Articles

Walldorf, le 25 octobre 2023 – SAP annonce que le leader mondial de la technologie médicale, Siemens Healthineers AG, a choisi la solution RISE with SAP pour accompagner la transformation numérique de l’entreprise.

 

Grâce à sa collaboration stratégique avec SAP et la migration de ses systèmes de gestion, Siemens Healthineers entend exploiter tout le potentiel d’innovation du cloud. Siemens Healthineers utilisera les solutions SAP S/4HANA Cloud, édition privée, SAP Business Technology Platform et SAP Signavio, ainsi que plusieurs autres solutions cloud pour rationaliser ses sources de données et améliorer les performances et la durabilité des processus métiers.

 

Après avoir mené avec succès un pilote de la solution RISE with SAP, Siemens Healthineers a ainsi constaté les avantages des solutions cloud de SAP en matière d’optimisation des opérations et d’amélioration de la gouvernance des processus.

 

« Nous sommes ravis de nous associer à SAP pour accélérer notre transformation digitale » a déclaré Stefan Henkel, Directeur de l’Information chez Siemens Healthineers. « En adoptant la technologie SAP, nous serons en mesure de réduire la complexité et de standardiser fortement nos processus, tout en tenant notre promesse d’être des pionniers dans le domaine des soins de santé. Cette migration vers le cloud est particulièrement importante pour nous, alors que nous continuons à investir dans la technologie pour soutenir notre forte croissance. »

 

En migrant vers le cloud via SAP S/4HANA Cloud, édition privée, Siemens Healthineers libère la puissance nécessaire pour faire évoluer ses opérations, ce qui lui permet de rester réactif face à l’évolution du paysage de la santé et des besoins de ses clients.

 

« Nous sommes fiers d’être le partenaire technologique de Siemens Healthineers et de participer à leur transformation » explique Thomas Saueressig, membre du Conseil Exécutif de SAP SE, SAP Product Engineering. « Ensemble, nous exploiterons tout le potentiel du cloud pour stimuler l’innovation, réduire les coûts, être plus flexibles et ainsi établir de nouvelles normes industrielles dans le domaine de la santé. »

 

A propos de SAP :

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 26 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Contact presse :

Sylvie Lechevin : sylvie.lechevin@sap.com  / sap@the-arcane.com

The post SIEMENS Healthineers choisit RISE with SAP pour améliorer ses performances appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

PAR EMMANUEL LEMPERT – 5 octobre 2023

Si 2035 devrait marquer l’arrêt de la vente des véhicules thermiques au sein de l’Union européenne, une première étape vers l’objectif de neutralité carbone de la France à horizon 2050, l’écart entre les objectifs et les obligations législatives d’une part, et la réalité des efforts mis en œuvre d’autre part, demeure très important.

A titre d’exemple, la loi d’orientation des mobilités (LOM) du 24 décembre 2019, visant à faciliter le transport du quotidien tout en le rendant plus durable, prévoit dans son article 76 des obligations d’acquisition de véhicules à faibles émissions (VFE) lors du renouvellement des flottes de l’Etat et de ses établissements publics, des collectivités territoriales et de leurs groupements, ainsi que des entreprises nationales, dès lors que leur flotte compte plus de 100 véhicules légers. Or, l’analyse du niveau d’électrification des flottes professionnelles du bureau français de la Fédération européenne pour le transport et l’environnement (publiée en mars 2023) est sans appel : en dépit de la loi, « la majorité des entreprises et des administrations n’est pas en bonne voie pour atteindre les quotas de verdissement de leurs parcs automobiles […] ». En France, à l’échelle ministérielle, seul le ministère des Armées apparaît comme réellement engagé dans la transition vers une mobilité durable. Dans ces conditions, nul doute que les efforts seront appelés à être renouvelés, notamment à l’heure où une majorité de Français se dit insatisfaite par les initiatives de décarbonation du secteur public mises en œuvre (enquête Acteurs publics / EY pour l’Observatoire des politiques publiques réalisée par l’Ifop en janvier 2023).

 

De son côté, SAP, premier éditeur européen de logiciels, a annoncé l’électrification totale de sa flotte de 27 000 véhicules d’ici 2030. Grâce à une politique ambitieuse mise en place dès 2014, SAP Labs France, dont les bureaux sont situés à Sophia Antipolis, Levallois-Perret et Caen, a atteint, depuis 2022, l’objectif d’une flotte 100 % électrique de plus de 270 véhicules. Pour faciliter la transition vers l’électrique, SAP Labs France a mis en place une infrastructure de recharge innovante pour répondre aux besoins et contraintes de ses différents sites. Une plateforme logicielle de supervision a également été développée pour organiser et augmenter la disponibilité des bornes sur site, permettant également d’alerter les collaborateurs lorsque le chargement de leur véhicule est terminé, afin de maximiser l’utilisation des bornes de recharge.

