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Okta révolutionne l'identité d'entreprise: dépassement MFA.

Okta révolutionne l’identité d’entreprise en offrant une authentification multi-facteurs plus sûre et plus facile à gérer. Découvrez comment Okta dépasse le MFA.

Au Oktane23, Okta a révélé de nouvelles solutions pour automatiser la gouvernance d’identité, mettre en œuvre la gestion des accès privilégiés et permettre une authentification et une protection contre les menaces continues.

Okta Automates Identity Governance

Okta’s new identity governance solution automates the process of granting and revoking access to applications and other resources. This helps organizations ensure that users have the right level of access to the right resources at all times, while also meeting compliance requirements. The solution also provides visibility into user access and activity, enabling organizations to quickly detect and respond to suspicious behavior.

Okta Enables Privileged Access Management

Okta’s new privileged access management solution helps organizations secure access to their most sensitive resources, such as corporate networks and databases. The solution provides granular control over who has access to these resources and when, while also providing visibility into user activity. This helps organizations detect and respond to suspicious activity quickly and effectively.

Okta Offers Continuous Authentication and Threat Protection

Okta’s new authentication and threat protection solutions help organizations protect their users from sophisticated cyber threats. The solutions provide continuous authentication and threat protection, enabling organizations to detect and respond to threats in real time. The solutions also provide visibility into user activity, allowing organizations to quickly detect and respond to suspicious behavior.

Conclusion

Okta’s new solutions will revolutionize the way organizations manage identity and access, enabling them to secure their digital resources while removing productivity roadblocks for users. The solutions provide automated identity governance, privileged access management, continuous authentication, and threat protection, helping organizations protect their users from sophisticated cyber threats while ensuring compliance with industry regulations.

Introduction

L’identité a historiquement été considérée comme le moyen d’accorder ou de refuser l’accès aux ressources et applications numériques d’une entreprise. Mais dans le paysage technologique de plus en plus complexe et riche en menaces cyber sophistiquées d’aujourd’hui, l’identité doit se transformer en bien plus. Lors de la conférence annuelle Oktane de l’Okta, leader de la gestion d’identité, des nouvelles solutions innovantes ont été annoncées qui redéfiniront le rôle de l’identité dans la sécurisation de l’entreprise moderne tout en supprimant les obstacles à la productivité des utilisateurs.

Okta Automatise la Gouvernance d’Identité

La nouvelle solution de gouvernance d’identité d’Okta automatise le processus d’octroi et de révocation de l’accès aux applications et autres ressources. Cela permet aux organisations de s’assurer que les utilisateurs disposent du bon niveau d’accès aux bonnes ressources en tout temps, tout en respectant les exigences en matière de conformité. La solution offre également une visibilité sur l’accès et l’activité des utilisateurs, ce qui permet aux organisations de détecter et de réagir rapidement à des comportements suspects.

Okta Permet la Gestion des Accès Privilégiés

La nouvelle solution de gestion des accès privilégiés d’Okta aide les organisations à sécuriser l’accès à leurs ressources les plus sensibles, telles que les réseaux et bases de données d’entreprise. La solution offre un contrôle granulaire sur qui a accès à ces ressources et quand, tout en fournissant une visibilité sur l’activité des utilisateurs. Cela permet aux organisations de détecter et de réagir rapidement et efficacement à des comportements suspects.

Okta Offre une Authentification Continue et une Protection

Source de l’article sur DZONE

in Natural Language ProcessingChatGPT : Révolution dans le traitement du langage naturel

Le traitement du langage naturel est en train de connaître une révolution avec ChatGPT, une technologie innovante qui offre des possibilités inédites.

## ChatGPT-4, la nouvelle révolution pour l’industrie du corporate

ChatGPT-4 est la nouvelle révolution pour l’industrie des entreprises. Quatre est la dernière version développée par Open AI – ChatGPT, nommée Generative Pre-Trained Transformer. Cela changera la perception de l’industrie par rapport à la communication avec les machines.

L’apprentissage automatique joue un rôle important en tant que composant dans ChatGPT. ChatGPT comprend l’apprentissage profond et génère des réponses de haute qualité à l’utilisateur en fonction de ses entrées. Il s’agit d’un type de modèle de réseau que nous pouvons considérer comme un modèle de réseau neuronal dans l’apprentissage automatique. Les modèles ne sont rien; certains données formées sur de grands jeux de données textuelles pour comprendre et générer une relation entre les mots ainsi qu’avec des phrases.

