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Paris, le 3 octobre 2023 – Tout au long du mois d’octobre, SAP, leader mondial des logiciels d’entreprises, innove pour capitaliser sur l’engagement de ses collaborateurs aux enjeux de la RSE et lance en France le « Mois de l’Engagement ». Pendant quatre semaines, plusieurs actions seront menées pour soutenir les employées qui s’investissent dans des causes qui leurs sont chères.

 

Lancé le 3 octobre 2023, « Le Mois de l’Engagement » de SAP en France a été pensé avec les équipes de la Fondation SAP France et les Ambassadeurs SAP4Good. L’objectif ? Proposer une série d’actions sur l’ensemble du mois d’octobre et soutenir l’engagement des collaborateurs dans des missions à caractère social et environnemental.

« Le Village de l’Engagement », un espace dédié à l’Engagement et créé pour les collaborateurs.

Un village dédié aux actions sociales et environnementales ouvrira ses portes aux collaborateurs de SAP en France. Quatre quartiers thématiques seront proposés pour les employés qui souhaitent s’investir dans une cause : participer à l’essor de Entrepreneuriat Social, accompagner l’inclusion professionnelle via le numérique, s’engager pour Zéro inégalité (Pride@SAP, la Course du Cœur) et Agir pour l’Environnement

Le film documentaire Ose Toujours d’Enactus, réalisé par Jérôme Priolet, sera diffusé à l’occasion du lancement du Mois de l’Engagement, suivi d’une table ronde avec ENACTUS et SAP France. L’Association ENACTUS France a été créée en 2003 pour promouvoir le progrès social par l’action entrepreneuriale en France.

A travers plusieurs ateliers thématiques, cette journée sera également pour les bénévoles SAP l’occasion d’enrichir leurs compétences de mentoring d’entrepreneurs sociaux avec le coaching de Makesense et/ou d’acteurs de la transition énergétique, grâce à des animateurs dédiés.

SAP en France renforce ses actions en faveur de la RSE et amplifie celles de ses collaborateurs

Durant quatre semaines, au profit de son écosystème associatif, les employés de SAP en France s’impliqueront pour répondre au plus grand nombre d’objectifs du Développement Durable dont l’éducation, l’économie sociale et solidaire, une chance pour tous, l’égalité entre les sexes, le travail décent, etc.

La responsabilité environnementale de SAP sera également au programme avec l’adoption par le plus grand nombre de collègues d’une mobilité durable et le passage individuel à l’action pour la réduction de son empreinte carbone avec un atelier dédié : l’atelier 2tonnes qui a déjà convaincu 100% de ceux qui l’ont suivi !

Les enjeux de l’alimentation durable seront également présentés : le groupe SODEXO, leader mondial de la restauration collective, proposera à cette occasion davantage de menus végétariens au sein des locaux de SAP France.

Ce mois de l’Engagement renforce la politique globale de SAP en faveur des actions de RSE et encourage les collaborateurs à avoir un impact positif tant dans leur vie personnelle que professionnelle.

Au quotidien, l’entreprise continue de soutenir les initiatives des collaborateurs en faveur du bien commun.

 

« Chez ENACTUS, nous croyons que chaque individu porte en lui le désir d’un monde plus juste, plus inclusif et plus durable et que c’est en révélant ces rêves et en donnant confiance en chacun en sa capacité à agir, que nous ferons émerger une société souhaitable pour tous ! Nous accompagnons des étudiants, des enseignants et des professionnels à développer leurs compétences pour innover et agir au service de la société. » déclare Céline Sannié, Directrice Générale Adjointe ENACTUS

 

« Nous sommes très fiers de nous associer à cette initiative pour faire découvrir aux salariés de SAP une alimentation responsable, locale et gourmande faisant la part belle au frais et au végétal. Des approvisionnements au zéro plastique, en passant par la mise en place de paniers anti-gaspi, c’est un écosystème vertueux qui illustre notre engagement pour une restauration durable alliant plaisir, santé et éco-responsabilité. » explique Sabine Sakthikumar, Directrice Générale IDF et Nouveaux modèles de restauration chez SODEXO

 

Pour Emmanuelle Brun Neckebrock, CFO et Directrice Générale Déléguée SAP France : « Ce mois est une formidable opportunité pour tous nos collaborateurs et pour l’équipe de direction de continuer à nous engager. Aujourd’hui, notre entreprise a à cœur de contribuer au développement de toutes les initiatives, et c’est ce que nous faisons avec le Mois de l’Engagement, avec nos partenaires ENACTUS et SODEXO. Il est important pour SAP d’offrir à ses collaborateurs une plateforme d’engagements qui leur permettra de continuer à servir les causes qui leurs sont chères et d’en découvrir de nouvelles. »

 

A propos de SAP :

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 26 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Contact presse :

Sylvie Lechevin : sylvie.lechevin@sap.com / sap@the-arcane.com

 

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Source de l’article sur sap.com

Auto-apprentissage en informatique

L’auto-apprentissage en informatique est une technologie révolutionnaire qui permet aux machines d’apprendre et de s’améliorer sans intervention humaine.

« Les informaticiens autodidactes et les filières informatique »

L’informatique est un domaine en pleine croissance et de plus en plus de personnes sont attirées par cette discipline. Les informaticiens autodidactes sont de plus en plus nombreux et leur présence est de plus en plus visible. JobSkills.center a récemment publié un sondage sur Linkedin pour évaluer l’adéquation du métier d’informaticien avec une formation autodidacte.

Les informaticiens autodidactes sont ceux qui ont appris à coder par eux-mêmes, sans suivre de formation formelle, et qui ont acquis des compétences et des connaissances dans le domaine de l’informatique. Ces personnes ont souvent été motivées par une passion pour l’informatique et ont décidé de se former par elles-mêmes. Les langages et bases de données open-source téléchargeables et gratuits ont contribué à faciliter cette démarche.

Pour se former en informatique, il faut commencer par acquérir l’outillage nécessaire à l’exercice de son activité. Les concepts du développement peuvent nécessiter des licences de compilateur ou de SGBD, tandis que l’infrastructure peut nécessiter des serveurs, des switches, des câbles, des baies et des licences logicielles. Les informaticiens autodidactes doivent également apprendre les processus métier et organisationnels pour exercer leur activité.

L’un des principaux défis auxquels sont confrontés les informaticiens autodidactes est la validation des acquis. Les profils qui ont la chance d’être intégrés à une équipe projet peuvent confronter leurs connaissances avec celles des autres membres et démontrer leur expérience à l’issue de la mission. Pour les profils en recherche d’un emploi ou d’une mission, passer des certifications est un moyen de démontrer leur compréhension des concepts et de la logique des techniques. Heureusement, il existe de nombreuses certifications disponibles que chacun peut passer individuellement dans un centre Person Vue ou Prometric.

Il existe également plusieurs moyens pour se former à l’informatique, notamment rejoindre une session en centre de formation, suivre des sessions MOOC payantes ou gratuites ou encore acquérir des ouvrages pédagogiques. Une fois formés, les informaticiens autodidactes doivent trouver du travail ou des missions. Les critères prédominants du recrutement en France sont le cursus d’étude suivi, les certifications disponibles, l’expérience acquise et les références disponibles. Se former en complément à l’anglais peut être une solution pour les autodidactes qui veulent se donner les meilleures chances de réussir leur recherche d’emploi.

En conclusion, apprendre à coder par soi-même est tout à fait possible et il existe de nombreuses possibilités pour se former à l’informatique. Les informaticiens autodidactes doivent cependant trouver des moyens pour valider leurs acquis et démontrer leur niveau aux potentiels employeurs. Se former en complément à l’anglais peut être une bonne solution pour les autodidactes qui veulent se donner les meilleures chances de décrocher le graal.

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Paris – 1er juillet 2023. Olena Kushakovska (50 ans) actuelle Directrice Générale de SAP Labs France devient la nouvelle Présidente de l’entité R&D de SAP en France.

 

Diplômée de l’Université de Kiev en mathématiques appliquées, de SKEMA Business School et de l’École Polytechnique, Olena Kushakovska rejoint SAP en 2000 en tant qu’ingénieure logicielle. Après plusieurs postes à responsabilité au sein des équipes de développement du Groupe, elle prend la tête du site SAP Labs France de Sophia-Antipolis en 2017. Elle s’engage dans l’écosystème local où elle favorise la création d’un consortium d’entreprises dédié à la recherche en intelligence artificielle.

