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Votre base de code est un garage encombré.

Votre mission: le nettoyer!

Vous êtes prêt à relever le défi? Alors, allons-y! Débroussaillons ce garage encombré et transformons-le en une base de code bien organisée.

## Code inutilisé ajoute du temps et une charge pour maintenir la base de code et le retirer est le seul remède pour ce côté de « plus de cloche ». Malheureusement, il n’est pas toujours évident que les développeurs peuvent supprimer certain code sans casser l’application. À mesure que la base de code devient encombrée et difficile à gérer, les équipes de développement peuvent s’enliser dans le code mystère qui ralentit le développement et abaisse le moral.

Les données non utilisées ajoutent du temps et une charge supplémentaire à la maintenance du code et la seule solution à ce problème est de le supprimer. Malheureusement, il n’est pas toujours évident de savoir si les développeurs peuvent supprimer certaines données sans casser l’application. À mesure que la base de code devient encombrée et difficile à gérer, les équipes de développement peuvent se retrouver coincées dans un code mystérieux qui ralentit le développement et abaisse le moral.

Vous vous souvenez de la première fois que vous êtes entré dans votre garage, vide et étincelant, bâillant avec la promesse de protéger vos véhicules et outils électriques ? Comment était-il la dernière fois que vous y êtes entré ? Si vous êtes comme beaucoup d’entre nous, le désordre des boîtes fermées depuis longtemps vous nargue chaque fois que vous les contournez, perdant précieuses minutes avant de pouvoir atteindre les objets dont vous avez besoin alors que votre voiture est garée dans l’allée. Malheureusement, les équipes de développement ont un problème similaire avec leur code source, qui s’est transformé en un fouillis encombré.

Heureusement, il existe des moyens pour aider les équipes à nettoyer leur code source. L’utilisation de l’analyse statique des données peut aider à identifier les données non utilisées et à les supprimer. L’analyse statique des données est une méthode pour analyser le code source sans exécuter l’application. Cela permet aux développeurs de trouver facilement les données non utilisées et de les supprimer, ce qui réduit la complexité du code et améliore la qualité du logiciel. De plus, l’analyse statique des données peut aider à identifier les erreurs potentielles et à améliorer la sécurité du logiciel. Enfin, elle peut aider à réduire le temps de développement et à améliorer la productivité des développeurs.

Source de l’article sur DZONE

 Paris, le 21 septembre 2023 – SAP, leader mondial des logiciels professionnels d’entreprise, lance ce jour son nouveau programme d’accélération de startups autour de SAP.iO, son accélérateur interne. Un programme qui vise à soutenir l’engagement des consommateurs grâce à une meilleure expérience et une satisfaction client. 15 startups seront ainsi accompagnées.

 

De nouvelles tendances dans l’expérience client qui incitent à l’innovation.

Dans un environnement numérique en constante évolution, SAP poursuit sa quête vers plus d’innovation pour répondre aux besoins de ses clients. Aujourd’hui, les exigences des clients finaux ne cessent de croître, notamment en raison d’une volonté accrue de l’accès instantané à l’information. Cette tendance incite les entreprises à réexaminer régulièrement leur approche, en intégrant à leurs solutions, des avancées technologiques telle que l’intelligence artificielle.

 

Un programme complet d’incubation de startups  innovantes dans l’expérience client. 

C’est la raison pour laquelle SAP lance son programme SAP.iO, axé sur l’amélioration de l’expérience du consommateur en fournissant les solutions les mieux adaptées à cette tendance. Ce programme initié par SAP, piloté par l’incubateur SAP.iO, est essentiellement orienté B2C (Business-to-Consumer), l’objectif étant de fournir tous les outils et solutions nécessaires aux clients finaux pour améliorer significativement leur expérience, avec un accent particulier sur l’amélioration de leur expérience d’achat. Ce programme couvre l’intégralité de la chaîne d’approvisionnement, depuis la sélection du bon produit jusqu’à sa livraison, dans les délais impartis. Cette nouvelle initiative démontre l’engagement continu de SAP à demeurer à la pointe de l’innovation pour ses partenaires, et à créer une valeur ajoutée dans le domaine de la gestion de la relation client.

 

Le programme de SAP.iO accompagne 15 startups à partir du 21 septembre.