ChatGPT-4 est très précis et peut fournir des réponses appropriées à la demande de l’utilisateur. Il peut également être utilisé pour le traitement du langage naturel (NLP), qui est un domaine qui se concentre sur le traitement des données textuelles et leur interprétation. La technologie NLP est utilisée pour analyser et comprendre le langage humain et pour interagir avec lui. ChatGPT-4 peut être utilisé pour analyser les données textuelles et générer des réponses précises et pertinentes à la demande de l’utilisateur.

ChatGPT-4 est une technologie très puissante qui peut être utilisée pour améliorer les processus commerciaux. Il peut être utilisé pour automatiser des tâches répétitives, telles que le traitement des données, la prise de décisions et la gestion des relations avec les clients. Il peut également être utilisé pour améliorer la qualité des services fournis aux clients et pour réduire les coûts liés à la gestion des données. La technologie ChatGPT-4 peut être utilisée pour améliorer la productivité et la rentabilité de l’entreprise en fournissant des informations précises et pertinentes basées sur les données.

Source de l’article sur DZONE

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

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« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

En savoir plus

 

Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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Source de l’article sur sap.com

WALLDORF — SAP SE (NYSE: SAP) today announced its financial results for the fourth quarter and fiscal year ended December 31, 2022.

SAP Announces Q4 and FY 2022 Results

  • All financial outlook metrics met in FY 2022
  • Cloud revenue up 33% and up 24% at constant currencies in FY 2022. Q4 S/4HANA cloud revenue further accelerates, up 101% and up 90% at constant currencies
  • Current cloud backlog exceeds €12 billion, up 27% and up 24% at constant currencies
  • IFRS cloud gross profit up 38%, non-IFRS cloud gross profit up 37% and up 28% at constant currencies in FY 2022
  • IFRS operating profit flat, non-IFRS operating profit down 2% and down 7% at constant currencies in FY 2022. Q4 IFRS operating profit up 17%, non-IFRS operating profit up 5% and up 2% at constant currencies
  • 2023 outlook anticipates accelerating topline and double-digit non-IFRS operating profit growth
  • Targeted restructuring in 2023 reflects focus on strategic growth areas and accelerated cloud transformation
  • SAP has decided to explore a sale of its stake in Qualtrics

“SAP is more resilient than ever. We end 2022 with continued strong cloud momentum and a return to operating profit growth in the fourth quarter, marking an important inflection point. Heading into 2023, this gives us great confidence in delivering on our promise of accelerating topline and double-digit non-IFRS operating profit growth. As we enter the next chapter of SAP, I want to thank Luka for his great partnership on this journey.”

Christian Klein, CEO

“In my 37th and final earnings for SAP, I am proud that the SAP team is announcing excellent results and continued cloud momentum. We are on track to deliver our growth and profitability commitments for 2023. I am extremely confident in the continued success of SAP’s most exciting transformation in its history. Thank you to the wonderful SAP family that I have been part of for 27 years.”

Luka Mucic, CFO

 

Read the Quarterly Statement

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Source de l’article sur sap.com

Levallois-Perret, le 17 janvier 2023. SAP SE (NYSE: SAP) annonce la nomination d’Olivier Nollent au poste de Président Directeur Général de SAP France, l’une des plus importantes filiales commerciales de SAP. Il succède à Gérald Karsenti qui se consacre à de nouveaux projets.

Arrivé chez SAP France en avril 2018 au poste de Directeur Général puis nommé Président Directeur Général en 2020, Gérald Karsenti aura contribué de façon importante à la visibilité de SAP sur le marché français en plaçant toujours le succès des clients et des partenaires au cœur de sa mission.

Alors que SAP France a conduit ces derniers mois de nombreux et importants chantiers de transformation, tant auprès de ses équipes que de ses clients et partenaires, la nomination d’Olivier Nollent va permettre à SAP France de poursuivre la dynamique commerciale engagée et d’accélérer la transition de l’entreprise vers le Cloud en France.

