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MUNICHSAP SE (NYSE : SAP) a annoncé aujourd’hui que le FC Bayern Munich, le club de football le plus titré d’Allemagne, a mis en œuvre avec succès la solution SAP SuccessFactors Employee Central pour standardiser et optimiser ses principaux processus de ressources humaines (RH) et améliorer l’expérience de ses plus de 1 000 employés.

En s’appuyant sur le service SAP Model Company pour accélérer le déploiement de la solution, le FC Bayern a bénéficié de processus préconfigurés et de best practices prêts à l’emploi.

Intégré à la suite SAP SuccessFactors Human Experience Management Suite, SAP SuccessFactors Employee Central est un système d’information RH basé sur le cloud, que les entreprises utilisent pour gérer leur personnel grâce à toutes les fonctions RH essentielles.

Avec la mise en œuvre de SAP SuccessFactors Employee Central, le FC Bayern est passé de feuilles de calcul et processus manuels à une plate-forme entièrement intégrée. Cela permet de mettre en place des processus RH cohérents et numériques et, à l’avenir, d’unifier les données relatives au recrutement, à l’intégration et à la gestion des performances. En outre, des rapports peuvent être générés facilement et efficacement pour optimiser la planification et l’analyse des effectifs.

« La solution SAP SuccessFactors Employee Central permet à l’équipe RH du FC Bayern de faire ce qu’elle fait le mieux – se concentrer sur les ressources humaines stratégiques et à valeur ajoutée plutôt que sur les processus transactionnels », a déclaré Jan-Christian Dreesen, vice-président exécutif du FC Bayern. « Avant de mettre en œuvre la solution, nous travaillions avec des processus lourds et fastidieux. L’intégration nous a permis non seulement de numériser nos processus, de les retravailler et d’innover. En créant un environnement plus efficace, notre équipe RH peut se focaliser sur nos employés et leur offrir la meilleure expérience possible. »

SAP SuccessFactors Employee Central comprend des options en libre-service pour favoriser l’engagement des employés du FC Bayern. L’application SAP SuccessFactors Mobile offre à tous les employés – y compris les joueurs, les entraîneurs, les managers et les employés de bureau – une expérience mobile moderne et intuitive. Ils peuvent accéder à leurs données personnelles et mettre à jour leur profil employé, ainsi que saisir, approuver et enregistrer les absences telles que les vacances – autant de tâches qui nécessitaient auparavant de faire appel aux RH pour obtenir leur accord.

« Avec la mise en œuvre de SAP SuccessFactors Employee Central, c’est avec enthousiasme que nous ouvrons un nouveau chapitre dans le partenariat de longue date entre le FC Bayern et SAP », a déclaré Andreas Jung, membre du conseil d’administration du FC Bayern.

« Depuis 2014, SAP est un partenaire platine officiel du FC Bayern. Nous travaillons ensemble à des solutions innovantes qui aident le club à atteindre ses objectifs sportifs et commerciaux », a déclaré Thomas Saueressig, member of the SAP Executive Board, Product Engineering. « La mise en service de SAP SuccessFactors Employee Central étend ce partenariat à la gestion de l’expérience humaine, permettant au club sportif d’accélérer encore sa croissance et de rester compétitif à tout moment, tant sur le terrain qu’en dehors. »

Pour plus d’informations, visitez la section « SIRH & Gestion RH » de SAP.com et le SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter @SAPNews.

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WALLDORF et BERLIN – SAP SE (NYSE: SAP) et Signavio GmbH annoncent avoir conclu un accord portant sur l’acquisition par SAP, de Signavio, un leader dans le domaine de l’intelligence des processus métiers et de la gestion des processus.

L’association de Signavio avec l’unité Business Process Intelligence de SAP renforcera la capacité de SAP à aider les entreprises à comprendre, améliorer, transformer et gérer rapidement leurs processus métier à grande échelle. La transaction devrait être conclue au premier trimestre 2021, après approbation réglementaire.

« Dans le monde mouvant d’aujourd’hui, les entreprises de toutes tailles ont besoin de pouvoir adapter rapidement leurs processus métier aux conditions du marché en évolution rapide », a déclaré Luka Mucic, chief financial officer et member of the Executive Board de SAP SE. « Je ne saurais trop insister sur l’importance pour les entreprises de pouvoir concevoir, comparer, améliorer et transformer les processus métiers au sein de toute l’organisation pour développer de nouveaux potentiels et business models. La combinaison de l’intelligence des processus métier de SAP et de Signavio crée une suite de transformation de processus métier de bout en bout et de premier plan pour soutenir nos clients dans les exigences requises pour acquérir un avantage concurrentiel. SAP et Signavio partagent la même culture et les mêmes valeurs, et nous sommes ravis de nous associer à eux pour mettre en œuvre notre stratégie Entreprise Intelligente. »

La Business Process Intelligence est un élément clé de la nouvelle offre RISE with SAP . L’offre aide les entreprises à effectuer une transformation globale de leur business, pour les rendre résilientes, agiles et intelligentes. Cela inclut l’accompagnement au déplacement des processus ERP sur site vers le Cloud.

Cloud native et intégrée, la suite de gestion des processus de Signavio complète parfaitement la solution existante de Business Process Intelligence de SAP. Avec Signavio, SAP peut désormais fournir une suite holistique et flexible de solutions de transformation de processus permettant aux clients de transformer leurs processus métier de bout en bout. Cela comprend la conception des processus métier, l’analyse comparative, l’analyse des écarts, l’amélioration et la gestion des changements de processus. La suite permettra également aux clients de surveiller le succès à long terme de ces changements de processus.

Accéder à l’intégralité du communiqué de presse

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Combler les lacunes en matière de compétences est une responsabilité permanente des ressources humaines. Et à mesure que les conditions sociétales, business et macroéconomiques changent, les RH doivent réimaginer la force de travail de demain. Car le sol se dérobe constamment sous leurs pieds. Aujourd’hui, avec la crise du COVID-19, la vitesse à laquelle les RH doivent déployer les initiatives d’upskilling et de reskilling va en s’accélérant.

Upskilling et reskilling, de quoi parle-t-on ?

  • Définition de l’Upskilling (en français, « perfectionnement professionnel ») : former les salariés dans le but d’améliorer leurs performances dans leurs fonctions actuelles.
  • Définition du Reskilling (en français « requalification ») : former les salariés en vue d’une nouvelle fonction, en particulier lorsque les objectifs de l’entreprise ont changé.