Le programme sera officiellement lancé le 21 septembre à la Tour SAP (Inscription ci-contre) en compagnie des 15 startups sélectionnées pour y participer. Ces startups ont été choisies en fonction de plusieurs critères, notamment leur taille et leur expérience relative, la viabilité technique de leurs solutions, leur unicité par rapport aux technologies existantes chez SAP, et leur valeur commerciale. Ces startups sont toutes spécialisées dans l’expérience d’achat et seront intégrées au programme SAP (voir listing ci-dessous).

 

 

« SAP.iO est fier d’accompagner 15 startups talentueuses qui incarnent notre vision d’un avenir où l’engagement des consommateurs est au cœur de chaque entreprise. Ce tout nouveau programme d’accélération illustre notre engagement à améliorer la satisfaction des clients finaux et donc de nos clients. » Odilia von Zitzewitz, Head of SAP.iO Foundry Paris

 

 

Les startups sélectionnées pour participer au programme

 

Anaphora

Anaphora conçoit et crée des plateformes permettant aux marques internationales d’améliorer et de contrôler leurs expériences de marque dans tous les points de contact numériques.

 

Booxi

Booxi est un logiciel de prise de rendez-vous qui améliore la satisfaction client, augmente les conversions et les ventes en facilitant la création de parcours clients fluides du site web au magasin.

 

ChatLabs

Avec ChatLabs les marques peuvent générer une expérience unique pour chaque client, en combinant le contenu, les produits et les appels à l’action dans des parcours hyper-personnalisés. Chaque parcours est entièrement automatisé et alimenté par l’IA.

 

Digitoo

Digitoo est une solution de comptabilité alimentée par l’IA conçue pour résoudre les problèmes du secteur (manque de personnel, les coûts élevés, la complexité du traitement des documents papie…)

 

Find & Order

Find & Order travaille depuis 3 ans avec les leaders de la logistique et de la distribution pour challenger leurs opérations et leurs systèmes d’information. 

 

Frontnow

Frontnow redéfinit le commerce électronique grâce à l’IA, en fournissant aux entreprises de puissants outils d’avant-vente pour maximiser les indicateurs clés de performance et offrir une expérience d’achat semblable à celle d’un magasin.

 

Logicbroker

Logicbroker est la première plateforme de commerce électronique de gestion de l’expérience de la chaîne d’approvisionnement (SCXM). Leur suite intégrée relie tous les participants de la chaîne d’approvisionnement d’une organisation, quel que soit le type de modèle commercial.

 

Measmerize

Measmerize propose une solution de recommandation de taille pour la mode, qui établit un équilibre entre le taux d’adoption et la précision.

 

Notify

Notify est le 1er SaaS d’orchestration CRM qui place l’intelligence artificielle au cœur du dialogue entre les marques et leurs clients. Leur IA nourrit un CRM innovant qui réduit la pression marketing, individualise et légitime la relation, et optimise l’empreinte carbone du CRM. Notify est la réponse aux enjeux du Capital Client et aux indicateurs de transformation du CRM.

 

Particular Audience

Les solutions de Particular Audience comprennent des offres groupées et automatisées sur la politique d’alignement des prix, les produits sponsorisés, la recherche vectorielle basée sur les transformateurs, la recherche visuelle, les recommandations, les informations sur les prix et la tarification dynamique.

 

Potions

Potions développe et distribue la première plateforme de personnalisation de parcours sans cookie, grâce à laquelle ils déploient des expériences uniques pour les visiteurs des sites web des clients.

 

Q°emotion

Q°emotion est une solution sémantique et émotionnelle qui analyse automatiquement les avis clients, ceci afin de détecter et d’éliminer tous les irritants du parcours client.

 

Uncrowd

Uncrowd est une plateforme d’analyse de l’expérience qui explique aux entreprises comment être le premier choix pour toute mission client. La combinaison unique d’observation de l’expérience client, de mesures quantitatives et de résultats comparatifs permet de construire des cartes de parcours client qui aident les entreprises à séduire de nouveaux prospects.

 

Unea

Unea est une plateforme tout-en-un qui révolutionne la gestion des dépenses médiatiques et commerciales des détaillants. Elle permet aux détaillants et aux marques de collaborer de manière transparente, en présentant des produits et en réservant des emplacements en temps réel.

 

YDISTRI

YDISTRI est une startup SaaS B2B spécialisée dans la gestion des stocks d’invendus du commerce de détail. En redistribuant intelligemment les stocks invendables, ils augmentent l’efficacité et la rentabilité, tout en renforçant la fidélité des clients, la durabilité et la résistance aux perturbations de la chaîne d’approvisionnement.

