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Fargate vs Lambda : Qui sera le vainqueur ?

Fargate et Lambda sont deux technologies très populaires parmi les développeurs cloud. Quel est le meilleur pour votre projet ? Découvrons qui sera le vainqueur !

## Comparaison Fargate vs Lambda dans l’espace sans serveur

Quelles sont les différences entre Fargate et Lambda ?

Fargate et Lambda sont deux options de calcul sans serveur populaires disponibles dans l’écosystème AWS. Bien que les deux outils offrent un calcul sans serveur, ils diffèrent en ce qui concerne les cas d’utilisation, les limites opérationnelles, les allocations de ressources d’exécution, le prix et les performances. Fargate est une moteur de calcul sans serveur proposé par Amazon qui vous permet de gérer efficacement les conteneurs sans les tracas de la mise en provision des serveurs et de l’infrastructure sous-jacente. Lambda, quant à lui, est une plateforme de calcul sans serveur qui vous permet d’exécuter du code sans avoir à gérer des serveurs. Lambda est conçu pour prendre en charge des charges de travail à courtes durées et à faible consommation de ressources.

Quelle est la meilleure option pour l’architecture ?

Lorsqu’il s’agit de choisir entre Fargate et Lambda, il est important de comprendre leurs différences et leurs avantages. Pour les applications à longue durée et à haute consommation de ressources, Fargate est la meilleure option car il offre une gestion des conteneurs plus efficace et une meilleure performance. Cependant, pour les applications à courtes durées et à faible consommation de ressources, Lambda est la meilleure option car il offre une exécution plus rapide et une meilleure utilisation des ressources. En fin de compte, le choix entre Fargate et Lambda dépend des exigences spécifiques de votre application et de votre architecture. Il est important de prendre en compte le coût, la performance et les fonctionnalités avant de prendre une décision finale.

Quelle que soit l’application ou l’architecture que vous souhaitez mettre en place, Fargate et Lambda sont tous deux des outils puissants qui peuvent vous aider à atteindre vos objectifs. En tant qu’informaticien enthousiaste, je trouve que ces outils sont très utiles pour créer des applications modernes et évolutives. Fargate et Lambda offrent tous les deux des fonctionnalités avancées qui peuvent être utilisées pour créer des architectures robustes et flexibles. Les deux outils sont faciles à utiliser et peuvent être intégrés à d’autres services AWS pour offrir une expérience utilisateur optimale. En fin de compte, le choix entre Fargate et Lambda dépendra des exigences spécifiques de votre application et de votre architecture.

Source de l’article sur DZONE

Il ne fait aucun doute que le concept de durabilité est en passe de transformer l’économie mondiale. L’épuisement des ressources de la planète, les bouleversements climatiques, la fracture sociale et économique, l’évolution des préférences de consommation, l’activisme salarial, la multiplication des réglementations et la crise de confiance dans les institutions sont autant de facteurs qui poussent les entreprises à se montrer toujours plus prudentes dans leurs objectifs et dans leurs bénéfices. Et tout cela est bon pour les affaires.

En assumant sa responsabilité sociétale, une entreprise renforce la réputation de sa marque. En effet, les demandeurs d’emploi et les consommateurs d’aujourd’hui cherchent à soutenir les organisations qui défendent des valeurs importantes et qui ont une incidence positive sur la société dans son ensemble. Quant aux investisseurs, ils s’intéressent de plus en plus aux objectifs de développement durable, et en particulier à leur impact social. Enfin, les réglementations concernant les droits humains et l’environnement se développent rapidement. De quoi pousser les PDG et les dirigeants d’entreprises à adopter une approche plus durable.

 

Les personnes, la planète et la prospérité

Quand vous entendez le mot « durabilité », vous avez peut-être le réflexe de penser au recyclage ou à l’environnement. Mais le concept ne se résume pas à éliminer les bouteilles d’eau à usage unique ou à réduire la consommation des combustibles fossiles. Le développement durable, c’est bien plus que cela. C’est une approche globale qui intègre des aspects sociaux, environnementaux et économiques – en somme, qui implique les personnes, la planète et la prospérité.