La formation, une priorité renforcée par le contexte COVID-19

Malheureusement, il n’existe aucun plan reproductible pour une formation réussie. Chaque entreprise a des besoins spécifiques qui évoluent avec le temps. Dès mars 2020, les e-commerçants se sont empressés de recruter et de former (upskilling), afin de répondre à la hausse de la demande. Les services publics étaient, quant à eux, déjà engagés dans le reskilling. Avec l’introduction de technologies intelligentes permettant d’automatiser certaines tâches répétitives, ils ont pu donner une responsabilité accrue ou plus stratégique à leurs employés. Mais bien que l’intensité et la nature des efforts de formation aient varié d’un secteur à l’autre, le constat est général : le COVID-19 a forcé la main à toutes les entreprises. Reskilling et upskilling ne sont plus des mots à la mode : les efforts doivent être entrepris, et rapidement.

De nombreuses études montrent que les entreprises mènent une vraie guerre des talents, recrutant agressivement des candidats aux compétences identiques ou similaires. Pour certains postes il pourrait pourtant être plus économique, rapide et efficace de former les collaborateurs. Afin qu’ils puissent occuper des fonctions supérieures ou entièrement nouvelles. Mais il ne s’agit pas de choisir entre recruter et former. Ce qu’il faut, c’est un recrutement efficace associé à une stratégie de formation. Car investir dans les collaborateurs apporte plusieurs avantages : une réduction du turn-over ainsi qu’une amélioration de la productivité et de l’innovation.

HXM: The Importance of Continuous UpSkilling and Reskilling

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HXM: The Importance of Continuous UpSkilling and Reskilling

Aujourd’hui l’urgence est plus forte que jamais. S’engager dans l’upskilling et le reskilling peut être la clé de la survie à la crise du COVID-19. Aussi bien pour les jeunes entreprises qui doivent réussir rapidement que pour les organisations installées qui recherchent de la stabilité et une croissance à long terme. La difficulté étant que, maintenant et dans un avenir prévisible, les RH devront trouver le juste équilibre entre embauches, formations et licenciements. Et ce à chaque heure de la journée.

Comprendre les besoins organisationnels et être capable d’y répondre rapidement sera la clé, non seulement de la carrière des professionnels RH mais aussi du succès des organisations qui les entourent.

Du télétravail à l’upskilling et reskilling

Arrêtez-vous un instant et pensez à quel point tout a changé en seulement quelques mois. À la fin de l’année 2019, si un DRH était entré dans le bureau du PDG et lui avait recommandé de commencer à planifier un futur avec des salariés majoritairement en télétravail, on l’aurait sans doute sèchement renvoyé à son bureau. Aujourd’hui le télétravail est devenu normal, si ce n’est la norme.

Mais le principal enseignement est que les organisations se sont révélées plus agiles et réactives que prévu. Et si chacun a été capable d’adopter le télétravail tout en restant efficace, pourquoi les entreprises n’arriveraient-elles pas à former les employés à de nouvelles compétences, rapidement, afin d’atteindre les objectifs fluctuants de l’organisation ? L’upskilling et le reskilling dans un environnement de travail à distance est un défi mais également une nécessité. Et gardons aussi à l’esprit que l’apprentissage « sur le tas », par la pratique, fera partie du chemin. En effet, trouver l’équilibre demande aujourd’hui une adaptation continue, voire même à la volée.

Pensez-y de cette manière : il a fallu des décennies avant que les téléphones portables ne puissent être glissés dans nos poches. Puis le smartphone est arrivé. Aujourd’hui, une application ou un jeu mobile peuvent devenir viraux à l’échelle mondiale, en quelques minutes.

La fonction RH connaît la même évolution rapide. Il y a quelques décennies le passage des documents papier aux fichiers informatiques s’opérait lentement. Aujourd’hui les RH ont délégué les tâches répétitives à des intelligences artificielles ou à des portails en ligne et élaborent des stratégies d’e-learning et de modélisation des effectifs. Si leur fonction est d’aligner les objectifs de formation sur les besoins de l’entreprise, alors les RH ont, comme tout le monde, besoin d’upskilling. Une stratégie de formation pertinente et agile, prête à être déployée à tout moment, est la carte que les professionnels RH ont en main avec leur siège à la table des décisions.

L’avenir du travail est là

Pour les RH, le défi n’est pas simplement d’identifier les lacunes en matière de compétences et de décider s’il faut embaucher ou former. Il s’agit de quantifier l’impact, revoir le plan d’action, puis de quantifier encore, etc. Dans un monde où chaque décision repose sur un calcul de ROI, même subjectif, il est essentiel pour les RH de relier les initiatives de formation aux objectifs immédiats et long terme de l’entreprise. Prenons deux exemples :

  • Delaware Consulting (1700 employés), en implémentant des solutions logicielles de formation robustes, a pu réaliser des économies grâce à un suivi plus précis de ses dépenses. Delaware a ainsi réduit de 5 % les coûts liés aux annulations de formations et de 12 % le temps consacré à l’administratif RH.
  • Newcrest Mining, en Australie, a utilisé des solutions logicielles similaires pour économiser 1,6 million de dollars US en frais de formation au cours des six premiers mois et a également dégagé 3,2 millions de dollars d’économies par gains de productivité la première année.

Le défi, cependant, est le temps : quand et comment les employés peuvent-ils être formés ? C’est particulièrement délicat lorsque l’on sait qu’un employé dispose en moyenne de 14 minutes de temps libre par semaine pour se former. Trouver un moyen d’ajouter une formation à la journée de travail est plus compliqué que de décider s’il faut ou non former. De plus, toute initiative d’upskilling ou de reskilling doit plus largement s’inscrire dans une planification stratégique des effectifs.

Cela signifie que certains salariés seront sélectionnés pour développer de nouvelles compétences quand d’autres seront laissés de côté. Les employés sont intelligents et savent ce qui se passe autour d’eux. C’est pourquoi les initiatives de formation doivent être accompagnés d’un plan de communication solide. Afin que les rumeurs, notamment sur les réductions d’effectifs, ne s’ébruitent pas. Toute stratégie de reskilling ou d’upskilling doit également être associée à un plan de communication interne solide. Un domaine où les RH assument une responsabilité croissante. Dans le cadre d’un vaste effort à l’échelle de l’entreprise, il est essentiel de veiller à ce que chacun, qu’il participe ou non à l’effort de requalification, comprenne les objectifs de l’organisation et la manière dont son travail sera affecté.

Les pièges et obstacles de l’upskilling et du reskilling

Il est également important de garder en tête différents scénarios. Comme la possibilité pour les salariés requalifiés d’exporter leurs nouvelles compétences ailleurs, voire chez un concurrent. Le turn-over est toujours une préoccupation, même en temps normal. Mais si l’attrition peut affecter le ROI associé à un effort de reskilling ou d’upskilling, l’alternative consistant à ne pas former, et donc à ne pas répondre à l’évolution du contexte, serait bien pire.

