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Le Big Data est le flot d’informations dans lequel nous nous trouvons tous les jours (des zettaoctets de données provenant de nos ordinateurs, des terminaux mobiles et des capteurs). Ces données sont utilisées par les entreprises pour orienter la prise de décisions, améliorer les processus et les stratégies, et créer des produits, des services et des expériences centrés sur le client.

Le Big Data désigne non seulement de gros volumes de données, mais aussi des données de nature variée et complexe. Il dépasse généralement la capacité des bases de données traditionnelles à capturer, gérer et traiter ce type de données. De plus, le Big Data peut provenir de n’importe où et de tout ce que nous sommes en mesure de surveiller numériquement. Les satellites, les appareils IoT (Internet des Objets), les radars et les tendances des réseaux sociaux ne sont que quelques exemples parmi la multitude de sources de données explorées et analysées pour rendre les entreprises plus résilientes et compétitives.


L’importance de l’analyse du Big Data

La véritable valeur du Big Data se mesure d’après votre capacité à l’analyser et à le comprendre. L’intelligence artificielle (IA), le machine learning et les technologies de base de données modernes permettent de visualiser et d’analyser le Big Data pour fournir des informations exploitables en temps réel. L’analyse du Big Data aide les entreprises à exploiter leurs données en vue de saisir de nouvelles opportunités et de créer de nouveaux modèles de gestion. Comme l’a si bien dit Geoffrey Moore, auteur et analyste de gestion, « sans analyse du Big Data, les entreprises sont aveugles et sourdes, errant sur le Web comme des cerfs sur une autoroute ».

How does Big Data and Analytics work? Simply Explained

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How does Big Data and Analytics work? Simply Explained


L’évolution du Big Data

Aussi inconcevable que cela puisse paraître aujourd’hui, l’Apollo Guidance Computer a emmené l’homme sur la lune avec moins de 80 kilo-octets de mémoire. Depuis, la technologie informatique s’est développée à un rythme exponentiel, de même que la génération de données. La capacité technologique mondiale à stocker des données a doublé tous les trois ans depuis les années 1980. Il y a un peu plus de 50 ans, lors du lancement d’Apollo 11, la quantité de données numériques générées dans le monde aurait pu tenir dans un ordinateur portable. Aujourd’hui, l’IDC estime ce chiffre à 44 zettaoctets (soit 44 000 milliards de gigaoctets) et prévoit qu’il atteindra 163 zettaoctets en 2025.

44 zettaoctets de données numériques aujourd’hui, IDC

163 zettaoctets de données numériques en 2025, IDC

Plus les logiciels et la technologie se développent, moins les systèmes non numériques sont viables. Le traitement des données générées et collectées numériquement requiert des systèmes de data management plus avancés. En outre, la croissance exponentielle des plates-formes de réseaux sociaux, des technologies pour smartphones et des appareils IoT connectés numériquement ont contribué à l’émergence du Big Data.


Types de Big Data : que sont les données structurées et non structurées ?

Les ensembles de données sont généralement catégorisés en trois types, selon leur structure et la complexité de leur indexation.

Illustration des différents types de big data : données structurées, données non-structurées, données semi-structurées.

  1. Données structurées : ce type de données est le plus simple à organiser et à rechercher. Il peut inclure des données financières, des machine logs et des détails démographiques. Une feuille de calcul Microsoft Excel, avec sa mise en forme de colonnes et de lignes prédéfinies, offre un moyen efficace de visualiser les données structurées. Ses composants peuvent facilement être catégorisés, ce qui permet aux concepteurs et administrateurs de bases de données de définir des algorithmes simples pour la recherche et l’analyse. Même lorsque les données structurées sont très volumineuses, elles ne sont pas nécessairement qualifiées de Big Data, car elles sont relativement simples à gérer et ne répondent donc pas aux critères qui définissent le Big Data. Traditionnellement, les bases de données utilisent un langage de programmation appelé SQL (Structured Query Language) pour gérer les données structurées. SQL a été développé par IBM dans les années 1970 pour permettre aux développeurs de créer et gérer des bases de données relationnelles (de type feuille de calcul) qui commençaient à émerger à l’époque.
  2. Données non structurées : cette catégorie de données peut inclure des publications sur les réseaux sociaux, des fichiers audio, des images et des commentaires client ouverts. Ces données ne peuvent pas être facilement capturées dans les bases de données relationnelles standard en lignes et colonnes. Auparavant, les entreprises qui voulaient rechercher, gérer ou analyser de grandes quantités de données non structurées devaient utiliser des processus manuels laborieux. La valeur potentielle liée à l’analyse et à la compréhension de ces données ne faisait aucun doute, mais le coût associé était souvent trop exorbitant pour en valoir la peine. Compte tenu du temps nécessaire, les résultats étaient souvent obsolètes avant même d’être générés. Contrairement aux feuilles de calcul ou aux bases de données relationnelles, les données non structurées sont généralement stockées dans des lacs de données, des entrepôts de données et des bases de données NoSQL.
  3. Données semi-structurées : comme leur nom l’indique, les données semi-structurées intègrent à la fois des données structurées et non structurées. Les e-mails en sont un bon exemple, car ils incluent des données non structurées dans le corps du message, ainsi que d’autres propriétés organisationnelles telles que l’expéditeur, le destinataire, l’objet et la date. Les dispositifs qui utilisent le marquage géographique, les horodatages ou les balises sémantiques peuvent également fournir des données structurées avec un contenu non structuré. Une image de smartphone non identifiée, par exemple, peut indiquer qu’il s’agit d’un selfie et préciser l’heure et l’endroit où il a été pris. Une base de données moderne exécutant une technologie d’IA peut non seulement identifier instantanément différents types de données, mais aussi générer des algorithmes en temps réel pour gérer et analyser efficacement les ensembles de données disparates.

Les sources du Big Data

Les objets générateurs de données se développent à un rythme spectaculaire, depuis les drones jusqu’aux grille-pains. Toutefois, à des fins de catégorisation, les sources de données sont généralement divisées en trois types :

Illustration des différentes sources du big data : données sociales, données machine, données altérables.

Données sociales

Comme leur nom l’indique, les données sociales sont générées par les réseaux sociaux : commentaires, publications, images et, de plus en plus, vidéos. En outre, compte tenu de l’ubiquité croissante des réseaux 4G et 5G, on estime que le nombre de personnes dans le monde qui regardent régulièrement des contenus vidéo sur leur smartphone atteindra 2,72 milliards en 2023. Bien que les tendances concernant les réseaux sociaux et leur utilisation évoluent rapidement et de manière imprévisible, leur progression en tant que générateurs de données numériques est incontestable.

Données machine

Les machines et appareils IoT sont équipés de capteurs et ont la capacité d’envoyer et de recevoir des données numériques. Les capteurs IoT aident les entreprises à collecter et traiter les données machine provenant des appareils, des véhicules et des équipements. Globalement, le nombre d’objets générateurs de données augmente rapidement, des capteurs météorologiques et de trafic jusqu’à la surveillance de la sécurité. Selon l’IDC, il y aura plus de 40 milliards d’appareils IoT en 2025, générant près de la moitié des données numériques mondiales.

Données altérables

Il s’agit des données parmi les plus évolutives au monde. Par exemple, un détaillant international traite plus d’un million de transactions client par heure. Si l’on ajoute à cela les transactions d’achat et bancaires au niveau mondial, on comprend mieux le volume phénoménal de données générées. En outre, les données altérables contiennent de plus en plus de données semi-structurées, y compris des images et des commentaires, ce qui les rend d’autant plus complexes à gérer et à traiter.


Les cinq V du Big Data

Ce n’est pas parce qu’un ensemble de données est volumineux qu’il s’agit nécessairement de Big Data. Pour être qualifiées en tant que telles, les données doivent posséder au minimum les cinq caractéristiques suivantes :

Illustration des 5 V du Big Data : Volume, Vitesse, Variété, Véracité, Valeur.