Les entreprises sont de plus en plus conscientes de la nécessité de se préoccuper autant de la durabilité sociale, ou durabilité en ressources humaines, que de ses volets économique et environnemental – car ce sont ces trois facteurs indissociables qui soutiennent et stimulent la durabilité de leurs activités. Les personnes sont les éléments constitutifs de la société ; elles exercent un impact sur l’environnement et alimentent l’économie. Elles sont naturellement au cœur de toute stratégie visant à atteindre des objectifs de développement durable. Dans le monde du travail actuel, les RH ont à la fois l’opportunité et la responsabilité de s’assurer que l’humain est au centre des différentes tâches, en créant un environnement propice aussi bien à l’épanouissement des collaborateurs qu’à la prospérité de l’entreprise dans son ensemble.

People Sustainability Is Emerging as a New Strategic Business Imperative

Définir la durabilité sociale

La durabilité sociale repose sur un traitement éthique et équitable des personnes au sein d’une entreprise, de sa Supply Chain et des populations parmi lesquelles elle opère.

La durabilité environnementale et économique implique de préserver et d’utiliser avec prudence les ressources naturelles et financières ; de la même manière, la durabilité sociale nécessite de considérer les personnes et le potentiel humain comme des ressources précieuses, qui doivent être entretenues et valorisées afin de favoriser la résilience, l’agilité et la réalisation d’objectifs pérennes.

Les entreprises qui font de la durabilité sociale une priorité en générant un impact social et en créant une culture plus diversifiée et inclusive sont mieux à même de stimuler l’implication et la productivité de leurs collaborateurs. Elles sont également mieux placées pour attirer et retenir les talents. Penny Stoker, responsable des talents internationaux chez EY, nous explique en quoi la durabilité sociale est centrale dans la construction d’un monde du travail meilleur.

Identifier les six piliers de la durabilité sociale

L’équipe de recherche en RH SAP SuccessFactors a identifié six domaines qui forment les piliers de la durabilité sociale. Bien que ces piliers soient distincts les uns des autres, on peut bien entendu identifier des recoupements. Et au centre de tout, il y a évidemment la notion de culture, qui détermine tant de comportements à l’intérieur d’une entreprise aussi bien qu’en dehors. Intéressons-nous à ces piliers, sous l’angle des RH et des processus de gestion du personnel.

 

 

Santé et sécurité
A minima, vous devez garantir la sécurité physique de votre personnel, le protéger contre les risques et subvenir à ses besoins de base. Votre processus d’intégration offre-t-il aux nouvelles recrues une formation et un équipement de sécurité appropriés dès le premier jour ? Avez-vous une bonne visibilité sur l’ensemble de vos collaborateurs, et notamment sur l’endroit où ils se trouvent ? Savoir qui sont vos salariés et où ils sont, à tout moment, vous permet de réagir rapidement en cas de crise et de proposer une assistance si nécessaire.

Diversité, équité et inclusion
En la matière, il s’agit de garantir à chaque individu un traitement juste et équitable, quels que soient son identité sociale et son système de croyances, de telle sorte qu’il en retire un sentiment authentique d’appartenance. Êtes-vous en mesure d’attirer et de recruter des demandeurs d’emploi issus de milieux divers ? Disposez-vous d’un processus de sélection et d’entretien standardisé ? Votre système de rémunération est-il transparent ? Avez-vous mis en place des métriques et un suivi des objectifs en matière de diversité, d’équité et d’inclusion ?

Bien-être et équilibre
Au-delà des impératifs de santé et de sécurité de base, il s’agit de prioriser le bien-être global (psychologique, social, financier et professionnel) de vos collaborateurs en mettant à leur disposition les outils et les ressources pertinents. Proposez-vous un ensemble complet d’avantages avec des options attrayantes ? Vos collaborateurs sont-ils suffisamment en confiance pour être pleinement eux-mêmes au travail ? Encouragez-vous une culture du dialogue permanent entre les responsables et leurs équipes ?