Cette nomination s’inscrit dans la continuité des efforts de développement menés auprès des clients et de tout l’écosystème de partenaires dans leurs grands enjeux de transformation digitale, ainsi que dans la poursuite de la croissance de SAP en France via le développement de ses activités Cloud auprès des grands comptes et PME/ETI.

« Depuis son arrivée au sein de SAP, Olivier a su très rapidement démontrer sa pertinence et son efficacité au service des engagements de SAP France, des clients, des partenaires et des équipes. Son parcours orienté Cloud, son expérience des grands acteurs de notre secteur, sa solide expertise dans le développement du business de la Tech, tout comme ses qualités de leader largement éprouvées depuis son arrivée, sont autant d’atouts dont nous avions besoin pour consolider les fondations de SAP France et retrouver la place qui doit être la nôtre sur le marché. Je remercie également Gérald d’avoir guidé SAP France sur la voie de la transformation de façon remarquable ces 5 dernières années » souligne Rohit Nagarajan, Président EMEA North de SAP.

« Je remercie Gérald pour son accompagnement au cours des dix derniers mois. Je suis très honoré de la confiance qui m’est faite et des responsabilités qui me sont confiées. Mes expériences passées dans de grandes entreprises Tech américaines m’ont permis d’acquérir une expertise reconnue notamment dans l’accompagnement de la transformation des business models de nos clients. Cette nomination intervient suite à une année réussie, tant sur les projets menés auprès des équipes SAP, que sur le renforcement de la relation avec nos clients et partenaires en tant que premier acteur de la Tech européenne. C’est dans cette optique que s’inscrit ma vision pour SAP France. », indique Olivier Nollent.

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Source de l’article sur sap.com

Welcome to our annual guessing game of what the next twelve months will bring.

As ever, the design world isn’t isolated from the world in which it exists, so when events shape our lives, they impact our work, the work clients ask for, and the work that inspires us. According to Collins Dictionary, the word of the year for 2022 was permacrisis. And frankly, 2023 doesn’t look any less turbulent, with some good and some bad things already on the horizon.

Russia seems all but certain to retreat to Crimea and claim its objectives in Ukraine have been achieved; Ukraine may not accept that end, but it will probably be enough to end sanctions against Russia, which will significantly impact the economy worldwide. Brazil may have been forced to watch Argentina lift the FIFA World Cup, but it has a new (old) president and fresh hope for the survival of the Amazon rainforest. Crypto has weathered a series of storms (although there may be more to come), and historical precedence suggests the bear market has run its course; 2023 will see stagnation, with an upward trend taking hold toward the end of the year. The former Pope has died, potentially paving the way for the retirement of the current Pope and the election of a new Pope, bringing with it either renewed liberalism or renewed conservatism to the world’s largest religion. Oh, and the IMF thinks a third of the world will be in recession at some point in 2023; the UK and Russia already are, and policymakers in the US are looking nervous.

And that’s just the obvious. Of course, there will be surprises, too, because there always are.

Against this backdrop, designers must not only navigate a problematic jobs market but produce designs that respond to the needs and desires of their clients’ users.

How Did I Do in 2022?

Before diving into this year’s predictions, let’s take a look at how I thought 2022 would play out.

I predicted that 2022 would be the year of blockchain, with decentralized data storage taking over. Well, I got the decentralized part right, but not so much the blockchain aspect (feel free to tell me I’m wrong on Mastodon because I’m not checking Twitter anymore). I’ll call that half a point.

I said design would be positive, playful, and accessible. I think design did emerge from its obsession with corporate minimalism, but positive and playful? Unfortunately, I’m calling that a miss.

I said everything would be green. Again, that’s a miss. If there was a color for 2022, it was a pink-purple gradient.

I predicted hero text would replace hero images, and in the third quarter of 2022, that’s exactly the trend we saw; tick.

Finally, I suggested that illustration would adopt a grainy texture. Well, some designers did, but it was hardly a dominant trend, so I’m going to have to call that a miss.

So for my 2022 predictions, I scored 30%. Way worse than last year’s clean sweep. Let’s see if we can’t beat that in 2023…

1. We’ll Stop Freaking Out Over AI

By now, you’ve probably tried AI, freaked out, and Googled how to start a small holding in the mountains.

The truth is that AI is just a tool. And a good one at that. AI is really good at derivative work. But it’s entirely incapable of improvising, holding opinions, having an agenda, or thinking outside the box.