  1. Volume : même si le volume n’est pas le seul composant qui constitue le Big Data, il s’agit d’une de ses caractéristiques principales. Pour gérer et exploiter pleinement le Big Data, des algorithmes avancés et des analyses pilotées par l’IA sont nécessaires. Mais avant tout cela, il doit exister un moyen fiable et sécurisé de stocker, d’organiser et d’extraire les téraoctets de données détenus par les grandes entreprises.
  2. Vitesse : auparavant, les données générées devaient ensuite être saisies dans un système de base de données traditionnel (souvent manuellement) avant de pouvoir être analysées ou extraites. Aujourd’hui, grâce à la technologie du Big Data, les bases de données sont capables de traiter, d’analyser et de configurer les données lorsqu’elles sont générées, parfois en l’espace de quelques millisecondes. Pour les entreprises, cela signifie que les données en temps réel peuvent être exploitées pour saisir des opportunités financières, répondre aux besoins des clients, prévenir la fraude et exécuter toute autre activité pour laquelle la rapidité est un facteur clé.
  3. Variété : les ensembles de données contenant uniquement des données structurées ne relèvent pas nécessairement du Big Data, quel que soit leur volume. Le Big Data comprend généralement des combinaisons de données structurées, non structurées et semi-structurées. Les solutions de gestion des données et les bases de données traditionnelles n’offrent pas la flexibilité et le périmètre nécessaires pour gérer les ensembles de données complexes et disparates qui constituent le Big Data.
  4. Véracité : bien que les bases de données modernes permettent aux entreprises d’accumuler et d’identifier des volumes considérables de Big Data de différents types, elles ne sont utiles que si elles sont précises, pertinentes et opportunes. S’agissant des bases de données traditionnelles alimentées uniquement avec des données structurées, le manque de précision des données était souvent dû à des erreurs syntaxiques et des fautes de frappe. Les données non structurées présentent toute une série de nouvelles difficultés en matière de véracité. Les préjugés humains, le « bruit social » et les problèmes liés à la provenance des données peuvent avoir un impact sur la qualité des données.
  5. Valeur : les résultats de l’analyse du Big Data sont souvent fascinants et inattendus. Mais pour les entreprises, l’analyse du Big Data doit fournir une visibilité qui les aident à gagner en compétitivité et en résilience, et à mieux servir leurs clients. Les technologies modernes du Big Data offrent la possibilité de collecter et d’extraire des données susceptibles de procurer un avantage mesurable à la fois en termes de résultats et de résilience opérationnelle.

Avantages du Big Data

Les solutions modernes de gestion du Big Data permettent aux entreprises de transformer leurs données brutes en informations pertinentes avec une rapidité et une précision sans précédent.

  • Développement de produits et de services :l’analyse du Big Data permet aux développeurs de produits d’analyser les données non structurées, telles que les témoignages clients et les tendances culturelles, et de réagir rapidement.
  • Maintenance prédictive : dans le cadre d’uneenquête internationale, McKinsey a constaté que l’analyse du Big Data émanant des machines IoT pouvait réduire les coûts de maintenance des équipements jusqu’à 40 %.
  • Expérience client :dans le cadre d’une enquête réalisée en 2020 auprès de responsables d’entreprises du monde entier, Gartner a déterminé que « les entreprises en croissance collectent plus activement des données sur l’expérience client que les entreprises à croissance nulle ». L’analyse du Big Data permet aux entreprises d’améliorer et de personnaliser l’expérience de leurs clients avec leur marque.
  • Gestion de la résilience et des risques :la pandémie de COVID-19 a été une véritable prise de conscience pour de nombreux dirigeants d’entreprise qui se sont rendu compte à quel point leur activité était vulnérable. La visibilité offerte par le Big Data peut aider les entreprises à anticiper les risques et à se préparer aux imprévus.
  • Économies et efficacité accrue : lorsque les entreprises effectuent une analyse avancée du Big Data pour tous les processus de l’organisation, elles peuvent non seulement détecter les inefficacités, mais aussi déployer des solutions rapides et efficaces.
  • Amélioration de la compétitivité : les informations obtenues grâce au Big Data peuvent aider les entreprises à réaliser des économies, à satisfaire leurs clients, à concevoir de meilleurs produits et à innover dans les opérations de gestion.

IA et Big Data

La gestion du Big Data repose sur des systèmes capables de traiter et d’analyser efficacement de gros volumes d’informations disparates et complexes. À cet égard, le Big Data et l’IA ont une relation de réciprocité. Sans l’IA pour l’organiser et l’analyser, le Big Data n’aurait pas grande utilité. Et pour que l’IA puisse générer des analyses suffisamment fiables pour être exploitables, le Big Data doit contenir des ensembles de données suffisamment étendus. Comme l’indique Brandon Purcell, analyste chez Forrester Research, « les données sont au cœur de l’intelligence artificielle. Un système d’IA doit apprendre des données pour remplir sa fonction ».

« Les données sont au cœur de l’intelligence artificielle. Un système d’IA doit apprendre des données pour remplir sa fonction ».

Brandon Purcell, analyste, Forrester Research


Machine learning et Big Data

Les algorithmes de machine learning définissent les données entrantes et identifient des modèles associés. Ces informations permettent de prendre des décisions avisées et d’automatiser les processus. Le machine learning se nourrit du Big Data, car plus les ensembles de données analysés sont fiables, plus le système est susceptible d’apprendre, de faire évoluer et d’adapter ses processus en continu.


Technologies du Big Data

Architecture du Big Data

À l’instar de l’architecture du bâtiment, l’architecture du Big Data fournit un modèle pour la structure de base déterminant la manière dont les entreprises gèrent et analysent leurs données. L’architecture du Big Data mappe les processus requis pour gérer le Big Data à travers quatre « couches » de base, des sources de données au stockage des données, puis à l’analyse du Big Data, et enfin via la couche de consommation dans laquelle les résultats analysés sont présentés en tant que Business Intelligence.

‍Analyse du Big Data

Ce processus permet de visualiser les données de manière pertinente grâce à l’utilisation de la modélisation des données et d’algorithmes spécifiques aux caractéristiques du Big Data. Dans le cadre d’une étude approfondie et d’une enquête de la MIT Sloan School of Management, plus de 2 000 dirigeants d’entreprise ont été interrogés sur leur expérience en matière d’analyse du Big Data. Comme on pouvait s’y attendre, ceux qui s’étaient impliqués dans le développement de stratégies de gestion du Big Data ont obtenu les résultats les plus significatifs.

Big Data et Apache Hadoop

Imaginez une grande boîte contenant 10 pièces de 10 centimes et 100 pièces de 5 centimes. Puis imaginez 10 boîtes plus petites, côte à côte, contenant chacune 10 pièces de 5 centimes et une seule pièce de 10 centimes. Dans quel scénario sera-t-il plus facile de repérer les pièces de 10 centimes ? Hadoop fonctionne sur ce principe. Il s’agit d’une structure en open source permettant de gérer le traitement du Big Data distribué sur un réseau constitué de nombreux ordinateurs connectés. Ainsi, au lieu d’utiliser un gros ordinateur pour stocker et traiter toutes les données, Hadoop regroupe plusieurs ordinateurs sur un réseau pouvant évoluer presque à l’infini et analyse les données en parallèle. Ce processus utilise généralement un modèle de programmation appelé MapReduce, qui coordonne le traitement du Big Data en regroupant les ordinateurs distribués.

Lacs de données, entrepôts de données et NoSQL

Les bases de données traditionnelles de type feuille de calcul SQL servent à stocker les données structurées. Le Big Data non structuré et semi-structuré nécessite des modèles de stockage et de traitement uniques, car il ne peut pas être indexé et catégorisé. Les lacs de données, les entrepôts de données et les bases de données NoSQL sont des référentiels de données capables de gérer les ensembles de données non traditionnels. Un lac de données est un vaste pool de données brutes qui n’ont pas encore été traitées. Un entrepôt de données est un référentiel de données qui ont déjà été traitées à des fins spécifiques. Les bases de données NoSQL fournissent un schéma flexible qui peut être modifié en fonction de la nature des données à traiter. Ces systèmes présentent chacun des avantages et des inconvénients, c’est pourquoi de nombreuses entreprises utilisent plutôt une combinaison de ces référentiels de données pour répondre au mieux à leurs besoins.

Bases de données in-memory

Les bases de données traditionnelles sur disque ont été conçues pour SQL et les bases de données relationnelles. Bien qu’elles soient capables de traiter de gros volumes de données structurées, elles ne sont pas adaptées au stockage et au traitement des données non structurées. Dans le cas des bases de données in-memory, le traitement et l’analyse se font entièrement dans la RAM, pour ne pas avoir à extraire les données d’un système sur disque. Les bases de données in-memory reposent également sur des architectures distribuées. Cela signifie qu’elles peuvent atteindre des vitesses beaucoup plus élevées en utilisant le traitement parallèle, par rapport aux modèles de base de données sur disque à un seul nœud.