 

C’est ainsi qu’est née SAP E-mobility, une solution de supervision pour l’infrastructure de recharge des véhicules électriques et la gestion de l’énergie, en nuage, qui permet de recharger intelligemment les véhicules, en gérant les priorités, rationalisant les coûts, écrêtant les pics de demande d’énergie, et optimisant les déséquilibres de phase. Cette gestion dynamique de la charge, en temps réel, offre une grande flexibilité et une vision d’ensemble aux responsables des flottes, ce qui permet un pilotage plus précis, adapté aux besoins des utilisateurs et à leurs usages.

 

Fort de cette expérience, SAP espère accompagner au mieux la gestion des flottes de véhicules électriques de tous les acteurs publics, en particulier ceux confrontés au défi d’investir dans un changement de leurs infrastructures et dans les technologies de connexion.

 

The post E-mobility : un ticket vers une mobilité durable appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Paris, le 3 octobre 2023 – Tout au long du mois d’octobre, SAP, leader mondial des logiciels d’entreprises, innove pour capitaliser sur l’engagement de ses collaborateurs aux enjeux de la RSE et lance en France le « Mois de l’Engagement ». Pendant quatre semaines, plusieurs actions seront menées pour soutenir les employées qui s’investissent dans des causes qui leurs sont chères.

 

Lancé le 3 octobre 2023, « Le Mois de l’Engagement » de SAP en France a été pensé avec les équipes de la Fondation SAP France et les Ambassadeurs SAP4Good. L’objectif ? Proposer une série d’actions sur l’ensemble du mois d’octobre et soutenir l’engagement des collaborateurs dans des missions à caractère social et environnemental.

« Le Village de l’Engagement », un espace dédié à l’Engagement et créé pour les collaborateurs.

Un village dédié aux actions sociales et environnementales ouvrira ses portes aux collaborateurs de SAP en France. Quatre quartiers thématiques seront proposés pour les employés qui souhaitent s’investir dans une cause : participer à l’essor de Entrepreneuriat Social, accompagner l’inclusion professionnelle via le numérique, s’engager pour Zéro inégalité (Pride@SAP, la Course du Cœur) et Agir pour l’Environnement

Le film documentaire Ose Toujours d’Enactus, réalisé par Jérôme Priolet, sera diffusé à l’occasion du lancement du Mois de l’Engagement, suivi d’une table ronde avec ENACTUS et SAP France. L’Association ENACTUS France a été créée en 2003 pour promouvoir le progrès social par l’action entrepreneuriale en France.

A travers plusieurs ateliers thématiques, cette journée sera également pour les bénévoles SAP l’occasion d’enrichir leurs compétences de mentoring d’entrepreneurs sociaux avec le coaching de Makesense et/ou d’acteurs de la transition énergétique, grâce à des animateurs dédiés.

SAP en France renforce ses actions en faveur de la RSE et amplifie celles de ses collaborateurs

Durant quatre semaines, au profit de son écosystème associatif, les employés de SAP en France s’impliqueront pour répondre au plus grand nombre d’objectifs du Développement Durable dont l’éducation, l’économie sociale et solidaire, une chance pour tous, l’égalité entre les sexes, le travail décent, etc.

La responsabilité environnementale de SAP sera également au programme avec l’adoption par le plus grand nombre de collègues d’une mobilité durable et le passage individuel à l’action pour la réduction de son empreinte carbone avec un atelier dédié : l’atelier 2tonnes qui a déjà convaincu 100% de ceux qui l’ont suivi !

Les enjeux de l’alimentation durable seront également présentés : le groupe SODEXO, leader mondial de la restauration collective, proposera à cette occasion davantage de menus végétariens au sein des locaux de SAP France.

Ce mois de l’Engagement renforce la politique globale de SAP en faveur des actions de RSE et encourage les collaborateurs à avoir un impact positif tant dans leur vie personnelle que professionnelle.

Au quotidien, l’entreprise continue de soutenir les initiatives des collaborateurs en faveur du bien commun.

 

« Chez ENACTUS, nous croyons que chaque individu porte en lui le désir d’un monde plus juste, plus inclusif et plus durable et que c’est en révélant ces rêves et en donnant confiance en chacun en sa capacité à agir, que nous ferons émerger une société souhaitable pour tous ! Nous accompagnons des étudiants, des enseignants et des professionnels à développer leurs compétences pour innover et agir au service de la société. » déclare Céline Sannié, Directrice Générale Adjointe ENACTUS

 

« Nous sommes très fiers de nous associer à cette initiative pour faire découvrir aux salariés de SAP une alimentation responsable, locale et gourmande faisant la part belle au frais et au végétal. Des approvisionnements au zéro plastique, en passant par la mise en place de paniers anti-gaspi, c’est un écosystème vertueux qui illustre notre engagement pour une restauration durable alliant plaisir, santé et éco-responsabilité. » explique Sabine Sakthikumar, Directrice Générale IDF et Nouveaux modèles de restauration chez SODEXO

 