AI will not replace your job — unless your job is deleting the background from photos, in which case it already has. Since when did Stephen King get replaced by a spellchecker?

If you haven’t tried an AI tool yet, I’d encourage you to try it. It does the small repetitive tasks well.

2. We’ll Embrace the Real World

One of the reasons AI can’t be creative is that it doesn’t have the same number of input sensors we have. We can smell, hear, feel, and experience the world in a multitude of different ways.

Most of us spent a year in lockdown working remotely. Then rushed back to the office, only to discover that our teamwork didn’t actually improve. With the worsening economic outlook, big companies are looking to budget, and the simplest way to cut costs is to ask staff to work remotely.

When your commute is a five-second walk to the spare bedroom, you find yourself with more free time. Sure, you could probably learn Python, but wouldn’t you be happier learning to paddleboard?

As we open ourselves to new experiences, our design work will inevitably become more diverse and natural.

3. We’ll Reject Brutalism

It had a good run, but Brutalism isn’t a good fit for most UI projects. The trend of 2021–22 will vanish as quickly and as unexpectedly as it arrived.

4. We’ll Reject Darkmode

It has had a good run, and dark mode is a perfect fit for most UI projects. But we’re all kinda sick of it.

I hope I’m wrong about this one; not only is dark mode genuinely better for both your eyes and the environment, but the rich, warm blackness is the perfect antidote to sterile white corpo-minimalism.

Dark mode options are built into our OS, so it’s doubtful that it’s going to vanish anytime soon. However, dark mode as a design trend for its own sake is probably on the wane.

Typically trends come and go in symmetrical waves. Dark mode has been a dominant trend for years, so it should take as long to vanish completely.

5. We’ll Embrace Personal Retro

Every year we get the exciting job of guessing which decade the zeitgeist will rip off next. Will 2023 be the year of ’80s retro, ’90s retro, ’00s retro, or maybe (somebody shoot me) ’10s retro?

The retro trends we’ve seen over the last few years have been poor pastiches of their associated decades. If last year’s ’90s retro was inspired by the ’90s, it was a ’90s someone else was living.

In 2023 we’ll move beyond someone else’s ideas of what the past was like, to a personal vision of what came before. One in which the sunbleached colors of eternal Summers in the suburbs dominate.

6. We’ll Fall For Borecore

We’re all guilty of designing with our egos from time to time, and there is a tendency to hit users between the eyes with the biggest type, the loudest gradient, and the flashiest animation.

If you truly want to impress users in 2023, stop inserting pop-ups, adverts, cookie notices, and the other extraneous detritus that stops them from doing whatever it is they arrived on your site for. Impressing users in 2023 means clean typography, low-distraction art direction, and helpful content. Boring design just isn’t as boring as it used to be.

In 2023, the best thing designers can do for their users is get out of the way.

Happy New year! We hope it’s a good one.

 

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Finding a good web design agency is challenging, especially if you’re doing it for the first time. With so many options, it’s challenging to determine which best meets your needs.

The obvious place to start looking for a web design agency is by asking friends, family, and colleagues for personal recommendations, but bear in mind that they may not be qualified to judge your options objectively, and you’ll need to carry out due diligence on any web design agency recommended to you.

The process of researching and evaluating different design agencies can be time-consuming and complex. To make it easier, you must start with a clear understanding of your goals and expectations.

Begin by making a long list of web design agencies and freelance designers that might fit the bill. Then whittle it down to a shortlist by discounting anyone whose portfolio you don’t like — while design is about more than just subjective opinions, it’s also vital that you end up with a website you like and are proud to show off as part of your brand identity.

Now you have your shortlist, there are several key questions to pose to each potential candidate to ensure that they are the right fit for you. Here are the ten questions you should be asking to put you on track to finding your perfect website design partnership.

1. What types of website design services do you offer?

The first thing to realize is that there are many different kinds of websites, and as such, there are also many different kinds of website design services.

The types of website design services offered by web design agencies range from basic site creation to complex ecommerce solutions.

Basic web design services usually include developing and implementing a CMS (Content Management System) such as WordPress, Joomla, or Craft. Agencies may also provide more advanced services such as custom website design, SEO optimization, and web hosting.