Après ses succès dans la coordination des activités de R&D et la livraison des services aux clients, elle aura pour mission de renforcer l’attractivité de SAP Labs France en axant sa politique sur trois piliers : excellence opérationnelle, expertise technologique et engagement pour le développement durable.

Actuelle Directrice Générale de SAP Labs France et co-dirigeante du Conseil Industriel pour la Recherche en Intelligence Artificielle (ICAIR), elle devient Présidente de l’entité R&D et succède à Hanno Klausmeier, à ce poste depuis 2007.

« J’ai démarré chez SAP il y a 22 ans en tant que développeuse. J’ai gravi les échelons, jusqu’à prendre la tête aujourd’hui de SAP Labs France. Je ressens de la fierté d’accompagner une équipe de 400 experts et de la reconnaissance envers Clas qui me permet de relever ce nouveau défi », déclare Olena Kushakovska, Présidente de SAP Labs France.

« SAP Labs France, à travers la conception de solutions technologiques innovantes, joue un rôle essentiel dans l’accompagnement de la transformation de nos clients en France et à l’étranger. Je suis ravi que nous ayons trouvé en Olena un grand leader pour SAP Labs France. C’est une dirigeante qui a fait ses preuves et qui saura accomplir les missions qui lui sont confiées.», conclut Clas Neumann, Senior VP – Head of Global SAP Labs Network.

À propos de SAP

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com. 

 

Contact presse : sylvie.lechevin@sap.com

sap@the-arcane.com

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Source de l’article sur sap.com

Recrutement via les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux sont devenus un outil incontournable pour le recrutement: découvrez comment les utiliser pour trouver le meilleur candidat!

## Recruter avec les réseaux sociaux ?

Recruter avec les réseaux sociaux pour trouver le candidat idéal en informatique

Les réseaux sociaux sont devenus un outil indispensable pour les recruteurs qui cherchent à trouver le candidat idéal pour leurs missions en informatique. En effet, grâce à ces plateformes, ils peuvent facilement cibler les professionnels qualifiés et expérimentés qui répondent aux critères de recrutement.

Tout d’abord, les réseaux sociaux offrent une portée illimitée pour diffuser des offres d’emploi. Les entreprises peuvent ainsi toucher un public plus large et diversifié, ce qui augmente leurs chances de trouver le candidat idéal. De plus, elles peuvent également créer des annonces ciblées en fonction des compétences requises, de l’expérience professionnelle et de la localisation géographique souhaitée.

En outre, les réseaux sociaux offrent également aux entreprises la possibilité de diversifier leurs méthodes de recrutement. Elles peuvent utiliser des vidéos et des photos pour donner un aperçu de la marque employeur et de l’environnement de travail. Cela peut aider les candidats à mieux comprendre la culture de l’entreprise avant de postuler. Enfin, les réseaux sociaux permettent également aux entreprises de renforcer leur notoriété en ligne et leur réputation en tant qu’employeur attractif et innovant.

C’est pourquoi, si vous êtes à la recherche d’un emploi en informatique en tant que freelancer, n’hésitez pas à consulter les offres diffusées sur les réseaux sociaux ! En effet, grâce aux mots clés « mission freelance », « informatique », vous pourrez facilement trouver des missions adaptées à votre profil et à vos compétences.

En conclusion, les réseaux sociaux sont un outil précieux pour les entreprises qui cherchent à recruter des professionnels qualifiés et expérimentés dans le domaine de l’informatique. En effet, ils leur permettent d’accroître leur portée et leur notoriété en ligne et de cibler des candidats spécifiques grâce à des annonces ciblées. Alors, n’hésitez pas à consulter les offres diffusées sur les réseaux sociaux !

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Après une première série de podcasts qui a mobilisé des experts pour décrypter les principaux enjeux RH des entreprises, SAP donne cette fois la parole au terrain. Au programme de cette deuxième saison d’« HR Pulse », toujours animée par Thomas Dorynek, HXM Value Advisor : des retours d’expérience mêlés de souvenirs personnels, riches d’enseignements pour leurs pairs.

 

La crise sanitaire a représenté, pour bon nombre de DRH, un moment marquant de leur carrière. Le souvenir peut être plus ou moins bon, selon le contexte dans lequel s’est invitée la pandémie et la manière dont ce défi a pu être relevé. Dans le cas de Fernanda Ribeiro, VP RH en charge de l’excellence opérationnelle et de la transformation digitale chez Bureau Veritas, l’expérience a été largement positive : « En travaillant avec la direction générale, la DAF et les opérationnels, nous avons réussi à gérer les mobilités internes en un temps record, en monitorant nos carnets de commande et en ajustant les réponses en termes de compétences disponibles ». Avec, à la clé, l’atteinte des objectifs business et un impact social très favorable.

La crise sanitaire, un défi d’inventivité et d’agilité

De son côté, Delphine Isal, Digital learning & HR innovation Director chez Air France, garde le souvenir d’une pandémie globale qui a, du jour au lendemain, mis l’intégralité de la flotte à l’arrêt. L’enjeu a été de maintenir les liens et l’engagement, mais aussi de « faire preuve d’inventivité et d’agilité, pour développer une offre de formation répondant aux besoins actuels des apprenants. »

Ces deux retours d’expérience, passionnants et révélateurs, illustrent la diversité des missions des sept professionnels RH de haut niveau interrogés par SAP ; la multitude des enjeux auxquels ils et elles sont confrontés ; et les spécificités de l’environnement économique et social dans lequel ces décideurs interviennent.

Tirer des leçons des personnalités inspirantes

Cette saison 2 de « HR Pulse » est riche en retours d’expérience, qui permettent de découvrir ce qui anime ces professionnels très investis dans leurs missions. Leurs propres sources d’inspiration méritent d’ailleurs d’être partagées, à l’image de Bruno Frankiel, DRH de Giphar, qui évoque deux grands champions de tennis, Arthur Ashe et Yannick Noah. Le premier, afro-américain né dans un milieu modeste, a réussi à s’imposer dans un milieu majoritairement riche et blanc, à force de talent et de persévérance. Lors d’une visite au Cameroun, il rencontre le jeune Yannick, chez qui il décèle un potentiel et qu’il va soutenir. Un double exemple, pour Bruno Frankiel, de « leadership, charisme, rigueur et valeurs ».

Pour sa part, Maïté Bouchez, DRH adjointe chez AP-HP, a choisi un extrait du dernier discours de l’ex-première ministre de Nouvelle-Zélande, Jacinda Ardern : « J’espère, qu’en retour, je laisserai derrière moi la conviction que l’on peut être gentil mais fort, empathique mais décidé, optimiste mais concentré, et que l’on peut être son propre leader ». Découvrez, dans les épisodes « HR Pulse », d’autres témoignages et role models tout aussi inspirants !

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Source de l’article sur sap.com

SAP met en lumière les retours d’expérience d’acteurs de terrain dans cette nouvelle série de podcasts, toujours animée par Thomas Dorynek, HXM Value Advisor. Ils évoquent notamment les évolutions récentes de leur fonction et les enjeux auxquels ils doivent désormais répondre.

 

Comment les professionnels RH peuvent-ils prendre place à la table des décisions ? Cette question transparaît, en filigrane, dans les témoignages de la plupart des DRH qui s’expriment dans « HR Pulse » saison 2. Pour illustrer la manière dont ce rôle stratégique peut se manifester, Nawal Mrani Alaoui, DRH Mars Petcare & Food France, explique par exemple le fonctionnement du trio décisionnaire, qu’elle compose avec le directeur général et le directeur financier.

L’évolution du métier de RH tient aussi au contexte et au secteur d’activité. Ainsi Maïté Bouchez, DRH adjointe chez AP-HP, explique la situation de l’hôpital public et son indispensable transformation, appelant à travailler sur l’attractivité des métiers et l’expérience collaborateur. Par exemple, avec des conditions de prise de poste sereines, « pour impulser une dynamique positive d’un point de vue managérial et de sentiment d’appartenance ».