Confiance et transparence
Dans ce domaine, il importe que les collaborateurs puissent s’exprimer, comprendre comment sont prises les principales décisions qui les concernent, et être certains que leur entreprise agit de manière éthique. Écoutez-vous régulièrement vos collaborateurs et tenez-vous compte de leurs retours ? Avez-vous mis en place des règles et des processus garantissant l’utilisation éthique des technologies intelligentes ainsi que la confidentialité et la protection des données ? Vos métriques de diversité sont-elles publiées et accessibles à tous ?

Autonomie et développement personnel
Vos collaborateurs doivent bénéficier d’informations claires, du soutien et des outils nécessaires pour développer leurs compétences et agir sur leur parcours professionnel. Proposez-vous des options de formation inclusives pour répondre aux besoins et aux préférences d’un personnel diversifié ? Veillez-vous à ce que les responsables transmettent des retours équitables et exploitables à leurs équipes ? Offrez-vous un accès équitable aux opportunités de développement ?

Objectif organisationnel et RSE
Dans ce dernier domaine, l’entreprise s’efforce activement de rendre ce qu’elle reçoit et d’exercer un impact positif sur le monde ; ses collaborateurs sont encouragés à s’impliquer et se sentent galvanisés par la mission et les valeurs du groupe. Veillez-vous à ce que les objectifs individuels soient alignés sur ceux de l’entreprise afin de donner du sens au travail accompli ? Donnez-vous à vos collaborateurs la possibilité de s’adonner à leurs passions ?

 

Que peuvent faire les entreprises pour favoriser la durabilité sociale ?

Aujourd’hui, dans la plupart des entreprises, différents acteurs mènent ce genre d’initiatives sans trop connaître les stratégies des autres ni mettre en place de collaborations. Cela dit, il faut bien commencer quelque part. La première étape, en toute logique, consiste à déterminer où vous en êtes. Disposez-vous d’une stratégie unifiée, au moins dans certains des domaines évoqués plus haut ? Entamez des discussions et lancez-vous dans l’élimination des silos organisationnels.

Accordez la priorité aux personnes. Les progrès pour la planète et la prospérité suivront. C’est cela, être une entreprise résiliente, orientée sur les résultats et sur les personnes. Une entreprise qui n’est pas seulement parée pour répondre aux besoins de gestion d’aujourd’hui, mais qui saura s’adapter à ceux de demain.

Pour en savoir plus, regardez une rediffusion du discours d’ouverture SuccessConnect « Libérez toute la puissance du potentiel humain et transformez définitivement le monde du travail ».

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Kim Lessley est directrice mondiale du marketing des solutions chez SAP SuccessFactors.

 

 

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Source de l’article sur sap.com

Provisioning AWS resources for your applications/organization can be complex—creating the AWS infrastructures (SQS, SNS, Lambda, S3…) with a fine-grained permissions model—and then trying to integrate your infrastructure with your applications will take time until you test it to ensure the whole flow is working as expected.

In this article, I will introduce you to LocalStack, a cloud service emulator that runs in a single container on your laptop or in your CI environment. With LocalStack, you can run your AWS applications or lambdas entirely on your local machine without connecting to a remote cloud provider.

Source de l’article sur DZONE

Apple has released an OS update. Packaged in with it is the latest version of Safari, 16.

Expected to be released ahead of next month’s macOS 13, Safari 16 is packed with updates, making it one of the most capable browsers available.

For web designers, the significance is the forward momentum in web technologies that enable freer design work and fewer hacks to achieve complex layouts. Little by little, CSS recommendations are being implemented to the point that using JavaScript for layout is rapidly becoming as unnecessary as it is disliked.

Some of this was announced in June in the Safari 16 beta. But a lot has been added in the last couple of months. So here’s what’s new in Safari 16 today.

CSS Container Queries

The most exciting addition to Safari 16 is CSS Container Queries.

It is hard to understate how in-demand this feature has been; if you imagine an edit button on Twitter that gifted you crypto every time you corrected a typo, you’d be getting close to how popular this feature is.