Pour Emmanuelle Brun Neckebrock, CFO et Directrice Générale Déléguée SAP France : « Ce mois est une formidable opportunité pour tous nos collaborateurs et pour l’équipe de direction de continuer à nous engager. Aujourd’hui, notre entreprise a à cœur de contribuer au développement de toutes les initiatives, et c’est ce que nous faisons avec le Mois de l’Engagement, avec nos partenaires ENACTUS et SODEXO. Il est important pour SAP d’offrir à ses collaborateurs une plateforme d’engagements qui leur permettra de continuer à servir les causes qui leurs sont chères et d’en découvrir de nouvelles. »

 

A propos de SAP :

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 26 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Contact presse :

Sylvie Lechevin : sylvie.lechevin@sap.com / sap@the-arcane.com

 

The post En octobre, SAP en France célèbre le mois de l’Engagement et capitalise sur l’implication de ses collaborateurs aux enjeux de Responsabilité Sociale et Environnementale. appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Paris, le 31 août 2023 – SAP, leader mondial des logiciels d’application d’entreprise, est fier d’annoncer la signature d’un nouvel accord sur l’égalité professionnelle pour les années 2023 à 2025. Cet accord réaffirme l’engagement de l’entreprise en faveur de l’égalité des genres et de l’inclusion. Ce dernier présente une série de mesures avant-gardistes pour promouvoir l’égalité professionnelle et le bien-être des salariés. Les nouvelles mesures et engagements inclus dans cet accord viennent compléter les modalités de l’accord précédent qui sont renouvelées avec enthousiasme.

 

SAP propose un congé spécial à ses collaborateurs pour favoriser l’équilibre entre vies personnelle et professionnelle

L’entreprise propose désormais un congé spécial pour accompagner ses collaborateurs lors d’événements importants de leur vie personnelle, ou de celle de leur conjoint, telles qu’une interruption volontaire de grossesse (IVG), une assistance médicale à la procréation (AMP), une demande d’adoption ou encore pour soigner l’endométriose. Cette mesure forte vise à soutenir les collaborateurs dans ces moments-clés et leur permettre de les vivre sereinement.

 

SAP propose un accompagnement aux collaborateurs victimes de violences conjugales

En complément des campagnes de communication et d’information, SAP propose une aide concrète aux victimes. Elle les accompagne par exemple pour trouver un nouveau logement, changer de numéro de téléphone ou faciliter leur mise en relation avec une assistante sociale.  De plus, un dispositif interne est créé pour accueillir, écouter et orienter les collaborateurs et collaboratrices victimes de violences conjugales.

 

En marche pour une entreprise plus inclusive

Partie prenante d’un secteur où les métiers sont majoritairement occupés par des hommes, SAP a la responsabilité de s’engager pour une représentation plus inclusive au sein de ses équipes. L’entreprise se fixe pour objectif d’atteindre une représentation de 36 % de femmes dans l’effectif global, dont au moins 30 % occuperont des postes de cadres et de managers. Par ailleurs, cette démarche s’inscrit dans une vision globale et durable pour parvenir à une parité totale au sein des effectifs de l’entreprise. Ces engagements prennent leur sens dans un secteur où les métiers sont encore majoritairement occupés par des hommes.

 

Nous sommes convaincus que ces nouvelles mesures permettront de renforcer notre culture d’égalité professionnelle et de mieux soutenir nos collaborateurs dans leur vie professionnelle et personnelle.

Chez SAP, nous croyons en un monde professionnel où chaque singularité peut s’épanouir pleinement. C’est la clé pour atteindre son potentiel et continuer à s’investir.”  Caroline Garnier, Directrice des Ressources Humaines SAP France et Maroc.

 

 

À propos de SAP

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com. 

 

Contacts presse

sylvie.lechevin@sap.com

sap@the-arcane.com

The post SAP signe un nouvel accord sur l’égalité professionnelle et propose des mesures innovantes pour ses salariés appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Évaluation des risques avec la technologie Blockchain.

La technologie Blockchain offre de nouvelles possibilités pour évaluer les risques et améliorer la sécurité des transactions. Découvrez comment elle peut aider à protéger vos actifs.

Évaluation des risques : une technologie émergente à explorer

La technologie de la blockchain est un domaine technologique émergent et pour explorer ses nombreuses applications, plusieurs entreprises ont des équipes de recherche dédiées à cet effet. Un tel domaine qui pourrait tirer parti de cette technologie est l’évaluation des risques. La technologie blockchain peut aider à créer un système sécurisé et décentralisé qui peut être utilisé pour gérer les risques. Ces évaluations, si elles sont effectuées, ont le potentiel d’être considérées comme plus précises et fiables que tous les audits externes.

L’évaluation des risques est une activité importante pour aligner qui est souvent mentionnée comme faisant partie de la stratégie de sécurité des politiques et procédures d’une organisation. Il commence par l’analyse des différents actifs de l’entreprise, ce qui entraîne l’identification de risques et de vulnérabilités potentiels. La probabilité et l’impact des risques identifiés sont évalués. L’équipe de sécurité développe ensuite des stratégies pour les atténuer ou les gérer. Le processus d’évaluation des risques nécessite une collaboration intensive avec plusieurs parties prenantes et est à la fois chronophage et intensif en ressources.