Fonctionnement du Big Data

Le Big Data remplit ses fonctions lorsque son analyse fournit des informations pertinentes et exploitables qui améliorent l’activité de manière significative. Pour se préparer à la transition vers le Big Data, les entreprises doivent s’assurer que leurs systèmes et processus sont en mesure de collecter, de stocker et d’analyser le Big Data.

Illustration du fonctionnement du Big Data : collecter le Big Data, stocker le Big Data, Analyser le Big Data

  1. Collecter le Big Data.Une grande partie du Big Data est constituée d’énormes ensembles de données non structurées qui émanent de sources disparates et incohérentes. Les bases de données traditionnelles sur disque et les mécanismes d’intégration des données ne sont pas suffisamment performants pour les gérer. La gestion du Big Data requiert des solutions de base de données in-memory et des solutions logicielles spécifiques de l’acquisition de ce type de données.
  2. Stocker le Big Data.Comme son nom l’indique, le Big Data est volumineux. De nombreuses entreprises utilisent des solutions de stockage sur site pour leurs données existantes et espèrent réaliser des économies en réutilisant ces référentiels pour traiter le Big Data. Toutefois, le Big Data est plus performant lorsqu’il n’est pas soumis à des contraintes de taille et de mémoire. Les entreprises qui n’intègrent pas dès le départ des solutions de stockage Cloud dans leurs modèles de Big Data le regrettent souvent quelques mois plus tard.
  3. Analyser le Big Data. Il est impossible d’exploiter pleinement le potentiel du Big Data sans utiliser les technologies d’IA et de machine learning pour l’analyser. L’un des cinq V du Big Data est la « vitesse ». Pour être utiles et exploitables, les informations du Big Data doivent être générées rapidement. Les processus d’analyse doivent s’auto-optimiser et tirer régulièrement profit de l’expérience, un objectif qui ne peut être atteint qu’avec l’IA et les technologies modernes de bases de données.

Applications du Big Data

La visibilité offerte par le Big Data est bénéfique à la plupart des entreprises ou secteurs d’activité. Cependant, ce sont les grandes entreprises aux missions opérationnelles complexes qui en tirent souvent le meilleur parti.

Finance

Dans le Journal of Big Data, une étude de 2020 souligne que le Big Data « joue un rôle important dans l’évolution du secteur des services financiers, en particulier dans le commerce et les investissements, la réforme fiscale, la détection et les enquêtes en matière de fraude, l’analyse des risques et l’automatisation ». Le Big Data a également contribué à transformer le secteur financier en analysant les données et les commentaires des clients pour obtenir les informations nécessaires à l’amélioration de la satisfaction et de l’expérience client. Les ensembles de données altérables figurent parmi les plus importants et les plus évolutifs au monde. L’adoption croissante de solutions avancées de gestion du Big Data permettra aux banques et aux établissements financiers de protéger ces données et de les utiliser d’une manière qui bénéficie à la fois au client et à l’entreprise.

Hygiène et santé
publique

L’analyse du Big Data permet aux professionnels de santé d’établir des diagnostics plus précis, fondés sur des données avérées. De plus, le Big Data aide les administrateurs d’hôpitaux à identifier les tendances, à gérer les risques et à limiter les dépenses inutiles, afin de consacrer le maximum de fonds aux soins des patients et à la recherche. En cette période de pandémie, les chercheurs du monde entier s’efforcent de traiter et de gérer au mieux la COVID-19, et le Big Data joue un rôle fondamental dans ce processus. Un article de juillet 2020 paru dans The Scientist explique comment des équipes médicales ont pu collaborer et analyser le Big Data afin de lutter contre le coronavirus : « Nous pourrions transformer la science clinique en exploitant les outils et les ressources du Big Data et de la science des données d’une manière que nous pensions impossible ».

Transport et logistique

L’« effet Amazon » est un terme qui définit la manière dont Amazon a fait de la livraison en un jour la nouvelle norme, les clients exigeant désormais la même vitesse d’expédition pour tout ce qu’ils commandent en ligne. Le magazine Entrepreneur souligne qu’en raison de l’effet Amazon, « la course logistique au dernier kilomètre ne fera que s’intensifier ». Les entreprises du secteur s’appuient de plus en plus sur l’analyse du Big Data pour optimiser la planification des itinéraires, la consolidation des charges et les mesures d’efficacité énergétique.

Éducation

Depuis l’apparition de la pandémie, les établissements d’enseignement du monde entier ont dû réinventer leurs programmes d’études et leurs méthodes d’enseignement afin de faciliter l’apprentissage à distance. L’un des principaux défis a été de trouver des moyens fiables d’analyser et d’évaluer la performance des étudiants et l’efficacité globale des méthodes d’enseignement en ligne. Un article paru en 2020 au sujet de l’impact du Big Data sur la formation et l’apprentissage en ligne indique, au sujet des enseignants, que « le Big Data les aide à gagner en confiance pour personnaliser l’enseignement, développer l’apprentissage mixte, transformer les systèmes d’évaluation et promouvoir l’apprentissage continu ».

Énergie et services publics

Selon le U.S. Bureau of Labor Statistics, le service public consacre plus de 1,4 milliard de dollars aux relevés de compteurs et s’appuie généralement sur des compteurs analogiques et des lectures manuelles peu fréquentes. Les relevés de compteurs intelligents fournissent des données numériques plusieurs fois par jour et, grâce à l’analyse du Big Data, ces informations permettent d’accroître l’efficacité de la consommation énergétique, ainsi que la précision des prix et des prévisions. En outre, lorsque les agents n’ont plus à se charger des relevés de compteurs, la saisie et l’analyse des données peuvent permettre de les réaffecter plus rapidement là où les réparations et les mises à niveau sont les plus urgentes.

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Etes-vous satisfait de votre système ERP ? Est-il temps de le mettre à niveau ? Vous avez peut-être écouté les témoignages de vos pairs quant à leur passage à des ERP modernes. Ou peut-être ressentez-vous le besoin de mettre en place de nouveaux processus pour rester compétitif et répondre aux attentes de vos clients, nouveaux processus que votre système actuel ne peut proposer. Quoi qu’il en soit, il est toujours bon d’évaluer en continu les performances du système, d’identifier les axes d’amélioration et d’anticiper les problèmes qui pourraient subvenir.

Le système ERP parfait existe-t-il ?

La réponse courte est « non ». Et même si le système parfait existait pour vos besoins spécifiques à un moment donné, ces besoins évoluent en permanence. Il faut donc garder le contrôle, évaluer dans quelle mesure votre ERP répond à vos besoins actuels et identifier les tendances qui pourraient entraîner des problèmes.

Il est en vogue de qualifier les systèmes installés de « legacy ERP ». Ce qui suggère une ancienne technologie et des systèmes obsolètes. C’est injuste car de nombreux systèmes installés sont régulièrement entretenus, mis à niveau et pleinement capables d’évoluer, de s’adapter, aux nouveaux besoins.

Cela dit, les mises à niveau des ERP sont facultatives, bien que fortement encouragées par les fournisseurs. Il est important de se tenir au courant des corrections et des améliorations disponibles. En cas de problèmes ou tendances défavorables, assurez-vous que votre système dispose de toutes les mises à jour et de la dernière version. Regardez ensuite si votre fournisseur propose des modules complémentaires ou des améliorations qui pourraient remédier aux lacunes constatées. Déterminez ce qu’il faudrait pour mettre en œuvre ces correctifs, en termes d’argent et d’efforts, et utilisez ces informations pour évaluer le coût du maintien de votre solution actuelle.

Votre logiciel ERP vous laisse-t-il tomber ?

En résumé, gardez votre système ERP à jour. Surveillez aussi de près ses performances. Les besoins, les vôtres comme ceux de vos clients, vont évoluer. Vous devez donc vous assurer que votre système ERP peut y répondre.