Until now, media queries have detected the whole viewport. And so, if you have an element like a card, for example, that needs to change at smaller viewports, you need to calculate the available space and adapt the element’s design accordingly. Unfortunately, this frequently gets out of sync with edge cases causing more than a few headaches for front-end developers.

Media queries are severely restrictive to modern layout methods like Grid that wrap elements automatically because there is no way to detect how the elements are laid out.

Container Queries solve this by allowing you to define styles based on the size of the actual containing element; if a div is 300px wide, the contents can have one design, and if it’s 400px wide, they can have a different design—all without caring what size the whole viewport is.

This is dangerously close to OOP (Object Orientated Programming) principles and almost elevates CSS to an actual programming language. (All we need is conditional logic, and we’re there.)

The latest versions of Chrome, Edge, and now Safari (including mobile) support CSS Grid. Even discounting the rapid decline of Twitter, this is way more exciting than any edit button.

CSS Subgrid

Speaking of Grid, if you’ve built a site with it (and if you haven’t, where have you been?), you’ll know that matching elements in complex HTML structures often results in nesting grids. Matching those grids requires careful management, CSS variables, or both. With CSS Subgrid, grids can inherit grid definitions from a grid defined higher up the hierarchy.

CSS Subgrid has been supported by Firefox for a while but is not yet part of Chrome or Edge. Until there’s wider support, it’s not a practical solution, and using a fallback negates any benefit of using Subgrid. However, its introduction in Safari will surely herald rapid adoption by Google and Microsoft and moves the web forward considerably.

CSS Subgrid is likely to be a practical solution within 18 months.

AVIF Support

AVIF is an exceptionally compact image format that beats even WebP in many instances. It even allows for sequences, creating what is essentially an animated GIF but smaller, and for bitmaps.

AVIF is already supported by Chrome, with partial support in Firefox. Safari now joins them.

AVIF support is one of the more valuable additions to Safari 16 because you’re probably already serving different images inside a picture element. If so, your Safari 16 users will begin receiving a smaller payload automatically, speeding up your site and boosting UX and SEO.

Enhanced Animation

Safari 16 introduces some significant improvements in animation, but the one that catches the eye is that you can now animate CSS Grid.

Yes, let that sink in. Combine Container Queries and animation. The possibilities for hover states on elements are tantalizing.

Safari 16 also supports CSS Offset Path — known initially as CSS Motion Path — which allows you to animate elements along any defined path. This enables the kind of animated effect that previously needed JavaScript (or Flash!) to accomplish.

Chrome, Edge, and Firefox all support CSS Offset Path; the addition of Safari means it’s now a practical solution that can be deployed in the wild.

Web Inspector Extensions

Announced as part of the beta release, Web Inspector Extensions allow web developers to create extensions for Safari, just as they would for Chrome.

Web Inspector Extensions — or Safari Extensions as they’re destined to be known — can be built in HTML, CSS, and JS, so the learning curve is shallow. It’s a good route into app development for web designers.

Because the underlying technology is the same as other browser extensions, anyone who has made a Chrome, Edge, or Firefox extension will be able to port it to Safari 16+ relatively easily. As a result, there should be a rapid expansion of the available extensions.

Improved Accessibility

Accessibility is key to an effective and inclusive web. Be like Bosch: everybody counts, or nobody counts.

When testing a design for accessibility, emulators don’t cut it. In my experience, Safari has some of the most reliable accessibility settings, especially when it comes to Media Queries like prefers-reduced-movement.

Further gains in this field mean that Safari continues to be an essential tool for QA tests.

Reduced Resets

Finally, I want to throw up my hands to celebrate the reduced number of non-standard CSS appearance settings.

For years we’ve been prefacing our style sheets with elaborate resets like Normalize, designed to undo all the assumptions browser developers make about design and the UI preferences of their engineers.

Safari 16 has reportedly “Removed most non-standard CSS appearance values.” How effective this is and how much we can rely on it given the other browsers on the market remains to be seen. However, like many of Safari 16’s changes, it’s a step towards a browser that’s on the developers’ side instead of an obstacle to overcome.