Transformation digitale : une opportunité et un challenge

Les DRH partagent également leur vision des grands défis qui les attendent, avec là encore de nombreux sujets en commun, comme l’engagement, la fidélisation, le sens au travail et la QVT.  Bruno Frankiel, DRH de Giphar, cite de son côté l’hybridation de l’organisation du travail, à laquelle tous les métiers ne sont pas éligibles : « Comment gère-t-on l’équité et préserve-t-on l’unité de l’organisation ? ».

Pour sa part, Pierre-Michel Bataillard, DRH de SGD Pharma, évoque les défis posés par le digital, « à la fois une opportunité et un challenge ». Il s’agit notamment de travailler avec la DSI pour établir les priorités d’investissement et mettre en place les conditions d’un déploiement réussi. Cette saison 2 de « HR Pulse » met aussi en évidence l’importance du dialogue social, dans un contexte de culture politique et syndicale moins marquée chez les jeunes générations, et appelant de la réinvention – par exemple, avec des moyens d’interaction plus directs avec les collaborateurs.

Une palette de compétences au service de multiples enjeux

Pour accompagner l’évolution de leur fonction et relever les défis qui les attendent, quelles qualités sont aujourd’hui attendues chez les DRH ? A cette question, les professionnels répondent en mettant en avant l’humilité ou encore l’agilité. La capacité à naviguer entre différentes dimensions – temps court et temps, opérationnel et stratégique, problématiques individuelles et collectives, etc. – et à établir des compromis ressort aussi comme essentielle.

Quant à Jean-Luc Minard, DRH du groupe Framatome, il met en avant « la capacité de conviction, pour faire passer les messages en CODIR ou vis-à-vis des représentants du personnel, l’exemplarité, la curiosité, pour s’ouvrir à des idées différentes, et la modestie, pour remettre sans cesse le métier sur l’ouvrage ». Autant de compétences essentielles à la réalisation des missions stratégiques des DRH, dont les podcasts d’« HR Pulse » se font aujourd’hui le relais.

 

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Source de l’article sur sap.com

Levallois-Perret, le 16 mars 2023 – SAP France signe la Charte LGBT+ de l’Autre Cercle, véritable référent en matière d’inclusion des personnes LGBT+ dans le milieu professionnel, et ambitionne de poursuivre un objectif qui découle d’une stratégie plus globale chez SAP : « être l’entreprise Tech la plus inclusive au monde », tel qu’annoncé par Christian Klein, CEO & Executive Board Member de SAP.

La diversité et l’inclusion sont devenues des priorités pour les organisations qui concentrent davantage leurs actions autour de ces enjeux sociétaux. En tant qu’entreprise engagée, SAP France souhaite défendre ce qui est juste et tend, par cette action, à poursuivre une démarche forte et volontariste en matière d’inclusion pour les collaborateurs appartenant à la communauté LGBT+.

 

Les engagements

L’Autre Cercle, Association française de référence qui œuvre pour l’inclusion des personnes LGBT+ dans le monde du travail depuis plus de 25 ans, anime un réseau d’employeurs et de signataires d’entreprises engagés pour favoriser l’inclusion des personnes LGBT+ dans le milieu professionnel. Chaque signature est valable pour une durée de 3 ans.

En signant la Charte de l’Autre Cercle, SAP France s’engage à :

  • créer un environnement inclusif pour les collaboratrices et les collaborateurs LGBT+ ;
  • veiller à l’égalité des droits et de traitement entre toutes les collaboratrices et tous les collaborateurs, quelle que soit leur orientation sexuelle ou leur identité de genre ;
  • soutenir toutes les victimes de propos ou d’actes discriminatoires ;
  • mesurer les avancées et partager les bonnes pratiques pour faire évoluer l’environnement professionnel.

Cet engagement vient compléter les nombreuses actions déjà menées en faveur de la diversité et de l’inclusion au sein de SAP France (diversité de genre, de génération, personnes en situation de handicap, neurodiversité …) et encourage chacun et chacune à défendre la diversité, l’équité et l’inclusion chaque jour de l’année. L’occasion également pour SAP France de réaffirmer ses valeurs de respect et de bienveillance, tant en interne qu’auprès de tout son écosystème, afin d’être – ensemble – tous acteurs du changement.

 

Lancement de Pride@SAP

Au fil des décennies, SAP a su créer des espaces d’écoute, sûrs, où l’on se sent accueilli et où l’on peut venir alimenter la créativité de l’entreprise. Le bien-être au travail gagne de l’importance et devient un facteur d’attractivité, de fidélisation et d’engagement. Chaque entreprise doit pouvoir adapter son identité et ses valeurs à ces évolutions.

C’est dans cette optique que SAP France annonce le lancement de son réseau professionnel Pride@SAP France pour que chacune et chacun puisse revendiquer sa fierté d’être elle-même et lui-même.

 

Le mot des porte-paroles

Olivier Nollent, Président, Directeur Général de SAP France indique : « En signant cette charte, nous avons vocation à toucher tous nos employés mais aussi tout notre écosystème de partenaires, de clients ou d’investisseurs. Notre ambition est de montrer la voie, dans la continuité de nos actions en faveur de la diversité et de l’inclusion, et de faire écho au-delà de notre propre environnement. »

Caroline Garnier, DRH SAP France & Maroc ajoute : « La diversité contribue à rendre notre lieu de travail plus performant et l’inclusion est nécessaire pour l’épanouissement de chacun – toutes deux requièrent une attention constante, de la vigilance et des actions concrètes. Notre objectif est de promouvoir un environnement de travail dans lequel chacune et chacun peut s’épanouir, quelle que soit son orientation sexuelle ou son identité de genre. Sois fièr·e d’être toi-même ! »

 

Denis Triay, Président de L’Autre Cercle : « Comme les autres facteurs de diversité, ceux de l’orientation sexuelle et de l’identité de genre confèrent un regard et une expérience de vie différente qui permettent d’enrichir les réflexions et les modes de décisions dans les organisations. La norme induit un mode de pensée qui rassure, la diversité propose un mode de pensée en rupture.
La diversité est le catalyseur de la performance et de l’innovation, il  est de la responsabilité des employeurs de savoir la préserver, de la cultiver et de la promouvoir. C’est non seulement un enjeu de responsabilité sociétale mais aussi un enjeu de développement stratégique des organisations.
 »

Catherine Tripon, Porte-parole et Co-responsable du pôle Employeurs : « Quand on a pour devise d’améliorer le bien-être de toutes et tous, évidemment cela fait écho pour les employé.es de SAP. Tous les critères de diversité sont concernés par des démarches volontaristes inclusives. Mais cela ne peut se pérenniser sans embarquer l’ensemble du collectif de travail. Pour les personnes LGBT+, tenant compte des violences de part le monde, travailler dans une entreprise mondiale comme SPA, qui s’engage à les protéger et les valoriser dans leur parcours professionnel, c’est une marque d’engagement que la Charte LGBT+ permet de consolider. »

 

 

A propos de SAP

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com. 

Contact presse SAP : sylvie.lechevin@sap.com

 

A propos de l’Autre Cercle

Association créée en 1997, L’Autre Cercle est l’acteur français de référence pour l’inclusion des personnes LGBT+ au travail. Ses valeurs sont le respect, l’humanisme, l’indépendance, l’engagement et le pragmatisme. Elle œuvre pour un monde professionnel épanouissant, inclusif et respectueux des personnes dans toutes leurs diversités, quelle que soit leur orientation sexuelle ou identité de genre. Outre sa vocation d’observatoire, ses missions sont d’accompagner les organisations et de promouvoir les bonnes pratiques. L’Autre Cercle fédère plus de 230 organisations publiques et privées adhérentes et/ou signataires de la Charte d’Engagement LGBT+ réunissant plus de 2 millions de salarié·e·s et agent·e·s.

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Source de l’article sur sap.com

Quand on parle de solutions dans le cloud, ou le ‘nuage’, on évoque principalement l’utilisation de ressources informatiques mises à disposition par le biais d’Internet. Cette technique offre davantage de flexibilité et de rapidité. Elle se révèle également plus économique qu’une installation locale des composants et logiciels. Dans les solutions de Cloud Computing, les clients ne paient que pour les services basés dans le cloud qu’ils utilisent effectivement. En d’autres termes, vous pouvez grâce à cette technologie de pointe réduire vos coûts d’exploitation, faire fonctionner votre infrastructure informatique de manière optimale et efficace, et surtout, la faire évoluer en fonction de vos besoins. Mais au fait : qu’est-ce que le cloud ?