L’auto-évaluation mentionnée ci-dessus peut vous aider à identifier les défaillances et les sujets de préoccupation, par exemple :

  • Votre système est incapable de répondre aux nouveaux besoins ou limite les nouvelles initiatives.
  • Il ne prend pas en charge les nouvelles technologies et normes, ou seulement avec difficulté, à coût élevé et avec des retards. Le fournisseur est lent à intégrer de nouveaux éléments et nouvelles fonctionnalités.
  • Les fonctions sont difficiles à maîtriser et à utiliser, et nuisent à l’efficacité au lieu de la favoriser.
  • Le temps de réponse est excessivement lent. Le stockage et la récupération de l’information sont inadéquats, lourds ou ne répondent tout simplement pas aux besoins actuels en constante expansion.
  • Le système est coûteux et difficile à maintenir et à gérer, et ne bénéficie pas d’un soutien adéquat de la part de votre fournisseur.
  • Si votre système est vraiment un ancien ERP dont l’assistance du fournisseur s’amenuise, ou dont l’assistance technique se réduit, les programmeurs et analystes compétents deviendront plus chers et plus difficiles à trouver à mesure que le système deviendra plus obsolète et moins fiable.

C’est le genre de problèmes qui peuvent évoluer lentement et passer inaperçus pendant longtemps. Puis, soudain, il devient évident que les lacunes du système causent de graves problèmes ​- et qu’il faut faire quelque chose.

Combien dépensez-vous pour votre ERP ?

De nombreuses entreprises sont surprises lorsqu’elles font l’analyse et découvrent ce qu’il en coûte réellement pour maintenir leur système ERP existant en place et opérationnel. Cela peut sembler curieux pour les ETI, qui surveillent généralement de très près leurs dépenses. Mais il n’est pas toujours facile de distinguer les coûts directs et indirects associés à l’ERP.

Outre les frais mensuels et annuels versés au(x) fournisseur(s) de logiciels et au(x) fournisseur(s) de matériel, il y a des dépenses courantes pour le service et l’assistance de vos différents fournisseurs de services (par exemple service matériel, conseil ou réseau). N’oubliez pas d’inclure les coûts de mise à jour si vous avez détecté (ou pensez) que des mises à jour ou des améliorations sont nécessaires pour résoudre des problèmes existants ou anticipés, comme indiqué ci-dessus.

Considérez également les coûts internes directs du département informatique, y compris les salaires et les avantages, les locaux, les commodités et les fournitures. Essayez de distinguer ceux qui soutiennent directement votre ERP. N’oubliez pas qu’au moins certains de ces coûts subsisteront après la mise à niveau et le déploiement d’un nouveau système, surtout si vous remplacez un système traditionnel sur site par un autre système sur site. La structure des coûts pour les logiciels SaaS (Software-as-a-Service) basés sur le cloud est différente, mais vous aurez toujours besoin d’un point de comparaison pour prendre une décision défendable. Que cette décision soit de garder votre système actuel, de commencer une mise à niveau ERP ou de poursuivre un remplacement.

Quel serait le coût d’un nouveau système ?

Le coût potentiel du passage à un nouveau système ERP vous inquiète ? C’est compréhensible. Un nouveau système ERP est probablement l’une des plus grosses dépenses en équipement non productif qu’une entreprise fera au cours d’une année donnée. Néanmoins, par rapport aux avantages offerts et au montant dépensé pour le maintien du système actuel, la plupart des entreprises estiment que le coût est tout à fait raisonnable et justifiable. N’oubliez pas de penser en termes de coûts du cycle de vie – le coût total sur une période donnée, par exemple cinq à sept ans.

Lorsque vous examinez le coût d’acquisition et de déploiement d’un système de remplacement, sachez que les coûts du matériel et des licences logicielles ne sont qu’une partie de l’équation. Vous devez également inclure les éléments suivants dans votre évaluation :

  • La mise en réseau et les périphériques tels que les scanners de codes-barres, les appareils mobiles et les logiciels clients, ainsi que l’assistance.
  • La conversion et la saisie des données dans le nouveau système, ainsi que les dispositions pour l’archivage et l’accès aux enregistrements historiques.
  • La préparation aux sinistres, y compris les systèmes de sauvegarde ou de basculement, les ressources de récupération des données, la connectivité redondante et les communications.
  • La formation de l’équipe de déploiement de l’ERP et de tous les futurs utilisateurs (ce point est d’une importance capitale, ne le négligez pas).
  • Le développement et la documentation de nouveaux flux de travail.
  • L’assistance à l’implémentation. Il est probable qu’un certain niveau d’assistance sera inclus dans l’offre du fournisseur principal du système. Mais vous voudrez peut-être faire appel à une assistance supplémentaire du ou des fournisseurs, à des consultants externes, à votre cabinet comptable ou à d’autres personnes pour certains ou tous les éléments énumérés ci-dessus.
  • La charge supplémentaire pour vos employés pendant le déploiement sous forme d’heures supplémentaires, d’embauche d’intérimaires pour les aider dans leurs tâches habituelles afin qu’ils aient le temps de travailler sur le déploiement, ou de primes et autres incitations pour maintenir la motivation des salariés.

Sachez que la structure des coûts des systèmes SaaS basés sur le cloud est très différente de l’approche traditionnelle d’achat et d’implémentation sur site. Avec le SaaS, il y a peu ou pas de frais initiaux pour le matériel, car il s’agit essentiellement d’un abonnement. Un contrat SaaS inclut généralement une grande partie des coûts de maintenance et d’assistance. De sorte que vos coûts informatiques internes courants seront considérablement réduits. La plupart des entreprises estiment que le coût total sur cinq à sept ans avec un contrat SaaS sera probablement inférieur au coût total de l’achat et de la gestion en interne.

Au moment de prendre la décision de conserver votre système actuel ou d’envisager un remplacement, pensez aux bénéfices que vous pouvez en tirer. Avec une nouvelle solution ERP, vous bénéficierez d’une interface utilisateur moderne, de capacités et de fonctions supplémentaires, et vous améliorerez votre avantage concurrentiel. Tandis que si vous conservez votre ancien système, vous limitez votre capacité à rester agile, productif et compétitif. Bien que vous ne cherchiez pas en premier lieu à réaliser des économies, les exemples de réussite avec des ERP modernes démontrent que les bénéfices du passage à un nouveau système sont souvent moins coûteux et compensent les frais de mise à niveau.

Comment justifier financièrement un nouveau système ERP ?

Lorsqu’elles prennent une décision de cette importance, la plupart des entreprises exigent une analyse coûts-avantages sous la forme d’un retour sur investissement (ROI) attendu. Le côté coûts est facile : additionnez les coûts prévus comme indiqué ci-dessus. Du côté des avantages, il peut y avoir des économies directes sur les coûts informatiques, mais pour énumérer les principaux avantages, l’entreprise doit prévoir comment le système changera l’environnement de travail et permettra d’améliorer les performances, la productivité et le service à la clientèle.

  • Amélioration des performances : De nombreux projets ERP se justifient par les améliorations attendues en termes d’efficacité (réduction de la main-d’œuvre directe) et de réduction des coûts (y compris, mais sans s’y limiter, la réduction des stocks). Sachez toutefois que le système ne crée pas ces avantages par sa simple implémentation. Le système organise, analyse et présente les données de manière à ce que les responsables puissent mieux utiliser les ressources humaines et prendre de meilleures décisions, et c’est cela qui apporte les plus grands bénéfices. Gardez cela à l’esprit lorsque vous établissez un budget pour la formation des utilisateurs et pour la mise en œuvre de procédures améliorées.
  • Un meilleur service à la clientèle : Ces avantages sont moins directs, mais encore plus importants. En améliorant le service à la clientèle, vous pouvez théoriquement augmenter les ventes et les bénéfices, accroître votre part de marché et peut-être même augmenter vos marges, car un bon service à la clientèle apporte une valeur ajoutée au client sans ajouter de coût au produit lui-même. Dans certains cas, les améliorations du service à la clientèle deviennent une condition de survie. Car lorsqu’un nouveau ou un gros client attend des fonctionnalités telles que la transmission électronique des commandes ou l’amélioration des rapports informatisés, votre système ERP doit être à la hauteur.
  • Changements de l’environnement de travail : les systèmes d’aujourd’hui sont conçus pour être faciles à utiliser (l’UX, l’expérience utilisateur, est le mot actuellement à la mode) pour un accès rapide et facile à l’information. Le travail et le flux de travail de chaque utilisateur étant uniques, les systèmes actuels sont hautement personnalisés pour offrir à chacun les écrans et les processus de travail les plus efficaces et confortables. Cette efficacité accrue permettra aux salariés d’en faire plus et de gérer un plus grand volume d’affaires sans avoir besoin d’embaucher. Notez qu’il est déconseillé de justifier le système par une réduction des effectifs. Cela ne se produira probablement pas et la perspective de suppressions d’emplois ne motivera pas les salariés à adopter le système et à contribuer à son succès.