Different agencies and freelancers specialize in various types of sites, so you must compare their solutions with your requirements.

2. Do you have any case studies of past projects I can review?

Experience matters when choosing a web design agency. Ask potential candidates about the years they have been in business and the types of projects they’ve worked on. New doesn’t necessarily mean low quality — plenty of great agencies are founded by experienced designers whose portfolios are owned by their previous employers.

However, it is easier to ensure a web design agency is a good fit for your project if you can review case studies of previous jobs. Case studies will provide valuable insights into their approach and techniques and how successful their clients have been.

3. Where are you based?

When it comes to web design agencies, there are pros and cons to hiring a local or remote team. On the one hand, working with a local agency can provide many advantages, such as in-person interaction and access to their resources. On the other hand, working with a remote team may offer greater flexibility, cost savings, and access to a global talent pool.

It’s essential to ask about an agency’s location to understand their services’ advantages and disadvantages.

Effective team communication is essential for any project, so you should check the working hours of any agency you select — you don’t want to wait overnight for answers to urgent queries.

4. Do you specialize in any particular industries or platforms?

Web design agencies may specialize in various industries and platforms, depending on the specific needs of their clients. For example, some might specialize in ecommerce solutions such as Shopify or WooCommerce, while others might focus on frameworks such as Vue or React.

Additionally, web design agencies may specialize in creating custom websites for specific industries, such as healthcare or finance.

Suppose you can locate a web design agency with previous experience developing websites for clients similar to you. In that case, they will be better placed to anticipate challenges specific to your project.

5. What is your process for designing websites?

Before hiring a web design agency, it’s essential to understand their approach to website design. For example, some agencies may take a more traditional “design and build” approach where they create the entire site from start to finish, while others may prefer to work with an existing template and make customizations.

Some design agencies use a traditional waterfall approach, while others adopt an agile methodology. Waterfall is a sequential process in which each step happens in isolation, whereas agile is an interactive approach with frequent testing and feedback.

Knowing how an agency prefers to work will help you establish realistic expectations about how they will integrate into your company culture.

5. Do you offer any additional services, such as SEO or hosting?

Website design agencies may offer a range of additional services, depending on the needs of their clients. Beyond website design and development, many agencies also provide SEO (search engine optimization) and web hosting services.

All reputable web design agencies will ensure that your website meets the minimum standard for technical SEO. But some agencies will also adapt your content to incorporate keywords and phrases related to your industry to help you increase website traffic once the site is launched.

When it comes to web hosting, your web design agency will help you choose the best type of hosting for your needs, but some agencies also provide hosting and will set up and manage a server for you.

6. How will the project be managed, and what is your timeline for completion?

When it comes to website design projects, timeline management is critical to ensure that your new website is delivered on time and within budget. Managing a website project requires careful planning and execution to keep everything on track.

You should also ask how the project will be managed throughout its lifecycle so that you can schedule your in-house timetables.

7. What type of maintenance can I expect after launching the website?

Launching your new website begins a long-term relationship with your web design agency. It’s essential to ask about their post-launch support process to ensure you have all the help and guidance you need. The agency should be able to provide comprehensive maintenance services such as bug fixing, content updates, and security checks.

Additionally, you should understand the process for making changes and requests after the website launch. Find out how quickly they can respond to your inquiries and the cost of any needed updates. This will help you plan your budget accordingly and avoid any unexpected fees.

9. How much will the project cost?

Speaking of costs, it’s vitally important to establish ballpark figures before you shortlist an agency. Like any industry, there is a wide range of different price points, dependent not just on the project but the marketability of the web design agency.

Make sure you ask for a comprehensive quote that outlines all the costs involved. Ask for a payment schedule so you know how much you’re expected to pay upfront. Check on any additional fees, such as maintenance or hosting.

Never adjust your project to secure a web design agency outside your budget. If you can’t afford a particular provider, strike them off your shortlist and move on to the next candidate.

10. What do you need from me?

As a client, there are several steps you need to take to ensure that your website design project runs smoothly. You will need to supply a detailed brief if nothing else.

You should be prepared to schedule regular feedback sessions so your agency can stay on track. You’ll probably need to supply brand materials such as logos, style guides, and any text, images, and videos you want to be included. The agency may want you to sign a contract, agree on a payment schedule, and pay an initial deposit.

