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L’argent est roi, certes mais pas que. C’est également l’un des éléments clés pour assurer la résilience et la continuité de l’activité sur le long terme. Il joue un rôle dans les challenges qui touchent l’entreprise, comme par exemple l’expérience collaborateur et client, le partenariat avec les fournisseurs ou mêmes les résultats financiers. Avec SAP S/4HANA, les entreprises peuvent répondre à tous ces enjeux en optimisant leur bilan.

Selon les partenaires de McKinsey, Kevin Laczkowski et Mihir Mysore, il est essentiel de combiner les compétences centrales avec des leviers financiers (tels que l’optimisation du bilan) pour renforcer la résilience, en prévision d’une récession ou d’une reprise.

Pour obtenir un tel avantage concurrentiel, il faut disposer d’informations intelligentes issues d’une infrastructure technologique axée sur l’intégration. En intégrant étroitement les systèmes et les données communes, les entreprises peuvent tirer parti de la rapidité et de l’agilité des outils in-memory pour dégager des modèles et perspectives cachés. Ce faisant, les entreprises peuvent consolider leurs opérations, maintenir des relations étroites avec leurs clients, développer l’agilité des chaînes logistiques dynamiques et gérer les ressources de manière plus synchronisée.

Une résilience optimisée grâce à des données ERP en temps réel et une connectivité intelligente

Bien que les systèmes hérités puissent automatiser différentes parties des opérations de gestion, ils ne peuvent pas fournir les informations en temps réel nécessaires pour régler le problème des surstocks ou offrir un service client à l’instant t. Trop souvent, les décisions sont basées sur des modèles transactionnels historiques peu centrés sur le client et trop rigides pour laisser place aux idées novatrices qui nécessiteraient d’être distribuées et adaptées dans toute l’entreprise.

Dès que l’entreprise passe à un progiciel de gestion intégré (ERP) intelligent, c’est une plateforme pour la reprise, la croissance et la résilience qui prend vie. Et en cette ère criblée d’incertitudes, il est grand temps de prendre conscience de cette force. Mais les dirigeants doivent d’abord sélectionner et implémenter une solution ERP qui offre des avantages quantifiables à l’échelle de l’entreprise : depuis le service client, les ventes et les stocks, jusqu’à la gestion du fonds de roulement, du coût des articles, de la main-d’œuvre et des frais généraux.

Envisagez de passer à SAP S/4HANA. Ses retombées n’ont pas tant affaire avec la taille de l’entreprise et le secteur d’activité. Il s’agit surtout de mettre en place un système informatique complet et unifié que tous les employés peuvent adopter et comprendre de façon intuitive. La solution relie directement les processus externes et tiers aux processus internes et aux structures de données, de manière suffisamment cohérente et flexible pour rendre des informations intelligentes rapidement accessibles, visibles et exploitables. 

Grâce à une visibilité accrue, des outils de prévision précis et des données pertinentes générées en temps réel sur les partenaires internes et externes, les entreprises peuvent, par exemple, abaisser considérablement leurs coûts de stock et améliorer leur taux de rotation de plus de 20 %. Nous ne parlons pas ici d’une réduction ponctuelle des dépenses, mais d’une vaste baisse continue des frais généraux dans les domaines du transport, de l’entreposage et de la manutention, avec en outre moins d’obsolescence, de frais d’assurance, de taxes, de dommages et de pertes au niveau des stocks. Même en ces temps où les taux d’intérêt diminuent, les entreprises peuvent réduire leurs coûts de stockage.

Voici les autres avantages à tirer de l’utilisation de SAP S/4HANA pour optimiser votre bilan :

1. Opérations hautes performances

Avec les fonctionnalités des solutions ERP intelligentes, les entreprises peuvent fabriquer et acheter les produits ou services dont elles ont besoin, et les livrer en temps voulu et à l’endroit convenu. Et tout s’opère avec l’agilité nécessaire pour ajuster les plans opérationnels et les pratiques, afin de répondre aux attentes des clients.

Les fonctionnalités prédictives de SAP S/4HANA permettent de revoir rapidement la planification des besoins en composants en tenant compte des données en temps réel. Elles permettent d’éliminer les décisions hypothétiques lors de la gestion des opérations internes, et de minimiser les en-cours de fabrication et les stocks de produits finis de manière optimale et précise.

2. Plus grande collaboration au sein du réseau de fournisseurs

L’amélioration des pratiques d’approvisionnement donne souvent lieu à des négociations plus poussées avec les fournisseurs, ce qui se traduit par des réductions de coûts et une hausse de 30 %d’efficacité dans les achats de matières premières (intrants). L’intégration et la collaboration étroites entre les fournisseurs renforcent la capacité de l’entreprise à planifier les changements, à négocier et à fournir une meilleure assurance qualité, avec plus de répercussions positives sur l’expérience finale du client.

SAP S/4HANA peut aider les entreprises à identifier et à éliminer les goulots d’étranglement dans les processus des chaînes logistiques, ainsi qu’à répondre à l’évolution de la demande. Les responsables opérationnels utilisent ces informations pour ajuster les quantités de produits et les délais de livraison. Leurs fournisseurs qui bénéficient d’une visibilité sur les besoins des consommateurs peuvent alors mieux remplir leurs obligations et répercuter les économies qui en résultent sur le prix de vente.

3. Optimisation de la main-d’œuvre

Avec des possibilités de prévision et d’organisation plus étendues, les cas de ruptures de stock et d’interruptions sont moins fréquents. Ces bons résultats offrent d’autres avantages : la gestion plus avisée des ressources, une meilleure qualité et une formation revalorisée ; moins de temps consacré aux commandes urgentes et reprises précipitées et moins d’heures supplémentaires effectuées par les collaborateurs ; et une contraction des travaux effectués dans des conditions stressantes et ne répondant pas aux attentes.

