiser tout manque de clarté auquel le client était confronté.

Adaptation au modèle autrichien de travail à court terme

L’Autriche a adopté un modèle de chômage partiel , qui s’appuie sur les allocations de chômage fédérales. Bien que le programme ait nécessité des modifications très complexes du logiciel géré par les entreprises et les institutions, l’équipe régionale des services de mondialisation a terminé l’analyse et la mise en œuvre des changements requis en une semaine.  Dès la deuxième semaine d’avril, plus de 600 000 citoyens avaient demandé une indemnisation dans le cadre du programme, ce qui a incité le gouvernement autrichien à décupler les fonds disponibles pour soutenir le programme de chômage partiel, qui sont passés de 400 millions à 5 milliards d’euros.

Steinle résume la réponse de son équipe à la crise mondiale : « Notre contribution va au-delà de l’expertise en matière de solutions, de l’agilité et de la mise en place de solutions sur mesure. Nous nous sommes distingués non seulement en répondant rapidement aux opportunités du marché, mais aussi en proposant des solutions concrètes qui ont un impact socio-économique énorme sur les citoyens, les entreprises et les gouvernements ».

Tags: COVID-19 , HXM , paie

Article posté pour la première fois en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com