 

A propos de SAP :

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 26 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Contact presse :

Sylvie Lechevin : sylvie.lechevin@sap.com / sap@the-arcane.com

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Source de l’article sur sap.com

Paris, le 07 septembre 2023 – SAP, leader mondial des logiciels d’entreprises, annonce qu’Amadeus a réussi la transition de sa principale infrastructure logicielle SAP® vers le cloud via la solution RISE with SAP. Une étape importante pour l’une des principales entreprises technologiques du secteur des voyages et du tourisme dans son parcours de transformation digitale, qui lui permet de poursuivre sa mission : améliorer l’expérience du voyage pour tous et partout.

 

En s’appuyant sur RISE with SAP S/4HANA Cloud, Amadeus a transféré ses processus internes vers le cloud avec Microsoft Azure pour améliorer sa résilience et faire évoluer ses opérations vers un modèle basé sur le cloud. L’approche simplifiée de RISE with SAP, qui propose une offre commerciale et un contrat unique pour l’infrastructure, les services gérés et la licence, contribue à préserver l’efficacité opérationnelle d’Amadeus.

 

Avec un accès exclusif aux dernières mises à jour, aux améliorations et aux solutions spécifiques à l’industrie, Amadeus sera en mesure d’augmenter ses capacités, sa flexibilité et son efficacité tout en continuant à innover dans le cadre de son passage à un modèle d’exploitation via le cloud. Sa capacité de réaction et d’ajustement opérationnel, fonction des conditions du marché et de la demande, prépare l’entreprise à soutenir la croissance de l’industrie du voyage.

 

« Chez Amadeus, nous sommes enclins à utiliser la technologie pour améliorer l’expérience des voyageurs. Nous avons choisi RISE with SAP parce que la technologie cloud peut maintenant offrir un haut niveau de service », a déclaré Santiago Franco, Chief Information Officer, Amadeus. « Nous sommes convaincus que cette décision renforcera notre efficacité opérationnelle, favorisera l’innovation et améliorera nos processus internes. »

 

« En déplaçant ses opérations vers le cloud avec SAP, Amadeus se place dans une position privilégiée pour accélérer sa transformation. Nous sommes ravis de les accompagner dans leur parcours de transformation », a déclaré Scott Russell, Membre du Conseil Exécutif, Customer Success SAP.

« Nous sommes fiers qu’Amadeus utilise RISE with SAP pour rationaliser ses processus de gestion internes, ce qui les aidera à être plus efficace et plus productif, accélérant ainsi la croissance et leurs succès. »

 

A propos d’Amadeus :

La technologie d’Amadeus alimente l’industrie du voyage et du tourisme avec des solutions innovantes et des systèmes de réservation pour les compagnies aériennes, les agences de voyage et d’autres acteurs de l’industrie dans plus de 190 pays à travers le monde. La plateforme d’Amadeus connecte l’écosystème mondial du voyage et de l’hôtellerie, des startups aux grands acteurs de l’industrie et aux gouvernements, redessinant ainsi le voyage de demain.

 

A propos de SAP :

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 26 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Contact presse :

Sylvie Lechevin : sylvie.lechevin@sap.com / sap@the-arcane.com

 

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Source de l’article sur sap.com

Auto-apprentissage en informatique

L’auto-apprentissage en informatique est une technologie révolutionnaire qui permet aux machines d’apprendre et de s’améliorer sans intervention humaine.

« Les informaticiens autodidactes et les filières informatique »

L’informatique est un domaine en pleine croissance et de plus en plus de personnes sont attirées par cette discipline. Les informaticiens autodidactes sont de plus en plus nombreux et leur présence est de plus en plus visible. JobSkills.center a récemment publié un sondage sur Linkedin pour évaluer l’adéquation du métier d’informaticien avec une formation autodidacte.

Les informaticiens autodidactes sont ceux qui ont appris à coder par eux-mêmes, sans suivre de formation formelle, et qui ont acquis des compétences et des connaissances dans le domaine de l’informatique. Ces personnes ont souvent été motivées par une passion pour l’informatique et ont décidé de se former par elles-mêmes. Les langages et bases de données open-source téléchargeables et gratuits ont contribué à faciliter cette démarche.