C’est pourquoi il est essentiel de relier directement les efforts de formation aux résultats de l’entreprise. Par exemple : si l’objectif est de stimuler les ventes en formant de nouveaux commerciaux, il faut mesurer la hausse des ventes. Cherchez des partenaires dans l’entreprise qui peuvent s’appuyer sur des outils ou localisez des parties prenantes pour vous aider à mesurer l’impact de votre travail. Les craintes d’attrition ou de perte de temps équivalent, en fin de compte, à une paralysie par l’analyse. S’engager dans le reskilling et l’upskilling est une question de capacité de l’entreprise à faire face à la concurrence. C’est pourquoi les RH ne doivent pas être considérées comme une entité administrative mais comme une entité pouvant s’attaquer de front aux déficiences de l’entreprise.

Être compétitif dans le contexte business moderne exige à la fois de réimaginer la fonction RH et de créer une culture de l’apprentissage. L’un ne va pas sans l’autre. Les efforts de formation exigent également des RH qu’ils aient une stratégie claire sur les personnes qui recevront de nouvelles compétences et sur ce qu’elles sont censées apporter à l’avenir. Enfin, il faut tenir compte de la manière dont la technologie peut évoluer et avoir un impact sur l’efficacité de tout effort de formation. Un système de gestion de la formation (LMS) moderne peut vous aider à atteindre vos objectifs d’upskilling et de reskilling.

Alors que la pandémie de COVID-19 est un facteur de complication, il faut considérer la formation comme un facteur clé de stabilité et de croissance à long terme. Qui aide à pivoter face aux défis. Le COVID-19 a accéléré les tendances déjà en place et a mis en évidence ce que les entreprises savaient déjà : les organisations dont vous entendrez parler comme des « success stories » dans quelques années seront celles qui se seront activement engagées dans l’upskilling et reskilling de leurs salariés en vue des défis à venir. En raison de la pandémie, les entreprises doivent simplement évoluer à un rythme plus rapide. Et pour ce faire, elles doivent, de même que leurs employés, être plus « smart ».

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

De la conception à l’utilisation, le numérique permet de suivre l’ensemble du cycle de vie d’un produit. Mais aussi de transformer la relation entre le fournisseur et ses clients, en proposant des innovations comme le Product as a Service.

Le jumeau numérique est une réplique numérique d’un objet, processus ou système. Alimenté en temps réel par des données venant de son jumeau physique, le jumeau numérique permet de disposer d’informations clés sur le dispositif ou service simulé. L’apport de techniques de Machine Learning ouvre même les portes du prédictif.

De la simulation classique au jumeau numérique

L’utilisation de la simulation numérique et de modèles 3D n’est pas nouvelle, mais cet usage était auparavant limité aux bureaux d’études.

« Le jumeau numérique existe dans l’ingénierie depuis une bonne vingtaine d’années », confirme Denis Goudstikker, en charge du Business Development du PLM et du SLM chez Siemens Digital Industries Software. « Dans l’industrie automobile, la simulation numérique a permis de raccourcir le temps de mise sur le marché d’un nouveau véhicule. Il y a trente ans, on jetait 100 véhicules contre un mur pour pouvoir assurer un certain niveau de sécurité. Il y a vingt ans, on n’en jetait plus que 5, après en avoir jeté 5000 dans un autre mur… virtuel. » Une avancée qui s’est traduite par un meilleur niveau de sécurité et une accélération du processus de conception des voitures.

Avec le jumeau numérique, les barrières sont éliminées entre l’ingénierie, la production et la maintenance. Et même au-delà, puisque cette continuité numérique peut se prolonger hors des murs de l’entreprise.

« Le constructeur nous fournit des définitions numériques de son produit », témoigne Eric Miralles, CIO de SNOP, équipementier automobile de premier plan. « À partir de cette définition, nous fabriquons les outils qui vont nous permettre d’emboutir les tôles suivant ce cahier des charges. Il faut pour cela que la chaîne allant de la conception à la production soit numérisée. La modélisation numérique de l’ensemble de la chaîne permet d’avoir une maîtrise globale des processus. »

Le jumeau numérique offre également des opportunités après la phase de fabrication.

« Si le jumeau numérique est né dans le milieu industriel, la capacité de connecter de façon massive des objets distribués aux clients, au travers de l’IoT, permet de développer de nouveaux services, mais aussi de redéfinir la relation entre client et fournisseur », analyse Luca Ammassari, Group Deputy Chief Information Officer in charge of Applications chez Engie.

Quels usages clés pour les jumeaux numériques ?

De la conception d’un produit à son utilisation, en passant par la production, le jumeau numérique permet de suivre l’ensemble du cycle de vie d’un produit. Mais également de réduire le time to market de nouvelles offres, la simulation numérique permettant d’accélérer la conception, le test et l’industrialisation des produits.

« Le jumeau numérique permet de répondre à des enjeux économiques et de recherche d’efficacité dans la production, analyse Eric Miralles. Sa mise en place nécessite toutefois une transformation numérique, mais aussi une transformation des organisations et des hommes. Il faut savoir saisir cette nouvelle opportunité par étapes et accompagner les équipes dans ce changement. »

« Le jumeau numérique est également important pour identifier et comprendre le comportement du matériel, poursuit Denis Goudstikker. Et ainsi optimiser son design et sa maintenance. Analyser le comportement acoustique d’une turbine permet par exemple de détecter tout changement dans son fonctionnement. Des modèles prédictifs vont alors déterminer si et quand elle tombera en panne. »

Les usages dans le secteur de la maintenance commencent à devenir communs, « mais il y a une chose à laquelle on s’attendait moins : le packaging d’objets et de services, explique Luca Ammassari. Le constructeur d’une turbine va proposer avec son équipement des services prédictifs basés sur l’utilisation d’un jumeau numérique. Il va s’appuyer sur les informations issues de turbines installées dans le monde entier qui seront comparées en temps réel au comportement de votre turbine, pour vous donner des probabilités de défaillance ou de perte de performance. »

Oser le passage au jumeau numérique

Construire le jumeau numérique de l’ensemble d’une ligne de production n’est pas toujours possible. Certains équipements anciens, amortis sur des dizaines d’années, ne sont en effet pas équipés de capteurs et ne peuvent parfois pas l’être.

La bonne pratique consiste à avancer par étapes, sur des projets ciblés, au fort ROI. « Il faut mener ses projets selon une approche agile, par petits pas et construire ainsi progressivement de la compétence en interne, explique Luca Ammassari. Certains projets auront des résultats décevants, mais cela ne doit pas remettre en cause la démarche. »

Difficile de savoir de quoi demain sera fait en matière d’innovation, constate Luca Ammassari, « c’est pourquoi notre objectif est d’accompagner les entreprises en leur fournissant des fondations capables d’intégrer ces innovations. Notre but n’est pas de proposer des offres clé en mains, mais une plate-forme permettant de sortir de la supply chain classique pour créer un nouvel écosystème. »

Une logique de partenaires qui est essentielle pour Eric Miralles. « C’est cet assemblage de partenaires qui nous permettra de digitaliser l’ensemble de notre supply chain », confirme-t-il. Et de conclure : « La crise que nous traversons aujourd’hui est un accélérateur et il y a beaucoup d’opportunités, très positives, qui nous permettent d’accéder à ces innovations. »

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Source de l’article sur sap.com

WALLDORF – Pour la 14ème année consécutive, SAP SE (NYSE : SAP) a été désignée leader du secteur des logiciels au Dow Jones Sustainability Indices (DJSI). SAP a dépassé ses scores des années précédentes et a creusé l’écart par rapport à ses pairs du secteur, malgré les défis causés par la pandémie.