Qu’est-ce que le cloud ?

Le cloud, ou nuage en français, renvoie à une nouvelle conception de l’informatique. Les ressources de stockage, les logiciels d’analyse ou les applications sont basés sur Internet. Il s’agit donc de solutions dématérialisées, qui remplacent l’installation sur un réseau d’entreprise, en local. Le cloud constitue une infrastructure virtuelle sur laquelle des ressources accessibles depuis un navigateur ou une application dédiée sont mises à disposition. C’est le fournisseur des solutions de cloud computing qui se charge de la maintenance et de l’entretien de l’architecture sous-jacente.

Le terme ‘cloud’ est apparu dans les années 1990, pour désigner les parties d’une architecture dédiée à l’information et à son échange. On l’utilise couramment pour décrire les domaines informatiques dans lesquels des systèmes numériques comme des

ordinateurs de bureau, des serveurs, les smartphones ou les tablettes échangent des données. L’image du ‘nuage’ s’explique d’une part par le fait que cette architecture demeure pour une grande part voilée pour l’utilisateur, d’autre part par la dimension dématérialisée des ressources. L’histoire du cloud débute à proprement parler en 2006, lorsque Amazon décide de louer des capacités de stockage aux entreprises.

Depuis lors, l’offre croissante de services de cloud computing permet de délocaliser plus aisément à des prestataires externes des questions telles que le stockage des données ou la sécurité informatique. Les systèmes ERP cloud, par exemple, sont moins sensibles aux défaillances qu’un réseau local, dans la mesure où les données sont certes stockées sur un serveur, mais généralement de manière redondante, à plusieurs emplacements, ce qui limite le risque de perte. Les collaborateurs de l’entreprise peuvent alors se connecter par le biais d’Internet au stockage en ligne. Il leur suffit d’un PC, d’une tablette ou d’un smartphone pour accéder aux données dont ils ont besoin. L’accès peut se faire quel que soit l’endroit où ils se trouvent, au bureau, chez eux ou en déplacement.

Solutions de cloud computing : les avantages

Utiliser un ERP cloud présente pour les entreprises de nombreux avantages. Souvent, elles choisissent de passer à une solution cloud pour des raisons de coût. En effet, un ERP cloud permet de réduire l’investissement pour l’achat de matériel et de logiciels ou pour la mise en place de centres de données. De même, l’entreprise n’a pas besoin d’engager un expert en informatique pour gérer l’infrastructure locale, puisque celle-ci se trouve dans le cloud . Installer un centre de données local entraîne de nombreux frais pour une PME. S’y ajoutent des frais de gestion et le temps qu’il faut y consacrer, afin d’appliquer les mises à jour logicielles et de configurer le matériel. L’utilisation de logiciels cloud permet donc aux équipes informatiques en entreprise de se consacrer à d’autres missions et sur la stratégie commerciale. 

Le cloud computing est aussi plus rapide que les ressources locales. S’agissant d’offres à la demande, en libre-service, les PME et les ETI peuvent disposer en quelques minutes d’une puissance importante, mise à disposition par le prestataire. Il en résulte une meilleure flexibilité. L’entreprise n’a plus besoin de se soucier de la planification de ses capacités. C’est d’autant plus vrai que les services informatiques en cloud s’appuient sur un réseau puissant de centres de données. Il est régulièrement mis à niveau avec du matériel informatique rapide et efficace. La latence réseau est donc bien plus faible. 

Enfin, les solutions de cloud computing offrent des avantages en termes de fiabilité et de sécurité. Le cloud ERP simplifie la protection des données, la restauration en cas de problème et la continuité des activités. Le cloud permet en effet la mise en miroir des données, stockées à plusieurs endroits différents. Concernant la sécurité, c’est le prestataire de solutions cloud qui met à disposition les technologies de pointe. Il effectue également les contrôles indispensables. De cette manière, l’environnement informatique des PME et ETI est mieux sécurisé. Les données sont protégées et les applications résistent mieux aux menaces potentielles. 

Les différents types de solutions de cloud computing

L’un des avantages du cloud est, comme nous avons pu le voir, la flexibilité. Selon l’organisation des entreprises, les habitudes de travail et le fonctionnement des équipes, un type donné de cloud computing est plus adapté qu’un autre. Votre prestataire étudie votre cahier des charges et vous propose un ERP basé sur le cloud convenant réellement à vos besoins et à ceux de votre activité. Autrement dit, les solutions de cloud computing sont taillées sur mesure pour les différents utilisateurs. 

La première différence réside dans l’architecture du cloud sur lequel mettre en œuvre vos ressources. Il existe trois options pour la fourniture de services en cloud  : le cloud public, le cloud privé et le cloud  hybride. Dans le cas du cloud public, les ressources informatiques comme les serveurs et les supports de stockage se trouvent sur Internet. Le fournisseur donne accès aux logiciels et applications. Dans le cloud privé, à l’inverse, les ressources informatiques sont dédiées à une seule entreprise. Le cloud peut néanmoins être hébergé par un prestataire externe, pour les raisons que nous avons examinées ci-dessus. Enfin, le cloud hybride combine les deux solutions. 

Les services et les logiciels cloud, quant à eux, appartiennent aux catégories suivantes : 

  • IaaS, ou Infrastructure as a service
  • Paas, ou Platform as a service
  • Saas, ou Software as a service. 

Ces catégories peuvent évidemment se combiner pour fournir aux entreprises un service intégralement externalisé dans le cloud.

À quel moment une entreprise devrait-elle avoir recours à un ERP cloud ?

Vous vous demandez si des solutions de cloud computing sont faites pour vous ? Voici quelques éléments de réponse, sachant qu’aujourd’hui, environ un quart des entreprises a recours à un ERP cloud

La réponse à cette question est relativement simple. L’utilisation du cloud computing apporte un plus indéniable dès lors que les données de l’entreprise doivent être disponibles à partir de plus d’un terminal numérique. Lorsque les collaborateurs de la PME utilisent des terminaux mobiles comme le smartphone ou les tablettes, le recours au cloud s’impose. Le cloud permet, comme nous l’avons vu, l’accès décentralisé aux données. Vos collaborateurs peuvent y accéder de partout, et pas seulement depuis le siège de l’entreprise.

Les solutions en cloud sont intéressantes pour les entreprises qui sont basées sur plusieurs sites différents, d’où elles doivent pouvoir consulter une base de données commune. C’est aussi le cas lorsque l’entreprise connaît une croissance rapide et qu’il lui faut des capacités informatiques supplémentaires. Le cloud est par ailleurs une solution de mobilité par excellence, incontournable à l’heure du télétravail. Grâce au cloud  privé, la PME peut évoluer de manière flexible, en fonction de ses besoins en capacité de stockage et de calcul.  L’accès aux données est accordé de manière sécurisée uniquement à ceux qui doivent pouvoir s’en servir. Le plus souvent, l’investissement dans une solution de cloud computing est rentabilisé rapidement, en une année environ. 

Contrairement à ce qu’on pense souvent, les ERP cloud offrent une sécurité améliorée par rapport à la plupart des solutions locales. Le scepticisme que l’on rencontre parfois à l’égard des solutions en cloud n’est donc en aucun cas justifié. Le cryptage des données, en particulier, peut être mis en œuvre dans le cloud  comme sur un serveur local. Il est important que le prestataire fournisse une solution de cryptage adaptée, auquel cas le stockage en cloud ne pose pas de problème particulier. Pour une sécurité optimale, nous vous conseillons évidemment le recours à des solutions de cloud computing dans le cloud  privé. 

Le cloud pour quelles utilisations ?

Le cloud computing permet de nombreuses utilisations. En voici quelques exemples, parmi les plus intéressants pour les PME / ETI. Le cloud  permet tout d’abord de créer des applications et de les faire évoluer. On peut s’en servir aussi bien pour les applications sur ordinateur que pour les applications mobiles. Le cloud est particulièrement adapté aux applications API. Il est non seulement possible de les créer, mais aussi de les tester dans le cloud, de manière optimisée.