Pour se former en informatique, il faut commencer par acquérir l’outillage nécessaire à l’exercice de son activité. Les concepts du développement peuvent nécessiter des licences de compilateur ou de SGBD, tandis que l’infrastructure peut nécessiter des serveurs, des switches, des câbles, des baies et des licences logicielles. Les informaticiens autodidactes doivent également apprendre les processus métier et organisationnels pour exercer leur activité.

L’un des principaux défis auxquels sont confrontés les informaticiens autodidactes est la validation des acquis. Les profils qui ont la chance d’être intégrés à une équipe projet peuvent confronter leurs connaissances avec celles des autres membres et démontrer leur expérience à l’issue de la mission. Pour les profils en recherche d’un emploi ou d’une mission, passer des certifications est un moyen de démontrer leur compréhension des concepts et de la logique des techniques. Heureusement, il existe de nombreuses certifications disponibles que chacun peut passer individuellement dans un centre Person Vue ou Prometric.

Il existe également plusieurs moyens pour se former à l’informatique, notamment rejoindre une session en centre de formation, suivre des sessions MOOC payantes ou gratuites ou encore acquérir des ouvrages pédagogiques. Une fois formés, les informaticiens autodidactes doivent trouver du travail ou des missions. Les critères prédominants du recrutement en France sont le cursus d’étude suivi, les certifications disponibles, l’expérience acquise et les références disponibles. Se former en complément à l’anglais peut être une solution pour les autodidactes qui veulent se donner les meilleures chances de réussir leur recherche d’emploi.

En conclusion, apprendre à coder par soi-même est tout à fait possible et il existe de nombreuses possibilités pour se former à l’informatique. Les informaticiens autodidactes doivent cependant trouver des moyens pour valider leurs acquis et démontrer leur niveau aux potentiels employeurs. Se former en complément à l’anglais peut être une bonne solution pour les autodidactes qui veulent se donner les meilleures chances de décrocher le graal.

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Paris – 1er juillet 2023. Olena Kushakovska (50 ans) actuelle Directrice Générale de SAP Labs France devient la nouvelle Présidente de l’entité R&D de SAP en France.

 

Diplômée de l’Université de Kiev en mathématiques appliquées, de SKEMA Business School et de l’École Polytechnique, Olena Kushakovska rejoint SAP en 2000 en tant qu’ingénieure logicielle. Après plusieurs postes à responsabilité au sein des équipes de développement du Groupe, elle prend la tête du site SAP Labs France de Sophia-Antipolis en 2017. Elle s’engage dans l’écosystème local où elle favorise la création d’un consortium d’entreprises dédié à la recherche en intelligence artificielle.

Après ses succès dans la coordination des activités de R&D et la livraison des services aux clients, elle aura pour mission de renforcer l’attractivité de SAP Labs France en axant sa politique sur trois piliers : excellence opérationnelle, expertise technologique et engagement pour le développement durable.

Actuelle Directrice Générale de SAP Labs France et co-dirigeante du Conseil Industriel pour la Recherche en Intelligence Artificielle (ICAIR), elle devient Présidente de l’entité R&D et succède à Hanno Klausmeier, à ce poste depuis 2007.

« J’ai démarré chez SAP il y a 22 ans en tant que développeuse. J’ai gravi les échelons, jusqu’à prendre la tête aujourd’hui de SAP Labs France. Je ressens de la fierté d’accompagner une équipe de 400 experts et de la reconnaissance envers Clas qui me permet de relever ce nouveau défi », déclare Olena Kushakovska, Présidente de SAP Labs France.

« SAP Labs France, à travers la conception de solutions technologiques innovantes, joue un rôle essentiel dans l’accompagnement de la transformation de nos clients en France et à l’étranger. Je suis ravi que nous ayons trouvé en Olena un grand leader pour SAP Labs France. C’est une dirigeante qui a fait ses preuves et qui saura accomplir les missions qui lui sont confiées.», conclut Clas Neumann, Senior VP – Head of Global SAP Labs Network.

À propos de SAP

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com. 

 

Contact presse : sylvie.lechevin@sap.com

sap@the-arcane.com

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Source de l’article sur sap.com

Lors de son Move to Cloud, CITEO a décidé de moderniser son ERP SAP ECC, en optant pour l’offre RISE with SAP dans le Cloud. Un projet confié à STMS, lequel a su le mener à bien en moins de huit mois.