SAP a obtenu 74 points sur 100 (2019 : 69) au score global, soit cinq points de plus que l’entreprise classée en deuxième position. SAP a amélioré sa valeur de percentile dans 15 des 20 catégories par rapport à 2019, notamment en matière de « sécurité de l’information/cybersécurité et disponibilité des systèmes », d’« attraction et de rétention des talents » et de « rapports environnementaux ».

Cette évaluation souligne les efforts déployés par SAP pour mettre en place une stratégie de cloud fiable et conforme, en valorisant les employés comme son atout le plus important et en améliorant ses capacités de reporting interne. Cette année, 83 entreprises du secteur des logiciels ont participé, soit plus du double par rapport à l’année dernière. SAP a également amélioré sa notation dans les trois dimensions principales :

  • Gouvernance et économie : 65 (2019 : 61)
  • Environnement : 87 (2019 : 83)
  • Social : 81 (2019 : 73)

« Nous sommes fiers de notre classement au Dow Jones Sustainability Indices. Cela nous prouve une fois de plus que nous avons une responsabilité particulière en tant que leader de la durabilité dans l’industrie du logiciel », a déclaré Luka Mucic, directeur financier et membre du conseil d’administration de SAP SE. « Cela nous pousse à redoubler d’efforts auprès de nos clients pour leur fournir des solutions destinées à leur transformation durable, afin que nous puissions tous ensemble construire une économie plus inclusive et plus régénératrice ».

Créés en 1999 par la société de gestion d’investissements RobecoSAM, les DJSI sont les plus anciens indices de référence mondiaux en matière de durabilité. Ils sont cotés en bourse depuis leur création. Basé sur l’évaluation de la durabilité des entreprises (Corporate Sutainability Assessment, CSA) de SAM, le DJSI fournit une analyse des performances économiques, environnementales et sociales des entreprises. Ils comprennent des critères de durabilité généraux ainsi que spécifiques à chaque secteur pour chacune des 60 industries définies selon l’Industry Classification Benchmark (ICB).

En 2020, la solide performance environnementale, sociale et de gouvernance (ESG) de SAP a également été reconnue par d’autres notations ESG. SAP est restée présente dans la série d’indices FTSE4 Good Index et dans les indices Euronext Vigeo Eiris (Europe 120 et Eurozone 120). SAP a de nouveau été reconnue comme un leader ESG par MSCI Inc. (anciennement Morgan Stanley Capital International), qui lui a attribué la meilleure note, soit « AAA ». Et pour la première fois, SAP a figuré dans le nouveau classement du Wall Street Journal des 100 entreprises les mieux gérées sur le plan du développement durable.

Reconnaissant l’importance croissante des performances ESG non seulement pour son activité, mais aussi pour la réussite de ses clients, SAP fait du pilotage et du reporting holistique un domaine d’action essentiel. Grâce à son programme Climate 21 et à d’autres programmes axés, par exemple, sur l’économie circulaire, SAP propose des offres qui aident ses clients à améliorer leurs propres performances en matière de développement durable. Le rapport interne de SAP reflète sa conviction que les entreprises peuvent mesurer leur succès de manière plus globale grâce à de nouvelles pratiques comptables qui relient les impacts économiques, sociaux et environnementaux. SAP a également rejoint des initiatives internationales telles que celles de la Value Balancing Alliance e.V. et des initiatives locales telles que QuartaVista, un projet financé par le gouvernement allemand qui vise à standardiser les mesures générales de l’impact des entreprises.

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Source de l’article sur sap.com

Les apports de l’industrie 4.0 permettent de rendre les entreprises plus agiles, et aptes à répondre aux enjeux d’hyperpersonnalisation des produits, ainsi qu’aux aléas, économiques, sanitaires ou climatiques.

L’industrie doit faire face aujourd’hui à deux défis clés :

  • L’hyperpersonnalisation des offres induite par la montée de l’économie d’expérience, qui pousse les entreprises à aller de la mass production vers la mass customization.
  • La multiplication des changements brusques dans les habitudes de consommation, provoquée par des crises sanitaires, économiques et bientôt climatiques.

L’industrie 4.0 entend répondre à cette double problématique en rendant la production plus agile. Basiquement, l’industrie 4.0, c’est la transformation numérique appliquée au monde de l’industrie, avec une digitalisation des processus de production. Digitalisation qui doit s’accompagner d’une collecte et circulation des données assurée en temps réel entre les sites de production et le SI de l’entreprise.

De la nécessité de disposer d’un socle solide

Des processus standards et une plate-forme robuste sont nécessaires. « Notre partenariat avec SAP remonte à 2007, lors du déploiement de l’ERP qui sert maintenant de socle à notre stratégie Industrie 4.0. Les notions de socle et de standardisation des processus sont très importantes, » témoigne Damien Régnier, Digital & Shopfloor Operation chez Faurecia.

Attention toutefois à ne pas faire de la standardisation des processus un facteur de réduction de la flexibilité. « Il y a un écart entre le monde de l’ERP et le « shop floor ». L’un a besoin de processus standardisés alors que l’autre demande un certain niveau de flexibilité. » C’est donc un équilibre entre agilité et efficacité qu’il faudra savoir trouver.

Tout n’est d’ailleurs pas forcément bon à digitaliser sur la chaîne de production. « Il faut partir du « pain point » pour trouver des sources de gain, du ROI. Cibler les bons processus avec les bonnes technologies, » analyse François-Xavier de Thieulloy, expert Industrie du Futur à la Direction de l’accompagnement chez Bpifrance.

Le MES, primordial sur les chaînes de production

« L’introduction d’un MES (Manufacturing Execution System, logiciel de pilotage de la production) a été une étape importante dans la digitalisation de nos processus de production », explique Alexandre Sizaret, responsable Production System Efficiency chez Airbus. « Notre MES, sur base SAP ME, est aujourd’hui déployé dans 280 stations de production à travers l’Europe et utilisé quotidiennement par 5000 collaborateurs. »

Un MES permet de faire remonter les données de production en temps réel, mais également de faire redescendre alertes, informations et décisions auprès des opérateurs. Alexandre Sizaret alerte toutefois sur les dangers d’une digitalisation à outrance des processus. « À vouloir trop enrichir le MES, nous avons fini par perdre des utilisateurs. Nous avons alors pris du recul pour retravailler l’expérience utilisateur, en partenariat avec les opérateurs et les chefs d’équipe. »

« La co-construction de la solution reste primordiale, confirme François-Xavier de Thieulloy. Il faut écouter les acteurs de terrain afin de pouvoir les embarquer dans le projet. »

Les règles d’une digitalisation réussie

Nous l’avons vu, pour disposer de données de qualité et en quantité suffisante, il faut tout d’abord disposer de fondamentaux solides, comme un ERP. Mais aussi un MES, pour descendre au plus près de la chaîne de production, ainsi que des technologies comme l’IoT qui vont faciliter la capture de données.