Avec SAP S/4HANA, les entreprises bénéficient d’une visibilité accrue sur l’évolution des priorités. Elles peuvent automatiser la communication avec les clients et fournisseurs, et fixer des dates de livraison judicieuses, ce qui est essentiel pour fidéliser les clients.

4. Opérations financières maîtrisées

Grâce à une expérience de livraison et de réception plus automatisée ainsi qu’à des contrats clients et fournisseurs bien négociés, les organisations peuvent optimiser leur solidité financière de manière à augmenter leur fonds de roulement.

SAP S/4HANA sert de base pour automatiser la gestion du recouvrement et des liquidités grâce à l’apprentissage automatique et à l’intelligence artificielle (IA). Cela peut conduire, en retour, à une baisse du nombre de jours de retard des créances et à des délais de facturation réduits de plus de 50 %, tout en limitant la fraude et en augmentant les liquidités disponibles. De plus, le processus de vérification automatisée passant par la mise en correspondance de trois facteurs favorise les remises fournisseurs, la planification de la trésorerie et les prévisions financières afin d’optimiser le capital à portée de main.

5. Cohérence et rentabilité du service client et des ventes

À l’aide des données expérientielles et opérationnelles qu’elles exploitent pour comprendre leurs clients, les entreprises peuvent exécuter des modèles de gestion ciblés et différenciés. Par exemple, les modèles de tarification qui répondent de manière créative aux besoins des clients peuvent prendre en charge le stock géré par le fournisseur, la facturation basée sur l’utilisation, les configurations de produits uniques et d’autres stratégies d’intégration à long terme.

En connectant étroitement les besoins des clients aux services de ventes et production, SAP S/4HANA donne aux entreprises les moyens d’offrir un service client plus prévisible et différencié, contribuant au chiffre d’affaires et à la fidélité des clients. Les améliorations apportées dans la gestion de la relation client donnent lieu à des livraisons dans les délais, avec moins de retours et de reprises, quelle que soit l’unicité du produit.

Gagner en force grâce à un bilan optimisé

Dans la dimension économique, nous arrivons à un point où les priorités des directeurs financiers dépassent le cadre de la finance. En plus de gérer les flux de trésorerie, les délais de recouvrement des créances ainsi que la comptabilité clients et fournisseurs en vue d’optimiser les flux de trésorerie, ceux-ci guident les tâches organisationnelles pour améliorer les processus de gestion et l’intelligence à l’échelle de l’entreprise. Plus important encore, après examen de leurs bilans et comptes de résultat, ils élaborent de nouvelles stratégies pour faire face aux incertitudes du marché actuel.

Avec une telle approche de la direction financière, les entreprises sont plus à même de se différencier et de pénétrer le marché de façon organique, tout en réduisant les créances et les stocks, en optimisant le nombre d’articles gérés en stock et la main-d’œuvre, et en accroissant le volume des ventes. Et plus les entreprises font preuve de résilience grâce à SAP S/4HANA, plus leur situation financière s’améliore : les cours des actions affichent une tendance à la hausse, les bénéfices augmentent et le chiffre d’affaires est plus prévisible.


Découvrez comment SAP S/4HANA peut vous aider à obtenir un bilan consolidant la résilience de votre entreprise, pour surmonter les difficultés d’aujourd’hui et se préparer au monde de demain. Consultez l’article « What Companies Should Do to Prepare for a Recession » (Ce que les entreprises doivent faire pour se préparer à la récession) de la Harvard Business Review et découvrez l’ERP intelligent d’aujourd’hui, SAP S/4HANA.

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Source de l’article sur sap.com

Auparavant, « mener la belle vie » signifiait jouir du confort et du luxe, loin des problèmes financiers et des préoccupations environnementales. Ce n’est plus le cas aujourd’hui.

Selon une récente étude Harris/Ketchum commandée par Sustainable Brands, une communauté mondiale d’innovateurs de marque, la définition d’une belle vie a changé. Plutôt que l’argent, le statut et les réalisations personnelles, aujourd’hui, « la base d’une vie bien vécue repose sur l’équilibre, la simplicité et des liens plus étroits avec la famille, la communauté et l’environnement ».

Selon les sources, la recherche indique qu’environ 65 à 95 % des personnes veulent désormais vivre une vie plus durable et acheter des produits qui soutiennent un avenir plus durable. Cela a un impact considérable sur les sociétés qui souhaitent rester compétitives dans ce nouveau contexte.

Comment les marques évoluent-elles alors pour répondre aux besoins et aux aspirations des consommateurs qui apprécient la simplicité, la transparence, l’authenticité et la durabilité plutôt que les biens personnels et l’apparence ?

Appliquer la théorie

Les objectifs et la vision des marques durables sont clairs. Elles créent des feuilles de route pour développer en permanence des pratiques commerciales plus durables. Elles excellent dans le leadership éclairé, l’innovation et les meilleures pratiques pour façonner une culture où la vie durable constitue la base de la belle vie de demain.

En voici quelques exemples sympathiques.

Procter & Gamble, géant des produits de consommation courante, a augmenté d’un cran ses initiatives en termes d’économie circulaire en fabriquant des bouteilles à partir du plastique ramassé sur les plages et repêché dans les océans. La société s’est également engagée à recycler et à récupérer 5 milliards de litres d’eau par an de ses processus de fabrication. Elle s’attaque même à un problème que personne d’autre ne semble savoir résoudre : la société a inventé une technologie capable de redonner de la valeur aux déchets, comme la cellulose plastique des couches jetables sales.