La sélection d’un ERP n’est qu’un début

Tout en suivant les conseils pour évaluer les systèmes ERP, gardez à l’esprit que le remplacement des systèmes existants n’est pas un processus simple ou rapide, mais qu’il vaut la peine car il peut apporter des avantages considérables lorsque l’ERP est correctement sélectionné et déployé.

La question que la plupart des entreprises se posent à ce stade est la suivante : « Combien de temps faut-il pour choisir et remplacer un système existant ? » Il n’y a pas de réponse unique. Cela dépend de la taille et de la complexité de l’organisation, du fait que l’un ou l’autre ou les deux systèmes (ancien et nouveau) soient basés sur le cloud, de la dynamique de l’entreprise et de l’équipe de déploiement, du niveau d’engagement de la direction dans le projet, et du degré de coopération ou de résistance au sein de la communauté des utilisateurs… pour ne citer que quelques-unes des variables. Certains déploiements peuvent être réalisés en quelques mois, d’autres prennent un an ou plus. Un partenaire expérimenté peut vous aider à établir un calendrier réaliste lorsque vous définissez votre plan de projet.

Nous n’avons pas besoin de vous répéter que le remplacement de votre système ERP sera forcément perturbant. S’il n’est pas possible de totalement les éviter, les perturbations peuvent cependant être minimisées grâce à un déploiement bien planifié et géré.

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Source de l’article sur sap.com

WALLDORF, Allemagne – 09 mars 2021 – SAP SE (NYSE : SAP) vient d’annoncer que Capgemini a adopté les applications SAP Fieldglass Contingent Workforce Management et SAP Fieldglass Services Procurement. En gérant plus efficacement son personnel hautement qualifié, Capgemini a étendu ses capacités de service, notamment dans des secteurs de niche, afin de réaliser son ambition de croissance durable.

Les applications SAP Fieldglass permettent à Capgemini d’être plus flexible pour appuyer et élargir son large portefeuille de services, gérer les questions de conformité et accroitre son efficacité. Avec une main-d’œuvre externe croissante jouant un rôle de plus en plus important dans l’accompagnement de la transformation des activités de ses clients, Capgemini a cherché à améliorer sa visibilité sur son personnel externe. Le département Achats de la société a déployé les applications SAP Fieldglass pour automatiser et normaliser le sourcing, l’engagement, la gestion et la rémunération de ses collaborateurs externes. La société a choisi les solutions SAP Fieldglass pour soutenir son organisation mondiale, lui permettant de fournir un processus simplifié et plus agile dans l’ensemble de l’entreprise.

« Dans notre secteur en pleine évolution, il est essentiel d’exploiter les bonnes capacités au bon moment pour fournir le service de haute qualité que nos clients attendent », a déclaré Andreas Hettwer, directeur de la catégorie « achats groupés » chez Capgemini. « Les applications SAP Fieldglass offrent une combinaison adéquate de fonctionnalités avancées et une expérience utilisateur moderne qui nous permet d’accéder à nos principaux collaborateurs à travers le monde, ce qui nous donne un avantage concurrentiel qui fait progresser notre entreprise et nous aide à offrir plus de valeur à nos clients ».

Les applications SAP Fieldglass Contingent Workforce Management et SAP Fieldglass Services Procurement aident Capgemini à transformer la façon dont le travail est effectué pour répondre aux besoins de son entreprise en pleine croissance en améliorant :

  • L’efficacité : En automatisant et en normalisant le processus d’attraction et de gestion du travail flexible – de la demande d’achat à la facturation et au paiement – Capgemini a accru son efficacité et sa conformité.
  • L’agilité : Les applications augmentent l’agilité opérationnelle de Capgemini, en accélérant les résultats de l’entreprise grâce à des processus de travail des collaborateurs externes qui sont harmonisés dans toute l’organisation. Chaque fois qu’il a été décidé de faire appel à des compétences externes, les offres d’emploi sont transférées vers les applications SAP Fieldglass pour une exécution externe.
  • La visibilité : Les applications renforcent les capacités de Capgemini en matière de gestion du personnel externe, en aidant les équipes Achats à mesurer le succès grâce à un reporting complet qui fournit des informations sur les délais d’embauche, le taux de remplissage, la qualité des offres d’emploi, les coûts, la conformité et bien d’autres aspects.
  • La transparence : Avec plus de 85% de son activité mondiale de gestion du personnel externe intégrée dans les applications SAP Fieldglass, Capgemini a accès à des informations détaillées sur ses dépenses, sa position sur le marché et ses possibilités d’optimisation des coûts, ce qui lui permet de réduire les risques et de prendre des décisions plus stratégiques.

« Capgemini est un exemple frappant de l’importance croissante du marché du travail temporaire pour l’agilité de la force de travail, la continuité des activités, le succès et l’innovation », a déclaré Tamara Braun, chief customer officer, SAP Intelligent Spend Management. « Les consultants externes sont essentiels à la qualité des services que Capgemini fournit à sa clientèle mondiale. De plus, ses dirigeants comprennent clairement que l’engagement de cette force de travail flexible à grande échelle a un impact positif sur la qualité, la compétitivité et la conformité ».

Pour plus d’informations sur l’approche de Capgemini en matière de gestion des effectifs externes, téléchargez l’étude de cas ou écoutez ce podcast.

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Source de l’article sur sap.com

SAP SE (NYSE : SAP) a annonce que le groupe Flint, l’un des plus grands fournisseurs d’encres, de presses d’impression numérique et d’autres produits destinés à l’industrie de l’impression et de l’emballage, a centralisé et digitalisé ses processus d’achats indirects et d’achats de services grâce aux solutions SAP Ariba. L’entreprise a ainsi gagné en efficacité, réduit ses coûts et amélioré le contrôle de ses dépenses.

Les solutions SAP Ariba ont remplacé les processus procure-to-pay jusque-là manuels de Flint Group, qui nécessitaient des commandes individuelles pour chaque fournisseur. Grâce à une plate-forme unique et unifiée dans le cloud, l’entreprise a standardisé son processus d’achat dans l’ensemble de son entreprise et a rendu les actes d’achats, la facturation et la comptabilité plus faciles et plus transparents pour les employés, les fournisseurs, les managers et le service comptabilité.

« Nous avons considérablement amélioré l’expérience d’achat de nos employés et l’efficacité des processus grâce à notre migration vers le cloud et à la mise en œuvre des solutions SAP Ariba », a déclaré Arno de Groot, vice-président, Procurement Packaging, Flint Group. « De plus, grâce à un système d’achat unifié complet, nous avons une meilleure visibilité sur les dépenses, ce qui nous permet de prendre des décisions d’achat plus éclairées et a un effet positif sur nos résultats ».

Le groupe Flint opère dans plus de 130 centres répartis sur six continents et travaille avec un réseau vaste et diversifié de fournisseurs pour satisfaire ses clients. Avant la mise en œuvre des solutions SAP Ariba, la gestion des achats indirects du groupe était complexe et chronophage. Le manque de transparence des dépenses et l’incohérence des données se traduisaient par une vision incomplète des coûts et une incapacité à prendre des décisions d’achat bien informées. Maintenant que les solutions SAP Ariba sont en place et intégrées à l’application SAP ERP de l’entreprise, le groupe Flint a pu :

  • Offrir à ses employés une expérience utilisateur intuitive leur permettant de prendre des décisions d’achat guidées tout en réduisant les dépenses superflues.
  • Améliorer la conformité, l’exactitude comptable et ses processus de comptabilité fournisseurs en joignant un bon de commande (purchase order) à presque toutes les factures
  • Mettre en place un programme de fournisseurs privilégiés, en réduisant le nombre de fournisseurs et en contribuant à maximiser les incitations et les rabais tout en améliorant l’expérience des fournisseurs
  • Gagner en visibilité sur le stock existant, ce qui permet d’éviter les doubles acquisitions et les achats inutiles

Pour en savoir plus sur la transformation digitale du groupe Flint, cliquez ici.

 

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En août 2018, Microsoft avait fait la une des journaux en exigeant de ses fournisseurs qu’ils mettent en œuvre des politiques de congé parental rémunéré. Toute société qui souhaitait vendre des biens et des services à Microsoft devait offrir à ses salariés un congé payé d’au moins 12 semaines.