Il faut également savoir traiter ces données qui vont aider à la prise de décision (data to action) ou piloter directement des processus (data driven process). Des informations doivent également redescendre afin de faciliter le travail de l’opérateur. L’opérateur augmenté est un des atouts clés de l’Industrie 4.0.

Enfin, lorsque le volume de données devient suffisant, des techniques de Machine Learning et d’Intelligence Artificielle pourront être utilisées afin d’anticiper les aléas et d’améliorer la production ainsi que la maintenance des équipements.

Tout ceci nécessite toutefois un SI solide et complexe, qui n’est pas toujours à la portée des petites entreprises. « Les PME industrielles ont besoin de solutions très packagées, proposant un ROI rapide », confirme François-Xavier de Thieulloy.

D’autres défis à ne pas négliger

Alexandre Sizaret insiste par ailleurs sur la nécessité d’assurer une continuité digitale : « La data doit aller de l’ingénierie jusqu’à la production et vice versa. Savoir capter ce qui se passe sur le terrain permettra d’alimenter des jumeaux numériques avec précision. »

Damien Régnier milite pour sa part en faveur de solutions hybrides : « Il faut trouver le bon équilibre entre du tout cloud et du tout local, du tout standard et du tout spécifique, mais aussi du tout agile et du tout efficace. »

Enfin, François-Xavier de Thieulloy, alerte sur le besoin d’accélérer le rythme de transformation : « Nous aimerions passer rapidement de quelques dizaines d’entreprises qui franchissent le pas chaque année vers l’Industrie du Futur à quelques centaines. »


En savoir plus sur les solutions pour l’industrie 4.0, production


 

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Comment assurer des livraisons dans des délais toujours plus serrés, tout en maîtrisant son impact sur la société et la planète ? Une meilleure exploitation des données peut aider à allier les impératifs d’agilité, de résilience et de responsabilité environnementale et sociale.

Dans le secteur du transport, les impacts sociaux et environnementaux restent encore mal pris en compte. Et pourtant, les travaux du Grenelle II auraient dû favoriser l’émergence d’une industrie du transport plus vertueuse.

« Ce texte misait sur la bonne volonté des acteurs du secteur, mais sans mettre en place le minimum nécessaire de contrôles, d’obligations, voire de sanctions, regrette Philippe Mangeard, président et fondateur de l’agence de notation du transport TK’Blue. Résultat, moins de 15 % des opérateurs du secteur jouent aujourd’hui le jeu. »

Problème, les donneurs d’ordres que sont les entreprises oublient souvent le maillon transport dans leur calcul d’impact environnemental et sociétal. « Et pourtant, le transport peut représenter entre 10 % et 40 % de l’empreinte globale d’une entreprise », rappelle Philippe Mangeard.

Prendre en compte l’expérience client

Avec l’économie d’expérience, la logistique ne peut être mise de côté. En effet, même si une entreprise fait le maximum pour satisfaire son client, une livraison mal réalisée (retard, produit abîmé…) réduira tous ses efforts à néant. La problématique est d’autant plus difficile à résoudre que le client devient de plus en plus exigeant : il veut être livré rapidement, mais tout en disposant d’informations claires sur les méthodes de livraison, lui permettant ainsi – s’il le souhaite – d’opter pour un mode de transport responsable.

« Du côté des entreprises, des technologies permettent d’optimiser le chargement des camions, les trajets et les plans de transport, même si l’on peut regretter qu’elles ne soient pas encore très répandues, analyse Alexis Fournier, directeur AI Strategy chez Dataïku. Mais côté client, la technologie ne suffira pas : des initiatives globales sont nécessaires. »

Sous l’impulsion des clients, des acteurs de la grande distribution, certains industriels et des géants du web, comme Amazon, commencent à se pencher sur cette question. Un standard est en train de naître, lequel permettra de définir un cahier des charges précis dédié au transport.

Savoir exploiter les données

L’optimisation du transport passe plus que jamais par la data : les ordres de transport, bien évidemment, mais également des données de terrain, comme la position des camions, la télémétrie des véhicules, voire de l’IoT, pour suivre avec plus de précision encore les colis. Bien exploitées, ces données vont permettre de maximiser le remplissage des camions et d’optimiser les plans de transport.

À ceci s’ajoutent des données tierces : calendrier des vacances scolaires, données météo, conditions de circulation… « Ces informations viennent nourrir le jeu de données d’origine et permettent d’améliorer la qualité des prévisions », explique Alexis Fournier. Le Machine Learning peut alors aider à anticiper la variabilité de la demande ainsi que les difficultés de livraison. Et éviter ainsi que certains camions ne rentrent partiellement chargés, un phénomène redouté lors des opérations de livraison à domicile. »

Afin de maximiser le remplissage des camions, une logique de réseau doit également voir le jour, pour mettre en commun les capacités de transport, y compris entre compétiteurs. Mais pour concrétiser cette notion de mutualisation des moyens, il est impératif que la donnée circule.

Débloquer les données des opérateurs

Grâce à des solutions intelligentes, comme celles de SAP, Microsoft ou Dataïku, les entreprises sont prêtes pour une exploitation des données de transport. À condition toutefois que celles-ci remontent ! Les grands opérateurs du monde du transport tardent en effet à ouvrir leurs données.

Comment une entreprise peut évaluer ses émissions globales, si elle ne connaît pas le mode de transport utilisé ? Entre un camion et une camionnette, les nuisances peuvent en effet être multipliées par 40. De plus, 20 % à 30 % des camions tournent à vide et un pourcentage non négligeable de véhicules s’avère trop polluant face aux normes actuelles. Sans ces informations, le producteur, comme le consommateur, avancent à l’aveuglette.

Mais le marché s’est subitement renversé en 2020, avec une offre de transport devenue supérieure à la demande. L’occasion pour les donneurs d’ordres de choisir leurs transporteurs en fonction de leur capacité à faire remonter des données de terrain. « Libérez la data, plaide Philippe Mangeard. Les plates-formes de traitement des données sont en place et la conjoncture fait que les entreprises sont aujourd’hui en position d’exiger la remontée de ces informations de terrain. Lorsque ce sera le cas, tout le monde sera gagnant, prédit le président de TK’Blue. »


En savoir plus sur la gestion de la chaîne logistique


 

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Les solutions de données basées sur le cloud présentent clairement des avantages, notamment une meilleure flexibilité, une collaboration plus efficace, des coûts réduits et la possibilité de changer d’échelle. Mais ce n’est pas parce que vous voulez passer au cloud afin d’en tirer tous les avantages que vous devez faire une croix sur vos investissements sur site existants.