À Haïti, une des conséquences involontaires des opérations de secours après le séisme dévastateur de 2010 a été l’accumulation de montagnes de bouteilles plastique sur toute l’île. Des bouteilles d’eau vides et les emballages des fournitures expédiées pour aider les Haïtiens se sont retrouvés dans les canaux, sur les plages et dans les rues. Le système de collecte des déchets du pays s’est alors effondré. Aujourd’hui, ces bouteilles trouvent une seconde vie sous la forme de cartouches d’imprimante. À travers un projet de recyclage radical, HP, une société qui voit la circularité comme une approche liée au cycle de vie des produits, collabore avec divers partenaires pour créer de nouveaux emplois, offrir une formation en matière de santé et de sécurité et instruire des centaines d’enfants qui collectaient auparavant des déchets pour venir en aide à leur famille.

Parvenir à la belle vie

En mai 2019, plus de 2 500 représentants de la communauté Sustainable Brands se sont rassemblés à Détroit afin de faire part de leurs efforts et de s’inspirer de ce que font les autres pour agir et avoir la conscience tranquille, tout en fournissant des produits et des services qui répondent aux besoins et aux visions des clients et des consommateurs.

Cette conférence de quatre jours attire des leaders éclairés, des innovateurs, des experts du développement durable et des stratèges de marque du monde entier. L’événement principal est l’exposition Innovation Expo. Les participants peuvent s’inscrire à des ateliers, à des laboratoires d’innovation et à des activités de programmation centrés sur l’amélioration du monde.

L’exposition est divisée en pavillons « Belle vie » dédié aux différents secteurs du marché tels que la chimie, l’énergie et la finance, ainsi qu’à des sujets tels que la circularité et la gestion des ressources. Une section est même consacrée aux revues qui sont capables d’inspirer des changements comportementaux, comme le National Geographic.

En tant que sponsor « Good Life Lounge » pour l’économie circulaire, SAP organise plusieurs dialogues interactifs sur des sujets stratégiques. La question de la pollution plastique des océans est un des sujets de la conférence auquel les dirigeants de SAP sont très attachés.

Notre génération a fait la différence

The Knowledge That our Generation Has Made a Difference

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The Knowledge That our Generation Has Made a Difference

Vidéo d’Angela Klose

Une direction qui a du sens

En 2018, Stephen Jamieson, responsable de SAP Leonardo au Royaume-Uni et en Irlande, a participé à la création de « Plastics Cloud », une plateforme pour s’attaquer au problème du plastique à usage unique. L’initiative compile des informations et utilise l’apprentissage automatique pour identifier les matériaux et les tendances prévisionnelles en matière d’achat et de recyclage de matières plastiques, ce qui permet aux services de répondre à la demande. Elle partage également des données avec les consommateurs pour les aider à comprendre l’impact qu’ils ont au sujet des matières plastiques.

Entre-temps, Padmini Ranganathan, vice-présidente globale Produits et innovation chez SAP, a inclus Plastics for Change dans Ariba Network, de façon à intégrer l’économie informelle des collecteurs de déchets dans un système d’offre et de demande de matériaux secondaires plus formalisé.

L’initiative de Stephen Jamieson et le travail de Padmini Ranganathan avec les collecteurs de matières plastiques ont été deux des principaux facteurs qui ont poussé SAP à parrainer le sommet Ocean Plastic Leadership Summit dirigé par Jim Sullivan, responsable de l’Innovation durable chez SAP, et Alexandra van der Ploeg, responsable de la Responsabilité sociale d’entreprise chez SAP.

Comme l’a dit Mohammed Ali « l’impossible est temporaire ». Ce paradigme a été répété à maintes reprises par les 170 producteurs, scientifiques, chercheurs et innovateurs participant au sommet océanique. Bien que la pollution plastique des océans soit un immense défi, Jim Sullivan estime que si les gouvernements, les organisations non gouvernementales (ONG), les consommateurs et les leaders industriels s’associaient, il serait possible de le relever en dix ans. La plupart du plastique est rejeté dans l’océan par cinq cours d’eau en Asie. Les experts estiment qu’en réduisant la quantité des matières plastiques déversées dans les cours d’eau de seulement 20 % au cours des sept prochaines années, les océans reviendraient aux niveaux de pollution plastique des années 1990.

La technologie pour y parvenir existe déjà. C’est l’investissement nécessaire au développement de cette infrastructure essentielle qui fait défaut, et ce manque s’accentue encore plus du fait de l’échec du système d’offre et de demande de matériaux recyclés.

Les entreprises durables jouent un rôle majeur dans la solution. Elles transforment leurs activités avec des modèles circulaires qui permettent aux consommateurs et aux producteurs de refuser, de réduire, de réutiliser et de recycler. Ensemble, ils créent une assise durable pour mener la belle vie, selon la nouvelle définition qu’on lui prête.

Publié en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

SAP, société du logiciel la plus durable et partenaire des organisations pour atteindre leurs objectifs climatiques, dévoile les résultats du Baromètre* du développement durable SAP/Odoxa. Un nouvel indicateur visant à mesurer l’intérêt des Français pour l’environnement et l’avenir de la planète. Cinq ans après l’adoption des accords de Paris pour le climat, les résultats révèlent que l’action environnementale est au cœur des préoccupations des Français, qu’elle agit sur leurs comportements de consommation mais aussi sur leurs perceptions des entreprises. Le Baromètre SAP/Odoxa décode l’état d’esprit des Français vis-à-vis des progrès réalisés en matière d’environnement par les gouvernements, les entreprises ou encore par eux-mêmes dans leurs quotidiens.

L’action environnementale est au centre des préoccupations des Français depuis la COP21.