Conclusion

Hiring a web design agency is challenging, especially if you don’t have the technical knowledge to assess an agency’s past work objectively.

By asking the questions above, you’ll get a solid sense of what the company is like to work for, how well they fit your corporate culture, and whether their proposed solution is within your budget.

The more questions you ask, the better informed you’ll be, and the more likely your website design project will succeed. Good luck!

 

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Many firms’ design and development decisions are increasingly oriented toward human-centered innovation. Instead of rushing goods to market, these firms are using a user-centered design approach.

Design and development teams build high-performing digital products or websites that uniquely meet customers’ demands by concentrating on the user experience. After all, a good web design is helpful in boosting the business reputation or user experience.

This post will define user-centered design, discuss its fundamental principles, and describe the user-centered design process.

What Is User-Centered Design?

To create an enjoyable solution to a problem, user-centered design is a collection of iterative design processes concentrating on the user’s needs at each step. In UCD, the expectations, objectives, and preferences of the user significantly impact design decisions.

Additionally, users are actively involved in the entire process from start to finish. User-centered design principles encourage designers to create products with users rather than just for them. This strategy typically includes user research, interviews, usability testing, and a massive amount of feedback gathering.

UCD Requires Four Fundamental Components:

  • Visibility: Can people see what your website is about and how to utilize it the moment they land on your page?
  • Availability: Is your website user-friendly? Can they swiftly locate information? They should be able to find call-to-action buttons, menus, filters, and search choices with ease.
  • Legibility: Is the text simple to read for users?
  • Language: Is the language simple to grasp for users? Do you avoid using industry jargon in your UX authoring, which might lead to confusion and hesitation?

What Is The Significance Of UCD?

User experience is important in product design, especially in digital products such as app design, web and interface design, and marketing. Customers want their lives to be simplified. A website, app, or product exists to fulfill a consumer. Hence its success is determined by their interaction with it.

The following are some of the advantages of a user-centered design strategy for a business:

  • Customers keep coming back for more
  • There would be an increase in sales
  • Creating polished, efficient, and widely available goods
  • Understanding challenges thoroughly to provide suitable solutions
  • Customers and teams working together
  • Avoiding typical blunders
  • Enhancing Competitiveness
  • Assisting them in comprehending their market

It offers consumers the following advantages:

  • Making their life easier
  • Fulfilling their desires
  • Companies making them feel heard and understood
  • Making them feel important in the creation of things they use
  • Providing answers to challenges they were unaware they had or could not imagine solutions to

Let’s dig in to learn more about the advantages of UCD.

Businesses can benefit from using the user-centered design approach in various ways. As you incorporate this into your web development, you can enjoy the following four main advantages.

1. Prevent Project Failure

Your company might find it simpler to incorporate improvements and ensure your product is in line with actual user needs if you have a continuous feedback process assessing how customers react to your product, like a website.

Customers feel like their needs are better represented in the finished product, which can increase engagement and strengthen the bond with the company.

2. Improve ROI

This method produces products that more accurately reflect user expectations. The procedure also lessens mistakes made by website users, for instance. When combined, these factors motivate users to convert from leads to paying clients, boosting return on investment.

3. Increase Development Efficiency

In user-centered design, the objectives of the various team members are aligned. This can help clarify the best course of action for all parties involved. A more targeted, goal-oriented development process may be encouraged by the regular evaluation process.

Additionally, businesses can engage stakeholders and explain how their efforts and methodologies will improve customer interactions by using an iterative life cycle during product development.

4. Up The Level Of Competition

Customers will more fully appreciate what you offer, improve their engagement with your product or website, and be more likely to purchase from you if your product is created with their needs and expectations in mind.

As a result, this may increase your ability to compete in your sector.

5. KPIs Are Included

Given your user needs and business objectives, how do you move from the first to the second? You can measure key performance indicators with this in mind once you know what user needs are essential for the overall goals.

For instance, productivity may be the focus of office software, shopper activity may be the focus of sales tools, and retention rates may be the focus of other apps. All of these are necessary steps toward achieving business values like profit and revenue.

Human-Centered Design Versus User-Centered Design

There is a significant difference between humans and users. Simply put, all users are humans; however, not all humans will use your product. Therefore, you must thoroughly understand your target market to produce a successful user-centered design.