Voici un exemple de grande entreprise qui cherche à influencer ses fournisseurs, et pas uniquement sur le niveau de prix : il s’agit de voir au-delà des coûts financiers pour également prendre en compte les coûts sociaux et environnementaux. Lors du Social Enterprise World Forum (événement pour encourager le développement des entreprises solidaires) les participants ont mentionné que si les grandes entreprises adoptaient des exigences plus durables en matière d’approvisionnement, cela pourrait avoir un impact positif sur les bénéfices, les populations et la planète.

Johnson & Johnson, l’un des plus grands laboratoires pharmaceutiques au monde, a assisté à l’événement. Julian Hooks est directeur des achats (B2B) chez Johnson & Johnson. Il a déclaré : « Nous cherchons à faire du monde un endroit plus sain, étape par étape, et ce en partie via notre stratégie d’approvisionnement. ». La stratégie de Johnson & Johnson est de privilégier les achats auprès de fournisseurs qui sont des entreprises détenues par des femmes ou une minorité.

Selon Julian Hooks, en 2017, la société a dépensé 1,45 milliard de dollars auprès d’entreprises détenues par des femmes ou des gens de couleur. Selon lui, « pour changer l’image de l’industrie pharmaceutique, il faut changer l’image de la chaîne logistique. C’est ainsi que l’on pourra faire progresser la société et exercer un impact. ». Comme Johnson & Johnson opère dans 165 sociétés et travaille avec 70 000 fournisseurs dans le monde entier, il renferme le potentiel de favoriser considérablement la diversité aux postes dirigeants à l’échelle mondiale.

La technologie facilite les achats solidaires. La technologie peut également promouvoir les biens et services que les entreprises solidaires proposent aux entreprises commerciales. C’est là qu’est intervenue SAP, fournisseur mondial de logiciels. Marcell Vollmer, directeur de la stratégie digitale de SAP Ariba, a expliqué dans son allocution au Social Enterprise World Forum (SEWF) comment Ariba Network (anciennement Ariba, fournisseur cloud pour l’approvisionnement en ligne acquis par SAP en 2012) connecte plus de 3,5 millions de sociétés dans le monde à des entreprises socialement responsables.

« Lorsque nous discutons avec des professionnels de l’approvisionnement, nous constatons qu’ils tentent de résoudre divers problèmes dans les chaînes logistiques, notamment l’esclavage, la pauvreté et la diversité. Cependant, ils manquent de visibilité et de données sur leurs fournisseurs, ce qui leur complique la tâche », explique M. Vollmer. SAP Ariba fournit cette visibilité et peut surveiller plus de 200 critères différents, tels que la performance environnementale, les pratiques professionnelles et commerciales équitables ou encore la diversité parmi les cadres dirigeants. Ces informations permettent aux sociétés d’évaluer les risques et de classer les fournisseurs potentiels, ce qui se traduit par des chaînes logistiques plus éthiques et durables.

Étant donné que SAP Ariba met en relation plus de 3,5 millions de sociétés pour un volume de transactions commerciales d’environ 2 100 milliards de dollars, elle offre aux entreprises solidaires une occasion formidable d’accéder à un marché plus vaste. Les sociétés peuvent ainsi adopter des stratégies commerciales plus durables, simplement en achetant auprès de fournisseurs socialement responsables.

SAP développe également un écosystème de partenaires qui aide les sociétés à trouver des entreprises à vocation sociale. Par exemple, grâce à son partenariat avec Made in a Free World, SAP Ariba a réduit le nombre de produits fabriqués par des travailleurs esclaves, en offrant une transparence sur les pratiques professionnelles des fournisseurs. SAP collabore également avec des organisations comme ConnXus dans le but de promouvoir la diversité des fournisseurs : elle aide les sociétés à trouver des petites entreprises, détenues par des femmes ou des minorités.

Cet article est également disponible sur Medium : Innovation Spotlight.

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SAP SE (NYSE : SAP) a annoncé aujourd’hui l’acquisition d’AppGyver Oy, un pionnier des plateformes de développement no-code (sans code) qui permettent aux utilisateurs sans compétences de codage de créer des applications pour des usages web et mobile.

Grâce à cette acquisition, SAP est mieux à même d’aider ses clients et partenaires à adapter efficacement leurs systèmes informatiques à leurs besoins spécifiques et à optimiser la convivialité de leurs applications. Les solutions d’AppGyver feront partie de la SAP Business Technology Platform. Elles élargiront l’offre de SAP dans le domaine de l’intelligence des business process et viendront compléter l’offre low-code de SAP fournie par le partenaire Mendix Tech BV, qui fait partie de Siemens AG.

« AppGyver nous aide à étendre nos capacités no-code et à établir une offre complète dans ce domaine », a déclaré Michael Weingartner, président de SAP Business Technology Platform Core, SAP. « À l’avenir, nous pouvons proposer une gamme complète d’outils de développement d’applications simples et intégrés qui permettent aux clients, aux partenaires et à nos propres équipes d’améliorer l’automatisation des processus et de renforcer l’expérience utilisateur des applications SAP. En ajoutant les solutions d’AppGyver à nos propres capacités no-code, nous facilitons la création de workflows, de formulaires, l’automatisation des processus robotisés et la gestion des cas légers. »

Cette acquisition élargit la nouvelle offre de SAP, RISE with SAP, dont la SAP Business Technology Platform et l’intelligence des business process sont des éléments clés. RISE with SAP aide les entreprises à réaliser des transformations business globales qui les rendent résilientes, agiles et intelligentes.

SAP et AppGyver ont convenu de ne pas divulguer le prix d’achat ou d’autres détails financiers de la transaction.

Visitez le SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter @SAPNews.

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Levallois, le 25 novembre 2020 – SAP France annonce aujourd’hui la disponibilité d’une nouvelle plateforme e-commerce, nouvelle génération, destinée aux PME souhaitant développer rapidement un site e‑commerce : SAP Upscale Commerce. La solution permet de déployer rapidement des vitrines intelligentes sur mobile et sur le web pour chercher de nouveaux revenus et créer de nouvelles expériences clients.

« SAP Upscale Commerce apporte une solution efficace pour les petites et moyennes structures dans un environnement social et économique bousculé par une crise sanitaire. Une ou deux semaines maximum suffisent pour mettre en ligne un site e-commerce pensé pour un usage mobile et omni-canal. Avec cette solution, nous souhaitons accompagner les PME dans leur transformation numérique dans une période critique », explique Lahcen Binoumar, Directeur des Ventes PME, SAP France.

Flexibilité et rapidité : deux attributs essentiels de la solution SAP Upscale Commerce.

Partant du constat que les consommateurs accordent de plus en plus d’importances aux expériences simples de consommation et s’attendent à pouvoir faire leurs achats sur tous leurs appareils ou canaux, SAP a développé une plate-forme agile qui permet aux marques et aux commerces de créer des expériences d’achat simples, rapides et à moindre coût.

La solution SAP Upscale Commerce, solution en mode SaaS, permet à ses utilisateurs de lancer des nouveaux produits, tester des marchés et boutiques éphémères grâce à des applications optimisées et intuitives pouvant combiner des achats en ligne et en magasin pour des expériences d’achat multicanales. SAP Upscale Commerce bénéficie d’une gestion avancée grâce à l’Intelligence Artificielle permettant aux clients de profiter d’une expérience d’achat unique et engageante tout en maximisant la rentabilité et les ventes pour la marque ou le détaillant. La solution offre un « mobigramme » : une vitrine personnelle alimentée par l’intelligence artificielle qui optimise dynamiquement l’assortiment de produits pour chaque visiteur.

Les principaux avantages sont :

  • La création et le déploiement de boutique en quelques clics, sans code.
  • Une approche de commerce multi-canal pour offrir une expérience contextuelle, personnalisée et transparente, et ainsi maximiser les profits.
  • Une expérience de boutique connectée au back-office, tout en testant de nouveaux concepts de commerce rapidement, à moindre coût.

 

Une expérience optimisée permettant de réaliser des profits.

La solution est construite à l’aide de la technologie cloud-native sur une architecture de micro-services pilotés par API. Cette configuration permet une grande flexibilité dans son déploiement et une adaptabilité à tous les environnements. Ainsi, elle peut être autonome, déployée comme une extension complémentaire avec d’autres solutions existantes, via son propre système de gestion de commande ou encore par un système de gestion de commande existant. SAP Upscale Commerce permet de réduire le temps de déploiement sur le marché et le coût total de possession, et de proposer des expériences d’achat à profit optimisé grâce à :

  • Un déploiement rapide et sans code pour proposer des expériences d’achat réussies.
  • Un environnement SaaS multi-tenant, toujours en service et continuellement mis à jour.
  • Une technologie intégrée permettant un merchandising intelligent, une personnalisation, une gestion des commandes distribuées et la vente en continu.