CITEO est une entreprise à mission agréée par l’Etat. Elle a été créée par les acteurs du secteur de la grande consommation et de la distribution pour réduire l’impact environnemental de leurs emballages ménagers et papiers graphiques via des solutions de réduction, de réemploi, de tri et de recyclage. CITEO détient une filiale, Adelphe, dédiée à la fin de vie des emballages issus des secteurs des vins & spiritueux et des médicaments.

Grace aux efforts de l’ensemble des acteurs, et des citoyens, 72% des emballages ménagers et 62% des papiers sont aujourd’hui recyclés en France.

CITEO et Adelphe regroupent 346 collaborateurs et le chiffre d’affaires du groupe, redistribué à 95% aux collectivités, s’est élevé en 2021 à 831,8 M€.

Pour accomplir sa mission, CITEO développe de nombreux outils afin d’une part de permettre les déclarations mais aussi d’apporter du conseil aux 35 000 clients et 34 500 collectivités avec les- quels elle travaille au quotidien.

Un virage vers le cloud… et SAP S/4HANA Cloud

CITEO est une entreprise qui doit gérer d’importants flux financiers, entrants et sortants. À ce titre, son ERP SAP ECC est une des briques centrales de son système d’information.

« En 2020, nous avons décidé de basculer vers le cloud Microsoft Azure, explique Nicolas Malaquin, Directeur des solutions digitales et systèmes d’information, CITEO. Nous avons dans un premier temps choisi de migrer notre ERP SAP ECC vers les infrastructures Microsoft Azure, avant de basculer sur une solution plus adaptée au monde du cloud, au travers d’une migration vers un ERP SAP S/4HANA en mode as a service. »

C’est donc dans ce contexte que CITEO a décidé d’opter pour l’offre RISE with SAP et d’adopter la solution SAP S/4HANA Cloud, avec à la clé quatre principaux bénéfices attendus :

  • une modernisation massive de l’ERP ;
  • une réduction des coûts globaux de fonctionnement, de l’ordre de 20% ;
  • une simplification administrative, l’ensemble étant géré via un unique contrat ;
  • l’accès à des fonctionnalités de disaster recovery, proposées en standard.

CITEO décide d’engager rapidement son projet de migration. « La fin de support de SAP ECC étant proche, nous voulions éviter de tomber dans le goulot d’étranglement formé par les migrations à venir au sein des grands groupes, commente la DSI CITEO. Il y a une vraie tension sur les ressources disponibles.

STMS est l’un des partenaires historiques de CITEO. C’est donc à lui qu’a été confiée le projet.

« Il est logique de confier ce projet à STMS, qui connaît bien notre métier et notre contexte. »

Une migration réussie en huit mois

L’ERP SAP ECC de CITEO se concentre sur les flux financiers (modules SD, MM er FICO). Un périmètre qui a été conservé lors du passage vers SAP S/4HANA. Tout comme la SAP GUI, ce qui a permis de limiter les changements du point de vue des utilisateurs. « Notre priorité était de mettre en place rapidement un socle technique solide, explique Julien Martin, Directeur de la Technologie et de la sécurité, CITEO. La ‘fiorisation’ de l’interface sera abordée dans un second temps. »

Les travaux de conception et de développement sont menés entre février et mai 2022, avec une première phase de recette s’étalant de mai à juillet, suivie de la recette métier en septembre, avant une mise en production en fin de mois. Le tout effectué sous le regard attentif des équipes de STMS, de l’intégrateur, mais également d’une équipe SAP dédiée. Après près de trois mois de fonctionnement, le bilan est positif : si quelques soucis restent à régler, le nouvel ERP n’a pas connu de défaillance majeure.

Afin d’accélérer les travaux, une phase de réduction des spécifiques a été initiée dès les prémices du projet. « Nous aimerions pouvoir aller au bout de ce travail, avec une revue plus approfondie de nos processus, poursuit Julien Martin. Ceci nous permettra de revenir au plus près des standards tout en tirant le meilleur parti des fonctionnalités de l’ERP SAP S/4HANA. » Certains processus non standards pourraient donc sortir de l’ERP, alors que d’autres – comme les relances client – y seraient réintégrés. « Notre objectif est de redonner à chacun de nos outils sa vraie place dans notre SI. »

CITEO et STMS ont organisé des ateliers avec les Responsables métiers de l’entreprise et utilisateurs de l’ERP, afin qu’ils puissent faire remonter leurs souhaits et remarques. Ces points seront priorisés, afin de créer une roadmap pour 2023, comprenant des éléments comme : des travaux visant à réduire les temps de rapprochement bancaire, la mise à disposition du reporting Fiori pour le contrôle de gestion, la mise en place de tuiles pour les KPI standards dédiés à la comptabilité, ou encore la mise en place d’un cockpit de clôture.