Detailed research should be done on the problems and goals of your users. Then, talk to them and give them several chances to offer feedback. By doing this, you’ll create a user persona that is complete and that you can use to determine the priorities for your design.

It’s critical to understand that different user groups may have additional requirements, levels of technical expertise, and expectations for using products like the one you’ve made.

What crucial guidelines or principles should designers consider when adopting a user-centric design?

The Process Of User-Centered Design

Certain fundamental principles underpin user-centered design. While the development process is always iterative, no explicit methods for implementation are specified. The approach can be implemented in either a waterfall or an agile environment.

1. Contextualization

The first step is to analyze the environment in which users will use the product. What are the intended applications of the product for future users? Teams working on projects can get answers by watching and talking to potential users.

2. Outlining The Prerequisites

Specifying the requirements for the new product is the second step. In this step, user requirements are described while considering corporate needs.

3. Design

Once the requirements are established, the actual design process can begin. Designers typically start by producing a straightforward prototype, like one made of paper, then move on to digital wireframes and a finished prototype.

4. Analysis

The project team solicits feedback from potential users after creating a prototype. This is typically done for digital applications through in-depth user testing and qualitative research.

Do surveys and tests evaluate user satisfaction, effectiveness, and efficiency? With the new information, the project team goes back to step 2 or step 3 of the design process to improve the product. Once the user feedback is satisfied, these iterations continue while taking into account corporate frameworks (time and costs).

Top 10 User-Centered Design Principles

Principles of user-centered design attempt to guarantee that usability is the primary priority throughout the development process. These principles, if successfully followed, will ensure that user experience is fulfilled not just during the initial introduction of a product but also during its use.

Furthermore, each of the following principles may be tailored to match the specific requirements and interaction demands of any product.

1. Use Simple Language

Professional Web Designer strives to provide the most readable discourse for the user while creating a product. This involves clarifying vocabulary, eliminating jargon, and simply providing information pertinent to the work.

Presenting users with irrelevant information throughout their use of the product taints its usefulness. Furthermore, basic language helps the user finish the work without being overwhelmed or confused.

2. Feedback

Users expect a reaction to all of their actions. This might involve modifying the look of the screen after completing an activity. If the job is finished after some time, it should display a loading page to notify the user that the task is in process.

Keeping the user informed throughout the process reassures them and keeps them on track with their job.

3. Maintaining Consistency

Keeping the product consistent is essential in ensuring an ideal user experience. Consistency affects how customers approach a product, and the time it takes to learn how to use it.

From the start of the project until its completion, the consistent philosophy underpinning the UCD process should be maintained. If the interface design needs to be updated, it is critical to maintaining consistency across new features to stay beneficial to the user.

4. Give The Complete User Control

Consumers are already aware of their requirements. They should be able to use a product with minimal effort and depend on the product’s help to accomplish the rest.

By removing the effort from the job, the user can do it quickly while keeping control of their activities.

5. Describe The Situation

Before developing a product, the designer must first investigate the ideal user and their wants. The designers can gain a comprehensive sense of some of the issues these people experience by studying their lifestyles.

Many of these observations are conducted through interviews. These interviews provide the designer with information on the exact goals that users want to attain and how they want to achieve them.

6. Examine the Design

Designers undertake usability testing with actual users of their product at this stage in the UCD process. This stage provides designers with insight into how consumers will interact with the product and how to modify it to suit them better.

It is advised that this stage be completed as quickly as feasible. The sooner customers provide input, the faster designers can comprehend their product from the user’s perspective.

7. Create Designs That Are Specific To The Needs Of The User

The design team must examine the distinctive features of their intended demographic as well as frequent real-world activities while beginning the design process. Furthermore, the product should be appropriate for the environment in which it will be utilized the most.

Making a product that needs a lot of work from the user reduces its usability and usefulness, ultimately defeating the objective of UCD.

8. The Design Process Is Iterative

Because user-centered design is based on putting the user first, the product team should constantly be working to improve the user experience. By introducing changes gradually, you will gain a better understanding of your target audience.

9. Adequate Navigational Tools

An essential component of the user experience is the capability to navigate between pages of your website and return to the previous one. Make sure users know where they are on your website and how to leave any pages they don’t want to see.