Une stratégie hybride permet de combiner « le meilleur des deux mondes ». Avec cette approche, vous pouvez évoluer vers le cloud tout en protégeant vos investissements sur site existants. C’est là qu’interviennent SAP Data Warehouse Cloud et SAP HANA Cloud. Ces deux solutions ouvertes se connecteront en toute transparence à votre environnement sur site actuel pour l’étendre au cloud.

Voyons les avantages que présente une stratégie hybride avec SAP Data Warehouse Cloud et SAP HANA Cloud.

Pourquoi choisir SAP HANA Cloud  ?

Gérez des volumes croissants de données tout en réduisant vos coûts de stockage

Le lac de données intégré de SAP HANA Cloud réduit les coûts de stockage et d’analyse des données. Aussi, faites des économies en y conservant vos données. Vous pourrez par la suite y accéder à distance quand vous le souhaitez. Peu importe le volume de vos données, le lac de données est conçu pour le prendre en charge.

Connectez-vous facilement à toutes les sources de données

SAP HANA Cloud est une solution de gestion multi-cloud qui simplifie l’accès aux données quelles qu’elles soient et quelle qu’en soit la source au moyen d’une passerelle unique. SAP HANA Cloud est directement utilisable avec ses agents de mise à disposition des données qui permettent de se connecter à plusieurs sources cloud et magasins d’objets. Quant à la fonctionnalité Smart Data Access (SDA), elle vous offre un accès aux données en temps réel pour tous vos systèmes sur site et cloud à l’aide de tables virtuelles, tout en vous permettant de maîtriser vos coûts.

Stockage In-Memory économique

Le lac de données de SAP HANA Cloud est une simple méthode pour réduire les coûts de stockage. Pour optimiser votre stockage In-Memory actuel sur site, vous pouvez transférer des charges de travail vers SAP HANA Cloud aux fins de traitement et virtualiser l’accès à vos données, tout en gardant vos données sur site.

Faites évoluer votre puissance de calcul ou votre stockage

Lorsque votre entreprise connaît une croissance rapide, vous devez faire changer l’échelle de votre stockage de données et de votre puissance de calcul en conséquence. Étendez rapidement votre productivité sur site sans avoir à investir dans du matériel supplémentaire. Avec SAP HANA Cloud, boostez vos capacités de stockage et améliorez votre puissance de calcul dès que vous en avez besoin. C’est aussi simple que ça !

Pourquoi Geberit a lancé une nouvelle stratégie hybride avec SAP HANA Cloud

À l’instar de nombreuses multinationales performantes, les données sont essentielles pour Geberit. Pour exploiter plus facilement ses données, le leader européen des produits sanitaires a placé SAP HANA Cloud au cœur de sa nouvelle stratégie hybride en matière de données. Grâce à cette solution, l’entreprise a pu rationaliser son environnement informatique et supprimer le besoin en middleware. Aujourd’hui, elle peut accéder à ses données en temps réel de manière centralisée pour prendre des décisions éclairées en temps voulu.

«SAP HANA Cloud sera le point central pour le reporting au sein notre environnement de données. C’est la version unique de vérité qui réunit toutes nos sources de données et qui nous fournit la visibilité dont nous avons besoin.»
– Marius Reck, directeur des applications de support informatique

Pourquoi choisir SAP Data Warehouse Cloud pour étendre votre environnement

Responsabilisez vos utilisateurs et donnez plus d’impact à votre travail

Responsabilisez vos utilisateurs afin qu’ils puissent connecter, modéliser et visualiser les données par eux-mêmes avec SAP Data Warehouse Cloud. Dotée d’une interface utilisateur intuitive et d’une couche métier, cette solution facilite la modélisation des données avec SQL ou un outil graphique par glisser-déposer. Les espaces, quant à eux, fournissent un environnement isolé dans lequel les utilisateurs peuvent modéliser et combiner des ensembles de données mondiaux avec des données locales, par exemple des fichiers CSV.

Grâce à la centralisation et à la virtualisation de SAP Data Warehouse Cloud, les utilisateurs peuvent accéder aux données dont ils ont besoin sans que l’équipe informatique ait à les répliquer et à les exporter. Vous avez besoin d’améliorer un modèle en vue de sa réutilisation dans l’entreprise ? Rien de plus simple. Votre équipe informatique peut y accéder à tout moment pour le mettre à jour, sans avoir à le reconstruire dans un environnement différent.

Répondez plus rapidement aux utilisateurs

Trouvez le bon équilibre entre gouvernance centrale sécurisée, demandes de changement à la volée et responsabilisation des utilisateurs grâce aux espaces de SAP Data Warehouse Cloud. Les espaces sont des environnements isolés dans lesquels les utilisateurs peuvent explorer les données. Dans la fonction de gestion des espaces, l’équipe informatique peut configurer et ajuster très facilement les connexions aux données, l’accès utilisateur et les quotas de calcul/stockage de chaque espace. Étant donné que chaque espace est isolé, les données restent gérées de manière centralisée et connectées en temps réel aux données sous-jacentes de l’entreprise. Dans leur espace, les utilisateurs ont la possibilité d’établir des connexions à de nouvelles sources de données, charger des fichiers locaux et modéliser des données avant de partager en temps réel les informations mises au jour avec d’autres utilisateurs sans affecter l’intégrité des données sous-jacentes.

Un point d’accès unique à toutes vos données

Sans entrepôt de données, il est difficile de garantir la qualité des données. Qui plus est, face à l’augmentation du volume et du nombre de sources de données, votre environnement se complexifie, ce qui peut nuire aux performances et aux analyses. Avec SAP Data Warehouse Cloud, l’équipe informatique peut consolider les données et tirer profit de services ETL/ELT, comme la mise en place de pipelines ou la transformation des données, pour créer une couche de données robuste et très performante.

L’équipe informatique ou les utilisateurs peuvent ensuite définir l’accès aux données en créant et en gérant des modèles de données complexes. En parallèle, la couche métier de SAP Data Warehouse Cloud mappe les concepts métier aux données sous-jacentes, afin qu’un plus grand nombre d’utilisateurs puissent comprendre et modéliser les données par eux-mêmes.