La technologie blockchain peut être utilisée pour améliorer le processus d’évaluation des risques et le rendre plus efficace. En utilisant la technologie blockchain, les données peuvent être stockées de manière sûre et décentralisée, ce qui permet aux différentes parties prenantes d’accéder aux données en temps réel. La technologie blockchain peut également être utilisée pour automatiser le processus d’évaluation des risques, ce qui réduit considérablement le temps et les ressources nécessaires pour le mener à bien. En outre, la technologie blockchain peut être utilisée pour créer un système de codage qui peut être utilisé pour vérifier l’intégrité des données et s’assurer qu’elles ne sont pas modifiées ou falsifiées.

La technologie blockchain offre donc une solution intéressante pour améliorer le processus d’évaluation des risques et le rendre plus efficace. Elle peut être utilisée pour stocker et partager des données en toute sécurité, automatiser le processus et vérifier l’intégrité des données. Les entreprises qui souhaitent améliorer leur processus d’évaluation des risques devraient envisager d’explorer la technologie blockchain et d’investir dans la recherche et le développement de solutions basées sur cette technologie.

Source de l’article sur DZONE

Optimiser les performances Cloud : Guide approfondi de tests et avantages

Découvrez comment optimiser les performances Cloud grâce à notre guide approfondi de tests et d’avantages ! Apprenez à tirer le meilleur parti de votre Cloud.

Êtes-vous confronté à des problèmes lors de la mesure de la scalabilité d’une organisation et d’autres facteurs de performance? Les utilisateurs peuvent accéder à leurs ressources à partir de n’importe quel appareil doté d’une connexion Internet, ce qui est l’un des principaux avantages des tests de performance en nuage. Cela implique que les investissements en matériel et en logiciel ne sont plus une préoccupation majeure lors de l’évaluation des exigences de scalabilité et de performance optimales d’une organisation. Les débits et les temps de latence de votre système sont mesurés par des tests de performance en nuage lorsque le nombre d’utilisateurs simultanés utilisant votre application change. Plusieurs caractéristiques de performances et différents modèles de charge sont également mesurés.

Les données sont devenues un élément essentiel pour les entreprises modernes. Les entreprises doivent mesurer la scalabilité et les autres facteurs de performance de leur organisation afin d’assurer leur croissance. Cependant, cette tâche peut s’avérer difficile et coûteuse. Heureusement, le test de performance en nuage offre une solution rentable et efficace pour mesurer la scalabilité et les performances d’une organisation.

Le test de performance en nuage est une méthode qui permet aux utilisateurs d’accéder à leurs ressources depuis n’importe quel appareil doté d’une connexion Internet. Cela signifie que l’investissement en matériel et en logiciels n’est plus une préoccupation majeure lors de l’évaluation de la scalabilité et des exigences optimales de performance d’une organisation. Le débit et la latence du système sont mesurés à mesure que le nombre d’utilisateurs simultanés utilisant l’application change. De plus, plusieurs caractéristiques de performance et différents modèles de charge sont également mesurés.

Le test de performance en nuage est une méthode très pratique pour les entreprises qui cherchent à mesurer leurs performances et leur scalabilité. Il permet aux entreprises de tester leurs applications à grande échelle sans avoir à investir dans des serveurs et des logiciels coûteux. De plus, il offre une précision et une fiabilité inégalées pour mesurer les performances et la scalabilité des applications. Enfin, le test de performance en nuage est une méthode rapide et rentable pour mesurer la scalabilité et les performances d’une organisation.

Source de l’article sur DZONE

SAP France s’engage avec la start-up Evolukid, les territoires de Lens-Liévin et Aix-Marseille pour le lancement du programme KESK’IA, programme d’excellence dédié aux étudiants en filières informatiques et digitales.

Paris, le 3 avril 2023 – SAP, leader mondial des logiciels innovants de gestion d’entreprises, renforce sa présence dans les territoires au service de l’égalité des chances avec le lancement du programme KESK’IA, en partenariat avec Evolukid, plateforme éducative pour développer les compétences du futur. Sur tout le territoire hexagonal, SAP France s’associe aux côtés de ses partenaires tels que L’Oréal, Société Générale, TATA Consultancy Services et UPS.

 

Favoriser l’égalité des chances dans le numérique avec KESK’IA.

Entre février et juin 2023, près de 100 étudiants seront accompagnés pour réaliser des prototypes d’Intelligence Artificielle au service de leur territoire. Sélectionnés parmi plus de 450 candidatures, ils seront chargés de développer des projets concrets à impacts positifs dans sept territoires via le programme KESK’IA. Ce programme d’excellence destiné aux étudiants en filière Informatique ou digitale vise à perfectionner leurs compétences et à préparer les talents de demain dans le domaine de l’Intelligence Artificielle.

Pendant toute la durée du programme, des mentors de SAP France accompagneront ces futurs talents pour la mise en œuvre d’une vingtaine de prototypes autour de quatre thématiques :

  • Prévention des risques et sécurité : détection du harcèlement
  • Environnement et écologie: Reconnaissance des déchets dans des zones difficilement accessibles par drones, réduction du gaspillage alimentaires dans les cantines scolaires
  • E-Réputation: Mesure des commentaires négatifs sur la collectivité
  • Aménagement du territoire : Reconnaissance d’infrastructures endommagées par drones ou caméra de vidéo-surveillance.