Cinq ans après la COP21, l’action environnementale apparaît plus centrale pour les Français. En effet, 60% des Français ont le sentiment que l’action environnementale n’est pas incompatible avec la croissance et l’emploi. Ils ont cependant le sentiment, depuis 2015, que l’action menée contre le réchauffement climatique par la communauté internationale est un échec (78%) et attendent beaucoup de l’engagement de Joe Biden sur ce sujet. En effet, 77% d’entre eux pensent que le retour des Etats-Unis dans l’accord de Paris permettra à la communauté internationale de lutter plus efficacement contre le réchauffement climatique.

Les Français sont de plus en plus vigilants sur leur mode de consommation pour limiter leur impact environnemental au quotidien.

Les Français sont préoccupés par l’avenir de la planète puisque 9 répondants sur 10 (87%) se disent concernés par l’avenir de la planète. Cependant, 66% d’entre eux sont pessimistes sur le sujet et l’inquiétude domine. Dans la pratique, les Français sont assez vigilants au quotidien pour limiter l’impact de leur mode de vie puisqu’ils sont 86% à limiter leur impact environnemental ou sociétal de leur mode de vie au quotidien mais seuls 21% le font systématiquement.

Bien ancré dans les mentalités, 8 Français sur 10 (82%) pratiquent le tri sélectif systématique. Ils confirment leur intérêt pour la question des déchets, puisque 51% des répondants disent acheter des produits sans emballage ou avec moins d’emballages, et 35% disent vouloir adopter ce comportement. Le deuxième éco-comportement familier des Français est la consommation de produits de saison, adopté par 77% des répondants. Par ailleurs, 51% des répondants disent déjà privilégier les petits distributeurs et les circuits courts, et 35% disent avoir l’intention de le faire. Les investissements énergétiques restent quant à eux en retrait puisque 65% des Français ne semblent pas prêts à installer des panneaux solaires ou une éolienne chez eux, et 61% ne souhaitent pas remplacer leur voiture à essence par une voiture électrique.

Le baromètre révèle également que les Français sont très critiques à l’égard de leurs concitoyens : seuls 47% estiment que les habitants de leur région ont cette préoccupation, les habitants de PACA se montrant les plus critiques sur ce point (35%). Pour agir en faveur de la protection de la planète, si les Français ont fortement confiance dans les associations (77%), leurs communes (67%) et leurs régions (67%), ils sont plus réservés envers les citoyens (56%)et les entreprises (53%) et ont très peu confiance dans l’Etat (40%) et le Gouvernement (37%).

Les Français plébiscitent davantage les entreprises engagées en faveur du développement durable et cela se reflète sur leurs achats.

Les Français sont de plus en plus sensibles à l’engagement des entreprises pour le développement durable. Ainsi, 6 salariés sur 10 considèrent que leur entreprise investit pour protéger la planète et 8 Français sur 10 peuvent être séduits par les entreprises engagées en faveur du développement durable, cet engagement leur donnant envie d’acheter leurs produits (83%) ou d’y travailler (80%).

Les Français sont également de plus en plus attentifs aux actions des entreprises sur l’environnement lors de leurs achats. 72% des répondants privilégient les entreprises engagées en matière de réduction des emballages et 58% celles qui veillent à limiter les déplacements pour les livraisons d’achats en ligne. 62% des salariés estiment que leur entreprise veille à limiter l’impact environnemental ou sociétal de son activité, un sentiment encore plus présent dans les secteurs les plus exposés que sont les transports (70%) et l’industrie (62%). L’énergie (45%), l’agroalimentaire (37%) et les transports (23%) sont les secteurs d’activité considérés comme les plus engagés en faveur du développement durable. Quelle que soit leur taille et leur statut, les Français souhaitent voir l’ensemble des organisations (collectivités, administrations publiques) et des entreprises (PME, grands groupes, startups…) se mobiliser en faveur du développement durable.

SAP est un acteur exemplaire de la transition écologique et moteur de la transformation des organisations pour lutter contre le changement climatique.

SAP entend montrer l’exemple en se fixant pour objectif d’atteindre la neutralité climatique d’ici 2025 et s’engage à atteindre des objectifs de réduction des émissions de 1,5 °C fondés sur des données scientifiques en adéquation avec l’objectif à long terme de neutralité carbone. 100% d’énergies renouvelables alimentent le cloud de SAP et 94 % des employés de l’entreprise sont engagés en faveur du développement durable. L’entreprise est également signataire du Pacte mondial de l’ONU et membre d’associations partageant des valeurs communes, dont le CDP, la Value Balancing Alliance et la Fondation Ellen MacArthur. Par ailleurs, SAP est le premier éditeur de logiciels figurant en tête des indices Durabilité Dow Jones (DJSI).

SAP accompagne les organisations à atteindre leurs objectifs climatiques notamment via le programme Climate 21 et l’application SAP Product Carbon Footprint Analytics qui permet à aux entreprises utilisatrices d’analyser leurs émissions de gaz à effet de serre afin de réduire leur empreinte carbone et de contribuer au 13ème objectif des Nations Unies pour le développement durable : la lutte contre le changement climatique.

Retrouvez l’intégralité de l’étude :

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*Baromètre réalisé par Odoxa sur un échantillon de 3 003 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus entre le 13 et le 19 novembre 2020.

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Source de l’article sur sap.com

Les marchés de clients individuels, optimisés par les plateformes et les algorithmes, peuvent désormais devenir instantanément une communauté ouverte pour des actions collectives et coopératives.

L’essor des communautés numériques

La technologie aide les clients à interagir plus facilement et à s’organiser en un nombre infini de communautés numériques exigeantes, parfois même révoltées.

Ces communautés se forment souvent de manière spontanée et se développent de façon exponentielle à un coût quasi nul. Nous le voyons, par exemple, lorsque de simples histoires individuelles deviennent virales ou lorsque des entreprises ont à affronter, quasiment du jour au lendemain, des foules qui entreprennent des actions difficiles à gérer.