Atténuez la menace du Shadow IT

SAP Data Warehouse Cloud est une solution de bout en bout qui répond à tous les besoins de vos collaborateurs, depuis l’intégration jusqu’à la modélisation en passant par l’analyse, ce, afin de limiter le recours à des solutions ad hoc. Elle est également ouverte, ce qui permet d’y connecter les outils tiers dont vos collaborateurs se servent et de les gérer de manière centralisée. Peu importe la fonction ou le service de vos collaborateurs, SAP Data Warehouse Cloud vous permet de définir des autorisations claires et d’attribuer des rôles aux utilisateurs. Grâce aux espaces, l’équipe informatique dispose d’une visibilité à l’échelle de l’entreprise et peut gérer les différentes sources de données et connexions de manière centralisée.

Porsche étend SAP BW/4HANA vers le cloud avec SAP Data Warehouse Cloud

Porsche souhaitait entamer la transformation numérique d’un plus grand nombre de ses collaborateurs. Le groupe automobile avait déjà plusieurs systèmes en place, notamment des systèmes SAP (tels que SAP BW/4HANA et SAP ERP) et des systèmes tiers. Il ne souhaitait donc pas rajouter d’énièmes systèmes à cette organisation. Ce dont Porsche avait besoin, c’était d’une couche virtuelle unique pour connecter l’ensemble de ces systèmes et optimiser le flux des données. Le tout, dans un environnement géré pour éviter les éventuelles erreurs.

C’est ce qu’a permis l’extension de SAP BW/4HANA vers le cloud avec SAP Data Warehouse Cloud, entre autres choses.

«Nous avions besoin d’une solution qui réunirait l’ensemble de nos systèmes existants et qui ferait en sorte que chaque utilisateur final ait accès aux données dont il a besoin, et uniquement à ces données. SAP Data Warehouse Cloud était la solution idéale pour transformer notre architecture de données sans avoir à dépenser un montant colossal.»
– Markus Hartmann, directeur de la gestion des projets informatiques chez Porsche

Commencez petit et voyez grand

Chaque entreprise a une transition vers le cloud différente. Que l’objectif soit de responsabiliser les utilisateurs ou de créer une version unique de la réalité, SAP HANA Cloud et SAP Data Warehouse Cloud offrent la flexibilité dont vous avez besoin.

SAP HANA Cloud et SAP Data Warehouse Cloud ne nécessitent aucun investissement préalable, et c’est SAP qui s’occupe de la gestion et de la maintenance. Vous souhaitez évaluer vos besoins ? Pas de problème. Lancez plusieurs projets pilotes et voyez ce qu’il vous faut. C’est là l’atout de ces deux solutions : grâce à leur approche flexible, vous pouvez commencer petit et évoluer au fil du temps. Par la suite, vous pouvez mettre en place une solution hybride à long terme pour tirer tous les avantages du cloud et des systèmes sur site, ou passer intégralement au cloud. À vous de voir !

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Levallois-Perret, le 23 novembre 2020 – SAP France annonce accompagner Team Vitality dans sa digitalisation. Le leader européen de l’esport s’appuie sur les solutions de SAP pour accélérer son développement à l’échelle internationale.

Quand Big Data rime avec esport

Le milieu du sport peut être considéré comme un système complexe où interagissent de nombreux acteurs comme les sportifs, les sponsors, les entraîneurs ou encore les fans. Les objectifs d’un club consistent à la fois à augmenter les performances de ses équipes mais également assurer une rentabilité financière sur le long terme dans un environnement de plus en plus concurrentiel. Ce modèle se vérifie dans des sports très médiatisés et aux forts enjeux business comme dans le football, le basketball, le tennis, etc, mais se confirme aussi dans l’esport dont la croissance et l’attractivité ne font désormais plus aucun doute.

En tant que partenaire d’innovation et d’analyse de données d’organisations sportives professionnelles telles que la NBA, la WTA, Team Liquid et le FC Bayern, SAP intensifie la portée de son offre ERP dans l’esport. Outre la gestion de la performance des joueurs, SAP cherche également à impliquer les fans avec ses technologies innovantes. Intégrant des outils de gestion financière et aussi d’engagement marketing, SAP renforce la compétitivité des équipes esport en accélérant leur transformation numérique. Et pourquoi pas demain s’orienter dans la voie de l’ »Athlète Digital » ?

C’est dans ce contexte que la collaboration est née avec Team Vitality.

Team Vitality, un développement fulgurant

Fondé en 2013, Team Vitality est le plus important représentant français sur la scène internationale de l’esport. Comme dans le sport traditionnel, l’équipe est aujourd’hui devenue une marque à part entière avec plusieurs millions de fans. Avec le temps, Team Vitality a développé un marketing avancé et créé d’importants partenariats avec de grandes marques internationales. Team Vitality, c’est désormais toute une gamme de merchandising qui va des maillots officiels aux accessoires high-tech, en passant par une ligne de vêtements. Son business model s’appuie sur la vente en ligne mais aussi sur des points de vente et des espaces de rencontre avec ses fans qu’il compte décliner dans plusieurs grandes villes en France et en Europe. L’entreprise emploie aujourd’hui une cinquantaine de personnes.

SAP pour structurer sa croissance financière et rassurer ses investisseurs

Pour booster sa croissance, Team Vitality enchaîne les levées de fonds depuis plusieurs années. La marque mise également sur le meilleur des technologies pour gérer efficacement sa croissance, sur SAP pour l’accompagner dans le pilotage financier de son activité et sur APSIA pour l’assister dans cette transformation digitale. Team Vitality s’appuie sur 3 solutions clés de SAP :

  • SAP Business By Design, ERP basé sur le cloud pour optimiser la gestion de la finance, des achats et des stocks.
  • SAP Cloud Platform, plateforme d’intégration et d’extension pour faciliter les échanges avec l’écosystème de l’entreprise.
  • SAP Analytics Cloud, une solution d’analyse augmentée multi-source pour optimiser et accélérer la prise de décision. 

Un pilotage de l’activité facilité

L’utilisation des trois solutions SAP permet à Team Vitality d’optimiser l’ensemble de ses processus. Plus précisément, cinq aspects de la gestion de l’entreprise sont impactés :

  • Un suivi facilité d’éléments clés dans les contrats de partenariats et les contrats fournisseurs.
  • Une gestion des données améliorée : un meilleur tracé des flux grâce à une source d’information unique et fiable permettant ainsi de répondre facilement aux différentes contraintes contractuelles et légales (audit des comptes, RGPD, etc.).
  • L’automatisation de certaines tâches telles que le paiement de certains fournisseurs ou la comptabilisation de certains flux récurrents permettant ainsi un gain de temps considérable.
  • Une meilleure connaissance des flux financiers de l’entreprise dans un contexte de forte croissance du nombre de flux et de développement régulier de nouvelles activités.

« Nous avons plusieurs business models en un : nous faisons de la vente retail via notre site Internet, nous élaborons des contrats marketing avec différentes marques et nous générons également du contenu. Il était donc nécessaire d’avoir plusieurs outils regroupés en une seule interface facile d’accès pour pouvoir gérer l’ensemble de ces activités », explique Sonia Manueco, CFO chez Team Vitality.