« SAP France est très fier de participer au programme KESK’IA, en partenariat avec Evolukid. Depuis toujours, SAP est déterminé à aller chercher les talents sur tout le territoire : en milieu urbain, rural ou en QPV. Ce programme renforce nos engagements en faveur de l’accessibilité de notre filière. C’est également une formidable occasion de montrer aux collectivités les atouts de l’IA et de les équiper face aux défis technologiques actuels. » déclare Olivier Nollent, Président – Directeur Général de SAP France.

« Pouvoir faire émerger de l’innovation et de la valeur ajoutée des quartiers populaires est ce que l’on recherche. Il faut redonner de la confiance à ces jeunes qui n’ont pas les relations pour rentrer facilement sur le marché : c’est ce que permet KESK’IA. Pouvoir s’appuyer sur de grandes entreprises de la tech telles que SAP est important et stimulant. C’est une vraie chance pour les étudiants du programme, mais aussi pour ces entreprises qui peuvent s’investir dans un projet à impact et faire grandir de nouveaux talents. » a ajouté Morad Attik, CEO d’Evolukid et Directeur du programme KESK’IA.

 

SAP France, un leader mondial engagé pour l’insertion professionnelle dans les territoires.

En tant que partenaire du programme KESK’IA, SAP France apporte sa contribution aux côtés de la Communauté d’Agglomération de Lens-Liévin (CALL) et la Métropole d’Aix-Marseille et accompagne 20 étudiants répartis dans ces deux territoires. En renforçant sa présence dans les territoires en dehors de ses sites d’implantation français, SAP en France souhaite être le moteur de l’intégration, de l’égalité des chances et de l’insertion professionnelle dans le domaine de l’IA.

Dans le Nord-Pas-de-Calais et dans les Bouches-du-Rhône, SAP vise à résoudre le déficit de compétences, de vocations des jeunes dans le numérique et s’emploie à faire grandir les talents de ces deux territoires en apportant des connaissances et un nouveau réseau professionnel.

« Rêver, s’obstiner et réussir… il y a de la magie à voir grand ! Et cette citation d’Erick Orsenna et Marie Eloy qui caractérise la team et les jeunes de Lens. Car avoir ce type de programme chez nous et les grands groupes comme SAP et l’Oréal à nos côtés c’est inespéré ! Alors oui, ils rêvent mais ils sont obstinés à réussir ce projet. » ajoute Saliha SADOUKI, Responsable Pôle Communication & Numérique, Maison de l’Emploi du bassin Lens, Liévin, Hénin, Carvin.

Après quatre mois de développement, les étudiants présenteront devant un jury d’experts et d’élus leurs prototypes. Les sept prototypes finalistes qui représenteront les sept territoires du programme KESK’IA seront présentés par les étudiants en juin. Les trois meilleurs projets seront récompensés lors d’une cérémonie nationale à Paris rassemblant sponsors, entreprises partenaires, collectivités et experts de l’intelligence artificielle.

 

***

À propos de SAP en France 

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.   

 

A propos d’Evolukid 

Evolukid, startup EdTech, accompagne depuis 2016 les collectivités territoriales et les entreprises dans la mise en œuvre de projets innovants liés aux nouvelles technologies. Notre expertise – incluant l’ingénierie pédagogique, le matériel, les intervenants formés, les déplacements et la logistique globale – nous permet d’intervenir partout en France et à l’étranger. Depuis 2019, nous avons lancé la plateforme éducative en ligne Evolukid : notre solution en ligne proposant des parcours éducatifs et des classes virtuelles pour répondre aux besoins des familles. Evolukid devient une véritable école numérique pour tous types de projets.

En partenariat avec la Banque des Territoires, Evolukid lance en février 2023 le programme KESK’IA pour former les étudiants et les talents des quartiers populaires à l’intelligence artificielle. Des villes associées telles que Lens, Meaux, Nantes, Marseille, et des acteurs majeurs de l’économie tels que Sales Force, Google, et d’autres leaders mondiaux qui rejoignent actuellement l’initiative seront parties prenantes du programme KESK’IA.

Ces jeunes étudiants, sélectionnés à l’issue du processus pédagogique, répondront à des problématiques locales d’écologie, de gestion des déchets et de citoyenneté par l’intelligence artificielle en livrant des prototypes fonctionnels (généralisables à d’autres territoires). Enfin, à l’issue de cette initiative, lors de la grande soirée de clôture avec l’ensemble des sponsors et partenaires, les candidats présenteront leurs prototypes et se verront décerner le prix de la meilleure innovation par un grand jury. Cela permettra aux entreprises non seulement de recruter les meilleurs, mais aussi de rappeler que les quartiers prioritaires sont le creuset de l’ambition de la France de se hisser parmi les premières nations en matière d’innovation et de nouvelles technologies.