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

Websites haven’t always been as adaptable as they are today. For modern designers, “responsivity” is one of the most significant defining factors of a good design. After all, we’re now catering to a host of users who frequently jump between mobile and desktop devices with varying screen sizes. 

However, the shift to responsive design didn’t happen overnight. For years, we’ve been tweaking the concept of “responsive web design” to eventually reach the stage we’re at today. 

Today, we’re going to take a closer look at the history of responsive web design.

Where Did Web Design Begin?

When the first websites were initially created, no one was worried about responsivity across a range of screens. All sites were designed to fit the same templates, and developers didn’t spend a lot of time on concepts like design, layout, and typography.  

Even when the wider adoption of CSS technology began, most developers didn’t have to worry much about adapting content to different screen sizes. However, they still found a few ways to work with different monitor and browser sizes.

Liquid Layouts

The main two layout options available to developers in the early days were fixed-width, or liquid layout. 

With fixed-width layouts, the design was more likely to break if your monitor wasn’t the exact same resolution as the one the site was designed on. You can see an example here

Alternatively, liquid layouts, coined by Glenn Davis, were considered one of the first revolutionary examples of responsive web design. 

Liquid layouts could adapt to different monitor resolutions and browser sizes. However, content could also overflow, and text would frequently break on smaller screens. 

Resolution-Dependent Layouts

In 2004, a blog post by Cameron Adams introduced a new method of using JavaScript to swap out stylesheets based on a browser window size. This technique became known as “resolution-dependent layouts”. Even though they required more work from developers, resolution-dependent layouts allowed for more fine-grained control over the site’s design. 

The resolution-dependent layout basically functioned as an early version of CSS breakpoints, before they were a thing. The downside was developers had to create different stylesheets for each target resolution and ensure JavaScript worked across all browsers.

With so many browsers to consider at the time, jQuery became increasingly popular as a way to abstract the differences between browser options away.

The Rise of Mobile Subdomains

The introduction of concepts like resolution-dependent designs was happening at about the same time when many mobile devices were becoming more internet-enabled. Companies were creating browsers for their smartphones, and developers suddenly needed to account for these too.

Though mobile subdomains aimed to offer users the exact same functions they’d get from a desktop site on a smartphone, they were entirely separate applications. 

Having a mobile subdomain, though complex, did have some benefits, such as allowing developers to specifically target SEO to mobile devices, and drive more traffic to mobile site variations. However, at the same time, developers then needed to manage two variations of the same website.

Back at the time when Apple had only just introduced its first iPad, countless web designers were still reliant on this old-fashioned and clunky strategy for enabling access to a website on every device. In the late 2000s, developers were often reliant on a number of tricks to make mobile sites more accessible. For instance, even simple layouts used the max-width: 100% trick for flexible images.

Fortunately, everything began to change when Ethan Marcotte coined the term “Responsive Web Design” on A List Apart. This article drew attention to John Allsopp’s exploration of web design architectural principles, and paved the way for all-in-one websites, capable of performing just as well on any device. 

A New Age of Responsive Web Design

Marcotte’s article introduced three crucial components developers would need to consider when creating a responsive website: fluid grids, media queries, and flexible images. 

Fluid Grids

The concept of fluid grids introduced the idea that websites should be able to adopt a variety of flexible columns that grow or shrink depending on the current size of the screen. 

On mobile devices, this meant introducing one or two flexible content columns, while desktop devices could usually show more columns (due to greater space). 

Flexible Images

Flexible images introduced the idea that, like content, images should be able to grow or shrink alongside the fluid grid they’re located in. As mentioned above, previously, developers used something called the “max-width” trick to enable this. 

If you were holding an image in a container, then it could easily overflow, particularly if the container was responsive. However, if you set the “max-width” to 100%, the image just resizes with its parent container. 