L’utilisation la plus courante est cependant le stockage de données, et leur restauration en cas de problème informatique. Le cloud contribue donc à la protection des données de l’entreprise. Ces données sont accessibles de partout. Il est facile de les analyser, en les partageant entre les membres de vos équipes et les différents services. Les services d’intelligence artificielle basés dans le cloud aident les dirigeants à prendre les meilleures décisions stratégiques. 

La puissance des solutions basées dans le cloud vous permettra aussi d’offrir des supports audio et vidéo à vos clients. Ils pourront les consulter depuis n’importe quel emplacement, et sur n’importe quel terminal. Enfin, ce type d’hébergement est aujourd’hui incontournable pour y stocker des logiciels cloud, avec utilisation à la demande, ce qu’on appelle SaaS pour Software as a service. 

Choisir les solutions de cloud computing SAP

SAP est spécialisé dans les solutions de cloud computing. Ce sont aujourd’hui plus de 200 millions d’utilisateurs du cloud qui les ont choisies comme support pour leur activité. SAP met en œuvre des technologies intelligentes depuis plus de 40 ans et accompagne les entreprises comme les PME / ETI. Aujourd’hui, SAP est la société de logiciels cloud leader dans le monde. Elle fournit en particulier des ERP cloud pour faciliter l’organisation de travail au quotidien et optimiser les processus de gestion. Tous les outils SAP peuvent être basés dans le cloud et sont conçus dans ce but. 

Nous avons développé en particulier différentes solutions pour les PME / ETI afin de les aider à gérer leur trésorerie, leurs stocks, le télétravail, les missions des différents collaborateurs ou encore les opérations financières. Grâce aux solutions SAP, votre entreprise répond de manière plus agile à l’évolution du marché. De plus, elle améliore son indice de satisfaction client. Vous souhaitez en savoir plus sur nos solutions de cloud computing ou nos ERP cloud ?

N’hésitez pas à nous contacter, par téléphone, par courriel ou par le chat. Notre service de support analysera précisément vos besoins et vous orientera vers les solutions les mieux adaptées à votre entreprise.

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Source de l’article sur sap.com

En s’associant à des entreprises sociales, les grandes firmes peuvent accélérer leur croissance tout en s’assurant que leurs opérations ont un impact positif sur le plan humanitaire et environnemental.

Le monde des affaires n’a jamais été aussi rude. Alors que la planète connaît de multiples crises (pandémie mondiale, injustice sociale, surconsommation des ressources et changement climatique), les grandes firmes doivent repenser leur stratégie de création de valeur. Dans toutes les régions du monde et tous les secteurs d’activité, les entreprises doivent mettre en place de nouvelles initiatives, au-delà de leur mission et de leurs activités de base, pour contribuer à un monde plus prospère, équitable et durable.

Les entreprises qui y parviendront trouveront le juste équilibre. Aujourd’hui plus que jamais, les employés cherchent à s’épanouir dans leur travail et à évoluer dans un environnement orienté vers la diversité et l’intégration. Le développement durable, tourné vers l’avenir et axé sur les solutions, attire les talents et renforce l’engagement. Simultanément, les entreprises cherchent à renforcer leur agilité, leur résilience et leur capacité d’innovation pour créer de la valeur à long terme.

« Les investisseurs évaluent de plus en plus les entreprises à l’aune de leur impact sur la société et l’environnement. »

Chez SAP, nous ne faisons pas de distinction. Notre approche consiste à évoluer de manière globale et à aligner nos objectifs. Notre principe fondateur consiste à placer les objectifs communs et les valeurs partagées au cœur de l’activité, tout en exploitant les technologies numériques. Cette puissante combinaison inspire, implique et attire les talents, en stimulant par là même l’innovation, l’agilité et la résilience.

Les collaborateurs inspirés et les prouesses technologiques ouvrent la voie au changement positif et au développement, comme le partenariat avec les entreprises sociales.

Les entreprises sociales sont des sociétés ordinaires à but lucratif, qui poursuivent une mission humanitaire ou environnementale. Lorsqu’elles réalisent des bénéfices, elles en reversent une part significative au profit de cette mission. Les entreprises sociales représentent une ressource largement sous-exploitée par les grandes firmes, qui doivent répondre aux attentes en constante évolution des consommateurs, des employés et des investisseurs. En établissant un partenariat avec une entreprise sociale ou en achetant ses produits ou services, ces sociétés peuvent en effet transformer une activité de base comme l’acquisition de biens et de services en stratégie de croissance durable, tout en renforçant le sentiment d’appartenance des collaborateurs et la fidélité des clients.

Priorité à l’impact social

Les consommateurs attendent des entreprises qu’elles aient à la fois un impact économique et social. C’est ce qui ressort de l’évolution spectaculaire des comportements d’achat. Selon le NYU Stern Center for Sustainable Business, la hausse des ventes de biens de consommation emballés enregistrée entre 2013 et 2018 est due à 50 % aux produits commercialisés sur le marché durable.

En outre, de plus en plus d’employés attendent de leur entreprise qu’elle promeuve des solutions aux défis mondiaux. Les candidats les plus performants recherchent aujourd’hui des entreprises qui soutiennent des initiatives ayant un impact social et qui leur permettent de mettre leurs compétences non seulement au service du chiffre d’affaires et du résultat net, mais aussi de la « ligne verte » de croissance durable.

Les investisseurs évaluent de plus en plus les entreprises à l’aune de leur impact sur la société et l’environnement, et les répercussions financières sont réelles. Les questions environnementales et sociales sont à l’origine de 25 % de l’argent investi aux États-Unis. À l’échelle mondiale, 23 000 millions de dollars sont aujourd’hui alloués à des fonds engagés dans le cadre d’investissements responsables.

Les entreprises sociales œuvrent depuis des décennies à la mise en place de modèles d’entreprise plus durables et inclusifs. Souvent en sous-effectif, à la poursuite de missions, elles sont fortement affectées par la pandémie mondiale. Ce contexte offre aux grandes firmes une opportunité de taille : soutenir ces entreprises vitales en pleine croissance et protéger ainsi des années d’innovation et de création de valeur.

Le secteur des entreprises sociales est estimé à 12 000 millions de dollars à l’échelle mondiale et pourrait créer 380 millions d’emplois d’ici 2030. Un soutien significatif et un partenariat avec les entreprises sociales permettraient d’intégrer le changement social et des missions humanitaires plus ciblées dans les activités de base.

Plateforme SAP One Billion Lives

L’un des principes de SAP One Billion Lives est de trouver comment les entreprises pourrait mieux se développer. L’ambition de SAP One Billion Lives d’avoir un impact positif sur un milliard d’individus repose en partie sur le soutien aux entrepreneurs sociaux.

En interne, SAP One Billion Lives aide les employés qui conçoivent et développent un portefeuille de projets durables de valeur partagée. Ces projets se proposent de contribuer à la résolution des plus grands défis de notre planète en exploitant ce que SAP a de meilleur à offrir : ses collaborateurs, ses technologies, ses écosystèmes et ses ressources.

« Les entreprises sociales sont des sociétés ordinaires à but lucratif, qui poursuivent une mission humanitaire ou environnementale. »

Guidés par leur cœur et leur expertise, et étayés par les ressources SAP, nos employés ont su créer des activités qui ont contribué à l’établissement de protocoles de traitement contre le cancer plus efficaces en Inde, qui ont amélioré les actions de secours aux sinistrés dans le monde, qui ont rendu possible la création d’une chaîne logistique durable et qui ont permis de lutter contre le travail des enfants dans les mines de cobalt. Face à la pandémie mondiale, SAP One Billion Lives s’est également attaché à relever les défis de la COVID-19, depuis l’apport d’une réponse humanitaire jusqu’à une meilleure gestion des groupes affectés à différents stades sur le lieu de travail.

Exploiter les achats solidaires

SAP One Billion Lives mise sur l’intégration des entreprises sociales dans l’économie mondiale par le biais de nouvelles pratiques d’approvisionnement et d’un soutien aux entrepreneurs sociaux. La mission externe de la plateforme consiste notamment à vanter les bienfaits, réels et inhérents, du soutien aux entreprises sociales.