 

Contact presse : 

SAP France 

Sylvie Léchevin

sylvie.lechevin@sap.com

sap@the-arcane.com

Evolukid

Amadou Dabitao ou Lralia Sall

contact@bnagency.co / lralia@bnagency.co

+33 6 95 10 50 99

 

The post Insertion professionnelle et égalité des chances : SAP France s’associe avec Evolukid et les territoires de Lens-Liévin et Aix-Marseille pour lancer un programme d’excellence autour de l’intelligence artificielle. appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Paris, le 27 mars 2023 – Face à la recrudescence des risques géopolitiques, aux pénuries de matières premières et aux difficultés d’approvisionnement, SAP, à travers son étude Supply Chain 2023, revient sur les grands défis auxquels sont confrontées les entreprises internationales. Dans ce cadre, 350 responsables de chaîne logistique ont été interrogés et témoignent de la nécessité de transformer leur modèle : si à première vue les nouvelles semblent décourageantes, les entreprises y voient une réelle opportunité de s’améliorer et de devenir plus résilientes.

 

Seule 1 entreprise française sur 10 s’attend à la fin des problèmes qui touchent la chaîne d’approvisionnement d’ici l’été 2023

Les conclusions du rapport Tomorrow’s Supply Chain : Disruption Around Every Corner[1] soulignent l’état critique de la chaîne d’approvisionnement depuis le début de la pandémie. Les entreprises françaises, belges et néerlandaises ont été freinées par des retards dans la production de biens ou la livraison de services (50%) et un manque de matières premières (34%). Ceci a entraîné une baisse significative du chiffre d’affaires (33 %), une incapacité de payer le personnel (31 %) ou les loyers (41 %), mais aussi une perte de clientèle (35 %) ou une atteinte à la réputation (27 %).

Près de la moitié des entreprises françaises (46%) s’attendent à ce que les problèmes qui touchent actuellement la chaîne d’approvisionnement persistent jusqu’à la fin 2023. Seule 1 entreprise sur 10 prévoit qu’ils seront résolus d’ici la fin de l’été. Pour près de 4 entreprises sur 10, la durée de ces problèmes dépend de la résolution d’événements clés : la situation en Ukraine (24 %) ou la crise énergétique (17 %).

Les entreprises françaises en attente de mesures incitatives des pouvoirs publics pour attirer de nouvelles compétences, notamment venant de l’international

Si deux tiers des entreprises françaises sont en phase avec la stratégie du président Emmanuel Macron qui souhaite que la France « soit une nation plus indépendante », en faisant valoir que la démondialisation des chaînes d’approvisionnement favoriserait la croissance économique, elles indiquent clairement souhaiter davantage de soutien de la part du gouvernement pour résoudre ces problèmes, et demandent des mesures incitatives pour attirer et améliorer les compétences de la main-d’œuvre (49 %), y compris celles provenant de l’étranger (40 %). Ces entreprises demandent également une collaboration accrue avec l’industrie (40%). Le rapport montre par ailleurs qu’une majorité des entreprises françaises (66 %) pense que la démondialisation des chaînes d’approvisionnement pourrait favoriser la croissance économique. Aux Pays-Bas, elles sont plus mitigées : 34 % y seraient favorables et 66 % défavorables.

Olivier Kessler-Gay, Directeur Général pour l’Europe de l’Ouest chez Pandora, commente : « Notre défi aujourd’hui est de répondre aux nouvelles attentes d’une expérience d’achat transparente, personnalisée et omnicanale. En intégrant totalement notre chaîne de valeur, de la conception de nos bijoux et leur fabrication dans nos ateliers, à l’approvisionnement de nos boutiques, nous avons éliminé certaines problématiques que rencontrent d’autres acteurs du marché. Nous pouvons ainsi mieux anticiper l’impact d’évolutions macroéconomiques et gérer les risques. Si de nombreuses incertitudes restent complexes à appréhender, la connaissance de nos clients, la data et les outils à notre disposition nous permettent d’améliorer la croissance grâce à une approche beaucoup plus sophistiquée et à une compréhension plus fine de la demande. »

 

Une opportunité pour transformer la Supply Chain ?

La transformation de la chaîne logistique est prioritaire pour les entreprises : dans près de deux tiers des organisations, il s’agit d’une initiative parrainée au plus haut niveau. Environ six organisations sur dix prévoient une transformation majeure de la chaîne d’approvisionnement au cours des deux prochaines années et une proportion similaire considère les attentes des clients en matière de développement durable comme un facteur critique pour leurs activités. D’ailleurs, nombre d’entre elles agissent déjà en adoptant de nouveaux processus, de nouvelles méthodes et des solutions intelligentes pour pallier les risques actuels et futurs de leur chaîne d’approvisionnement.