Media Queries

The idea of “media queries” referred to the CSS media queries, introduced in 2010 but not widely adopted until officially released as a W3 recommendation 2 years later. Media queries are essentially CSS rules triggered based on options like media type (print, screen, etc), and media features (height, width, etc). 

Though they were simpler at the time, these queries allowed developers to essentially implement a simple kind of breakpoint – the kind of tools used in responsive design today.  Breakpoints refer to when websites change their layout or style based on the browser window or device width.

Viewport Meta tags need to be used in most cases to ensure media queries work in the way today’s developers expect. 

The Rise of Mobile-First Design

Since Marcotte’s introduction of Responsive Web Design, developers have been working on new ways to implement the idea as effectively as possible. Most developers now split into two categories, based on whether they consider the needs of the desktop device user first, or the needs of the mobile device user. The trend is increasingly accelerating towards the latter. 

When designing a website from scratch in an age of mobile-first browsing, most developers believe that mobile-first is the best option. Mobile designs are often much simpler, and more minimalist, which matches a lot of the trends of current web design.

Taking the mobile first route means assessing the needs of the website from a mobile perspective first. You’d write your styles normally, using breakpoints once you start creating desktop and tablet layouts. Alternatively, if you took the desktop-first approach, you would need to constantly adapt it to smaller devices with your breakpoint choices.

Exploring the Future of Responsive Web Design

Responsive web design still isn’t perfect. There are countless sites out there that still fail to deliver the same incredible experience across all devices. What’s more, new challenges continue to emerge all the time, like figuring out how to design for new devices like AR headsets and smartwatches. 

However, it’s fair to say we’ve come a long way since the early days of web design. 

 

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Kubernetes is an open-source container orchestration tool developed by Google and is also known as K8s. It is used in managing the complete lifecycle of containerized applications. Kubernetes provides high availability, scalability, and predictability to the containerized application. It automates the deployment, management, and scaling of containerized applications. Kubernetes also supports automated rollout and rollbacks,  service discovery, storage orchestration, scaling, batch execution, and more. Kubernetes provides the cluster where containerized applications can be deployed. Kubernetes is not the only container orchestration tool, but various “Kubernetes Alternatives” are available in the market.

Before we talk about the “Alternatives to Kubernetes,” let’s explore the key components of Kubernetes. The Kubernetes cluster consists of at least one worker node where containerized applications are deployed and one master node or control plane which manages the worker nodes. The Control plane or master node consists of Kube-API server, etcd, Kube-scheduler, and Kube-controller-manager, whereas the worker node consists of Kubelet, Kube-Proxy, and Container Runtime. 

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Infrastructure is one of the core tenets of a software development process — it is directly responsible for the stable operation of a software application. This infrastructure can range from servers, load balancers, firewalls, and databases all the way to complex container clusters.

Infrastructure considerations are valid beyond production environments, as they spread across the entire development process. They include tools and platforms such as CI/CD platforms, staging environments, and testing tools. These infrastructure considerations increase as the level of complexity of the software product increases. Very quickly, the traditional approach for manually managing infrastructure becomes an unscalable solution to meet the demands of DevOps modern rapid software development cycles. And that’s how Infrastructure as Code (IaC) has become the de facto solution in development today.

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In this article, we will look at the detailed steps to install Alibaba Cloud Container Service for Kubernetes (ACK) cluster. We will cover the Azure DevOps release pipeline and configure service connection to the Kubernetes cluster using temporary kubeconfig. After that, we will expose the application in Alibaba Cloud Kubernetes using Ingress.

High-level steps:

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This is an article from DZone’s 2021 Kubernetes and the Enterprise Trend Report.

For more:

Read the Report

In the modern technology landscape, Kubernetes is a widely adopted platform that enables organizations to deploy and manage applications at scale. The container orchestration platform simplifies infrastructure provisioning for microservice-based applications, which empowers efficient workload management through modularity. Kubernetes supports various deployment resources to help implement CI/CD pipelines using updates and versioning. While Kubernetes offers rolling updates as the default deployment strategy, several use cases require a non-conventional approach to deploying or updating cluster services. 

Source de l’article sur DZONE