La création et le partage d’objets sociaux sont au cœur de cette révolution des communautés numériques (1). Les communautés numériques étaient initialement basées sur des intérêts communs et se sont formées autour de points de rassemblement en ligne tels que des groupes de discussion et leurs artefacts numériques, les publications. De nos jours, les objets sociaux numériques prennent toutes sortes de formes, comme les tweets, les photos, les évaluations par les pairs et les mises à jour de statut (c’est-à-dire à peu près tout ce qui suscite un intérêt et une participation de masse et qui peut être facilement partagé).

Plus de 140 000 communautés mondiales se sont formées sur Reddit, couvrant des sujets très sérieux, et d’autres beaucoup plus obscurs. Par exemple, un groupe de 71 000 membres partage des photos de coussinets d’animaux.

La facilité avec laquelle des groupes comme celui ­ci peuvent se former, communiquer et agir implique que ces communautés sociales ne sont pas limitées à des objectifs de divertissement. Certaines sont clairement formées pour déstabiliser ou disrupter des entreprises. Les téléspectateurs, par exemple, ont réussi à faire revivre des séries télévisées, à faire pression sur celles qu’ils n’aimaient pas et à exiger que certaines soient réécrites.

Pour réussir, les entreprises doivent être capables de créer des objets sociaux importants aux yeux des groupes numériques et, par extension, de devenir la pièce maîtresse du fonctionnement du groupe. Il s’agit de trouver le bon équilibre : elles doivent éviter de déclencher la colère d’un groupe et de devenir l’objet de leur mépris.

Les clients se regroupent pour influencer les entreprises de quatre façons :

Ils utilisent les produits comme objets sociaux

Plusieurs sociétés de jeux en ligne ont donné naissance à des communautés participatives en transformant leurs jeux en objets sociaux. Les gamers peuvent partager des stratégies, créer de nouvelles versions des jeux et y jouer ensemble. Les sociétés de services musicaux transforment les playlists favorites en objets sociaux, qui sont ensuite facilement partagés avec d’autres personnes à la recherche du mix parfait.

Ils font des choix informés

Aujourd’hui, les sites d’avis sont généralement utilisés pour complimenter ou critiquer une entreprise en fonction de l’expérience vécue. D’autres utilisent ces avis pour décider quel produit acheter. De plus en plus de communautés numériques optimisées par l’IA se formeront pour partager opinions, conseils, bonnes pratiques et expériences personnelles autour d’intérêts communs.

Des ressources groupées

Les plateformes de données permettent aux clients de se regrouper pour acheter des articles à prix réduit. Les plateformes basées sur les coupons offrent des prix réduits sur des quantités minimums définies par le fournisseur. Les sites de financement participatif (Crowdfunding) permettent aux clients d’attirer l’attention sur une cause charitable ou de proposer leur aide pour développer de nouveaux produits. En échange d’un paiement initial, les donateurs reçoivent généralement le nouveau produit dès son lancement.

Ils font travailler collectivement les robots d’IA

Chargés par les clients d’obtenir le meilleur prix (par exemple via des comparateurs), les robots d’IA pourraient à l’avenir collaborer pour négocier et acheter collectivement des marchandises. Les robots d’IA apprendront à rechercher et à mobiliser d’autres robots d’IA pour aider à servir au mieux les intérêts de tous leurs clients.

Que peut faire votre entreprise ?

Rendre le partage social naturel

Utilisez le Big Data et l’IoT pour concevoir des objets sociaux qui s’intègrent à vos produits, plateformes numériques et à votre présence en ligne et que les gens veulent créer et partager. Oubliez la création et le contrôle de tout le contenu pertinent de l’entreprise, et optez pour le développement de communautés au sein de l’entreprise afin de partager du contenu qui bénéficie à l’entreprise dans le cadre de leurs interactions sociales.

Devenir le centre d’attention de votre communauté

Votre produit peut représenter la raison d’être d’une communauté, en permettant aux gens d’interagir de manière utile entre eux. Par exemple, de nombreux fabricants d’appareils de fitness utilisent des applications pour créer des communautés autour de ces appareils et accroître les interactions via des plateformes numériques.

Aider les communautés à trouver un sens

Aidez les communautés numériques à comprendre ce qu’elles veulent être, à défendre leurs valeurs et à atteindre leurs objectifs. Plusieurs entreprises de prêt-à-porter, par exemple, ont tiré profit de la volonté de leurs communautés de faire une différence à l’échelle mondiale, en associant l’achat d’un produit à une aide destinée à des communautés dans le besoin.

Publié en anglais sur insights.sap.com


Références

(1) « Social objects » (Objets sociaux), Wikipedia, consulté le 2 octobre 2018, https://en.wikipedia.org/wiki/Social_objects.

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Source de l’article sur sap.com

Les clients optent de plus en plus pour des expériences riches de sens et s’en remettent à l’IA pour toutes les autres tâches. C’est pourquoi les entreprises doivent oublier la routine et tendre vers le sublime.

Des clients en quête de sens

Appelons ça la révolution de la quête de sens. De Facebook aux cours de yoga, en passant par les manuels de développement personnel, tout est mis à la disposition d’une classe moyenne mondiale en pleine explosion (+160 millions chaque année (1)) pour l’aider à donner plus de sens à son quotidien, un objectif auxquels aspirent instinctivement tous les hommes (2).

Bien que les entreprises soient tout de même tenues de répondre aux attentes traditionnelles des clients (des produits et services de qualité fournis avec un maximum d’efficacité et un service client optimal), elles doivent maintenant également se focaliser sur la vie à laquelle aspirent les clients. Si une partie de l’expérience client ne parvient pas à offrir un sentiment gratifiant sur le plan émotionnel, elle sera alors reléguée en arrière-plan (voir « L’IA comme intermédiaire »), où des algorithmes de type « configurez puis oubliez » prendront le relais (3).