Rémy Vernet, Directeur de la Digital Supply Chain chez SAP France commente : « Alors qu’autrefois la gestion de la supply chain consistait surtout à réduire les coûts, les entreprises sont confrontées au défi de rester en avance sur la demande des consommateurs, tout en améliorant la résilience, en réduisant les émissions de carbone, en diminuant le taux de rotation du personnel et en maintenant les coûts à un niveau bas. Le marché du travail post-pandémique, la guerre en Ukraine, la hausse des coûts de l’énergie ont exacerbé les défis des modèles actuels de supply chain en France. Quels que soient les facteurs externes qui perturberont la circulation des biens et des services, notre culture de consommation à la demande ne fera que s’accroître. L’expédition du jour au lendemain est considérée comme tardive, avec des mises à jour de suivi toutes les heures. Une approche novatrice est nécessaire pour répondre à cette demande. »

 

Comment STMicroelectronics a réussi à transformer sa supply chain.

L’industrie des semi-conducteurs est une activité complexe.  Elle compte plus de 40 000 produits, plus de 200 000 clients et des process de fabrication sophistiqués. Les étapes de fabrication comprennent des centaines d’étapes qui peuvent se dérouler sur six mois autour d’un grand réseau mondial d’installation et de production. Tous ces paramètres doivent être compris dans une forte demande sur quatre marchés finaux : automobile, industrie, électronique et infrastructures de communication. STMicroelectronics fait fonc face à un très haut niveau de difficulté à gérer au quotidien.

STMicroelectronics et SAP ont uni leurs forces pour développer une supply chain fondée sur l’analyse et l’optimisation de la big data, des modèles de jumeaux numériques pour fusionner le physique et le numérique, et des outils collaboratifs pour l’ensemble des opérations. Cette union a permis un changement radical dans la façon dont cette multinationale utilise le cloud.

 

Dario Fozibo, directeur de la supply chain chez STMicroelectronics, explique : “La dynamique commerciale du marché des semi-conducteurs était très instable pendant la pandémie. Depuis, la complexité de la chaîne d’approvisionnement s’est encore accru avec une plus grande volatilité de la demande, des pénuries d’approvisionnement et de matériaux. Tout ceci combiné à une perturbation de l’économie mondiale via l’inflation, une hausse des taux d’intérêts, une augmentation des coûts de l’énergie, des réglementations commerciales plus complexes, et bien plus encore.  Tous ces facteurs ont indéniablement un impact négatif sur de nombreuses chaînes d’approvisionnement, mais cette situation n’est pas irréversible. Grâce à nos investissements, nous avons pu mieux gérer, contrôler et automatiser nos processus en termes de visibilité et de résilience. C’est ce qui fait la différence aujourd’hui.”

 

Des entreprises françaises soucieuses de renforcer leur chaîne d’approvisionnement

La grande majorité des entreprises françaises est consciente du besoin d’améliorer sa chaîne logistique (87 %). 36 % d’entre elles comprennent également l’ampleur des changements à mettre en place. Les résultats de l’étude montrent que les entreprises françaises explorent d’autres voies pour améliorer leurs chaînes d’approvisionnement :

  • 74% prévoient de prendre de nouvelles mesures d’urgence pour leur chaîne d’approvisionnement
  • 70 % prévoient de trouver de nouvelles solutions respectueuses de l’environnement
  • 66 % prévoient d’adopter de nouvelles technologies pour les aider à surmonter les difficultés au cours des 1 ou 2 prochaines années.

 

Rémy Vernet chez SAP France conclut : « Il est passionnant de voir qu’autant d’organisations réalisent l’importance d’investir dans les technologies de pointe pour innover et qu’elles prévoient d’adopter de nouvelles solutions de supply chain respectueuses de l’environnement. Les supply chains résilientes doivent être durables, non seulement en termes d’environnement, mais aussi par rapport aux évolutions des technologies et des infrastructures en France tout comme à l’étranger. Pendant des décennies, la gestion de la supply chain s’est concentrée sur les coûts, la priorité étant de la maintenir légère et rapide. Ce n’est pas la même chose que d’être agile et résilient. Avec la fin des modèles “just in time”, les entreprises doivent commencer à placer les mêmes attentes sur leur chaîne d’approvisionnement que sur leurs activités plus larges, en se structurant pour être “just in case”, afin de pouvoir s’adapter en cas de catastrophe. Celles qui n’opèrent pas ce changement s’exposeront à des 18 mois très difficiles. »

 

[1]  La Supply Chain de demain : des perturbations à tout moment

***

 

À propos de SAP

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com. 

Contact presse : sylvie.lechevin@sap.com

sap@the-arcane.com – 06 41 99 36 72

The post Étude Supply Chain SAP : Face aux difficultés d’approvisionnement, les entreprises ambitionnent de transformer leur chaîne logistique appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

Lire les actualités

 

D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

Lire le témoignage

 

« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

Lettre d’information SAP Insights: Obtenez des insights stratégiques en vous abonnant à notre lettre d’information.

S’abonner

 

Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

En savoir plus

 

Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

The post La logistique durable en mouvement Till Dengel, Richard Howells | 14 min de lecture appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Dans le cadre de sa transformation, le Groupe ISB investit dans un nouveau système d’information. La modernisation de son SI va s’effectuer par l’adoption de l’ERP SAP S/4HANA en mode cloud, avec l’offre RISE with SAP. Ce projet sera mené en partenariat avec NTT Data Business Solutions France (NDBS France).