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Source de l’article sur sap.com

Recruter des freelances

Trouver les bons freelances pour votre projet peut être un défi. Découvrez comment recruter les meilleurs freelances pour votre entreprise.

## Bénéfices du recrutement de profils freelances

Les avantages du recrutement de profils freelances

Le recrutement de profils freelances peut offrir de nombreux avantages aux entreprises. Tout d’abord, faire appel à des sociétés spécialisées dans le sourcing de profils freelances permet aux entreprises de gagner du temps et de l’argent en externalisant la recherche de talents qualifiés. Ces sociétés ont souvent accès à un large réseau de freelances et peuvent donc trouver rapidement des candidats correspondant aux besoins spécifiques de l’entreprise. En outre, elles peuvent aider les entreprises à évaluer les compétences des candidats et à s’assurer qu’ils sont bien adaptés à la mission et culture de l’entreprise.

De plus, le recrutement de profils freelances peut être bénéfique pour les entreprises en termes de coûts. En effet, faire appel à des freelances peut permettre aux entreprises de réduire les coûts, car elles ne recrutent pas de collaborateurs permanents mais font appel à des prestataires de services sur demande pour une durée déterminée, avec des compétences attendues référencées dans le contexte d’un objectif à atteindre. Une fois les travaux attendus réalisés par le freelance, le contrat prend fin par une simple notification du client.

Enfin, les sociétés spécialisées peuvent également apporter un avantage supplémentaire en termes d’agrégation des fournisseurs. En assurant la facturation des prestations sous-traitées par chaque freelance délégué, elles apportent une solution de consolidation de contrats pour les clients et une simplification des fonctions Supplier Relationship Management [SRM].

En somme, le recrutement de profils freelances peut offrir aux entreprises des avantages considérables en termes de temps et d’argent, tout en leur permettant d’accéder à des talents qualifiés et d’améliorer leurs processus de gestion des fournisseurs. Les entreprises qui souhaitent tirer parti des avantages du recrutement de profils freelances peuvent faire appel à des sociétés spécialisées pour leur fournir un accès à un large réseau de freelances et leur permettre d’accéder aux meilleures compétences disponibles sur le marché. De plus, ces sociétés peuvent aider les entreprises à évaluer les compétences des candidats et à s’assurer qu’ils sont bien adaptés à la mission et culture de l’entreprise, tout en leur offrant une solution de consolidation des contrats et une simplification des processus SRM.

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Recrutement via les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux sont devenus un outil incontournable pour le recrutement: découvrez comment les utiliser pour trouver le meilleur candidat!

## Recruter avec les réseaux sociaux ?

Recruter avec les réseaux sociaux pour trouver le candidat idéal en informatique

Les réseaux sociaux sont devenus un outil indispensable pour les recruteurs qui cherchent à trouver le candidat idéal pour leurs missions en informatique. En effet, grâce à ces plateformes, ils peuvent facilement cibler les professionnels qualifiés et expérimentés qui répondent aux critères de recrutement.

Tout d’abord, les réseaux sociaux offrent une portée illimitée pour diffuser des offres d’emploi. Les entreprises peuvent ainsi toucher un public plus large et diversifié, ce qui augmente leurs chances de trouver le candidat idéal. De plus, elles peuvent également créer des annonces ciblées en fonction des compétences requises, de l’expérience professionnelle et de la localisation géographique souhaitée.

En outre, les réseaux sociaux offrent également aux entreprises la possibilité de diversifier leurs méthodes de recrutement. Elles peuvent utiliser des vidéos et des photos pour donner un aperçu de la marque employeur et de l’environnement de travail. Cela peut aider les candidats à mieux comprendre la culture de l’entreprise avant de postuler. Enfin, les réseaux sociaux permettent également aux entreprises de renforcer leur notoriété en ligne et leur réputation en tant qu’employeur attractif et innovant.

C’est pourquoi, si vous êtes à la recherche d’un emploi en informatique en tant que freelancer, n’hésitez pas à consulter les offres diffusées sur les réseaux sociaux ! En effet, grâce aux mots clés « mission freelance », « informatique », vous pourrez facilement trouver des missions adaptées à votre profil et à vos compétences.