 

SAP Upscale Commerce : un accompagnement sur-mesure en période de crise sanitaire.

SAP accompagne depuis des années les PME, les startups dans leurs développements et s’intéresse particulièrement à l’impact de la crise sanitaire tant sur ses collaborateurs que sur l’expérience utilisateur**. Pour chaque étape du parcours, SAP met à disposition une assistance technologique à distance et un portail en libre-service composé d’experts sectoriels, de consultants et d’ingénieurs support afin d’offrir à l’utilisateur un plan de soutien et des supports complets, des stratégies d’innovation et de connaissances techniques et sectorielles approfondies. De plus, les utilisateurs se concentrent sur leurs métiers et la relation client grâce à la gestion du centre de données réalisée par SAP.

** Etude retail, Odoxa x SAPCustomer Data Platform

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Source de l’article sur sap.com


À moins que vous ne vendiez des survêtements, qui se sont vendus 80 % plus vite en avril qu’en février de cette année, la plupart des détaillants de mode sont confrontés à un printemps et un été difficiles.

J.C. Penney est la dernière victime parmi les géants de la vente au détail, rejoignant Neiman Marcus, Macy’s et d’autres qui ont déposé leur bilan. Pendant ce temps, les ventes au détail d’avril aux États-Unis ont chuté de 17,8 % par rapport à 2019.

Les magasins dans certaines régions des États-Unis rouvrent, mais pas complètement. Le nombre de clients autorisés à l’intérieur des magasins pourrait être limité, et de nombreuses personnes continueront à se tenir à l’écart des commerces non essentiels.

Pour survivre aux retombées financières, les retailers doivent trouver de nouveaux moyens de rester virtuellement proches des clients.

Ici, deux fondateurs de start-up et un expert de SAP décrivent comment la technologie peut aider les détaillants à survivre et à se rétablir – tout en gardant leurs marques et le suivi de leurs clients intacts.

 

La réalité augmentée fait entrer le magasin chez vous

Ashley Crowder, co-fondatrice et directrice de Vntana, pense que les solutions de 3D et de réalité augmentée (RA) comme celles développées par son entreprise peuvent augmenter les taux de conversion pour les achats en ligne.

« Vntana permet de prendre facilement des fichiers de conception de fabrication existants et de créer immédiatement des expériences 3D et de RA qui ont prouvé qu’elles pouvaient plus que doubler les taux de conversion et réduire les retours de 40 % », a-t-elle déclaré.

Vntana travaille avec des clients comme Shah Jewelry pour créer des versions virtuelles de produits qui permettent aux clients d’ »essayer » les articles à la maison. Même avant la pandémie, Vntana a constaté une augmentation du taux de conversion des navigateurs en acheteurs parmi les entreprises qui offrent des expériences 3D à leurs clients. Par exemple, selon M. Crowder, Ikea a connu une augmentation de 30 % de ses revenus lorsque les consommateurs pouvaient placer virtuellement des produits dans leur maison.

Crowder pense que la technologie de Réalité Augmentée (RA) et de réalité virtuelle (RV) est là pour rester : « Artillery Intelligence, une publication de recherche sur la RA et la RV, a réalisé une étude de consommateurs qui a révélé que 45 % des consommateurs veulent essayer les achats en RA/RV. Trente pour cent ont déclaré que si cela pouvait leur fournir suffisamment d’informations pour prendre une décision d’achat, ils ne voudraient plus jamais aller dans un magasin de détail. Les gens veulent donc ce contenu et ils veulent cette option ».

Elle s’attend à ce que l’adoption s’accélère en raison de la crise du coronavirus et souligne que les entreprises qui agissent rapidement maintenant seront mieux positionnées pour survivre et se développer à l’avenir.

 

Le commerce électronique hyperlocal dynamise le retail physique

Sandeep Bhanote a cofondé Radius8, une start-up qui améliore les interactions des acheteurs en ligne en leur proposant des expériences hyperlocales et personnalisées. Comme Crowder, Bhanote participe au programme d’accélération de SAP.iO Foundries à New York, qui soutient actuellement une cohorte d’entreprises axées sur l’expérience client.

Radius8 résout ce défi. Le commerce électronique est le même, quel que soit l’endroit où se trouvent les consommateurs, ce qui peut se traduire par des expériences médiocres pour les acheteurs en ligne, en particulier si le détaillant possède de nombreux magasins dans tout le pays.

« Notre technologie prend la localisation du consommateur et détermine sa proximité avec n’importe lequel de ces magasins au sein de la chaîne de vente au détail et modifie dynamiquement l’expérience du commerce électronique pour refléter l’endroit où il se trouve », a expliqué M. Bhanote.

 

  1. Bhanote pense que l’unification de l’expérience numérique et physique des magasins propulsera la vente au détail à un niveau supérieur.

Grâce aux données géospatiales, Radius8 offre aux consommateurs une meilleure expérience en ligne tout en stimulant les ventes en magasin en amenant les gens à se rendre dans des magasins spécifiques. M. Bhanote explique que le point central de l’intégration entre les magasins virtuels et physiques s’est limité à la compréhension de l’inventaire.

« Mais la réalité est que tous ces magasins physiques ont toutes ces choses merveilleuses qui se produisent et qui ne sont presque jamais communiquées numériquement – même pas dans le rayon de ce magasin physique », dit-il.

 

  1. Bhanote a ajouté que les clients – dont adidas, Lucky Brand, Snipes USA, Orvis et Eddie Bauer – utilisent déjà Radius8 pour créer de superbes expériences sur des sites virtuels et physiques.

 

L’entreprise intelligente offre des expériences uniques et de l’agilité

Matt Laukaitis, vice-président exécutif et directeur général mondial des industries de consommation chez SAP, estime que le maintien de l’intimité avec le client est primordial pour les détaillants.

« C’est la capacité à continuer à renforcer ce lien avec les consommateurs », a-t-il déclaré. « Nous voyons beaucoup d’innovations de la part de marques, grandes et petites, où les gens font des choses créatives avec des stylistes personnels virtuels et des sessions individuelles de vidéo-shopping pour donner aux clients une expérience unique ».

Qu’il s’agisse d’une expérience en ligne ou traditionnelle, les gagnants du futur maintiendront la cohérence de la marque tout en augmentant la pertinence et la fidélité des clients. « C’est ce qui va leur permettre de réussir leur réouverture de magasins », a déclaré M. Laukaitis.

L’agilité des détaillants pour répondre à la pandémie les rendra plus ou moins efficaces. « Les entreprises qui pourront le mieux naviguer dans la crise sont celles qui peuvent être créatives et agiles dans l’environnement actuel », a-t-il déclaré.

Les entreprises qui ont déjà adopté la transformation numérique et investi dans une infrastructure d’entreprise intelligente auront une longueur d’avance sur leurs concurrents. Elles disposent de la rapidité, de la simplicité et de la flexibilité nécessaires pour adapter leurs modèles d’entreprise tout en répondant aux attentes des consommateurs.

Une chose est sûre : le commerce électronique se développe rapidement. Le taux de croissance récent des recettes du commerce électronique aux États-Unis a atteint près de 80 % d’une année sur l’autre.  Et la crise a accéléré le besoin des gens de vivre de meilleures expériences numériques.

Les nouvelles technologies comme la RA et le géospatial, combinées à un noyau numérique solide et aux technologies traditionnelles de l’expérience client, permettront aux détaillants de pivoter rapidement et de conserver leurs clients.

https://youtu.be/rFiopsB5JzA

 

Publié initialement en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

WALLDORF SAP SE (NYSE : SAP) annonce que ERG, l’un des principaux producteurs d’électricité indépendants en Europe dans le secteur des énergies renouvelables, a mis en œuvre les solutions SAP Ariba pour digitaliser et unifier ses opérations d’achat.

En activité depuis plus de 80 ans, ERG a effectué sa transition du pétrole vers l’énergie verte en 2008 en produisant de l’électricité à partir de sources d’énergie renouvelables comme l’énergie éolienne, solaire et hydroélectrique et les centrales de cogénération thermoélectriques à haut rendement et à faible impact environnemental.