Groupe ISB est un spécialiste du bois qui souffle cette année sa soixantième bougie. Acteur incontournable français des produits et solutions bois pour l’habitat et la construction, il est également spécialiste du rabotage de bois résineux en Europe.

L’entreprise s’appuie essentiellement sur deux marques fortes : Silverwood (bois rabotés : bardages, lambris, terrasses, etc.) et Sinbpla (trading de panneaux et bois résineux). Le groupe compte environ 430 collaborateurs, répartis sur différents sites : usines, hubs portuaires, plateformes logistiques et agences commerciales.

2015 : l’année de l’émancipation

Groupe ISB est né du rachat de la division Importation et Solutions Bois (ISB) de Wolseley par ses cadres en 2015. Suite au rapprochement en 2019 avec SCA Wood France, Benjamin Bodet a pris la direction générale du groupe et engagé la transformation d’ISB sur ses deux principaux métiers, qui sont l’importation et la transformation du bois. « Nous avons retravaillé tout d’abord notre modèle économique, puis notre organisation commerciale. Dans le cadre de notre plan stratégique Impact 2026, validé début 2022, nous avons notamment travaillé sur la création de valeur tout le long de la value chain, des pays producteurs à nos clients distributeurs et industriels. »

Groupe ISB a comme ambition de mettre sa politique RSE au cœur de ses activités, en proposant notamment des produits bas carbone, durables et toujours plus respectueux de l’environnement.

Le plan Impact 2026 comprend un volet visant à investir dans les solutions SAP avec comme projet clé l’adoption de l’ERP SAP S/4HANA. Un choix né d’une intense phase de réflexion : « Nous avons passé 18 mois à challenger les différents éditeurs du marché. La balance a finalement penché en faveur de SAP. C’est un environnement que nous connaissons bien, proposé par un acteur qui nous ressemble ; innovant et leader sur son marché. »

Un ERP nouvelle génération… en mode cloud

NTT Data Business Solutions France a été choisi pour accompagner le Groupe ISB dans la mise en place de l’ERP SAP S/4HANA, la méthodologie de travail proposée et l’expertise logistique NTT correspondant aux besoins du Groupe ISB, le logisticien du bois. Une solution que la société a souhaité construire depuis une feuille blanche et déployer en mode cloud, avec RISE with SAP. « Nous voulions disposer d’un outil global, capable d’intégrer au maximum nos processus, mais sans reproduire les défauts de l’ancien système, trop sur mesure, trop permissif et manquant parfois de rigueur, par exemple sur la gestion des données. »

« Opter pour SAP est un véritable challenge qu’on se sent prêt à relever, poursuit Benjamin Bodet. Cela va nous obliger à nous structurer. C’est aussi pour cela que nous avons choisi SAP. » La difficulté principale de ce projet reste d’adapter l’ERP aux spécificités d’un métier qui demeure particulier, le bois. « Notre approche consiste à coller au maximum aux standards de la solution, mais sans écarter toutefois la mise en place de processus spécifiques. Nous allons nous appuyer sur l’expertise en intégration de NDBS FRANCE pour cela. Mais il nous faudra rester raisonnables dans nos envies d’adaptation de l’outil. »

Le projet a été lancé en début d’année 2022 et devrait s’achever avec le go live de la solution SAP S/4HANA, programmé pour le 1er août 2023. 18 mois donc pour mettre en place un ERP au périmètre large (finance, contrôle de gestion, achat, vente, production et logistique) et couvrant toutes les entités du groupe.

Déjà des projets autour de l’ERP SAP S/4HANA

L’adoption d’une solution cloud devrait permettre de faciliter l’accès à l’ERP en France comme à l’étranger. « Nous avons des partenaires un peu partout dans le monde, explique Benjamin Bodet. L’un de nos projets serait par ailleurs d’intégrer SAP le plus en amont possible chez nos partenaires logistiques chargés d’exporter du bois en direction de nos hubs portuaires français. » L’objectif est de connaître au plus tôt et avec le plus de précision possible le contenu de chaque chargement, afin de mieux gérer les stocks et de mieux orienter les flux.

Autre sujet, le transport : « Nous affrétons 20.000 camions chaque année. Investir dans un module avancé de gestion des transports nous permettra de disposer d’une tour de contrôle de l’ensemble de nos flux, routiers comme maritimes, ce qui nous permettra de distribuer nos produits avec la road to market la plus directe possible. »

Dernier défi enfin, l’empreinte carbone, qui est au cœur du plan stratégique Impact 2026 de Groupe ISB. « Pour optimiser notre empreinte carbone, que ce soit lors de la production ou du transport, il nous faut des outils. SAP Product Footprint Management est une solution que nous souhaitons implémenter, car en nous donnant la capacité de mesurer l’impact carbone de nos produits elle pourrait nous apporter un net avantage compétitif et aligner avec les valeurs de notre entreprise que nous portons. »

The post Groupe ISB mise sur SAP pour soutenir ses ambitions de transformation en leader du bois… bas carbone appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com