En conclusion, les réseaux sociaux sont un outil précieux pour les entreprises qui cherchent à recruter des professionnels qualifiés et expérimentés dans le domaine de l’informatique. En effet, ils leur permettent d’accroître leur portée et leur notoriété en ligne et de cibler des candidats spécifiques grâce à des annonces ciblées. Alors, n’hésitez pas à consulter les offres diffusées sur les réseaux sociaux !

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Il ne fait aucun doute que le concept de durabilité est en passe de transformer l’économie mondiale. L’épuisement des ressources de la planète, les bouleversements climatiques, la fracture sociale et économique, l’évolution des préférences de consommation, l’activisme salarial, la multiplication des réglementations et la crise de confiance dans les institutions sont autant de facteurs qui poussent les entreprises à se montrer toujours plus prudentes dans leurs objectifs et dans leurs bénéfices. Et tout cela est bon pour les affaires.

En assumant sa responsabilité sociétale, une entreprise renforce la réputation de sa marque. En effet, les demandeurs d’emploi et les consommateurs d’aujourd’hui cherchent à soutenir les organisations qui défendent des valeurs importantes et qui ont une incidence positive sur la société dans son ensemble. Quant aux investisseurs, ils s’intéressent de plus en plus aux objectifs de développement durable, et en particulier à leur impact social. Enfin, les réglementations concernant les droits humains et l’environnement se développent rapidement. De quoi pousser les PDG et les dirigeants d’entreprises à adopter une approche plus durable.

 

Les personnes, la planète et la prospérité

Quand vous entendez le mot « durabilité », vous avez peut-être le réflexe de penser au recyclage ou à l’environnement. Mais le concept ne se résume pas à éliminer les bouteilles d’eau à usage unique ou à réduire la consommation des combustibles fossiles. Le développement durable, c’est bien plus que cela. C’est une approche globale qui intègre des aspects sociaux, environnementaux et économiques – en somme, qui implique les personnes, la planète et la prospérité.

Les entreprises sont de plus en plus conscientes de la nécessité de se préoccuper autant de la durabilité sociale, ou durabilité en ressources humaines, que de ses volets économique et environnemental – car ce sont ces trois facteurs indissociables qui soutiennent et stimulent la durabilité de leurs activités. Les personnes sont les éléments constitutifs de la société ; elles exercent un impact sur l’environnement et alimentent l’économie. Elles sont naturellement au cœur de toute stratégie visant à atteindre des objectifs de développement durable. Dans le monde du travail actuel, les RH ont à la fois l’opportunité et la responsabilité de s’assurer que l’humain est au centre des différentes tâches, en créant un environnement propice aussi bien à l’épanouissement des collaborateurs qu’à la prospérité de l’entreprise dans son ensemble.

People Sustainability Is Emerging as a New Strategic Business Imperative

Définir la durabilité sociale

La durabilité sociale repose sur un traitement éthique et équitable des personnes au sein d’une entreprise, de sa Supply Chain et des populations parmi lesquelles elle opère.

La durabilité environnementale et économique implique de préserver et d’utiliser avec prudence les ressources naturelles et financières ; de la même manière, la durabilité sociale nécessite de considérer les personnes et le potentiel humain comme des ressources précieuses, qui doivent être entretenues et valorisées afin de favoriser la résilience, l’agilité et la réalisation d’objectifs pérennes.

Les entreprises qui font de la durabilité sociale une priorité en générant un impact social et en créant une culture plus diversifiée et inclusive sont mieux à même de stimuler l’implication et la productivité de leurs collaborateurs. Elles sont également mieux placées pour attirer et retenir les talents. Penny Stoker, responsable des talents internationaux chez EY, nous explique en quoi la durabilité sociale est centrale dans la construction d’un monde du travail meilleur.

Identifier les six piliers de la durabilité sociale

L’équipe de recherche en RH SAP SuccessFactors a identifié six domaines qui forment les piliers de la durabilité sociale. Bien que ces piliers soient distincts les uns des autres, on peut bien entendu identifier des recoupements. Et au centre de tout, il y a évidemment la notion de culture, qui détermine tant de comportements à l’intérieur d’une entreprise aussi bien qu’en dehors. Intéressons-nous à ces piliers, sous l’angle des RH et des processus de gestion du personnel.