Les achats solidaires constituent l’un des moyens les plus simples pour une grande firme de renforcer considérablement sa contribution à un monde plus durable et plus équitable. Les éléments fondamentaux d’une entreprise peuvent sembler universels, qu’il s’agisse de services marketing, de café ou de papier. Il existe des entreprises sociales qui peuvent répondre à ces besoins et à bien d’autres encore. La valeur augmente et les dépenses restent les mêmes. SAP a consacré 2,5 % de ses dépenses réductibles au Royaume-Uni pour soutenir les entreprises sociales et nous prévoyons non seulement d’augmenter ce chiffre de manière significative, mais aussi de développer le programme à l’échelle mondiale.

SAP Ariba Network, le plus grand réseau de commerce interentreprises au monde, qui traite plus de 3 000 millions de dollars de transactions par an, a établi un partenariat avec Social Enterprise UK. SAP a intégré les membres de Social Enterprise UK au service d’une mission sur le réseau Ariba, mettant ainsi en contact de nombreuses entreprises sociales avec des grandes firmes du monde entier désireuses de dépenser autrement.

« Les entreprises sociales œuvrent depuis des décennies à la mise en place de modèles d’entreprise plus durables et inclusifs. »

SAP estime que nous avons un rôle essentiel à jouer. Nous pouvons favoriser la création de valeur plus ciblée pour nos clients et nos communautés en les aidant à fonctionner de manière durable, à innover et à nouer des partenariats pour créer un monde plus équitable.

SAP défend les trois thèmes exposés dans le premier article de cette série. Les défis auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui ne sont pas indépendants, mais plutôt interdépendants. Nous sommes profondément convaincus que les entreprises les plus performantes de demain rechercheront le bénéfice, la résilience et la durabilité à parts égales. La formule est claire : servir un objectif et renforcer la croissance.

Publié en anglais sur The New Economy

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Source de l’article sur sap.com

Le Big Data est le flot d’informations dans lequel nous nous trouvons tous les jours (des zettaoctets de données provenant de nos ordinateurs, des terminaux mobiles et des capteurs). Ces données sont utilisées par les entreprises pour orienter la prise de décisions, améliorer les processus et les stratégies, et créer des produits, des services et des expériences centrés sur le client.

Le Big Data désigne non seulement de gros volumes de données, mais aussi des données de nature variée et complexe. Il dépasse généralement la capacité des bases de données traditionnelles à capturer, gérer et traiter ce type de données. De plus, le Big Data peut provenir de n’importe où et de tout ce que nous sommes en mesure de surveiller numériquement. Les satellites, les appareils IoT (Internet des Objets), les radars et les tendances des réseaux sociaux ne sont que quelques exemples parmi la multitude de sources de données explorées et analysées pour rendre les entreprises plus résilientes et compétitives.


L’importance de l’analyse du Big Data

La véritable valeur du Big Data se mesure d’après votre capacité à l’analyser et à le comprendre. L’intelligence artificielle (IA), le machine learning et les technologies de base de données modernes permettent de visualiser et d’analyser le Big Data pour fournir des informations exploitables en temps réel. L’analyse du Big Data aide les entreprises à exploiter leurs données en vue de saisir de nouvelles opportunités et de créer de nouveaux modèles de gestion. Comme l’a si bien dit Geoffrey Moore, auteur et analyste de gestion, « sans analyse du Big Data, les entreprises sont aveugles et sourdes, errant sur le Web comme des cerfs sur une autoroute ».

How does Big Data and Analytics work? Simply Explained

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How does Big Data and Analytics work? Simply Explained


L’évolution du Big Data

Aussi inconcevable que cela puisse paraître aujourd’hui, l’Apollo Guidance Computer a emmené l’homme sur la lune avec moins de 80 kilo-octets de mémoire. Depuis, la technologie informatique s’est développée à un rythme exponentiel, de même que la génération de données. La capacité technologique mondiale à stocker des données a doublé tous les trois ans depuis les années 1980. Il y a un peu plus de 50 ans, lors du lancement d’Apollo 11, la quantité de données numériques générées dans le monde aurait pu tenir dans un ordinateur portable. Aujourd’hui, l’IDC estime ce chiffre à 44 zettaoctets (soit 44 000 milliards de gigaoctets) et prévoit qu’il atteindra 163 zettaoctets en 2025.

44 zettaoctets de données numériques aujourd’hui, IDC

163 zettaoctets de données numériques en 2025, IDC

Plus les logiciels et la technologie se développent, moins les systèmes non numériques sont viables. Le traitement des données générées et collectées numériquement requiert des systèmes de data management plus avancés. En outre, la croissance exponentielle des plates-formes de réseaux sociaux, des technologies pour smartphones et des appareils IoT connectés numériquement ont contribué à l’émergence du Big Data.


Types de Big Data : que sont les données structurées et non structurées ?

Les ensembles de données sont généralement catégorisés en trois types, selon leur structure et la complexité de leur indexation.

Illustration des différents types de big data : données structurées, données non-structurées, données semi-structurées.

  1. Données structurées : ce type de données est le plus simple à organiser et à rechercher. Il peut inclure des données financières, des machine logs et des détails démographiques. Une feuille de calcul Microsoft Excel, avec sa mise en forme de colonnes et de lignes prédéfinies, offre un moyen efficace de visualiser les données structurées. Ses composants peuvent facilement être catégorisés, ce qui permet aux concepteurs et administrateurs de bases de données de définir des algorithmes simples pour la recherche et l’analyse. Même lorsque les données structurées sont très volumineuses, elles ne sont pas nécessairement qualifiées de Big Data, car elles sont relativement simples à gérer et ne répondent donc pas aux critères qui définissent le Big Data. Traditionnellement, les bases de données utilisent un langage de programmation appelé SQL (Structured Query Language) pour gérer les données structurées. SQL a été développé par IBM dans les années 1970 pour permettre aux développeurs de créer et gérer des bases de données relationnelles (de type feuille de calcul) qui commençaient à émerger à l’époque.
  2. Données non structurées : cette catégorie de données peut inclure des publications sur les réseaux sociaux, des fichiers audio, des images et des commentaires client ouverts. Ces données ne peuvent pas être facilement capturées dans les bases de données relationnelles standard en lignes et colonnes. Auparavant, les entreprises qui voulaient rechercher, gérer ou analyser de grandes quantités de données non structurées devaient utiliser des processus manuels laborieux. La valeur potentielle liée à l’analyse et à la compréhension de ces données ne faisait aucun doute, mais le coût associé était souvent trop exorbitant pour en valoir la peine. Compte tenu du temps nécessaire, les résultats étaient souvent obsolètes avant même d’être générés. Contrairement aux feuilles de calcul ou aux bases de données relationnelles, les données non structurées sont généralement stockées dans des lacs de données, des entrepôts de données et des bases de données NoSQL.
  3. Données semi-structurées : comme leur nom l’indique, les données semi-structurées intègrent à la fois des données structurées et non structurées. Les e-mails en sont un bon exemple, car ils incluent des données non structurées dans le corps du message, ainsi que d’autres propriétés organisationnelles telles que l’expéditeur, le destinataire, l’objet et la date. Les dispositifs qui utilisent le marquage géographique, les horodatages ou les balises sémantiques peuvent également fournir des données structurées avec un contenu non structuré. Une image de smartphone non identifiée, par exemple, peut indiquer qu’il s’agit d’un selfie et préciser l’heure et l’endroit où il a été pris. Une base de données moderne exécutant une technologie d’IA peut non seulement identifier instantanément différents types de données, mais aussi générer des algorithmes en temps réel pour gérer et analyser efficacement les ensembles de données disparates.

Les sources du Big Data

Les objets générateurs de données se développent à un rythme spectaculaire, depuis les drones jusqu’aux grille-pains. Toutefois, à des fins de catégorisation, les sources de données sont généralement divisées en trois types :

Illustration des différentes sources du big data : données sociales, données machine, données altérables.