Customers can better understand how to navigate your page by giving them features like a navigation map, for instance. Make it simple for customers to change their order without leaving the current page if they buy clothing and discover they need a different size once they reach the checkout page.

10. Unflawed System

Customers should find it easy to navigate between your website’s pages and accomplish their goals. If they make a mistake, be there to help them fix it so they can achieve their goal.

The form may ask for specific, essential fields, such as the square footage, and may also include a gentle reminder or an alert that appears if the user accidentally leaves a required field blank.

Customers may feel more comfortable responding to your prompts and participating in a conversation if you ask questions one at a time and offer automated responses for each response.

Wrapping Up

User-centered design is more than just making a good product. It goes further than that. You demonstrate your motivations and intentions by putting your users in the spotlight. You’re demonstrating that it’s not all about meeting deadlines or turning a profit. Instead, you’re telling your users that you understand what they want and prioritize their needs.

It should come as no surprise that the most effective teams are user-centric. Knowing your customer is essential for success in any industry, including design. Create products that put the user first, and you will create products that people will love.

You can build a more robust, user-friendly website that is better equipped to respond to user needs and expectations by incorporating the User Centered Design process into your product design. However, it’s crucial to collaborate with a specialist who can apply these techniques and produce the result you’ve envisioned.

 

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La relation entre la compétitivité à long terme et le développement durable est confirmée pour 85% des entreprises, selon la nouvelle étude Sustainability de SAP

 

Paris, le 28 novembre 2022. SAP dévoile les résultats de la première édition de sa nouvelle étude dédiée au lien entre la responsabilité environnementale et son impact sur la conception du business.

Nous assistons à une accélération de l’intégration des enjeux durables dans les politiques de gestion ainsi qu’une appréciation grandissante de l’apport pour le développement des affaires : 34% des entreprises indiquent vouloir augmenter leurs investissements pour construire un plan de lutte contre ces problématiques à horizon 3 ans, un chiffre qui s’est vu multiplié par 5 en 1 an.

34% des entreprises veulent augmenter leurs investissements sur les sujets liés au développement durable.

93% des entreprises considèrent que les législations sont bénéfiques autant pour l’environnement que pour le business.

37% seulement ne collectent les données de leur impact environnemental que depuis 2 à 5 ans.

Loin d’être une contrainte imposée aux entreprises, le développement durable est une conception du développement qui s’inscrit dans une perspective long terme : pour plus de 85% des entreprises françaises, la relation entre la compétitivité à long terme et le développement durable est une relation positive, et 75% d’entre elles déclarent voir un lien positif entre la durabilité et la profitabilité.

Plus que jamais, les entreprises se sentent concernées par ces enjeux, néanmoins, pour la plupart, elles ne sont pas suffisamment outillées pour collecter les données nécessaires quant à leur impact environnemental : 37% seulement estiment pouvoir collecter les données, et ce uniquement depuis 2 à 5 ans.

Mise en cause ? La qualité des datas collectées qui est insatisfaisante pour plus de 63% des entreprises françaises, notamment à cause d’un manque de transparence dans les calculs ou les prévisions (39%), ou par une fréquence beaucoup trop faible de la collecte (35%).

Près de 94% des entreprises françaises témoignent du double bénéfice business/responsabilité qu’imposent les règlementations et les législations.

Ce constat est partagé par 93% des entreprises dans le monde, soulignant d’une part l’unanimité de la nécessité d’avoir une règlementation sur le développement durable, mais aussi et surtout les bénéfices.

Dans les mesures légales les plus efficaces qui poussent les entreprises à s’engager sur des actions d’amélioration de leurs impacts, les taxes arrivent en première position (53%), suivies par les provisions pour l’innovation et la taxe carbone avec respectivement 51% et 38% des réponses.

Retrouvez l’intégralité de l’étude ici

 

Méthodologie de l’étude : 

Le centre de recherche SAP Insights a recueilli des données auprès de 6 669 personnes interrogées dans 40 pays et 29 secteurs d’activité. Les répondants avaient la plus haute connaissance des objectifs et des processus de durabilité de leur organisation.

Les enquêtes ont été menées en ligne au mois d’avril 2022.

Certains chiffres proviennent de données normalisées entre les groupes de répondants entre 2021 et 2022.

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