La digitalisation des achats vient soutenir les objectifs de transformation cloud d’ERG

ERG adopte des technologies cloud pour obtenir une infrastructure plus flexible avec une meilleure intégration, des processus améliorés, des mises à jour plus rapides et des coûts de gestion réduits. ERG a choisi les solutions SAP Ariba dans le cadre d’une stratégie visant à consolider ses achats sur une plateforme unique, rapprochant les besoins de diverses fonctions commerciales afin de partager des informations avec tous ceux qui en ont besoin au bon moment.

« Après une évaluation approfondie des solutions disponibles, nous avons choisi les solutions SAP Ariba pour leur facilité d’intégration avec nos systèmes SAP existants, et pour offrir à nos fournisseurs une interface unique à partir de laquelle ils peuvent se connecter et collaborer avec notre organisation et nos partenaires », a déclaré Anna Campi, responsable du contrôle de la planification des achats et de la gestion des fournisseurs chez ERG. « Depuis que nous avons adopté les solutions SAP Ariba, nous avons réalisé des économies considérables par rapport à la solution précédente. Nous avons également amélioré notre structure de qualification des fournisseurs par secteur de produits grâce aux solutions SAP Ariba, qui proposent une liste de fournisseurs beaucoup plus précise et plus fiable. »

Grâce aux solutions SAP Ariba Sourcing et SAP Ariba Supplier Lifecycle and Performance, ERG pourra collaborer avec ses fournisseurs tout en s’assurant qu’ils sont alignés sur ses principes organisationnels et son code de conduite. Elles aideront notamment ERG à évaluer régulièrement la conformité de ses fournisseurs stratégiques, qui représentent environ 80 % des achats de la société. Grâce à la collaboration en temps réel, ERG pourra améliorer ses marges d’exploitation et récompenser ses fournisseurs stratégiques pour leur conformité.

« Collaborer avec ses fournisseurs n’a jamais été aussi important qu’aujourd’hui, car les entreprises se concentrent actuellement sur la continuité de leur activité », a déclaré Chad Crook, senior vice president and global head of Customer Engagement and Adoption, SAP Procurement Solutions. « Avec les solutions SAP Ariba, ERG dispose d’un processus digital simplifié de gestion des dépenses de bout en bout sur une seule plateforme et d’une meilleure capacité de communication et de collaboration avec ses fournisseurs, qui lui permet d’assurer la conformité et la fluidité des opérations entre ses partenaires commerciaux. »

L’engagement d’ERG en faveur des énergies renouvelables et du développement durable

La société ERG est engagée en continu dans développement durable. Pour la deuxième année consécutive, elle figure parmi les 50 grandes entreprises les plus durables au monde, selon l’indice Corporate Knights Global 100, et est cotée à la Bourse de Milan. Cette initiative, et l’objectif que s’est fixé ERG de développer ses projets de production et d’achat tout en améliorant les processus de bout en bout, ont influencé ses achats. Conformément aux nouveaux principes écologiques de la société, le conseil d’administration d’ERG a récemment approuvé un code de conduite pour les fournisseurs.

 

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Source de l’article sur sap.com

Un état d’esprit axé sur le client signifie qu’il faut constamment penser non seulement à votre client, mais aussi aux clients de vos clients – et à tous leurs employés. C’est ce que pense avant tout Martin Mrugal, responsable mondial de Customer First chez SAP.

« Pendant la pandémie COVID-19, les entreprises ont prouvé l’une après l’autre que la sécurité de leurs employés, le service aux clients et les engagements envers les parties prenantes sont des priorités absolues », dit-il. « C’est notre travail de défendre passionnément nos clients en leur fournissant les meilleurs outils, services et inspirations pour les aider à remplir leurs obligations et à s’épanouir dans le processus ».

A Customer First Mindset

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A Customer First Mindset

 

Mrugal a partagé avec les clients des histoires incroyables sur les nombreux résultats positifs obtenus par les clients qui ont un partenariat solide avec SAP.

Faurecia, un équipementier automobile mondial, s’est d’abord concentré sur la protection de ses employés, puis a renforcé ses liquidités pour rassurer les parties prenantes : l’entreprise pourrait faire face à tous les défis posés par la crise. Il a également saisi l’occasion de développer la résilience de sa chaîne d’approvisionnement et d’accélérer la neutralité en matière de CO2 grâce à l’achat d’énergie et d’acier décarbonisés. Malgré le blocage, Faurecia a rassemblé plus de 1 000 fournisseurs en ligne afin d’assurer conjointement la continuité de la chaîne d’approvisionnement et de s’assurer qu’ils sont prêts pour la reprise.

Le géant suisse du commerce de détail Coop a utilisé un nouvel outil de prévision pour s’assurer que les rayons des supermarchés étaient bien approvisionnés afin que les clients puissent s’approvisionner. Il a également transféré temporairement des employés de ses secteurs d’activité non alimentaires, qui ont été fermés pendant la crise, pour travailler dans des entrepôts et des centres de distribution en sous-effectif.

Lamb Weston, un fournisseur nord-américain de produits à base de pommes de terre, a renforcé les pratiques sanitaires sur tous ses sites et n’a autorisé que les visites critiques dans ses usines de fabrication pour éviter la propagation du virus. Elle a également optimisé les stocks, permettant à l’entreprise de transférer les fournitures aux épiceries qui avaient besoin de plus de produits à base de pommes de terre.

« Ce ne sont là que quelques exemples de la manière dont les clients de SAP se concentrent sur leurs employés et leurs entreprises », explique M. Mrugal. « Nous constatons que tout le monde, partout dans le monde, est confronté aux mêmes défis, sous une forme ou une autre. Maintenant plus que jamais, nous augmentons notre niveau d’engagement et nous pensons de manière créative pour accroître notre collaboration et notre connectivité avec les clients par le biais d’engagements virtuels et numériques ».

Interrogé sur son rôle, M. Mrugal explique que « Le client d’abord » est à la fois un état d’esprit, un modèle d’engagement et une organisation construite autour de meilleurs engagements avec les clients – le tout réuni en un seul.

« La véritable mesure du succès de SAP est le succès de nos clients. Ce concept est inscrit dans notre ADN », dit-il en racontant l’histoire d’un représentant commercial de SAP qui a aidé un client à localiser 500 lits d’hôpital en 30 minutes pour un hôpital de fortune à New York au plus fort de la pandémie. « Le représentant a reçu un appel d’un fournisseur, Ram Tool Construction Supply, qui aidait un entrepreneur à construire l’hôpital. Le représentant de SAP a utilisé l’outil SAP Ariba Discovery pour répondre rapidement au besoin ».

M. Mrugal note que depuis que SAP a donné aux clients un accès gratuit à SAP Ariba Start Sourcing à la mi-mars 2020, les affichages des acheteurs sur ce site ont augmenté de 58 % et les réponses des fournisseurs de 404 % par rapport à la période du 1er janvier au 9 mars 2020.

La fourniture de logiciels gratuits est l’un des moyens par lesquels SAP démontre que ses clients sont au premier plan. SAP offre également à ses clients un accès gratuit à plusieurs solutions clés de SAP et de Qualtrics.

« Les clients profitent de nos offres gratuites », a déclaré M. Mrugal. « Qualtrics leur permet de sonder et de prendre le pouls de leurs employés pour s’assurer qu’ils sont vraiment en sécurité. C’est primordial dans l’environnement actuel ».

M. Mrugal a un mantra de trois mesures essentielles que les organisations doivent prendre pour survivre avec succès à la crise. La santé et la sécurité des employés, des clients et des communautés figurent en tête de liste.

Ensuite, une communication claire et cohérente est essentielle. Selon M. Mrugal, il est essentiel de garder les lignes ouvertes avec les clients et de rester connecté : « Nous devons comprendre en temps réel où nos équipes ou nos clients ont des préoccupations, et nous devons y répondre immédiatement ».

Enfin, M. Mrugal estime que le maintien de la continuité garantit que le niveau d’engagement de SAP ne diminue pas ; il affirme plutôt que SAP change la qualité – et pas seulement la quantité – de son engagement avec les clients.

« Dans de nombreux cas, nous sommes encore plus engagés avec nos clients que jamais auparavant alors que nous traversons ensemble cette période inhabituelle », déclare le dirigeant de longue date de SAP, qui pense que le rôle de son organisation continuera à évoluer à mesure que les besoins de SAP et de ses clients continueront à se transformer.

Une chose, cependant, ne changera jamais : le client sera toujours au centre de nos préoccupations.

 

Publié initialement en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com