Données sociales

Comme leur nom l’indique, les données sociales sont générées par les réseaux sociaux : commentaires, publications, images et, de plus en plus, vidéos. En outre, compte tenu de l’ubiquité croissante des réseaux 4G et 5G, on estime que le nombre de personnes dans le monde qui regardent régulièrement des contenus vidéo sur leur smartphone atteindra 2,72 milliards en 2023. Bien que les tendances concernant les réseaux sociaux et leur utilisation évoluent rapidement et de manière imprévisible, leur progression en tant que générateurs de données numériques est incontestable.

Données machine

Les machines et appareils IoT sont équipés de capteurs et ont la capacité d’envoyer et de recevoir des données numériques. Les capteurs IoT aident les entreprises à collecter et traiter les données machine provenant des appareils, des véhicules et des équipements. Globalement, le nombre d’objets générateurs de données augmente rapidement, des capteurs météorologiques et de trafic jusqu’à la surveillance de la sécurité. Selon l’IDC, il y aura plus de 40 milliards d’appareils IoT en 2025, générant près de la moitié des données numériques mondiales.

Données altérables

Il s’agit des données parmi les plus évolutives au monde. Par exemple, un détaillant international traite plus d’un million de transactions client par heure. Si l’on ajoute à cela les transactions d’achat et bancaires au niveau mondial, on comprend mieux le volume phénoménal de données générées. En outre, les données altérables contiennent de plus en plus de données semi-structurées, y compris des images et des commentaires, ce qui les rend d’autant plus complexes à gérer et à traiter.


Les cinq V du Big Data

Ce n’est pas parce qu’un ensemble de données est volumineux qu’il s’agit nécessairement de Big Data. Pour être qualifiées en tant que telles, les données doivent posséder au minimum les cinq caractéristiques suivantes :

Illustration des 5 V du Big Data : Volume, Vitesse, Variété, Véracité, Valeur.

  1. Volume : même si le volume n’est pas le seul composant qui constitue le Big Data, il s’agit d’une de ses caractéristiques principales. Pour gérer et exploiter pleinement le Big Data, des algorithmes avancés et des analyses pilotées par l’IA sont nécessaires. Mais avant tout cela, il doit exister un moyen fiable et sécurisé de stocker, d’organiser et d’extraire les téraoctets de données détenus par les grandes entreprises.
  2. Vitesse : auparavant, les données générées devaient ensuite être saisies dans un système de base de données traditionnel (souvent manuellement) avant de pouvoir être analysées ou extraites. Aujourd’hui, grâce à la technologie du Big Data, les bases de données sont capables de traiter, d’analyser et de configurer les données lorsqu’elles sont générées, parfois en l’espace de quelques millisecondes. Pour les entreprises, cela signifie que les données en temps réel peuvent être exploitées pour saisir des opportunités financières, répondre aux besoins des clients, prévenir la fraude et exécuter toute autre activité pour laquelle la rapidité est un facteur clé.
  3. Variété : les ensembles de données contenant uniquement des données structurées ne relèvent pas nécessairement du Big Data, quel que soit leur volume. Le Big Data comprend généralement des combinaisons de données structurées, non structurées et semi-structurées. Les solutions de gestion des données et les bases de données traditionnelles n’offrent pas la flexibilité et le périmètre nécessaires pour gérer les ensembles de données complexes et disparates qui constituent le Big Data.
  4. Véracité : bien que les bases de données modernes permettent aux entreprises d’accumuler et d’identifier des volumes considérables de Big Data de différents types, elles ne sont utiles que si elles sont précises, pertinentes et opportunes. S’agissant des bases de données traditionnelles alimentées uniquement avec des données structurées, le manque de précision des données était souvent dû à des erreurs syntaxiques et des fautes de frappe. Les données non structurées présentent toute une série de nouvelles difficultés en matière de véracité. Les préjugés humains, le « bruit social » et les problèmes liés à la provenance des données peuvent avoir un impact sur la qualité des données.
  5. Valeur : les résultats de l’analyse du Big Data sont souvent fascinants et inattendus. Mais pour les entreprises, l’analyse du Big Data doit fournir une visibilité qui les aident à gagner en compétitivité et en résilience, et à mieux servir leurs clients. Les technologies modernes du Big Data offrent la possibilité de collecter et d’extraire des données susceptibles de procurer un avantage mesurable à la fois en termes de résultats et de résilience opérationnelle.

Avantages du Big Data

Les solutions modernes de gestion du Big Data permettent aux entreprises de transformer leurs données brutes en informations pertinentes avec une rapidité et une précision sans précédent.

  • Développement de produits et de services :l’analyse du Big Data permet aux développeurs de produits d’analyser les données non structurées, telles que les témoignages clients et les tendances culturelles, et de réagir rapidement.
  • Maintenance prédictive : dans le cadre d’uneenquête internationale, McKinsey a constaté que l’analyse du Big Data émanant des machines IoT pouvait réduire les coûts de maintenance des équipements jusqu’à 40 %.
  • Expérience client :dans le cadre d’une enquête réalisée en 2020 auprès de responsables d’entreprises du monde entier, Gartner a déterminé que « les entreprises en croissance collectent plus activement des données sur l’expérience client que les entreprises à croissance nulle ». L’analyse du Big Data permet aux entreprises d’améliorer et de personnaliser l’expérience de leurs clients avec leur marque.
  • Gestion de la résilience et des risques :la pandémie de COVID-19 a été une véritable prise de conscience pour de nombreux dirigeants d’entreprise qui se sont rendu compte à quel point leur activité était vulnérable. La visibilité offerte par le Big Data peut aider les entreprises à anticiper les risques et à se préparer aux imprévus.
  • Économies et efficacité accrue : lorsque les entreprises effectuent une analyse avancée du Big Data pour tous les processus de l’organisation, elles peuvent non seulement détecter les inefficacités, mais aussi déployer des solutions rapides et efficaces.
  • Amélioration de la compétitivité : les informations obtenues grâce au Big Data peuvent aider les entreprises à réaliser des économies, à satisfaire leurs clients, à concevoir de meilleurs produits et à innover dans les opérations de gestion.

IA et Big Data

La gestion du Big Data repose sur des systèmes capables de traiter et d’analyser efficacement de gros volumes d’informations disparates et complexes. À cet égard, le Big Data et l’IA ont une relation de réciprocité. Sans l’IA pour l’organiser et l’analyser, le Big Data n’aurait pas grande utilité. Et pour que l’IA puisse générer des analyses suffisamment fiables pour être exploitables, le Big Data doit contenir des ensembles de données suffisamment étendus. Comme l’indique Brandon Purcell, analyste chez Forrester Research, « les données sont au cœur de l’intelligence artificielle. Un système d’IA doit apprendre des données pour remplir sa fonction ».

« Les données sont au cœur de l’intelligence artificielle. Un système d’IA doit apprendre des données pour remplir sa fonction ».

Brandon Purcell, analyste, Forrester Research


Machine learning et Big Data

Les algorithmes de machine learning définissent les données entrantes et identifient des modèles associés. Ces informations permettent de prendre des décisions avisées et d’automatiser les processus. Le machine learning se nourrit du Big Data, car plus les ensembles de données analysés sont fiables, plus le système est susceptible d’apprendre, de faire évoluer et d’adapter ses processus en continu.


Technologies du Big Data

Architecture du Big Data

À l’instar de l’architecture du bâtiment, l’architecture du Big Data fournit un modèle pour la structure de base déterminant la manière dont les entreprises gèrent et analysent leurs données. L’architecture du Big Data mappe les processus requis pour gérer le Big Data à travers quatre « couches » de base, des sources de données au stockage des données, puis à l’analyse du Big Data, et enfin via la couche de consommation dans laquelle les résultats analysés sont présentés en tant que Business Intelligence.

‍Analyse du Big Data

Ce processus permet de visualiser les données de manière pertinente grâce à l’utilisation de la modélisation des données et d’algorithmes spécifiques aux caractéristiques du Big Data. Dans le cadre d’une étude approfondie et d’une enquête de la MIT Sloan School of Management, plus de 2 000 dirigeants d’entreprise ont été interrogés sur leur expérience en matière d’analyse du Big Data. Comme on pouvait s’y attendre, ceux qui s’étaient impliqués dans le développement de stratégies de gestion du Big Data ont obtenu les résultats les plus significatifs.