 

 

Santé et sécurité
A minima, vous devez garantir la sécurité physique de votre personnel, le protéger contre les risques et subvenir à ses besoins de base. Votre processus d’intégration offre-t-il aux nouvelles recrues une formation et un équipement de sécurité appropriés dès le premier jour ? Avez-vous une bonne visibilité sur l’ensemble de vos collaborateurs, et notamment sur l’endroit où ils se trouvent ? Savoir qui sont vos salariés et où ils sont, à tout moment, vous permet de réagir rapidement en cas de crise et de proposer une assistance si nécessaire.

Diversité, équité et inclusion
En la matière, il s’agit de garantir à chaque individu un traitement juste et équitable, quels que soient son identité sociale et son système de croyances, de telle sorte qu’il en retire un sentiment authentique d’appartenance. Êtes-vous en mesure d’attirer et de recruter des demandeurs d’emploi issus de milieux divers ? Disposez-vous d’un processus de sélection et d’entretien standardisé ? Votre système de rémunération est-il transparent ? Avez-vous mis en place des métriques et un suivi des objectifs en matière de diversité, d’équité et d’inclusion ?

Bien-être et équilibre
Au-delà des impératifs de santé et de sécurité de base, il s’agit de prioriser le bien-être global (psychologique, social, financier et professionnel) de vos collaborateurs en mettant à leur disposition les outils et les ressources pertinents. Proposez-vous un ensemble complet d’avantages avec des options attrayantes ? Vos collaborateurs sont-ils suffisamment en confiance pour être pleinement eux-mêmes au travail ? Encouragez-vous une culture du dialogue permanent entre les responsables et leurs équipes ?

Confiance et transparence
Dans ce domaine, il importe que les collaborateurs puissent s’exprimer, comprendre comment sont prises les principales décisions qui les concernent, et être certains que leur entreprise agit de manière éthique. Écoutez-vous régulièrement vos collaborateurs et tenez-vous compte de leurs retours ? Avez-vous mis en place des règles et des processus garantissant l’utilisation éthique des technologies intelligentes ainsi que la confidentialité et la protection des données ? Vos métriques de diversité sont-elles publiées et accessibles à tous ?

Autonomie et développement personnel
Vos collaborateurs doivent bénéficier d’informations claires, du soutien et des outils nécessaires pour développer leurs compétences et agir sur leur parcours professionnel. Proposez-vous des options de formation inclusives pour répondre aux besoins et aux préférences d’un personnel diversifié ? Veillez-vous à ce que les responsables transmettent des retours équitables et exploitables à leurs équipes ? Offrez-vous un accès équitable aux opportunités de développement ?

Objectif organisationnel et RSE
Dans ce dernier domaine, l’entreprise s’efforce activement de rendre ce qu’elle reçoit et d’exercer un impact positif sur le monde ; ses collaborateurs sont encouragés à s’impliquer et se sentent galvanisés par la mission et les valeurs du groupe. Veillez-vous à ce que les objectifs individuels soient alignés sur ceux de l’entreprise afin de donner du sens au travail accompli ? Donnez-vous à vos collaborateurs la possibilité de s’adonner à leurs passions ?

 

Que peuvent faire les entreprises pour favoriser la durabilité sociale ?

Aujourd’hui, dans la plupart des entreprises, différents acteurs mènent ce genre d’initiatives sans trop connaître les stratégies des autres ni mettre en place de collaborations. Cela dit, il faut bien commencer quelque part. La première étape, en toute logique, consiste à déterminer où vous en êtes. Disposez-vous d’une stratégie unifiée, au moins dans certains des domaines évoqués plus haut ? Entamez des discussions et lancez-vous dans l’élimination des silos organisationnels.

Accordez la priorité aux personnes. Les progrès pour la planète et la prospérité suivront. C’est cela, être une entreprise résiliente, orientée sur les résultats et sur les personnes. Une entreprise qui n’est pas seulement parée pour répondre aux besoins de gestion d’aujourd’hui, mais qui saura s’adapter à ceux de demain.

Pour en savoir plus, regardez une rediffusion du discours d’ouverture SuccessConnect « Libérez toute la puissance du potentiel humain et transformez définitivement le monde du travail ».

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Kim Lessley est directrice mondiale du marketing des solutions chez SAP SuccessFactors.

 

 

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Source de l’article sur sap.com

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

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« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

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Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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