Avec des technologies comme le Machine Learning, le cloud computing et l’IoT, tout ce qui est perçu comme routinier ou répétitif se transforme en une expérience client automatisée en arrière-plan. Mais, la bonne nouvelle, c’est que ces mêmes technologies constituent aussi un nouveau moyen pour les entreprises de donner plus de sens qu’aujourd’hui aux différentes composantes de l’expérience.

Les différents types d’expériences riches de sens

Bien qu’il existe autant de définitions du terme « expériences riches de sens » que de personnes, pour les entreprises, ces expériences entrent dans quatre grandes catégories :

Divertissement

Dans des centres commerciaux de Californie, de Floride, du Nevada et du Royaume-Uni, cette année, les clients ont enfilé des casques de réalité virtuelle (RV) et ont déambulé dans un espace conçu pour leur donner l’impression d’être dans un film Star Wars. L’expérience a reçu d’excellentes critiques (4). Les frontières entre les marques grand public, les détaillants et le divertissement continueront de s’estomper, comme en témoigne le succès de films et vidéos YouTube qui sont, pour ainsi dire, l’extension de publicités ou jeux vidéo (5).

Interaction

Dans les petites villes, les gens avaient pour habitude d’aller chez le boucher ou dans l’épicerie du coin non seulement pour acheter des produits de première nécessité, mais aussi pour faire le plein de rumeurs sur le quartier. Avec l’apparition des grandes surfaces, ces expériences sociales ont quasiment disparu. Mais grâce au gain d’efficacité généré par le Machine Learning et le commerce en ligne, les retailers peuvent contrecarrer cette tendance en offrant aux gens de nouvelles façons de communiquer avec les autres et avec leurs communautés. L’utilisation de technologies comme la RV, la réalité augmentée (RA) et l’IA pourrait permettre aux retailers haut de gamme de devenir les boîtes de nuit du 21e siècle, par exemple, ou encore à un stade de devenir un nouveau centre commercial.

Apprentissage

Les entreprises doivent s’inspirer de notre fascination pour le fonctionnement des choses pour créer ou développer des relations riches de sens avec leurs clients. En améliorant leur connaissance d’un produit, l’expérience des clients devient ainsi plus riche de sens. Par exemple, les fabricants de téléphones mobiles se livrent une guerre sans merci sur la qualité de leurs appareils photo. Ils ont donc tout intérêt à offrir des cours de photographie en magasin et à domicile par le biais de technologies comme la RV et la RA.

Aspiration

L’alignement des ventes sur une aspiration humaine fondamentale pourrait expliquer pourquoi le nombre de centres de bien-être et de remise en forme dans les centres commerciaux a doublé au cours des cinq dernières années (6). Cela explique aussi pourquoi les applications de suivi de santé et de fitness sont devenues si populaires. Les clients recherchent en effet des moyens de surveiller leurs progrès et de partager leurs objectifs avec une communauté plus vaste.

Que peut faire votre entreprise ?

Votre expérience est dépourvue de sens ? Créez-le !

Les entreprises qui n’offrent pas déjà de dimension riche de sens à l’expérience qu’ils proposent seront reléguées au second plan par les clients ou par des agents d’IA axés sur l’efficacité et agissant pour leur compte. Elles doivent mettre les bouchées doubles pour maximiser le moindre élément riche de sens dans leur expérience et ainsi se protéger de la concurrence. Elles peuvent utiliser les nouvelles tech­nologies pour repousser les limites de l’expérience ou aller complètement au ­delà de ces limites pour donner à leurs produits ou services une autre dimension, où des expériences riches de sens existent déjà.

Prenez soin de vos clients, ne les contrôlez pas

Dans un monde où les clients peuvent exprimer ce que bon leur semble à un assistant d’IA vocal, il est impossible de contrôler la totalité de leur expérience. Prendre soin des clients est donc la meilleure alternative. Vous les aidez ainsi à laisser de côté le superflu et démontrez votre capacité à rassembler le meilleur dans une sorte de forfait d’abonnement, même si une partie de ce travail doit être effectuée par des tiers (comme une marque de niche ayant une expertise bien précise dans un domaine donné).

Supprimez toute distraction

Une fois la proposition de sens essentielle identifiée, automatisez tout ce qui peut distraire le client des éléments les plus riches de sens de l’expérience.

Fournissez une plateforme créatrice de sens

Les entreprises peuvent créer des plateformes technologiques créatrices de sens à un coût relativement bas. Dans le domaine du fitness, par exemple, les entreprises fournissent des plateformes permettant aux développeurs de créer des applications qui aident les utilisateurs à se sentir connectés grâce à différents types de données : meilleurs scores personnels, itinéraires crowdsourcés et compétitions « Roi de la colline ».

Article publié en anglais sur insights.sap.com


Références :

(1) Homi Kharas, The Unprecedented Expansion of the Global Middle Class: An Update (L’expansion sans précédent de la classe moyenne mondiale : mise à jour) (Brookings, février 2017), https://www.brookings.edu/research/the-unprecedented-expansion-of-the-global-middle-class-2/.

(2) Neel Burton, « Our Hierarchy of Needs » (Notre hiérarchie des besoins) Psychology Today, 23 mai 2012 (mis à jour en septembre 2017), https://www.psychologytoday.com/us/blog/hide-and-seek/201205/our-hierarchy-needs.

(3) Volker Hildebrand, Lori Mitchell-Keller, Christopher Koch et Polly Traylor, « Customer Relationship Status: It’s Complicated » (Statut de la relation client : c’est compliqué), Digitalist Magazine, 18 novembre 2015, https://www.digitalistmag.com/executive-research/customer-relationship-status-its-complicated.