Une collaboration sur le long terme

A terme, Team Vitality souhaite pousser encore plus loin l’utilisation des solutions SAP pour ainsi impacter toutes les branches de l’entreprise et l’accompagner dans son développement à l’international. Team Vitality envisage ainsi pour le quatrième trimestre 2020, une interconnexion entre le webshop et les différents flux de l’entreprise permettant d’améliorer la qualité de suivi et d’amélioration des commandes.

« Grâce à SAP, nous avons tous les composants pour aller encore plus loin : nous souhaitons nous améliorer davantage sur le volet opérationnel via l’automatisation de l’ensemble de nos process légaux, qualités ou encore logistiques. L’objectif à long terme est également d’exploiter l’ensemble des datas que nous récupérons sur nos plateformes comme Twitch et Twitter pour pouvoir faire le lien entre les interactions avec nos fans et les achats sur notre webshop », conclut Franck Boniface, COO chez Team Vitality.

 

Contact presse Team Vitality

Valérie Duthey et Maéva Corbel, Le Public Système PR – vitalityrp@lepublicsysteme.fr

Contacts presse SAP
Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Pauline Barriere : 06.13.73.93.11 – presse-sap@publicisconsultants.com

 

 

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Le climat économique et social actuel a mis les entreprises de toutes tailles face à des défis inédits. Notre époque n’avait encore jamais connu de tels chamboulements, à la fois internes et externes. Les directeurs et services financiers, qui s’efforcent de bien gouverner leur entreprise, vivent sans doute les moments les plus difficiles de leur carrière.

À l’heure actuelle, le directeur financier et surtout l’équipe de planification et d’analyse financières doivent continuer d’avancer malgré de nombreuses incertitudes, notamment :

  • l’impact des perturbations des canaux de ventes sur le chiffre d’affaires
  • la gestion du flux de trésorerie et des liquidités
  • la gestion des dépenses et la maîtrise des coûts
  • les projections financières optimistes et les conseils basés sur des suppositions floues

Incertitudes et choix à faire

Pour le service de planification et d’analyse financières, ce ne sont pas des questions isolées, mais tout un ensemble de problèmes et de doutes qu’il faut gérer de manière globale. Faut-il puiser dans une ligne de crédit pour préserver la fluidité du fonds de roulement ? Le flux de trésorerie et les liquidités actuels permettront-ils de couvrir les dépenses à court terme ainsi que les initiatives de capital actuelles et à venir ? Peut-on bénéficier des programmes gouvernementaux d’aide salariale ? Que dire aux actionnaires sur les prévisions du solde de l’année ? Existe-t-il des moyens d’aider nos clients à réussir ?

Ces questions se posent aux services financiers, mais aussi à l’ensemble de l’entreprise, dont les différentes équipes se penchent sur les budgets et les tactiques envisageables.

  • Les programmes actuels tiennent-ils compte du marketing ?
  • La chaîne logistique est-elle confrontée à des disruptions ?
  • Quelles sont les conséquences pour la planification de la demande
  • Quelles sont les suggestions des RH concernant les niveaux d’effectifs actuels, et quels effets auront-elles sur les résultats ?

Il faut regrouper tous ces budgets et modèles individuels en une vue unique pour pouvoir comprendre les interdépendances.

Planification d’entreprise collaborative pour éliminer les silos

Un paradigme de planification moderne permettrait de résoudre facilement ces problèmes : la planification d’entreprise collaborative. Elle consiste entre autres à éliminer les silos, et ainsi à relier instantanément toutes sortes de plans. Les finances disposent donc d’un aperçu réel de la santé financière actuelle pour ne prodiguer que les conseils les plus avisés. Par exemple, elles peuvent évaluer l’impact d’un plan commercial sur les campagnes marketing, ou relier un processus S&OP (ventes et opérations) rapproché à un plan financier. Un analyste peut déterminer quel plan d’effectifs pourrait impacter la productivité des collaborateurs et la trésorerie.

Les finances doivent aussi pouvoir prendre des décisions rapides. Grâce à la planification d’entreprise collaborative, le service financier n’est pas tenu de suivre les plans établis. Aujourd’hui, on ne peut plus travailler dans un environnement où les plus mauvais services financiers repoussent les décisions parce qu’ils utilisent des feuilles de calcul et outils de planification obsolètes. Si au contraire ils disposent des technologies adéquates, ils pourront instantanément simuler l’impact de plusieurs scénarios. Les outils d’analyse modernes associés aux outils d’analyse prédictive et au Machine Learning leur permettront de suivre les recommandations pour obtenir les meilleurs résultats. Quant aux tableaux de bord et à la visualisation intégrée, ils offrent aux utilisateurs finaux un reporting en temps réel et une expérience esthétiquement agréable avec un risque d’erreur minimal, contrairement aux feuilles de calcul.

Une discussion instantanée pour une prise de décision rapide

Enfin, la plupart des organisations, y compris les services financiers, ont étendu leur capacité de travail à l’espace virtuel ; elles ne sont plus limitées par les murs de l’entreprise. La planification d’entreprise collaborative encourage la discussion instantanée pendant la planification et la prévision. Les problèmes géopolitiques ont eu des répercussions extraordinaires sur les prix des marchandises. Une situation qui, tout comme les problèmes liés à la pandémie, nécessite une collaboration et un consensus immédiats. Les décisions doivent être prises sans délai, sans le soutien des réunions, messages vocaux ou fils d’e-mails.

Avec la planification d’entreprise collaborative, les services financiers peuvent guider leur entreprise pour l’aider à obtenir les meilleurs résultats et à continuer d’avancer dans le bon sens malgré les difficultés du moment. La planification d’entreprise collaborative permet aux finances de comprendre tous les aspects de leur entreprise, de recommander et d’évaluer divers scénarios, de prendre les bonnes décisions, et de se positionner comme les véritables leaders de l’entreprise.

Pour en savoir plus, lisez ce rapport de Ventana Research intitulé « Planification d’entreprise collaborative : Améliorer la valeur opérationnelle de la planification et de la budgétisation à l’échelle de l’entreprise ».

À propos de Pras Chatterjee

Pras Chatterjee est directeur marketing produits principal pour la planification et l’analyse chez SAP, en particulier pour les solutions SAP Analytics Cloud et SAP Business Planning and Consolidation. Avant de rejoindre le service Marketing produits, Pras était directeur du cabinet SAP EPM et responsable des services SAP Business Analytics en Amérique du Nord. Il a également été architecte de solutions pour SAP, spécialisé dans la planification et les consolidations dans le monde entier. Comptable agréé, Pras a travaillé au service financier de diverses sociétés de logiciels, dont plusieurs entreprises du Fortune 500.

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