Big Data et Apache Hadoop

Imaginez une grande boîte contenant 10 pièces de 10 centimes et 100 pièces de 5 centimes. Puis imaginez 10 boîtes plus petites, côte à côte, contenant chacune 10 pièces de 5 centimes et une seule pièce de 10 centimes. Dans quel scénario sera-t-il plus facile de repérer les pièces de 10 centimes ? Hadoop fonctionne sur ce principe. Il s’agit d’une structure en open source permettant de gérer le traitement du Big Data distribué sur un réseau constitué de nombreux ordinateurs connectés. Ainsi, au lieu d’utiliser un gros ordinateur pour stocker et traiter toutes les données, Hadoop regroupe plusieurs ordinateurs sur un réseau pouvant évoluer presque à l’infini et analyse les données en parallèle. Ce processus utilise généralement un modèle de programmation appelé MapReduce, qui coordonne le traitement du Big Data en regroupant les ordinateurs distribués.

Lacs de données, entrepôts de données et NoSQL

Les bases de données traditionnelles de type feuille de calcul SQL servent à stocker les données structurées. Le Big Data non structuré et semi-structuré nécessite des modèles de stockage et de traitement uniques, car il ne peut pas être indexé et catégorisé. Les lacs de données, les entrepôts de données et les bases de données NoSQL sont des référentiels de données capables de gérer les ensembles de données non traditionnels. Un lac de données est un vaste pool de données brutes qui n’ont pas encore été traitées. Un entrepôt de données est un référentiel de données qui ont déjà été traitées à des fins spécifiques. Les bases de données NoSQL fournissent un schéma flexible qui peut être modifié en fonction de la nature des données à traiter. Ces systèmes présentent chacun des avantages et des inconvénients, c’est pourquoi de nombreuses entreprises utilisent plutôt une combinaison de ces référentiels de données pour répondre au mieux à leurs besoins.

Bases de données in-memory

Les bases de données traditionnelles sur disque ont été conçues pour SQL et les bases de données relationnelles. Bien qu’elles soient capables de traiter de gros volumes de données structurées, elles ne sont pas adaptées au stockage et au traitement des données non structurées. Dans le cas des bases de données in-memory, le traitement et l’analyse se font entièrement dans la RAM, pour ne pas avoir à extraire les données d’un système sur disque. Les bases de données in-memory reposent également sur des architectures distribuées. Cela signifie qu’elles peuvent atteindre des vitesses beaucoup plus élevées en utilisant le traitement parallèle, par rapport aux modèles de base de données sur disque à un seul nœud.


Fonctionnement du Big Data

Le Big Data remplit ses fonctions lorsque son analyse fournit des informations pertinentes et exploitables qui améliorent l’activité de manière significative. Pour se préparer à la transition vers le Big Data, les entreprises doivent s’assurer que leurs systèmes et processus sont en mesure de collecter, de stocker et d’analyser le Big Data.

Illustration du fonctionnement du Big Data : collecter le Big Data, stocker le Big Data, Analyser le Big Data

  1. Collecter le Big Data.Une grande partie du Big Data est constituée d’énormes ensembles de données non structurées qui émanent de sources disparates et incohérentes. Les bases de données traditionnelles sur disque et les mécanismes d’intégration des données ne sont pas suffisamment performants pour les gérer. La gestion du Big Data requiert des solutions de base de données in-memory et des solutions logicielles spécifiques de l’acquisition de ce type de données.
  2. Stocker le Big Data.Comme son nom l’indique, le Big Data est volumineux. De nombreuses entreprises utilisent des solutions de stockage sur site pour leurs données existantes et espèrent réaliser des économies en réutilisant ces référentiels pour traiter le Big Data. Toutefois, le Big Data est plus performant lorsqu’il n’est pas soumis à des contraintes de taille et de mémoire. Les entreprises qui n’intègrent pas dès le départ des solutions de stockage Cloud dans leurs modèles de Big Data le regrettent souvent quelques mois plus tard.
  3. Analyser le Big Data. Il est impossible d’exploiter pleinement le potentiel du Big Data sans utiliser les technologies d’IA et de machine learning pour l’analyser. L’un des cinq V du Big Data est la « vitesse ». Pour être utiles et exploitables, les informations du Big Data doivent être générées rapidement. Les processus d’analyse doivent s’auto-optimiser et tirer régulièrement profit de l’expérience, un objectif qui ne peut être atteint qu’avec l’IA et les technologies modernes de bases de données.

Applications du Big Data

La visibilité offerte par le Big Data est bénéfique à la plupart des entreprises ou secteurs d’activité. Cependant, ce sont les grandes entreprises aux missions opérationnelles complexes qui en tirent souvent le meilleur parti.

Finance

Dans le Journal of Big Data, une étude de 2020 souligne que le Big Data « joue un rôle important dans l’évolution du secteur des services financiers, en particulier dans le commerce et les investissements, la réforme fiscale, la détection et les enquêtes en matière de fraude, l’analyse des risques et l’automatisation ». Le Big Data a également contribué à transformer le secteur financier en analysant les données et les commentaires des clients pour obtenir les informations nécessaires à l’amélioration de la satisfaction et de l’expérience client. Les ensembles de données altérables figurent parmi les plus importants et les plus évolutifs au monde. L’adoption croissante de solutions avancées de gestion du Big Data permettra aux banques et aux établissements financiers de protéger ces données et de les utiliser d’une manière qui bénéficie à la fois au client et à l’entreprise.

Hygiène et santé
publique

L’analyse du Big Data permet aux professionnels de santé d’établir des diagnostics plus précis, fondés sur des données avérées. De plus, le Big Data aide les administrateurs d’hôpitaux à identifier les tendances, à gérer les risques et à limiter les dépenses inutiles, afin de consacrer le maximum de fonds aux soins des patients et à la recherche. En cette période de pandémie, les chercheurs du monde entier s’efforcent de traiter et de gérer au mieux la COVID-19, et le Big Data joue un rôle fondamental dans ce processus. Un article de juillet 2020 paru dans The Scientist explique comment des équipes médicales ont pu collaborer et analyser le Big Data afin de lutter contre le coronavirus : « Nous pourrions transformer la science clinique en exploitant les outils et les ressources du Big Data et de la science des données d’une manière que nous pensions impossible ».

Transport et logistique

L’« effet Amazon » est un terme qui définit la manière dont Amazon a fait de la livraison en un jour la nouvelle norme, les clients exigeant désormais la même vitesse d’expédition pour tout ce qu’ils commandent en ligne. Le magazine Entrepreneur souligne qu’en raison de l’effet Amazon, « la course logistique au dernier kilomètre ne fera que s’intensifier ». Les entreprises du secteur s’appuient de plus en plus sur l’analyse du Big Data pour optimiser la planification des itinéraires, la consolidation des charges et les mesures d’efficacité énergétique.

Éducation

Depuis l’apparition de la pandémie, les établissements d’enseignement du monde entier ont dû réinventer leurs programmes d’études et leurs méthodes d’enseignement afin de faciliter l’apprentissage à distance. L’un des principaux défis a été de trouver des moyens fiables d’analyser et d’évaluer la performance des étudiants et l’efficacité globale des méthodes d’enseignement en ligne. Un article paru en 2020 au sujet de l’impact du Big Data sur la formation et l’apprentissage en ligne indique, au sujet des enseignants, que « le Big Data les aide à gagner en confiance pour personnaliser l’enseignement, développer l’apprentissage mixte, transformer les systèmes d’évaluation et promouvoir l’apprentissage continu ».

Énergie et services publics

Selon le U.S. Bureau of Labor Statistics, le service public consacre plus de 1,4 milliard de dollars aux relevés de compteurs et s’appuie généralement sur des compteurs analogiques et des lectures manuelles peu fréquentes. Les relevés de compteurs intelligents fournissent des données numériques plusieurs fois par jour et, grâce à l’analyse du Big Data, ces informations permettent d’accroître l’efficacité de la consommation énergétique, ainsi que la précision des prix et des prévisions. En outre, lorsque les agents n’ont plus à se charger des relevés de compteurs, la saisie et l’analyse des données peuvent permettre de les réaffecter plus rapidement là où les réparations et les mises à niveau sont les plus urgentes.

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com