(4) « The VOID – Glendale Galleria », Yelp, consulté le 2 octobre 2018, https://www.yelp.com/biz/the-void-glendale-galleria-glendale-2.

(5) « La Grande Aventure Lego », Warner Bros., consulté le
2 octobre 2018, https://www.warnerbros.com/lego-movie.
« Assassin’s Creed », 20th Century Fox Movies, consulté le
2 octobre 2018, https://www.foxmovies.com/movies/assassins-creed.

(6) Diana Olick, « Malls Hope to Get Back in Shape by Adding Gyms » (Les centres commerciaux espèrent retrouver la forme en installant des salles de gym), CNBC, 1er février 2018, https://www.cnbc.com/2018/02/01/malls-hope-to-get-back-in-shape-by-adding-gyms.html.

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Source de l’article sur sap.com

Les clients accordent de plus en plus d’importance à l’expérience qu’ils reçoivent plutôt qu’au prix ou au produit. C’est pourquoi l’expérience client est rapidement devenue une priorité absolue pour toutes les entreprises. En 2020, avec les livraisons à domicile et les mesures de distanciation sociale mises en place en réponse à la COVID-19, les consommateurs sont passés à la commande sur smartphone pour acheter de tout, de la soupe aux noix.

De plus en plus de personnes utilisent des applications mobiles pour faire venir de la nourriture à leur porte. Les consommateurs savent à quel point il est important d’utiliser ces applications, que ce soit dans le confort de leur propre maison ou sur le trajet domicile-travail. Avec des options de personnalisation pour enregistrer leurs préférences, des informations précises sur les prix et des offres à portée de main, les attentes des consommateurs en matière de rapidité et d’absence de friction pour passer leurs commandes n’ont jamais été aussi grandes.

Bien entendu, pour pouvoir offrir une excellente expérience au client à ce niveau, il faut investir dans des technologies et des processus intelligents.

Renforcer les capacités du commerce électronique

Ce n’est pas seulement un dépanneur et un détaillant de carburant typique, mais Casey’s General Stores Inc. (Casey’s) est la cinquième plus grande chaîne de pizzas d’Amérique, avec plus de 19 millions de pizzas servies chaque année. En développant des liens communautaires solides, la marque est intégrée au tissu des petites villes du Midwest, offrant un service de proximité 24 heures sur 24, soutenant des causes importantes et célébrant les héros locaux.

Si la marque a su gagner des adeptes, Casey’s devait faire plus avec ses systèmes de commande et de paiement en ligne. Ils ont été construits sur des logiciels vieillissants qui n’ont pas su suivre le rythme de l’époque, ce qui a eu pour conséquence une expérience client en ligne qui n’était pas à la hauteur de l’essence de la marque, hyper pratique et axée sur la communauté.

Ainsi, dans le cadre de sa transformation numérique, il était non seulement essentiel pour Casey’s de renforcer ses capacités en matière de commerce électronique, mais il lui fallait aussi mettre l’expérience du client au premier plan et répondre plus rapidement aux changements du marché.

Pour ce faire, elle a dû utiliser des technologies intelligentes pour créer une application pratique pour smartphone et un site Web mobile afin de rationaliser les commandes par téléphone portable, ce qui a permis aux habitants de ces villes du Midwest de prendre leurs pizzas préférées très facilement et rapidement. En même temps, dans le but de l’aider à atteindre de nouveaux niveaux de confort, Casey’s a conçu un programme de fidélisation des clients.

citation de Art Sebastian, VP de Casey's

Rationalisation des processus de commande et de paiement

Pour rationaliser le processus de commande et de paiement en permettant aux clients de payer en ligne, Casey’s a déployé les solutions SAP Commerce Cloud et SAP Customer Data Cloud du portefeuille SAP Customer Experience. L’application mobile permet aux clients de passer des commandes de ramassage ou de livraison, de définir une carte de crédit par défaut pour le paiement, de personnaliser les commandes de pizza, de trouver un magasin, de parcourir le menu, de suivre les commandes, de réorganiser les favoris et de vérifier le prix du carburant.

Dans les cinq mois qui ont suivi son lancement, Casey’s a généré environ 65 % de ses revenus numériques grâce à l’application et 30 % supplémentaires grâce au Web mobile.

En lançant son premier programme de fidélité numérique, Casey’s Rewards, sur SAP Customer Data Cloud, Casey’s a organisé les données, le consentement et les préférences des clients et les a reliés directement à ses applications sur SAP Commerce Cloud. D’un seul coup, Casey’s est en mesure de récompenser sa légion de fans avec des offres à valeur ajoutée, tout en l’aidant à mieux connaître leurs besoins – ce qui lui permet en fin de compte de proposer des expériences qui dépassent ces besoins.

Une évolution rapide à l’époque de COVID-19

L’investissement de Casey dans les technologies intelligentes a également permis à ses magasins de rester ouverts pendant la période de COVID-19 et à l’entreprise d’avancer plus rapidement que jamais. Pour répondre aux attentes des clients pendant cette période, Casey’s a donné la priorité aux livraisons sans contact, s’est associé à un service de livraison tiers, a élargi la gamme de produits de marchandises générales disponibles en ligne et a lancé un service de livraison en bordure de trottoir.

Pour en savoir plus sur la transformation numérique de Casey’s, nous avons rencontré Art Sebastian, vice-président de Digital Guest Experience chez Casey’s à SAPPHIRE NOW Converge. Dans cette interview de quatre minutes, il décrit comment le détaillant de la supérette a fait de l’expérience client un avantage concurrentiel. Pour en savoir plus, consultez l’étude sur la transformation de l’entreprise, « Casey’s : Building True Customer Loyalty Over Pizza ».

Article publié en anglais sur blogs.sap.com

 

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Source de l’article sur sap.com


SAP va consacrer 5% de ses dépenses annuelles auprès d’entreprises sociales et de fournisseurs issus de la diversité d’ici 2025, l’équivalent de 60 millions de dollars par an.

SAP invite les entreprises de tout secteur à rejoindre le mouvement et à acheter davantage de biens et de services auprès de ce type d’organisations.

WALLDORF — SAP SE (NYSE : SAP) a annoncé aujourd’hui le lancement de « 5 & 5 by ’25 », une initiative dont l’objectif est de réaliser 5 % de ses dépenses auprès d’entreprises sociales et de fournisseurs issus de la diversité d’ici 2025. En fixant cet objectif, SAP souhaite montrer l’exemple et inciter les entreprises du monde entier à acheter davantage de biens et de services auprès de fournisseurs dont les actions et les valeurs ont du sens,  et ainsi de produire un impact collectif positif sur les sociétés dans lesquelles elles mènent leurs activités.

Selon la Banque mondiale, les dépenses consacrées aux achats à travers le monde en 2019 s’élevaient au minimum à 14 000 milliards de dollars. En redirigeant ne serait-ce qu’une petite partie de ces dépenses vers des entreprises sociales agréées et des fournisseurs issus de la diversité, les entreprises ont le pouvoir de s’attaquer à certains des problèmes sociaux et environnementaux les plus préoccupants à l’échelle mondiale.

D’après les premiers projets pilotes effectués sur certains marchés, SAP estime pouvoir consacrer chaque année jusqu’à 60 millions de dollars de ses dépenses mondiales adressables aux entreprises sociales et aux fournisseurs issus de la diversité d’ici 2025. Chez les sociétés de l’indice boursier DAX, ce chiffre est estimé à environ 2,5 milliards d’euros, tandis que pour les sociétés de la liste Fortune 500 aux États-Unis, les estimations s’élèvent à 25 milliards de dollars.

Membre du Conseil d’administration de SAP, à la tête de l’entité Customer Success et récemment nommée Global Buy Social Ambassador de Social Enterprise UK, Adaire Fox-Martin a annoncé l’initiative « 5 & 5 by ’25 » lors de l’événement Procurement Reimagined organisé par SAP à Singapour.

« Toutes les entreprises, dans tous les secteurs, ont besoin de réaliser des achats », a expliqué Mme Fox-Martin. « Nous avons tous besoin de savon dans nos sanitaires, de services d’aménagement pour nos bureaux, de produits alimentaires et de boissons dans nos cafétérias, de services de marketing et de fournitures de bureau. Ces produits et services, parmi tant d’autres, peuvent tous être acquis auprès d’entreprises sociales et de fournisseurs issus de la diversité. Cet argent, nous sommes de toute façon amenés à le dépenser. Pourquoi ne pas l’utiliser auprès de fournisseurs dont les actions ont également un impact sur le plan social ? »

Les entreprises sociales sont des entreprises qui, de par leur culture et leurs opérations, cherchent résolument à changer le monde. Elles sont similaires à d’autres entreprises viables sur le plan commercial, mais présentent trois différences essentielles : elles sont fondées et gouvernées sur la base d’une mission sociale ou environnementale clairement définie ; elles réinvestissent la majorité de leurs bénéfices dans cette mission ; et elles sont contrôlées selon le principe de majorité exclusivement dans l’intérêt de cette mission. Un fournisseur issu de la diversité est une entreprise détenue et exploitée à 51 % ou plus par une personne ou un groupe de personnes issue(s) d’une population traditionnellement sous-représentée ou défavorisée.

« Avec nos clients, nos partenaires, nos fournisseurs issus de la diversité et les entreprises sociales, nous nous sommes fixé pour objectif de développer les achats socialement responsables là où les infrastructures le permettent, et nous avons l’intention de mettre sur pied les infrastructures nécessaires et de renforcer les capacités partout ailleurs », a ajouté Mme Fox-Martin. « Nous invitons toutes nos parties prenantes à en apprendre davantage sur le sujet et à participer avec nous à cette initiative, mais aussi à tracer la voie et à donner l’élan pour concrétiser cette ambition et trouver une meilleure façon de se développer. »

Pour en savoir plus, consultez l’article (en anglais) « Achats socialement responsables :trouver une meilleure façon de se développer » par Adaire Fox-Martin.

À propos de l’initiative « 5 & 5 by ’25 »

L’initiative « 5 & 5 by ’25 » a été développée par SAP pour encourager les entreprises de tous les secteurs à consacrer une plus grande part de leurs dépenses adressables à des fournisseurs socialement engagés et issus de la diversité. En rejoignant cette initiative, les entreprises acceptent de formaliser leur exploration des achats socialement responsables, notamment en établissant des partenariats avec des intermédiaires de premier plan, en adoptant des politiques d’achats socialement responsables, en consommant des biens et des services auprès de fournisseurs dont les actions et les valeurs ont du sens, et en élargissant leur engagement auprès d’autres entreprises sociales et fournisseurs issus de la diversité. L’objectif est de réaliser, d’ici 2025, 5 % des dépenses annuelles d’achats adressables auprès d’entreprises sociales et de fournisseurs issus de la diversité et, ce faisant, d’avoir un impact significatif sur les inégalités sociales et les enjeux environnementaux. « 5 & 5 by ’25 » fait partie du programme One Billion Lives de SAP, qui s’attache à promouvoir une plus grande intégration de l’entrepreneuriat social dans l’économie mondiale. Pour plus d’informations, consultez la page 5 & 5 by ’25.

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Source de l’article sur sap.com